#winter travers
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Romance A Day🌹
Unraveling Fayth, Winter Travers
#mybooks#booklr#bookblr#books#romance a day#romance books#winter travers#unraveling fayth#book nerd#adult booklr#december 2024
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47/50
Almost a year later and I finally read the sequel to Playboy.
4/5
I forgot how like readable these books are. They aren’t long- this one is about 250 pages or so. The writing has gotten a bit better from the first book- not all the greatest but still you can see the improvement.
These are Dual POVs. And I love Memphis and Six Gun. Memphis is a bit of a hell cat, but I mostly very happy to see her recover and improve and heal from the events of the first book. Six Gun, was definitely the perfect guy for her in this situation.
I’m happy with the moments of Raelyn and Playboy that were in here, I was glad to see their relationship and where they are after the first book. This book made me look forward to Monk’s book, the next one and I already own it ;), and Barracuda’s book. Even Jet’s. I’m loving this quick series. It’s a good intro to MC romance for sure, and I’m glad I gave it a shot. Will totally continue.
#booktok#booklr#reading#reading challenge#romance books#mc romance#2024 reading#2024 goodreads#2024 reading challenge#2024 reads#2024 books#bookblr#winter travers#royal bastards mc#six gun
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Gorgo (1961)
#gorgo#bill travers#william sylvester#vincent winter#1961#1960s movies#eugène lourié#sci fi horror#movie posters
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youtube
Gorgo, de 1961, o "parente britânico" esquecido de Godzilla e King Kong!
#gorgo#gorgo movie#monsters#kajuns#british godzilla#godzilla#Eugène Lourié#Eugene Lourie#Bill Travers#William Sylvester#Vincent Winter#Joseph O'Conor#king kong#Bruce Seton#Martin Benson#Barry Keegan#Maurice Kaufmann#Howard Lang#Basil Dignam#Christopher Rhodes#Dervis Ward#monsterverse#Youtube
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Skittish | Bucky Barnes x ftm!reader
notes : je préfère le spécifier, la temporalité n’est pas exactement respectée. Disons que tout cela se déroule juste après Captain America : The Winter Soldier.
résumé : Après une longue bataille et surtout de dures recherches, les Avengers ont fini par retrouver la trace du Soldat de l’Hiver. Pour maintenir la sécurité de tous, ils le gardent en sécurité dans leur QG. En semi-liberté mais surtout dans un état second, Bucky Barnes attire l’attention du jeune garçon chargé de s’occuper de lui durant son séjour ici.
⚠︎ warnings : mentions de lourds traumatismes liés à la guerre et aux projets Hydra, une forme de dépressif!Bucky, violence, armes, incompréhension de la transidentité sans transphobie, mentions de pensées suicidaires.
english version here
- Description à la deuxième personne
- 5 605 mots
Tu étais le petit protégé du groupe, il l’avait vite remarqué. Même si Natasha n’avait elle non plus pas de supers pouvoirs ou de combinaison robotique, elle faisait partie de l’équipe. Elle et Clint étaient un peu les supers humains de la bande, avec des capacités surhumaines mais rien qui ne dépasse la foudre de Thor ou les muscles de Hulk. Puis, il y avait toi, un petit humain assez normal et sans spécificités particulières. Une grande intelligence, une extrême gentillesse et un sourire adorable. Mais pas de maîtrise des arts martiaux. Tu connaissais les bases des combats, Nat t’avait appris le principal. Tu avais fini par comprendre les formules chimiques extravagantes de Bruce, et tu comprenais le plus important de ce que disait Tony dans ses phases de nerd intenses. Mais encore une fois, tu n’avais rien de spécial, et ça interrogeait Bucky. Pourquoi un humain basique était ici ? Qu’est ce que tu faisais au milieu des Avengers ? Il avait beau avoir raté quelques années décisives d’un point de vue social, il ne comprenait pas.
Lorsqu’il marchait à travers le bâtiment, il tombait sur des scènes qu’il ne savait pas interpréter. Toi assistant Tony Stark et Jarvis, toi riant avec Bruce Banner, toi aidant Natasha Romanoff à s’entraîner, toi portant le bouclier de Steve Rogers jusqu’à lui, toi triant les flèches de Clint Barton, toi refaisant les tresses de Thor.
Qu’est ce que tu faisais là ?
Tu t’étais gaiement présenté à lui. Un sourire amical aux lèvres tu avais énoncé ton nom, prénom et tes pronoms – il n’avait pas vraiment compris ce dernier point –. On t’avait sûrement mis au courant de sa situation, ne te vexe pas il lui faudra un peu de temps avait-on dû te murmurer. Il ne t’avait pas répondu, et tu n’avais pas semblé vexé. Tu étais alors reparti, et il était resté perplexe. Si tu savais déjà tout de lui, pourquoi venir se présenter ? Tu avais dû lire ses dossiers, vous aviez tous dû lire ses dossiers. Steve avait dû s'éclipser pour prendre l’air, Natasha tout inspecter en détails, Bruce marmonner des “quelle horreur”. Tu avais dû lire ses dossiers. Voir sa vie exposée sur une grande table, des mains étrangères parcourant les contre rendus médicaux. Tu avais dû lire avec angoisse la liste interminable des victimes qu’il avait tuées lors de ses missions, observer les modifications qu’on lui avait fait, les traitements infligés, peines endurées. Tu avais vu tout ça. Pourquoi venir le voir ?
« Disons que je n’aime pas vraiment que tu traînes autour de ce type, déclarait depuis plusieurs minutes la voix de Tony, Jarvis copie moi ce plan et fais en une reconstitution 3D avec gares, aéroports et tout le bazard »
Les hologrammes bougèrent devant tes yeux, mais tu n’y prêtais plus attention depuis le temps. À l’époque, la première fois que tu as vu ce monde virtuel se modéliser dans le bureau de Tony tu étais comme un gamin. Des étoiles dans les yeux, tu posais milles questions à la seconde, faisant sourire le créateur de ce programme. Mais à présent tu savais toi même comment fonctionnait la plus grosse partie du système “Jarvis”, et tu n'étais plus si impressionné, ou du moins tu ne l'étais pas à chaque geste de Stark.
« Je vois pas ce qui te dérange, répondis-tu en balançant innocemment tes jambes dans le vide »
Tony se retourna avec sa gestuelle toujours aussi dramatique, faisant un vague mouvement de la main il essaya de te faire comprendre les choses sans avoir à parler. Malheureusement pour lui la télékinésie ne faisait pas partie de tes capacités.
« Très bien, s’avoua-t-il vaincu, pour commencer son bras robotique sophistiqué qui pourrait te broyer avant que tu ne puisses crier, mima-t-il avec désintéressement, puis lui-même au global, tu l’as regardé ? Instable et complètement perché »
Un sourire non camouflé dessina une courbe à travers tes lèvres.
« On parle toujours de Bucky Barnes ? T'amusas-tu, parce que j’ai plutôt l’impression que tu te regardes dans un miroir »
Tu jetas un petit coup d’œil vers Jarvis, qui finissait la demande de ton ami. Puis, ton attention partit de nouveau sur le milliardaire visiblement désespéré d'avoir cette discussion avec toi – tu finissais par avoir l’habitude, une démonstration d’amour de sa part –.
« Je préfère te couper tout de suite, continua ta voix, je t’interdis de me sortir les traditionnelles excuses dans le genre il est dangereux ou armé ou c'est un meurtrier. Tu descendis de la table où tu étais assis et montras avec des grands gestes la pièce, regarde autour de toi Tony, que des armes ou futures armes. Tu te rapprochas de lui et pointa son front du doigt, tu as la plus grande arme que l’humanité n’ait jamais connue dans cette boîte crânienne. Natasha et Clint sont des tueurs professionnels, Steve un soldat traumatisé qui se voile la face, Thor un alien avec des pouvoirs surnaturels et Bruce un scientifique hanté par un alter-ego destructeur. Tu émis une pause pour admirer l’expression faciale toujours aussi indéchiffrable de l’homme en face, vous êtes tous des meurtriers et des dangers pour l’Homme, la seule différence entre vous et Barnes est que vous avez choisi de livrer vos talents à une cause, et que lui n’a pas eu le choix »
Tony resta durant quelques longues secondes de marbre, un tourbillon sûrement en train de faire vibrer ses neurones. Puis, il haussa les épaules et inclina rapidement la tête en signe de défaite.
« Tu as raison, déclara-t-il, j’ai plus d’arguments et les tiens sont en béton, il se retourna et repartit vers Jarvis, bien joué petit »
Il y a encore un an tu aurais été perplexe face à cette réaction, mais le temps t’avait appris qu’il fallait prendre Tony Stark avait des pincettes et l'observer comme on le ferait avec un champignon étranger. Tout ce que tu pouvais retenir de cette interaction était que tu étais fatigué, que tu avais gagné contre le grand mégalo Iron Man et surtout qu’il fallait que tu parles de nouveau à Barnes.
Personne n’avait vraiment été d’accord avec Steve sur l’idée de ramener un mercenaire d’Hydra au QG des Avengers. C’est l’équivalent de lui servir sur un plateau en argent nos secrets, avait à raison dit Clint. Tu avais avec surprise vu Nat prendre la défense de Barnes, à tes côtés et ceux de Steve – bien entendu –. Puis il y avait Bruce qui ne savait pas livrer un jugement distinct, puis Tony et Clint qui étaient contre. Thor étant parti tu ne savais où dans l’espace, les votes avaient donc été clos sur un majorité de pour.
Tu avais aidé Captain a installé une chambre un minimum habitable dans une cellule de protection, un peu comme celle qui avait abrité Loki. Tandis que le grand blond portait le lit dépliable, tu t’étais occupé d’un sac de vêtements – approximativement à la taille de Barnes – et d’un autre avec de l’eau et des sucreries, cette idée venait d’ailleurs de toi. Tu trouvais injuste de qualifier cet homme de simple meurtrier, il avait été manipulé et contrôlé. Tout en posant les barres céréales sur une petite table en fer, tu avais essayé de ne pas penser au chaos qui devait au même moment se jouer dans la tête du Soldat d’hiver. Il devait être tout aussi traumatisé que ses victimes, peut-être même plus. Puis se retrouver dans un environnement aussi particulier du jour au lendemain devait être perturbant. Alors une barre en chocolat et un soda ne pouvaient pas lui faire de mal.
Merci, t’avais murmuré Steve, de comprendre. Tu lui avais rendu un sourire attendrissant, retenant l’envie de lui demander comment il se sentait. Il venait de retrouver son meilleur ami, qui était censé avoir disparu depuis plusieurs décennies, et en plus de ça cet ami avait subi des traitements inhumains durant la plus grande partie de sa vie à présent. C’était évident qu’il ne se sentait pas bien, qu’il était démuni face à cette situation. Bruce t’avait conseillé de lui laisser du temps, et que s’il avait besoin il finirait par parler à l’un d’entre vous. Tu avais écouté ses conseils, et t’étais davantage concentré sur Barnes à la place.
Tu t’étais d’abord présenté, commençant par un simple rapprochement. Tu avais ensuite fait en sorte de veiller à ses besoins, glissant une nouvelle bouteille d’eau fraîche lorsque la précédente était vide, lui ouvrant sa prison seulement quand la nuit tombait pour qu’il puisse aller se doucher sans croiser un Tony méprisant ou un Steve déprimé. À ce propos, des règles avaient été instaurées pour garantir la sécurité de tous. Si Bucky quittait sa cellule s’était toujours en compagnie de l’un de vous – vous étiez d’ailleurs les seuls à avoir les pass –, s’il demandait quelque chose – ce qu’il ne faisait jamais – l’objet devait passer plusieurs portails de contrôle avant de lui être remis, et enfin peu importe où il allait, toilettes ou douches, quelqu’un devait le surveiller dans la limite de l’intimité. Bruce avait proposé de fonctionner à tour de rôle, mais au vu des visages des autres tu t’étais porté volontaire pour assurer la plus grande partie de ses sorties. Natasha devait te remplacer lorsque tu n’étais pas disponible, puis Tony si aucun de vous deux n'était présent. Tu avais ainsi éviter les conflits mais aussi et surtout que Steve ne doive se rendre là-bas.
Tu ne le connaissais pas, Bucky, ayant seulement vu les vidéos présentes dans son dossier, et pourtant à chaque fois que tu allais lui rendre visite ton estomac se nouait. Il n’était pas question de peur, puisque son bras robotique avait été censuré au maximum grâce à un gadget de Stark, lui laissant seulement la liberté de l'utiliser comme un membre normal, sans super-force ou arme intégrée. Il reste un super soldat, avait alerté Bruce, ses facultés physiques sont supérieures à celles de Nat et il a un sérum semblable à celui de Steve dans les veines. Mais tu n’avais pas peur. Malheureusement une chèvre aurait davantage fait frissonner que Barnes lorsque tu allais le voir. Il était comme toujours sur pause. Ne parlait jamais, bougeant à peine son regard du sol. Tu avais été malgré tout rassuré de voir qu’il mangeait le minimum syndical, et il avait même un jour goûter une barre chocolatée. Mais mis à part ces détails, c’était comme si tu voyais le même robot dans la même position, jour après jour. Ton estomac se nouait pour ces raisons, parce que lorsque tu lui apportais des draps propres il n’avait rien de l’homme que tu avais vu en vidéo. La haine qui hantait ses yeux avait disparu, il ne restait qu’un vide sans nom, et tu n’avais jamais rien vu d’aussi triste. Tu n’avais pas l’impression d’avoir un soldat d’Hydra d’une centaine d’années en face de toi, mais un orphelin brisé.
Tu passais beaucoup de temps à relire son dossier, ses rapports, ses examens. Tu essayais de le comprendre à travers ces papiers. Steve était perdu, il ne voyait plus Buck dans ces yeux, et toi tu essayais de comprendre ce qu’il était devenu, Buck. D’après sa fiche personnelle, il avait été retrouvé à l’âge de vingt-six ans avant de subir les expérimentations d’Hydra. Une photo de lui, en 1943, était collée sur le papier. Un sourire timide aux lèvres, son couvre-chef d’infanterie légèrement penché sur sa tête et son uniforme sans un pli trônant fièrement sur son torse. Une larme avait gravement dévalée ta joue, finissant son chemin sur une écriture manuscrite russe : Зимний Солдат, autrement dit Soldat de l’hiver. Bruce avait effectué une tradition complète de tous les documents, par la suite corrigée par Natasha. Peut-être que relire ces textes n'était pas bon pour toi, mais tu en avais besoin. Tu étais le seul ici à t’intéresser à Barnes. Steve culpabilisait à tel point qu’il faisait une sorte de déni, Nat ne faisait qu’étudier froidement le dossier du soldat et ne parlons même pas des autres. Bucky avait besoin de temps, de compréhension et de douceur pour au moins ne pas aggraver ses séquelles. Tu devais très certainement faire des erreurs, n’étant pas psychologue de profession, mais tu faisais déjà mieux que tes camarades et qu’Hydra.
« Douce soirée pas vrai ? Résonna dans un silence de plomb ta voix »
Le soleil s’était couché depuis plus de trois heures, la plupart des Avengers étaient dans leur chambre ou partis dehors, ce qui signifiait que c’était le moment idéal pour que Barnes puisse prendre une douche. Tu avais rassemblé tes forces et t’étais rendu dans la cellule du soldat. Lorsque tu étais passé, il y a de ça environ deux heures, il n’avait pas voulu manger son repas alors tu l’avais repris et fait chauffer de nouveau pour plus tard. Le plat chaud donc d’une main, tu refermas avec précaution la porte en verre blindé derrière toi. Comme tu t’y attendais, Barnes n’avait presque pas bougé depuis ta dernière visite. Toujours assis en tailleur dans son lit, il semblait vaguement remarqué ta présence.
« Je sais que tu ne voulais pas manger tout à l’heure, commenças-tu en déposant le repas à côté de lui, mais je me suis dit qu’entre temps l’appétit t’était peut-être revenu »
Tu avais parfois le droit en guise de réponse à un petit “hum” rauque provenant du fond de sa gorge, mais tu te demandais si c’était volontaire tant sa gestuelle ne collait pas avec ce léger signe de vie. Malheureusement ce soir ne faisait pas partie de ce “parfois”. Pas de bruit, à peine un souffle. Mais tu ne te décourageas pas.
Les premières fois que tu étais venu lui parler, son manque complet de réaction t’avait interrogé sur sa possible compréhension de ta langue. Pourtant tu avais lu qu’il lisait et parlait au minimum deux langues, dont la tienne. Si ça se trouve tu comprends pas ce que je te raconte, avais-tu marmonné tout en ramassant ses vêtements usagés. Ta plus grosse interaction avec lui s’était alors produite lorsqu’il t’avait regardé droit dans les yeux et avait prononcé d’une voix agréablement grave : Je comprends.
« Mis à part ça tu peu- »
Tu fus surpris de le voir se lever de lui-même, se dirigeant studieusement vers la porte de sortie en attendant que tu l’ouvres. C’était d’habitude toi qui allait en premier à la sortie, attendant deux ou trois secondes qu’il se lève et te rejoigne. Mais c’était une bonne surprise, ça voulait peut-être dire que son état s’améliorait.
Ton pass électromagnétique collé au tableau de bord, un petit bip retentit avant que tu ne pousses la lourde porte et fasse passer en premier Barnes. Ces questions de sécurité t’étaient obligatoires pour approcher le Soldat de l’Hiver. Le faire toujours marcher devant toi, rendre ton pass inaccessible – caché dans ta manche la plupart du temps comme Bruce te l'avait conseillé –, une arme blanche camouflée contre ta cheville en cas de problème, et tu n’étais pas censé lui parler de toi ou de l’équipe. Clint avait voulu ajouter une règle supplémentaire : ne pas lui adresser la parole sauf en cas de nécessité, pour prévenir tout risque de manipulation. Est-ce que tu l’as bien regardé ? T’étais-tu imposé dans la discussion, il n’a émis aucune opposition durant tout le processus pour le ramener ici, et puis souviens-toi de ses rapports de missions, il n’était pas un espion mais un tueur de masse, il était programmé pour parler le moins possible à ses victimes. Tony était tombé d’accord avec toi sur le sujet, rappelant le cas de Loki – encore une fois – qui était bien différent de Barnes.
Stupides règles, pensas-tu en regardant la silhouette de l’homme en face de toi avancer dans le long couloir. Si les autres le voyaient plus de cinq minutes, ils se rendraient compte qu’il ne s’agissait plus que d’une victime dans cette cellule. Ils te trouvaient tous un peu naïf et ils t’appréciaient pour ça, un éclat d’espoir au beau milieu du chaos. Pourtant tu étais de loin celui avec la meilleure perception des autres. Chaque méchant avait des arguments, bon ou mauvais tu les écoutais tous. Tu raisonnais l’équipe, les faisant sortir de leur bulle de super-héros pour leur montrer la possibilité d’un peu de légèreté.
Tu ne doutais pas des capacités du soldat Barnes, tu avais encore moins envie de te retrouver en face à face avec lui qu’avec Nat – et c’était déjà beaucoup –. Tu regardais quelquefois de nouveau les vidéos de surveillance prises le jour où Natasha et Steve l’ont combattu pour la première fois. Il était hypnotisant, dans la manière dont tous ses mouvements semblaient s’assembler avec tant de fluidité et de rapidité, la façon avec laquelle son corps réfléchissait pour lui et agissait en conséquence. Tu avais, en comparaison, la tête qui tournait après avoir fait une roulade, alors voir tout ça était stupéfiant. Bien sûr il y avait derrière ces dons d'atroces explications, tout comme pour la plupart des personnes en capacité de reproduire tout cela, mais tu ne pouvais tout de même pas t’empêcher d’analyser ces vidéos. Et puis, là dans ce couloir, tu regardais le dos de Barnes, son bras étincelant, l’étoile rouge y trônant, et tu te demandais ce qui se passait dans son esprit. Ce qu’il savait faire était inhumain, le voir en image renforçait ce sentiment. Puis on devait prendre conscience qu’il s’agissait d’un être humain, qui un jour avait été comme toi. Son mode de fonctionnement devait avoir été totalement bouleversé, déformé et détruit. On avait dû réduire en miettes ce qui avait été pour construire ce qui était à présent, c’était comme ça que ça fonctionnait. Pour s’adapter à un nouvel environnement on nous conseillait toujours d’oublier tout ce que l’on pensait savoir, tous les films le disaient. De la même manière que des platistes étaient persuadés que la Terre est plate, Barnes ne voyait plus le monde comme tu le faisais.
Comme les règles le disaient, tu rangeas discrètement ton pass dans une poche de pantalon tandis que vous arriviez à la salle de bain. De simples verrous servaient de sécurité, et c’était amplement suffisant. Personne à part toi n’avait jamais évoqué l’hypothèse que Bucky tente de mettre fin à ses jours. S’il le faisait, la salle d’eau était le meilleur endroit, c’est pourquoi un simple verrou faisait largement l’affaire pour que toi ou quelqu’un d’autre puisse défoncer la porte en cas de nécessité. Mais tu évitais de trop penser à cette issue, car à travers le peu d'interactions que tu avais eu avec lui et les réflexions que tu entretenais à son sujet, tu t’étais attaché à sa personne.
Tu ouvris le rideau de douche, sous le regard intrigué de Barnes. Chaque Avengers avait une salle d’eau avec le strict minimum dans leur chambre, mais il y avait aussi trois salles de bain plus grandes au deuxième étage. C’était les pièces pour se nettoyer en urgence lorsque l’on rentrait couvert de sang, ou Bruce s’y rendait en cas d’alerte verte par exemple. Elles étaient plus accessibles que les chambres, ce qui expliquait cette fonction. Mais ce qui rendait Bucky curieux n’était pas ça. Tu lui donnais toujours la salle numéro deux, avec un douche basique, un lavabo et des toilettes. Hors là vous vous trouviez dans la numéro une, avec une baignoire. Il détailla rapidement la pièce, légèrement plus grande et mis à part la baignoire il n’y avait rien qui différenciait de la 2. Tu avais comme toujours préalablement enlevé tous les objets sujets à être utilisés en tant qu’arme. La pile de deux serviettes propres surplombée du savon et du shampoing durs – pour éviter les risques d’ingurgitation ou d’attaque oculaire trop agressive – et le gant de toilette, étaient toujours soigneusement posés sur le rebord du lavabo. Alors pourquoi une baignoire ?
Comme si tu lisais dans ses pensées, tu te retournas d'un mouvement fluide. Tu pris le temps d’apprécier le regard expressif de Barnes – c’était tellement rare – avant de répondre à ses interrogations.
« J’ai supposé que ça devait faire des années que tu n’avais pas pris de réel bain, tu essayas d’éviter le sujet Hydra, alors je me suis dit que ça pouvait être une bonne idée ? »
Un bon nombre d’émotions passa dans le bleu de ses yeux, ne faisant qu’accentuer ton appréhension face à sa réaction. Personne n’avait dû être ne serait-ce que sympathique avec lui depuis un long moment, ce qui voulait dire qu’il allait prendre du temps avant de proprement réagir. Mais comme tu l’avais imaginé, son regard parcourut à une vitesse folle la baignoire derrière toi à la recherche d’un piège. Je ne suis pas comme eux, pensas-tu dans un pincement de cœur.
« Je sais ce que tu dois te dire, mais il n’y a pas de piège Bucky, son nom résonna plus que tu ne l’aurais imaginé, ça va être long mais crois-moi je n’essaie pas de te tuer ou de te faire du mal »
Un lourd doute sembla peser, et tu ne pus que comprendre. Ce genre de phrases, il avait dû en entendre beaucoup trop avant de finir électrocuté ou pire. Pour aider son processus, tu t’écartas et le laissa pleinement observer le lieu. Ses yeux bloquèrent plus longtemps que prévu sur le pommeau de douche, et encore une fois, tu eus des nausées en imaginant les traumatismes qui devaient se rejouer dans sa tête. En cet instant, tu repensas à la première fois que tu l’avais conduit dans une salle de bain. Il avait refusé de rentrer dans la douche, la mâchoire serrée au point que ses dents devaient le faire souffrir, il t’avait fixé avec un cocktail d’émotions indéchiffrables dans les yeux. Tu avais fini par te souvenir des traitements réservés aux Juifs dans les douches durant la Seconde Guerre Mondiale, et tu t’étais tout de suite excusé. Pardon j’aurais dû y penser, avais-tu dit avec culpabilité, si tu veux tu peux juste te laver avec le gant et l’eau du robinet, pas besoin du pommeau de douche aujourd’hui si tu n’as pas confiance. Et la situation semblait se reproduire ce soir, il avait peur que vous vouliez vous débarrasser de lui durant sa douche, ou bain en l'occurrence. Les techniques ont malheureusement évolué depuis 39-45, d’autant plus qu’il se trouvait dans le QG du plus grand ingénieur des États-Unis, ce qui voulait dire que vous auriez pû trouver bien des méthodes pour le tuer pendant sa toilette. Mais il fallait que tu trouves un moyen de le rassurer, parce que tu n’avais pas l’intention de l’exécuter en douce, et que tu voulais être sincèrement gentil.
« Peut-être que si ça te rassure je peux-, tu hésitas avant de te dire que c’était pour la bonne cause, je peux rester avec toi ? Il y a un rideau de toute façon »
Face à son expression qui tanguait de la surprise au doute, tu te sentis obligé de justifier.
« S’il y a du gaz ou une explosion, je meurs avec toi ce qui serait pas très apprécié de l’équipe, tu émis une petite pause pour jauger sa réaction, et s’il y a quoique ce soit d’autre de ménaçant tu pourras toi-même me tuer puisque je serais juste à côté. Tu brandis ensuite la clé de la pièce entre tes deux doigts, en plus de ça je nous enferme et laisse la clé sur le rebord de la baignoire, pour ne pas m’enfuir et t’enfermer derrière moi »
Tu eus la ferme impression qu’à une autre époque, Barnes aurait souri, peut-être même ri. Puis, à ta grande surprise, tu vis un semblant d’amusement dans ses yeux. Un voile presque invisible qui ne dura qu’une seconde, juste le temps pour qu’une lointaine version de lui ne prenne le dessus sur le Soldat d’Hiver. Tu ne pus empêcher ton sourire, attendant malgré tout une réaction plus concrète avant de réagir en retour.
Bucky essaya de sortir une émotion dominante du brouhaha qui se jouait dans son esprit. Tu étais définitivement différent, et il commençait à comprendre pourquoi tu avais ta place au beau milieu d’une bande de surhumains. Et même si quelqu’un qui parlait comme toi avait le profil parfait pour manipuler à un haut niveau les personnes, il se risqua à tenter sa chance.
« Je peux avoir vingt secondes seul pour me déshabiller »
Le frisson qui électrocuta tout ton corps ne passa sûrement pas inaperçu. Sa voix, son ton, donnèrent une tournure plus directrice qu’interrogative à sa question, et tu ne fis qu’hocher légèrement la tête. À ton tour, tu devins aussi silencieux que lui, trop perturbé par l’accès de réactions de sa part en si peu de temps. Tu quittas la salle de bain, poussa la porte derrière toi sans la fermer, car malgré ton choc, ton inconscient valorisa ta sécurité.
Pendant que tu attendais un quelconque signal t’autorisant à entrer dans la pièce, tu divaguas sur de nouvelles réflexions. Barnes n’avait parlé à personne d’après ce qu’on t’avait raconté. Les caméras avaient enregistré que durant le combat pour le neutraliser il avait parlé, quelques hommes d’Hydra étaient avec lui alors tu avais supposé qu’il leur donnait des ordres en russe. Natasha avait été bien trop occupée à essayer de ne pas mourir pour prêter attention à ce qu’il avait dit, mais avec du recul, tu avais envie de savoir ce qui était sorti de sa bouche ce jour-là. Tony aimait dire que le russe était une des langues les moins accueillantes au monde, mais étrangement l’entendre de Bucky te donnait envie. Peut-être que c’était sa voix comme grondante, peut-être parce que le russe avait été pendant des années sa langue “natale”.
Outre le russe, il parlait d’autres langues d’après les rapports, mais encore une fois il n’avait pas fait valoir ses talents à n’importe qui à part toi. En même temps, je suis presque le seul qu’il voit depuis son arrivée, pensas-tu. Mais il avait malgré tout eu l’occasion lorsque Bruce était venu avec toi lui rendre visite pour vérifier un branchement du tableau de bord. Il aurait aussi pu le faire depuis sa cellule, puisqu’elle était totalement transparente et qu’il pouvait voir le couloir où beaucoup de personnes passaient, il aurait pu parler. Mais il ne l’avait pas fait, et sans savoir pourquoi tu avais le sentiment qu’il ne voulait parler qu’avec toi.
Un bruit d’eau te fit presque sursauter. Tu murmuras un juron – espérant que Bucky n’ait pas entendu – avant de doucement te retourner vers la porte.
« Je peux ? Préfèras-tu demander pour éviter un drame »
Le temps qu’il réponde, tu laissas encore une fois ton esprit s'égarer. Et s’il était juste nu au milieu de la pièce ? Hydra l’avait conditionné pour qu’il perde tout sens de propriété, pour que même son corps ne lui appartienne plus, ce qu’il voulait dire que la nudité n’était plus un tabou et qu’au contraire – vu les horreurs que ces gens avaient fait – ils auraient très bien pu le forcer à rester nu pour l’humilier davantage.
« Oui, résonna vaguement sa voix »
Te préparant au pire, tu pris une grande inspiration et garda tes yeux bien haut pour éviter tout contact visuel au mauvais endroit. Mais en ouvrant la porte tu fus soulagé de voir le rideau tiré de moitié et un Bucky déjà dans l’eau. Un sentiment, que sur le moment tu comparas à celui d’un parent fier de son enfant, réchauffa ton coeur. Ce n’était peut-être pas grand-chose aux yeux du monde, mais toi tu imaginais les impressions de l’homme lorsqu’il plongea un corps devenu presque inconnu dans une eau chaude préparée pour lui, et lui seul. Confort, surprise, soulagement. Il devait se passer beaucoup de choses dans la tête du Soldat de l’Hiver.
Tu refermas la porte derrière toi, verrouillant la sortie comme prévu. Mais, tandis que tu te rapprochais afin de déposer la clé près de lui, une deuxième vague de chaleur traversa ton corps en te rendant compte de quelque chose. Il avait seulement tiré le rideau de moitié, cachant ainsi le bas de son corps mais te laissant tout le plaisir de voir à partir de son torse. Encore une fois, en d’autres mesures tu n’aurais pas trouvé la situation émouvante, mais plutôt cocasse. Sauf qu’il s’agit du Soldat de l’Hiver, et que toute sa communication se faisait sans la voix. Il avait laissé ses bras et son visage visibles pour qu’à ton tour, tu vois qu’il n’était pas une menace. De la même manière que tu avais trouvé une solution à son angoisse, il faisait un pas vers toi en te montrant que tu n’avais pas de raison de le craindre en ce moment.
« Merci, murmuras-tu »
Comme si tu avais peur de briser le moment, tu t’installas sans un bruit. Il n’y avait pas de chaise ici, mais le sol te convenait. Tu croisas tes jambes en tailleur tout en reposant ton dos contre la petite extension de mur collée à la baignoire. De cette façon, tu restais assez proche de lui tout en respectant une distance nécessaire pour éviter de voir le reste de son corps dénudé.
Tu oublias de vérifier l’heure, ne comptant plus les minutes d’observation que l’homme en face te laissait avant de se poser des questions.
Bucky resta une heure entière dans l’eau avant qu’elle ne commence à refroidir. Tu passas tout ton temps à détailler son visage détendu, ses yeux fermés comme s’il allait d’une seconde à l’autre s’endormir. Puis lorsqu’il rouvrit ses paupières, il te regarda à son tour quelques secondes, avant de te demander s’il pouvait sortir du bain. À sa phrase, la réalité te percuta de nouveau et tu eus une envie folle de lui dire qu’il était libre, qu’il n’avait plus d’ordres à recevoir. Tu eus envie de lui faire voir le monde, de lui faire goûter une glace à la vanille, de lui faire sentir l’odeur de l’encens dans les églises, du gras des triples burgers. Tu eus le besoin de le voir acheter avec son propre argent, l’aider à se relever de ses premières chutes. Lorsqu’il t’avait regardé avec ses grands yeux bleus, attendant ton autorisation pour sortir d’un bain, tu eus envie de lui demander pardon, au nom de l’humanité. De lui promettre que personne ne viendrait le frapper, promettre à ce petit garçon que rien ne lui arriverait, qu’il pourra vivre une vie sereine et heureuse auprès de ses amis et de sa famille. Mais en regardant la peau vive de son épaule gauche, en regardant l’arme qui était implantée dans son corps, tu sentis ton ventre se retourner. Personne n’avait été là pour protéger cet enfant de Brooklyn, aucune des personnes lui ayant fait ça n’a ne serait-ce qu’eu pitié de cet homme. Et aujourd’hui il dormait dans une cellule capable de résister à la force de Hulk.
« Tu peux sortir du bain, se brisa ta voix »
Il obéit, faisant rouler les muscles surhumains de son corps pour se redresser. Tu ne bougeas presque pas, étant à ton tour trop loin dans tes pensées pour avoir l’idée de détourner ton regard de lui. Un nouveau coup fut porté à ton cœur en te rendant compte que oui, il n’avait plus de pudeur. Deux gouttes d’eau tombèrent contre ton mollet tandis qu’il attrapa la plus grande serviette de essuya sans une émotion sa peau. Le bruit rêche du tissu te fit frissonner, et alors doucement tu te levas. Il était plus grand que toi, mais ni ça ni son bras robotique ne t’empêchèrent d’attraper sa serviette humide. Son corps ne parvint pas à réagir lorsque tu passas le tissu blanc contre son bras, son visage était figé dans une expression de totalement incompréhension, face à la douceur avec laquelle la serviette entrait en contact avec sa peau.
Tu finis ta tâche, comme s’il ne s’agissait que d’un petit chiot à essuyer. Puis, tu te reculas de trois pas et planta tes yeux dans les siens. Tu lui tendis des vêtements propres, avant de reprendre la clé et de partir vers la porte.
« J’ai bien besoin d’un chocolat chaud, déclara ta voix encore cassée de larmes, et j’aimerais beaucoup le partager avec toi, Bucky »
Ta main quelque peu tremblante essuya l’humidité de tes joues, te retournant ensuite progressivement vers le soldat après avoir déverrouillé la sortie. Il s’était déjà habillé, le jogging noir tombant bas sur ses hanches. Bucky détailla ton visage, et ses sourcils se rejoingèrent dans une mine mi-confuse mi-triste. Il se rapprocha assez de toi pour que tu sentes la chaleur qu’il dégageait.
« Pas de cannelle, énonça-t-il, je crois que je n’aime pas ça »
Tu lâchas un petit rire nerveux, te disant qu’il n’y avait que toi pour te retrouver dans ces situations.
« Pas de cannelle »
Il y avait un début à tout, et lorsque tu vis – plus tard dans la soirée – de la chantilly sur les lèvres du Soldat de l’Hiver, tu pensas qu’après tout, l’enfant n’avait pas pu être sauvé mais que tu pouvais ramener l’homme à la vie.
images : Pinterest
bannières : @/strangergraphics, @/pommecita et @/thecutestgrotto
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Not this prudery, this cynical grief. Not these tiles, these chests, this revenge that is sweet. Not this plain ordinary power struggle. Just to find the best skeleton.
And not these bare bathhouses. Not these sanitised thoughts about the world, these comical steam-washed bodies expelled clean of lust and erotic confusion. Not this lack of soul and filth.
And above all, not these childish ideas of justice equality and free- dom, these logical chlorinated reservoirs where the revolution is a first-class corpse. But a corpse.
What about those who think it is summer… what about the revelation, this great ironic daylight… who love you because you break apart…
Winter—paranoia by Inger Christensen (Translated by Matthew Travers)
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Welcome to Winter at SCU! I tried to make sure I took screenshots of everyone, but I'm not 100% sure I actually accomplished it.
Starting off with the dorms, Chelsea Carpenter and James Carr-Travers really hit it off when she showed up as a new freshman in the Fall. Things could get interesting when Chelsea's boyfriend, Oscar Carr, starts his freshman term in Spring. The names aren't a coincidence. Oscar is James' uncle. Eep.
They're sweet together though, and this is what they want. Young sims in my game tend to play the field and I'm pretty sure Oscar has at least one other love interest himself.
Arnold London thinks they should get a room.
The lounge is a room, right?
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Rocamadour (2) by Pierre Comte
Via Flickr:
(1) La vallée de Rocamadour en hiver. The Rocamadour valley in winter. (2) La tour de l'horloge à travers les branches. The clock tower through the branches.
#valley#countryside#landscape#city overview#clock tower#historic buildings#france#occitanie#occitania
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Re-listening to Danse Macabre, an old fashioned waltz — bits and pieces from a good omens fan.
Et vive la mort et l’égalité!
My take: something has been lost when looking at this lovely tone poem if all we get is awfulness or despair. This dance is the embodiment of seizing the day (or night in this case) even past death.
First though, if you’re into this kind of thing, is some analysis of how it is constructed.
Everything is meant. “The piece begins with twelve repeated notes from the harp, signifying a clock striking midnight. The violin scratches out a series of imperfect fifths that do not resolve as they should in well-mannered tonal music. The devil is warming up to play a diabolical dance in a fast waltz time. The waltz had only lately become respectable.”
The original song-poem lyrics with English translation can be found here. More thoughts under the cut:
It’s hard to hope that links speak for themselves if someone is skimming a goofy post like this. The lyrics, then, French and English:
“Danse macabre
Zig et zig et zig, la mort cri en cadence
Frappant une tombe avec son talon,
La mort à minuit joue un air de danse,
Zig et zig et zag, sur son violon.
Le vent d’hiver souffle, et la nuit est sombre,
Des gémissements sortent des tilleuls;
Les squelettes blancs vont à travers l’ombre
Courant et sautant sous leurs grands linceuls,
Zig et zig et zig, chacun se trémousse,
On entend claquer les os des danseurs,
Un couple lascif s’asseoit sur la mousse
Comme pour goûter d’anciennes douceurs.
Zig et zig et zag, la mort continue
De racler sans fin son aigre instrument.
Un voile est tombé! La danseuse est nue!
Son danseur la serre amoureusement.
La dame est, dit-on, marquise ou baronne.
Et le vert galant un pauvre charron—
Horreur! Et voilà qu’elle s’abandonne
Comme si le rustre était un baron!
Zig et zig et zig, quelle sarabande!
Quels cercles de morts se donnant la main!
Zig et zig et zag, on voit dans la bande
Le roi gambader auprès du vilain!
Mais psit! tout à coup on quitte la ronde,
On se pousse, on fuit, le coq a chanté…
Oh! La belle nuit pour le pauvre monde!
Et vive la mort et l’égalité!
*
Tap, tap, tap—Death rhythmically (1997) English translation © Richard Stokes
Tap, tap, tap—Death rhythmically,
Taps a tomb with his heel,
Death at midnight plays a gigue,
Tap, tap, tap, on his violin.
The Winter wind blows, the night is dark,
The lime-trees groan aloud;
White skeletons flit across the gloom,
Running and leaping beneath their huge shrouds
Tap, tap, tap, everyone’s astir,
You hear the bones of the dancers knock,
A lustful couple sits down on the moss,
As if to savour past delights.
Tap, tap, tap, Death continues,
Endlessly scraping his shrill violin
A veil has slipped! The dancer’s naked!
Her partner clasps her amorously.
They say she’s a baroness or marchioness,
And the callow gallant a poor cartwright.
Good God! And now she’s giving herself,
As though the bumpkin were a baron!
Tap, tap, tap, what a saraband!
Circles of corpses all holding hands!
Tap, tap, tap, in the throng you can see
King and peasant dancing together!
But shh! Suddenly the dance is ended,
They jostle and take flight—the cock has crowed…
Ah! Nocturnal beauty shines on the poor!
And long live death and equality!”
Look, these words and the instrument choices speak of equality in the state of death. Possibly a bit the way Crowley would.
Death wasn’t and couldn’t be hidden politely during those days. The arts featured the dance of the dead, just as we still see Memento Mori in media today. The balance of return from oblivion to celebrate outside of hierarchies was not new. Even the dead could still seize the night. Joy does not die.
Remember Crowley saying that people will be equally dead whether they are killed by Heaven or Hell up in that graphic? If anything, this little note from the domesticated Bentley might be a little rebellion, if not overkill. Maybe it’s A Clue to Aziraphale that they might celebrate a little late if he insists on this trip while ignoring Crowley, just as the Bentley’s musical gift to Crowley of the Nightingale reprise in season two.
Look at what the lyrics said.
The dance was already a part of folk custom or lore, and the xylophone was a country instrument. Saint Saëns was well aware of this, and used both the barely acceptable waltz as the dance and coarse instrument of country-folk. This was done deliberately.
This conservative, restrained composer made choices throughout the work. A dance which had been scandalous not so long ago and an instrument ‘of the people’ so to speak. Composed to fit the exacting pattern of “the devil’s interval”which you can read about here, too (yes it can matter). I’m a geek for this kind of thing so here’s that link again.
The idea of the dance already existed, what he did was to elevate it to something so moving and strong that it endures today, despite its original reception by his contemporaries.
The message of the lyrics is lost in the final product, which is a pity for Good Omens fans, but the delight in the dance remains. There is a freedom, celebration and again, an equality among the freed dancers. (Crepes, anyone?) They take their joy where they can, even if the devil plays the tune.
Like Orff’s Carmina Burana, another work celebrating earthly delights and perils, (Ox rib anyone?) O Fortuna being the most recognizable of this work, Danse Macabre is often used to enhance or promote something only in fragments, very specifically omitting the resolved and therefore to me, ‘peaceful’ end to both works.
I seldom hear the resolution of the frantic dance in the promotion of a scary movie or even as used in Hush, an episode of Buffy (yes, the one with The Gentlemen, on one of the links). This does Danse Macabre a great disservice. The point and the peace are cut off abruptly, leaving the listener waiting for the music to knit itself up at dawn. For this listener, the omission is a constant irritant, but I am perhaps an odd duck. I do have ears though, and they know the difference between resolved and not.
It’s oddly like a cliffhanger, really, when only part of the work is played.
While some people say that this piece is “suffocating” or “overwhelming” I can only wonder at the variety of human experience. There is so much unencumbered joy in Danse Macabre, so much literal freedom of the souls to have this time to celebrate.
Young children are routinely introduced to classical music with this piece. If it were so utterly fearsome, it would be a poor choice indeed for such a task.
What it is, without a doubt, is a composition in old fashioned waltz time that goes far from the norm while following a form.
What else could the Bentley give Aziraphale but that truly intimate dance, a waltz, to the tune of equals and a taste of brimstone?
After all, he has standards.
#good omens#danse macabre#not really done#earthly delights#ox ribs#carpe diem#memento mori#i am not an expert#I just like stuff#image description on alt text#image description in alt#music in good omens 2
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🎀𝐹𝒾𝓇𝓈𝓉 𝒫𝒶𝑔𝑒🎀
Hello Dear! For my very first post i would like to define exactly what I will be posting and my rules.
🎀𝒩𝓊𝓂𝒷𝑒𝓇 𝒪𝓃𝑒🎀
I will be posting drabbles, scenarios, and reactions. Writing is mainly the point of this blog, but I’m definitely open to discussing topics like culture, politics, fashion, but not that often. I also will only post in English. It seems simpler to just post in one language, but you can request things and talk to me in another language, as long as it’s one I understand(see my bio). Also, because there is a pretty big chance of me posting nsfw content, I want NO MINORS to be interacting with NSFW content.
🎀𝒩𝓊𝓂𝒷𝑒𝓇 𝒯𝓌𝑜🎀
I will write about most genres and scenarios, but here are some I can definitely do:
Genres( like blank!character x reader, or character x reader{fluff}, or character reaction to blank)
~NSFW
~Smut(limited will be explained)
~Fluff
~Angst
~Crack(maybe)
~Yandere(limits will be explained)
~Tsundere
~Basically all the deres, lol
~ooh almost forgot, I will write for any gender and specified pronouns! If you have a specific way you want yourself to be referred to(like size, features, race, ethnicity, personality), make sure to include that!
Characters/People:
~SEVENTEEN(ot13)
~Twice
~Viviz
~Monsta x(ot 7, Wonho will always be apart of monsta x to me😭)
~IVE(no smut for minor members)
~NCT
~AOT(all characters)
~Kakegurui(no smut for minor characters)
~Haikyuu(no smut for minor characters)
~Madoka Magica(no smut for minor characters)
~Howl Pendragon
~No Face
~Barbie
~Ken
~Alan
~Literally any Ryan Gosling character
~Patrick Bateman
~Leon Kennedy
~Ada Wong
~Claire Redfield
~Chris Redfield
~Jill Valentine
~Ethan Winters
~Mia Winters
~The Baker family(minus evelyn)
~Lady Dimistrescu
~Bella, Cassandra, and Daniella
~Mother(mommy) Miranda
~Carl Heisenberg
~Ryu(street fighter)
~Ken(street fighter)
~Cammy
~Chun-li
~Vega
~Luke Sullivan
~Cody Travers
~Basically any SF character that isn’t a minor(it’s way to many to list💀)
~TF2
~Red Dead Redemption
~Horror Movie characters(I’ll look them up if idk, and see)
~XQC(he’s annoying as shit but he’s a cutie)
~Hasanabi
~Jerma985
~Ludwig Ahgren
~QTCinderella
~Joel
~Vinny
~Ster
🎀𝒩𝓊𝓂𝒷𝑒𝓇 𝒯𝒽𝓇𝑒𝑒🎀
Here’s some things I will NOT do:
~Rape(self explanatory)
~Nothing too freaky(peepee poopoo stuff💀, feet)
~Smutt or anything remotely sexual for a minor(character or real person)
~Su*cide(self explanatory)
~Overly descriptive gore(yes I will write about death, murder, and injury, but nothing over the top and super descriptive)
Hooray You made it to the end! I will be posting on my own accord, but feel free to request anything that’s on the list. I will try my best to get to any request, but I am a busy college student(yay psychology😒). I do apologize in advance for any bad grammar, English isn’t my first language but I think I do pretty well.
🎀𝒯𝒽𝒶𝓃𝓀𝓈 𝒟𝑒𝒶𝓇🎀
#first post#fanfic#aot x reader#yandere#xqc x reader#xqc#resident evil#jerma x reader#jerma985#ludwig ahgren x reader#ludwig ahgren#seventeen#seventeen x reader#yandere x reader#yandere seventeen#ive#ive x reader#viviz#nct x reader#monsta x#barbie x reader
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Romance A Day🌹
Gambler's Longshot, Winter Travers
#mybooks#booklr#bookblr#books#romance a day#romance books#winter travers#gambler's longshot#book nerd#may 2024
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Gorgo (1961) French Poster
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ENDLESS LOSS - Traversing the Mephitic Artery
Les Australiens ENDLESS LOSS découpent à la machette des titres black/death d’une bestialité sombre pour leur premier long format "Traversing the Mephitic Artery" en CD (digisleeve limité à 400 exemplaires numérotés à la main) et au format cassette le 25 mars 2024 via Nuclear Winter Records.
Né en 2015 dans la sombre friche industrielle d’Adélaïde, en Australie, le duo a sorti sa première cassette "Solitary Starless Beast" en 2016. Le groupe a enregistré les 9 titres de "Traversing the Mephitic Artery" dans les jours chaotiques qui ont précédé la tournée à travers l’Australie avec Charnel Altar, pour la tournée co-titrée Metaphysical Warfare au début de 2023.
Brutal, psychotiquement violent, ça frappe fort avec des cymbales qui claquent, des riffs empoisonnés et hypnotiques, une violence acharnée, 28 minutes d’effusion de sang dans la veine de Profanatica, Teitanblood, Triumvir Foul, Demoncy, Slayer.
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Introduction post !
You can call me Blockbuster!
Find me on Instagram: @ damnthatstygian
Or: @ goldenearringfans
I like music, anything spanning from the 50s to the 90s and I love exploring and finding new bands and music everyday.
I can't seem to keep an interest for longer than a week anymore, so my blog's all over the place.
🫶Rinus Gerritsen is the love of my life🫶
Bands I like include (but are not limited to):
Styx
The Sweet
Chicago
Toto
Grand Funk Railroad
Yes
Genesis
Rush
Deep Purple
Wings
Stories
Jethro Tull
Trúbrot
Big Star
Golden Earring
Camel
The Eagles
ELO
The Monkees
Buffalo Springfield
Uriah Heep
Foreigner
REO Speedwagon
T. Rex
Sparks
The Settlers
Tommy James & the Shondells
Ides of March
Doe Maar
Solo Artists I like:
Robin Trower
Billy Squier
Bob Seger
Steve Hackett
John Mellencamp
Billy Joel
Rod Stewart
Kenny Loggins
Ian Lloyd
Stevie Ray Vaughan
Edgar Winter
Eric Clapton
Boz Scaggs
Warren Zevon
Jimi Hendrix
Pat Travers
Eddie Money
Stevie Wonder
Joe Cocker
Boudewijn de Groot
Jan Rot
My favourite movies are:
Fast Times at Ridgemont High
Office Space
De Lift
Just one of the Guys
Clue
I'm open to any recommendations of any form of media, mainly music lol, and I love learning random facts about bands
Alright I'm not really sure what else to write lol so...
Signing off
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Psychoanalysis Sunday: Letters Home
Non-magical AU where Regulus is put in therapy with a psychoanalyst
Part 1 | Previous | Next
Regulus,
I assume that you have not perished while away at school. Even under the present administration, I would like to think that your father and I would be informed if such an incident had occurred. Nevertheless, it has been nearly a month since we have heard from you and I can think of no other reason why this might be the case.
If I do not hear from you soon, I will be forced to imagine the worst.
With affection,
Walburga Black
-
Dearest Mother,
I hope that my letter finds you and father in good health. I apologize for not writing sooner. I have been immensely busy with my studies. Of course, I am not nearly as behind as some of the students here. There is one unfortunate child in my year who appears to have received absolutely no instruction whatsoever before enrolling at Hogwarts. His parents work in a factory and his clothes all smell of soot.
I am quite glad of the head start from the tutoring you and father provided for us, but I nevertheless find myself quite busy. My professors know that I need a bit of a challenge and are happy to provide it for me.
I am greatly enjoying my time at Hogwarts, although I do miss home. I look forward to seeing you and the rest of the family when I return for winter break.
Your loving son,
Regulus Black
P.S. Evan would like me to ask if you could have Kreacher send us some jam tarts please.
-
Regulus,
Professor Slughorn has informed me that you have taken an interest in football. I do hope that that is not what has been pre-occupying your time, such that you cannot even write home to your family. Minding your studies is one thing, but frittering your time away engaged in foolish sport is quite another.
I suppose I can see if Kreacher has the time to spare. Does your friend not have his own family to provide him with sweets? I hope you have been making connections with other well-bred students as well. You should be branching out and making your mark at Hogwarts. Do not disappoint me.
Sincerely,
Walburga Black
-
Dear Mother,
Evan and I are most grateful for the care package Kreacher sent. I made sure to share a few with my new friends before Evan could devour them all. He certainly does have family of his own and they do provide him with sweets and food all the time, and he is always trying to break into the kitchens here as well. It is a wonder he is not ten times the size he is with how much he eats.
I can assure you that my interest in football is not taking away from my studies, nor will I allow it to interfere with my communication with my family. It does, however, provide me with a unique opportunity to make connections with other students here. I have become rather friendly with Oscar Fawley, who is on the varsity team. Hope Selwyn and Mitzy Travers are planning to try out for the girls' team next year and we practice together when we have time. Evan joins as well sometimes, but he is not a very good sport, and I think he upsets the girls.
I do hope that Slughorn has given you an otherwise good report on my progress at school. I would never wish to disappoint you.
With love,
Regulus Black
-
Regulus,
It is good to hear that you are building connections through athletic activity. I have tried to explain to your mother that it is important for young men to engage in team sports, but you know how she can be. She worries about you.
It is charitable of you to help your female classmates practice, but if you are planning to try out next year, I advise that you find yourself a proper challenge. Perhaps you can persuade the young Mr. Fawley to give you some pointers.
Signed: Orion
-
"See, I told you it won't do you any good to keep prancing about with the girls. Your father knows what he's talking about," Evan says.
Regulus turns and shoots him an annoyed look. "Will you stop reading over my shoulder?"
Evan shrugs. "No."
Regulus rolls his eyes. "Well, maybe if you could go for more than ten minutes without getting bored and chucking the ball at my head, I could practice with you instead."
"That is helping you practice! You ought to be thanking me instead of moaning with the girls about it."
Regulus sighs and pulls out a piece of stationary, twisting the tip of his pen in his fingers. Evan comes up behind him and yanks the pen out of his hands.
"Here," he says, "let me draft your response to your father."
Regulus raises his eyebrows. "Pardon?"
Evan grins. "No, listen. Your father will love it. Guaranteed."
Regulus does not for a second believe Evan's guarantee, but he does believe that whatever Evan thinks Regulus ought to say in his letter home will be amusing, so he lets Evan do it anyway. Evan reads the letter out loud to Regulus when he is finished and it is, predictably, the most absurd and inappropriate letter imaginable. Both boys are in a fit of giggles by the end of it and Regulus completely forgets to write an actual response to his father.
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Note
Coucou :)
A mon tour haha,
🧾What is the most memorable book ending you’ve ever read? Did it leave you satisfied or wanting more ?
📔Do you have any bookish rituals or habits that you follow before, during, or after reading a book ?
Bonne soirée à toi :)
Salut et merci pour tes questions :D
🧾What is the most memorable book ending you’ve ever read? Did it leave you satisfied or wanting more ?
Alors, beaucoup de fins m'ont plu ou marquée, en voici quelques unes !
La fin de Anne de Redmond de Lucy Maude Montgomery, que je trouve vraiment douce et adorable :
Gilbert l'attira contre lui et l'embrassa. Puis, ils prirent le chemin du retour au crépuscule, roi et reine couronnés dans le royaume nuptial de l'amour, le long des chemins sinueux frangés des plus jolies fleurs qui aient jamais éclos, et à travers des prairies hantées du souffle des vents de l'espoir et du souvenir.
J'avais aussi beaucoup aimé la fin de The winter witch de Paula Brackston (typiquement une lecture doudou pour moi). L'héroïne ne parle pas pendant tout le récit et trouve la force de le faire juste à la fin pour répondre à son mari qui lui dit qu'il l'aime et parce qu'elle se sent en confiance.
Du coup, les deux étaient très satisfaisantes haha.
📔Do you have any bookish rituals or habits that you follow before, during, or after reading a book ?
Tout tourne beaucoup autour de Goodreads. Quand un livre m'intéresse, je l'ajoute dessus pour m'en souvenir. Ensuite, pendant que je lis, je me mets dans un endroit confortable, de préférence à côté de mon chat. Une fois que j'ai terminé, je note le livre sur Goodreads pour garder une trace de ma lecture.
Bonne journée à toi !
Bookish asks
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