#vive la vie
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flowery-laser-blasts · 25 days ago
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It’s so fine in the fall, when the wind starts a-whistling~
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Disney Parade's 'Vive la Vie!' has been stuck in my head for 6 days straight and I can't think of anything else. I love how adorable the outfits are for the dancers! The farmer and ghost couples are my favourite <3 <3 <3
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Here is my sketch process. I really love how these sketches turned out. :)
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sobillyboy · 6 months ago
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Je ne me suis jamais sentie aussi entourée, appréciée et aimée que depuis qu'on a déménagé à Grenoble. Je me suis très longtemps sentie extrêmement seule, et depuis deux ans ce n'est plus du tout le cas. Ça fait tellement du bien et je vous le souhaite à tous et à toutes.
Un copain de Grenoble m'a écrit un petit mot pour mon anniversaire et en blague il m'a dit "Vous venez d'avoir 30 ans et je tenais à vous féliciter d'être arrivée jusque là" et bon dieu ça m'a fait pleurer, parce que sans le savoir (il ne connait pas du tout mon passé dépressif), il a touché une corde méga sensible parce que bon dieu que je suis fière d'être arrivée jusque là et d'avoir tenu le coup.
J'ai jamais été autant excitée par le futur, j'ai hâte de voir ce qui m'attend ! Encore des milliers d'aventures avec mon amoureux j'espère.
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justafterawintermorning · 1 year ago
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Chaque jour avec toi est un petit voyage. Un voyage qui commence en tendresse, qui se poursuit par différentes aventures, chaque jour renouvelées... toujours pleine de complicité, de Nous, d'un Amour tellement fort...
Et puis il y a les autres voyages...ceux qui nécessitent un peu d'organisation, quelques valises bien remplies...sans oublier les pelles et les râteaux, notre grain de folie, lui il nous suit partout, pas de risque de l'oublier.
Alors si, bien sûr que si "0n part en voyage" au bout de la rue, au bout du monde...peu importe la destination, tant que l'on est tous les deux.
Alors oui...Vive la vie!...avec Toi!
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q-anth4rax · 9 months ago
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dedz
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leleaulait · 5 months ago
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Parfois je me rend compte que j'habite dans une des régions les plus riche de France quand je me rappelle que mes voisins au dessus on acheter leur baraque au millions, qu'ils ont acheté une tesla et se font amener en taxi, pendant que nous on vie en caravane avec 1 seul loyer et que j'ai même pas de quoi payer le permis ni même le code😗.
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je-suis-ronflex · 1 year ago
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Je dois appeler mon nouveau dentiste pour qu'on se mette d'accord sur comment il veut qu'on s'organise pour la reprise de soins (parce que je change de dentiste) sauf que je suis en train de préparer en avance tout ce que je vais dire, et si le secrétariat ne coopère pas et me pose des questions pas prévues ça va me saouler et je suis capable de pleurer mdr jpp de ma vie
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cithaerons · 2 years ago
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still thinking about that time my sister thought my t-shirt with a faded french flag on it said vive la france……
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leschosesetlesfantomes · 2 months ago
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Clôture
Je fais peu à peu le deuil de la vie que j’ai essayé de vivre. Je croyais qu’il était possible de sortir de soi-même pour devenir une autre, je croyais que mille autres filles étaient cachées sous ma peau, et que je pouvais les incarner une à une. J’ai la capacité de me dissocier très fortement de mes émotions et de mes désirs propres, ce qui a rendu cette errance identitaire plus facile que si j’étais stable et ancrée.
Je voulais rejoindre l’agitation du monde. Avoir beaucoup d’amis, être socialement acceptée, suivre les tendances et la mode, sortir, boire, aller à des concerts. Les concerts ont toujours été difficiles : les sons longs et prolongés me font peur, j’ai peur de perdre l’audition. Je tentais de me convaincre que c’était irrationnel. En mars, j’ai eu un mini trauma sonore et je n’ai pas pu ignorer plus longtemps le fait que mes sensations étaient valides. Je dissociais de plus en plus. Je ne voulais pas écouter mon corps, mon intuition, mon anxiété. À trop l’ignorer, l'anxiété sociale est devenue prépondérante et marcher dans la rue devenait impossible.
Je suis passée à mi-temps au travail et depuis je vais un peu mieux. Ce changement de rythme m’a permis de réaliser que je suis fondamentalement lente, et très sensible à tout changement de rythme. Je ne pense pas vivre sur la même temporalité que les autres. J’ai besoin de plages de temps extrêmement longues où « je ne fais rien » - c’est ce que je dis aux autres. Mais en réalité, je contemple, je réfléchis, je poétise et j’imagine. C’est le temps qu’il me faut pour me recharger. Je déteste que l’on me presse. Je déteste faire vite. Ça me rend très en colère. Je déteste la colère.
Je fais marche arrière. Je suis très triste. J’ai testé la vie des autres et je n’y arrive pas. Travailler à temps plein, sortir, vivre vite, le bruit, la foule : je n’y arrive pas. C’était intense, c’était fort, c’était drôle, c’était beau, c’était une illusion. J’ai repris mes livres. J’ai recommencé à écrire. J'ai abandonné instagram. Je continue la randonnée, et même ça, je le fais plus lentement : je regarde les plantes, je note, je prends des photos. Je fais tout plus lentement. Je fais tout à mon rythme. Et c’est mieux. La colère n’a pas disparu. Je crois qu’elle ne disparaîtra plus jamais. Elle restera là en souvenir de ces 5 ans passés à tricher, à croire que j’étais une autre personne. J’étais une adolescente qui ne s’énervait jamais, qui ne détestait jamais personne. Je suis une adulte qui a du mal à gérer sa colère et ne supporte plus les gens dans le bus. Mais je vais déjà mieux. Je suis sereine et je prie. Dimanche dernier, j’ai marché seize kilomètres pour aller à la messe dans mon lieu préféré, alors que je n’avais pas communié depuis dix ans, et il s’est passé une chose magnifique. Je ne crois pas que je l’écrirai ici. C’est une histoire de foi et les histoires de foi sont très intimes.
Je ne sais pas encore précisément quelle direction prendront ces prochains mois. J’ai très peur de redevenir triste. J’ai entendu une émission l’autre jour à la radio où un psychiatre disait qu’autrefois, quand il y avait des dépressions saisonnières, on envoyait les femmes, c’étaient souvent des femmes, faire des cures à la mer. On les autorisait à mettre leur vie sur pause et à se reconnecter à la nature. J’aimerais avoir ce temps. C’est pareil pour les cycles, je rêverais d’une société qui autorise les congés menstruels. Bref. Je crois que même si je suis lente par rapport aux autres, la société va beaucoup trop vite, pour tout le monde, et qu’on a perdu le lien à son corps et à la nature, et que ça amplifie tout symptôme. Les femmes dépressives qui partaient faire des cures à la mer ne revenaient pas guéries de leurs dépressions : mais au moins, elles avaient le temps d’accueillir la maladie, le temps de composer avec. Je voudrais le temps de pouvoir composer avec mes dépressions. Je ne voudrais plus avoir à me forcer à être vive, belle, douce ou bienveillante, quand je voudrais seulement m’enfouir six pieds sous terre. Je voudrais avoir le temps d'accueillir ma tristesse.
J’irai à mon rythme. Cette décision me rend nostalgique. Ce que j’ai vécu, je ne le vivrai probablement plus jamais. C’était beau, mais c’était mauvais. C’était comme nourrir le chien avec les aliments du chat : le chien adore, mais à long terme, sa santé se dégrade. Ce n’est pas la plus belle des comparaisons. Mais voilà. Je ne peux plus me nourrir du bruit, ni de la foule, ni de la course à la réussite. J’ai besoin de me nourrir du ciel, des arbres et de la poésie. J'irai à mon rythme. Cette décision me rend nostalgique, mais d'une nostalgie qui se rapproche de la résignation. Je sais intimement que c'est la bonne décision.
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au-jardin-de-mon-coeur · 4 months ago
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Femme du monde...femme africaine...
La beauté de la femme africaine est une beauté qui transcende les frontières et les cultures. Elle est universelle et intemporelle. Elle est une inspiration pour les artistes, les poètes, les musiciens et les écrivains du monde entier, qui ont cherché à capturer sa grâce et son charme depuis des siècles.
En fin de compte, la beauté de la femme africaine est une beauté qui doit être célébrée, honorée et respectée. Elle est une force vive et inspirante dans le monde, une incarnation de la vie, de l'amour et de la dignité humaine. Que nous soyons africains ou non, nous pouvons tous être inspirés par la beauté de la femme africaine et apprendre de sa force et de sa grâce.
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coovieilledentelle · 7 months ago
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J'ai soif de gens vivants, de gens simples et aimants. J'ai soif de gens amoureux, doux, tendres. J'ai soif de gens qui ne jugent pas, qui aident et qui évoluent. J'ai soif de gens qui pardonnent et qui rient. J'ai soif de gens authentiques et qui s'en fichent du paraître. J'ai soif d'esprits attentifs et profonds. J'ai soif de gens qui s'aiment vraiment. J'ai soif de rencontres folles et de gens qui s'amusent.
STOP aux habitudes qui n'ont aucun sens et des passés révolus qui nous tirent vers le bas. STOP aux voix trop fortes et trop sérieuses. STOP aux esprits malins et voraces. STOP aux gens qui font mal parce qu'ils ont mal.
Je dis oui à l'amour, à la joie. Je veux rencontrer des âmes sensibles au cœur tendre et des gens qui ont les yeux qui brillent. Je veux rencontrer des enfants et des grands enfants qui voient la vie en couleurs.
Vive les coeurs et les âmes. Vive la sensibilité et la gentillesse. Vive l'imperfection. Vive la folie ! Vive l'Amour.
Jenny Trolliet, Aux Anges
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coolvieilledentelle · 10 months ago
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Les gens heureux ne sont pas ceux qui ont été les plus épargnés par la vie. Ce sont ceux qui ont su en tirer une force vive pour rebondir.
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sabinerondissime · 24 days ago
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La solitude en ville n'est pas la même qu'à la campagne. Certains diront qu'en ville, il y a plus d'activités à faire. Pourtant, accomplir ces choses seul, au milieu de la foule, ne fait souvent qu'accentuer le sentiment de solitude. À la campagne, on peut passer des jours sans croiser âme qui vive. La solitude y devient une compagne bienveillante, nous permettant de savourer le calme, les bruits de la nature, le rythme des saisons. Seul avec ce moi que l'on oublie trop souvent en ville, on se redécouvre, on s'apprécie, et on retrouve le goût de la vie.
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aurevoirmonty · 2 months ago
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« La philosophie nous enseigne à agir, non à parler ; elle exige de chaque homme qu'il vive selon ses propres principes, que sa vie soit en harmonie avec ses paroles, et, de plus, que sa vie intérieure soit d'une seule teinte et ne soit pas en désaccord avec toutes ses activités. Ceci, je le dis, est le devoir le plus élevé et la preuve la plus haute de sagesse, — que l'acte et la parole soient en accord, qu'un homme soit égal à lui-même en toutes circonstances, et toujours le même. … Tu devrais t'en tenir, une fois pour toutes, à une seule règle de vie, et régler toute ton existence selon cette règle. Certains hommes se limitent chez eux, mais paradent avec une fierté enflée devant le public ; une telle discordance est un défaut, et elle indique un esprit hésitant qui ne peut encore garder son équilibre. »
Sénèque, Lettres 20
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je-suis-ronflex · 1 year ago
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J'ai un numéro inconnu qui m'a appelé et j'ai pas répondu en mode "c'est de la pub" et là c'est pas que je reçois une notification de message vocal et il s'agissait bien d'un démarchage qui m'a laissé un message DE 4 MINUTES et je me dis "wtf" et sauf qu'ils avaient mal raccroché leur téléphone du coup j'ai toute la conversation d'un démarcheur avec un client qui s'est fait refusé une assurance pour sa voiture mdr
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ombre-originelle · 20 days ago
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Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix Et quand il croit serrer son bonheur il le broie Sa vie est un étrange et douloureux divorce Il n'y a pas d'amour heureux Sa vie Elle ressemble à ces soldats sans armes Qu'on avait habillés pour un autre destin À quoi peut leur servir de se lever matin Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes Il n'y a pas d'amour heureux Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent Il n'y a pas d'amour heureux Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare Il n'y a pas d'amour heureux Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur Il n'y a pas d'amour dont on ne soit meurtri Il n'y a pas d'amour dont on ne soit flétri Et pas plus que de toi l'amour de la patrie Il n'y a pas d'amour qui ne vive de pleurs Il n'y a pas d'amour heureux Mais c'est notre amour à tous les deux
Louis Aragon. Il n'y a pas d'amour heureux
Image : Giulio Aristide Sartorio - La sirène (1893)
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microcosme11 · 1 year ago
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This is only part of a love letter Napoleon wrote
Je ne sais pas quel sort m’attend ; mais s’il m’éloigne plus longtemps de toi, il me [devient] insupportable ; mon courage ne va pas jusque-là. Il fut un temps où je m’enorgueillissais de mon courage, et quelquefois, en jetant les yeux sur le mal que pourraient me faire les hommes, sur le sort que pourrait me réserver le destin, je fixais les malheurs les plus inouïs sans froncer le sourcil, sans me sentir étonné. Mais aujourd��hui, l’idée que ma Joséphine pourrait être mal, l’idée qu’elle pourrait être malade, et surtout la cruelle, la funeste pensée qu’elle pourrait m’aimer moins, flétrit mon âme, arrête mon sang, me rend triste, abattu, ne me laisse pas même le courage de la fureur et du désespoir… Je me disais souvent jadis : les hommes ne peuvent rien à celui qui meurt sans regret ; mais aujourd’hui, mourir sans être aimé de toi, mourir sans cette certitude, c’est le tourment de l’enfer, c’est l’image vive et frappante de l’anéantissement absolu. Il me semble que je me sens étouffer. Mon unique compagne, toi que le sort a destinée pour faire avec moi le voyage pénible de la vie, le jour où je n’aurai plus ton cœur sera celui où la nature aride sera pour moi sans chaleur et sans végétation… Je m’arrête, ma douce amie ; mon âme est triste, mon corps est fatigué, mon esprit est étourdi. Les hommes m’ennuient. Je devrais bien les détester : ils m’éloignent de mon cœur.
Je suis à Port-Maurice, près Oneille ; demain, je suis à Albenga. Les deux armées se remuent ; nous cherchons à nous tromper. Au plus habile la victoire. Je suis assez content de Beaulieu ; s’il manœuvre bien, il est plus fort que son prédécesseur. Je le battrai, j’espère, de la belle manière. Sois sans inquiétude, aime-moi comme tes yeux ; mais ce n’est pas assez : comme toi ; plus que toi, que ta pensée, ton esprit, ta vie, ton tout. Douce amie, pardonne-moi, je délire ; la nature est faible pour qui sent vivement, pour celui que tu animes. [...]
Adieu, adieu, je me couche sans toi, je dormirai sans toi, je t’en prie, laisse-moi dormir. Voilà plusieurs jours où je te serre dans mes bras, songe heureux mais, mais, ce n’est pas toi…
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I don’t know what fate awaits me; but if it keeps me away from you any longer, it [becomes] unbearable to me; my courage only goes so far. There was a time when I prided myself on my courage, and sometimes, casting my eyes on the harm that men could do to me, on the fate that destiny could have in store for me, I stared at the most incredible misfortunes without frowning, without feeling surprised. But today, the idea that my Joséphine could be unwell, the idea that she could be ill, and above all the cruel, fatal thought that she could love me less, withers my soul, stops my blood, makes me sad, dejected, does not even leave me with the courage of fury and despair… I often used to say to myself: men can do nothing to those who die without regret; but today, to die without being loved by you, to die without this certainty, is the torment of hell, it is the vivid and striking image of absolute annihilation. I seem to be suffocating. My only companion, you whom fate has destined to make with me the painful journey of life, the day when I will no longer have your heart will be the day when arid nature will be for me without heat and without vegetation… I stop, my sweet friend; my soul is sad, my body is tired, my mind is dizzy. Men bore me. I should hate them: they take me away from my heart.
I am in Port-Maurice, near Oneille; tomorrow I'm in Albenga. The two armies move; we seek to deceive each other. The most skilful wins. I am quite happy with Beaulieu; if he maneuvers well, he is stronger than his predecessor. I will beat him, I hope, in a good way. Don't worry, love me like your eyes; but that’s not enough: like you; more than you, than your thought, your spirit, your life, your everything. Sweet friend, forgive me, I am delirious; nature is weak for those who feel keenly, for those whom you animate. [...]
Goodbye, goodbye, I'm going to bed without you, I'll sleep without you, please let me sleep. It's been several days since I held you in my arms, happy dream but, but, it's not you…
link to the entire letter on napoleonica
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