#vincent maille
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Vincent Maillé’s illustrations for Maurice LeBlanc’s Arsène Lupin, Gentleman-Thief.
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On April 30th 1940 The Free French Destroyer, Maillr Breze exploded and sank off Greenock.
Maillr Breze was one of four French vessels mentioned in dispatches for the brave and skilful performance of her crew in attempting to prevent the fall of Norway eight months into the war. However, after surviving hostile waters, the Maille Breeze met a violent end in the friendly and peaceful waters of the Clyde.
Anchored just off Albert Harbour in Greenock for maintenance, the destroyer was rocked by an explosion after a torpedo being worked on by a sailor was fired inwards and downwards through the ship.
Despite efforts to save those below deck, the fire from the initial explosion took hold of the vessel, with 21 sailors trapped below lost. A further seven died in the explosion.
Local rumours flew of potential spies scuttling the ship. Others believe it could have been a cynical destruction of a vessel on the assumption the ship would have joined the Vichy fleet, which adopted a policy of collaboration with the Nazis.
Following the sinking, the remaining munitions were removed, including a number of depth charges, but the stricken vessel remained in the Clyde for the rest of the war.
A total of 21 members of crew were removed when the boat was taken ashore in August 1954, with full Naval Honours and Requiem Mass being held in Greenock, before all the remains were returned to France for burial.
There is a common misconception in the town the memorial that sits looking down from Greenock’s Lyle Hill is to those that perished in the Maillie Breeze, but there is no mention of the destroyer on the monument.
The monument is, in fact, to those in the Free French Navy, established shortly after the sinking of the Maille Breeze.
Explaining the reason for the memorial not commemorating the Maille Breze, historian Vincent Gillen said: “The cross was put up to memorialise the corvettes that were lost and the submarine Surcouf that was lost early in the war.
“It’s a deeply French thing or a political statement that it was Free French only they were going to commemorate, even though the Maille Breze was two months before they arrived in town. It just wasn’t considered part of their cause.”
Explaining why, despite never being for those lost in the Maille Breze, the ship is still associated by locals with the memorial, Mr Gillen said: “It’s in the popular culture of the town. People have memories of this ship blowing up off the Clyde. People thought the Maille Breze was a Free French ship, but it was actually a French navy ship.
“There is an incredible pride in the Free French.
“They have a supreme pride in what they did and what they did against Hitler, so I think they’re unwilling to associate the Maille Breze with it because the crew were interned and then had the choice of going home, or staying, and many of the Maille Breze crew may have gone home and lived in occupied France.”
Despite this, townsfolk still remember those aboard the Maille Breze who sacrificed everything in the fight for freedom when they look at the Free French monument, ensuring that 82 years on, those who perished on April 30, 1940 are not forgotten.
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Moulin Neuf - Tricot de la Tour
La première fois que l’on a entendu parler de Moulin Neuf, c’était il y a maintenant il a 9 ans, sur le e-commerce la belle échoppe lancé en 2011 par les deux fondateurs du blog Redingote en collaboration avec Frenchtrotters.
HISTOIRE ET FABRICATION
Moulin neuf est une des marques avec Loulou Marmot de l’entreprise textile Tricot de la Tour, créée en 1948 et basée à La Tour-Blanche-Cercles (anciennement à Saint-Antoine-Cumond). L’entreprise va compter jusqu’à 200 salariés au plus fort de sa gloire ainsi que 50 métiers à tricoter circulaires. Dans les années 2000 il n’y a plus que 60 salariés. Ce chiffre diminuera encore jusqu’à la faillite en 2009. L’entreprise est rachetée par Franck Sordat, ancien consultant en informatique, en 2010. Le redémarrage fonctionne. Les anciens salariés sont réembauchés, l’entreprise travaille notamment pour des clients tel que le Slip français. En 2018, Moulin Neuf rencontre des difficultés et est liquidée. Elle réouvre cependant à La Tour-Blanche-Cercles, située à quelques minutes de son ancien emplacement. Les machines à tricoter sont récupérées, l’activité peut recommencer. Les vêtements des deux marques en propre de Tricot de la Tour sont à 100 % produits en France. Hormis le fil qui provient dans certain cas d’Italie ou d’autres pays européens, toutes les opérations de production sont réalisées en France. Du tricotage de la matière jusqu’à la confection en passant par les étapes de coupes, de stabilisation de la matière voire de teinture.
COLLECTIONS
Tricot de la tour est spécialisée dans la production de jersey en coton. Cela va des côtes unies 1x1, côtes 2x2, aux mailles ajourées, aux doubles faces coton-laine ou encore aux tricots Interlock. L’atelier fabrique également des sweatshirt en molleton. Selon les modèles il est même possible de choisir le poids du tricot souhaité. Nouveauté 2021, Tricot de la Tour amorce sa transition écologique en développant une offre 100% coton bio et 100% chanvre. C’est d’ailleurs l’une des seules entreprises européennes à savoir tricoter à partir d’un fil en 100% chanvre. Pour aider à financer cette transition écologique qui comprend la construction d'une extension de 600 m² exclusivement réservée au tricotage du chanvre et du lin, ainsi que l'achat de métiers dédiés au tricotage ces seules fibres, Tricot de la Tour propose via sa marque Moulin Neuf des packs entre 90 et 160 euros qui comprennent un t-shirt et sweatshirt en coton bio ou en chanvre.
Plus d’informations Tricotdelatour.com
Ci-dessous les t-shirts épais en tricot interlock.
Nouveaux défis :
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Asus teknik servis allah senin binbir çeşit belanı versin kardeşim o bilgisayar vaktinde gelmesin, ömrümüm sonuna kadar bedduacınız olacağıma ant içiyorum. Verdikleri bilgi benim sistemleri üzerinden gördüğüm şeyden fazla değil, işin garip yani teknik servisle sadece maille iletişim kuruyoruz diyo skfkkwkcs ve o teknik servisten güvercinle cevap gelse daha hızlı gelir...
Şu bi ayda yaşadığım sıkıntıyı İtalya’da tek başıma bi odanın içinde yaşarken yaşamadım. Kahrolsun işini düzgün yapmayan kurumlar yani neredeyse Türkiye’deki her kurum...
Son çare olarak yaptığım şeyi söylemeye utanıyorum ama söyleyeceğim skfkw çünkü burası benim zihinsel çöplüğüm gibi bi şey ve ben yine yine yeniden batsın bu dünya modundayım.
Asusun General Counsel olan Vincent Hong'a bile mail attım. (Kafamı magmaya kadar sokma emojisi lazım buraya) Evet gerçeküstü ve dünyanın en saçma davranışı belki ama ben son çare ne kaybederim ki en kötü ihtimal benle dalga geçer ve cevap vermeden geçer dostilerine anlatır geçen gerz bi Türk mail attı Asus tr teknik servisi şikayet ediyo skgkekvksk diye
Şimdi belki siz içinizden şey diyeceksiniz ee papanlar kargolasın kızım arkandan diye skfkwk o ihtimali de araştırdım düzgün bi şekilde gelmesi için bi bilgisayar parasını gözden çıkarmam gerek upsyi bi aradım ne dedi biliyor musunuz fiyat olarak 700 döllar skfkek dolar olamaz çünkü o normal dolar değildir. Elim ayağım titredi zaten yurtiçi sigortasız yolluyoz dedi allaha emanet gider yani bize güvenme kardeşim dedi fiyat bile almadım onlardan...
Bana İtalya'dan alabileceğim uygun notebook önermek isteyen olursa Adana'da Merkez caminin önünde dilenirken bulabilirsiniz. Şaka şaka ama önermek isteyen olursa bakarım, spss matlab falan kullanıyorum bunları kaldırabilecek bir şey olmalı. Hayır onu alacak param da yok şu an ama, napacağım bilmiyorum. Ağlamak bağırmak geliyor içimden onu da yapamıyorum.
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télétravail à st-job
Aujourd’hui je suis allée marcher à St Job avec Vincent. C’est très joli St Job et c’est pas très loin. Il faut se dire: on est à Uccle. On peut prendre le tram 92 et s’arrêter à Fort-Jaco. A Fort-Jaco il faut traverser le petit pont au-dessus des rails puis prendre à gauche. Juste après le pont il y avait trois hommes en costume qui parlaient et j’ai écouté vaguement et ils parlaient de où aller manger le soir-même puisque tous les restaurants étaient fermés. En effet on est arrivés sur la place principale un peu plus bas et tout était fermé. On a un peu rigolé en s’adressant aux affiches qui promettaient des spectacles à venir, on les pointait du doigt en disant: Annulé! Annulé ! Annulé! Et ça devenait une sorte de petite chanson et ça nous faisait rire même si on savait pas totalement pourquoi et on était pas totalement sûrs que ça soit si drôle.
On est remontés sur la droite de la place à travers une petite rue très mignonne. Une ambiance de village qui semblait loin de bruxelles. Des toutes petites maisons dans des toutes petites rues, ça donne des toutes petites places de parking alors ça veut dire des toutes petites voitures. La plupart c’était des mini, genre mini-cooper de luxe, qui rentraient tout juste devant la maison. Il faut se dire : On est à Uccle. On est arrivés près d’un centre de jeunes qui s’appelait L’ANTI-RIDES où un petit groupe de gens faisaient griller des saucisses, moyenne d’âge plutôt la soixantaine donc on s’est dit, bon bah c’est pas les gens de l’ANTI-RIDES. On a pris un petit chemin caché derrière le centre et on est arrivé sur le plateau Avijl. Vincent connaissait bien l’endroit parce qu’il est déjà venu plusieurs fois y dormir pendant la wildlife bxl, il m’a montré un coin au milieu des potagers collectifs où ils avaient dormi et où des drogués les avaient retrouvé le matin. Apparemment les gens du potager étaient pas contents parce que les drogués avaient cassé une table alors vincent avait réparé la table, il m’a montré la table, qui avait été réparée avec des clous dorés. On a circulé au milieu des potagers en longeant un petit chemin, c’était assez étendu et il y avait des potagers un peu sérieux et d’autres qui avaient l’air plus anarchiques. Genre certains avec des nains de jardins et des petites installations et d’autres juste des légumes. Vincent m’a dit qu’il y avait des terres pour les habitants et des terres pour les squatteurs, c’était un mix. On est arrivés aux abords d’un grand champs. Des femmes nous ont dépassé et elles parlaient du coronavirus. Enfin, je m’en suis doutée parce qu’elles disaient « télétravail ». On a répété plusieurs fois le mot télétravail en se disant c’est bizarre ce mot quand même. Après on en a parlé un peu mais pas tant. Mais moi j’ai continué à me répéter le mot à plusieurs reprises dans ma tête pendant l’après-midi, et je me disais wa il est dingue ce mot quand même, télé-travail, il contient tellement TOUTE L’ALIENATION DU MONDE. Ensuite on a vu des animaux, une ferme, des moutons, on a continué, on s’est assis sur un banc et j’ai retiré mes chaussettes en laine tricotées par ma copine Yvonne au motif de l’union st gilloise parce qu’elles me tenaient trop chaud et là vincent a bu dans ma bouteille d’eau et j’ai presque crié. Vincent il croit pas au corona. Il pense que ça existe même pas, tant qu’il l’aura pas vu de ses yeux vu. Samedi soir mon ami Maxime disait quasi la meme chose. Ça m’a un peu énervé sur le coup, mais là j’ai essayé de comprendre. Vincent disait qu’il lit pas les médias et qu’il peut pas les croire. Pourquoi il croirait les médias? Et qu’il voit pas en quoi un état peut interdire à des gens de sortir de chez eux ou instaurer un couvre-feu pour une grippe. Moi je disais : nan mais y’a deux choses, y’a les faits et y’a les dérives, y’a la dérive sécuritaire qui existe par ailleurs, mais les faits, ils sont là. Vincent disait : interdire des gens de sortir de chez eux, c’est du fascisme, c’est tout. (Il faisait référence au fait qu’en Espagne ils ont mis des militaires dans la rue pour empêcher les gens de sortir de chez eux). Après on a changé de sujet parce que j’avais peur qu’on se fâche et les derniers jours j’ai commencé à me fâcher avec des amis lors de discussions sur le corona et ça m’attriste, ce truc péremptoire qu’on peut avoir quand il s’agit de sujets comme ça, très sérieux, et j’aurais envie dans ces cas-là qu’on sache mieux rire, ou en tout cas être en distance, mieux voir l’absurdité des situations aussi, pas juste leur rigidité. Alors on a changé pour parler de relations amoureuses parce que j’avais Roland Barthes dans mon sac (fragments d’un discours amoureux) et j’ai lu un extrait sur la jalousie. Ça disait : Comme jaloux je souffre quatre fois : d'être exclu, d'être agressif, d'être fou et d'être commun. Vincent et moi on était d’accord de dire qu’on était pas des jaloux. Moi j’ai dit « c’est pas jalousie, c’est un autre mot, c’est d’autres choses que je peux ressentir, mais c’est pas jalousie, j’aime pas ce mot, il est trompeur ». j’ai expliqué que parfois je me mets toute seule dans l’embarras en prétendant que je n’ai peur de rien et que je suis prête à tout alors que ça n’est pas vrai. On a un peu reparlé de quand on avait été ensemble il y a 10 ans. J’ai dit « tu vois, je m’étais mise dans l’embarras, j’aurais du réussir à mieux dire, j’ai fait la fière, parce que je voulais pas casser quelque chose qui existait. ». Vincent a dit qu’il allait animer une conversation à l’Approche, un squat à bruxelles, ce sera la troisième discussion qu’ils organisent où ils discutent du sentiment amoureux en groupe de parole. Apparemment pour la prochaine ils voulaient parler de la thématique de la jalousie mais Vincent préférerait que ça soit le confort. Et puis après je ne sais plus, on a fait des blagues et on a mangé un fruit, chacun son fruit.
On est repartis, on a cherché la forêt mais on était du mauvais côté, on s’est retrouvés dans un bois et des champs, c’était beau, on a continué à marcher en parlant de l’habitat, où habiter, on se faisait le constat qu’on était tout coincés dans nos appartements et que le confinement du corona nous faisait flipper pour ça, cette image là, précisément, d’être chez soi tout seul, toute seule pendant des semaines, c’était quand même une vision d’horreur. Qu’on aurait bien fuit à la campagne mais où? Et comment on fait avec nos enfants quand les parents sont séparés ? Et s’ils ferment les frontières ? On est arrivés devant une maison soit en travaux soit à l’abandon. Une belle maison, des volets bleus. C’était dur de savoir si des gens y vivaient vraiment. Vincent a pris une enveloppe publicitaire dans la boite aux lettres pour garder le nom des habitants. En ce moment, avec « ses » étudiants en archi à St Luc ils répertorient les lieux vides et inoccupés à Bruxelles, en se promenant dans les rues et en faisant des recherches sur les bâtiments. Ils organisent une permanence trois fois par semaine pour partager ce qu’ils ont trouvé avec ceux et celles intéressées.
On a cherché à inventer un mot qui pourrait remplacer l’expression « ça dépendra de ce qui se passe avec le corona » mais on a pas trouvé.
Après on a parlé du travail, du guichet que je veux fabriquer et que peut-être je lui demanderais de l’aide, de comment on allait faire financièrement avec les trucs qui s’annulaient les prochains mois et des peurs qu’on avait mais aussi des fantasmes et des trucs souterrains qui allaient surgir dans tout ça. Puis on est repartis prendre le tram pour rentrer, il allait bientôt faire nuit. On a refait le truc de chanter « annulé, annulé, annulé! » à l’arrêt de tram aux affiches environnantes.
En descendant du tram il a voulu me faire la bise et ça l’a fait râler que je refuse et même que je sursaute mais après il rigolait de derrière la fenêtre du tram. Dans le tram il y avait peu de gens et ils baissaient tous la tête vers le sol. Je suis descendue à Ma Campagne. J’ai pensé aux noms des endroits : St Job, Ma Campagne. Je suis rentrée en vélo chez moi et je me suis dit que ça allait être une drôle de nouvelle vie qui semblait commencer, sans être bien sûre de ce que ça voulait dire et si c’était vraiment vrai. Je sentais bien qu’au fond j’étais mélangée entre la peur et l’excitation.
premium mini maill
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New top story from Time: The Pandemic Closed Art Galleries’ Doors. But Who Said a Gallery Needs Four Walls and a Ceiling?
The traditional art gallery—the sterile, windowless viewing room aptly labeled the “white cube” by artist and critic Brian O’Doherty in 1976—has dominated the art world for decades as the primary way to display works. The white cube, which has been compared to an operating room as well as a burial vault, has been championed as a way to maintain neutrality while viewing artworks. “The outside world must not come in, so windows are usually sealed off. Walls are painted white. The ceiling becomes the source of light. The wooden floor is polished so that you click along clinically, or carpeted so that you pad soundlessly, resting the feet while the eyes have at the wall. The art is free, as the saying used to go, ‘to take on its own life,'” O’Doherty wrote in Artforum.
But its eerie, clinical neutrality comes at a price. The cube creates something artificial about the way the viewer interacts with art, removing both from the outside world, and from anyone who doesn’t seek out or stumble upon that room. The cube has been perceived as a symbol of elitism: if you didn’t dress the right way or frequent certain neighborhoods, the cube and its contents were not for you. And if you didn’t know the right people, the chances of your work being displayed there were even slimmer.
Now the pandemic has made the gallery even more inaccessible, at least temporarily, inspiring curators and creators to reimagine how art might be shared. But while today’s circumstances are new, artists’ efforts to think beyond such restrictions are not. In the 1960s, members of the Fluxus movement created works that blurred the distinction between art and life and denounced the gallery’s formalities. Everyday acts could be works of art, and many of the works could not be restaged or reproduced in full. Yoko Ono’s Cut Piece, in which the artist sat on a stage with a pair of scissors and invited audience members to take turns cutting off her clothing, blurred the relationship between the viewer and the art, and threw into question any sort of neutrality.
The land-art movement of the ’60s and ’70s saw artists sculpt the earth to create large-scale works, like Robert Smithson’s 1,500-ft.-long Spiral Jetty made of salt crystals, water, and basalt rock on Utah’s Great Salt Lake, that inherently held their creators’ anti-commercial politics: other than in photographs, there was no way for the massive pieces to exist within four walls. The “earthworks” made during this period were the antithesis of what the white cube represented; rather than existing in a void that nullified the outside world, these works were the outside world.
As galleries have shuttered during social distancing and stay-at-home orders, this spirit of creativity, if not outright anti-establishment thinking, has informed new relationships between art and viewers. From video games to snail mail, the examples below are just a few of the ways artists and museums have seized upon this difficult moment to prove, yet again, that possibilities for interacting with art are as wide open as a room is closed.
A Miniature Gallery
Courtesy of Shelter In Place GalleryB. Chehayeb’s abstract paintings on display in the miniature Shelter in Place Gallery
On March 27, artist Eben Haines launched Shelter in Place Gallery, a miniature display room that allows artists to create small-scale works that appear larger when photographed and shared on Instagram. After reviewing artists’ submissions of sample images and proposals over email, Haines and his partner Delaney Dameron ask the selected artists to drop off or mail them their work. Then they install and photograph each tiny solo art show, which lasts for less than a week.
“The fact that the space is miniature, and that the viewer understands that it is a fabrication, means that they end up looking closely at details: the masonry and the conduit and poorly placed outlets, the water stains where the skylight has leaked,” explains Haines.
For artists who don’t have access to their studios now, creating small works is far more feasible than what their usual work might entail. They’re “able to make more ambitious work than they could ever afford to at scale, let alone have shown in a commercial gallery,” says Haines, referencing the prohibitively high cost of real estate for urban galleries that might otherwise show more large-scale works.
Exhibited artists include B. Chehayeb (whose work is shown above), who makes paintings of abstracted memories of growing up Mexican American, as well as Mary Pedicini, who created a mixed-media room installation that hung from the beams.“ Hopefully,” Haines says, “we allow people to make the work they’ve always wanted to make.”
Video-Game Curation
Courtesy of Sarah WaldorfThe Getty’s Animal Crossing Art Generator tool allows players to import works from the museum’s open-access catalog
In 2020, you can have your very own Claude Monet or Vincent van Gogh—or at least a pixelated version hanging above the stove in your virtual kitchen. With the Los Angeles–based Getty Museum’s Animal Crossing Art Generator tool, players of the highly popular Nintendo game—in which users design a whimsical island world while befriending the animals that inhabit it—can search through the museum’s open-access collection and import images into their game. Then, players can display each work however they choose: on a wall; on a piece of clothing; or even in their own galleries, which friends who are also playing the game can visit virtually.
Bringing works of art into a video game and inserting them into a fictional world changes their contexts entirely, making them playful, moldable items. Players, in a sense, become curators. “It doesn’t just give users access to our collections, but it allows them to shape the museum experience for themselves,” says Selina Chang-Yi Zawacki, a software engineer at the Getty who developed the project. “In general, the typical museum experience is very rigid. It’s set up for you; there’s a flow you have to follow—but with this tool, you can make it whatever you want.”
Some users have chosen to print out the digitized versions of their chosen works, bringing the digital back into the physical world. The Art History Undergraduate Association at the University of California, Irvine, even used the tool to add works to a virtual art show honoring the opening of a canceled campus exhibition.
Mail Art
Courtesy of Julie Sola and Jason BrownMore than 350 participants sent their works to Nashville for Brown’s “my view from home” mail-art project
The decades-old populist art practice commonly known as mail art or postal art has seen a revival in recent months. The rules are simple: all one has to do is make a small work of art of any kind (drawing, collage, poem, etc.) that can fit into an envelope and send it through the mail to another correspondent.
Dada artist Marcel Duchamp, Fluxus artist On Kawara and many others practiced the form in the late 20th century. The movement gained prominence in the 1950s, when Ray Johnson, who wanted to rebuke the gallery system, encouraged his network of acquaintances as well as strangers to share work through the mail. Johnson would send templates that had copies of his own drawings with prompts, like “Please add hair to Cher,” to correspondents, who would add their own mark to the mailings before returning them to him or forwarding them to someone else. The project eventually became known as the New York Correspondence School.
Since stay-at-home orders took effect, several mail-art projects have emerged. For one such project, Nashville-based art collector and curator Jason Brown has been holding an open call called “my view from home.” The initiative invites people everywhere to send in their works, which Brown collects and posts to the project’s website and Instagram account. After the submission period is over, Brown plans to donate the mailings to the Special Collections at Vanderbilt University Library in Nashville. According to Brown, he’s received more than 350 works from 27 countries, including India, Cuba and Germany. “It expands the notion of what an artist is. Mail artists come from all walks of life; most are not professional artists,” says Brown. “All you need is your imagination and a stamp.”
Jason Pickleman, a Chicago-based graphic designer and gallerist, held a mail-art exhibition over Instagram Live and plans on divvying up the 600 artworks he’s received in the mail into smaller groups that can be mailed out as “as a lending library to anyone interested in experiencing the collection.” The project, titled “MAILL” (Mail Art Inventory Lending Library), aims to create “a museum from your mailbox,” as Pickleman puts it, and allows for art viewing to become a more tactile and intimate experience. Plus, according to Pickleman, it’s nice to open your mail and discover artwork rather than utility bills or mail-order catalogs.
“Drive-By” Exhibits
Courtesy of Toni Ross and Sara SalawayIn a “Drive-by-Art” show in New York, Toni Ross and Sara Salaway exhibited When, a social-isolation “calendar” of jumbled chairs with date-related words
Organized by Los Angeles–based conceptual artist and theorist Warren Neidich, “Drive-by-Art” is a unique blend of the physical and digital that creates a socially distant art experience. Aimed at bringing art back to its starting place, the artist’s studio—where Neidich believes the work is in its purest and most powerful state—his shows allow spectators to use an online map to drive past works displayed on artists’ lawns, porches and mailboxes from the safety of their cars. He came up with the idea after being sequestered in a cabin at the start of the pandemic; “Drive-by-Art” was his “reaction to feelings of isolation and disconnection.”
Neidich has already completed shows in L.A. and New York’s Long Island, and plans to expand to more cities and countries. Exhibits have included Jeremy Dennis’ “Destinations,” wood silhouettes covered in photocopied images of the Eiffel Tower and Elvis’ meeting with President Nixon. Neidich worked with local artists and curators Renee Petropoulos, Michael Slenske and Anuradha Vikram to ensure a diverse range of both established and emerging voices for the expanded Los Angeles show. “I was using the car, which has many functions in the history of America, like the building of suburbia, and was trying to give it another meaning as a place of protection, a kind of solitary bubble through which you could experience art,” he explains.
via https://cutslicedanddiced.wordpress.com/2018/01/24/how-to-prevent-food-from-going-to-waste
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Les 4 tops unis et basiques que je porterai ce printemps — Mode and The City
Hello tout le monde, j’espère que vous allez bien ainsi que vos proches. Continuez de bien prendre soin de vous surtout, soyons vigilants et solidaires
Aujourd’hui je vous propose un petit look de printemps shooté en intérieur, faute de pouvoir le photographier en extérieur pour le moment ! L’un des avantages de ce confinement est de se forcer à exercer sa créativité autrement et j’ai bien de la chance d’être confinée avec Vincent, mon photographe attitré
D’ailleurs faire des photos en intérieur me rappelle les débuts du blog, lorsque je faisais mes photos dans le hall d’entrée chez mes parents. Qui était déjà là et s’en souvient ?
J’en profite pour vous parler de mes 4 tops basiques du moment à la fin de l’article !
Comme vous le savez si vous me suivez régulièrement, je suis très influencée par les saisons (vous pourrez facilement vous en rendre compte en remontant dans mon feed Instagram) et j’adore apporter des touches de rose et de blanc à mon vestiaire à cette saison, pour rendre plus lumineuses et printanières les tonalités de beiges et de marrons que j’affectionne tant et que je porte beaucoup en automne-hiver ! C’est vraiment la palette de couleurs qui m’inspire et dont je raffole dernièrement !
J’ai ici mixé du rose, du blanc, du camel et du doré et je trouve que ça fonctionne à merveille ! J’aurais ajouté un gilet en maille écrue et un trench si j’avais eu à sortir : un look élégant, doux et printanier
En ce moment, je ne jure que par les tops unis et « basiques » comme le modèle Sézane (Maille Anil) que je porte ici. Je le décris comme basique dans le sens où c’est un top facile porter de mille façons , simple à assortir, confortable et qui ne se froisse pas. C’est vraiment le genre de pièces que je cherche de plus en plus en ce moment car elle dure de saison en saison et ne se démode pas !
J’adore les détails ajourés et festonnés de ce modèle, tellement que je l’ai aussi pris en camel (je le porte sur cette photo Instagram). Il rend hyper bien avec un jean, un short, une jupe, un pantalon plus habillé et même un tailleur (j’ai essayé hier avec un tailleur rose Claudie Pierlot acheté l’an dernier) j’en suis ravie !
Mes 4 tops basiques
J’ai craqué sur plusieurs modèles de ce type pour la saison à venir : le top Sézane de cet article (en blanc et camel) mais aussi ce débardeur (Top Jana) en coton moutarde Balzac Paris et ce tee-shirt (top Aurèle) en coton Balzac Paris dont j’adore les boutons à l’avant.
Si votre budget ne vous permet pas de vous offrir ces pièces, ce top en maille Mango (à -20% et qui existe en blanc et camel) est une alternative dans le même esprit.
Que portez sous ces tops ?
J’en profite aussi pour vous partager de nouveau cet article dans lequel je vous donne mes astuces sur quoi porter sous un top blanc et/ou transparent qui pourrait vous être utile sous ce type de top.
Et vous ?
Et vous, quelles sont vos couleurs chouchoutes à cette saison ? Est-ce que les saisons influencent les couleurs que vous portez ?
Je vous souhaite une belle fin de semaine à tous, prenez soin de vous surtout ♡
Source link
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from Trends Dress https://trendsdress.com/les-4-tops-unis-et-basiques-que-je-porterai-ce-printemps-mode-and-the-city/
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Aout MMXX
Films
Indomptable Angélique (1967) de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein, Roger Pigaut et Bruno Dietrich
Batman (1989) de Tim Burton avec Michael Keaton, Jack Nicholson, Kim Basinger et Robert Wuhl
Out of Africa (1985) de Sydney Pollack avec Robert Redford, Meryl Streep et Klaus Maria Brandauer
La Chèvre (1981) de Francis Veber avec Gérard Depardieu et Pierre Richard
Le Retour du Grand Blond (1974) de Yves Robert avec Pierre Richard, Jean Carmet, Jean Rochefort et Mireille Darc
Julie et Julia (Julie and Julia) (2009) de Nora Ephron avec Meryl Streep, Amy Adams, Stanley Tucci et Chris Messina
Le Président (1961) d’Henri Verneuil avec Jean Gabin, Bernard Blier, Renée Faure et Alfred Adam
Spectacle
The Concert in Central Park (1981) de Simon and Garfunkel
Séries
Nestor Burma Saison 1
Pas de bavards à la Muette - Les Cadavres de la plaine Monceau
Dancing on the edge
Notes sombres - Express de nuit
La sentinelle Saison 1
La sentinelle
Sydney Fox, L’aventurière Saison 3, 2
La Croix du roi Arthur - Le Culte de Kali - Descente aux enfers
Doctor Who Series 2, 5, 12 Saison 10
L'Hystérique de l'étrange lucarne - Vincent et le Docteur - Des dinosaures dans l’espace - La Chute des espions : partie 1 - La Chute des espions : partie 2 - Frontier in Space - Planet of the Daleks
Agent Carter Saison 2
La Dame du lac - Un aperçu des ténèbres - Le Meilleur de soi - Écran de fumée - Les Têtes nucléaires - Le Conseil - Les Monstres - Aux frontières du mystère - Un petit pas de danse - Le Clap de fin
Top Gear Saison 12, 14, 19, 10, 17
USA On The Road Again - Bolide électrique - Caravane volante - Du grand art ! - Spécial Afrique Part 1 - Les pires voitures anglaises ! - Une Lamborghini à la mer
The Grand Tour Saison 3, 2, 1, 4
Scotch Single Malt - Les vacances du simplet - Mozambique - Coup de vieux - Les Buggy Beach Boys : première partie - Eco-conduite - Seamen - Nouveau record
Brooklyn Nine Nine Saison 1
Le Nouveau Capitaine - Le Tagueur - Ça rame, ça rame - Le Vautour - Halloween - 48 heures
Chapeau Melon et Bottes de Cuir Saison 4
Le jeu s'arrête au 13 - Maille à partir avec les taties
Le Prisonnier
L'Arrivée - Le Carillon de Big Ben - A, B et C - Liberté pour tous - Double personnalité - Le Général - Le Retour - Danse de mort - Échec et mat - Le Marteau et l'Enclume - L'Enterrement - J'ai changé d'avis - L'Impossible Pardon - Musique douce - La Mort en marche - Il était une fois (1/2) - Le Dénouement (2/2)
Dark Side Of The Ring Saison 1, 2
Le Montreal Screwjob - Le dernier des Von Erich - La mort mystérieuse de Gorgeous Gino - Le Brawl For All
Castle Saison 4
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Livres
Kaamelott Livre IV : Texte intégral d’Alexandre Astier
Si maman me voyait de Frédéric Dard
Doctor Who : A la croisée des mondes de Tony Lee et Mark Buckingham
Lazy Company Tome 2 : Pendant ce temps, à Veracruz... d’Alexandre Philip
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Les 4 tops unis et basiques que je porterai ce printemps — Mode and The City
Hello tout le monde, j’espère que vous allez bien ainsi que vos proches. Continuez de bien prendre soin de vous surtout, soyons vigilants et solidaires
Aujourd’hui je vous propose un petit look de printemps shooté en intérieur, faute de pouvoir le photographier en extérieur pour le moment ! L’un des avantages de ce confinement est de se forcer à exercer sa créativité autrement et j’ai bien de la chance d’être confinée avec Vincent, mon photographe attitré
D’ailleurs faire des photos en intérieur me rappelle les débuts du blog, lorsque je faisais mes photos dans le hall d’entrée chez mes parents. Qui était déjà là et s’en souvient ?
J’en profite pour vous parler de mes 4 tops basiques du moment à la fin de l’article !
Comme vous le savez si vous me suivez régulièrement, je suis très influencée par les saisons (vous pourrez facilement vous en rendre compte en remontant dans mon feed Instagram) et j’adore apporter des touches de rose et de blanc à mon vestiaire à cette saison, pour rendre plus lumineuses et printanières les tonalités de beiges et de marrons que j’affectionne tant et que je porte beaucoup en automne-hiver ! C’est vraiment la palette de couleurs qui m’inspire et dont je raffole dernièrement !
J’ai ici mixé du rose, du blanc, du camel et du doré et je trouve que ça fonctionne à merveille ! J’aurais ajouté un gilet en maille écrue et un trench si j’avais eu à sortir : un look élégant, doux et printanier
En ce moment, je ne jure que par les tops unis et « basiques » comme le modèle Sézane (Maille Anil) que je porte ici. Je le décris comme basique dans le sens où c’est un top facile porter de mille façons , simple à assortir, confortable et qui ne se froisse pas. C’est vraiment le genre de pièces que je cherche de plus en plus en ce moment car elle dure de saison en saison et ne se démode pas !
J’adore les détails ajourés et festonnés de ce modèle, tellement que je l’ai aussi pris en camel (je le porte sur cette photo Instagram). Il rend hyper bien avec un jean, un short, une jupe, un pantalon plus habillé et même un tailleur (j’ai essayé hier avec un tailleur rose Claudie Pierlot acheté l’an dernier) j’en suis ravie !
Mes 4 tops basiques
J’ai craqué sur plusieurs modèles de ce type pour la saison à venir : le top Sézane de cet article (en blanc et camel) mais aussi ce débardeur (Top Jana) en coton moutarde Balzac Paris et ce tee-shirt (top Aurèle) en coton Balzac Paris dont j’adore les boutons à l’avant.
Si votre budget ne vous permet pas de vous offrir ces pièces, ce top en maille Mango (à -20% et qui existe en blanc et camel) est une alternative dans le même esprit.
Que portez sous ces tops ?
J’en profite aussi pour vous partager de nouveau cet article dans lequel je vous donne mes astuces sur quoi porter sous un top blanc et/ou transparent qui pourrait vous être utile sous ce type de top.
Et vous ?
Et vous, quelles sont vos couleurs chouchoutes à cette saison ? Est-ce que les saisons influencent les couleurs que vous portez ?
Je vous souhaite une belle fin de semaine à tous, prenez soin de vous surtout ♡
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LES P’TITS MOLIÈRES
THÉÂTRE : les Prix des P’tits Molières 2019
Voici les lauréats des septièmes Prix des P’tits Molières, décernés par une association regroupant des théâtres français de moins de 150 places :
Meilleurs spectacles «tout public» : «Feu le père de Monsieur», «Les Justes», «Fool for Love». Meilleurs comédiens dans un premier rôle : Olivier Raynal, Sylvain Zarli, Léon Vitale.
Meilleurs comédiens dans un second rôle : Jérémy Stora, Pierre Marazin.
Meilleures comédiennes dans un premier rôle : Julie Zeno, Anne Barthel, Florence Merle. Meilleures comédiennes dans un second rôle : Caroline Fontant, Séverine Wolff. Meilleur spectacle musical : «Sax».
Meilleur spectacle de comédie : «Monsieur chasse».
Meilleures mises en scène : Florence Merle, Cliff Paillé, Odile Huleux.
Meilleures scénographies : Aurélie Camus, Thomas Merland, Bruno Ladet, Elisa Ghertman, «Le 32 - cabinet de curiosités».
Meilleurs auteurs vivants : Laurent Gaudé, Cliff Paillé.
Meilleurs spectacles «seul en scène» : «Bérénice 34-44», «Onysos le Furieux».
Meilleur spectacle d’humour : «Sphères ennemies».
Meilleurs spectacles jeune public : «Le tour du monde en 80 jours», «Le cerf sans bois». Coups de coeur : «Un roi sans divertissement», «Piezz’ e core», «Le 32 - cabinet de curiosités», «Onysos le Furieux». ________
Voici une rapide présentation des spectacles lauréats, à un titre ou à un autre, des Prix des Ptits Molières 2019 :
«Sax» Mise en scène : Gil Galliot. Musiciens : Guy Rebreyend, Michel Oberli, Frédéric Saumagne et Samuel Maingaud. Durée : 1h10. Quatre saxophonistes, aux styles très différents, font connaissance à l’occasion d’une audition et, l’espace d’une journée, vont partager leurs mondes musicaux, leurs rêves, leurs désirs, leurs fantasmes, leurs émotions... Ensemble, ils vont jouer du funk, du Bach, du jazz, de la musique tzigane, brésilienne, africaine, arménienne, etc.
Le tour du monde en 80 jours Auteur : Jules Verne. Adaptation : Béatrice Bonnaudeau. Metteur en scène : Loïc Fieffé. Jeu : Pierre Serra, Béatrice Bonnaudeau, Raphaël Beauville, Alexandra Branel et Emilien Audibert. Scénographie : Morgane Barbry. Durée : 1h. Ce spectacle pour enfants raconte la célèbre aventure de Phileas Fogg, de son fidèle Passepartout et de l’inspecteur Fix à leurs trousses.
Journal d’un fou Texte : Nicolaï Gogol. Metteuse en scène : Stéphanie Slimani. Jeu : Sylvain Zarli. Durée : 1h. Adapté d’une nouvelle de Gogol écrite en 1834, ce spectacle raconte la vie d’un fonctionnaire russe qui, à cause d’un chien (représenté sur scène par une marionnette), devient fou.
Les Sphères Ennemies Auteur : Jean-Baptiste Thomas-Sertillanges, avec la collaboration d’Olivier Teillac. Comédiens : Olivier Teillac et Jean-Baptiste Thomas-Sertillanges. Metteur en scène : Alexis Berecz. Durée : 1h30. Cette comédie, qui s’affirme « romantico-schizophrénique», se présente comme une plongée dans le cerveau amoureux de Jonathan, avec, d’un côté, son hémisphère droit, incarné par le personnage de Nathan Lafleur, idéaliste et romantique, et, de l’autre, son hémisphère gauche, un certain Jo Latrick, plutôt primaire, impulsif et cynique.
Piezz’e core Texte : Claudia Palleschi et Léa Dubreucq. Mise en scène : Dimitri Dubreucq. Direction musicale : Claudia Palleschi et Pascal Claro. Chorégraphies : Léa Dubreucq et Claudia Palleschi. Jeu : Claudia Palleschi, Léa Dubreucq, Pascal Claro, Pierre Marazin et Anaël Alexandre. Durée : 1h05. L’action de cette pièce de théâtre musical se déroule à Naples en 1947. Dans cette ville dévastée par la seconde guerre mondiale, deux soeurs orphelines essaient de survivre.
Le 32 - cabinet des curiosités Texte : Philippe d'Avilla, La Big Bertha et Ariane Carmin. Interprétation : La Big Bertha, Philippe d'Avilla, Ariane Carmin et Agnès Chamak. Durée : 1h15. Ce spectacle, qui s’affirme «à la croisée des genres sexuels», met en scène trois créatures de la nuit, dont un travesti qui ne passe pas du tout inaperçu : «La Big Bertha».
Bérénice 34-44 Auteure : Isabelle Stibbe. Mise en scène : Pierre-Olivier Scotto. Jeu : Violette Erhart. Durée : 1h15. Dans les années 1940, la comédienne Bérénice Kapelouchnik est expulsée de la Comédie française parce que juive. La pièce évoque sa vie sous l’Occupation allemande.
Le cerf sans bois Texte et mise en scène : Marine Torre. Jeu : Barbara Franch en alternance avec Nolwenn Le Gal et Marine Torre. Musiques : Alexis Liosha et Leor Lor. Durée : 45 minutes. Dans ce conte pour enfants, un jeune cerf, qui n'a pas encore de bois, est la risée de son frère et de son père. Un jour, il tombe dans un ravin et vivra toutes sortes d’aventures. Combinant théâtre et théâtre d'ombres, deux comédiennes interprètent tous les rôles : animaux et fées de la forêt.
Comme des adultes Texte : Victor Rossi. Acteurs : Mathilde Cribier, Victor Rossi et Léon Vitale. Cette comédie raconte la rencontre amoureuse de deux trentenaires très différents, socialement et culturellement, et quelque peu immatures, Muriel et Jeff. Cette fois, ils vont essayer de se comporter en adultes et, selon leur copain Jacques : "C'est pas forcément gagné".
Feu le père de Monsieur Texte : Georges Feydeau. Metteuse en scène : Odile Huleux. Jeu : Agnès Chamak, Jérémy Manesse, Kim Koolenn et Philippe d’Avilla. Dans ce classique du théâtre de boulevard très «revisité», c’est l’épouse, et non plus le mari, qui, un soir, rentre éméchée au domicile conjugal et qui va subir le courroux de son époux.
Fool for Love Texte : Sam Shepard. Mise en scène : Dannie Lucarr. Acteurs : Olivier Raynal, Julie Zeno, Lee Michelsen et Dimitri Michelsen. Dans un motel du désert de Mojave, en Californie, quatre paumés se rencontrent, Eddie, May, son amour de jeunesse, le compagnon de May et une petite amie d’Eddy. La pièce est interprétée en anglais, avec des sur-titres en français.
Onysos le furieux Auteur : Laurent Gaudé. Jeu : Giovanni Vitello. Metteur en scène : Bruno Ladet . Durée : 1h10. Dans le métro de New-York, Onysos, «mi-dieu mi-homme», raconte sa vie depuis l’Antiquité. Le metteur en scène explique qu’Onysos est un «porte la parole de ceux qui sont humiliés». La pièce permet de «mettre en abîme ce qu’est le théâtre, de montrer les artifices, de jouer sur l’illusion», ajoute-t-il.
Madame Van Gogh Texte et mise en scène : Cliff Paillé. Interprétation : Lyne Lebreton et Romain Arnaud-Kneisky . Durée : 1h10. Peu après la mort de Vincent Van Gogh et de son frère Théo, Johanna, la veuve de ce dernier, héritière des tableaux de Vincent et de la volumineuse correspondance entre les deux frères, dialogue avec Émile Bernard, peintre et ami de Vincent.
Monsieur chasse Texte : Georges Feydeau. Adaptation, mise en scène et scénographie : Olivier Schmidt. Piano et arrangements musicaux : Justine Verdier. Chorégraphie : Séverine Wolff. Jeu : Olivier Schmidt, Julien Hammer, Alexandra Magin, Séverine Wolff, Kevin Maille, Mickaël Alabergère et Patrick Tulasne. Ce vaudeville met en scène un mari volage, une épouse qui veut se venger, mais aussi une domestique plus ou moins dérangée, un provincial benêt, un filleul encombrant ou encore une comtesse frivole.
Le Tartuffe Texte : Molière. Metteuse en scène : Florence Merle. Scénographie : Jean Tartaroli. Comédiens : Florence Merle, Olivier Lamoille, Claude Lesko et Martin Navizet-Sapet. Durée : 1h40. La pièce de Molière est transposée à notre époque, où «le développement personnel est perçu comme une nouvelle religion», nous a-t-on dit.
Dans la jungle des villes Texte : Bertolt Brecht. Mise en scène : Jérémie Stora. Acteurs : Thomas Besset, Caroline Fontant, Guillaume Kovacs et Jérémie Stora. Durée : 1h20. À Chicago, en 1912, deux hommes, Shlink et Garga, «fauves urbains», s’opposent violemment. L’un a réussi sa vie au plan matériel, l’autre est resté un marginal.
Les Justes Auteur : Albert Camus. Metteuse en scène : Aurélie Camus. Jeu : Fany Burgard, Victor Bratovic, Luc Févry, Sébastien Hugues Gillie, Tiffany Léonard, Lucas Jason Perrot et Adrien Pont. Dans la Russie tsariste, un groupe révolutionnaire préparant un attentat finit par se poser la question : jusqu'où peut-on aller, au plan moral, dans un combat politique ?
Un roi sans divertissement Texte : d’après un roman de Jean Giono. Mise en scène : Daniel Geiger. Jeu : André Sanfratello. Durée : 1h. Un collectionneur d’histoires nous raconte un fait divers : d’étranges disparitions pendant les hivers dans un village de montagne. L’acteur interprète le rôle de ce collectionneur-conteur, mais aussi tous les autres protagonistes du fait divers.
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Vincent Maillé’s illustrations for Maurice LeBlanc’s Arsène Lupin, Gentleman-Thief.
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On April 30th 1940 The Free French Destroyer, Maillr Breze exploded and sank off Greenock.
Maillr Breze was one of four French vessels mentioned in dispatches for the brave and skilful performance of her crew in attempting to prevent the fall of Norway eight months into the war. However, after surviving hostile waters, the Maille Breeze met a violent end in the friendly and peaceful waters of the Clyde.
Anchored just off Albert Harbour in Greenock for maintenance, the destroyer was rocked by an explosion after a torpedo being worked on by a sailor was fired inwards and downwards through the ship.
Despite efforts to save those below deck, the fire from the initial explosion took hold of the vessel, with 21 sailors trapped below lost. A further seven died in the explosion.
Local rumours flew of potential spies scuttling the ship. Others believe it could have been a cynical destruction of a vessel on the assumption the ship would have joined the Vichy fleet, which adopted a policy of collaboration with the Nazis.
Following the sinking, the remaining munitions were removed, including a number of depth charges, but the stricken vessel remained in the Clyde for the rest of the war.
A total of 21 members of crew were removed when the boat was taken ashore in August 1954, with full Naval Honours and Requiem Mass being held in Greenock, before all the remains were returned to France for burial.
There is a common misconception in the town the memorial that sits looking down from Greenock’s Lyle Hill is to those that perished in the Maillie Breeze, but there is no mention of the destroyer on the monument.
The monument is, in fact, to those in the Free French Navy, established shortly after the sinking of the Maille Breeze.
Explaining the reason for the memorial not commemorating the Maille Breze, historian Vincent Gillen said: “The cross was put up to memorialise the corvettes that were lost and the submarine Surcouf that was lost early in the war.
“It’s a deeply French thing or a political statement that it was Free French only they were going to commemorate, even though the Maille Breze was two months before they arrived in town. It just wasn’t considered part of their cause.”
Explaining why, despite never being for those lost in the Maille Breze, the ship is still associated by locals with the memorial, Mr Gillen said: “It’s in the popular culture of the town. People have memories of this ship blowing up off the Clyde. People thought the Maille Breze was a Free French ship, but it was actually a French navy ship.
“There is an incredible pride in the Free French.
“They have a supreme pride in what they did and what they did against Hitler, so I think they’re unwilling to associate the Maille Breze with it because the crew were interned and then had the choice of going home, or staying, and many of the Maille Breze crew may have gone home and lived in occupied France.”
Despite this, townsfolk still remember those aboard the Maille Breze who sacrificed everything in the fight for freedom when they look at the Free French monument, ensuring that 82 years on, those who perished on April 30, 1940 are not forgotten.
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Adapter les pratiques agricoles à la vitesse du changement climatique, par Roberto Boulant
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La différence entre climatologie et météorologie repose sur l’utilisation d’unités de temps différentes sur des échelles géographiques distinctes. La décennie pour le climat avec des moyennes mensuelles et annuelles sur 30 ans à l’échelle d’une région, et la journée pour la météorologie pouvant aller jusqu’à la micro-échelle d’une maille de 1,3km.
Le problème étant que dans le cadre du changement climatique en cours (et bientôt basculement au vu de l’inertie de nos gouvernements), il existe souvent de grosses divergences entre les projections à moyen et long terme et les relevés sur le terrain.
Dit autrement, les moyennes calculées par les climatologues ne se retrouvent pas à l’exact dans les relevés des météorologues. Ce qui rend difficiles ou inopérantes les anticipations pour s’adapter au changement climatique au niveau local, notamment pour l’agriculture. La chose peut sembler surprenante, voire contre-intuitive, mais les modèles physiques globaux du climat (GCM) ne sont pas conçus pour représenter finement à l’échelle d’un petit territoire l’évolution climatique.
D’un autre côté, les météorologues ne disposent pas toujours de relevés des différentes variables climatiques (températures, précipitations, vitesse du vent, etc.) au-delà de quelques dizaines d’années, ce qui est trop court pour déterminer précisément leur évolution sur le temps long, notamment pour les événements extrêmes. Or il existe des outils bien connus des statisticiens, les générateurs stochastiques qui sont des modèles mathématiques utilisant la théorie des probabilités et qui permettent de produire des séries artificielles pouvant être simulées sur une base journalière, voire horaire !
Un outil rapide et peu coûteux dont tout l’art réside dans le bon calibrage des paramètres à partir des séries réellement mesurées. Le but du jeu consistant à reproduire les différentes propriétés statistiques des séries déjà relevées (valeurs moyennes et niveaux de variabilité, corrélations entre les variables d’une journée à l’autre, etc.) et de pouvoir extrapoler les simulations aux emplacements sans station de mesure. Cette approche est portée par quelques rares climatologues, dont Vincent Caillez en France qui propose une nouvelle définition du climat en prenant en compte son évolution de plus en plus rapide.
Pour illustrer son propos Vincent Caillez prend pour exemple la canicule de 2003 qui selon les calculs originels de Météo France basés sur un climat variant lentement, avait estimé la durée moyenne de retour d’un tel phénomène à 140 ans, alors qu’en intégrant la variabilité de la norme au travers de générateurs stochastiques il obtient la durée de retour quatre fois plus fréquente de 35 ans.
Concrètement, l’adoption de cette nouvelle méthode pourrait se traduire par une meilleure anticipation des systèmes culturaux afin qu’ils soient capables de repartir vite après un événement extrême mais à la durée de retour courte. La vitesse de déplacement des écosystèmes étant d’ores et déjà totalement dépassée par la vitesse d’évolution du climat.
Un travail statistique, basé originellement sur l’évolution des températures dans le département de la Creuse depuis les années 1980, et qui est actuellement utilisé par la Chambre d’agriculture pour créer une projection fine de l’évolution climatique locale jusqu’en 2050. Et grâce au projet AP3C (Adaptation des pratiques culturales au changement climatique) porté par les travaux de Vincent Caillez, onze autres départements de l’arc atlantique font évoluer leurs pratiques agricoles – en concertation avec les agriculteurs et les agronomes -, en fonction du changement climatique réel et non de prévisions globales à 50 ans.
Mais après cette introduction succincte, le mieux est d’écouter la présentation du projet AP3C par son initiateur : en haut de la page.
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La justice a renvoyé en correctionnelle quatre Nigérians et deux villageois après une violente altercation à Contes. Un déchaînement de violence jamais vu dans cette vallée tranquille.
Nice
Pour rejoindre Contes au départ de Nice, il faut remonter la vallée du Paillon, le fleuve qui se jette dans la baie des Anges. Simple filet d’eau ces derniers mois, il s’est mué en torrent furieux avec les pluies de la semaine. Au hameau de la Vernéa, les traces de l’agression de la nuit du 14 avril sont encore visibles. Au rez-de-chaussée d’un petit immeuble HLM, le seul de ce quartier aux maisons étagées sur les collines verdoyantes, du verre brisé subsiste sur le rebord d’une fenêtre et, sur le parking, une Mazda bleu métallisé est réduite à l’état d’épave. C’est celle du locataire, Hugo, militant de Roya Citoyenne, une association d’aide aux migrants, nombreux dans la région à franchir la frontière.
«Il a été constaté des violences réciproques en deux temps»
Cette nuit-là, alors qu’il accueillait quatre migrants nigérians dans son studio, il a reçu la visite de jeunes du voisinage. L’agression a été d’une rare violence, puisque le militant et ses hôtes ont tous été blessés. Les assaillants sont venus équipés de haches, de cailloux et de bouteilles. Choqué, Hugo est depuis hébergé par d’autres militants de Roya Citoyenne. En soutien, l’association appelle à un rassemblement samedi après-midi, place Garibaldi à Nice.
La justice n’a pas tardé à établir les faits, avec l’aide des gendarmes. «Il a été constaté des violences réciproques en deux temps», révèle au Figaro le procureur de la République de Nice, Jean-Michel Prêtre. Dans un premier temps, un groupe d’individus parmi lesquels les quatre Nigérians, munis de couteaux, de bâtons et de tessons de bouteille, a maille à partir avec des jeunes, entaillant l’un d’eux au torse et à la main.
Circonstance aggravante
Ce dernier trouve des renforts et revient au domicile où les Nigérians sont hébergés pour se déchaîner sur ses occupants et le véhicule du locataire. Les quatre Africains sont aujourd’hui renvoyés devant le tribunal correctionnel pour violences en réunion commises avec armes. Deux de leurs assaillants sont poursuivis pour violences en réunion avec destruction et utilisation d’armes, et dégradation de véhicule.
«Des propos sans aucune ambiguïté racistes ont été tenus»
Circonstance aggravante pour ces derniers, les faits ont été commis «en raison de l’appartenance à une race ou une ethnie déterminée». «Des propos sans aucune ambiguïté racistes» ont été tenus, souligne le procureur, sur qui les militants associatifs avaient fait pression, exigeant de lui dans un communiqué «le même acharnement à trouver et poursuivre ces agresseurs barbares que celui qu’il met dans la poursuite des citoyens engagés dans la solidarité envers les personnes migrantes dans les Alpes-Maritimes». Allusion notamment à l’appel formé récemment par le parquet de Nice après la relaxe de Cédric Herrou, figure de l’aide aux migrants, poursuivi pour injure au préfet.
» LIRE AUSSI - Le tribunal de Nice clément avec Cédric Herrou, «passeur» humanitaire
Reste à connaître l’origine du différend entre migrants et locaux. L’audience fixée au 7 janvier prochain permettra peut-être de l’établir. «Seule certitude, note le procureur, les relations entre ces personnes étaient très tendues» dans ce petit coin tranquille de la campagne niçoise. De mémoire de villageois, on n’y avait jamais connu tel déchaînement de violence.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 27/04/2019. Accédez à sa version PDF en cliquant ici
Vincent-Xavier Morvan Source: premium.lefigaro.fr
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MÉTIERS DE LA MODE
D.R
Hautement attractifs, les métiers de la mode sont aussi en pleine mutation, en prise directe avec les évolutions sociétales et les urgences environnementales. De la haute couture au prêt-à-porter et au recyclage, la filière textile réunit plusieurs domaines d’intervention, maillons d’une chaîne reliant les métiers créatifs et des opérateurs proches de l’artisanat d’art, en passant par les professions liées au marketing. L’outil informatique et la maîtrise des logiciels sont devenus indispensable dans ces métiers créatifs.
LES MÉTIERS
COSTUMIER
Au théâtre, à la télévision comme au cinéma, le costumier aide à situer le personnage dans une époque et à inscrire sa personnalité. En amont, le costumier effectue des recherches documentaires et historiques sur la période. Il ne doit pas commettre d’anachronismes, tant dans les coupes que dans les tissus ou même les techniques.
COUTURIER
Petite main, couturière tailleur, second d’atelier, première d’atelier, patronnières de brodeuses, de dentellières, de plumassières, de modistes… Les ateliers ont besoin des techniciens du textile. À leur compte ou salariés, ils opèrent ainsi : choix du modèle, prise de mesures, fabrication de la toile, réglage des mesures, coupe des tissus et des doublures, assemblage, essayage.
DESIGNER TEXTILE
Créatif, le designer textile intervient sur les motifs, les textures, la décoration intérieure. Il dessine et propose les gammes de coloris à la main ou à l’ordinateur, crée des entrecroisements de fils pour les tissus ou la maille. Freelance ou salarié d’un bureau de création, il travaille au plus près du styliste et des chefs de produit.
MÉTIERS DU MARKETING
Développement et gestion d’une collection, merchandising, sourcing (étude de la production, fournisseurs)… La mode est une culture et un marché au développement international. L’industrie du prêt-à-porter intègre de nombreux métiers dans ces domaines qui relèvent du commerce, de la communication ou du marketing. L’objectif est d’acquérir les connaissances du marketing pour accéder à des postes à responsabilité de management à tous les niveaux de la distribution. Certaines écoles y préparent plus spécifiquement (IBSM-Mode et Marketing, Supmode à Bordeaux,).
MODÉLISTE
Intermédiaire entre la création et la fabrication, c’est l’opérateur qui donne vie au travail du styliste. On distingue généralement les formations en couture floue (technique du moulage pour des vêtements souples et déstructurés) et les formations en vêtements tailleur (technique de la coupe à plat pour des vêtements près du corps et structurés). Technicien, il effectue les patrons en 2D et les prototypes en 3D. Il est aussi formé aux logiciels 3D afin de s’adapter aux nouvelles technologies mises en place dans les entreprises.
STYLISTE OU DESIGNER DE MODE
C’est un visionnaire inspiré par l’air du temps et les bureaux de tendances, le styliste analyse le milieu professionnel pour donner l’orientation de la collection, il conçoit les produits et dessine les collections qui seront ensuite présentées aux professionnels et plus tard au public. Il est également en charge du sourcing (choix des tissus et des fabricants). Il travaille en collaboration avec le service marketing.
TECHNICIEN DE FABRICATION
Il intervient lors de la production en série. Comme le modéliste, il réalise les fiches techniques reprenant toutes les informations nécessaires au montage du vêtement. Il connaît parfaitement la couture et la production industrielle. Les fabrications étant très souvent déléguées à l’étranger, il peut être amené à se déplacer régulièrement. Il doit donc maîtriser parfaitement les langues étrangères de base telles que l’anglais pour faire du contrôle qualité et du suivi de production.
Lexique établi avec l’aide précieuse de Ghislaine Daurel, directrice de l’Institut bordelais de stylisme modélisme (IBSM).
D.R
FOCUS
LE LYCÉE VÁCLAV-HAVEL À BÈGLES
Créé en 2012 à Bègles, en Gironde, premier lycée à énergie positive de France (il produit plus d’énergie qu’il n’en consomme !), le lycée général et professionnel Václav-Havel propose non seulement un bac professionnel « Métiers de la Mode Vêtements » (MMV), mais aussi une formation au brevet de technicien supérieur dans la même spécialité. Le technicien supérieur en MMV est amené à exercer ses compétences en qualité de modéliste au sein d’un bureau d’études, en qualité de chargé d’industrialisation au sein d’un bureau des méthodes ou d’un atelier de production de vêtements. La variété des secteurs liés au textile (de la mode à l’industrie pharmaceutique, en passant par les équipements publicitaires ou les loisirs) garantit un éventail de débouchés des plus conséquents. Accessible aux bacheliers de toutes filières, ce BTS pourra être par la suite prolongé par une licence pro dans un autre établissement, ou l’intégration d’une école de commerce ou d’ingénieur.
www.lyceevaclavhavel.fr
LES ÉTABLISSEMENTS
Charente • Angoulême Lycée professionnel Jean-Rostand
Charente-Maritime • Rochefort Lycée professionnel Gilles-Jamain
Corrèze • Brive-la-Gaillarde Lycée professionnel Danton
Deux-Sèvres • Niort IATT - Institut des arts du textile traditionnel • Bressuire Lycée Saint-Joseph
Gironde • Bègles Lycée Václav-Havel • Bordeaux École de Condé / ESMOD-ISEM / FORMASUP Campus - SUPMODE / iBSM - Institut bordelais de stylisme et de modélisme / ISEFAC Bachelor / LIM’ART / Lycée des métiers Saint-Vincent-de-Paul / Lycée Toulouse-Lautrec / Société Philomathique de Bordeaux
Pyrénées-Atlantiques • Saint-Jean-de-Luz Lycée professionnel Ramiro-Arrué
Vienne • Poitiers Lycée professionnel du Dolmen
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Strategic Partners GovSat and Telespazio France to Provide Capabilities for the French Ministry of Defence
LUXEMBOURG — With the aim of meeting the needs of the French government, GovSat and Telespazio France pooled their skills, infrastructures and solutions to create a complete catalog of satellite telecommunications services in various military bands. The offer has been selected by the Joint Directorate for Infrastructure Networks and Information Systems (“Direction Interarmées des Réseaux d’Infrastructure et des Systèmes d’Information”, or DIRISI). Under the contract, Telespazio France, supported by GovSat, will begin supplying satellite capacity to all French military and state entities by the end of 2018.
Patrick Biewer, CEO of GovSat, commented, ”Together with Telespazio France, we are honoured to be serving the French government, using the unique capabilities of the GovSat-1 satellite which was launched earlier this year, as well as Telespazio’s tailor-made service offerings. These new services provide the required level of flexibility, security and mobility, and are the ideal solution to meet the new challenges armies face.”
Corinne Mailles, Deputy General Manager of Telespazio France, emphasizes that “this partnership is also part of a common strategy of value creation and innovation for the benefit of military forces engaged in operations.”
About GovSat
GovSat is a Luxembourg-based satellite operator, created out of a partnership between the Luxembourg government and SES, the world’s leading satellite operator. GovSat’s mission is to provide secure, reliable and accessible governmental satellite communication services to address the demand resulting from defence and institutional security applications. The company’s first satellite, GovSat-1, is a multi-mission satellite that uses X-band and Military Ka-band frequencies on high-power and fully steerable mission beams to support multiple operations. Further information is available here: www.govsat.lu
About Telespazio France
Headquartered in Toulouse with offices in Paris, Kourou and Bordeaux, Telespazio France is the French subsidiary of Telespazio, which is part of the Leonardo and Thales groups (67% / 33%). A pioneer in satellite services, the history of Telespazio has been marked by decisive developments and technological breakthroughs for more than 50 years. Telespazio France is a recognized leader in the field of operations. It operates complex satellite systems and maintains numerous infrastructures for CNES, Arianespace and the French Defense. Telespazio France relies on its culture of innovation and on its expertise in new digital technologies to develop new services with high added-value, especially in the fields of telecommunications, geo-information and navigation.
About Telespazio
Telespazio, a joint venture between Leonardo (67%) and Thales (33%), is one of the world leaders in satellite services: from the design and development of space systems to the management of launch campaigns, satellites control to earth observation services, integrated communications services to satellite navigation and localization services and scientific programs. Telespazio plays a major role in these markets thanks to its technological heritage and its participation in major European space programs such as Galileo, EGNOS, Copernicus, GMES and COSMO-SkyMed. In 2017, Telespazio generated 564 million sales for a workforce of around 2,500 people in eight countries.
Contacts
Contact for GovSat: Melanie Delannoy – Communications and Marketing Email: [email protected] Phone: +352 710 725 329 or Contact for Telespazio France: Nicolas Vincent – VP Sales and Marketing Email: [email protected]
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