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195 Lewis, Pearson, 2012 ou S1-9x5 fois = un film

au détour de liens pas loin relayés, je tombe sur American Fringe, festival américain cinémathèquien, annulé cos-covid, & qui cette année propose en ligne 2 films de chacune des sélections précédentes dans American Fringe on line il y a 195 Lewis réalisé en 2017 par Chanelle Aponte Pearson, que je ne connaissais pas, mais je ne connais pas le cinéma américain indépendant, et moins encore le cinéma indépendant d’aujourd’hui, merci Fringe, alors Chanelle Aponte Pearson je la découvre, multi-casquette, cheffe-opératrice, scénariste, productrice et réalisatrice, elle est membre de la New Negress Film Society, un collectif de 5 réalisatrices noires, avec, en plus de  Chanelle Aponte Pearson : Nuotama Bodomo, Dyani Douze, Ja’Tovia Gary, Stefani Saintonge et Yvonne Michelle Shirley, qui a été fondé en 2013, pour “créer une communauté d’entra ide visant à la promotion et aux prises de conscience” - politique et artistique, et pour le dire extrêmement rapidement, que je comprends être intersectionnelle.

195 Lewis est très court, pas même 50mn, c’est l’enchaînement de 5 épisodes, micro-websérie de 5x9 mn d’où découle, pour faire film, un étrange montage, ultra linéaire, avec au milieu les cartons, double, doublé deux fois : fin + début, 195 Lewis-195 Lewis, mode de visionnage terriblement différent de l’enchaînement youtube-viméo-plateforme-de-diffusion-en-ligne de la série : plus la micro-action à la fin de l’épisode pour lancer le suivant mais toujours ce rythme qui accroche descend monte revient descend remonte suspend, t’oblige à agir et là rien, ça enchaîne, tempo moyen-métrage, mais qu’est-ce que cette temporalité vient-elle faire dans celle d’une série ? je suis perplexe, mais connais trop peu les réflexions en cours, qui courent-courrent-s’accélèrent, sur ces habitudes, ces nouvelles modalités et nouveaux regards conséquents, les nouveaux corps qui interagissent avec du contenu, court, à relancer, te relançant sans cesse, aiguisant ton appétit et ta fatigue

passer ce modus avec lequel aucune de mes habitudes n’a prise, 195 Lewis, one ninee five Lewis est réjouissant - même si, j’imagine, comprenant sans doute qu’une demi-moitié des allusions, oh L word! l’autre m’échappe - qu’il pourrait l’être deux fois plus, mais ce n’est peut-être pas si mal de savoir que m’échappe, comprendre, lâcher prise, ne pas pouvoir tout saisir, que ça glisse entre mes doigts, savoir que toutes les références je ne les ai pas, ne les aurai jamais toutes, me calmer avec ça, être heureuse que certaines soient ainsi offertes d’une communauté noire lesbienne, queer, polyamoureuse ; je pense là au fanzine bluettes que je viens de lire chez @swedesinstockholm​  où se tisse tout ce que je connais, d’ingold au transposthumanisme écosexuel, de l’effritement whitheheadien que peint stengers au dieu changeant d’Octabia Butler, d’une aisselle en feu d’une jeune fille à la biopolitique foucaldienne,  tout ce que je connais mal, plutôt par strates, juxtapositions de compréhensions comme on construit un château de sable dont le continuum nous précède, évidemment, mais dont on veut bien l’être un grain de sable tant qu’on vit - alors quoi ? alors les références ça sert à savoir qu’on touche comme à être touchée, ça sert à ouvrir celles qu’on a si on arrive à ne pas être submergée par tout ce qu’il y aurait encore à savoir, c’est un peu comme le motif dans le tapis, dès que tu découvre que tirer un fil pourrait défaire aussi bien le tapis, tu fais attention, tu le suces et autour de tes doigts tu l’enroules, tu fais un nœud serré que tout tienne encore, et tu t’allonges sur la tapis, certaine que chacun de ses poils vont te faire voyager, tranquille, jusqu’au cœur du mystère, vas-y voyage ces histoires courtes 195 Lewis  me touchent, ce sont des histoires d’amour et de désir, où amour et désir sont aussi bien amour et désir que politique, où il est question de trouver sa place, trouver un boulot, ne pas rivaliser, aimer, savoir aimer, désirer et aimer, ne pas avoir le cœur fendu de jalousie propriétaire mais c’est difficile, ça flirte avec tout ce qui est difficile parce que ce n’est pas parce qu’on enlève les gars que leurs habitudes disparaissent de nos corps, et qu’au delà de leur habitudes et des genres le spectre du pouvoir ne cesse de serpenter, mais malgré tout, ça laisse quand même du champ, de la place pour respirer ; c’est doux comme l’exctasy partagée avec qui est aimé*e, on n’est pas tout à fait dans la réalité ; si 195 Lewis n’est pas une websérie-film de ma réalité, mais de cette réalité-ci, d’un Brooklyn qui “is constantly changing, and it continues to welcome a host of people from all walks of life. With 195 Lewis, I’m more interested in representing a part of Brooklyn that is specifically Bed-Stuy, Black, queer, and saturated with activists, artists, and other cultural producers that make the borough so inviting in the first place. Between lighting, wardrobe, production design, and dialogue, I want audiences to feel completely immersed in our world.” Chanelle Aponte Pearson  que (ce) Brooklyn ne peut pas être ma réalité (par exemple parce que je suis blanche), sentir que celle-ci peut se traduire ainsi, me rend très joyeuse ! >>  à voir ici jusqu’au 2 déc. : Pearson, 195 Lewis, USA, 2017, 47′15  <<

[laneigeatraverslescocotiers]

Et on repart !

Nous repartons pour un nouveau voyage de 6 mois en Amérique Centrale !

Nous allons donc recommencer à poster des articles sur notre blog, et je posterai également des vidéos sur un lien viméo.

Nous sommes donc parti.e.s mercredi 27 janvier d’Eymoutiers, en prenant un train pour Paris.

Le lendemain on a pris un avion qui nous a fait faire Paris-Madrid, Madrid-Bogotà et enfin Bogotà-San José, la capitale du Costa Rica.

Nous avons dormi dans une auberge de jeunesse, et le lendemain avons pris un bus pour passer la frontière vers le Nicaragua.

On a eu du mal à passer avec les douanes, toutes les formalités, le covid, etc...

Finalement on a tracé, et enfin avons pris un bus pour le lac Cocibolca, un lac, ou une mer, car il est gigantesque, presque aussi grand que le Titi Caca.

Arrivé.e.s là on a pris un bac qui nous a emmené sur Ometepe, une grande île volcanique à une heure de bateau de la côte.

Nous sommes actuellement à Moyugalpa, une des petites villes de l’île.

Départ à Eymoutiers

à Madrid

Bogotà

Désinfection de sièges à Bogotà

Angèle

[reveriespersonnelles]

Bilan Culturel Octobre 2020

Coucou à toi, voici mon bilan culturel comprenant tous les films vu ce mois ci. Comme toujours, ce ne sont que mes avis, rien à prendre très au sérieux. Bonne lecture et bons films :)

Mid90s (6/10) J’adore Jonah Hill, j’ai écouté tellement d’interviews de lui pour la sortie de son 1er film, je l’ai enfin regardé et j’avoue être un peu déçue. Je ne suis peut-être pas la cible, n’étant pas fan de skate ou des années 90. Mais globalement, je n’ai pas été touché pourtant tout y est. L’esthétisme, la profondeur des personnages, les dialogues etc... mais rien, je suis passé à côté. Oh et le film est vachement sombre je trouve, c’est pas le style de couleur que j’aime vraiment voir. Donc une petite déception. 

Green Book (8/10). Après avoir vu toutes les éloges de ce film, qui a reçu de nombreux prix, j’ai finalement regarder Green Book. J’ai après mon visionnage, vu le nombre de critiques qui entoure le film. Pour parler strictement du film, j’ai beaucoup aimé, j’ai aussi pas mal appris sur cette période sombre des État-Unis. Le jeu des acteurs est excellent, on est embarqué dans cette histoire vraie, les 2h de film ne paraissent pas longue du tout. Malgré les controverses, j’y voit tout de même le positif. 

La chinoise (7/10) Je me trouve devant la problématique où je ne pense pas être assez intelligente pour apprécier pleinement ce film. Mais bon, j’ai bien aimé, c’est intelligent, intéressant, beau visuellement, Jean-Pierre Léaud en prime <3 Film que je dois re voir pour l’apprécier d’avantage. Vu sur Viméo

Five (5/10) Roh quelle déception. Niney que fais tu dans des films tels que ceux là? C’est le second film de Niney que je vois de lui et où je me dis purée mais quel talent gaché. Ce film est lourd, cliché, j’ai rigolé 2/3 fois mais c’est tout. 

20 ans d’écart (8/10) Une Rom-com comme je les aime, un divertissement sympathique qui nous fait passer un bon moment. J’adore Virginie Efira dans ce film, de même pour notre cher Niney (qui joue l’homme parfait à mes yeux dans ce film). Un feel good movie que je re regarde avec plaisir. 

J’aime regarder les filles (4/10) J’ai continué mon visionnage de la cinématographie de Niney avec ce film. J’ai pas aimé les amis. J’ai mis 4/10 pour les livres présent sur tous les plans et pour le jeu de Niney. Le reste : le fond, la forme, les autres acteurs sont nul, désolé mais c’est nul les gars. Comment peut-on faire dire ces choses là dans la bouche de ses acteurs? Ce film c’est : Comment faire le film le plus cliché d’un “amour” (qui n’en ai pas un) impossible entre 2 personnages de classes sociales différentes. Passez votre chemin. 

Les amours d’une blonde (8/10) Film tchécoslovaque de 65 que j’ai adoré. C’est drôle, rafraîchissant malgré le noir et blanc et la période évoquée. Je le conseille vivement. Vu sur Mubi

La sirène du Mississippi (8/10) Deneuve et Belmondo en acteurs principaux de ce Truffaut, comment ne pas regarder? J’ai adoré, c’est bien évidemment super bien filmé, les acteurs sont incroyables, l’histoire rocambolesque. J’ai aimé cette histoire “d’amour” où l’argent joue un rôle prépondérant. Bref je ne connaissais pas du tout l’existence de ce film et je suis heureuse de l’avoir découvert. Vu sur Arte. 

Hiroshima mon amour (6/10) Un classique du cinéma français, incroyablement bien réalisé, les plans sont extrêmement beaux. Mais malheureusement je suis un peu passé à côté. Le film ne m’a pas plus captivé que ca, j’ai faillis m’endormir à de nombreuses reprises, les dialogues sont lourds de part leur poésie et leur complexité. J’ai simplement pas réussis à rentrer dans le film... Dommage. Vu sur Mubi

Along Come Polly (7/10) Un bon moment de divertissement, un film léger qui fait du bien. Contente d’avoir re regardé cette romcom. 

Moonrise Kingdom (6/10) C’est surement controversé mais le film n’est pas si terrible que ca, je ne comprends tout cet engouement. Alors entendons-nous bien, la photographie et la réalisation sont incroyables ! Mais le fond ? Bof. Après les 45 premières minutes je me suis demandé où on allait, je commençais à m’ennuyer... Jolie, je l’ai vu mais j’ai largement préféré The Grand Budapest Hotel. Vu sur Arte 

Mary à tout prix (4/10) Un film de divertissement, que je n’ai pas trouvé drôle, ni intéressant ou prenant. Il fait 2h pour vraiment pas grand chose... 

Vivement dimanche ! (7/10) Mon premier Truffant dans le registre policier. J’ai globalement beaucoup aimé, j’ai admiré la beauté de Fanny Ardent pendant les près de 2h de film. Mais c’est là le petit ic, à mon sens trop long, le film se perd dans des détails, en longueur... Je n’en garderai pas un souvenir très fort mais contente de l’avoir vu. Vu sur Arte.

Merci à toi si tu as lu, 

:)

[leblogdemarinaetjeanmarie]

MARDI 17 MARS 2020 (Billet 2/2)

Un jour, nous étions en train de déjeuner au Riad et Marina remarque très vite qu’un couple n’arrêtait pas de se retourner pour la regarder. JM, lui, tournait le dos à la table où ils étaient installés.

Elle lui en fait part et pense que peut-être ils se sont rencontrés dans un autre Village du Club. JM se retourne et le couple lui fait un grand sourire.

La conversation s’engage : « on se connaît ? »…

Ils nous avouent alors qu’il leur semble reconnaître Marina qu’ils ont vue à plusieurs reprises dans des diaporamas et aussi dans des petites vidéos trouvées sur le Net quand ils font des recherches pour avoir des images sur telle ou telle destination proposée par le Club Med.

Evidemment, c’était bien Marina et bien aussi la première fois qu’elle avait été « identifiée » par des « internautes ». Nous en avons plaisanté avec eux et nous nous sommes donnés rendez-vous à 19h30 pour prendre l’apéritif autour de la piscine.

De ce jour-là, nous avons dîné tous les soirs ensemble. Nous ne connaissons d’eux que leurs prénoms : Laurence et Sylvain. Ils sont très sympathiques, habitent en région parisienne et devaient repartir 3 ou 4 jours après nous. Mais vendredi soir, lorsque nous nous sommes quittés après le dîner, eux allaient voir le spectacle à La Palmeraie et nous, fatigués, nous retournions au Riad.

C’est en arrivant à la réception du Riad que nous avons été prévenus par le Concierge que le départ de notre avion avait été avancé. Très gentiment, il a fait notre nouvel enregistrement, même imprimé nos 2 Boarding Pass et commandé un taxi pour 7 heures le lendemain matin.

Nous ne nous sommes malheureusement plus revus avec Laurence et Sylvain. Nous espérons qu’ils n’ont pas eu trop de difficultés pour retourner chez eux. Mais sans trop nous faire de souci car nous savons que le Club n’allait laisser aucun adhérent sans solution et faisons tout à fait confiance au Chef de Village et à toute son équipe pour réussir au mieux le rapatriement du millier de GM en vacances à Marrakech.

Mais du coup, notre départ ayant été précipité, nous n’avons pas leurs coordonnées et leur avons juste laissé un petit courrier à la réception en espérant qu’il leur a bien été remis.

C’est dans une petite vidéo analogue à celle-ci, visionnée quelques jours avant leur départ pour Marrakech, que Laurence et Sylvain avaient vu Marina. Pour la petite histoire, c’est au moins la troisième tournée dans une Suite du Riad que nous publions sur un site de partage vidéo (YouTube ou Viméo), étape préalable obligatoire pour pouvoir ensuite l’intégrer dans un des Billets publiés sur notre Blog.

[loladegove]

Paul passion 4 

Film fini, allez le voir sur viméo ! 

https://vimeo.com/326703336

[luthostinato]

Jour 15 - Weak

"Tel le phœnix renaissant de ses cendres, la Grande Prêtresse de Cehemoth revient à la vie par l'intermédiaire d'un œuf qu'elle pond lorsqu'elle est majeure, assurant ainsi son règne éternel pour transmettre les saintes paroles de la Déesse Mère. Cet œuf est rigoureusement gardé, surveillé et protégé dans un endroit que nul ne connait."

"Like the phoenix rising from the ashes, the High Priestess of Cehemoth comes back to life through an egg, her one and only egg, which she lays when she becomes High Priestess. This weak and precious treasure is guarded in a secret place. "

Website - Facebook - Instagram - Behance - Viméo - Youtube

[0wi-audio]

Nicéphore Cité récompense l’esprit d’innovation à travers le concours Open4start-up. Pour cette 2e édition, nous avons décidé de mettre en place un « prix du public » afin que VOUS récompensiez la startup de votre choix. Vous avez jusqu’au vendredi 12 octobre 2018 – 16h00 pour soutenir votre pitch préféré. Le nombre de like sur chaque vidéo sur viméo déterminera le vainqueur. A vos marques, prêt, VOTEZ … Pitch 5 : OW1 Objets à perspectives sonores augmentées. Jean BEAUVE

[matthieu-sgt]

CAPSULE #000

Bonjour ou bonsoir à toi !

Aujourd’hui c’est un jour particulier, c’est le lancement de mon blog, la capsule 0, c’est une première pour moi, une expérimentation. Alors l’id��e ne m’est pas venue d’un coup mais elle provient d’un sujet de cours.

En effet, depuis mi-octobre, nous avons changé d’enseignant en conception et réalisation numérique et depuis notre séance il s’est passé beaucoup de choses pour notre groupe.

A ma grande habitude je me suis fait remarqué dès le début du cours en arrivant en retard (léger certes mais retard quand même). Dès mon entrée dans la salle j’ai compris que le cours serait différent de ce qu’on a l’habitude d’avoir.

La classe n’est plus formée en rangée mais en ligne, tout le monde est au même niveau, il y a une musique de fond dans la salle et Laurent Antonczak (notre enseignant) nous sourit.

Après m’être assis Laurent commence la séance et nous demande de faire un tour de salle qu’il appelle Mihi-Mihi. Chacun d’entre nous se présente, parle de son parcours, ses capacités et son souhait pour l’avenir. Une fois le tour fini, il se présente à son tour et nous explique un point essentiel de son travail. Laurent souhaite remobiliser sa manière de travailler en Nouvelle-Calédonie pour l’appliquer ici à l’ICM.

Il en profite pour établir quelques points auprès de nous vis-à-vis de ces attentes et des sujets qu’ils souhaitent traiter avec nous.

Premièrement, chaque élève part avec la note de 20/20, théoriquement tout le peut avoir la note maximale. Seulement, si on ne respecte pas les attentes des projets les points peuvent partir. Notamment avec les retards, ils sont à bannir, que ça soit en cours ou pour un rendu mais il nous rassure, personne n’a jamais eu 0 dans son cours, ça oblige à rédiger un rapport et ce n’est agréable pour personne.

Deuxièmement, nous avons deux rendus pour décembre, le premier une vidéo sur le thème “VERT”, et le second un blog personnel aux contenus variés : textuel, vidéo, sonore et visuel.

La classe à commencé à se questionner, c’était un peu la panique avec tous nos rendus qui s’entrecroisent. Premier cours, deux rendus, des sujets qui paraissent au premier abord assez costaud. J’étais moi même assez perdu, on a questionner le professeur en long et en large pour essayer de préciser les sujets et de mieux cerner ces attentes. Malheureusement pour nous, nous sommes maintenant en Master, on doit réfléchir de nous même sans avoir toutes les clefs et c’est assez déroutant quand on a l'habitude de se faire guider.

Finalement, on arrive à décrocher quelques informations clefs.

La vidéo doit durer 60 secondes pile. Le reste est libre, tout ce que demande Laurent c’est que nous arrivions à faire le lien entre ce que l’on montre et le thème. On doit savoir expliquer, pas justifier.

Pour le blog, nous devons avoir 4 comptes pour séparer 4 types de contenu : Instagram/Pinterest pour l’image, Twitter/Blogger/Tumblr pour le texte, Youtube/TikTok/Viméo pour la vidéo et Soundcloud pour l’audio. On devra y réaliser des synthèses de cours et créer du contenu en rapport avec les références de cours ou des articles que nous avons lus, tuto que nous avons vu ou podcast que nous avons écouté.

En conclusion de cette séance au-delà la panique et à tête reposée, je trouve que les sujets sont intéressant, ça nous pousse à faire de la veille culturelle, à se renseigner et explorer des nouveaux moyens de communications. Je pense que ça me fera sortir de ma zone de confort et j’aime beaucoup l’idée.

Merci à toi pour la lecture des origines du blog! J’espère que tu me suivras dans cette aventure.

[feministe-radicale-francaise]

Recommendation Films: “Oublier Cheyenne”

J’ai découvert il y a quelques jours ce petit film indépendant français sorti en 2006 et réalisé par Valérie Minetto, je vous le conseille chaudement. 

Un peu moins d’une heure et demie dans laquelle on suit deux personnages de femmes qui s’aiment mais qui sont séparées par leur vision de la vie, l’une voulant se séparer de la ville et de son économie violente car de plus en plus libérale, l’autre, professeur attachée au confort d’une vie stable. Si vous êtes une femme bi ou lesbienne et que vous recherchez de la représentation en français alors voilà un film pour vous! Le film a été financé avec peu de moyens mais le scénario est original et les acteurs tous juste dans leur jeux, c’est ce qui compte pour la réussite émotionnelle d’un film! Et la coscénariste (Cécile Vargaftig) l’a mit gratuitement sur son compte Viméo, c’est pourquoi je vous partage le lien ici-même :) Bon visionnage!

[occitaniejapon]

Le Museum de Toulouse va diffuser gratuitement l'animé "Mary et la fleur de sorcière" en avril

Le Museum de Toulouse va diffuser gratuitement l’animé “Mary et la fleur de sorcière” en avril

Durant les vacances scolaires le Museum de Toulouse va diffuser gratuitement le film d’animation “MARY ET LA FLEUR DE SORCIÈRE” de Hiromasa Yonebayashi. Trois séances seront proposées sur la chaine Viméo du musée : Mercredi 21 avril 15:00 – 16:30Samedi 24 avril 15:00 – 16:30Dimanche 25 avril 15:00 – 16:30 Synopsis : « C’est l’été. Mary vient d’emménager chez sa grand-tante dans le village de…

[nathalieherbaut]

S2R épisode Mauvaise Blague

sur Viméo mot de passe Nathalie Herbaut