#venus endormie
Explore tagged Tumblr posts
artthatgivesmefeelings · 2 years ago
Photo
Tumblr media
François Boucher (French, 1703-1770) Vénus endormie, c.1740 Musée d’État des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou Exposition L'Empire des sens, musée Cognacq-Jay, Paris
296 notes · View notes
eyeofpsyche · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Nightmares in Art ('Halloween in Art' Series)
Top LTR:
L:
'The Nightmare,' (1781),
Henry Fuseli (1741–1825),
Oil on canvas, H 101.6 cm × W 127 cm,
Detroit Institute of Arts, Detroit, Michigan, USA (1955–).
R:
'Sleeping Venus (La Vénus endormie),' (1944),
Paul Delvaux (1897–1994),
Oil on canvas, H 172.7 cm × W 199.1 cm,
Tate, London, England, UK (1957–).
Bottom LTR:
L:
'The incubus leaving two young women,' (1793),
Henry Fuseli (1741–1825),
Oil on canvas, H 86.4 cm x W 110.5 cm,
Private collection, Paris, France (2010–).
R:
'Nightmare,' (1846),
Ditlev Blunck (1798–1853),
Oil on canvas, H 62 cm x 49 cm,
Private collection, (2014–).
27 notes · View notes
hildegardavon · 5 months ago
Text
Tumblr media
Anonymous Italian, 17th Century
Nymph watched by two Satyrs / Sleeping Venus (Nymphe guettée par deux Satyres / Vénus endormie), n/d, oil on canvas, 96x120 cm
Bordeaux, Musée des Beaux-Arts Inv. Bx E 147
16 notes · View notes
zialinart · 1 year ago
Text
Tumblr media
Mon cadeau secret santa pour @saemi-the-dreamer ptit dessin et ptite fic même si bon, j'écris pas beaucoup donc c'est sûrement un peu bancal
Il était déjà la fin de l'après midi quand Arthur commença sérieusement à s'impatienter. Ca faisait au moins 3 bonnes heures que lui, une bonne partie des représentants les plus importants du monde breton et des délégations venues d'autres pays pour l'occasion attendaient. Et encore eux ils avaient la chance d'être assis, lui commençait à avoir sérieusement mal aux pieds. Et bon sang la couronne de fleur que Guenièvre avait insisté à lui faire porter lui grattait sérieusement le crâne. Il se tourna une fois de plus vers Perceval qui, tenant son rôle de témoin très sérieusement se tenait totalement immobile, les mains croisées :
Non mais bordel qu'est-ce qu'ils foutent ?
Vous voulez que j'aille me renseigner sire ?
Vous voulez dire comme les trois autres fois où vous êtes allés vous renseigner et vous êtes revenus bredouille ? Je sais pas vous vous sentez capables de trouver le chemin des vestiaires cette fois ou je vous colle un intendant pour vous accompagner ?
Non mais les autres fois je suis tombé sur Karadoc ça m'a perturbé, là c'est bon il est assis y'a pas de mouron à se faire sire.
Ok mais dépêchez vous, et dites leur de se bouger aussi ou je sens que l'église va se transformer en un champ de bataille romain-visigoth
De son point de vue il pouvait observer toute la salle et voyait clairement que des alliances commençaient à se défaire au fur et à mesure que les gens s'impatientaient. Les représentants des pays qui parlaient la même langue étaient très agités et parlaient de plus en plus fort, semblant ne pas s'entendre sur le goût du vin, dont ils avaient probablement déjà un peu abusé. D'un côté c'était la seule chose à faire en attendant. Perceval partit se renseigner et Arthur alla se chercher une coupe lui-même, histoire d'actionner un peu ses jambes. Il avait été plutôt fier de son idée de renouveller son mariage avec Guenièvre à la mode catholique, en invitant les plus grands noms du coin afin de montrer qu'il était revenu en tant que roi et que le royaume se portait bien désormais. Mais maintenant qu'il était là, face à tout ce monde qui s'impatientait, il se sentait plutôt nerveux. Bon sang qu'est-ce qu'elle foutait ? C'était pas si foutu compliqué d'enfiler une robe potable pour l'occasion, de se faire un peu tresser les cheveux et boum, mariage et on n'en parle plus.
Qu'est-ce que vous foutez retournez à votre place espèce de trou du fion !
La voix de sa belle mère resonna derrière lui tandis qu'il se servait un verre. Ah, au moins si elle était sortie du vestiaire c'est que c'était bientôt fini
En attendant que votre fille daigne se montrer faut bien que je m'occupe
Oui, bah c'est bon vous vous êtes occupés retournez à l'autel, là Elle le poussa vers le fond de l'église tandis qu'il protestait
Faites gaffe bordel c'est un costume spécial pour l'occasion j'ai pas envie de le tâcher en renversant du vin
Vous avez qu'à pas faire votre poivrot au moins pour une soirée. Pis toute façon croyez moi vous aurez pas besoin d'alcool quand vous la verrez.
Elle le laisse planté là, retourna s'asseoir auprès de Léodagan et secoua celui-ci qui s'était endormi sur son banc. Arthur prit une gorgée de vin en réfléchissant à ces dernières paroles étranges. Oui ok, il avait été assez peu discret ces derniers temps sur les regards qu'il lançait à Guenièvre mais enfin de là à ce que sa belle mère le remarque. Le goût acre du vin le fit hoqueter et il s'énerva mentalement sur les paysans qui n'étaient même pas capables de fournir un vin correct pour le mariage de leur roi. A ce moment là Perceval revint, accompagné de Bohort, l'un en bleu, l'autre en vert pour représenter les deux parties du mariage. Pourquoi Guenièvre avait choisi Bohort comme témoin ça le dépassait, après tout il ne les pensait pas si proches. Mais d'un autre côté il n'avait pas été tellement attentif aux passes temps et aux amis de sa femme durant le temps qu'il avaient passé ensemble. Il se promit mentalement de changer ça.
Ah bah c'est pas trop tôt c'est bon elle va venir ou il faut que je reporte à après-demain ?
C'est bon, c'est bon sire, dit Bohort avec un sourire jusqu'aux oreilles. Sauf votre respect vous allez être plutôt impressionné de ce qu'on a fait avec du simple tissu
Je m'en fous un peu de votre tissu Bohort j'aimerais bien commencer le processus pour que les gens finissent pas par s'étriper dans une église.
Bohort se rangea du côté de la mariée, toujours souriant, et Arthur remarqua que Léodagan s'était eclipsé, sans doute pour pouvoir accompagner la mariée jusqu'à l'autel, c'était bon signe. Même si bon, ils étaient déjà mariés depuis 30 piges techniquement il n'avait pas vraiment sa main à lui donner. Il sursauta alors qu'un orgue commença à résonner dans la salle. Ils avaient un orgue dans le coin ? Encore un détail qui luil avait échappé. Il déposa son verre de vin sur le côté tandis que les invités se levaient, certains de façon un peu vacillante. Deux petites filles apparurent du fond de la salle et dispersèrent des pétales de rose tout le long de l'allée. Et puis elle apparut au bras de son père. Sa machoire tomba et il oublia tout. Les trois heures d'attente, les invités qui s'engueulaient, le vin dégueu, même ses pieds. Elle était vêtue d'une robe en tulle blanche recouverte de fleurs bleues jusqu'à la taille. Ses cheveux lui tombaient sur les épaules en cascade, avec seulement une couronne de fleurs similaire à la sienne sur la tête. Elle était magnifique. Elle arriva à sa hauteur et Léodagan lui donna sa main et retourna s'asseoir. Elle lui sourit timidement tandis que le prêtre se mettait en position.
Vous dites rien ?
Je euh Pour une fois il était sans voix, tout juste capable de la parcourir du regard bouche bée.
C'est les fleurs c'est ça ? J'ai dit à Bohort que ça faisait trop mais il était sûr que c'était la mode et puis Merlin les a fait pousser exprès et du coup…
Il lui posa un doigt sur la bouche avant qu'elle ne s'emballe trop.
Vous êtes parfaite, réussit-il seulement à murmurer
Son visage s'illumina et elle rougit un peu.
Il sourit à son tour réalisant que la cérémonie lui tenait finalement plus à coeur qu'il ne le pensait. Leur premier mariage avait été un simulacre politique. Celui-ci était un mariage d'amour.
37 notes · View notes
claudehenrion · 6 months ago
Text
Les délices de Capoue...
Il y a quelques jours à peine, je concluais mon ''éditorial'' par cette remarque un peu acide que ''ce qui va --et doit, si rien n'est tenté-- nous tomber dessus, c'est la victoire du Laid sur le Beau, du Mauvais sur le Bon, du Mal sur le Bien et du Faux sur le Vrai. Et à ce jour, hélas... nous sommes bien mal partis ! '' Mais j'ai dû me fourrer un doigt dans l’œil, ''quelque part'' : en cet été de tous les dangers où, comme le dit un titre de Nicolas Baverez, '' Nous dansons sur un volcan'', je ne croise que des gens heureux ou -à tout le moins- contents. La mode, en 2024, est au vacancier heu-reux
Oubliées, les ''rabias'' contre Macron et les gros mensonges post-élections européennes... Envolées les craintes pourtant toutes justifiées sur l'immigration et la sécurité... Balayés, les bobards énormes et les contes de sorcières qui ont été déversés sur nous lors du second tour des pseudo-législatives... Nettoyées, les peurs de la décennie précédente sur la terre et le climat ou la fonte de tas de choses un peu partout, sur le tri dans dans la poubelle, la peur de la Gauche pour les sages, la peur de la Droite pour les myopes et la peur du centre pour les décentrés et les con-centrés... En six mots comme en mille : ''Dormez, braves gens, tout va bien''...
Il a suffi que les jeux olympiques se déroulent normalement, comme il était prévisible qu'ils se déroulent : sans les drames planétaires annoncés à grand renfort de fake-news et de budgets de ''Comm''. L'énorme préparation psychologique destinée à nous faire croire que tout ce que la terre porte de djihadistes-candidats-au-suicide était dans les starting blocks (de manière à faire passer le prévisible ''il ne se passe rien'' comme une immense victoire du macronisme et du darmananisme, unis, comme toujours, dans l'endormissement des cerveaux, la manipulation des foules et le viol des intelligences), a porté ses fruits : la Nation s'est endormie dans la douceur de l'été. Tout peuple, depuis toujours et à jamais, aspire à la quiétude, au bien-être, à la douceur de vivre...
Le pouvoir peut être content : au moment où il a temporairement arrêté de nous faire paniquer en ne parlant presque plus de Poutine dans ses termes ''con-venus'', où il admet que Kamala Harris serait un choix infiniment plus dévastateur que le très-détesté-en-France ''homme à l'oreille coupée'', et où le silence des medias ''Main stream'', toujoursaux ordres, nous assourdit... les braves gens peuvent croire que, à force de ne plus parler des vrais problèmes, ils auraient disparu comme par enchantement : nombre de français commence à croire que ni l'immigration, ni la violence urbaine, ni la drogue (etc...) ne peuvent avoir de corrélation entre elles et d'influence sur eux... et que, finalement, les vacances, c'est bien agréable (ce sur quoi je suis d'accord avec eux !)
Il n'empêche... Au fur et à mesure que l'Europe –qui commence enfin à comprendre qu'elle n'a rien à faire dans cet ''indémerdable merdier'' (Pardon. Si vous avez un meilleur mot, je suis preneur !)-- fait la danse du ventre pour se dégager du conflit russo-ukrainien, en douce, pour ne pas qu'il soit connu que les livraisons des armes promises sont asymptotes à zéro et que Zélensky se prépare à se jeter dans une guerilla où le petit taon va piquer le gros ours ici et là... au fur et à mesure que l'Iran, devant l'entêtement d'Israël à ne pas écouter les sirènes onusiennes et les conseils de modération donnés par ceux qui veulent sa fin, va finir par ouvrir un front Hezbollah au nord… nous nous rapprochons à pas feutrés de vraies guerres... pendant que, la date fatidique approchant, une intervention musclée chinoise devient de plus en plus prévisible dans le détroit de Formose. ''Tout va bien...'', qu'ils nous répètent !
Mais n'ayez aucune crainte, amis lecteurs : pendant que le monde hésite entre effondrement, écroulement et dégringolade, Macron et son extraordinaire aptitude à procrastiner veillent sur vous. Nous ne sommes pas près d'avoir un gouvernement (et, à en juger par l'expérience de nos amis belges, ce serait plutôt la seule vraie bonne nouvelle du moment !), la France est divisée comme rarement (j'ai vécu, contrairement à ceux qui en parlent trop souvent, la rivalité Pétain-De Gaulle), et le monde a, littéralement perdu la tête. Les anciennes ''racines''(qui permettaient de s'accrocher en attendant la fin de l'ouragan) ont disparu, sont ridiculisées et plus que mollement défendues, même par ceux qui se souviennent encore de leur ''avoir existé'', et qui savent encore que là seulement se cache, honteusement, la seule et ultime possibilité d'éviter l'effilochage en cours.
Comme les lecteurs habituels de ce Blog s'en souviennent peut-être, j'ai pas mal ''crapahuté'' cet été, d'est en ouest et du nord au sud de la France, et j'ai pu vérifier la volonté (couronnée de succès) de nos concitoyens pour le bonheur... Les côtes semblent s'enfoncer sous le poids des foules de touristes, les montagnes sont usées par les chaussures de hordes de vacanciers, les résidences secondaires ont fait le plein ���dans la crainte, sans doute que la connerie militante des mélenchoniens ne les réquisitionnent comme le recommande leur stupide et surtout mortifère ''programme''... C'est à peine, disent certains commerçants, s'ils dépensent peut-être un peu moins. Mais regardez ces vacanciers : sincèrement, combien en avez-vous entendu qui arrêtaient de léchouiller leur cornet ''king size'' pour évoquer la politique, sous quelque forme que ce soit, intérieure, extérieure, mondiale ? Je vais vous économiser la fatigue –même légère-- de rechercher : la réponse est : zéro, sauf exception !
''Les peuples heureux n'ont pas d'histoire'', dit le proverbe... Alors que je n'ai jamais été d'accord avec cette affirmation, je commence à me rallier à ce qu'elle sous-entend : à force de ne plus avoir d'histoire au présent et de réécrire sans cesse des mensonges progressistes sur son passé, le peuple français est bel et bien en train de sortir de l'Histoire. Et le plus fort, c'est qu'il semble en être heureux... Le réveil –s'il peut encore avoir lieu-- sera terrible, je le crains... Mais en attendant, nous voici revenus en l'an 215 avant JC, au temps des guerres puniques : l'été 2024 aura ressemblé à s'y méprendre aux délices de Capoue, qui ont sonné la fin de la civilisation carthaginoise...
H-Cl.
8 notes · View notes
sofya-fanfics · 2 days ago
Text
Tout se transforme
Tumblr media
Fandom : Dr. Stone
Relationship : Senku x Kohaku
Voici ma participation pour le Be My Valentine challenge 2025 pour le prompt : Amis à amants.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Senku fixa le plafond et vit qu’il était dans sa chambre. Il fronça les sourcils. Il ne se souvenait pas être revenu dans sa chambre. Il sentit bouger à côté de lui. Il tourna la tête et vit Kohaku endormie. Il sourit. Cela ne l’étonnerait pas qu’elle l’ait porté jusqu’à sa chambre pour qu’il puisse dormir dans son lit.
Disclaimer : Dr. Stone appartient à Riichiro Inagaki et Boichi.
@bemyvalentinechallenge
AO3 / FF.NET
Senku ouvrit lentement les yeux. Il s’était encore endormi à son bureau. Ces derniers temps, c’était de plus en plus fréquent. Il avait tellement de travail avec le projet de construction de machine à voyager dans le temps, qu’il vivait dans son bureau.
Il fixa le plafond et vit qu’il était dans sa chambre. Il fronça les sourcils. Il ne se souvenait pas être revenu dans sa chambre. Surtout que cela faisait plusieurs semaines qu’il n’avait pas dormi dans son lit. Il sentit bouger à côté de lui. Il tourna la tête et vit Kohaku endormie. Il sourit. Cela ne l’étonnerait pas qu’elle l’ait porté jusqu’à sa chambre pour qu’il puisse dormir dans son lit.
Cela faisait trois mois qu’ils étaient en couple. Mis à part Taiju qui s’était montré très enthousiaste à l’annonce de leur relation, tous leurs amis avaient été surpris. Après tout, Senku avait toujours proclamé que l’amour et les relations de couple ne l’intéressait pas, que ce n’était qu’une perte de temps. Et Kohaku n’avait jamais montré le moindre intérêt aux relations amoureuses.
C’était quelque chose qui leur était arrivé sans qu’aucun d’eux ne l’ait cherché. Senku avait travaillé tard et Kohaku était venue lui apporter à manger, sachant qu’il n’avait rien avalé de la journée. Elle avait réussi à le convaincre de prendre une pause. Ils avaient mangé, ils avaient parlé, ils avaient ri et ils avaient fini par s’embrasser. Ce baiser avait été à la fois naturel et une évidence pour eux.
Quand Senku y réfléchissait, c’était la suite logique de leur relation. Ils étaient amis. Elle avait été la première habitante de ce nouveau monde qu’il avait rencontré. Elle lui avait tout de suite fait confiance, tout comme Senku lui avait fait confiance dès leur première rencontre. Il lui avait fait découvrir le monde de la science et il ne savait pas s’il aurait pu reconstruire la civilisation sans elle. Malgré ses connaissances en sciences et ses alliés, sans Kohaku il n’aurait jamais pu réaliser tout ça. Il lui devait énormément. Cela n’avait donc rien d’étonnant à ce qu’il soit tombé amoureux d’elle. Lorsqu’il s’en était rendu compte, il il l’avait accepté sans se poser de question et c’était ce qui avait pu lui arriver de mieux.
Il passa ses bras autour de sa taille et Kohaku se blottit instinctivement contre lui sans se réveiller. Senku sourit et ferma les yeux sentant la fatigue le submerger à nouveau. Il pensa à une citation d’Antoine de Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme. ». Cela correspondait bien à son histoire avec Kohaku car leur amitié s’était transformé en amour.
Fin
3 notes · View notes
clubvideotapes · 2 months ago
Text
La malédiction (The Omen), 1976
Tumblr media Tumblr media
Le diplomate américain Robert Thorn et son épouse Katherine résident à Rome, où Katherine donne naissance à un fils qui, selon les informations communiquées à Robert, décède à la naissance. Le père Spiletto, aumônier de l'hôpital, persuade Robert d’adopter secrètement un autre nourrisson dont la mère vient de décéder en couches. Robert choisit de ne pas informer Katherine que l'enfant n'est pas le leur. Ils décident de l'appeler Damien.
Cinq ans plus tard, Robert occupe le poste d'ambassadeur du Royaume-Uni à Londres, tandis que des événements mystérieux commencent à hanter la famille Thorn. Un Rottweiler menaçant fait une apparition chez eux, la nourrice de Damien se suicide publiquement lors de la célébration de son cinquième anniversaire, une nouvelle nourrice, Mme Baylock, arrive sans préavis, Damien oppose une résistance violente à l'entrée d'une église, et sa présence perturbe les animaux dans un parc safari. Le père Brennan met en garde Robert concernant les origines de Damien, laissant entendre qu'il n'est pas un enfant ordinaire et exhortant Robert à recevoir la Sainte Communion. Il lui révèle que Damien est le fils de Satan, que Katherine attend un enfant et que Damien pourrait causer la mort de ses frères et sœurs à naître, ainsi que celle de ses parents. Plus tard, le père Brennan perd la vie à la suite de la chute d'un paratonnerre. Katherine confie à Robert son désir d'avorter, une position à laquelle il s'oppose fermement. Damien fait tomber Katherine par-dessus une balustrade, entraînant des blessures pour elle et causant une fausse couche.
Le photographe Keith Jennings observe des ombres sur les photographies de la nounou et du père Brennan, symbolisant leur destin tragique. Il présente à Robert ces images, ainsi que des articles de presse et des extraits bibliques que le père Brennan avait laissés, évoquant la venue de l'Antéchrist. Par la suite, il accompagne Robert à Rome afin d'explorer les origines de Damien. Ils découvrent qu'un incendie a ravagé l'hôpital, emportant les dossiers de maternité de Katherine et causant la mort du personnel en service. Ils retrouvent le père Spiletto dans un monastère gravement endommagé, muet, aveugle d'un œil et partiellement paralysé. Celui-ci les conduit vers le cimetière où repose la mère biologique de Damien. Dans la tombe de cette dernière, Robert et Keith mettent au jour une carcasse de chacal, puis, dans la suite de leur enquête, le squelette d'un enfant au crâne fracturé. Robert découvre que l'enfant était en réalité son propre fils, tué afin de permettre à Damien de prendre sa place. Une meute de Rottweilers chasse Robert et Keith du cimetière.
Robert contacte Katherine à l'hôpital pour lui annoncer qu'elle doit quitter Londres. Avant qu'elle n'ait l'occasion de partir, Mme Baylock la précipite mortellement par la fenêtre de sa chambre. Par la suite, Robert et Keith font la connaissance de Carl Bugenhagen, un expert en exorcisme de l'Antéchrist basé en Israël, qui déclare que si Damien est véritablement l'Antéchrist, il portera une tache de naissance en forme de trois six. Carl remet à Robert sept poignards destinés à éliminer Damien sur un territoire sacré. Bien que Robert refuse d'exécuter cette mission, Keith demeure convaincu de son importance. Par la suite, Keith trouve une mort tragique en étant décapité par une vitre de camion. En proie à la colère, Robert finit par accepter, à contrecœur, de mener à bien cette mission.
Robert découvre une tache de naissance sur le crâne de Damien, alors qu'il est endormi, et se fait attaquer par Mme Baylock, qu'il poignarde mortellement. Équipé de ses poignards, Robert conduit Damien vers une cathédrale locale. Son comportement erratique suscite l'attention des forces de l'ordre. Il traîne Damien, qui hurle, jusqu'à l'autel dans l'intention de le tuer, tout en suppliant Dieu de lui accorder son pardon. Cependant, la police intervient et ouvre le feu sur lui alors qu'il brandit son poignard.
Le président des États-Unis et la Première Dame assistent à ces funérailles. La caméra effectue un mouvement vers l'arrière, révélant qu'il s'agit des funérailles de Robert et Katherine. Damien, se tenant aux côtés du couple présidentiel, se retourne et esquisse un sourire à l'attention de la caméra.
6 notes · View notes
dercetodebauchery · 2 days ago
Text
Tumblr media
Venus endormie...
2 notes · View notes
firebirdxvi · 1 year ago
Text
Fils du Feu 02 ~ Flamme d'Espoir
Tumblr media Tumblr media
Maître Cyril avait rassemblé tous les Immortels après que l'agitation générale se soit calmée. Dans la grande salle de réunion, celle qui leur servait à méditer ou à communier ensemble, les murmures allaient bon train. Cette ambiance était tout à fait inhabituelle, et il du attendre un moment pour obtenir le silence. Lui-même se sentait gagné par une fébrilité nouvelle, et il se força à garder le ton calme et monocorde que tout le monde lui connaissait. Son rôle allait devenir encore bien plus important...
Il tendit les mains et commença à parler :
- "Vous savez tous que le grand jour que nous attendions est arrivé : le sérénissime Phénix, flamme de vie, de mort et de renaissance, nous a fait la grâce de s'éveiller et de nous bénir de sa divine présence." Il ressentait un plaisir coupable à prononcer enfin ces mots. "Cependant, son voyage fut long et son retour dans son vaisseau charnel peut s'accompagner de quelques difficultés que nous devrons aider Sa Grâce à surmonter. Bien des années se sont écoulées, notre archiduché est détruit, la famille Rosfield anéantie, mais l'espoir de tout reconstruire perdure."
Des soupirs se firent entendre autour de lui.
- "Le secret absolu doit demeurer. Aucun d'entre vous ne doit évoquer le Phénix hors de ses murs. Celui qui s'en rendra coupable sera exécuté sur le champ. Tel est la loi de notre ordre dont je suis le garant."
Après ce rappel intimidant, un adepte leva la main avec révérence pour demander la parole.
- "Allons-nous le laisser sortir ? Il voudra sûrement découvrir comment le monde a changé en son absence... Comment se porte-t-il ?"
Cyril prit le temps de choisir ses mots.
- "Sa Grâce se remet à peine de son long coma. Des traumatismes physiques et mentaux semblent l'affecter, mais rien que nous ne pourrons surmonter. Si le Phénix est puissant, la chair est faible ; nous devons nous en accommoder. Pour le moment, sa guérisseuse attitrée" - il désigna la concernée - "continuera de s'occuper de sa santé."
- Vous avez parlé de problèmes... mentaux...", risqua un autre adepte sans avoir levé la main.
Il coupa court à sa question en notant le regard courroucé que Cyril lui lançait de dessous sa capuche. Le Maître consentit malgré tout à répondre :
- "Il est inutile de vous cacher la vérité : son esprit a été abîmé par la terrible expérience de Fort Phénix. Sa mémoire semble défaillante et il peine à se souvenir de ce qui s'est passé." Il attendit quelques instants avant de reprendre. "Nous faisons face à un autre problème que nous n'avions pas envisagé. Si son corps a changé, son esprit est toujours celui d'un enfant de dix ans... En plus de cela, il paraît avoir oublié beaucoup des usages de la vie quotidienne. Même parler lui est difficile. Il doit réapprendre tout ce qu'un enfant est censé assimiler en l'espace de plusieurs années. Il restera dans le Nid encore un moment je crois."
- "Mais c'est terrible !...", se plaignit une adepte prête à fondre en larmes.
- "Ses pouvoirs d'Emissaire semblent intacts, n'est-ce pas l'essentiel ?" répondit Cyril, sur la défensive. "Ce n'est qu'une question de temps avant que Sa Grâce ne retrouve toutes ses facultés. Il pourra marcher au milieu de vous quand le moment sera venu." Les adeptes joignirent les mains et quelques-uns tombèrent à genoux. "Continuez de le servir comme il se doit, et la meilleure manière pour vous de le faire, c'est de suivre mes ordres. Retournez à vos taches."
Il mit fin à la réunion et les Immortels se dispersèrent. Seuls restèrent dans la pièce Cyril, la soigneuse du Phénix et la jeune Jote. Elles avaient assisté à tout ce qui s'était passé et même à certaines choses qu'il n'avait pas révélées aux adeptes.
- "Il va sans dire que je vous ordonne le silence sur ce que j'ai moi-même tu", annonça-t-il. "Ils n'ont pas besoin de tout savoir. Et de toute façon, tout ceci passera. Il lui faut du temps..."
- Oui, Maître. Sa Grâce est restée endormie cinq ans...", soupira la soigneuse. "Imaginez le choc qu'il a eu en se levant de son lit et en voyant son image sur la surface polie du mur de sa chambre..."
- "Il vous l'a dit ?" s'étonna Cyril.
- "Pas vraiment. Il ne prononçait pas encore des sons... articulés quand je l'ai quitté. Mai je pense l'avoir deviné. Il se tenait tout près de ce miroir improvisé quand nous l'avons trouvé. Il sanglotait et essayait de se... déchirer le visage..."
- "Vous me l'avez déjà dit, ne prenez pas cet air dramatique", lui intima le Maître. Il détestait par-dessus tout les démonstrations de sensiblerie. "Vous lui avez donné des sédatifs ?"
- "Oui, même si je pense pour ma part qu'il a assez dormi. Mais je ne voulais pas qu'il se fasse du mal..."
- "Evidemment, ce serait désastreux. Il vaut mieux ne rien révéler de la détresse mentale de Sa Grâce aux adeptes. Je compte sur vous pour remédier à ce problème."
- "Je sais soigner les maux physiques, mais ceux de l'esprit me sont plus obscurs... Le savoir des Immortels n'inclut pas..."
- Je suis sûr que vous y arriverez, vous vous occupez de lui depuis longtemps." Il baissa les yeux sur Jote, qui avait écouté en silence jusque-là. "Il serait sans doute bon pour lui d'avoir à ses côtés la compagnie d'une jeune personne..."
La petite fille se raidit et son regard se fit déterminé.
- "C'est un grand honneur, Maître..."
- "Pas de familiarités avec Sa Grâce, cela va de soi. Vous n'êtes pas son amie mais sa servante. S'il vous demande l'impossible, vous obéissez ; s'il vous demande de mourir, vous le faites. Et il est inutile de le rappeler : personne ne doit lui parler de ce qui est advenu de sa famille. Pour l'instant. Quand la mémoire lui reviendra, nous aviserons."
Tumblr media
Jote hocha la tête machinalement, comme hypnotisée par le regard pénétrant du Maître des Immortels.
- "C'est ce que nous sommes tous disposés à faire, moi y compris. Nos vies ne servent qu'à son usage. Ne l'oubliez jamais : vous n'existez que pour permettre au Phénix de déployer à nouveau ses ailes."
Il leur indiqua de disposer, ce qui signifiait retourner au Nid. Les deux adeptes seraient même sans doute forcées d'y demeurer la plupart du temps, pour surveiller les moindres faits et gestes de l'Emissaire. Cependant, le Maître exprima son désir de les accompagner.
- "Je veux me rendre compte par moi-même de son état et lui rendre hommage, même s'il est inconscient", expliqua-t-il avant de les précéder dans le couloir.
Arrivés devant la porte en forme d'anneau, la soigneuse présenta de nouveau la clef et la chambre s'ouvrit. Une forte chaleur régnait dans la pièce, et ce qui ressemblait à de minuscules plumes de fin duvet blanc flottaient dans les airs... Cyril balaya l'espace devant lui de la main pour les écarter, se demandant bien d'où elles pouvaient venir...
Tumblr media
Joshua Rosfield ne dormait pas. Il était allongé dans son lit, le corps recouvert de son draps, et contemplait sa main au bout de son bras tendu vers le plafond. Il ne faisait pas attention à eux. Il tournait et retournait sa main tout en bougeant les doigts, de longs doigts fins et délicats... qui devaient lui apparaître comme tout à fait étrangers. Puis, il ramena sa main et en posa le dos sur son front en gémissant faiblement. La soigneuse eu de nouveau un mouvement de réconfort en se portant vers lui. Cyril l'arrêta.
- "Pas d'apitoiements inutiles, vous n'êtes pas sa mère."
- "Je devrais peut-être l'être si vous voulez que je guérisse son esprit", rétorqua-t-elle, avec un ton de défi à peine dissimulé.
Cyril ne répondit pas mais se dirigea vers le lit de son seigneur. S'arrêtant à une distance respectueuse, il s'inclina profondément devant l'Emissaire, qui se mit à le regarder sans comprendre ce qui se passait. Son regard faisait penser à une page vide...
- "Je suis Cyril, le Maître des Immortels. Permettez-moi, illustre Phénix, de vous rendre l'hommage que je vous dois. Sachez que ma vie et celle de tous les adeptes sont vôtres. Ordonnez, nous obéirons. Vous n'avez qu'un seul mot à dire..."
Mais Joshua ne dit rien, et le bleu-vert de ses yeux sous sa frange de cheveux blonds le transperça, comme s'il pouvait sonder son âme. C'était un regard d'enfant qui venait de naître, mais dans le visage émacié d'un adolescent qui s'éveillait d'un très long rêve. Cyril fut presque tenté de le plaindre... mais se reprit immédiatement. Il s'éloigna de la couche.
- "Prenez bien soin de lui. Je veux un rapport quotidien sur ses progrès. Dès qu'il sera capable de comprendre et de parler de façon correcte, je veux le savoir."
- "A vos ordres, Maître", s'exclamèrent ensemble les deux adeptes.
Cyril quitta alors la pièce, non sans un dernier regard et une ultime révérence vers Joshua qui avait entreprit à présent d'examiner la plante de ses pieds en dérangeant tout à fait l'agencement de ses draps. Il semblait avoir bien du mal à utiliser ses longs membres filiformes... Enfin, il laissa les deux adeptes avec leur patient.
La soigneuse se porta au chevet de l'Emissaire et l'invita à se couvrir de nouveau de son draps. Joshua obéit machinalement, comme un enfant grondé, et croisa sagement ses mains sur ses genoux. Mais on voyait bien qu'il était au bord des larmes. La soigneuse le rassura et balaya les mèches folles et humides de son front avant de l'observer plus attentivement.
- "N'ayez aucune crainte...", souffla-t-elle doucement. "Personne ici ne vous fera le moindre mal..."
Si elle était parvenue à conserver intactes ses fonctions vitales, l'Emissaire était très amaigri et sa peau avait pris la blancheur de la craie et la fragilité du papier. Ses cheveux blonds-roux avaient aussi considérablement poussés et lui tombaient dans le bas des reins. Elle n'avait pas eu le coeur de les couper car elle ignorait alors s'il désirerait les garder à cette longueur... Ils méritaient par contre un bon nettoyage.
Joshua ne fuyait pas devant elle, comme s'il la reconnaissait en quelque sorte. Mais il la laissa examiner le moindre recoin de son anatomie avec appréhension, d'abord ses cicatrices sur le torse, sur les cuisses, les bras ; puis celle sur son crâne, qui avait causé bien du souci à la soigneuse. Enfin, elle osa lui poser une question :
- "Avez-vous mal quelque part, Votre Grâce ?"
Elle avait parlé dans un doux murmure, comme une mère l'aurait fait pour son petit garçon malade. Il pencha la tête, comme s'il entendait un son familier et tenta à son tour de communiquer.
- "Grr.... rrr... aaaa..."
Cela resta coincé dans sa gorge et la soigneuse adopta alors un type de langage universel : celui des signes. Il sembla comprendre ce qu'elle lui demandait et indiqua son propre visage.
- "Il n'y a rien sur votre visage. Il a certes changé mais il n'a rien de laid... Aucune cicatrice n'y est restée, j'ai fais tout mon possible pour ça." Elle lui expliqua par signes.
Le patient se mit alors en tête d'attraper les plumes duveteuses qui semblaient avoir envahi la pièce. Il en saisit une et la regarda avec intérêt, puis la souleva dans les airs pour la voir flotter de nouveau. Comme effrayé par le phénomène, il se cacha le visage sous son draps. La soigneuse lui sourit.
- "C'est vous qui générez ces jolies petites choses douces et légères", lui expliqua-t-elle avec patience. "C'est votre pouvoir d'Emissaire. Vous ne le contrôlez plus très bien mais cela vous reviendra petit à petit."
Tumblr media
Joshua semblait un peu apaisé mais la fatigue le gagna. Avant de s'allonger de nouveau sur ses oreillers, il mima des signes dont la signification était évidente, même pour la petite Jote, qui observait tout avec intérêt.
- "Il a soif, c'est ça ?" s'exclama-t-elle.
- "Je crois que oui. Il faut dire qu'il fait une chaleur ici... C'est comme si l'essence du feu elle-même avait envahi la pièce. C'est sans doute bon signe, il n'a pas perdu le Phénix...", soupira la soigneuse, comme si elle avait vraiment craint que cela n'arrivât. "Va lui chercher de l'eau fraîche. Et ensuite, Votre Grâce, je vous ferais prendre un bon bain. Vous aimerez ça, vous verrez."
- "Je reviens vite !", s'écria Jote, toute heureuse de cette mission. "Je ne ferais pas tomber la cruche cette fois !"
Et elle sortit presque en sautillant, insoucieuse qu'on puisse la voir. Le Phénix apportait enfin dans sa vie le changement dont elle avait bien besoin. Elle avait hâte d'apprendre à le connaître.
13 notes · View notes
ekman · 1 year ago
Text
Tumblr media
Ah, le joli mois d’octobre ! La déplorable situation au Proche-Orient – disons en Palestine pour préciser les choses –, révèle, en Occident essentiellement, les peurs, les lâchetés, voire les renoncements de bien des populations et de leur gouvernement. Ce que j’observe, avec amusement autant qu’avec inquiétude, c’est l’immaturité des réactions de la plupart des nations de “l’Occident global” face aux derniers développements de problèmes pourtant vieux comme Mathusalem. Le fond, comme la forme, sont désespérants. L’Europe, et la France en particulier, attestent l’effacement définitif de leur rôle historique dans le bassin Levantin. Les médias, comme c’est leur habitude, hystérisent les événements et prennent aveuglément le parti de leurs actionnaires. “Israël ! Israël ! Israël !” entends-je partout, à tout bout de champ, tout le temps. Il faut défendre Israël avec les Israéliens, parce qu’Israël, c’est le rempart de notre civilisation contre les sauvages musulmans. Quand Israël sera tombé, c’est tout le continent qui sera attaqué, la nuit, à l’aube, au couteau, à l’AK. Nous serons tous pogromisés, kippa ou pas, pour le seul crime d’être des kafirs.
Je résume là ce qui me semble être, plus ou moins explicitement, plus ou moins bruyamment, le mot d’ordre – ou plutôt la “parole de panique” – qui s’installe sous nos latitudes. Et je joins quelques capsules mnésiques liées à ces événements :
• Il est navrant le spectacle de cette aube automnale si belle qui dévoile le défilé des assassins à moto, bouchers amateurs partis massacrer des familles endormies. Éternel recommencement de l’insupportable injustice frappant les populations prises à parti, flinguées, étripées, égorgées – cadavres et scènes de crimes arrangés à des fins de terrorisme par l’image. “Allah u-akbar”, comme toujours, ici ou là-bas. Tout  a été filmé, par les caméras d’inutile surveillance des victimes et les go-pros des instigateurs. Tout a été montré. • Scènes à peine croyables – je dis bien “à peine croyables” – des commandos palestiniens faisant détonner des explosifs contre des murs en béton et des rideaux de barbelés pour pénétrer des périmètres de sécurité placés sous surveillance automatique 24/7. Les drones qui ont largué leurs charges explosives au-dessus des relais de communication et autre appareil de détection, volent sans ambage d’un pylône à l’autre. Pouvait-on être plus prévisible ? Des ailes volantes motorisées sillonent le ciel, ouvrant le feu sur tout ce qui court en dessous. Pouvait-on être moins discret ? Et pourtant, la petite base armée prise d’assaut regorge de cadavres en slip, tirés du lit dans la panique, la plupart n’ayant même pas eu le loisir de défendre leur peau face aux assaillants brailleurs.
• Grand rassemblement décadent, scènes et chapiteaux. Les fumeurs de oinjes, les raveurs, les filles et fils de bobos, les zoneurs à dreadlocks et leurs meufs à cheveux bleus fuient dans le désert pour échapper au flinguage venu du ciel. Grand Bataclan à ciel ouvert. On a tous rêvé de débarquer dans une rave en Hummer pour remettre un peu d’ordre. Mais là, je vois courir tous ces hébétés et je pense aux parents qui, dans quelques heures, recevront qui un coup de téléphone, qui la visite d’amis ou d’officiels venus leur annoncer ce qu’aucun parent, jamais, ne devrait être contraint d’entendre.
• Un prof a été égorgé dans un lycée français, le deuxième et certainement pas le second. Héros, hommage, hugs. Les trois ���H” du cancre élyséen. À la lumière des “massacres du Hamas”, de nombreux chroniqueurs ne peuvent s’en empêcher : mais combien sont-ils chez nous, nous les braves et pacifiques Français, à attendre le grand soir et son fameux croissant de lune ?
• Prendre parti. Ceux qui déplorent les Palestiniens écrasés sous leurs immeubles à coups de bombes sont d’infects islamo-collabos. Les chroniqueurs, chefs de plateau et autres inutiles s’agitent bruyamment, distribuent des bons points et offrent à qui en veut une tournée de moraline. Ça va de “j’ai d’excellents amis Juifs” à “et la Shoah alors, vous en faites quoi ?”. Pathétiques agitations, pitoyables guignolades.
• Je n’entends quasiment personne rappeler ce qu’était encore la diplomatie française d’après guerre. Ce que nous avions perdu en puissance militaire, nous pouvions encore le compenser en influence. Le refus d’être inféodé, comme l’obsession de la souveraineté, allait favoriser l’émergence d’une autre voie – le non-alignement –, unique chemin vers la préservation d’une forme d’indépendance géopolitique dans un monde violemment bi-polaire. L’exceptionnel domaine ultra-marin de la France lui conférait alors une dimension internationale quasi naturelle, préservée des affres d’une décolonisation dramatique. Que reste-t-il de tout cela ? Rien. Absolument rien. La France a perdu partout, elle qui est maintenant devenue une colonie du tiers-monde, le champ d’expérimentation européen du globalisme assassin.
• Pathos, pathos, pathos ! J’ai du pathos à pas cher, en voulez-vous ? L’heure est donc à l’effroi et à l’indignation. Idéal pour nous rappeler que le peuple juif est un peuple héroïque. Légèrement dominateur – comme nous le rappelait le grand Charles – mais courageux, combattif, résolu. Idéal aussi pour déshumaniser le Palestinien de base et fermer les yeux sur les tonnes de bombes balancées sur des gens qui rêvaient sans doute d’égorger des Juifs mais qui, étant donné leur condition physique nouvelle, n’auront pas le temps de passer à l’acte. Je sais, je fais du mauvais esprit. Précisément. Ce qui est triste, là-dessous, c’est le cautionnement inconditionnel de la scénarisation tous azimuts. Ces gens-là, Monsieur, n’ont honte de rien. Ceux qui montrent avec le regard fixe, la mâchoire d’acier, le geste calme, et ceux qui regardent, le teint livide, la bouche ouverte, l’œil mouillé et la gorge nouée. Images de salle à manger transformée en abattoir, de jardinet jonché de tripaille, de trainées de sang chaud dans les couloirs. Ça change des parents gris qui beuglent comme des bougres avec le cadavre tout cendré de leur môme de quatre ans et demi dans les bras. “Oui, mais en même temps, il y a les agresseurs et les agressés, hein, non ?”. Et dire qu’ils sont payés pour oser proférer de telles ignominies.
• François Cevert est mort le 6 octobre 1973 sur le circuit de Watkins Glen. C’était le jour du commencement de la guerre du Kippour. Un demi-siècle plus tard, alors que je raconte à qui veut bien m’écouter la carrière fulgurante et la mort tragique de celui qui fut mon idole, le Hamas fourbit ses armes pour son attaque du 7 octobre. Coïncidence ? Je crois bien, oui.
J.-M. M.
9 notes · View notes
les-portes-du-sud · 1 year ago
Text
Les ailes d'Icare 20.08.2023
L'histoire se raconte en un mot, pourquoi pas ? Un son blanc, muet... qui met fin à son existence.
Cris pour de petites gouttes d'oubli, oubli pour tant de pétales finalement fanés
Un amour livré à compte-gouttes.
Une trahison arrosée à flots.
Une cacophonie de bruits sourds qui dévorent une monotonie d'ambivalences litigieuses d'excès, si trompeuse, macabre, et pourtant, si neutre dans son mode opératoire, qui enivre, ennuie et piège.
Une fleur devient papillon (vivre ainsi un jour au lieu de dix), donne son temps à la liberté... Pauvre Icare du destin ! Si bien défini, mais si mal réalisé, il est parti comme il est venu ; oui.. Elle était morte... mais heureuse. Et qui sommes-nous pour lui refuser un regard ? Pour le couper d'une décision ? Pour le nourrir d'une aile ? Et calciner sa réaction ?
Pauvre agneau qui ne voit pas celui qui le mange.
Tellement inoccupé dans la monotonie que chaque jour devient une mauvaise surprise. Comme tout bijou de foire tzigane, il attire les regards des gens qui n'achètent pas... Mais, quand même, ils s'approprient votre acquisition.
Il vous enveloppe dans sa compréhension, sans tenir compte du monde, tandis que vous vous nourrissez de son manque de nutriments.
Je ne prévois pas de préciser, je ne prévois pas de planifier... Je prévois de voler sans chercher à préciser.
Pourquoi avoir à voler? Que demander à part des rêves endormis ?
Demande dans ta tombe d'écume une vérité, une raison, un mot que ton pardon t'enlève, qu'on mange l'équation qui se révèle dans ton vœu d'être gris et froid... équation que tu as créé, et maintenant tu ne comprends pas , purée d'addition !
Sacrée réintégration.
Alors en soi le point du réel est l'histoire elle-même, la dérivation, sa folie et sa réintégration dans le néant.
Les-portes-du-sud
12 notes · View notes
Photo
Tumblr media
Joli petit rideau métallique d'un autre temps qui, la nuit venue, se métamorphosait en gardien impénétrable pour préserver les trésors d'une boutique endormie.
17 notes · View notes
yaminahsaini · 1 year ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
20 novembre 2023/dernière partie: Tout ce que j’ai à faire ensuite c’est juste de dormir. Au moins j’ai le confort de pouvoir faire cet examen dans mon environnement et pas à l’hôpital! Je dois noter dans un formulaire qu’ils m’ont donné à quelle heure je me suis endormie/toutes les fois où je me suis réveillée, comment était mon sommeil etc… Ce qui est incroyable c’est que mon chat est venu se blottir contre mes bras au niveau des appareils médicaux alors que d’habitude il ne dort que vers mes jambes! C’est pas la première fois qu’il fait ce genre de chose lorsque je suis branchée avec de nouvelles choses (ex lorsque j’avais le midline il était venu dormir sur ma perfusion!). On dirait qu’il veut me soutenir c’est trop chou!
3 notes · View notes
hildegardavon · 1 year ago
Photo
Tumblr media
Paul Delvaux, 1897-1994
Le Vénus endormie I (Sleeping Venus I), 1932, oil on canvas
Private Collection
13 notes · View notes
rolandsgaard-castle · 1 year ago
Text
Tumblr media
Liste de mes cartes et de mes recherches MàJ le : 21/10/2023
Gold : / (Recherche Jewel, Magic, Stella, Hunter et Joker)
Silver : / (Starlight, Bella, Jewel, Twins)
Copper : / (Fiona, Friends forever, Jewel, Safire, Silas et Zargo)
Wise Warrior : Sorel, Raimondo (Cantaro, Djengis, Rubin, Medusa, Calato, Prince, Sun, Yasmin)
First Series : Shadow (Starfighter, Sunny, Bella, Fiona, Jewel)
Second Series : Toute les cartes basiques, toute les promos (Apuni, Sunny)
Northern Light : Balto, Conall, Star, Embarr, Lakehorse, Colour, Bella (Donn, Yasmin, Jewel, Fiona, Froya)
Mythologie/Ancient Light : Toutes (sauf Yasmin, Apollo, Balto, Bello, Fiona 68, An.Light Promo Serenity, Mirth, Generosity, Dreamer)
Lueurs Boréales : Toutes (sauf Bella, Chumash, Lakota, Chitimacha, Isleta, Miccosukee, Muscogee, Pauma, P1 à P11 et PS1)
Amis Magiques : Toutes (sauf Ceratos, Chitra, Cindra, Cioccola, Cordelia, Fiona, Giasa, Lillova, Madeja, Merowyn, Ondine, Petri, Savros, Thunder, Zephan P1, P2, P3, P4)
Baby Bella : Aegis, Amor/Venus, Apollo/Athena, Delight, Farfalla, Helia, Iceking/Nyx, Iceprince, Khrysor, Leonardo/Sarah, Mira, Moonbeam, Moonphantom, Moonsprite, Bellerophon, Pythia, Sunbeam, Addis, Bella, Bello/Bella, Beran/Rosebriar, Chromasia, Chryso/Sasha, Cirra, Embarr/Freja, Flame/Nike, Jewel, Mistral, Pavonne, Pegasus/Roxy, Summit, Wodan, Rimfaxe/Aurora (recherche toute les autres)
Trésors Fabuleux : Toutes (Sauf Sophie, Thunder, Starstone, P2 Lily)
Familles Royales : Toutes (Sauf Alina, Gracie, Spottie, Zephyros, P2 River)
Bal de Bella : Toutes les basiques, toutes les promos.
Sunflowers : Toutes les basiques et toutes les promos (Bella/Sara McDonald)
Moonfairies : Toutes les basiques et P1 Twilight (Sauf Anthea, P2 Woodlock)
Starlights : Toutes les basiques, P1 Daybreak (sauf P2 Odyssey)
Carnaval de Printemps : Toutes (sauf La Fanfare, P1 Honora, P2 Kona)
Summer Camp : Monument Bello & Bella, Monument Jewel, Monument Fiona, Esprit Volcan endormis, Esprit Volcan éveillé, Lightning, Ruskin, Ivenna/Myrfor, Esprits de l'été, Bella et Sara, Emma, Addis, Histoire feu de camps, Shamal, Ponderosa, Wildflower, Farah (recherche tout le reste + les promos)
Winter Festival : Elemyn, Frostfire, Gracie, Noel, Sleetmane, Starunna, Tinsel, Mistletoe et Holly, Silver, Esprit du Fjord, Jewel, Fiona, Chocolat des fées, Tannenbaum, Snowhorse (recherche tout + les promos)
Best of Bella Sara : Toutes (sauf P1 Cordelia et P2 Faxon)
Chibis Magiques : Toutes (recherche Ivenna, Myrfor, Pantheon, Mireldis, Snowdreamer et Starlight FR)
Herds of North of North : Ivenna et Myrfor, Styginmoor Castle, Colour, Feywind Castle, Parthamane Castle, Petalhome Castle, Valeryk Castle, Wildscape Castle, Mustang, Shanti, Fiona, Saturna, Starlight, Pantheon (recherche tout + promos P1, P2)
Promos des jeux, puzzle, peluches : / (recherche les 12)
Peluches, jouets, chibis bracelets : Fiona et Coral chibis (recherche peluche Fiona et Jewel, jouets divers Nyx et Iceprince, Fiona, Osage, Jewel, Mireldis et Moonphantom, Uranus, Valkrist, les poulains Moonbeam et Sunbeam chibis Pantheon et Jewel)
Mini figurines : Inupiat, Phoenix, Athena, Anemone, Misla, Fiona, Potawatomi, Kallista (recherche Seraphia, Walter, Amor, Colour, Apollo, Wasco, Rosebriar, Obrylin, Jewel, Osage, Pink Lady, Blossom, Venus, Chromasia)
Tumblr media
2 notes · View notes
sparklingmusicofstars · 2 years ago
Text
Histoire Bonus Hamefura "Dans un sommeil" Geordo (une histoire de son enfance)
J'ai décidé de traduire cette histoire également en français pour ceux qui veulent, je veux être impartiale aux anglais comme aux français. Si ma manière de procéder vous convient faites le moi savoir et j'en mettrai plus. Bonne lecture ^^
Moi, Geordo Stuart, j'étais seul dans une pièce vide. Cela n'arrive généralement pas, mais pour une raison quelconque, je veux vraiment rencontrer quelqu'un et j'appelle pour voir quelqu'un, mais personne ne vient.
Pensant que cela ne servait à rien de faire cela, je me suis glissé hors de la pièce et je suis sorti, et au loin j'ai vu un parent et un enfant d'une sorte d'aristocrate marcher main dans la main. Ils ont l'air très proches l'un de l'autre.
J'ai l'impression que ma poitrine se serre. Quand je vois mes propres mains que personne ne peut tenir, ma poitrine se serre.
"... Quelqu'un, quelqu'un... avec moi..."
"Prince Geordo, prince Geordo" Quand j'ai ouvert les yeux, il y avait des yeux bleu clair familiers.
Ah, je vois, je suis venu chez Catarina pour jouer... Je crois que je me suis endormi. C'est une pitoyable erreur même si j'ai été occupé ces derniers temps.
"... Je suis désolé. Dans un endroit comme celui-ci," dis-je,
"Je t'ai réveillé parce que je pensais que tu avais fait un cauchemar." dit Catarina en secouant la tête
Même si Catarina est généralement dense, elle a quelque chose comme ça (?).
"...Oui. J'ai fait un rêve qui ne me semblait pas très bon. Merci de m'avoir réveillé."
« Non, non. L'autre jour, j'ai rêvé que toutes mes sucreries étaient mangées et c'était dur pour moi aussi ! » Je souris involontairement aux paroles de Catarina,
"Ah, c'est vrai ! C'est une merveilleuse façon d'oublier rapidement un mauvais rêve. Allons voir quelque chose. Il y avait un grand arc-en-ciel dans le ciel tout à l'heure."
Catarina l'a dit et m'a pris la main.
J'ai commencé à courir alors que Catarina me tenait la main et me traînait. La chaleur de nos mains jointes effaça rapidement le souvenir du rêve.
4 notes · View notes