#venaison
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Saint-Vincent, chasse et Morvan : Bourgogne Magazine n°82 est dans les bacs !
Chasse et venaison, marché au cadran de Moulins-Engilbert, Saint-Vincent tournante de Ladoix-Serrigny, le Morvan de l’actrice Hélène Vincent… Bourgogne Magazine n°82 est dispo en ligne et dans tous les kiosques de la région. © Bourgogne Magazine n°82 Par Geoffroy Morhainrédacteur en chef de Bourgogne Magazine Qui va à la chasse … ramène du gibier ! Mais si les effectifs des chasseurs en…
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Sa tristesse infinie n'a point d'aurore ni de mer où courir se noyer - comme disait l'écrivain - puisque toutes les mers ont fini leurs histoires et charrié leurs cadavres. Il n'y a plus de manière de finir ses colères dans les eaux - plus de linceul sauvage, il n'y a plus que des vies totales - et manquées... plus de moyens de mourir au juste moment, ni de mourir - que des vies continuées au-delà des limites, hors frontière, sans but et sans reproche - que des errances féroces.
Elle ne va plus nulle part - hors le labyrinthe de ses entrailles - ces rues grimaçantes et glacées - couloirs de chair à dérouler sur la table. Si manger son prochain était une bénédiction. Alors, elle serait la proie du miracle - abattue dans les champs, rapacée aux chiens - venaison heureuse, enfin !
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Noirceur de l'âme
Prend ma chair mon amour oui fais-le prend ma chair ! celle-ci est mortelle amie le savais-tu ce parfum féminin pour tes yeux doux et clairs s'exhale dans ma pulpe en un désir têtu
Voici ma nudité fais-en ta venaison songe donc au tombeau bientôt mon cadavre je veux la volupté en toute déraison la mort sera ce soir mon refuge et mon havre
C'est moi dans le miroir un corps nu et lascif vois cinquante kilos de méchante barbaque qui se tord sous la lune en ballet jouissif le désir quelquefois fait la danse foutraque
Veux-tu cette charogne elle est là pour ta faim allons goute-y donc lesbienne cannibale que cette anatomie te rassasie afin de bien te masturber sur ma pierre tombale.
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The Walking Dead OC sketchdump / mini comic
Alli (pronounced All-ee) and Buttercup (her pet alligator) met the group at Gabriel's church at the beginning of season 4
Close up and transcript under the cut
Alli : At least one of us got a full belly
Carol : Hey, I made venaison soup ... thought you might want some
Alli : Well I won't turn down a homemade meal but you sure you want to give it to me ? Your friends don't seem to ... like me
Alli : I mean I understand you don't know me, and Buttercup doesn't help
Carol : It will take some time for us to trust you ... So in the meantime why don't you tell me a bit about yourself ?
#art#artists on tumblr#digital art#my art#sketch#OC#oc art#oc : Alli#oc : Buttercup#the walking dead#twd carol#carol pelletier#twd oc#digital drawing#long post#the walking dead oc
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Autoportrait
Triste et gras l'œil gonflé par une perle opaque Le verbe alourdi par les venaisons Touffu comme une étoile louche Tout fou comme un veau sous la lune court Juste comme un tambour enterré non loin Qui bat s'arrête puis repart Verdoyant comme une moisissure qui ronge son mur et sourit alors Sans égards pour le bonheur Sans place enviable Droitement dans sa démarche hostile gauchement roulant des yeux et des r dans le charbon d'enfance et dans tous autres se niant lentement s'élève un homme porte-lumière.
(André Frénaud)
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The kids are ✨️venaison✨️
Rich pregnant socialite: So we went to this clinic and let them manipulate our genes so we're 100% sure our child won't have any disease, he will have my hair and his father eyes and so much things we did for him! And you Bruce ?
Brucie: Found em in the trash. Except Tim, he found me in the trash.
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Le menu norvégien comprend de nombreux plats différents
Une place importante appartient au poisson et aux fruits de mer - saumon frit ou fumé "chanceux", crevettes bouillies "reker", morue séchée fumée "lutefisk". La viande de baleine et divers plats qui en sont issus sont traditionnels pour les Norvégiens. Les produits laitiers jouent un rôle important: dans de nombreux plats chauds, les épices sont remplacées par de la crème sure et différentes variétés de fromage de chèvre ont une couleur inhabituelle (du jaune au chocolat) et une odeur spécifique. Dans la viande, la préférence est donnée aux côtes de porc frites, aux têtes d'agneau frites "smalkhovt", aux wapitis et venaisons de toutes sortes, aux boulettes de viande, au gibier, aux steaks et steaks divers. La bouillie est incluse dans le menu des restaurants même d'élite, les pommes de terre sont utilisées comme plat indépendant et comme plat d'accompagnement. Les recettes de tartes et de pain sont uniques dans chaque région. Pour le dessert, divers cupcakes, casserole de pommes avec chapelure et crème sure "Tislert Bondepicker", brioches à la cannelle "Spillingboller", soufflé aux fruits "Fromache", mousse de blanc d'œuf aux baies sauvages et sucre "Trollcream", crêpes traditionnelles "Swell" sont généralement servis pour le dessert. Les boissons préférées des Norvégiens sont le café, les teintures à base de plantes, les yaourts. Parmi les boissons alcoolisées, la populaire bière "Rignes" et la norvégienne "Akevit" - moonshine à base de pommes de terre au cumin, vieillies en fûts de bois. En hiver, en Norvège, on boit du "Glegg" à base de vin rouge avec de la cardamome, des clous de girofle, des raisins secs et des amandes.
#voyage#lesvues#pays#apprendlemonde#temps#bonjourvoyage#repos#joie#plaisir#environnementinconnu#faitsintéressants#finaguide
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Bonjour chéri. comment est cette venaison que tu as trouvée?
(From Echo)
"Bonjour. C'est en fait assez bon. Le nouveau marchand en bas de la rue semble digne de confiance en ce qui concerne ses produits."
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FRENCH VOCABULARY
La viande - Meat
Le porc - pork
Le boeuf - beef
Le veau - veal
La venaison - venison
Le lapin - rabbit
l’agneau - lamb
Le bacon- bacon
Les saucisses - sausages
Le foie - liver
La langue de boeuf - tongue
Les abats - offal
salé - cured
Fumé - smoked
de ferme - free range
Naturel - organic
la viande blanche - white meat
La viande rouge - red meat
La viande Maigre - lean meat
La viande Cuite - cooked meat
La tranche - slice
La tranche de lard - bacon strip
Le jambon - ham
La couenne - rind
La viande hachée - ground meat
Le filet - fillet
Le coeur - heart
Le gigot - joint
L’os - bone
Le gras - fat
La côtelette - chop
La côte de boeuf - rib
La Volaille - Poultry
La dinde - turkey
Le poulet - chicken
Le canard - duck
L���oie - goose
Le faisan - pheasant
La caille - quail
La peau - skin
Le blanc - breast
Le gibier - game
La cuisse - thigh
L’aile - wing
Le poulet préparé - dressed chicken
La Poisson - fish
La lotte - monkfish
Le maquereau - mackerel
La truite - Trout
L’espadon - swordfish
La sole - dover sole
La saedine - sardine
Le bar - sea bass
Le saumon - Salmon
La morue - Cod
Le thon - tuna
#french vocab#vocabulaire#vocabulary#french#french studyblr#studyblr#studymotion#meat#francais#food#theclasiciststudies
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鹿肉解凍できたので、とりあえずサイコロに切ってフライパンで焼いていると、匂いに誘われてムスメが寄ってきた。ドイツ産岩塩とマダガスカル産胡椒とともに、二人でいくつかサイコロステーキとしていただく。うまい😋 残りはお野菜と一緒に圧力鍋でシュッシュしてカレーになる予定。 #鹿肉 #鹿モモ肉 #venison #venaison #game #gibier (陶芸家 内田和彦 rokurosuruhito) https://www.instagram.com/p/B9s5Dq0AjGh/?igshid=1hizjk9og3jec
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92e Foire de Dijon : sur la table de Lucullus, la chasse accourt
92e Foire de Dijon : sur la table de Lucullus, la chasse accourt
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#chasse#Dominique Rigaud#Fédération des Chasseurs de Côte-d&039;Or#foire de dijon#table de Lucullus#venaison
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Entretien Jean Cau Part 2
Toutes les décadences sont maternoïdes, maternelles, féminines, féminoïstes et les mères sont impuissantes à empêcher les enfants de dévaster la maison. Les révolutions sont de gigantesques explosions infantiles et féministes: on saccage la maison, on s'empiffre de confitures, on joue au chef. C'est pareil à chaque révolution: ça commence par une fête lyrique, une fête enfantine, féminine, et puis revient toujours le père. Il s'appelle Bonaparte, Hitler, Staline, de Gaulle, Franco ou Pinochet. Demain, on assistera une fois de plus à un retour offensif des pères et de deux choses l'une: ou bien ils viendront de l'intérieur et ce seront des despotes ou des ordres que nous nous imposerons nous-mêmes ou ils parleront chinois. Ce serait tout de même assez emmerdant d'avoir joué la comédie de la liberté infantile pour se retrouver avec des papas - Qui est responsable? - La démocratie évidemment qui est incapable de manipuler les sociétés industrielles. D'abord la démocratie est toute récente: elle a cent ans. Ensuite, rien ne prouve que la démocratie, importée d'Angleterre comme le whisky et les corn-flakes, soit le régime idéal pour de vieux pays césariens comme l'Allemagne, comme la France, comme l'Italie ou l'Espagne. Cette idéologie anglaise n'est pas forcément une panacée pour les autres peuples. La démocratie politique n'était possible que lorsque la société ne l'était pas. Lorsque vous aviez une Eglise hiérarchisée avec son Pape infaillible, ses cardinaux violets, ses évêques rouges, ses curés noirs, avec sa discipline implacable à l'intérieur des villages, des écoles et de la famille sur laquelle régnait le père, bref lorsque l'image sociale du père était intacte et forte, la démocratie politique était possible. Mais quand la démocratie politique prétend se répandre, à la manière qu'on répand des eaux, dans le corps social, c'est fichu. Vous ne pouvez pas introduire la démocratie au lycée, dans la famille, dans les classes maternelles. La démocratie n'est possible que lorsqu'elle n'existe pas. Dès qu'elle existe et va vers sa logique absolue, elle débouche sur l'anarchie et scelle la mort de la société qui en est atteinte. Rien n'est démocrate: un corps n'est pas démocrate, la nature n'est pas démocrate, une cellule n'est pas démocrate. Une idée, un idéal ou une aspiration peut être démocrate mais une réalité dans sa vérité quotidienne, non. Ou tout se défait et tout finit par exploser. C'est ce qui est en train de nous arriver: nous mourrons de logique. L'Eglise par exemple se meurt de logique. Elle a pu vivre aussi longtemps qu'elle répandait le message évangélique en rendant à César ce qui lui appartenait et à Dieu ce qui lui appartenait. C'est-à-dire, forcément, au prix d'une certaine hypocrisie qu'impliquent la force des choses et la cohésion des sociétés. - C'est la démocratie qui à tué Dieu? - La Révolution française plus exactement. C'est au XVIIIième siècle que s'est produite la chute, quand des esprits forts ont décidé de se passer de Dieu et ont sorti la Raison du placard. La Raison a servi le temps qu'elle a pu, alors on a découvert l'Histoire, puis le Socialisme. Tous avatars laïcs et mondains de Dieu. Aucun des grands témoins du XIXième siècle, Auguste Comte, Michelet, Marx, n'a douté un seul instant de l'Histoire. Tous ont cru que l'Histoire allait désacraliser complètement l'humanité et qu'on pourrait danser la danse du scalp sur le cadavre de Dieu. Et voilà qu'on s'aperçoit seulement que ce n'était pas si simple et que les sociétés qui ont perdu le sens du sacré s'interrogent sur leur raison d'être. Faute de réponse, elles ne savent plus comment fonder la morale et légitimer l'ordre. On a voulu remplacer Dieu par d'autres totalités mais sans transcendance. On a d'abord voulu substituer à Dieu une totalité immanente: la Raison. Ensuite, on a trouvé une justification de l'aventure humaine dans ce qu'on a appelé la rationalité de l'Histoire. Avec la Grande Guerre et surtout la Deuxième Guerre mondiale et l'apparition du stalinisme, du nazisme, des fascismes, etc. la rationalité et le progrès de l'Histoire tels que les avaient imaginés les idéologues du XIXième siècle en ont pris un rude coup. La dernière utopie, c'est le socialisme, une espèce d'harmonie économique, humaniste, culturelle et patati et patata, qui subira le sort de toutes les utopies: elle basculera dans je ne sais trop quoi. C'est toute la question: sur quoi va basculer la mort des utopies? - La Révolution française a pourtant été inspirée par des idées nourries de morale chrétienne? - Naturellement. Tout s'emboîte et se déboîte parfaitement, comme dans ces poupées gigognes russes; on est passé de Jésus à Rousseau puis aux idéologues du XIXième siècle et aujourd'hui à Georges Marchais, François Mitterrand, qui ne sont rien d'autre que des chrétiens déviés. C'est l'éternelle utopie humanitariste qui se maintient à travers eux. A cette différence que pendant des siècles, le christianisme avait vécu merveilleusement sa contradiction. Il avait su être l'idéologie, la religion, le discours-alibi de l'Occident. On allait aux Indes occidentales, en Afrique ou en Asie avec un alibi inattaquable. Le christianisme a été la bonne conscience de l'Occident jusqu'au jour où il a voulu coïncider avec l'acte, que Dieu et César soient un seul et même homme. Cortez était bardé de fer pour aller porter la croix au Mexique. Quelle croix voulez-vous que l'on porte encore quelque part? Elle est en miettes, la croix! Et si certains en portent encore les restes, c'est pieds nus, en gémissant que l'Occident a été coupable de les coloniser, de les dépersonnaliser, de leur ôter leur identité. La vocation impériale de l'Occident était étroitement liée au christianisme. Sitôt que le christianisme a commencé à s'assécher, nos justifications se sont émiettées. En plus, nous avions des idéologies républicaines, démocrates, etc., dont nous avons voulu vivre les vérités et les peuples coloniaux nous ont pris au mot: “Puisque nous sommes tous républicains, libres, égaux, frères, socialistes, etc., au revoir messieurs! Voici votre casque colonial et vos révérends pères et bonjour chez vous! ”. Du jour où les bourgeoisies marchandes ont fait de l'argent le bien suprême, le monde est devenu une sorte de souk où toutes les valeurs sont pesées au poids de l'or. L'avènement du mercantilisme a répandu une sorte de fureur de posséder le monde au sens matériel du mot et a éclipsé une vision plus exigeante, plus élitiste, plus héroïque, plus difficile de la vie. Avant nous, Rome et Athènes et d'autres civilisations encore avaient connu ce phénomène lié à l'abandon des anciennes valeurs. - Chaque civilisation porte-t-elle à sa naissance les germes de sa destruction? - En tout cas, elle semble se comporter comme un organisme vivant. On dirait qu'elle a une enfance, une adolescence, une maturité et une sénescence. La sénescence fait parfois illusion parce que rien n'est plus proche du gâtisme que l'infantilisme. Les vieillards sont souvent de grands enfants: ils mangent des bonbons, ils déconnent, ils regardent les petites filles au trou de 1a serrure. D'où l'illusion qu'on nourrit sur notre société: “Regardez la jeunesse! Regardez les enfants!”. C'est faux: une civilisation est forte non pas quand elle adore ses enfants mais lorsqu'elles honorent ses anciens. De Moïse au général de Gaulle, ça s'est vérifié cent fois: c'est quand les patriarches marchent à sa tête qu'un peuple est fort, pas quand les enfants cassent la vaisselle. Ajoutez à cela qu'on ne fait plus la guerre. La guerre redistribuait les cartes, nettoyait les valeurs, saignait les peuples comme au XVIIième siècle on saignait les corps trop chargés de venaisons. Dans cette paix continuée, nous sommes obligés d'accumuler des forces énormes, des arsenaux atomiques. Aux Etats-Unis, en Union Soviétique, en France, en Chine, en Angleterre et, demain, en Inde, en Israël et un peu partout. Des forces si terribles qu'on n'ose plus les employer et que les peuples ne peuvent plus faire craquer les corsets, faire fuser comme naguère leur volonté de puissance. Cette paix armée dans laquelle nous vivons ne permet pas de bouger un pion sans risquer de faire sauter la planète. Autrefois, les Prussiens et les Français pouvaient s'expliquer les armes à la main; c'est devenu extrêmement difficile sans déclencher le feu nucléaire qui anéantirait tout. La violence comprimée à l'intérieur des nations, des collectivités des sociétés, des villes mêmes, explose en guerre intérieure, en prise d'otages, en meurtres, en attaques à main armée. L'épée ronge le fourreau. Notre violence patine sur place, se dévore elle-même. La violence c'est une guerre intérieure que nous nous menons à nous-mêmes parce que nous ne pouvons pas la faire l'extérieur. D'où l'énorme, la prodigieuse violence américaine qui n'arrive pas à s'exporter. - Comment extirper le mal, autrement dit comment en sortir? - Je n'en sais rien. Je crois que nous allons vers une crise économique qui va nous faire beaucoup de bien et que j'appelle de tous mes vœux. Si nous traversons une situation difficile, tragique, peut-être perdrons-nous notre graisse et recouvrerons-nous, en même temps que nos muscles, nos sains égoïsmes. Car ce qui motivera une réaction, ce sera comme toujours l'égoïsme. Si les Occidentaux étaient sensibles aux affronts politiques, il y a longtemps qu'ils auraient réagi mais le jour où ils seront touchés en un point humblement sensible peut-être appelleront-ils la violence des chefs et même des héros. Jean Cau
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French vocabulary
La viande - meat
les abats (m) - giblets
l'agneau (m) - lamb
l'allonge (f) - meat hook
le bacon - bacon
la balance - scale
le bifsteck d'alouyau - sirloin steak
le blanc - breast/white meat
le bœuf - beef
le boucher - butcher
la caille - quail
le canard - duck
le cœur - heart
la côte de bœuf - rib
la côtelette - chop
la couenne - rind
le couteau - knife
la cuisse - thigh/dark meat
la dinde - turkey
le faisan - pheasant
le filet - fillet
le foie - liver
le fusil - knife sharpener
le giber - game
le gigot - joint
le gras - fat
le jambon - ham
la langue de bœuf - cow’s tongue
le lapin - rabbit
les morceaux de viande (m) - cuts
l'oie (f) - goose
l'os - bone (m)
la peau - skin
le porc - pork
le poulet - chicken
le poulet préparé - dressed chicken
le rumpsteck - rump steak
les saucisses (f) - sausages
la tranche - slice
la tranche de lard - rasher
le veau - veal
le venaison - venison
la viande blanche - white meat
la viande hachée - ground meat
la viande rouge - red meat
la volaille - poultry
crue - raw
cuite - cooked
de ferme - free range
fumé - smoked
maigre - lean
naturel - organic
salé - salted
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Comment supporter le renouvellement des saisons
Les photos anciennes, répondit Monsieur Jacques, prêtent à croire d'après les teintes affadies, que le passé était terne, poilu, pas frais. Je connais cette impression, je comprends ta réticence. Oh, mais comme elle est fausse! Le passé était lumineux, paisible, frais et discret , glabre et net, tout sourire. Mes grands-parents qui rentraient de voyage, des effluves d'Ysatis le soir dans le corridor, la fraîcheur citronnée des sols, le lustré des parquets, l'ordonnancement des éditions Belles lettres dans la bibliothèque en bois de Valenciennes... Tout cela était cent fois plus beau, plus riche, plus heureux qu'aujourd'hui (il désigna de sa canne des annonces immobilières dans une vitrine proposant à louer des studios fushias meublés d'agglomérés à angles coupants, rectilignes, désespérants).
Monsieur Jacques balaya cette vision d'un revers de main.
Mais tu me demandais comment faut-il vivre... Bien. La santé vois-tu, c'est la santé des intestins. La sérénité comme on dit de nos jours est aux trois-quarts atteintes avec de bons repas, des siestes digestives et des promenades . A ton âge, pense-donc qu'à ton âge j'achetais des grands crus pour 40 francs.Or le régime qui convient à l’hiver est la diète non la bafrerie. Chaque doux repas de raclette doit se mériter par plusieurs repas maigres préalables voire tout bonnement sautés. Les excédents de bajoues, les salles surchauffées, les dîners gras pris en commun sont le terreau des conflits intimes et de l’amertume. La vie c'est très simple. C'est de prendre son parti des saisons qui reviennent inlassablement.
Voici que revient l'automne et ses journées raccourcies, ses nuages, son vent? Prenons-en notre parti! C'est le moment de jouir du sommeil, de faire des nuits de douze heures, de manger à satiété, de ralentir. Je chausse des souliers en daim, j'enfile du velours côtelé, des choses matelassées, et le trois-quarts Barbour. Les femmes portent des trenchs Burberry, des capelines... En automne je ressors mes whiskies, mon tabac à pipe, je fais des feux de bois dans la cheminée. Ma table se pare de châtaignes, de raisin, de venaisons, de champignons... On fête les goûts tourbés, fumés, on croque des noisettes. On fait la promenade dans un sous-bois jaune et rouge, on écoute bruisser les feuilles. Ainsi jusqu'à la fête du Christ-Roi (Parle, commande et règne). Voici décembre? La nuit qui écrase le jour et les maladies glaireuses ? Au contraire, on monte vers Noël! Pour s'y préparer il fait bon jeûner gentiment, bannir un peu les patates, les sucres, toute la lourdeur au moins trois bonnes semaines avant. On chante Venez Divin messie, voire Somewhere in my memory à l'église irlandaise. On avance comme ça dans l'hiver, le froid devient trop dur? Qu'importe, on sort l'écharpe en cachemire, le chapeau de feutre d'où l'on rabat le cache-oreille... Et pourquoi ne me coifferais-je pas de mon authentique papakha du Caucase? Emmitouflez le tout sous un épais Loden tissé de laine bouillie des brebis d'Attique, voilà de quoi braver tous les frimas! On se soutient par les clémentines, les oranges, les litchis, les noix, le chocolat et le vin chaud, le thé, les tisanes... On se repose. On regarde la brume, les fumées qui sortent des toits. On rentre manger des plats sauce madère que l’on conclut au marc de Bourgogne. En mars l'hiver va finir, on jeûne, et bientôt on arrive au printemps tout nettoyé. Alors on retire l'écharpe, on libère le cou, puis la tête. On fête les premiers jours de beau temps froids, on renaît, le ciel aussi parfois, c'est la promesse de résurrection qui bientôt s'accomplit à Pâques. Sous les voûtes redécorées, je chante Ô croix dressée sur le monde, Christus Vincit, et surtout Pain de vie, ma favorite
Pâques nouvelle désirée d'un grand désir,
Terre promise du salut par la Croix,
Pâques éternelle, éternelle joie.
Pain de vie, corps ressuscité, source vive de l'éternité
Ainsi passe Avril. Je commence à sortir en costume dans la rue, sans manteau. Je déjeune aux terrasses avec mon avocat. Je regarde passer les filles, mais attention tu comprends, non par impudeur! Seulement par goût très chaste pour les justes proportions humaines, harmonies que n'auraient pas renié Vitruve ni Praxitèle, nous sommes bien d'accord. A l'Ascension on chante Lauda Jerusalem. Je fais les marchés, je mange des nourritures brutes ; terminé le blé cuit et le haché qui affadissent les chairs! Place aux couleurs, aux santés de l'olive et de la tomate, de la courgette et de l'aubergine, de la prune et de l'abricot, de la figue, de la pêche, de la sardine , du bar, de l'amande, du fenouil... Tu vois? Tout pour la santé crétoise! Après la Pentecôte, quand la chaleur monte encore, à partir de juin, je sors le pantalon blanc, la chemise d'un jaune bien pétant que j'ai faite faire sur mesure. J'attrape un chapeau de paille et file direction la mer. Soit l'Italie soit les îles atlantiques en monosyllabes, les Retz, les Batz, Yeu, Groix, Ré... Je me plante face au vent sur un promontoire et je me laisse bien laver, bien sécher de toutes les poisses de l'hiver. Les îles, on y arrive d'abord par le nez. Odeurs de feu, odeurs de fleurs, d'embruns... Fugaces relents ponctuels de camphre, de crème solaire, d'essence. Si tu savais comme il a pu faire bon vivre sur ces îles dans les années 70-90. Les petites familles paisibles, les cousins qui se retrouvent l'été et qui grandissent ensemble... Le trajet en vélo, la méhari, les chaussures bateaux, les tartes au poire, les chouquettes, l'apéritif des grandes personnes, au porto, le Perrier, le bol de glaçons...Le goûter que les mères gardent dans le sac à la plage, les pères qui vont nager jusqu'à la bouée...Rentrer le soir de la plage parmis les fumets de grillades au thym chez les gens assis au jardin. Depuis que j'ai fréquenté les derniers maillons de la bourgeoisie française à cette époque là, je puis témoigner qu'il n'y a rien de plus beau qu'une jeune dame en Tods et chemisier blanc bien coupé, avec son carré plongeant bien net. Là bas je comprenais pour quoi je me battais à Bruxelles. Comme notre société était belle! La salade et sa vinaigrette dans le grand saladier, le plateau de fromage, le fraisier au dessert. Et tout cela allait et venait, fluide, chacun à sa place. Le charme du soir au jardin, les lianes éclairées par en-dessous, les floraisons... Ambiance feutrée, paix, blondeur rassérénée. Les gentils garçons bien élevés qui lisaient le Club des Cinq. J'ai vu la plus grande paix possible sur la terre. La mère et sa petite fille au coucher, qui lisent ensemble la prière du soir dans le halo d'un abat-jour. Très calme, très profond, grande pudeur, grande paix de l'enfance. Combien leur société était belle. Cette vie là était l'évidence. Puis le matin. La lumière rasante sur les chênes d'un jardin. Des enfants enlèvent le lierre avec leur père puis vont prendre une collation sur l'herbe. Des mères actives, positives, bienveillantes. Des pères virils, calmes, concentrés. L’esprit qui règne en ces lieux est bon, voilà ce que m’évoquait ce spectacle.
Plus loin dans la rue retentit le grésillement du dévérouillage électrique d'une porte cochère. Une jeune fille apparut et déjà s'éloignait, laissant la porte se rabattre sur un porche de quatre mètres.
Je comprends reprit Monsieur Jacques, quand je repense à mes bienfaiteurs, que moi je suis trop malveillant. Non vraiment, la Bretagne l'été... Les familles, les femmes en chapeau de paille, lunettes d'écailles, les fauteuils d'osier à coussins rouges... Ce n'est pas que je sois vieux, mon petit père. Mais la fête à Ibiza depuis toujours, j'y suis complètement hermétique, je dois être bien ingrat peut-être. Les plus grandes joies il me semble, ce sont la diététique, la philosophie pratique mise en pratique, le sport, l'amitié, l'église... Et le weekend boire quelque chose en terrasse le matin, mettre un ancien survêtement Lacoste pour relire La vie de Rancé ou Œuvres Morales... Consacrer sa vie à une seule femme... Mettre une chemise à col souple...
Monsieur Jacques semblait regarder de plus en plus au loin.
- Toujours s’exercer, travailler, explorer. Sans quoi l’on retombe au plus bas barreau de l’échelle de la grâce : consommer du divertissement. Des jeûnes préparent des fêtes ; les périodes maigres préparent les périodes grasses. Voilà à quoi sert le calendrier, à mettre en pratique une discipline qui répétée devient perpétuelle. La paix c'est la tranquillité de l’ordre. Tu vois mon petit père, la vie c'est très simple.
Vincent avait laissé parler son parrain. Le silence lui fit prendre la parole.
- C'est l'appât de ce confort, de ces soieries entrevues depuis la rue qui précipitent toute la racaille du monde chez vous, mon oncle. Plus vous êtes civilisé et plus excitez les barbares.
- Tout le monde se contrefiche de saluer ce qui nous a précédés et qui est presque toujours plus grand que nous ne sommes, dit Juan Asensio. Il faut dans cet esprit remonter aux Anciens, ils sont plus grands que nous, ils nous obligent.
- D'où votre rapetissement modeste sous leur ombre, votre atrophie est propice à tous vos ennemis saccageurs qui se grandissent d'autant plus que vous vous faites petit. Traduction : à force de modestie chronique vous devenez fade, et les voyous rugueux, les malins, les rusés, il leur suffit de vous copier, d'aller dans les mêmes écoles que vous et une fois sorti d'enlever juste un bouton de leur chemise (quand vous boutonnez tout) pour flasher les meufs en tant que rebelle décontracté.
- Bravo jeune homme, vous avez l'intuition de Paul Morand!
- En refusant la première place par modestie et scrupule vous cédez celle-ci sans vous en rendre compte au fonceur barbare sûr de lui à qui sa mère a répété 20 ans qu'il était le meilleur.
-... et Jacob supplanta Esaü
- Votre Europe des gentillhommes ne s'est jamais faite, non par égoïsme, mais par abus de modestie et scrupule.
-... et CEE supplanta Chrétienté.
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"Retour à l'âge de pierre, y'a des catastrophes qui s'préparent, on n'aura plus de bière ni de venaison dans les Spar mais dans ç'capharnaüm un bel horizon s'offre à nous: on va bouffer des hommes."
KPN
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Le menu norvégien comprend de nombreux plats différents. Une place importante appartient au poisson et aux fruits de mer - saumon frit ou fumé "chanceux", crevettes bouillies "reker", morue séchée fumée "lutefisk"
La viande de baleine et divers plats qui en sont issus sont traditionnels pour les Norvégiens. Les produits laitiers jouent un rôle important: dans de nombreux plats chauds, les épices sont remplacées par de la crème sure et différentes variétés de fromage de chèvre ont une couleur inhabituelle (du jaune au chocolat) et une odeur spécifique. Dans la viande, la préférence est donnée aux côtes de porc frites, aux têtes d'agneau frites "smalkhovt", aux wapitis et venaisons de toutes sortes, aux boulettes de viande, au gibier, aux steaks et steaks divers. La bouillie est incluse dans le menu des restaurants même d'élite, les pommes de terre sont utilisées comme plat indépendant et comme plat d'accompagnement. Les recettes de tartes et de pain sont uniques dans chaque région. Pour le dessert, divers cupcakes, casserole de pommes avec chapelure et crème sure "Tislert Bondepicker", brioches à la cannelle "Spillingboller", soufflé aux fruits "Fromache", mousse de blanc d'œuf aux baies sauvages et sucre "Trollcream", crêpes traditionnelles "Swell" sont généralement servis pour le dessert. Les boissons préférées des Norvégiens sont le café, les teintures à base de plantes, les yaourts. Parmi les boissons alcoolisées, la populaire bière "Rignes" et la norvégienne "Akevit" - moonshine à base de pommes de terre au cumin, vieillies en fûts de bois. En hiver, en Norvège, on boit du "Glegg" à base de vin rouge avec de la cardamome, des clous de girofle, des raisins secs et des amandes.
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