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#valise magique en France
grandmaraboutorogan · 25 days
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Témoignage de la multiplication des billets, le billet de banque ,Témoignage du portefeuille,marabout vrai, un vrai marabout du monde, marabout africain,marabout de confiance,blanchissement d'argent…
CONTACTE WHATSAPP +229 91 32 34 67 OU +229 53 83 81 14 POUR UN BON PORTEFEUILLE SANS DANGER
Je m’appel Michel, je témoigne aujourd’huit sur le grand marabout PARFAIT OROGAN qui ma montré la réalité de la multiplication d’argent réel . Voici la sommes d’argent qu’il ma envoyer ce matin comme prévus. Après beaucoup d’échec chez des marabout ,je n’es pas confiance dès le début que j’ai pris son numéro ,je voulais essayer avec la multiplication d’argent et après pour le portefeuille . Il ma…
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vodoungnon · 6 months
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Preuve du travail éffectué par le grand marabout vodoungnon medjo, vrai portefeuille magique du papa vodoungnon medjo, portefeuille magique témoignage, avis
Le vrai marabout qu’il vous faut pour la résolution de vos différents problemes quelques soit la distance, un incroyable marabout du monde, un marabout qui donne des preuves positifs a ses clients et des explications sur le vrai portefeuille magique, il aide les gens sens a travers de la vie spirituelle. Voici quelque preuves de ses bienfaits 👇👇👇👇 Fidèle à une tradition ancestrale et guidée par…
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Le secret de la grande richesse du roi DJAFA, la valise magique, le vrai portefeuille magique ou le bedou magique
Le secret de la grande richesse du roi DJAFA, la valise magique, le vrai portefeuille magique ou le bedou magique
Le vrai portefeuille magique-le bedou magique-la valise magique d’argent-la calebasse magique d’argent-le vrai secret de la richesse du roi DJAFA. Depuis des années de l’antiquité, la richesse du roi DJAFA étonne le monde et plusieurs personne se posent la question de savoir d’où est-ce que ce grand Roi des temps anciens tire vraiment sa richesse. Et pourtant la source de la grande richesse du…
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swedesinstockholm · 2 months
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1er avril
quand on est arrivées hier la télé était allumée dans le salon et je pensais à mon texte sur ma famille dans lequel je dis deux fois que la télé est allumée et je sentais que la deuxième fois était de trop mais je l'ai laissé. parfois je me dis que c'est un bon texte et que je fais qu'énoncer des faits objectifs et qu'y a plus de tendresse que de condescendance. je me dis que je dis juste la vérité, mais évidemment ça se joue dans les vérités que je choisis de dire. ça se joue dans le choix des faits et leur agencement. j'ai peur que le texte manque de nuance. j'ai peur d'avoir caricaturé. d'avoir été blessante. j'ai l'impression d'avoir pris trop de risques. j'avais écrit je suis née en france pour des raisons administratives, le seul bébé que ma mère ait décidé de garder, je l'avais envoyé comme ça et puis je suis partie au concert d'audrey et j'arrêtais pas d'y penser sur mon banc d'église, alors dès que je suis rentrée je leur ai renvoyé le texte sans la deuxième partie de la phrase. j'avais trop peur de trahir maman. même si elle le lira jamais, puisqu'elle ne lit aucun de mes textes. de toute façon il sera probablement pas pris et j'aurai plus à me poser de questions. mais déjà, je sais où sont mes limites, ça c'est bien, je suis pas complètement unhinged non plus. et ça m'a fait du bien de l'écrire.
je viens de me rendre compte que la tortue était en train de prendre le soleil à côté de moi. elle a la tête en l'air et les yeux mi-clos. ce matin au petit-déjeuner elle a traversé mon assiette. elle a mis une patte dans le miel et elle laissait des petites traces de miel sur la nappe blanche. j'avais l'impression de regarder un dinosaure. j'avais un dinosaure dans l'assiette. en regardant sa tête elle me faisait un peu penser à mamie mais je sais pas si c'est parce que c'était sa tortue ou si elle ressemble vraiment à mamie.
hier h. m'a demandé ce que j'allais faire à bruxelles et je lui ai dit que j'avais été publiée dans une revue littéraire et que j'allais à la soirée de lancement pour faire une lecture, d'une toute petite voix, comme si j'assumais pas, non mais je veux pas vous embêter avec ça. elle a rien répondu, elle m'a même pas félicitée, et je me suis demandé ce que ça signifiait pour elle que je sois publiée dans des revues littéraires. pour moi c'est un gros truc, je suis archi fière, je me sens validée, je me suis tellement prise au jeu que mon instagram est rempli de littéraires et je baigne de plus en plus dans ce monde maintenant. mais vu de l'extérieur, depuis la perspective d'h. par exemple, on s'en fout que je sois publiée dans des revues littéraires? peut être qu'elle savait tout simplement pas quoi dire. parfois je me dis que ça les intimide, mais après je me demande pour qui je me prends de penser ça.
je sais maintenant pourquoi j'avais pas envie de venir à la mer, nouveau débordement des égouts dans la cuisine!! en allant chercher ma valise dans la chambre de j. ce soir j'ai fait trainer le plus longtemps possible parce que je voulais pas partir, je me suis assise sur le lit en disant i don't wanna leave à la couette et aux coussins et à la fenêtre et au placard et au tapis et à la table de nuit et à la commode et au cadre avec la photo de mamie posée dessus. je sais pas si c'est le pouvoir magique de la chambre de j. (cf l'été 2004) ou si c'est parce qu'elle était encore imprégnée de ma lecture de pessoa de la veille, mais j'avais le coeur brisé de partir.
en allant à la pierre plantée j'étais seule avec h. dans sa voiture, on regardait la tête de gaïa sortir de la fenêtre de la jeep de f. devant et à la radio ils parlaient des bateaux de l'escale à sète qui étaient en train de sortir du port et puis au retour elle m'a emmenée à l'endroit d'où on voit sète et la mer pour voir si on voyait les bateaux partir mais on a rien vu. mais j'ai vu un écureuil courir sur une branche et je regardais les pins et les vignes défiler par la fenêtre ouverte et je regardais h. qui conduisait et je pensais à ces dernières semaines au luxembourg et à la mort et tout d'un coup j'ai eu envie de pleurer. je me suis retenue mais j'avais envie de lui dire tout. qu'au luxembourg j'ai envie de mourir mais ici non. j'avais envie de lui demander si la prochaine fois que j'aurais envie de mourir je pourrais venir dormir chez elle, comme antidote, et puis qu'elle m'emmène à la pierre plantée tous les jours dans sa voiture avec la vitre ouverte sur les pins et les vignes.
la maison d'h. et f. m'a tellement guérie que j'étais d'excellente humeur à midi à table à côté de g. l'autre boulet de la famille sans vie sociale, malgré mon mal de ventre des règles, rien ne m'atteignait. en petit (gros) bonus j'avais un message de r. sur mon téléphone qui disait rien de particulier mais il m'a fait rire et le simple fait qu'il m'écrive a suffi à me coller un gros sourire sur les lèvres parce que ça veut dire qu'il est pas fâché avec moi (pourquoi il serait fâché? je sais pas, il faut demander à mon cerveau ravagé) et qu'il m'aime toujours.
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xvi-1 · 1 year
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The Student and her Teather
#thefantasticbeasts #newtscamanderxstudent!reader
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Londres 1927
T/P T/N, jeune sorcière New-Yorkaise depuis toujours passionnée par les créatures magiques, à entendue parler d'un magiezoologiste qui habite à Londres. Elle est donc partie à sa recherche dans l'espoir qu'il lui apprenne son métier.
Elle arpente donc les rue à l'affût du moindre indice pouvant l'aider à trouver ce fameux Norbert Dragonneau. Quand tout à coup, en passant devant une boutique de bijoux anciens, elle aperçus quelque chose bouger à l'intérieur. Elle stoppa ses pas et retourna devant la vitrine et qu'elle ne fût pas sa surprise de voir un Nifleur en train de remplir la poche de son ventre de colliers, boucles d'oreilles et autres objets scintillants.
Sans pouvoir ce retenir, la jeune fille éclata d'un rire cristallin et déguéna sa baguette magique pour tenter de récupérer la petite créature voleuse. Mais avant qu'elle n'est pu faire quoi que ce soit un jeune homme au cheveux bouclé débarqua suivis d'un autre homme à moustache.
Il brisa la vitre avec un sort informulé et se ruha dans la vitrine pour essayer de récupérer le Nifleur. Malheureusement, la bête sauta hors du magasin, se faufilant sur la route. T/P se précipita alors sur la pauvre créature qui n'arriva pas à lui échapper.
Le jeune sortis de la vitrine saccagée et secoua sa baguette pour remettre tout en ordre. D'un air dépité il récupéra sa valise et commença à s'éloigner. Mais avant qu'il ne parte la jeune fille accouru à lui en lui tendant son Nifleur. Le regard de l'homme passa de la jeune fille à la créature et ainsi de suite.
- J'ai réussi à rattraper votre Nifleur avant qu'il ne s'échappe. Dit-elle tout sourire.
Le jeune brun lui lança alors un franc sourire et pris la créature dans ses bras avant de la remettre dans sa valise.
- Merci beaucoup...
- T/P T/N ! Elle lui serra la main franchement. Vous êtes Norbert Dragonneau n'est-ce-pas ?
- Euh oui oui, c'est moi. Il souria timidement.
- Je vous cherchais justement Monsieur Dragonneau... Il lui coupa la parole.
- Appelée moi Norbert s'il-vous-plaît.
- Bien sur ! Et bien, Norbert, j'étais à votre recherche.
- A ma recherche ? Il fronça les sourcils.
- Oui ! On m'a dit que vous étiez le seul magiezoologiste qui existe. Et étant passionnée par les créatures magiques je me demandais si vous pouviez m'apprendre votre métier... peut être ? Elle finit sa phrase dans un murmure, pas très certaine de sa réaction.
Norbert haussa les sourcils, surpris. Puis il esquissa un petit sourire.
- Et bien vous n'avez cas venir dans ma réserve et je verrais de quoi vous êtes capable... En plus d'attraper les Nifleurs, ce qui, croyez en mon expérience va vous être très utile. Elle ria doucement et le suivis, plus heureuse que jamais.
Ils transplanèrent ensembles et arrivèrent chez Norbert, dans sa réserve. La jeune fille pu enfin mettre en pratique tout ce qu'elle avait étudié depuis si longtemps. Et il faut avouer que Norber était plutôt enthousiaste à l'idée de l'avoir pour apprentis.
- Mais, où avez-vous appris tout ça ? Demandat-il curieux.
- Et bien grâce à votre manuel Norbert. Répondit-elle en riant.
Il devient rouge et rigola avec elle de bon cœur. La soirée continua comme ça. Et après deux heures de visite et de soins ils remontèrent à l'étage. Là, Norbert se retourna vers T/P et lui tandis la main.
- T/P, vous êtes officiellement mon apprentis. Il souriait.
Elle lui rendit sa poignée de main sautant presque tellement elle était heureuse.
- Oh merci Norbert, vous ne le regretterez pas je vous le promet !
- Oh mais j'en suis sur. Il sourit en coin en la regardant avec des yeux perçants sans s'en rendre compte. La jeune fille ne put s'empêcher de virer à l'écarlate.
Après cela ils allèrent tous manger et
T/P pût faire la connaissance de l'ami de Norbert ; Jacob Kowalski. Un garçon très gentil et aussi très amoureux d'une certaine Queeny Goldstein. Ce serait la sœur de Tina Goldstein la fille dont Norbert serait amoureux.
- Non Jacob, je te l'ai déjà dit, Tina et moi c'est finis. Dit-il en secouant la tête.
- Oh vous vous êtes disputés ? Demanda prudemment T/P.
- Ah non non pas du tout. Nous nous sommes quittés d'un commun accord. Nous étions mieux amis finalement. Et c'est ce que nous sommes à présent. Il lança un regard appuyé à son ami ce qui fit rire la jeune fille.
La fin du repas ce fit dans la bonne humeur. Jacob partie juste après et les deux passionnés d'animaux ce retrouvèrent seuls. Ils discutaient sur le canapé dans une ambiance tranquille.
- Au faite T/P que faisiez vous en Amériques ? Demandat-il, tourné face à la jeune fille, la tête posé sur sa main et son coude calé sur le dossier du canapé.
- Et bien je faisais mes études. Je viens de finir il y a quelques semaines. Après cela je suis directement venu vous chercher. Lui répondit-elle assise en tailleur face au brun.
- Oh mais alors qu'elle âge avez-vous ? Dit-il en se levant allant chercher la bouilloir qui commençait à siffler.
- J'ai 19 ans.
- Oh dans ce cas je peux te tutoyer puisque je suis ton aîné. Dit-il avec un sourire malicieux.
- Aucun problème MoNsIeUrS DrAgOnNeAu. Dit-elle avec exagération en riant. Le sorcier éclata de rire aussi.
- D'accord d'accord tu peut me tutoyer aussi si tu veux. Dit-il en revenant s'asseoir. Il lui tandit une tasse de thé. Tu en veux ? Demandat-il.
- Oui merci. Dit-elle dans un sourire en prenant la tasse dans ses mains.
Ils discutèrent encore une heure avant d'aller se coucher.
- Et bien bonne nuit Norbert. A demain ! Dit-elle en s'apprêtent a passer la porte d'entrée.
- Attend ! Où vas-tu dormir ? S'inquiétat-il.
- Oh je pense que je trouverais bien une auberge ou un hôtel pour la nuit.
- Et pour demain et les autres jours hein ? Non, hors de questions. En plus il est déjà minuit-et-demis, tu ne trouveras rien d'ouvert et je ne peut pas laisser une jeune fille érer seule dans les rues de Londres en pleine nuit. Non tu vas prendre la chambre d'amis ! Il déblatéra tout ça d'une traite.
T/P T/N sourit et rie doucement.
- D'accord. Dit-elle simplement.
- Vraiment ? Génial ! Alors viens, suis-moi.
Il l'emmène dans une jolie petite chambre où elle ouvrit sa valise et s'installa pour dormir.
Le lendemain matin elle se leva la première, ayant l'habitude d'être reveillée très tôt par sa famille. Elle s'attela donc à préparer le petit déjeuner pour remercier son hôte. Elle faisait l'omelette quand ce dernier arriva dans la petite cuisine, torse nu...
En voyant la jeune fille, la poêle dans la main, la bouche ouverte et les joues rouges le regarder fixement il prit conscience qu'il n'était pas seul, sursauta et balbutia des excuses avant d'aller enfiler un débardeur noir.
Il portait un pantalon ample en tissue beige et était pieds nu. T/P, quant à elle portait une grande chemise et un pantalon de pyjama aussi.
Norbert était rouge écarlate alors que la jeune fille ne pouvée se retenir de rire face à la scène qui c'était déroulée devant ces yeux quelques minutes auparavant.
- Je suis désolé T/P, j'avais oublié que je n'était plus seul. Avouat-il gêné.
- Oh non ce n'est rien Norbert. Ce n'est pas le premier torse que je vois, vous... Mais elle ne finit pas sa phrase venant ce rendre compte de ce qu'elle disait, elle vira à son tour au pourpre.
Cette fois c'est le magiezoologiste qui éclata d'un rire franc.
- Non, enfin ce que je veux dire c'est que j'ai grandis avec trois frère alors je les voyait souvent torse nu. Vous voyait ? Dit-elle en begayant.
- Oui oui je vois... Répondit-il simplement, un sourire sur le visage en scrutant la jeune fille devant lui. C'est vrai que maintenant que vous le dite, vous ne m'avez pas encore parlée de votre famille.
- Oh il n'y a rien à dire d'intéressant en même temps. A vrai dire je n'ai jamais eu de très bonnes relations avec eux. Dit-elle en leurs servant l'omelette.
- Merci, ça a l'air délicieux ! S'exclama le sorcier en se jetant sur la nourriture. C'est pour ça que vous êtes venu à Londres ? Pour les fuir ?
- Les fuir non, juste prendre du recule... Mais surtout et avant tout pour vous trouver Monsieur. Elle lui lança un regard amusé alors que ses joues prirent une teinte rosées.
- Et je suis ravis de vous avoir servis d'alibi pour vous échapper des États-Unis. Il rigola.
- On peut difficilement faire meilleur alibi il faut dire ! Elle rigola à son tour.
Une fois le petit-déjeuner finis, Norbert emmena son assistante dans son sous-sol. Ils passèrent la journée à s'épier, à se toucher les mains par inadvertance et j'en passe.
Les jours passèrent et cela fit bientôt deux moi que T/P travaillait au côté de Dragonneau et évidement le contact entre les deux individu ce faisait plus familié. Ils étaient devenus très complices.
C'était évident que la jeune fille plaisait à Norbert, il ressentait même plus de fascination pour elle que pour Tina avant. Et inversement, T/P était très attirée par le magiezoologiste mais persuadée qu'il ne pourrait jamais l'aimer. Et puis elle était trop jeune pour lui et pas assez belle.
Enfin c'est ce qu'elle pensait jusqu'à ce jour où Norbert -sous conseil de Jacob bien sur- décida de lui faire une surprise. Le premier soir où il ce sont rencontrés, après le dîner quand Jacob était partie, elle lui avait confiée qu'elle avait toujours rêvée d'avoir son propre Nifleur. Mais n'a jamais pu parce que ses parents détestaient les animaux et maintenant elle ne peut pas parce qu'elle n'a pas assez d'argent. Hors il se trouve que les Niffleurs de Norbert viennent d'avoir une portée de bébés Nifleurs. Alors il c'est dit que ça lui ferait plaisir dans avoir un pour elle. Et puis il comptait aussi lui avouer ses sentiments ce soir...
Ce soir là Y/N revenait d'une visite chez Queeny -avec qui elle était devenu très amie- et venait de poser son manteau sur le portant qu'elle sentit une présence dans son dos ; Norbert. Elle se retourna en souriant, les joues roses.
- Y/N... Chuchotat-il à son oreille.
- Norbert qu'y à t-il ? Demanda t-elle perturbée par ce contact.
Sans répondre il glissa son bras autour de sa taille et la guida sur le canapé où elle s'assit. Le magiezoologiste se mit devant elle et lui tandis une moyenne boîte en bois trouée. A l'intérieur, la jeune fille aperçus quelque chose bouger.
- C'est pour toi. Lui dit doucement le sorcier. J'espère que ça te plaira. Conclut-il avec un petit sourire mignon quand elle prit la boîte de ses mains avec précautions.
Elle ouvrit le couvercle de la boîte et en examina le contenue. Soudain son regard s'illumina, elle posa soigneusement la boîte sur la table basse et sauta sur l'homme pour lui faire un câlin. Le concerné lui rendit son étreinte en l'entourent de ses bras et la serrant contre lui comme si il ne voulait plus la voire partire. Il respirait le parfum qui émanait de sa chevelure C/C : lavande. Il adore la lavande.
Elle se détacha de lui et l'embrassa sur la joue en lui murmurant un petit : "merci infiniment Norbert, je ne sais pas comment te remercier".
Alors elle se retourna pour aller voir la boîte quand une main s'accrocha à son poignet. Il l'a fit pivoter vers lui et d'un pas rapide se raprocha d'elle, posa sa main sur sa joue et posa ses lèvres sur les siennes. La jeune fille répondue à son baiser en glissant ses mains dans la chevelure du sorcier. Il posa ensuite son autre main sur ses hanches. Le baiser dura comme ça encore plusieurs secondes et les deux amoureux durent se séparer par manque d'oxygène.
- Y/N tu me plais... Vraiment. Lui susurat-il doucement.
- Oh si tu savais comme j'ai attendue se moment. Évidement que je t'aime Norbert ! Et elle l'embrassa à nouveau.
Et voilà, nous laissons l'intimité qu'il faut aux deux amants. En tour cas ce qui est sur que ce fut un choque pour Jacob de débarquer chez son ami et de le surprendre dans son lit avec la jeune fille. Mais bizarrement, Queeny elle, ne fût pas surprise du tout...
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claudehenrion · 2 years
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La Magie de Noël - ( I ) : Que de regrets il faut avoir...
  Question idiote : Combien de fois par jour entendez-vous réciter ce lieu commun absurde par des gens qui le répètent parce qu'ils l'ont entendu.... sans le moindre rapport avec quelque réalité que ce soit ? Au pifomètre, à raison de 5 fois minimum par ''JT'', et de 3 ''JT'' par jour, la réponse est : ''entre 15 et 20 fois par jour''. C'est un bourrage de crâne ''ad nauseam'' (= à en vomir, en latin. Ça a l'air moins vulgaire dans une langue dite morte). La grosse dame dans la charcuterie responsable de son surpoids, le grand-père devant un jeu ''vintage'' made in China dont le mode d'emploi est... ''du chinois'', la jolie jeune maman qui achète des canards à la grippe aviaire pour le ''réveillon''... n'ont qu'un mot à la bouche : ''c'est la magie de Noël''.
Je, vous, tu, il, ou elles, ne nous sommes jamais demandé ce que cette affirmation devenue rituelle mais restant sans objet ni raison d'être pouvait bien vouloir dire, dans ces circonstances. Après des heures à me gratter l'occiput (qui, on ne le dira jamais assez, n'a rien à voir avec une femme de mauvaise vie qui aurait été tuée !), je crois avoir enfin trouvé la ou une bonne réponse. Cela veut dire... ''rien''. En fait, c'est un mot-valise qui cache le néant d'une pensée qui n'en est plus une, quelque chose comme ''dépenser de l'argent'', comme Tartarin de Tarascon criait ''Fen dé brut'' (faisons du bruit) : acheter trop de cadeaux aux enfants, préparer trop des habituelles ripailles inhabituelles (toutes mauvaises pour la santé), décorer un sapin dit ''de Noël'' sans raison particulière (sauf, peut-être, la date ?), boire du (mauvais) vin chaud en se gelant les pieds dans un ''Marché de Noël'' sur-bondé, et surtout sacrifier à une joie factice, convenue (ici écrit en un seul mot, par respect pour mes semblables) qu'il est devenu routinier d'appeler ''les Fêtes de fin d'année'' et dont l'apothéose, c'est à dire le triomphe du néant absolu, tombera la semaine suivante.
A force de tricher avec tout, à commencer par la suppression de la seule et unique raison d'être de ce ''tintouin'', ces foules font un peu de peine, à en être presque sympathiques, puisqu'il est évident qu’elles n'ont aucune chance de trouver ce qu'elles cherchent en se soumettant à des pratiques qui ressortissent  d'une toute nouvelle pseudo-religion (mauvaise aussi !), la religion de l'instant, du fugitif, du faux-semblant, une Fête de Sainte Consommation et de Sainte Boubouffe réunies, comme si le seul fait de consommer un peu (?) plus que d'habitude pourrait leur apporter quoi que ce soit de plus, de nouveau, de différent. Ces rites dévoyés n'ont en général qu'un seul aboutissement : la gueule de bois dans les jours qui suivent !
Ce qui pouvait être considéré comme ''magique'', c'était de naître, grandir, aimer, travailler, vieillir et mourir dans un pays aussi beau et aussi doux à vivre que l'était notre France. Mais ça, c'était avant. Avant les éoliennes, avant les campements de migrants, ces villages nomades de tentes errantes qui migrent au gré d' ''ONG'' au service des passeurs –et du Mal, en général--... avant la violence endémique, les quartiers ''réservés''(à ceux qui n'ont pas le plus petit droit de s'y trouver). Il se vend de la drogue partout, la paysannerie se meurt, la bourgeoisie est assassinée par un fisc anthropophage, la violence est devenue endémique et les mensonges règnent, en maîtres incontestés. On meurt du traitement politique des épidémies imposé par nos élites indignes qui ''ont envie d'emmerder'' ceux dont ils doivent protéger la liberté, l'égalité et la fraternité (Ah ! Celle-là... Il ne reste d'elle que son épitaphe gravée sur nos anciens monuments en voie de délabrement sans retour possible !).
Ce qui était ''magique'', c'était avant les restrictions, avant le lent naufrage de tout notre système hospitalier, de notre école, de notre ''Justice'' si injuste, de notre police mal traitée, de notre industrie cassée, avant la grande pénurie --d'essence, de liberté, de médecins, de médicaments, de gaz et d'électricité, et bientôt de tout ce que nos incapables –sauf de discours creux et de paroles vides-- avaient pour seule et unique mission de protéger... et qu'ils ont remplacé par des amendes, des impôts supprimés mais vite remplacés par des taxes encore plus confiscatoires... C'était avant le triomphe de l'inflation, de l'Etat qui endette nos enfants et leurs enfants pour camoufler sa propre impéritie, avant les mesures aussi inutiles que liberticides tendant à nous faire croire que les vagues petites vagues --de 5 à 9, d'après ceux qui n'en savent rien mais n'ont pas le courage de le reconnaître-- d'un virus qui l'est tout autant (vague), sont autant de tsunamis (on voit des vaguelettes).
Tout ça, c'était avant, cet ''avant'' dont il est interdit d'avoir la nostalgie, qu'il est défendu de regretter... C’était avant que notre France ne découvre la destruction systématique (= ''par système'') qui a commencé avec l'élection du lamentable Hollande et qui se continue, sous notre nez et à notre barbe, jour après jour, heure après heure, décision (mauvaise) après décision (mauvaise). Ce superbe édifice a tenu sur sa lancée et couru sur son erre pendant une toute petite dizaine d'années. Et tout d'un coup, la toile de fond genre Potemkine s'est brusquement déchirée et on a vu que le roi est nu, et ses sujets avec lui, en plein appauvrissement, privés (en leur racontant le contraire) de liberté, de revenus, de chaleur dans leur ''chez eux'', de foie gras, de paracétamol, d'essence abordable... et de train, par la disgrâce de syndicats sans foi ni loi... autre que leur satané ''droit de grève''...
Et pourtant, que de beaux symboles passent, cette nuit-là, à portée de ces mains qui refusent de s'ouvrir ! Souvenez-vous... Dans la douceur de merveilleux chants (dits, justement, ''de Noël'') une nuit d'amour évoquait dans la tendresse et l'émotion la naissance d'un petit bébé juif, il y a 2000 ans et plus –aux erreurs de calcul près, mais ça n'a aucune importance : c'est ''hors sujet''-- qui va devenir, de très très loin, l'événement le plus important de toute l'Histoire de l'Humanité ! Il faut ''se souvenir'' (c'est une façon de parler) qu'en ce temps-là, l'islam n'avait pas tout transformé en haine comme à Bruxelles. Les Mages venaient de Babylone, sans problème... les bergers amenaient leurs troupeaux où bon leur semblait... tout le monde allait et venait sans contrainte, dans la ''Pax Romana'' décomplexée (là où nous avons honte de parler du temps où la ''Pax Franca'' permettait une concorde –fût-elle de surface-- entre les hommes (je l'ai bien connue, vécue, fréquentée, aimée, et je peux en parler, contrairement à ceux qui croient stupidement la vulgate de gauche qui fait un enfer de ce paradis relatif (je vous en parlerai bientôt, c'est promis.).  
C'était ça, ''la magie de Noël''. Pas les mensonges, les interdits, les non-dits, pas –ou ''pas que''-- la boustifaille, le champagne dit ''festif'' puisqu'il fait oublier plus vite de l'affreuse réalité, et surtout pas l'interdiction des crèches –seule chose vraie dans tout ce charivari, donc seule chose qu'il leur reste à supprimer.  C'était cultiver des souvenirs de ''veillées'', de jolis ''petits Noëls'' repris en chœur par la famille, la joie de déposer un santon ''Enfant Jésus'' dans la crèche, au pied de l'arbre, les bougies, la douceur authentique (sans chichis, sans fla-flas, sans tous les excès --de mauvais goût-- devenus rituels), les petits cadeaux modestes, le plus souvent ''faits main'' mais avec tant d'amour... toutes choses pratiquement oubliées par de jeunes générations qui ont fini, sous les pressions inhumaines exercées contre elles par des ennemis du bonheur des Hommes, par accepter que la vérité officielle pouvait avoir le moindre lien, le moindre rapport, avec la ''vraie vérité''. Et de croire que le bonheur pouvait venir d'une ''tablette'' modèle ''XYZ'' offerte au petit dernier par un gentil grand-père qui ignore tout des dangers inhérents aux ''réseaux''...
Je suis triste, ce soir : je cherche partout leur ''magie de Noël'' dans leur exaspérant et épouvantable ''Jingle Bells'', entendu et supporté mille fois, dès qu’on va faire des courses. C’est le seul air autorisé depuis que les vrais chants de Noël sont interdits dans les boutiques par la ''police des mœurs à la française'', bien plus insidieuse, vicelarde et rigoriste que son équivalent iranienne, mais je n'arrive pas à la trouver ! Je retourne à la mienne, de magie, et je file donc mettre un énième ''coup d'amour'' à ma crèche provençale, dont je vous parlerai aussi, un jour prochain. (à suivre).
H-Cl
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lalignedujour · 2 years
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Je ne décidai pas de voyager, et je voyageais quand même. C'était une sorte de digital detox. Pas de téléphone, pas d'ordinateur, pas d'enceinte connectée, même pas d'argent sur moi. En fait, j'avais rien dans les poches : peut-être un mouchoir, un porte-clé ou un caillou, mais même pas sûr. J'avais entre 2 et 12 ans, je voyageais juste avec ma mère. Je n'avais rien pour écrire, c'était très oral. Les paroles glissaient dans mes oreilles, les images glissaient sur mes yeux, et les odeurs sont encore dans mon nez. C'était expérientiel, on pourrait dire. Je ne comprenais pas la langue que parlait ma mère, à part peut-être les mots les plus habituels (bonjour, merci, combien, au revoir, les noms des lieux, les noms des fruits) et les mots tendres d'une mère pour son enfant (les noms des fruits faisaient aussi partie de cette catégorie). J'entendais aussi souvent le suffixe qui indique la dizaine d'un nombre. C'est comme en Allemand, la dizaine se dit après l'unité. La conversation était un flou, mais ce son frisait à la fin du mot comme la pousse d'une plante grimpante et il m'accrochait, il continue de m'envelopper. Si la voix de ma mère résonne encore longtemps, ce sera avec ce son, cette syllabe de la fin des chiffres en Arabe.
On avait dû faire beaucoup de choses pendant ces longues semaines, plusieurs fois par an pendant toute mon enfance. Mais j'en garde seulement quelques-unes. Les panneaux stop qui ont la même forme et la même couleur qu'en France mais c'est marqué stop en Arabe. L'air plein de sable, ça rendait l'horizon un peu jaune, on s'en rendait compte surtout sur les routes toutes droites. L'odeur de sapin magique surchauffé dans les taxis, la musique dans les taxis, la difficulté à trouver un taxi, les modèles de taxi (souvent des Opel Corsa), la couleur jaune d'œuf des taxis, cette folie d'entrer toujours dans un véhicule similaire avec le même rituel mais jamais exactement avec les mêmes sièges jamais avec le même chauffeur jamais avec les mêmes trucs suspendus au rétroviseur et toujours avec une déficience différente (la manivelle à fenêtre bloquée ou un trou dans la banquette ou un moteur enrhumé ou une absence d'amortisseurs), et ma mère qui parle fort au chauffeur en frisant la fin de ses chiffres d'un air scandalisée pour pas se faire arnaquer.
A part les trajets, je me souviens des petites poires du jardin du grand-père que je n'ai pas connu. (Il y avait aussi des grenades et des coings, mais ça je ne les voyais que dans la valise de ma mère quand elle y avait été toute seule, parce qu'en septembre il y avait école et mon père ne voulait pas que je rate l'école.) Je me souviens de la terrasse en trois ou quatre parties différentes, avec un nombre irrégulier de marches entre ces zones, et ses garde-corps pas réglementaires, pas finis car mon grand-père est mort à ma naissance et ça a tétanisé tout le monde, et faut croire que personne a été acheter des parpaings. (Je suis presque sûr que sa vieille Mercedes aux phares verticaux dort encore au milieu de la végétation.) Je me souviens du sable en permanence dans mes sandales, qu'on soit ou non à la plage. Je me souviens du goût des boissons gazeuses aux taux de sucre pas réglementaires. Mais, c'est vrai, je me souviens surtout des trajets.
Et au bout des trajets, j'étais toujours dans une maison différente, pour un temps indéterminé - parfois on dormait sur place (je rappelle que je ne comprenais pas les conversations). Je mangeais ce qu'on me servait, je dormais où on me disait, je jouais avec qui il y avait et l'été passait comme ça. Pendant ces semaines-là, les gens de la famille éloignée étaient les personnes les plus importantes de ma vie : je recevais énormément de bisous pour dire bonjour et au revoir (ça durait très longtemps, on me disait de mettre mes sandales et en fait, les adultes discutaient encore, alors on pouvait jouer autour de la maison, je me souviens de l'odeur de certaines mauvaises herbes qu'on a pas ici). Je recevais plein de bisous même si j'étais plus blanc que les autres, et c'est peut-être parce que dans leur esprit, je remplaçai mon grand-père - leur frère, beau-frère, oncle, leur père. On me parlait un peu en français, mais vraiment surtout, on me parlait en bisous.
Parfois, ma mère décrochait du groupe et s'adressait juste à moi. C'était mon instant de bonheur. Elle le faisait d'abord en Arabe, pour montrer qu'elle parlait à son enfant en Arabe. Puis elle constatait avec déception et culpabilité que je ne comprenais pas, précisément parce qu'elle ne m'avait jamais vraiment parlé en Arabe. Alors, elle reprenait en français. Ce n'était pas moins confu : elle me parlait en "façon de parler", elle me disait que cette maison, c'était chez nous - j'ai compris plus tard que c'était "comme chez nous". Elle me disait que ce monsieur était mon tonton - j'ai compris plus tard que c'était son oncle à elle et que c'était "comme mon tonton". Bref, je n'avais pas les refs, pas la notion du temps, les liens de parenté n'étaient pas clairs, je ne comprenais pas les conversations, c'était une digital detox hard-core. Presque une thérapie pour control-freak.
Aujourd'hui, beaucoup de ces gens sont morts, ou sur le point de mourir, et je ne sais toujours pas qui c'est pour moi. Un jour, ça a été la dernière fois que j'y ai été. Je ne le savais pas, personne ne le savait, on s'est dit au revoir et ce n'était pas un au revoir.
Aujourd'hui, le pays a changé. Les femmes doivent se couvrir un peu plus que ma mère et ses cousines si elles veulent être tranquilles dans la rue, je crois. Toute l'agglomération de Tunis a changé, s'est densifiée, les routes ne sont plus les mêmes, j'imagine : plus aussi droites, fluides et ouvertes aux vents du désert. Et je ne veux pas y penser.
Si je n'y retourne pas, je garde mes images mentales, chéries et rapiécées par le temps. Je reste un peu enfant.
Cette famille floue est toujours là et m'aime toujours.
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grandmaitreodjelade · 9 months
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VALISE MAGIQUE
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ibebizi · 9 months
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Chapitre 1 : L'Été de l'Aventure
Le doux murmure d'un appel résonna dans la pièce, brisant le silence de la routine quotidienne. "Ethan ! L'été est arrivé, il est temps de partir à l'aventure !" La voix, familière et enjouée, semblait provenir d'un monde empli de promesses et de mystères.
Cet été, une destination captivante se dessinait à l'horizon : le Maroc, une contrée lointaine aux charmes exotiques. L'appel de l'aventure se fit de plus en plus fort, une croisière à travers le Maghreb, une immersion au cœur de la culture marocaine, une exploration des racines musulmanes et de l'âme africaine. L'espoir d'une réception chaleureuse remplissait le cœur d'excitation.
Le Maroc, un pays aux mille et une merveilles, promettait une beauté envoûtante. On racontait que la plage d'Oued Laou était comme une page sortie tout droit d'un manga, où le sable doré rencontrait les vagues tumultueuses de l'océan Atlantique. Le charme africain se mêlait à la magie maghrébine, créant une expérience unique.
Le rêve ultime était de prendre le départ pour une croisière sur les eaux cristallines de la Méditerranée, et quoi de mieux que de commencer cette épopée au Maroc, au cœur du Maghreb ?
L'influence française au Maghreb était aussi intrigante qu'une énigme de détective. L'histoire culturelle et linguistique du Maroc constituait un puzzle complexe. Les raisons pour lesquelles les Marocains parlaient français, de l'héritage colonial à l'aspiration à vivre en France, rappelaient les retournements de situation typiques d'un anime.
Le voyage se préparait en famille, comme une équipe de héros sur le point de partir à l'aventure. Les valises étaient prêtes, les guides de voyage prêts à être déployés, et les rêves de collecte de souvenirs brillaient telles des gemmes magiques. Quant à la mère, elle nourrissait une quête de connaissance, désirant visiter des mosquées sacrées et explorer le mausolée de Mohammed V.
Les grands-parents, bien qu'âgés et ne pouvant pas participer physiquement, étaient le soutien moral depuis leur demeure. Ils souhaitaient vivre l'aventure à travers les cartes postales envoyées depuis les terres lointaines, et les photographies qui évoquaient l'émerveillement des paysages exotiques.
L'excitation montait en flèche, et le voyage au Maroc, tel un anime en devenir, promettait un premier épisode riche en émotions.
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voyancetoffah · 11 months
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PUISSANT VALISE MAGIQUE
Démonstration de cette puissante valise du GRAND MAITRE MARABOUT TOFFAH est la plus puissante au monde. Cette valise est capable de transformer des papiers simpless en euro, francs CFA et dollars. Avec cette puissante valise, vous pouvez créer jusqu’à 8 million d’ euro, francs CFA et dollars 3 fois par semaine. pour plus dinformation veuillez contacter le GRAND MAITRE TOFFA: Contact whatsapp:+229 50105663
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vodoungnon · 7 months
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Témoignage sur le vrai portefeuille magique du papa vodoungnon medjo, vrai et vérité sur le portefeuille de binta envers papa vodoungnon medjo
vrai et vérité sur le portefeuille de binta envers papa vodoungnon medjo Bonjour je suis Binta je suis au Mali je dépose ce témoignage sur le site offociel de papa Vodoungnon Medjo pour ses bientfaits et son conseils. Merci à vous Vodoungnon Medjo Votre portefeuille est vraiment mystique. PAPA vous êtes vraiment puissant et fort , j’apprécie trop ses conseils. Je vous jure que depuis que je…
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VALISE MAGIQUE EN EURO
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VALISE MAGIQUE EN EURO
VALISE MAGIQUE EN EURO,VOUS NE VOUS ÊTES JAMAIS DEMANDÉ SUR QUOI EST BASÉ LEUR RICHESSE EN RÉALITÉ ? AUJOURD'HUI VOUS AUSSI VOUS AVEZ LA CAPACITÉ, LE POUVOIR DE DEVENIR RICHE EN UN JOUR, C'EST-À-DIRE DU JOUR AU LENDEMAIN.
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vinon0 · 2 years
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valise magique sans risque, valise magique en euro, valise magique en dollars, valise magique en France, valise magique
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La valise magique qui multiplie de l’argent chaque jour Il est mis à votre disposition la valise magique multiplicateur capable de vous aidez a intégré la grande famille des riches. La Valise magique est une puissance qui peut vous donnezau moins 50.000.000 fcfa par jour ça dépendra de la monnaie du pays. Commerçant, fonctionnaire, femme, homme, riche,pauvre, chômeurs, étudiant ou…
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grandmaraboutorogan · 2 years
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Témoignage de la multiplication des billets, le billet de banque ,Témoignage du portefeuille,marabout vrai, un vrai marabout du monde, marabout africain,marabout de confiance,blanchissement d'argent...
CONTACTE WHATSAPP +229 91 32 34 67 OU +229 53 83 81 14 POUR UN BON PORTEFEUILLE SANS DANGER
Je m’appel Michel, je témoigne aujourd’huit sur le grand marabout Orogan qui ma montré la réalité de la multiplication d’argent réel . Voici la sommes d’argent qu’il ma envoyer ce matin comme prévus. Après beaucoup d’échec chez des marabout ,je n’es pas confiance dès le début que j’ai pris son numéro ,je voulais essayer avec la multiplication d’argent et après pour le portefeuille . Il ma donné…
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maraboutowo · 3 years
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Rituel pour devenir riche rapidement du Marabout Owo
Rituel pour devenir riche rapidement du Marabout Owo
Rituel pour devenir riche rapidement du Marabout Owo Rituel puissant pour devenir riche Si vous voulez un rituel pour devenir riche, Si vous êtes à la recherche de l’argent, Si vous voulez posséder pleins d’argent leplus vite possible seulement en 1 jour. Voici ci-dessous un moyen occulte expliqué pour devenir très riche en 3 jours. Comment faire ce rituel de richesse ? Pour faire ce rituel…
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LEONTOPODIUM ALPINUM Stella alpina Edelweiß. Étoile des Alpes. Planika. Edelweiss Asteraceae. Monte Baldo. Sentiero 651. Altitudine:2050 m. ca. Verso i nove anni a casa nostra celebravi la festa dell’addio all’infanzia. Per la prima volta andavi in escursione con i fratelli fino al laghetto che giace ai piedi del Cornone di Blumone. La sera, anche se stanchi, tornavamo a casa in fretta, perché la mamma potesse vedere il ghiaccio che la borraccia aveva conservato bene come il frigorifero della gelateria. Nello zaino c’era pure il bottino delle nostre razzie. Avevamo però un sacro rispetto per le stelle alpine, perché sicuramente non erano fatte di erba, ma di una stoffa magica, soffice come quella del berretto della domenica. Ci fermavamo a guardarle nei nostri posti segreti, con il terrore di trovarle devastate dai villeggianti che arrivavano a Bazena in macchina. La fiaba della maestra raccontava che le cime dei monti, immerse in un cielo fiorito di stelle, erano tristi perché aride e spoglie, e invidiavano il mare lontano, osservando sulle sue spiagge i resti graziosi delle stelle marine. Piangevano, e il loro dolore commosse il firmamento, il quale, una notte d’agosto, riversò sulle rocce una pioggia di stelle cadenti, che fecero nascere le stelle alpine. Per questo, quando da ragazzi incontravamo gruppetti di stelle alpine cresciute non sulla roccia ma nei prati, dicevamo: “Di sicuro queste sono cadute nel posto sbagliato!”. Poi abbiamo imparato che anche i fiori emigrano; non solo il papà, che andava in Francia a lavorare dalla primavera fino in autunno avanzato, quando a dicembre noi ci fermavamo sul muricciolo per guardare giù nello stradone se la corriera riportava a casa il babbo con i suoi valigioni. Anche i fiori traslocano. Il mondo e la vita sono una continua migrazione. Talvolta traumatica, come la frana che porta giù a valle le stelle alpine; o le tragedie delle nazioni che riversano ondate di profughi da un paese all’altro. Le migrazioni planetarie invece sono lente, e nel corso dei millenni hanno colorato la terra di popoli e di vegetazione. Come le stelle alpine, che dal Tibet sono arrivate sulle nostre Alpi
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Edelweiss Monte Baldo sentier 651 altitude 2050 mètres. À l'âge de neuf ans, vous avez célébré la fête d'adieu pour les enfants chez nous. Pour la première fois, vous avez fait une excursion avec vos frères vers le lac qui se trouve au pied de la Cornone di Blumone. Le soir, même fatigués, nous rentrions rapidement à la maison pour que maman puisse voir la glace que la bouteille d'eau avait gardée ainsi que le frigo à glace. Le butin de nos raids était également dans le sac à dos. Cependant, nous avions un sacré respect pour les edelweiss, car ils n'étaient sûrement pas faits d'herbe, mais d'un tissu magique, aussi doux que celui de la casquette du dimanche. Nous nous sommes arrêtés pour les regarder dans nos lieux secrets, avec la terreur de les trouver dévastés par les vacanciers arrivés à Bazena en voiture. Le conte de fées du professeur racontait que les sommets des montagnes, plongés dans un ciel plein d'étoiles, étaient tristes parce qu'ils étaient arides et dénudés, et enviaient la mer lointaine, observant les restes gracieux de l'étoile de mer sur ses plages. Ils pleuraient, et leur douleur déplaçait le firmament qui, une nuit d'août, déversait une pluie d'étoiles filantes sur les rochers, ce qui donna naissance à l'edelweiss. Pour cette raison, lorsque nous avons rencontré de petits groupes d'edelweiss quand nous étions jeunes, ils ont grandi non pas sur le rocher mais dans les prairies, nous nous sommes dit: "Ils sont certainement tombés au mauvais endroit!". Puis nous avons appris que les fleurs émigrent également; pas seulement le père, qui est allé en France travailler du printemps jusqu'à la fin de l'automne, quand en décembre nous nous sommes arrêtés sur le muret pour regarder en bas de la route si le bus ramenait le père et ses valises chez lui. Même les fleurs bougent. Le monde et la vie sont une migration continue. Parfois traumatisant, comme le glissement de terrain qui fait descendre l'edelweiss dans la vallée; ou les tragédies de nations déversant des vagues de réfugiés d'un pays à l'autre. Les migrations planétaires, en revanche, sont lentes et, au cours des millénaires, elles ont coloré la terre des peuples et de la végétation. Comme l'edelweiss venu du Tibet dans nos Alpes
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