#vais faire des galettes
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Make your dreams reality : this morning i woke up from a dream about crêpes, and now i made crêpes
#it was a very french dream i'll be honest about specificities of crêpes#genre j'étais chez ma meilleure amie dans sa cuisine je vois du jambon et du persil (si spécifique idk it's a dream) et je me dit que je#vais faire des galettes#après j'ai un débat de est ce que je les fait dans une mini crépière (genre crêpe party mais individuel) ou un wok#(la reponse a été wok)#mon autre meilleure amie arrive après que j'ai fait genre 2 galettes et on va se balader#on reviens le wok est tordu et je le remet#je refais une galette#et là je réalise que j'ai utilisé de la farine normale pas de la farine de sarrasin#et donc que je fais des crêpes et pas des galettes depuis le début#tellement choquée ça m'a réveillée#et j'ai envie de crêpes depuis mon réveil#eno's dumb little posts
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à chaque fois que je vais chez copains je me sens tellement insupportable mais aussi tellement bien
#'je vais prendre une part de galette sans gluten en collaboration avec the kooples s'il vous plaît'#autant j'avais compris la bûche de Noël avec du collagène dedans en collaboration avec la marque de cosmétique#je ne l'ai pas achetée mais seulement parce que ma famille aime le chocolat et qu'elle était à la vanille#mais là j'avoue que j'ai du mal à saisir ce que vient faire the kooples dans la galette 😂
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si j'ai le courage aujourd'hui je vais acheter des poivrons pour les faire sauter avec du tofu et des herbes, mais j'ai aussi envie de faire les galettes au babybel
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Fairytale #3 - Le Petit Chaperon Rouge
Once upon a time, there was a little village girl, the brightest that had ever been seen: her mother was crazy about her, and her grandmother even more so. This good woman had a little red riding hood made for her, which suited her so well that she was called Little Red Riding Hood everywhere.
Il était une fois une petite fille de village, la plus éveillée qu’on eût su voir : sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge qui lui seyait si bien, que partout on l’appelait le petit Chaperon rouge.
One day, her mother baked some cakes and said to her, "Go see how your grandmother is doing, as I have been told she is sick. Take her a cake and this little pot of butter."
Un jour, sa mère ayant cuit et fait des galettes, lui dit : « Va voir comment se porte ta mère-grand, car on m’a dit qu’elle était malade. Porte-lui une galette et ce petit pot de beurre. »
Little Red Riding Hood set off at once to go to her grandmother's, who lived in another village. As she was passing through a wood, she met with the Wolf, who very much wanted to eat her; but he did not dare to, because of some woodcutters who were in the forest. He asked her where she was going. The poor child, who did not know that it was dangerous to stop and listen to a wolf, said to him, "I am going to see my grandmother, and bring her a cake and a little pot of butter, which my mother is sending to her." "Does she live far off?" said the Wolf. "Oh, yes," replied Little Red Riding Hood, "it is beyond the mill that you see there, at the first house in the village." "Well," said the Wolf, "and I'll go and see her too. I'll go this way and you go that way, and we'll see who will be there first."
Le petit Chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeurait dans un autre village. En passant dans un bois, elle rencontra compère le Loup, qui eut bien envie de la manger ; mais il n’osa, à cause de quelques bûcherons qui étaient dans la forêt. Il lui demanda où elle allait. La pauvre enfant, qui ne savait pas qu’il était dangereux de s’arrêter à écouter un loup, lui dit : Je vais voir ma mère-grand, et lui porter une galette, avec un petit pot de beurre, que ma mère lui envoie. — Demeure-t-elle bien loin ? lui dit le loup. — Oh ! oui, dit le petit Chaperon rouge ; c’est par delà le moulin que vous voyez tout là-bas, à la première maison du village. — Eh bien ! dit le Loup, je veux l’aller voir aussi : je m’y en vais par ce chemin-ci, et toi par ce chemin-là ; et nous verrons à qui plus tôt y sera.
The Wolf ran with all his might along the shortest path, and the little girl went by the longest way, amusing herself by gathering nuts, running after butterflies, and making bouquets of the little flowers she came across.
Le Loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et la petite fille s’en alla par le chemin le plus long, s’amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons, et à faire des bouquets des petites fleurs qu’elle rencontrait.
The Wolf did not take long to arrive at the grandmother's house; he knocked: knock, knock. "Who is there?" "It's your daughter, Little Red Riding Hood," said the Wolf in a fake voice, "who is bringing you a cake and a little pot of butter that my mother is sending you." The kind grandmother, who was in bed because she was feeling a little unwell, called out, "Pull the bobbin, and the latch will fall." The Wolf pulled the bobbin, and the door opened. He threw himself upon the good woman and devoured her in no time, for he had not eaten for more than three days.
Le Loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la mère-grand ; il heurte : toc, toc. — Qui est là ? — C’est votre fille, le petit Chaperon rouge, dit le Loup en contrefaisant sa voix, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre, que ma mère vous envoie. — La bonne mère-grand, qui était dans son lit, à cause qu’elle se trouvait un peu mal, lui cria : Tire la chevillette, la bobinette cherra. — Le Loup tira la chevillette, et la porte s’ouvrit. Il se jeta sur la bonne femme, et la dévora en moins de rien, car il y avait plus de trois jours qu’il n’avait mangé.
Afterwards, he closed the door and went to lie down in the grandmother's bed, waiting for Little Red Riding Hood, who arrived some time later and knocked on the door: knock, knock. "Who's there?" "Little Red Riding Hood." Upon hearing the Wolf's deep voice, she was afraid at first, but thinking that her grandmother might have a cold, she answered, "It's your daughter, Little Red Riding Hood, who is bringing you a cake and a little pot of butter that my mother is sending you." The Wolf called out to her, softening his voice a little, "Pull the bobbin, and the latch will fall." Little Red Riding Hood pulled the bobbin, and the door opened.
Ensuite il ferma la porte, et s'alla coucher dans le lit de la mère-grand, en attendant le petit Chaperon rouge, qui, quelque temps après, vint heurter à la porte : toc, toc. — Qui est là ? — Le petit Chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du Loup, eut peur d’abord, mais, croyant que sa mère-grand était enrhumée, répondit : C’est votre fille, le petit Chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre, que ma mère vous envoie. — Le Loup lui cria en adoucissant un peu sa voix : Tire la chevillette, la bobinette cherra. — Le petit Chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s’ouvrit.
The wolf, seeing her enter, told her to put the cake and the little pot of butter on the bread bin and to come and lie down with him. The little Red Riding Hood undressed and went to get into bed, where she was greatly amazed to see how her grandmother looked in her nightclothes. She said to her, "Grandmother, what big arms you have got!" "All the better to hug you with, my dear." "Grandmother, what big legs you have got!" "All the better to run with, my child." "Grandmother, what big ears you have got!" "All the better to hear with, my child." "Grandmother, what big eyes you have got!" "All the better to see with, my child." "Grandmother, what big teeth you have got!" "All the better to eat you up with." And saying these words, the wicked wolf fell upon Little Red Riding Hood and ate her up.
Le Loup, la voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit, sous la couverture : Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens te coucher avec moi. Le petit Chaperon rouge se déshabille, et va se mettre dans le lit, où elle fut bien étonnée de voir comment sa mère-grand était faite en son déshabillé. — Elle lui dit : Ma mère-grand, que vous avez de grands bras ! — C’est pour mieux t’embrasser, ma fille ! — Ma mère-grand, que vous avez de grandes jambes ! — C’est pour mieux courir, mon enfant ! — Ma mère-grand, que vous avez de grandes oreilles ! — C’est pour mieux écouter, mon enfant ! — Ma mère-grand, que vous avez de grands yeux ! — C’est pour mieux te voir, mon enfant ! — Ma mère-grand, que vous avez de grandes dents ! — C’est pour te manger ! Et, en disant ces mots, ce méchant Loup se jeta sur le petit Chaperon rouge, et la mangea.
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18 juillet
en sortant du cimetière maman m'a appelée pour voir comment j'allais et j'ai recommencé à pleurer derrière mes lunettes de soleil en traversant le parc de la hasenheide. elle m'a dit rappelle-toi que tout prend toujours beaucoup plus de temps avec toi et que tes émotions sont décuplées, que c'est un énorme changement et que tout ne peut pas être bien du premier coup. c'est exactement ce que me disait r. hier soir. je lui ai parlé des gens de bumble et il a dit que j'allais pas forcément rencontrer les gens les plus intéressants tout de suite, mais que je les trouverais peut être à travers d'autres gens, de fil en aiguille. je lui ai demandé s'il avait une stratégie pour se faire des amis dans une nouvelle ville et il m'a dit que lui il irait aux concerts et il essaierait de parler aux gens, et si j'y arrive pas, essayer de les trouver sur insta et leur écrire, comme il a fait avec moi. ha. je lui disais que j'étais de mauvaise foi mais lui il trouvait pas, juste un petit côté indécrottable à la limite. j'ai dit que je le mettrais dans ma bio parce que j'adore ce mot. on a discuté pendant un moment et tout d'un coup il a dit mais je vais me coucher lara! j'espère que notre causette t'a été utile, et la manière dont il l'a formulé m'a donné l'impression que toute notre conversation n'était qu'une sorte de bonne action de sa part. comme s'il se disait que j'avais que lui pour parler. j'en suis à un stade où je m'en fous un peu de ce qu'il pense mais ça m'énerve qu'il se donne cette importance toujours. ou alors c'est juste moi qui me monte le chou pour rien. indécrottable.
bon ça va un peu mieux depuis que j'ai pleuré en public. quand j'ai raccroché je voulais pas rentrer alors j'ai marché jusqu'au k-fetisch juste pour voir des lesbiennes et tenter du eye contact sur le trottoir, on sait jamais, mais personne m'a calculée sauf une fille hot au crâne rasé mais vite fait. je me suis dit ok, même si j'ose pas y rentrer, c'est quand même cool d'habiter à douze minutes à pied d'un bar lesbien. je suis rentrée à la maison de bonne humeur je me suis douchée j'ai chanté j'ai mangé du pain avec du beurre de cacahouètes et de la confiture et j'ai fini de traduire mon cv + fait une lettre de motiv pour les cours de français. j'ai l'impression que cette journée a duré cent ans. demain j'écris. demain je suis sérieuse. je dois rester plus concentrée sur mes objectifs. je m'éparpille trop.
20 juillet
j'ai envie de rentrer. j'arrête pas de penser au meme avec le squelette qui court qui dit if it sucks it da bricks!! je sais pas combien d'efforts je suis censée faire exactement? ce matin j'ai de nouveau été réveillée par des gémissements de sexe (cette fois c'était n.) et évidemment j'avais le coeur qui battait trop vite pour me rendormir et je me demandais est-ce que je suis vraiment obligée de m'infliger ça? et si ça me suffisait de vivre ma vie par procuration? de me contenter de celle des personnages de fiction? à la maison quand je vois les autres vivre leur vie ça me donne envie de me tuer mais maintenant que j'ai l'opportunité d'avoir une vie moi aussi et que je dois faire des efforts pour la construire j'ai envie de retourner dans ma non vie par procuration. mais est-ce qu'avoir une vie signifie forcément de vivre dans une métropole sortir en club avoir du sexe et vivre dans une chambre pourrie de 9m2 avec de la vieille moquette dégueue? en scrollant ig ce matin au lit j'ai regardé une vidéo d'hortense raynal qui s'enregistre en train de dire des trucs dans un micro avec un looper installée dans ce qui ressemble à une maison de campagne et je veux ça. vivre à la campagne tranquillement et faire mes trucs au calme et puis aller à la ville pour les trucs pro, occasionnellement.
hier soir j'ai accompagné n. à une fête dans un squat alors que je m'étais déjà mise en pyjama et que je m'apprêtais à regarder un film en mangeant mes galettes de lentilles avec du beurre de cacahouète et une banane parce que je recommence à manger n'importe quoi n'importe quand et surtout je mange pas assez, mais dans un élan de courage j'ai enfilé des habits noirs englouti mes deux galettes et j'ai dit je viens! on s'est trompé de s bahn et on a atterri beaucoup trop loin et j'espérais secrètement qu'on arrive jamais, qu'on se perde dans la banlieue et que la fête disparaisse de l'horizon. j'étais jalouse des gens à l'intérieur de leurs appartements avec un éclairage tamisé eh oh moi aussi je veux passer la soirée sur le canapé devant la télé. vers une ou deux heures du matin des voisins ont appelé la police pour faire arrêter la musique et automatiquement je me suis mise à la place des voisins, de leur côté je veux dire, même si j'appellerais jamais la police, je suis pas du côté de la police, je suis juste du côté des gens qui veulent dormir en paix. j'ai passé la soirée à discuter avec des inconnus dans le jardin donc ça va, c'était largement faisable, c'était un jardin labyrinthique avec plein de petits recoins secrets et des grandes fleurs sauvages et on y voyait pas grand chose. toutes les fêtes devraient avoir lieu dans des jardins comme ça. à un moment n. est allée danser sur la techno à l'intérieur où il faisait mille degrés mais je préférais encore affronter la conversation avec des inconnus plutôt que le dancefloor.
j'avais un semi crush sur un garçon maigre et bouclé qui s'appelait oleg. il portait des lunettes rondes et il était hydrogéologue ou un truc comme ça et ça a suffi à me séduire. il racontait qu'il avait quitté la russie pour échapper à l'armée y a deux ans et que depuis il vivait un peu peu partout et nulle part. il revenait de naples là. avant il était à tenerife où il a retrouvé ses parents et sa soeur restés à moscou. je lui ai dit que j'étais française sans mentionner le luxembourg parce que ça m'emmerde les questions sur le luxembourg, c'est toujours les mêmes et ça m'ennuie profondément. il m'a dit qu'il avait habité à rennes parce qu'il devait travailler à l'université mais que le gouvernement français avait décidé que c'était un espion russe et qu'ils l'avaient mis sur liste noire, alors il est reparti. je me demande s'il mentait. l'été dernier à berlin j'avais décidé que j'allais commencer à mentir aux gens mais je l'ai jamais fait. il portait un sweat troué informe qui tombait sur son corps maigre. n. portait un mini short en jean taille basse avec un haut moulant en dentelle noire sans manches, pas berlin du tout. moi je portais un pantalon noir avec un tshirt noir et mes converse noires. à côté d'elle je me sentais pas trop habillée pour aller à une fête. en m'habillant j'ai dit i don't have any party clothes, mais après deux secondes de réflexion je me suis dit on s'en fout des party clothes, si j'étais un mec je pourrais mettre n'importe quoi, comme un grand sweat troué qui ressemble à rien et un pantalon quelconque et tout le monde s'en foutrait et je trouverais encore des filles pour avoir un crush sur moi (moi). la première fois que j'ai vu r. il portait portait un sweat troué aussi je crois. oh être un garçon.
j'ai aussi discuté avec un espagnol catalan à qui j'ai accidentellement mentionné ma crise existentielle le pauvre, il a dit it's okay i'm open to all kinds of conversation avec un sourire bienveillant mais j'ai vite manoeuvré vers un autre sujet de conversation en lui demandant ce qu'il faisait lui. je crois qu'il travaillait pour une start-up qui fabrique des batteries. il m'a dit just enjoy your funemployment in berlin! ou bien la phrase la plus absurde qu'on puisse me sortir. je crois que j'ai dit i'm not a person who enjoys things ou un truc comme ça. au moins je fais rire les gens avec mes conneries. il portait une veste en daim couleur caramel, je l'ai touchée quand il m'a serrée dans ses bras dans la s bahn, c'était tout doux. je suis sûre qu'il doit vivre dans un bel appart propre et bien rangé.
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Synthpop Retrospective - Bronski Beat : The Age of Consent
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Quand The Age of Consent sort en 1984, le mouvement est déjà bien installé. C'en est même une très bonne année avec les débuts d'Alphaville et leur « Forever Young » , le « SFX » d'Haruomi Hosono (curiosité d'un membre d'YMO sur laquelle il faut foncer), « Who's Afraid of the Art of Noise » ou encore des sorties – pas les meilleures - d'Ultravox, OMD, Depeche Mode, Jean-Michel Jarre sans oublier le « Like A Virgin » de Madonna, qui ne fait qu'asseoir la Synthpop dans le mainstream. Deux albums vont pourtant sortir du lot, principalement par leur engagement pour la cause homo-sexuelle ; « Welcome to the Pleasuredome » de Frankie Goes to Hollywood et « The Age of Consent » de Bronski Beat.
Non pas que la musique n'est pas importante ici – je reviendrai un jour sur le travail de Trevor Horn pour le groupe derrière « Relax » - mais elle marquera moins que le message derrière les deux œuvres ; l'homo-sexualité existe et il faudra faire avec. Comme l'écrit Simon Reynolds dans son « Rip it Up and Start Again », ça ne se lit pas sur son visage que Jimmy Somerville est homosexuel (contrairement aux Frankie Goes qui en poussaient l'imagerie dans ses retranchements) ; son objectif était de montrer qu'un gay ressemblait à n'importe qui d'autres. Pourtant, ce qui frappe aussi, c'est la différence entre ce physique, un peu skin sorti tout droit de « This is England » et la voix du personnage, ce que je ne m'attendais pas à la première écoute.
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« Smalltown Boy » est bien sûr devenu un hymne, repris dans le film « Pride » sorti en 2014 (excellente BO pour les amateurs de Synthpop) et cela est moins du à la production – certes impeccable, jouant avec adresse sur un sentiment entre joie et mélancolie – de Steve Bronski et Larry Steinbacheck qu'au chant haut-perché de Jimmy, rappelant alors l'autre icône queer Sylvester, aussi bien pour sa façon de pousser la gueulante que dans le rythme de certaines compositions ; « Why » est clairement un single Hi-NRJ.
Outre ces deux tubes, que trouvons-nous dans cette première galette ? Deux reprises. Une de « It Ain't Necessarily So », un standard de jazz des Gershwin, qui je trouve, ne marche pas forcément dans une production synthétique, même si elle sonne toujours moins kitsch que le « Heatwave » un peu plus loin. Et une autre « double » reprise du « I Feel Love » de Moroder/Summer et « Johnny Remember Me » de Goddard, dans une version rappelant fortement celle du producteur italien Giorgio, moins Moog certainement mais avec quelques ajouts sympathiques, un mélange de deux classiques qui fonctionne étonnamment bien.
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Sur le reste de l'album, qui oscille donc entre Hi-NRJ synthétique (« Junk » fait le job) et des titres plus « downtempo », Jimmy continue à pousser ses longues notes de diva soul, souvent les mêmes, au point où on finit par se lasser de ce qui faisait la qualité première d'Age of Consent. Surtout pour des textes aussi bateaux que « No More War », sur lesquels je ne peux même pas jeter la pierre, cri du cœur oblige, on a pas mieux à dire dans l'époque de conflit actuelle et subie. « Need-A-Man Blues » et « Love & Money » sont quant à elles, des pièces aussi rythmées qu'atmosphériques, j'apprécie beaucoup le second, notamment pour ce gimmick au clavier qui revient tout le long et ces envolées planantes au saxophone.
Vous serez moins étonnés après avoir lu cette chronique de savoir que le second album de Bronski Beat, sans la voix de Jimmy Somerville parti fonder The Communards, ait moins fonctionné. Sans lui, The Age of Consent aurait été beaucoup plus commun. On peut retrouver un petit peu la saveur de ce qu'aurait donné un VRAI second album, avec le trio d'origine sur l'album de remixes et de démos Hundreds & Thousands ou sur certaines versions « expanded » mais pour la suite, on préférera passer du côté des Communards plutôt que chez Bronski (mais bon, vous me connaissez, je vais écouter les deux quand même !)
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Jeudi 16 novembre 2023
Escapade parisienne
Les jours passent et je trouve toujours une bonne raison de remettre au lendemain le moment d'écrire ces lignes mais ce soir je suis motivé alors me voilà.
Je suis plutôt influencé par mes lectures du moments, à savoir les mémoires de Paul Bowles et le journal de Paul Léautaud.
Voilà des gens qui savaient écrire !
Quand je lis les écrits de Paul Bowles, je ne peux que regretter amèrement de ne pas mener une vie d'aventurier, explorateur du monde, toujours parti quelque par autour du globe, avec une prédilection pour les endroits exotiques.
Ah c'est sûr qu'il en avait des choses à raconter !
Ne devrais je pas faire pareil ?
Me forcer à bouger pour avoir des choses à raconter ?
Mais je ne suis pas un aventurier, moi je suis trop attaché à mon confort pour courir dans le désert et dans la jungle.
Cependant, il est certain que si j'avais les moyens financiers, je voyagerais régulièrement.
J'ai gardé notamment cette envie persistante de revoir New York City.
Je n'abandonne pas l'idée.
En attendant, je vais à Paris puisque Paris est à 3 heures et demi de train de chez moi.
Ainsi, j'y suis retourné l'autre jour.
Le week-end d'avant, j'ai retrouvé mes amis Justine, Canel et Arthur et nous sommes allé manger au restaurant japonais, puis nous avons filés, Canel en moins, direction la bourse aux disques de Clermont-Ferrand pendant quelques heures et nous sommes ressortis enrichis de quelques galettes plus ou moins intéressantes (j'ai acheté des cds que je possédais déjà en vinyles).
Et puis donc, le lundi suivant, je suis parti à Paris.
Le prétexte de ce séjour court (juste un peu plus de 24 heures) fut la visite d'une exposition au musée d'Orsay consacrée à Van Gogh.
C'est une bonne raison de monter à la capitale, vous en conviendrez.
Je suis donc arrivé à la gare de Bercy après un voyage en train toujours agréable (j'aime les voyages en train) et je suis allé acheter des tickets de métro puis je me suis rendu à mon hôtel habituel, dans le 18ème.
La gérante m'a reconnue, il faut croire que j'ai une gueule qu'on oublie pas (à mon grand désarroi, je rêve de ressemble à monsieur tout le monde).
Il faut dire que ça doit faire la troisième ou la quatrième fois que je séjourne dans cet établissement.
J'ai déposé mes affaire et j'ai filé au boulevard Saint Michel pour me rendre dans le magasin Gibert consacré à la musique et j'ai passé du temps à éplucher les bacs de cds en cherchant la bonne affaire.
J'ai été très raisonnable puisque je suis ressorti avec deux cds d'occasion (un Bob Dylan, « Blonde On Blonde », et un Kanye West, « Late Registration »).
Encore une fois, je possédais déjà ces albums en vinyle.
Après ça j'ai remonté le boulevard et j'ai marché sans but précis.
Je suis passé devant La Closerie Des Lilas, j'ai pensé à Hemingway mais je ne suis pas rentré, trop impressionné par l'histoire de ce lieu, « je ne suis pas digne », j'ai pensé.
Et puis le coca devait coûter une blinde, en plus !
J'ai continué à marcher et le temps s'est gâté, il a finit par pleuvoir et j'ai dû me réfugier dans une brasserie où, unique client, j'ai profité des happy hours pour déguster une pinte de blonde à 5€.
A ce moment là, j'étais plutôt content de moi.
Seul, mais content, je n'aurais pas voulu être autre part.
J'ai fini par rentrer à l'hôtel, en Uber, parce qu'il pleuvait trop et je n'avais pas le courage de me taper tout le chemin inverse jusqu'au métro.
Le trajet m'a coûté près de 27 balles et il a duré presque une bonne heure.
Pendant tout le trajet, le chauffeur n'a pas dit un mot et c'était très bien comme ça.
J'ai observé Paris sous la pluie et c'était presque romantique, il ne manquait plus qu'une compagne à mes côtés.
Je suis rentré, j'ai avalé un sandwich triangle sans saveur en me félicitant de ne pas avoir dépensé de l'argent pour un repas et puis je suis parti, toujours en Uber, il faisait nuit, rejoindre Mathieu, Nina et leurs amis dans un bar à Belleville.
Cette fois ci, le chauffeur n'était pas muet, bien au contraire, il passait son temps à invectiver les autres automobilistes qui avaient le toupet de partager sa route.
Encore une fois je me suis plu à observer Paris et ce soir il y avait une ambiance apocalyptique, des gens criaient, il y avait une tension causée par l'actualité (conflit israélo-palestinien, une manifestation pro palestinienne avait eu lieu quelques heures avant).
J'ai fini par arriver devant le bar non sans un certain trac : j'ai toujours un peu peur de rencontrer des gens nouveaux, je connaissais déjà Mathieu et Nina mais il n'empêche que c'est dur de sortir de ma zone de confort.
Finalement, tout s'est bien passé.
Je n'ai absolument rien bu pendant toute la soirée, et mon côté pingre s'en est félicité.
La soirée était une soirée blind test et c'était très amusant.
Tout s'est terminé à une heure raisonnable et je suis rentré en Uber.
Je me suis endormi facilement, en essayant de ne pas trop songer aux punaises de lits dont les médias n'avaient de cesse de nous parler depuis un bon mois.
Je me suis levé tôt, puisque j'avais commandé un petit déjeuner servi dans ma chambre à 7 heures et demi.
Entre temps, j'ai contacté mon cousin Jimmy qui habite dans le coin pour lui proposer qu'on se voit pour manger à midi avant mon départ.
Il m'a dit que j'étais dingue de dépenser 110€ pour une nuit à l'hôtel, que la prochaine fois je ferais mieux de le prévenir pour qu'il m'héberge.
Nous avons convenus de nous voir à midi.
J'ai rassemblé mes affaires et j'ai quitté mon hôtel pour aller au musée d'Orsay où avait lieu l'exposition.
Et puis, je suis rentré, et j'en ai pris plein les yeux.
Il faut dire que ça fait plusieurs mois que je suis plongé dans une biographie consacrée à Van Gogh et qu'il m'accompagne donc au quotidien, j'ai l'impression qu'il est un de mes proches, presque un ami.
Ce fut vraiment très émouvant de pouvoir observer sa peinture en vrai et de près.
Car sa peinture, il faut la voir en vrai, en 3d, je vous jure, c'est autre chose que de regarder de simples photographies.
Quelle émotion c'était de voir sa palette et ses tubes de peintures, d'observer ses coups de pinceau, ses épaisses couches de peintures recouvrant ses toiles !
Il faut préciser que l'exposition était consacrée à ses deux derniers mois de vie.
J'ai été étonné par le format de ses peintures que je n'imaginais pas si imposant.
J'ai aussi remarqué qu'il ne signait là presque jamais ses toiles.
Et puis encore une fois, beaucoup d'émotion en observant « champ de blé aux corbeaux » qui est une toile qui m'a beaucoup marquée et très tôt puisqu'elle était dans mon bouquin d'école en primaire, au CE2.
Je suis ressorti de là avec une furieuse envie de peintre en me demandant si il était possible d'en être autrement.
Et puis j'ai quitté le musée, pour quelque temps, puisqu'il est évident que j'y reviendrais un jour prochain.
J'ai pris le métro et je me suis rendu au lieu de rendez vous pour attendre mon cousin qui était là pile à l'heure.
Ca me fait toujours quelque chose de le voir, mon cousin, car il est très lié à mon enfance et je suis toujours très nostalgique.
Je suis le seul cousin à le fréquenter encore, aussi.
Je suis très heureux d'avoir conservé un lien avec lui.
Nous avons mangés et j'ai réussi à lui payer le repas (les fois précédentes il avait toujours réussi à me payer la note).
Nous sommes allés nous promener, sommes entrés dans une Fnac et nous avons parlé musique (Cypress Hill), série télé (Miami Vice) et jeux vidéos (Dragon Ball Kakarot).
Et puis nous nous sommes quittés et j'ai filé à la gare de Bercy prendre mon train après une petite journée qui s'est déroulée très vite, finalement, mais je n'étais pas mécontent de cette escapade, il est toujours bon de changer d'air et malgré tout, Paris sera toujours magique à mes yeux.
Voici une poignée de réflexions posées en vrac ces dernières semaines dans le bloc note de mon téléphone :
Plus je me cultive, plus j'ai honte de savoir aussi peu de choses.
Je suis un esthète laid, quelle ironie, tout de même !
J'ai de préjugés à propos des belges et des homosexuels qui ont toujours ma sympathie immédiate, ce qui est plutôt stupide, je m'en rend bien compte.
Je termine ce récit en saluant celles qui me lisent toujours : fidèles lectrices (il semblerait qu'aucun homme ne me lis désormais), c'est un honneur d'être lu par vous : coucou Glady, coucou Kalina !
Bande son : Teenager Of The Year, Frank Black
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Je suis remonté sur ma balance.
46.7kg puis 51.8kg puis 50.9, je pense qu’elle est cassée lol
Je viens d’en commander une nouvelle sur amazon elle à l’air incroyable j’ai hâte de vous la montrer
Je pense faire dans les 51.5kg… J’ai pas mal repris depuis octobre 2022, objectif premier 50kg ça devrait se faire rapidement (ça baisse vite au debut)
Objectif final à stabiliser sur du vrai long terme : maximum 48kg.
Je vous posterai des photos de mon corps, depuis que j’en avais parlé à mon copain j’avais arrêté ce compte et repris mon alimentation merdique c’était une mauvaise idée
Là actuellement bah je mange n’importe comment depuis des mois : quantité astronomique de merde sucrée le matin. J’emporte pas de déjeuner en pensant réussir à me priver le midi mais je trouve toujours des bêtises à grignotter. Je rentre chez moi vers 20h et c’est dîner pas saint du tout en grosse quantité : plat, tartine de fromage et super dessert
D’ailleurs désormais je ne rentrerai plus à 20h mais à 17h30 alors il faut que je m’empêche de prendre un goûter et que je reprenne contrôle sur mes repas, je vais réussir
Je fais ma liste de course demain, hâte de retrouver mes tomates cerises mon jambon mes haricots et mes galettes de riz :)
Bonus je m’inscris à la salle de sport dans quelques semaines puisque je n’ai plus l’occasion d’assurer mes 10 000 pas
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Pâques : un aboutissement, un renouveau ou une fidélité ?
Avec la fin du Carême et celle de la Semaine Sainte, les chrétiens non-orthodoxes voient arriver la grande fête de la Résurrection : l'Homme, désormais, sait –ou peut savoir, s'il sait écouter– que son destin, à sa mort, ne devrait pas se confondre avec celui de la “fourmi écrasée”… dont il ne reste rien. Certes, ce n'est qu'un espoir, dont nul ne peut raconter avoir des souvenirs, mais… que c'est beau, d'espérer, au moment où 184 citoyens croient réfléchir en toute liberté à ce qu'on leur a dit qu'ils devaient penser sur la vie, la mort, la souffrance, le mal… Allons un peu plus loin...
Cette année –c'est souvent le cas– la fête de la Pâque chrétienne (le 9 avril) est très proche de la fête de Pessah (le 5 avril) qui réunit les juifs du monde entier dans le souvenir de la fuite d'Egypte de leurs arrière-arrière-ancêtres. Et la profondeur de ma catholicité ne m'empêche pas de me remémorer ces années où je suivais avec gourmandise les cours des ’‘Lundis’’ du Grand Rabbin Sitruk, qui enseignait “la Foi d'Isra'ël” (Yisra'ël = “Dieu, ’'El”, est vainqueur’’) avec ce mélange irrésistible de culture, de sincérité, de charme, d'intelligence pétillante, de drôlerie, d'humour et de profondeur sérieuse qui le rendaient unique dans sa complicité avec son Dieu… parfois si proche du nôtre. Je me dois d'ajouter que ce juif séfarade né à Tunis avait par moments un accent “pied-noir” à couper au couteau, qui s'imposait parfois à lui : ses intonations empreintes de “pataouète” avaient le don de me replonger dans les plus belles heures de mon enfance et faire revivre mes camarades de classe.
In memoriam, je vais donc me lancer dans un numéro d'équilibriste : parler de Pâques et de Pessah dans un seul éditorial… Comme toujours, je compte sur l'indulgence des lecteurs de ce Blog, si souvent vérifiée, pour “oser oser” –comme nous disions, là-bas. (NB : Je n'ai pas réussi à établir le même parallèle avec l'AÏd el-Fit'r, la Fête de la rupture –NB : celle du jeune du Ramadan– qui arrive le 20 Avril et qui commémore le sacrifice d'Abraham, Ibrahim pour les musulmans). Pâques est la fête de la Résurrection, qui est une perpétuation de l'Homme dans ce qu'il a de plus sacré, de plus authentique et de plus beau en lui, que l'on appelle le plus souvent “son Ame”, même si ce nom ne plaît pas à certains… tandis que Pessah se définit comme une Fête de la Transmission, qui, en dernier ressort, peut parvenir à des résultats très proches, chaque Transmission étant une petite tranche d'éternité qui a été protégée –puisque sauvée de l'oubli par un nouvel intervenant…
Toute famille juive, en préparation de cette Fête, se doit d'éliminer, dans la maison, la moindre trace de “Hametz”, ce levain dont l'absence a permis d'emporter, dans la fuite hors d'Egypte, des galettes plates, dites “Matsa” (= pain azyme). Il est utile de préciser que ce “Hametz” pourchassé, désigne aussi, au delà du levain, tout ce qui fermente –et peut rendre l'homme mauvais : la haine, les rancunes, les non-dits, les griefs accumulés, les jalousies rentrées… et tout ce qui pourrait envenimer les relations entre les humains, et qui ne doit donc pas être “transmis”… comme sera écarté le ‘’mauvais larron’’ qui ne se retrouvera pas “ce soir, dans le Paradis”, lui.
Le soir de Pessah, le “Séder” est le moment de la transmission positive : autour de la table soignée, ornée, la famille écoute la lecture de passages de la Haggada (= le récit la Transmission), riche en discussions rabbiniques. Le Père dans son rôle de guide, lit à ses enfants le récit de la Sortie d'Egypte, qui assure une éternité du peuple d'Isra'ël, de génération en génération. On y évoque les attitudes qui peuvent être prises devant cette “Transmission’' : la soumission, l'acceptation, le doute, le refus, et l'indifférence. Et le questionnement, car les Anciens avaient déjà compris cette vérité, stupidement oubliée de nos jours : l'être humain se définit plus par la question posée que par l'écoute de la réponse donnée, et c'est dès la plus haute antiquité que les pères transmettent ’'ce qui est et ce qui doit être”, et que les fils sont des perturbateurs qui provoquent et remettent en question ce qu'on voudrait tant qu'ils “passent”, leur jour venu… même si, le temps coulant, ils s'assagissent le plus souvent et réparent leurs erreurs en devenant des ‘’passeurs’’, à leur tour.
Notre temps, on le constate chaque jour, semble avoir porté à son paroxysme la trahison-de-masse du double message de Pâques et de Pessah : la vie après la vie, d'une part –que des cuistres incultes prétendent ratatiner autour d’une loi de circonstance sur un affreux “être-suicidé-par-un-autre”… parce qu'il a été raconté que “c'était plus digne” (sic !)… et l'intérêt de transmettre quoi que ce soit, d'autre part, puisque la vie ne serait rien d'autre que… rien ! Si nous ne nous contraignons pas à “transmettre” ce qui doit l'être –y compris notre foi en une “Résurrection” (qui, dans le fond, n'est pas impossible : qui peut affirmer sérieusement qu'il n'y aurait rien, “après” ?)– nos enfants ne seront même plus capables de poser une question.
De plus en plus noyés dans des flots d'informations, nos contemporains sont tentés de croire qu'ils ont déjà la réponse… sans voir que les informations reçues sont, au mieux, totalement inutiles, et criminellement mortifères, au pire… Pères et fils sont sidérés, désorientés et en même temps fascinés par la multitude de sujets qui leur tombent dessus, au point de leur ôter toute envie de poser la moindre question ou de chercher une réponse : l'esprit critique est en perdition ! Nous ne vivons plus dans une société de consommation –selon une expression popularisée dans les années '50 par Jean Baudrillard– mais bel et bien dans une société de l'indigestion permanente et de l'abrutissement programmé, par excès de faux savoirs inutiles.
Car notre modernité techno-capitalistique ne s'embarrasse guère des traditions ou des explications qui vont bien loin au delà de son indéniable force de persuasion commerciale à usage instantané : l'Homme doit désormais ne se nourrir que de ce qui se fabrique, s'achète, se vend, et surtout : rapporte. Or… quel est le circuit économique qui peut vivre et prospérer sur des idées aussi peu rentables que la commémoration d'une fuite hors d'Egypte il y a 35 siècles, ou que la sortie du tombeau d'un Dieu-fait-Homme, il y a 2000 ans ? Ah ! Parlez-moi de donner gratos des armes à l'Ukraine… pour que les donateurs doivent les renouveler, en dollars sonnants et trébuchants, à un prix doublé… Ça, c'est du “bizzness”. Parlez-moi des 4 milliards de doses de “vaccin” achetées au prix le plus fort et sans marchander –corruption oblige !– par l'Europe-institution, pour continuer à se transmettre le virus du covid, à ne pas être protégé et à se réfugier derrière une “protection des cas graves” qu'aucun chiffre au monde n'a démontrée une seule fois ! Ça, c'est du lourd. Mais l'Egypte… le Christ… et puis quoi, encore ? (NDLR : il faut dire “le” et non “la” covid, puisque le “d” final de covid est celui de “Disease”, neutre en anglais. Et le neutre, en français, se décline au masculin, sauf très rares exceptions répertoriées. Si on tient à le féminiser comme l'Académie l'a fait avant d'admettre son erreur, il faudrait dire “la covim”, avec le “m” de maladie. C’est hors sujet).
La situation est plus grave que beaucoup ne le croient : il s'agit de la disparition totale, en moins de 2 générations, de plusieurs millénaires (deux, ici… trois et demi, là…) d'une culture, dite “judéo-chrétienne”, qui n'a jamais tendu, à travers et malgré tant de vicissitudes, d'erreurs de parcours, d'échecs et d'impasses, qu'à confirmer, en l'Homme, une “créature de Dieu ou de Yahweh-Adonaï”, comme un roi de la création, idée ou idéal qu'ont repris, en la rendant folle, et sans oser le reconnaître, la totalité les “inventeurs” de ces divinités, plus ou moins farfelues et plus que moins insensées, qui ont eu l’ambition de remplacer le bon grain par leur ivraie.
La volonté de fabriquer de toutes pièces un “Homme nouveau” est, encore aujourd'hui, la seule base que revendiquent le transhumanisme, le féminisme, la théorie du genre, le progressisme et toutes les constructions-déconstructions assassines qui ambitionnent le grand remplacement de tout ce qui a existé jusqu'à elles, pour le remplacer par leur néant majuscule… Et le fait qu'aucune d'elles ne soit viable hors du cadre sécurisant puisque sécurisé que nous lui offrons –fut-ce à notre corps défendant– n'est pas de nature à ouvrir les yeux à leurs promoteurs… En dehors de ces non-systèmes dystopiques, Pâques et /ou Pessah nous offrent, rituellement, une nouvelle chance de réagir avant qu'il ne soit définitivement trop tard. C'est notre responsabilité la plus sacrée et notre tache la plus grandiose que de susciter le réveil et l'ouverture au monde de nos enfants, en grand danger de mort à leur propre humanité. Ne la laissons pas passer : les conséquences seraient terribles ! Antidote : Joyeuses Pâques aux uns, et Bonne Pessah aux autres !
H-Cl.
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Blablabla
Aujourd'hui ça a été une JOURNÉE VRAIMENT TROP INCROYABLE
Genre vraiment
Il s'est passé tellement de choses
Ce matin au travail j'ai encore vraiment beaucoup parlé avec Dodo, à vrai dire je crois qu'on commence à vraiment se rapprocher et je m'emballe pas trop d'avance si jamais je me fais juste des idées mais AKFOZKZO JE SUIS TELLEMENT HEUREUSE ????
On a tellement d'intérêts en commun ??? C'est la première fois de toute ma vie que je peux parler de mes intérêts "niches" avec quelqu'un et ça fait tellement de bien à la petite fille en moi
Toute la matinée on a parlé d'archéologie, il m'a expliqué qu'il avait des contacts et des amis qui font des fouilles etc et QUI ONT DES FOSSILES CHEZ EUX ??? Il m'a montré des photos ??? IL VEUT M'OFFRIR UNE DENT DE DINOSAURE ???
UNE DENT DE DINOSAURE ????
Il m'a expliqué plein de trucs sur la région vis à vis des fouilles (que ce soit vis à vis de l'anthropologie ou de la paléontologie) et des minéraux qu'on peut trouver, parce que AH OUI, AI-JE PRÉCISÉ QU'IL S'INTÉRESSE AUSSI ÉNORMÉMENT AUX CRISTAUX ET AUX "BOKAYOUX" ??? Il m'a appris qu'on avait beaucoup de gisement d'améthyste (de très bonne qualité) en Auvergne par exemple parce qu'il y a très longtemps c'était une région volcanique avec de l'eau (j'ai pas forcément retenu tout ce qu'il m'a appris mais il m'a aussi parlé des ammonites françaises que le monde entier s'arrache par exemple), on a parlé un peu de l'histoire celte de notre ville etc c'était TROP INTÉRESSANT
A un moment donné, à cause d'une remarque que j'ai fait à Roxanne, on a aussi discuté des Amazones et c'était vraiment cool
On commence un peu à se chamailler comme j'aime le faire quand j'apprécie vraiment les gens et que je me sens vraiment à l'aise avec eux
Il m'a aussi demandé d'être celle qui "départagerait" dans le débat que Roxanne et Will avaient -> il m'a demandé de lui caresser les cheveux (et j'avoue Roxanne avait raison SES CHEVEUX SONT HYPER DOUX ???) D'ailleurs il avait l'air vraiment surpris quand je lui ai dit que je m'étais rasé le crâne hehe
En fin de matinée Céline a payé la galette et c'était vraiment chouette comme moment, il y avait toute la grande équipe, on était beaucoup
Il y avait 2 galettes
Dodo a eu la fève sur la première, c'était le roi
Il n'y avait plus que 3 parts sur la deuxième, je me suis resservie, et j'ai pris la plus petite part qui était un petit peu "arrachée" et qui avait l'air la plus plate pour éviter d'avoir la deuxième fève, j'avais pas envie qu'on nous chambre
J'ai bien choisi, les autres ont pris les parts restantes, j'étais persuadée que c'est Cameron qui serait le roi de Dodo
Raté
C'était moi, comme un fait exprès du destin
"Ooooooh tu es ma reine"
Il a mis la couronne sur ma tête en faisant attention à ma coiffure, c'était choupi
Il a décidé de laisser sa couronne en bas en réserve pour pouvoir la mettre quand il veut
Il sourit quand il me regarde et moi aussi (mais je veux pas me faire d'idées)
ET PUIS AUSSI
Ce matin
J'ai vu tous les petits chats de la portée 😭 ils sont tous tellement tellement adorables vraiment ils me font fondre
Mais
J'ai pas encore mon appartement (ça ne saurait tarder, j'espère)
MAIS
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J'ai trouvé mon petit chat 🥹
Il faut que je lui trouve un petit nom
Comme Dodo a dit c'est lui qui m'a choisi, il est venu dans ma réserve et il me regardait, il était très patient, et toute la matinée on s'est mutuellement tourné autour
Même s'il avait l'air un peu timide/peureux il était quand même assez curieux et je suis sûre que bientôt je vais pouvoir le prendre dans mes bras
Je veux vraiment vraiment le garder, j'espère que je pourrai vite emménager et qu'il sera pas trop tard, c'est mon petit bout d'amour (j'ai hâte d'être à demain pour aller le voir hehe)
(Dodo m'a dit qu'il fallait vraiment que je le prenne et qu'on a des solutions pour les récupérer même s'ils sont un peu peureux + on a des solutions pour ceux qui ne seront pas adoptés par les employés et ça ça me rassure un petit peu, j'espère juste qu'il ne leur arrivera rien dans les réserves)
Cet après midi aussi c'était super chouette
Je suis allée au soutien actif, j'ai trouvé une jolie serviette et une petite boîte My Melody, et un signe
La boîte était remplie de petits bidules, je l'ai ouverte en grand et j'ai tout renversé, je l'ai vidé
Je l'ai mise dans mon sac, et quelques minutes plus tard j'ai entendu un petit bruit métallique à l'intérieur
C'était le petit pendentif
Le pendentif de Marie
Exactement le même pendentif que j'avais trouvé comme par miracle dans la poche de mon treillis, le dernier jour de cours à la fac, après être allée à l'église et avoir demandé un signe pour savoir si j'étais sur la bonne voie
Je ne crois pas aux coïncidences
C'est formidable tout ce qui se passe
Aujourd'hui c'était aussi une petite ronde des souvenirs, à travers les différentes boutiques j'ai retrouvé des petits morceaux joyeux de mon histoire de vie
J'ai vu des jolies vitrines, j'ai acheté une superbe carte et j'ai ENFIN ADOPTÉ MON PETIT DINO EN PELUCHE
Et puis aussi
Je suis passée chez Poppy, ça faisait une éternité que je n'étais pas rentrée dans sa petite boutique
Et j'ai acheté une affiche MÉGA TROP SUPER COOL
Il y avait plein de vieilles affiches du Chien à plumes, c'était improbable, ça m'a fait sourire
Et puis il y avait celle là, jaune et si belle, j'ai tout de suite su que j'allais la prendre
J'ai discuté avec le monsieur du comptoir, il m'a demandé si je connaissais et on a papoté un peu
Il m'a dit qu'il y a travaillé pendant plus de 15 ans
ET IL M'A EXPLIQUÉ QUE CETTE AFFICHE SORTAIT TOUT DROIT DE L'IMPRIMERIE PARCE QU'ELLE FAISAIT PARTIE DES PROPOSITIONS QUI N'ÉTAIENT PAS SÛRES D'ÊTRE RETENUES POUR L'AFFICHE OFFICIELLE ??? Genre là j'ai une affiche "avant garde" hehe 💅✨
Enfin voilà voilà
Une très belle journée
Le soleil brillait fort et mon sourire aussi
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Mon ancien amoureux n'a finalement pas pu venir au cercle de lecture, c'est dommage, mais le cercle était trop bien ça m'a donné envie d'acheter pleins de livres (mais j'ai pas les sous ça attendra le mois prochain).
Je suis allée voir Pauvre créature au cinoche avec des collègues, c'était pas prévu, j'ai bien aimé le film mais il y avait des scènes pas nécessaire, j'ai du me cacher les yeux plusieurs fois, mais c'était drôle parfois et j'ai adoré la scène de la danse.
J'ai mangé la galette des rois chez un collègue, et on a joué à des jeux de société, c'était chouette. J'ai l'impression d'avoir créé de bonnes relations avec mes collègues, on commence à sortir souvent ensemble et à faire des trucs funs, ça me fait du bien.
J'ai acheté de quoi faire des nouveaux cercles de broderie, j'ai trouvé des jolies motifs, mais j'ai un peu peur de m'y remettre à cause de mes douleurs à l'épaule. Je vais voir, mais je suis contente car j'ai pas perdue la main.
Je me plaint beaucoup ici, mais je passe de bon moments quand même, la tristesse plane au dessus de moi mais j'essaye de la repousser et souvent j'y arrive. Ça va aller mieu.
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J'ai regardée des conseils pour éviter de faire des crises "craving"
1/ savoir le déclencheur de mes crises: Je pense que c'est mon vide dans le ventre je sais pas ou mes émotions je sais pas trop je vais y réfléchir. En général je fais des crises le soir. peut-être à cause de mon contrôle alimentaire.
2/Prévoir un kit de secoure: Sortir dehors avec un carnet et écrire comment je me sens, ou bien aller faire un petite promenade. Juste sortir de ce lieu qui m'obnubile avec la nourriture présente.
3/Apprendre à écouter mes émotions, mes états afin de comprendre mes besoins....Je vais essayer.
4/Prendre le temps de réspirer
5/manger des protéines( je vais manger des œufs) et des féculants ça me fait peur d'en manger ça risque d'être compliqué. Je vais essayer le pain de mie ou bien les galettes de riz. En général je préfère éviter de parler de nourriture...C'est compliqué même si ma crise est d'avoir mangée 1900 calories pour moi c'est énorme je sais que pour les personnes normal c'est le minimun à manger par jour mais comme j'ai pour habitude de manger beaucoup moins que 1900, je préfère éviter d'en parler.
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Jour 2
Quand je me suis pesée ce matin, je faisais 49.5kg. Je ne suis pas satisfaite, je veux perdre plus vite ! Mais pour ça, je dois réussir à calmer mes penchants boulimiques. Je vais essayer de faire beaucoup de sport pour éliminer vite vite !! Il faut que je pèse 44kg dans 3 semaines, IL LE FAUT !
Aujourd’hui, j’ai eu un 18,5, je peux donc, en théorie, manger. Cependant, je ne pense pas le faire. Je n’ai pas besoin de manger, j’ai des réserves !
Ce matin : 1L de café noir (répartis jusqu’à 12h)
Ce midi :
Goûter : galettes de maïs à la vanille (environ 30kcal en tout)
Ce soir :
J’ai fait simplement un peu de yoga (10min) ce matin et 1min de gainage ce soir. Je passe beaucoup de temps à réviser le bac blanc, je ne peux pas me permettre de faire un malaise mercredi !
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Jour 22 : Magie
La maison de grand-mère est comme une boîte à chaussures, c'est elle qui le dit. Ses murs sont fins comme du carton, rafistolés d'aluminium, de grillage et de contreplaqué. Elle s'en fiche de la pluie, et elle n'a jamais froid. Chaque hiver, je la vois sur le quai du train, debout dans la brume à m'attendre, elle empile sur son corps maigre des couches et des couches de manteaux, de couvertures, si bien qu'à cette distance je croirais presque qu'elle est enfin devenue ronde, une mamie gâteau. Mais non. Elle n'a jamais rien dit, ma grand-mère, et elle ne prépare que des galettes avec des ronds de pâte qu'elle jette sur les parois du four. Je regarde cet étrange ustensile sous lequel le feu brûle. Parfois j'ai si froid que je voudrais m'y asseoir, mais à chaque fois grand-mère comprend et choisit ce moment-là pour me tendre l'assiette de viande hachée et celle de turtur. Je regarde la bouillie mauve, brillante. Cette-fois, ça doit être à la betterave. Le turtur, ce n'est ni de la purée, ni de la pâtée. C'est une crème douce avec des morceaux qui fondent, préparée avec tout ce qui pousse sous la terre. Je n'ai jamais mangé ça ailleurs que chez grand-mère, c'est son plat de l'hiver, les galettes, la viande, le turtur. Je n'ai pas besoin que grand-mère parle. Elle me regarde longtemps et comprend ce dont j'ai besoin. Elle porte autour du cou trois amulettes que je vois pendre entre ses seins l'été ; elles brillent faiblement, vertes et mordorées, me font penser à des bonbons interdits. Dans le salon, ensevelie sous du linge et de grandes parures, une télé reste allumée jour et nuit sur une chaîne que je ne connais pas. On voit des gens jouer de la musique, parler une langue étrangère, lire des livres. Je n'ai jamais appris la langue de grand-mère, alors j'essaie, tous les soirs depuis mon lit, de comprendre ce qui se dit à travers le mur de carton. Les consonances finissent toujours par m'endormir. Le matin, j'accompagne grand-mère déterrer les racines pour le repas du soir. Nous marchons pieds nus dans les marais froids, je tremble, trouve refuge sur un rocher à l'orée de la forêt. Grand-mère se penche et plonge ses mains dans la gadoue pour attraper de petits poissons préhistoriques. Ceux-là savent ramper, j'aurais voulu en adopter un, mais ils sont trop rares pour ne pas en faire de la friture. Mes doigts se promènent sur l'écorce d'un arbre, jusqu'à trouver, dans un creux tout sanglant, quelque chose de dur comme du caramel. Je tapote, gratte le contour. C'est une ambre. Grand-mère me prête un couteau avec lequel j'extrais mon trésor. En rentrant, je dois me frotter les mains avec du sable pour retirer la sève. Puis je vais me laver dans la salle de bain, ma pièce préférée, avec sa cuve en bois, son vitrail à la fenêtre maintenu comme par magie entre briques, les champignons qui poussent dans les recoins. L'eau est bien chaude, j'hésite à sortir. Quand je traîne trop, mes pieds se décollent du sol et je flotte jusqu'au peignoir, il m'enveloppe et la porte s'ouvre doucement, ça me chatouille le corps, me berce, je sais que c'est grand-mère qui fait ça. En me couchant, je découvre sous mon oreiller l'ambre de ce matin dans une petite cage en fer au bout d'une corde. Mon amulette à moi. Ce soir-là, en fermant les yeux, je comprends les voix qui s'élèvent depuis la télévision.
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— Callisto, regarde ! J’ai la couronne ! J’ai eu la fève ! — Bravo Juju. Va t’amuser avec tes amis. — Je t’ai choisie pour être ma Reine ! Il y a une couronne pour toi aussi, et je t’ai gardé de la galette. — Alors non, la couronne pas question et la frangipane c’est trop sucré. Maintenant laisse-moi, j’ai une partie de chasse ce soir. Artémis a trouvé un nouveau bar-à-mecs super sympa. — Mais Callisto, tu m’avais dit que tu fantasmais sur les rois, les rappeurs et les milliardaires… — T’es trop chou Juju ! Toi c’est différent, tu es en ami pour moi. Tu es troooop gentil. Mais ne t’inquiète pas : je suis sûre que vas trouver quelqu’un qui te plaira et qui t’aimeras aussi. — C’est toi qui me plaît Callisto… Je vais apprendre à rapper pour toi !
Les anges : — Laisse tomber, gros ! Tu vois bien que tu l’excites pas. Aucun signe d’intérêt, elle t’a amifié mon poto. Ton problème, c’est pas le physique, t’es déjà pas mal gaulé. Faut pas pousser plus de poids à la salle, sinon tu vas finir comme un tourteau, et ça c’est pas optimal. Mais l’attitude, frérot ! L’attitude ça ne va pas du tout. Faut pas la traiter en déesse (d’ailleurs elle n’est qu’une nymphe), sinon elle te traitera en simple mortel. C’est logique. Et arrête de faire le canard romantique, bordel ! Tiens, prend ce masque de couillu. Même si c’est pas ton truc, joue lui le mauvais garçon qu’a déjà tout labouré sauf son boule. Ne la met JAMAIS sur un piedestal. Elle VEUT un mec d’une plus grande valeur qu’elle. Si tu te mets en dessous d’elle, son hypergamie va flipper et elle ira chercher de la teub ailleurs. C’est facile ou pas ?
https://leseffrontes.fr/index.php/2022/01/31/leffrontee-du-mois-de-janvier-2022-callisto/
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Coucou la Normandie... t'es trop choupi.e ma cher.e Utopya6 pour que je gate plus ...donc ...
En toute amitié une petite recette maison 🏡 en direct du Bro Leon côte des légendes et oui... ça s'invente pas lol 🤣( pointe Finistère Nord )
Alors 'tention hein petite mise au point amicale...sinon j'attaque avec un objet redondant mou 🤣🤣🤣 parce que salsifis hein ...
En Basse Bretagne (l’ouest de la Bretagne ou on parle Breton), on mange des crêpes de blé noir (Krampouez bleud gwiniz-du) qui sont à base de farine de sarrasin et de farine de froment et d'oeuf. Plus fines et moelleuses faites au billig où si on en a pas sous la main à la galletiere.
En haute Bretagne (la moitié Est et la Loire Atlantique, où on ne parlait pas Breton mais Gallo), on mange des galettes de sarrasin qui ne contiennent que de la farine de sarrasin et de l’eau (c’est celle qu’on trouve dans la fameuse galette saucisse à Rennes) Et on utilise exclusivement une galettiere.
Les deux sont bonnes mais c'est pô pareil voilà ! Paix et amour sur tous 😇
Donc Crêpes au blé noir / Krampouez bleud gwiniz-du pour Utopya6 …parce que ben le chèvre c’est la vie😉 ( inventée testée et approuvée ce soir ! )
Ingrédients bleud gwiniz-du
500 g Farine de sarrasin
2 c a s bien pleines de farine de froment
1 le d’eau Eau
1 c à s d’ huile neutre ( arachide…)
25 cl de lait entier
1 Gros œuf entier
1 c à s sel marin
Beurre salé ou demi sel pour la cuisson
Versez les farines dans un saladier en la tamisant et mélangez avec le sel. Faites un puits au centre puis incorporez l’eau au fur et à mesure en mélangeant énergiquement avec une cuillère en bois ( avec un trou au centre ) . Incorporez l’œuf et mélangez à nouveau.
Il faut une pâte lisse sans poulout ( grumeaux)
Laissez reposer 2 h sous un torchon.
Faites chauffer le bilig ou une crêpière, avec un papier absorbant prélever un peu de beurre ( dans une petite assiette à force il fond off course !) et l’étaler en fine couche Versez 1 petite louche de pâte. Étaler la pâte au râteau en laissant les bord du bilig ou inclinez la poêle afin de répartir la pâte sur toute la surface. Lorsque la première face est cuite, retournez la crêpe à l’aide d’une spatule et faites cuire l’autre face 1 min. Réservez au chaud et renouvelez l’opération jusqu’à épuisement de la pâte.
Astuces et conseils pour Pâte à crêpe au blé noir
Après avoir laissé reposer la pâte, vous pouvez rajouter un peu d’eau pour obtenir une pâte plus fluide.
Garnitures
rondelles de bûche de chèvre ou de chèvre frais
de gruyère râpé
ciboulette
miel bio
cerneaux de noix légèrement concassés
1 Disposez une galette de blé noir dans la poêle
2 De suite mettre 1 poignée de gruyère râpé partout sur la galette
3 Disposez 3 rondelles de chèvre (bûche ou frais) au centre de la galette
4 Versez un filet de miel sur le fromage de chèvre Saupoudrez une pincée de ciboulette sur le fromage et le miel
5 Disposez l’équivalent de 5 cerneaux de noix sur la galette
6 Les fromages fondent assez vite, ne pas tardez à faire les étapes 3 à 6.
7 Pliez la galette en 4 et servir
Procédez de même pour les autre crêpes.
Servir accompagné d’une salade verte et fraîche (vinaigrette : huile de noix, vinaigre de framboise et échalotes … par exemple )
La dernière avec le reste de pâte c'est ar logod ( la souris 🐭) traditionnellement pour le plus jeune convive
Voilà régale toi .
Kenavo ken ar wech all ( salut à bientôt)
Ta dousig Enez-Sun ( ta pote Enez)
Abardaevezh mat ( bonne soirée)
T'es choupie aussi ouin 😭 tant de recettes que je vais avoir à tester 🥰
J'ai vraiment une Secret Santa en or wsh 🥺🥺
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