#une tuerie
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Kv1 đ€ l'empire du milieu
Ătre sauvĂ©s par leurs musiques
#le rarou#kaamelott#kv1#asterix et obelix#asterix et obelix l'empire du milieu#une tuerie les musiques#le film pas si catastrophique#mais pas exceptionnel non plus
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Love it when I try a new meal and I perfectly nailed it the way I wanted đ„°
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J'avais bien aimĂ© la nuance avec Sera car elle pense avant tout Ă la sĂ©curitĂ© du paradis bien qu'en questionnant pas ses actes. Elle a une vision assez Ă©troite des Ăąmes par la mĂȘme occasion vu qu'elle voit cette tuerie comme nĂ©cessaire. J'apprĂ©cie sa relation avec Emily et je serai curieuse d'en voir plus. Charlie refuse de se taire surtout qu'elle a apprit qu'ils ne savent pas comment les Ăąmes peuvent monter au paradis. En gros, ils les rĂ©cupĂšrent comme un parapluie que tu ramĂšnes chez toi, une fois sec.
I liked the nuance with Sera, as she thinks above all of the safety of paradise, even though she doesn't question her actions. At the same time, she has a rather narrow view of souls, since she sees the killing as necessary. I like her relationship with Emily and I'll be curious to see more of them. Charlie refuses to shut up, especially since she's learned that they don't know how souls get into heaven. Basically, they collect them like an umbrella that you take home once dry.
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J'ai fait une tarte au sucre et c'était une tuerie omg j'en n'ai jamais mangé d'aussi incroyable
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Sting ? STING ? JE HURLE C'ĂTAIT BIEN STING !!!!!! PUTAIN MAIS LA TUERIE C'EST QUOI CETTE SĂRIE DE MALADE LĂ ????? DINGUERIE JE HURLE LĂ J'VAIS PAS M'EN REMETTRE SA MĂRE LA PUTAIN DE SES MORTS. JE CHIALE MA RACE Ă L'INTĂRIEUR. MEILLEUR DUO JE VEUX RIEN SAVOIR.
Silco putain je t'aime. Jinx ma chĂ©rie toi et moi we are fucking sadly the same. Putain. Silco meilleur pĂšre j'en ai rien Ă foutre. Jamais il aurait donnĂ© Jinx. J'le sais. Jamais il aurait donnĂ© Jinx. Putain Silco. Silco t'as raison Jinx est parfaite t'as failli me mettre les larmes enculĂ©. Silco putain... Jinx putain... Comment elle va vivre avec ça ma bichette ? MĂȘme s'il la rassurĂ© en agonisant et tout en mode « c'est pas ta faute » et tout plus belle dĂ©claration d'amour. Il aura essayĂ© de la protĂ©ger jusqu'au bout. Putain. SILCO JE REFUSE MAIS EN MĂME TEMPS C'EST TROP BIEN QU'ELLE T'AIT TUĂ. Putain. J'Ă©coute la musique en boucle je HURLE PUTAIN. Putain... J'me rĂ©pĂšte mais putain. Wah. Et cette musique lĂ c'est pour me tuer.
J'ai dit Ă mon pĂšre c'est la premiĂšre j'en ai rien Ă foutre des personnages gays + la masc me sort par les yeux il m'a dit ah ouais Ă ce point ? J'ai dit bah oui la salope elle a abandonnĂ© sa petite sĆur ! Connasse ! Et mon pĂšre normal « ah oui c'est pour ça... » parce que Ă©videmment j'ai fait un transfert jamais JAMAIS J'ABANDONNERAI LIAM LA VIE DE MA MĂRE OK ELLE A BUTĂ LA TEAM MAIS OUESH C'EST UNE GAMINE T'ES LA GRANDE SĆUR ET TU L'ABANDONNE J'EN AI RIEN Ă FOUTRE J'ESPĂRE QUE VI VA CREVER ELLE ME CASSE LES COUILLES SI ELLE AVAIT PAS FAIT ĂA JINX AURAIT PAS AUTANT SOUFFERT. Bref je m'emporte. Je relate tellement sur Jinx ça m'inquiĂšte. Je suis au bout de ma vie. Je hurle. Vraiment la chanson me tue de l'intĂ©rieur mais j'aime trop.
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J'ESSAYE DE ME DIRE QUE LĂ-BAS Y'A DU BEAU MONDE ET QUE TU RIS UN PEU. QU'AU MOINS T'ES PARTIE LĂ ON OĂ DORT HEUREUX...SI TU POUVAIS REVENIR UNE HEURE OU DEUX PROUVER AU CIEL QU'IL A TORT DE T'ARRACHER Ă MOI... DE T'ARRACHER Ă MOIIII đŁïžđŁïžđŁïžđđđ
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Ce qui se passe en France, c'est ce qui se passe presque partout sur le Globe. Notre sociĂ©tĂ© ce casse la gueule, faute Ă notre systĂšme crĂ©Ă© pour les riches est sa bourgeoisie. Et oui, cela ne date pas d'aujourd'hui, tu as de l'argent, tu as un toit, tu as Ă manger, des habits, est des nombreux biens matĂ©riels. Tu as n'a pas, le systĂšme tente tout pour te prendre ce que tu possĂšdes, alors tu tombes en mode survie, tu finis ou a la rue, ou dans la criminalitĂ©. Peu importe ton Ăąge ton passĂ©, ton origine ou mĂȘme ton Ă©tat de santĂ©. Si le systĂšme, a pu se survivre ainsi durant des siĂšcles, c'Ă©tait avant le dĂ©rĂšglement climatique. La dĂ©vitalisation du monde, faute Ă la pollution, a la tuerie animal de masse, comme d'insecte est vĂ©gĂ©tal, est Ă la surpopulation humaine. Le systĂšme est ses sergents qui n'acceptent que l'argent propre, car lĂ et leurs intĂ©rĂȘts vous diront aller travailler produisez de la monnaie est rĂ©injectĂ© lĂ . Sauf que les conditions actuelles du monde, ne permettent pas l'emploi de masse, alors il faut des sacrifices comme de sacrifier. Et devinez pour l'intĂ©rĂȘt de qui ? Ainsi eux veulent survivre, et maintenir leur systĂšme chĂ©ri en place coute que coutent, quels que soient les sacrifices comme les sacrifiĂ©s. Miame, la monnaie, c'est trop bonïżœïżœ Alors ils ont un joker, les armes, les prisons, les bombes, les maladies et les guerres. Ainsi va leur beau monde.
#france#gilet jaune#gillets jaunes#révolution french#résistance#anonynous#révolution#resistance#french#gilets jaune
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Le monde actuel est un immense bordel...
Chaque fois que viennent sous ma plume (qui est un clavier) un gros mot ou une expression vulgaire, j'en demande pardon : mon amour pour notre belle langue (ce qu'elle Ă©tait, avant que le progressisme ne lui impose une chute qui risque d'ĂȘtre finale !) n'aimait pas trop ces vocabulaires provenant de registres dits ''familiers''. Cependant, je dois vous avouer que les excuses que je vous fais sont de moins en moins sincĂšres : le monde, tel que je le vois Ă©voluer autour de moi, ressemble Ă ''un mĂ©ga-bordel''... et ce n'est pas une bonne nouvelle.
Avant mĂȘme la rĂ©Ă©lection quasi-triomphale de Trump, les ''migrations de masse'', la guerre en Ukraine et les Ă©vĂ©nements tragiques du 7 octobre avaient fait, au pied de la lettre, basculer le siĂšcle, dans un temps incroyablement court Ă l'Ă©chelle de l'Histoire. Mais contrairement Ă tout ce que tout le monde attendait, les cauchemars liĂ©s Ă notre folie de ''mondialisation'' ont laissĂ© la place non pas Ă la fĂ©licitĂ© universelle espĂ©rĂ©e par les naĂŻfs et les cons, mais Ă une juxtaposition de conflits locaux, qui semble sans fin et ne demandent qu'Ă s'Ă©tendre. Le rĂȘve absurde d'une ''mondialisation heureuse'' a fait long feu... et le fait que de plus en plus de gens s'en rendent compte est la seule bonne nouvelle du moment.
Les stratÚges du genre ''La Voix de son maßtre'' nous affirment que la nouvelle problématique se résumerait à une confrontation ou à une sorte de querelle à mort (dont ils oublient de dire qu'elle est factice, car fabriquée par eux et leurs maßtres à ne pas penser), entre les démocraties libérales et des puissances autoritaires, dans un ''remake'' de la lutte millénaire entre le Bien (eux) et le Mal (les autres). Une telle représentation leur facilite certainement la vie... mais elle n'apporte rien à la nÎtre, puisque nos démocraties n'en sont plus (il s'en faut de beaucoup !), et que les soi-disant ''autocraties'' semblent se multiplier à chaque vote... démocratique qui a lieu, un peu partout.
Ce qui ne peut plus faire de doute, c'est que les solutions qui nous ont été présentées depuis 30 ou 40 ans ont toutes fait long feu (mais les irresponsables continuent à raconter qu'elles seraient les seules --ce qui est faux, bien sûr, comme tout le reste de leur discours pourri) : aprÚs 3 ou 4 décennies de soumission à ces idées absurdes, nous nous réveillons brutalement devant une montée des tensions internationales qui réveille dans nos mémoires les pires heures du XX Úme siÚcle --pourtant riche en folies. AprÚs l'onirique ''plus jamais ça'' des européistes, nous revoilà face à des conflits dits ''de haute intensité'' à notre porte... et ce n'est pas une bonne nouvelle, non plus : la fameuse horloge dite ''de l'Apocalypse'' ne nous laisserait plus que 90 secondes avant le déclenchement d'une conflagration nucléaire : il serait, selon ses inventeurs, 23h 58Mn 30s. Et à minuit, tout pÚte...
Et en plus des pĂ©nuries de matiĂšres premiĂšres et de graves problĂšmes d'alimentation ressuscitant les grandes famines d'antan, la course Ă l'Ă©nergie et aux Ă©nergies risque de nous entraĂźner vers un ''pire'', au moment oĂč mĂȘme les ''donnĂ©es'' et les informations, la science et ses dĂ©couvertes, l'eau, le sable, la terre, l'air et l'atmosphĂšre... se transforment, presqu'en mĂȘme temps, en sujets de discorde... dans un monde oĂč ''discorde'' est devenu synonyme de ''tuerie au couteau''...
De plus en plus souvent, la force ignore le Droit, la violence oublie les rĂšgles et les institutions, tout conflit devient existentiel, le moindre objet contondant devient une arme qui va servir Ă tuer, un stupide ''Moi, je...'' remplace toute autoritĂ©, toute morale et toute moralitĂ©, les groupes de terroristes dament le pion aux Etats les plus structurĂ©s et les mieux armĂ©s oĂč le terrorisme et le trafic de drogues sales s'imposent comme des modes de vie, de nouvelles rĂ©fĂ©rences de ''gagne pain'' (en France seule, 200 000 personnes vivent sur ou du trafic de drogues. C'est Ă©norme !)... La police n'est plus considĂ©rĂ©e comme ''le bras armĂ© de la Justice'' (qui s'est noyĂ©e corps et Ăąmes en ''se pacsant'' avec les idĂ©ologies les plus indĂ©fendables), mais comme une bande rivale avec qui on va en dĂ©coudre...
Le vieil ''ordre du monde'' dont les lignes avaient Ă©tĂ© tracĂ©es en 1945 par les vainqueurs (maintenant en pleine dĂ©bĂącle !) de la Guerre de 39-45, prend l'eau de partout, craque, se fissure et n'est mĂȘme plus contestĂ© : il est, simplement, ignorĂ©. Il n'existe plus. La civilisation occidentale, qui en Ă©tait le grand, le seul inspirateur, se dĂ©bat en pleine dĂ©cadence, entre un effondrement dĂ©mographique jamais vu depuis la fin des royaumes amĂ©rindiens au XVI Ăšme siĂšcle, une catastrophe Ă©conomique d'une dimension inenvisageable il y a seulement cinq ans, et une paralysie de toutes ses institutions dont les responsables sont l'aveuglement --et, osons le dire, la bĂȘtise incommensurable-- des dirigeants que nous nous sommes librement choisis --tous incultes, pervers, masochistes, immatures, et, pour beaucoup, corrompus et intrinsĂšquement malfaisants !
Le résultat était presque prévisible, au fur et à mesure que se découvrait une telle accumulation de fautes impardonnables, d'erreurs ''XXL'' dans tous les domaines, et de persistance dans l'absurdité. C'est une poussée suicidaire ne peut déboucher sur rien qui ne soit effroyable, terrifiant, et mortel. L'Occident, cet ancien phare de la pensée, qui a, pratiquement seul, illuminé le monde entier de sa puissance et de ses réussites, risque de disparaßtre tel que nous l'avons connu, sans rien pour le remplacer... et les fous s'en frottent les mains. Un miracle peut-il encore nous sauver ? Si ''Oui'', on le cherche, on l'espÚre, mais il n'est vraiment pas en vue...
H-Cl.
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ĂŽ toi, main qui ne tremble pas
qui préfÚre mettre fin,
aux desseins des unsâŠ
quâas - tu perdu ?
quand lâas - tu perdue,
cette pitié ?
pour quâil ne te reste plus que dans cette main tendue,
la mort en offrande.
de la nudité inexorable des corps déchus
ressurgissent, crues et virulentes,
les images répandues sous le regard de tous,
ravivant des trĂ©fonds de lâĂąme humaine
cette inhumanité qui lui est propre,
originelle et viscérale.
sinistre est cette seconde dâinaction,
inconcevable la douleur des derniers instants,
irregardable, lâhorreur primitive Ă laquelle ces colons sâadonnent,
aux dépens de ce peuple désigné par eux comme remplaçable.
la mĂȘlĂ©e de sang rouge et noir devenant Ă©lixir dans la routine des oppresseurs.
« simple protection », fabulent les journaux,
comme si la répétition de ces mots caustiques
pouvait graver dans la pierre leur innocence factice.
des mots retranscrits Ă lâencre du sang dâenfants, de femmes, dâhommes
dâun peuple condamnĂ© Ă lâexil,
pour fuir ces mains â
commettant
meurtres,
viols,
rĂ©servant lâagonie,
Ă cette mĂšre dont les poumons sâencrassent par les cris,
à cet enfant sous les décombres,
Ă ce corps, lĂ , convulsant,
ou Ă dâautres, qui finissent dans les cendres.
tuerie de masse,
silence fracassant,
oĂč pĂšse le poids de la mort,
et cette question en suspens -
qui traĂźne,
sans réponse :
comment cette humanitĂ© que lâon dresse avec orgueil a t- elle pu se dĂ©tourner de son propre reflet ?
comment sâest- elle parĂ©e de ce synonyme de bontĂ© tout en reniant sa propre essence ?
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@atcmicbxtty asked: âUhm, of course I can speak French - fluently! Jâadore ta tenue, tu es une tuerie! La baiser du chef.â Unprompted
the grin falls easily into place on lestat's lips, it was comforting to have someone speak french so fluently. but maybe , that was his own doing; not daring to step foot into France. he knew who might be there. " merci. le vÎtre pourrait nécessiter un peu de travail, mais il est présentable. "
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Ce qui me fascine, au fond, dans le dĂ©ni du dĂ©lire antijudaĂŻque conjoints des extrĂȘmes-droites complotistes tant christo-franco-natiochauvines qu'islamistes repris quasiment tel quel par la Gauche bĂ©ni-oui-oui amĂ©ricanisĂ©e de ces derniĂšres annĂ©es, c'est moins le cynisme Ă©lectoraliste Ă©vident chez certains que la sincĂ©ritĂ© toute aussi Ă©vidente chez d'autres.
Il y a une espĂšce de voile magique sur les yeux d'une partie du gauchisme post-moderne qui glapit son « antisionisme » Ă tout bout de champ en essentialisant tellement ce fameux sionisme qu'il ne fait aucun doute qu'il s'agit de juiverie et pas de positionnement politique. Je repense souvent au titre du plus cĂ©lĂšbre brĂ»lot de la papesse de l'indigĂ©nisme francophone, ce Les Blancs, les Juifs et nous fiĂ©vreux de bĂȘtise satisfaite oĂč l'on entend tinter la machine Ă sous entre chaque ligne â parce que le racisme anti-tout-sauf-arabe-et-musulman rapporte, depuis une paire d'annĂ©es, quand mĂȘme.
Bref, j'ai l'impression que pour les petits blancs qui composent le gros de l'Ă©lectorat Ă©lĂ©fiste, le Juif est une sorte d'ĂberweiĂer qui bĂ©nĂ©ficie de tous les privilĂšges censĂ©ment accordĂ©s Ă la naissance de toute personne de la race et qui de surcroĂźt jouit de ce don suprĂȘme du statut de victime ultime et Ă©ternelle en raison de son histoire rĂ©cente comme objet du pire massacre de l'HumanitĂ©. Il ne faut pas perdre de vue la logique post-moderne de l'identitarisme qui hiĂ©rarchise les groupes humains en fonction du nombre de cases Ă cocher dans le bingo intersectionnel. Le Juif est une figure intensĂ©ment problĂ©matique parce qu'il est Ă la fois « blanc » (dans la tĂȘte de ses ennemis, ethno-nationalistes europĂ©ens notoirement exceptĂ©s) et victime de racisme systĂ©mique Ă travers l'histoire mondiale. Or, il s'opĂšre une vĂ©ritable jalousie de la victimitĂ©, un ressentiment marquĂ© pour qui appartiendrait Ă un groupe aux souffrances indĂ©niables, ou tout au moins qui requiĂšrent un plus grand effort pour les minimiser voire les nier.
Il y a un refus gĂ©nĂ©ralisĂ© Ă gauche en Occident Ă l'heure prĂ©sente de reconnaĂźtre la part de racisme fĂ©roce qui sous-tend le grand mouvement international de « soutien Ă la Palestine » â en prĂŽnant l'annihilation pure et simple d'IsraĂ«l et gĂ©nĂ©ralement de tous les juifs â alors mĂȘme que des drapeaux de l'Ătat islamique ont endeuillĂ© les mĂȘmes cortĂšges londoniens d'oĂč l'on a chassĂ© des militants gays, et que la foule massĂ©e Ă Sidney scandait « Gas the Jews! ». Une chose que l'on m'a rĂ©pĂ©tĂ©e toute mon enfance me revient aussi en tĂȘte ces derniers temps : comme on fait son lit, on se couche. Les anglophones ont une expression similaire Ă propos des gens avec lesquels on choisit d'aller se coucher.
Les IsraĂ©liens ont rassemblĂ© un vaste panel de journalistes Ă©trangers pour leur montrer des images et vidĂ©os issues de camĂ©ras de surveillance qui ont capturĂ© une partie des massacres du 7 octobre. Ils ont quelque peu tardĂ© Ă le faire ; ils ont choisi de ne pas publier ailleurs ces Ă©lĂ©ments, par respect disent-ils pour les familles. En rĂ©alitĂ©, on sait que des clips iront alimenter en boucle la propagande jihadesque, la tuerie gĂ©ante du 7 octobre ayant donnĂ© lieu Ă de grandes manifestations de liesse dans le monde. Les journalistes, occidentaux surtout, sont chargĂ©s d'aller rĂ©pĂ©ter dans leurs pays respectifs la rĂ©alitĂ© du pogrom, d'ores et dĂ©jĂ niĂ©e par plĂ©thore de bonnes Ăąmes qui se persuadent avec application que d'Ă©ventrer des femmes enceintes ou arracher les yeux et couper des doigts Ă des parents devant leurs enfants, de dĂ©capiter des vieillards Ă coups de bĂȘche ou de filmer le viol de petits garçons pour en envoyer la vidĂ©o Ă leurs pĂšres â que tout ceci constitue un acte de rĂ©sistance Ă l'oppression.
Je ne publierai pas de photos ni de vidĂ©os dĂ©montrant l'horreur d'une boucherie dĂ©libĂ©rĂ©e dirigĂ©e contre les seuls civils. L'image est une arme de guerre. Il ne fait aucun doute que Tsahal ne se prive pas de s'en servir. La seule attitude digne et sage pour la population occidentale si Ă©loignĂ©e de ce conflit devrait ĂȘtre de ne pas prendre parti et de pleurer tous les morts en frĂšres, de quelque cĂŽtĂ© qu'ils mourussent. Je ne pense pas avoir besoin de contempler le cadavre d'un nourrisson Ă©tĂȘtĂ© et vidĂ© comme un poisson, ni le corps tordu d'un pĂšre pleurant prostrĂ© sur le corps de ses enfants, pas plus que des ruines ou des bĂątiments en flammes, pour honnir la guerre et ce qu'elle fait Ă ceux qui l'ont parfois peut-ĂȘtre appelĂ©e de leurs vĆux par ignorance mais qui ne l'ont jamais dĂ©cidĂ©e.
Je suis rĂ©vulsĂ©e, plus que tout, par le soin mĂ©ticuleux que mettent tant de progressistes autoproclamĂ©s Ă se coller des ĆillĂšres quand il s'agit d'islam. J'y vois un profond mĂ©pris, en rĂ©alitĂ©, pour l'objet professĂ© de leurs attendrissements : il est lĂ , le plus veule et feutrĂ© des racismes, dans le refus constant de reconnaĂźtre un libre-arbitre et la mĂȘme capacitĂ© au mal chez le musulman que chez un autre. Ces aveugles-lĂ n'hĂ©siteront d'aucun royaume, et leur lĂąchetĂ© perdra tous ceux qui voient encore quelque chose. Pourquoi faut-il toujours qu'ils ne voient dans l'islam que ce qu'en clament ses plus sinistres chantres ? Pourquoi ne veulent-ils comme porte-parole que les plus extrĂ©mistes idĂ©ologues, qui ne s'embarrassent mĂȘme plus de taqĂźyya pour sĂ©duire ces cuistres masochistes ?
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LSD, la série documentaire: Féminicides, la guerre mondiale contre les femmes
"Des fĂ©minicides conjugaux aux tueries masculinistes, des crimes dits « dâhonneur » Ă ceux des tueurs en sĂ©rie, du gĂ©nocide des femmes autochtones au Canada, aux meurtres de masse Ă Ciudad Juarez au Mexique, des chasses aux « sorciĂšres » contemporaines aux infanticides sexospĂ©cifiques en AsieâŠ
Cette sĂ©rie raconte comment, dans le monde entier, les fĂ©minicides sont un Ă©lĂ©ment fondateur et structurant des sociĂ©tĂ©s patriarcales dans lesquelles les hommes considĂšrent les femmes et leurs corps comme des territoires quâils peuvent possĂ©der, marquer, ravager ou sacrifier, le plus souvent en toute impunitĂ©."
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Une longue série sur la bouffe, deuxiÚme service ! On finit avec les desserts :
Marseille, Vieux-Port, "Chez Madie - les Galinettes" : Baba au limoncello (une tuerie !)
Marseille, Saint-Victor : les célÚbres navettes de la Chandeleur
Marseille, l'OM CafĂ© : une crĂȘpe
Pau, chez Christine : un ananas
idem : ma salade de fraises
Marseille, Pointe Rouge : thé gourmand version maxi !
Marseille, Quai des Belges, Marché de Noël - un kurtos
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Hier il y a eu 3 trucs bizarres dans ma matinée.
Je fais des courses et je cherchais un truc, je demande Ă une dame qui rangeait les rayons et elle ne savait pas, et finalement c'est 5 dames qui Ă©taient en train de remettre des trucs en rayons qui ont cherchĂ© mon paquet d'oignons frits en se parlant (fort) d'un rayon Ă l'autre genre "Maryvonne c'est pas dans le tien les oignons frits ?? Ah attends peut-ĂȘtre.... Ah non peut-ĂȘtre Bernadette ? Bernadeeeeette c'est chez toi les oignons frits ?" (Je ne sais plus les prĂ©noms ^^) j'Ă©tais đ€š mais c'Ă©tait sympa.
Puis aprĂšs il y a une petite mamy qui m'a reconnue et moi non pas du tout mais au dĂ©but je pensais que j'avais une mĂ©moire de poisson rouge alors j'ai fait genre que je la reconnaissais le temps de me souvenir d'oĂč je la connaissais et puis j'ai compris que je n'Ă©tais pas du tout la personne qu'elle pensait pcq elle me parlait de gens que je ne connaissais pas mais elle avait l'air tellement contente de me voir et elle Ă©tait dĂ©jĂ tellement loin dans sa conversation que j'ai pas osĂ© casser son truc du coup j'Ă©tais en mode "hmhm oui.... Oui oui..... Ah oui.... Ăa va oui oui... Ah bon... Oh..."
Et puis je repars de cette ville bizarre et je suis derriĂšre une voiture au feu rouge, et je vois que le truc qui pendouille Ă son rĂ©troviseur c'est.... une souris morte ??? Peut-ĂȘtre juste un jouet pour chat mais ça avait l'air si vrai avec ses petites pattes lĂ comme les souris congelĂ©es qu'on donne aux serpents et j'ai eu tellement de questions en tĂȘte avec ça.
Et sinon les travaux dans la maison sont terminĂ©s, je retrouve mon salon qui avait Ă©tĂ© transformĂ© depuis une grosse semaine en chantier avec des plaques en bois par terre pour protĂ©ger le sol, des seaux d'argile, des briques, des outils, de la poussiĂšre etc. on a fait construire un poĂȘle de masse, c'est un gros poĂȘle maçonnĂ© dans la maison, avec des pierres rĂ©fractaires, un gros feu de bois d'1h et ça diffuse la chaleur sur 24h dans toute la maison. En plus on brĂ»le ce qu'on veut, du sapin, des palettes, ça chauffe tellement fort qu'il ne reste plus rien, c'est juste une gestion diffĂ©rente de l'habitude. On est au bois depuis longtemps mais avec un poĂȘle normal qu'il fallait recharger rĂ©guliĂšrement. Et on a un four dedans, selon la t° du foyer on pourra faire cuire des pizzas ou faire mijoter des trucs. C'est notre projet slow qui Ă©volue petit Ă petit c'est chouette.
Et sinon les oignons frits c'était pour mettre dans une soupe omg quelle tuerie : un demi butternut, 4 grosses carottes, un poivron rouge, 4 échalotes, 2 cubes de bouillon de légumes, une poignée d'origan frais et 4 grosses feuilles de sauge.
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J'essaie de pas manger toutes les amandes au caramel pour pouvoir les donner aux Fair Folks. Alors que j'ai dĂ©jĂ donnĂ© une bougie en cire d'abeille, de la mie de pain, du tabac, une abeille morte, des pommes, des pommes sauvages, de l'encens, un petit tiers de tous mes pique nique, des petites prunes je crois des mirabelles (une tuerie soit dit en passant), de l'eau, un peu de cafĂ©, un peu de vin, quelques cheveux, de la sueur, du sang Ă©videmment du sang, non pas des larmes, et tout ça a Ă©tĂ© dĂ©posĂ© sur environ 493726 spots diffĂ©rents, puis surtout-surtout ma FERVEUR. Enfin bon allez je laisse des amandes grillĂ©es au caramel đ
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