#une libraire qui écrit
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messythings-blog · 1 year ago
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Ça fait 3 semaines que j’écris TOUS. LES. JOURS. Si c’est pas avoir un rythme, je sais pas ce que c’est. ✨
(Étonnement, j’arrive à écrire même en reprenant le travail ! (Du coup je ne lis plus mais chuuut))
(On passera sur le fait que j’ai envie de pleurer quand j’écris que 200 mots dans la journée )
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coovieilledentelle · 6 months ago
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Le vieux libraire m'avait toujours répété que les livres avaient une âme, l'âme de celui qui les avait écrits et de ceux qui les avaient lus et avaient rêvé avec eux.
Carlos Ruiz Zafón
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swedesinstockholm · 1 month ago
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27 septembre
j'ai l'impression que quand je suis partie en juillet c'était un faux départ. on était censées changer de canapé pendant l'été et en rentrant en septembre normalement j'aurais du trouver un nouveau canapé dans le salon. ma vie était censée avoir changé et j'étais censée ne plus être sous son sort. mais quand je suis rentrée le canapé était toujours là. il m'a appelée tout l'été en m'envoyant des signaux à travers l'espace, des phéromones, je sais pas, je l'entendais la nuit dans mon lit, et là on est fin septembre et je suis totalement retombée dans ma relation toxique avec lui. je veux plus JAMAIS le quitter. aucun endroit au monde ne vaut le canapé beige. impossible de trouver le bonheur ailleurs. depuis que je suis rentrée de bruxelles j'y ai passé la semaine. j'arrivais tellement pas à le quitter que j'ai même pas écrit à audrey pour qu'on se voie. je peux pas je dois profiter de chaque seconde de canapé avant de repartir et qu'il disparaisse à jamais.
hier après-midi je suis sortie me promener avec maman, elle voulait voir le pape pour envoyer une photo au groupe famille mais on en a eu marre d'attendre et on est parties. j'ai laissé échapper que ça me ferait rien de mourir dans un attentat là pendant qu'on attendait devant la cathédrale, ce qui a relancé la conversation sur ma santé mentale. j'ai écrit à la psy pour voir si elle avait des disponibilités pour le mois de janvier. je m'y prends à l'avance cette fois. j'ai aussi pris rdv chez un orl-chirurgien apparemment très compétent. je vais rentrer et prendre soin de mes mille problèmes de santé, parce que tant que je les aurai pas réglés je pourrai être heureuse nulle part. et je peux pas faire deux choses en même temps. comme habiter à berlin et me soigner. de toute façon je veux pas habiter à berlin. plus ça va et plus les raisons s'additionnent. sandy a. m'a proposé de faire une lecture et d'animer un atelier d'écriture pour le festival queer little lies fin novembre et j'exploite pas assez mon pays pour la thune qu'il peut me donner. en rentrant de la ville hier on s'est arrêtées chez le fleuriste c'était très cosy sous les serres avec la pluie qui tombait en rafales dehors, on est rentrées abritées sous mon nouveau parapluie transparent avec des papillons et j'ai mangé un gros roulé à la pistache dans la cuisine en écoutant france inter. c'est le genre de wholesome que j'arrive pas à avoir à berlin.
pendant que je faisais réchauffer les côtes de blettes maman m'a dit et si tu revenais définitivement fin novembre au lieu de repartir pour revenir à noël et ça me fait penser à l'hiver 2012 quand j'étais revenue d'amsterdam pour un weekend et finalement j'y suis plus jamais retournée. hier je lisais mon journal de paris à la recherche de mon deuxième voyage à berlin et je suis tombée sur un passage où je rentrais pour le weekend et je faisais exactement la même déclaration d'amour enflammée à ma chambre que celle que je lui fais tous les soirs en ce moment. je me sens complètement impuissante face à l'ampleur de mon refus de vivre ma propre vie, loin de cette maison. je sais pas quoi faire.
28 septembre
de retour dans la ville de l'enfer. j'ai pas réussi à dire à n. et à j. que je voulais partir, j'ai fait comme si de rien n'était, j'ai même dit que j'avais postulé pour un job de libraire ce qui implique que j'ai pas du tout l'intention de partir et je sais pas comment arracher le pansement maintenant. j. écrivait à son date sur grindr il voulait lui dire de passer pour coucher avec lui et puis il m'a raconté tous les dates nuls qu'il a eus pendant que j'étais pas là. il voulait me montre un porno débile et je pensais à la maison. elle me manque déjà, elle me manquait avant même que je parte ce matin, elle m'a manqué toute la semaine.
29 septembre
de retour dans ma cellule, c'est plus calme qu'en été. la façade d'en face a une nouvelle ombre. ça fait une courbe descendante en diagonale avec un plateau au milieu, ou une chaine de montagnes comme les pyrénées qui disparaissent dans la mer au grau d'agde. on voit mieux les ombres des pigeons qui volent au dessus de la cour et qui vont se percher tout en haut de l'immeuble. j'avais jamais remarqué les formes nettes de la façade blanche qui se découpent contre le ciel bleu et la cheminée en briques rouges. elle me rappelle bruxelles. elle me rappelle les arbres qui s'agitent contre le ciel quand je m'allonge sur le lit de m. ils sont plus hantés par r. l'appart non plus et la ville non plus. même le palais de justice est ok. quelle bonne idée de pas l'avoir vu.
l'ombre a changé, on dirait une piste de ski raide avec un sapin écrasé au milieu maintenant. j'ai pas envie de passer les deux prochains mois ici. je me sens trop crevée pour faire des efforts. le sapin est en train de s'étaler sur la piste. hier matin dans le premier train j'écoutais la conversation d'un mec et d'une fille qui sont montés à trier, lui allait à hambourg et elle à berlin, il lui racontait tous les voyages lointains qu'il avait fait en tant que cameraman d'une série culinaire autour du monde pour un supermarché et ça me fatiguait rien que de l'entendre en parler ferme ta gueule je veux pas entendre ta vie de globe-trotter aventurier et libre i could never go back the freedom you get as an independent is too precious ils parlaient même pas en anglais en plus ils parlaient en allemand qu'est-ce que je raconte.
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francepittoresque · 1 year ago
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MÉTIER | Les libraires d'autrefois ➽ https://bit.ly/Libraires-Autrefois Pendant toute la première moitié du Moyen Âge, les livres furent écrits dans les couvents. Il y avait dans les monastères une salle qu’on appelait le « scriptorium », c’est-à-dire l’endroit où l’on écrit, et là pendant de longues heures, silencieusement, des moines recopiaient les ouvrages des auteurs anciens, et les livres de piété qui formaient le fonds des maigres bibliothèques de ce temps
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bonheurportatif · 1 year ago
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En juillet, j'ai quitté tumblr (2)
7 juillet J'ai eu en tête toute la matinée The Partisan, de Léonard Cohen. J'ai peut-être rédigé mon dernier article avant les vacances. J'ai révisé un peu d'espagnol. J'ai monté des meubles bon marché et ça m'a pris un temps fou. J'ai ruminé contre ma mère acrimonieuse. J'ai transpiré à grosses gouttes. Je suis parti précipitamment, sans avoir monté tous les meubles. Je suis arrivé en retard pour accueillir les hôtes de ma sœur. J'ai fait la visite sans dessus-dessous. J'ai égaré quelque part mes lunettes de soleil. Je suis allé me baigner. On a retrouvé mes lunettes, évidemment oubliées pendant la visite. On a mangé des pizzas en famille dans la cour. 8 juillet J'ai décliné l'invitation à aller voir des films au festival du film. J'ai mis mes doigts dans un brownie en miettes très addictif. J'ai lu à voix haute le journal en ligne d'Erica Von Horn. J'ai écrit un texte pour une revue. Les travaux dans le voisinage ont continué, un samedi. Le va-et-vient hebdomadaire des estivants locataires a commencé. J'ai fait une sieste. J'ai lu en diagonale Éloge des vertus minuscules, de Marina van Zuylen. J'ai accompagné Cadette à festival. J'ai récupéré Emmanuel. Nous avons cuisiné ensemble. Nous avons bu ensemble. 9 juillet Je n'ai pas entendu l'orage. Je me suis baigné dans la mer, à deux reprises, et allongé sur le sable. J'ai ouvert deux douzaines de petites huîtres. Nous avons mangé dehors, coiffés de chapeaux de paille. J'ai mangé de la jonchée. J'ai fait une sieste, comme pratiquement toute la maisonnée. Emmanuel m'a donné quelques billes pour une prise en main express de Substack. Je suis allé faire une promenade à vélo avec Emmanuel. Je suis passé voir Junior à son boulot d'été. Je me suis enfoncé dans des sables faiblement mouvants, jusqu'à mi-mollets. 10 juillet J'ai expédié les affaires courantes (mails, factures et rendez-vous) et entrevu une possible période de vacances. J'ai accompagné Emmanuel à la gare. J'ai récupéré un rouleau de papier peint à motif géométrique sur un stand de vide-maison. (Je n'ai pas pris le puzzle de 1 500 pièces représentant "L'Académie de musique d'Anatolie".) (Les travaux chez le voisin n'ont pas cessé de la journée.) (Après les travaux, le gars qui dort sur le chantier a passé deux fois un album des Gypsy Kings.) J'ai craint une rechute de workaholisme de ma chérie. 11 juillet J'ai écrit un texte pour une revue. Benjamine a été acceptée dans sa classe à horaires aménagés, elle aura mené sa candidature en toute autonomie. Plusieurs mails sont finalement tombés coup sur coup, ma période de vacances aura été de courte durée. J'ai goûté d'un fondant à la châtaigne. J'ai cuisiné des pennes aux asperges et petits pois. 12 juillet J'ai cuisiné une pizza aux courgettes. La synchronisation de mon ordi à mon nuage a foutu en l'air toute l'arborescence que j'avais mise en place. La cuisson de la polenta a fait sauter de l'huile partout. J'ai lu Rimbaud, Rambo, Ramuz de Nathalie Perrin. 13 juillet J'ai lancé et étendu une lessive avant le lever de la maisonnée. Je suis passé chercher le dernier meuble à monter chez ma mère. Dans le magasin de bricolage, j'ai cherché des chevilles, j'ai trouvé des tourillons. (J'ai ouvert le sachet de tourillons précisément au moment où je me suis rendu compte que je n'en aurai finalement pas besoin.) J'ai fini le montage des meubles, dont le remontage correct du tiroir du bureau. 14 juillet J'ai remonté un marché trop densément peuplé pour moi. Les retrouvailles bruyantes des copines de ma chérie sur la terrasse du restaurant m'ont laissé craindre le pire pour la suite du repas. La galette végétarienne était absolument quelconque. J'ai écourté sans grand regret ma participation au repas pour accompagner Cadette à son travail. J'ai pris le temps de musarder chez le libraire, étage et rez-de-chaussée. J'ai racheté Fictions, de Borges, pour relire La Bibliothèque de Babel. Les voisins ont entamé un "Joyeux anniversaire" un poil dissonant. J'ai écouté un vrai beau brouhaha. Je me suis endormi avec le bruit des vagues.
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puchkinalit · 21 days ago
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Bienvenue à la librairie Hyunam
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Yeong-ju ouvre une librairie dans un quartier peu commerçant mais pour elle l'emplacement et le local sont idéals. Pendant quelques mois, la librairie ne rencontre pas son public car la jeune femme n'est pas complètement investie malgré son amour des livres et son envie de le partager mais elle sort d'une rupture et n'a pas encore l'esprit clair. Au bout d'un certain temps, la fréquentation de la libraire s'améliore car Yeong-ju a trouvé l'atmosphère idoine. Son naturel chaleureux et enthousiaste prend le dessus et elle embauche Min-ju pour faire et servir du café aux clients. Celui-ci, jeune diplômé, n'a pas réussi à entrer dans la vie active et a baissé les bras. Mais il trouve un sens à ce travail de barista en choisissant ses grains et élaborant un café meilleur de jour en jour. Vont entrer dans la librairie un lycéen qui n'aime pas lire, une femme qui trouve l'atmosphère de la librairie parfaite pour méditer et faire du crochet, un salarié qui a écrit un livre sur la grammaire coréenne et bien d'autres car tout le monde se sent bienvenu à la librairie Huynam ! Hwang Bo-reum a écrit un roman chaleureux mais pas mièvre qui a travers la fréquentation des livres exalte la compagnie des hommes.
8/10
Bienvenue à la librairie Hyunam / Hwang Bo-reum.- Editions Picquier.
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actu-juridique · 2 months ago
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Un mage hostile à la magie
https://justifiable.fr/?p=89 https://justifiable.fr/?p=89 #hostile #mage #magie Science History Institute, Public domain, via Wikimedia Commons On s’est posé beaucoup de questions à propos d’Henri-Corneille Agrippa (1486-1535). Selon les dictionnaires, « il avait au moins quatre facettes, pas forcément conciliables, celle d’un féministe, celle d’un mage, celle d’un alchimiste, celle d’un sceptique, sans parler de ses fonctions de médecin, d’historiographe, de conseiller, de ses activités de milicien, d’astrologue, de pédagogue. » Son nom véritable était Cornelis, il y joignit Agrippa, tiré de Colonia Agrippina comme on appelait autrefois la ville de Cologne où il naquit. Il y ajouta ab Nettesheim, ce qui donne en latin, avec le nom de baptême, Henricus Cornelius Agrippa ab Nettesheim. Il était docteur ès-lettres et docteur en médecine de Cologne-sur-le-Rhin. Il voyagea ensuite dans toute l’Europe (France, Espagne, Angleterre, Allemagne, Italie, et Suisse) en tant que soldat, médecin et enseignant. L’un de ses derniers ouvrages, Déclamation sur l’incertitude, vanité et abus des sciences. (S.l. [Genève], Jean Durand, 1582. In-8), le montre hostile à la magie. Comme s’il renonçait à toutes ses réflexions ou passions antérieures, il réfute la puissance de la raison humaine, et assure qu’il y a des erreurs dans la Bible. Il vilipende même les moines et les souverains pontifes qu’il qualifie de méchants. On ne s’étonnera pas que cet ouvrage ait été mis à l’Index. Un exemplaire de cette édition originale, auquel on a ajouté au XVIe siècle un portrait gravé sur bois, relié au XIXe siècle par Trautz-Bauzonnet, en maroquin rouge janséniste, sera mis vente, le 22 novembre 2024 à Drouot, par la maison Ferri avec une estimation de 1 500/ 1 800 €, lors de la dispersion de la troisième partie de la bibliothèque Marcel Lecomte. Il a autrefois appartenu à Raoul Léonor comte de Lignerolles (1817-1893), grand bibliophile qui vendit sa bibliothèque en 1884 et à Maurice Méric (ex-libris) membre des Cent Bibliophiles. Selon l’expert de la vente, « cet ouvrage constitue un excellent manuel de contre-culture ésotérique, dont les 103 chapitres évoquent la grammaire, la rhétorique, la géomancie, la musique, la danse, la peinture, l’architecture, l’agriculture, la pêche, la chasse, l’art militaire, la cuisine, la chiromancie, la magie naturelle, la magie des poisons, la cabale, la philosophie morale, l’alchimie, l’inquisition, etc. » Nous sommes loin de son premier opus, écrit en l’honneur de Marguerite de Bourgogne : De la noblesse et préexcellence du sexe féminin. Celui-là écrit en 1509 ne fut publié qu’en 1529 à Anvers. Le libraire Galliot du Pré en publia l’année suivante une première traduction en français. On dit que cet ouvrage se caractérise par « un enthousiasme mystique pour la féminité, une féminité nullement éthérée, mais incarnée dans un corps mystérieux et attirant ». Son œuvre la plus connue quoique la plus critiquée est De occulta philosophia, dont la première version date de 1510. Les trois tomes s’ajoutèrent dans les éditions suivantes de 1531 et 1533. Le quatrième tome réuni en 1565, est considéré comme apocryphe. Il en est ainsi des mages. Infos Ferri & Associés, 53 rue Vivienne, 75002 Paris www.ferri-drouot.com
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thomas-querqy · 5 months ago
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La fabrique de la terreur écrit par Frédéric Paulin (2020)
prêté par Maxime, très bien
Le ravissement de Britney Spears écrit par Jean Rolin
conseil de mon libraire à qui je demandais des livres amusants pour emporter en vacances, pas mal
Miracle à la Combe aux Aspics écrit par Ante Tomić, offert par ma soeur pour mon anniversaire, savoureux, j'ai hâte de lire les deux autres, à commencer par les Enfants de sainte Marguerite
Extrait
Effrayé, le prisonnier recula de deux pas. - Fiche-moi le camp ! Dégage, avant que je ne change d'avis ! - Monsieur, ne vous fâchez pas, mais moi, je veux rester. - Quoi ? Tu veux rester ? Va-t’en ! cria Jozo en empoignant sa mitraillette. Fiche le camp, couillon, avant que je te descende ! - Monsieur, non, s’il vous plaît ! gémit Ratko en se ratatinant. Il éclata en sanglots, mais Jozo, implacable, pointa son fusil sur lui. - Papa, non ! S’écria Domagoj en accourant vers le prisonnier et en le prenant par la main. On s’aime ! Pendant quelques instants, tout se figea devant la maison, comme sur une photographie. Le temps s’arrêta, les oiseaux s’immobilisèrent dans le ciel, la Terre cessa de tourner autour du Soleil : telle était la stupéfaction devant la vision de ces deux hommes enlacés, le premier en larmes, le second lui caressant tendrement les cheveux. -Des tapettes ! murmura Joza horrifié, avant d’ajouter : Maintenant, ils peuvent bien me tuer.
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bibliocvm · 7 months ago
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La cloche de détresse
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Sylvia Plath
PS3566 L27 B4414 2003
Avertissement de contenu : Hôpitaux psychiatriques, dépression, suicide, traitements de choc, violences conjugales
« Esther Greenwood, dix-neuf ans, est à New York avec d'autres lauréates d'un concours de poésie organisé par un magazine de mode. De réceptions en soirées passées pour tuer le temps, ce sont quelques jours d'une existence agitée et futile que vit la narratrice. En même temps, elle se souvient de son enfance, de son adolescence d'étudiante américaine, des amours qu'elle a connues. Tout bascule lorsque Esther quitte New York. » (Les Libraires)
Classique de la littérature féministe, j’aime tout particulièrement cette histoire car on ne reste pas en surface, on plonge dans les méandres de la vie d’Esther, de la réalité qui l’attend en tant que femme dans l’Amérique des années 1950. Poignant, parfois suffocant, ce livre, d’inspiration autobiographique, détient son pouvoir dans le fait qu’il sera le dernier écrit de l’autrice, qui s’ôtera la vie quelques mois plus tard. Pour un public averti.
Voir la disponibilité en bibliothèque.
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aforcedelire · 9 months ago
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Les Sorcières du phare, C. J. Cooke
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Sur les falaises d’une île écossaise se dresse un phare. Dans le passé, on y a brûlé des sorcières. En 1998, Liv décide de s’y installer avec ses trois filles. Quelques mois à peine plus tard, la famille entière disparaît, et seule survit Luna. En 2021, toujours hantée par ses traumatismes d’enfance, la jeune femme est contactée par la police : on aurait retrouvé une de ses deux petites sœurs. Elle est exactement telle dont Luna se rappelait. Même visage, même sourire, et surtout… même âge. Face à l’impossible, Luna va devoir découvrir ce qu’il s’est réellement passé vingt ans auparavant.
J’ai beaucoup aimé cette histoire, qui avait de base tous les ingrédients pour me séduire : une histoire de famille, des sorcières, l’Écosse, un côté un peu policier et un peu fantastique. Le rêve ! La libraire en moi ne sait pas trop où le ranger, on dirait un polar mais c’est tellement plus. En tout cas, j’ai adoré.
Malheureusement, quelques points m’ont un peu gênée, à commencer, indéniablement, par le style : je ne sais pas trop si c’est dû à l’autrice ou à la traduction, mais je me suis arrêtée plusieurs fois dans ma lecture en me disant « J’aurais peut-être pas écrit ça comme ça » ou « Euh la virgule ici ça veut rien dire ». Pas foufou. En plus de ça, au début j’ai trouvé certains passages un peu brouillon, les chapitres parfois inutilement trop courts, l’histoire qui avance un peu de façon bizarre. J’ai trouvé la construction un peu brouillon : il y a beaucoup de retours dans le temps, entre 1998, 2021 et 1662, beaucoup de narrateurs et beaucoup de personnages… bref, les liens n’étaient pas forcément super clairs. Et enfin, la résolution qui arrive vraiment vraiment tard, trop selon moi.
Après, en vrai l’histoire m’a tellement plu que j’ai fini par passer au-dessus de ces petits « mais », et j’ai été totalement embarquée et séduite. La quatrième de couverture indique que ce sera adapté en série, j’ai hâte ! Et malgré de petites faiblesses, c’est un roman qui nous emporte tout-de-suite, où on parle de secrets familiaux, de traumatismes, de sorcières et de folklore écossais. Et ces derniers aspects étaient hyper intéressants. J’ai beaucoup aimé !
10/04/2024 - 12/04/2024
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dsirmtcom · 2 years ago
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Liberté, créativité, sérendipité : L’autoédition, un “salon des refusés” ?
Liberté, créativité, sérendipité : L’autoédition, un “salon des refusés” ? #Philosophie #Librairie #Auteur #Indépendant #Refus #Acceptation #Liberté #Sérendipité cc @stephanieMunch7
Écrits, nouvelles et contes philosophiques (ou pas) Librairie « Le Coin des Indés » – 10 rue de l’Hôtel de Ville – 23110 ÉVAUX LES BAINS Cet article est dédié à Stéphanie, auteure qui a ouvert en avril 2023 la seconde libraire de France spécialisée dans l’autoédition, à Évaux-les-Bains (23). Pour suivre l’actualité de cette libre librairie, soyez nombreuses et nombreux à vous abonner à son…
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librairiemelodieensoussol · 2 years ago
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Bonjour à tous
Collectionneur et passionné de vhs depuis les années 90 j'en ai fait mon métier et vous pouvez me retrouver sous le nom de Librairie Melodie en Sous-Sol 
Tous les films ont été testés avant d'être mis en vente et fonctionnent bien !
Pour un envoi vers international merci de me contacter avant svp
Cassette en état neuf toujours sous plastique !
#Mamba (ou #FairGame) est un thriller italien écrit, réalisé et produit par #MarioOrfini, sorti en 1988.
Avec #GregHenry
Musique de #GiorgioMoroder
Pour se venger de sa fiancée qui l'a plaqué, un homme fou de rage l'enferme chez elle avec un serpent venimeux.
#librairiemelodieensoussol  #melodieensoussol
#oiseaumortvintage
#libraire #librairie #librairiemarseille #librairieparis #librairieindependante #librairieenligne #librairiedoccasion #livresdoccasion #bookstagram #booklover #cassettevideo #vhs #vhstape #vhsavendre #videoclub #videoclubmarseille #vhscollection #vhscollector #vhssurvivor #mubi #nanarland #madmovies
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atelierkintsugiteashop · 2 years ago
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Explorez l'univers fascinant du kintsugi à travers ce livre inspirant! Découvrez l'univers fascinant du kintsugi à travers ce livre inspirant. Vous serez guidé à travers l'histoire et la signification universelle de cette pratique japonaise de réparation de poterie cassée. Vous apprendrez comment le kintsugi célèbre la beauté de l'imperfection et de la réparation, et comment cette philosophie peut être appliquée à la vie quotidienne pour créer une beauté durable dans les moments difficiles. Que vous soyez un artiste confirmé ou un débutant curieux, ce livre est pour vous. Vous explorerez les différentes méthodes et techniques du kintsugi, tout en apprenant comment appliquer cette pratique à votre propre vie. Vous apprendrez également comment cultiver la résilience et la force mentale pour surmonter les épreuves de la vie. Ce livre est une ressource inestimable pour les artisans, les amateurs d'art et tous ceux qui cherchent à trouver la beauté dans l'imperfection. Il est écrit par un auteur passionné de kintsugi, qui partage son amour pour cette pratique et son expertise sur son histoire et sa philosophie. Et le meilleur ? Ce livre est disponible à un prix abordable de seulement 7€ ! Vous pouvez l'acheter en ligne sur notre site web ou chez votre libraire local. Rejoignez la communauté du kintsugi et découvrez la beauté dans l'imperfection. Commandez votre copie de ce livre dès maintenant et plongez dans l'univers captivant du kintsugi ! (à Mikazukidō - Atelier de créations artisanales) https://www.instagram.com/p/CpUfBitj-oy/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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swedesinstockholm · 27 days ago
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13 octobre
j'ai rêvé de mon père, il revenait de la mort mais c'était normal. enfin il était normal, il avait pas le teint cireux comme l'autre fois et il parlait. on était tous les deux dans une voiture, il conduisait, je crois qu'il disait des choses intéressantes. on avait des invités à la maison le soir et maman et cécile étaient à la ramasse, moi je jouais avec perlou c'était sa version bébé, je crois que je parlais d'elle à mon père dans la voiture. je m'ennuyais à mourir sur le fauteuil du salon en balançant les bras et mon père était témoin de mon ennui. quand je me suis réveillée j'ai senti le regret d'avoir grandi privée de lui et des conversations qu'on aurait pu avoir. j'aimerais tellement me rappeler de quoi on parlait dans la voiture. je me rappelle même plus quelle langue on parlait. vendredi soir pendant l'entracte de la pièce de n. on est sortis prendre l'air dans la cour avec j. et on parlait du luxembourg et quand je lui ai dit que je détestais parler luxembourgeois il a dit your mother would be sad et j'ai dit my mother is french et il a dit and your father? et j'ai dit my father is dead. l'autre jour à la radio céline sallette disait qu'elle avait perdu son père quand elle avait dix ans mais elle a l'air normale elle. enfin je veux dire qu'elle a une vie. un des poètes de la soirée au silent green avait perdu son père quand il était jeune lui aussi, il en parlait dans son texte, il avait les larmes aux yeux, il avait fui le kosovo pendant la guerre. mais lui aussi il avait une vie normale. une belle vie bien remplie, je l'ai lu dans sa bio.
la psy m'a toujours pas répondu ça me rend folle. j. m'a dit de l'appeler. il m'a dit qu'il avait du harceler sa psy pour avoir un rendez-vous lui aussi et à la fin il lui a écrit une lettre. pourquoi c'est le parcours du combattant pour avoir un rdv chez un psy alors que généralement quand on en a besoin on est déjà à bout de forces? c'est un test?
céline sallette racontait qu'elle avait souffert de dépendance affective jusqu'à ses 34 ans, et puis elle a eu une révélation. elle a mis dix ans pour en guérir et maintenant elle va mieux. j'espère que moi aussi mes 34 ans vont m'apporter… quelque chose.
ce matin au lit je pensais à mon anniversaire de l'année dernière, celui où j'avais pleuré toute la journée parce qu'y avait cette histoire de coloc à st. gilles avec la chambre de c. b. qui se libérait mais ça me semblait trop inaccessible et j'avais envie de mourir et cette année… je vis dans une coloc! pas à bruxelles et ça me plait moyennement, mais le plus important là-dedans c'est que j'aie eu le courage d'essayer et de me rendre compte que j'en suis capable, que ça peut marcher. et donc je me disais que j'avais eu ce que je voulais l'année dernière, en partie du moins, et puis j'ai passé en revue tous mes anniversaires (mon passe-temps favori) pour me rappeler que c'était arrivé assez souvent d'une année sur l'autre. à 19 ans je voulais aller vivre à paris et à 20 ans je vivais à paris. à 21 ans je voulais faire erasmus (à berlin) et j'ai fait erasmus (à amsterdam). enfin je voulais surtout quitter paris. à 23 ans je voulais être internée dans une clinique et à 24 ans j'étais internée dans une clinique. à la clinique je voulais faire une folk high school dans un pays scandinave et l'année d'après j'étais en islande. à 26 ans je voulais travailler dans une petite librairie (à berlin) et à 27 ans je travaillais dans une libraire (à luxembourg). à la librairie je voulais faire des stages et des résidences artistiques et l'année d'après j'ai fait une résidence en ardèche puis un stage de danse. à 29 ans je voulais a. et je l'ai eue, brièvement, via mon téléphone, mais qu'est-ce que c'était bien. à 30 ans je voulais faire du théâtre et à 31 ans je faisais du théâtre. bon c'est jamais les gros voeux qui se sont réalisés et la plupart du temps ça correspondait pas à ce que je m'étais imaginé et ça s'est mal terminé, mais ça prouve au moins qu'y a du mouvement, même maladroit et mal dirigé, j'essaie et aussi je suis toujours vivante.
même si hier à la art book fair j'avais l'impression d'être morte. quand les gens derrière leur stand me parlaient pour m'expliquer leurs oeuvres j'arrivais pas à leur répondre, j'arrivais pas à dire plus que oui ou merci, alors je faisais beaucoup de sourires appuyés et j'essayais de tout dire par le regard, mais qui sait à quoi ressemblait mon visage de morte. j'avais l'impression que quelqu'un avait éteint la lumière et fermé les volets, j'étais une maison vide fermée à double tour. un artiste m'a expliqué le concept de son zine où il avait documenté les apparitions de son prénom (albert) dans des livres pour essayer de répondre à la question: qui est albert? j'avais des trucs à dire mais rien ne sortait de ma bouche. il me parlait en allemand et je savais pas si je devais le tutoyer ou le vouvoyer donc je disais rien du tout mais je continuais à feuilleter ses zines et ses livres je pouvais plus m'arrêter de feuilleter j'ai feuilleté un milliard de trucs intéressants à cette book fair mais j'ai rien acheté. j'ai feuilleté le roman graphique d'une fille qui faisait des connexions entre les animaux via les humains, ça allait d'animal en animal c'était trop bien, je lui ai dit i wish i had money et elle a dit i understand. elle avait une espèce d'orgelet à l'oeil droit et elle m'a offert une carte avec un dessin de deux grenouilles imprimé en rouge.
je sais pas pourquoi j'ai rien acheté, j'aurais pu au moins acheter un zine, y en avait plein de bien, y en avait trop, y avait trop de choix et quand y a trop de choix ça me bloque. je me suis contentée de feuilleter et de noter des idées sur mon téléphone. ça m'a donné envie de faire mille trucs avec mes photos et mes dessins et des collages et des mots et quand je vois des vidéos je veux faire des vidéos je veux tout faire mais je fais rien. ou je fais tout à moitié et c'est nul. je me donne pas les moyens de faire quelque chose entièrement. j'ai jamais cherché à imprimer un zine de photos par exemple. ça me semble trop compliqué et inaccessible. mais aussi: contrairement à la plupart de ces gens, j'ai pas fait d'école d'art, et l'école d'art donne mille accès cf. l'imprimante risographique de l'école de miriam à braunschweig, la suite adobe et ableton live gratuits, le dictaphone pro et les micros et les mixeurs de l'école de ru. à genève, etc.
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christophe76460 · 2 years ago
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DIEU A PERMIS QUE SATAN TOUCHE les biens, la famille et la santé de Job. MAIS ...
IL EST TRÈS IMPORTANT DE CONSTATER que ce n'est pas Satan qui, de par sa propre puissance, a réussi à toucher Job à l'insu de Dieu ou malgré la limite de Dieu.
Ce n'est pas Satan qui a volé les bénédictions de Job malgré Dieu. Le pouvoir du diable est donc extrêmement limité à la Volonté et au plan de Dieu.
Si Satan avait pu, il aurait carrément tué Job, mais Dieu lui avait imposé une limite qu’il ne put franchir :
"Voici, je te le livre: seulement, épargne sa vie"
Et comme le diable fait toujours une œuvre qui le trompe, à la fin de l'histoire douloureuse de Job, nous voyons Dieu récompenser largement Job de sa fidélité en le bénissant davantage.
On peut imaginer le témoignage de l'impact spirituel du rétablissement de Job sur ses amis et dans le pays. Le diable a dû se mordre la queue, pour autant qu’il en ait une, en voyant comment il avait encore travaillé pour la Gloire de Dieu et contre lui-même…
Job 42:10-17 "L'Éternel rétablit Job dans son premier état, quand Job eut prié pour ses amis ; et l'Éternel lui accorda le double de tout ce qu'il avait possédé. Les frères, les sœurs, et les anciens amis de Job vinrent tous le visiter, et ils mangèrent avec lui dans sa maison. Ils le plaignirent et le consolèrent de tous les malheurs que l'Éternel avait fait venir sur lui, et chacun lui donna un kesita et un anneau d'or. Pendant ses dernières années, Job reçut de l'Éternel plus de bénédictions qu'il n'en avait reçu dans les premières. Il posséda quatorze mille brebis, six mille chameaux, mille paires de bœufs, et mille ânesses. Il eut sept fils et trois filles"
Il donna à la première le nom de Jemima, à la seconde celui de Ketsia, et à la troisième celui de Kéren Happuc. Il n'y avait pas dans tout le pays d'aussi belles femmes que les filles de Job. Leur père leur accorda une part d'héritage parmi leurs frères. Job vécut après cela cent quarante ans, et il vit ses fils et les fils de ses fils jusqu'à la quatrième génération. Et Job mourut âgé et rassasié de jours"
Tout ce qui a été écrit dans la Bible est pour notre instruction et certains personnages sont passés par des épreuves difficiles afin que leurs témoignages nous édifient, comme l’apôtre Paul qui disait souffrir pour la foi des élus.
(Livre « Combat Spirituel Biblique » Édition Oasis) chez Amazon et libraire chrétienne CLC
Bonne journée
Guy Rémi Pambou
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au-jardin-de-mon-coeur · 1 year ago
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Libraire, quel beau metier ! 📚
Le vieux libraire m'avait toujours répété que les livres avaient une âme, l'âme de celui qui les avait écrits et de ceux qui les avaient lus et avaient rêvé avec eux.
Carlos Ruiz Zafón
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Bookseller guy
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