#une histoire pas du tout passionnante
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unempirepourtonsourire · 8 months ago
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Une histoire de toilette, de sieste qui tourne mal, et de pouce en l'air
Il y a une semaine j'ai commencé à entendre de l'eau qui coulait dans ma cuvette des toilettes donc ni une ni deux je démonte le bordel, et en fait il y avait de l'eau qui coulait d'un endroit où c'était pas sensé couler. Bref j'essaye de démonter le truc mais j'y arrive pas car j'ose pas trop forcer. Donc j'appelle mon père on fait une visio (vous vous rendez pas compte à quel point cette phrase est lunaire, genre une visio avec mon père !!) et il m'explique comment démonter le truc, j'y arrive sans problème, sauf que ça change rien. Il me dit d'acheter de l'acide chlorhydrique pour carrément tout nettoyer. Donc le lendemain je fait 3 (trois) magasins, sans trouver d'acide (je suis saoulée et j'ai mal au genou de courir de partout). Le surlendemain, je trouve enfin de l'acide dans un magasin de bricolage, et j'en met dans mes toilettes, sachant qu'il faut attendre 1h pour que ça agisse. Quand j'en met ça fait de la fumée et j'ai un peu peur de mourir intoxiquer ahah qu'est-ce qu'on rigole... bref en attendant les 1h, je vais faire une sieste (passion sieste on oublie pas). Au bout de 30min je me réveille, et mes toilettes sont INNONDÉS il y a de l'eau partout par terre c'est la panique. Je coupe l'eau, je nettoie, et en fait maintenant dans ma cuvette des toilettes c'est pire qu'avant : ça fuit à 2 endroits au lieu d'un seul. Ca commence à me saouler cette histoire. Le soir j'appelle mon père, je lui dit que c'est pire, il me dit qu'il faut changer le mécanisme. Sauf que c'est pas à moi de le faire, c'est à mon proprio. Donc gngngn pas envie d'appeler mon proprio parce que c'est un connard (je dit ça juste parce qu'il est propriétaire, j'ai jamais eu de soucis avec lui, c'est juste un principe genre propriétaire = connard). Mais je finit par l'appeler, et il me dit "no problemo appelez un plombier et je prends à ma charge pas de soucis" mdr en fait il est assez sympa. Une semaine plus tard, le plombier vient, et en 20 minutes il a tout changé et ça fuit plus et c'est parfait, j'ai de nouveau des toilettes qui fuient pas. J'en informe mon proprio et il me répond "super 👍" et cet émotione de pouce en l'air me tue de rire ahahah
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adri-atique · 10 months ago
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Tout livre devrait être lu au minimum deux fois. Certain livre demandent à être lu minimum deux fois. Parmi ces derniers, on y trouve Le maitre des illusions de l’auteure américaine Donna Tartt. Faisant usage de sa grande maitrise des mots, Tartt nous dépeint une histoire mouvementée mettant en scène l’étude des classiques grecques et la poursuite de l’esthétique académique à travers un narrateur témoin-sujet qui reviens sur son passé. A une première vue, le livre est tout simplement Richard, jeune homme de 28 ans fortement dépressif, qui nous raconte son année au collège Hampdenau Vermont. Plus le lecteur continue, plus on se rend compte qu’il s’agit en fait d’un aveu, la révélation d’un meurtre rester dans l’ombre depuis neuf ans., et plus on comprend l’état d’âme du narrateur.
« Nous n'aimons pas le reconnaître, mais l'idée de perdre contrôle est quelque chose qui fascine plus que tout, ou presque, les gens aussi contrôlés que nous le sommes. »
À ma première lecture, je me retrouvai dans la peau de Richard à 19 ans, fraichement débarqué dans une nouvelle école. Ayant moi-même vécu cette étape quelques fois dans ma vie, je fus capable de rapidement m’attacher au personnage et de m’immerger dans les descriptions imagées du Vermont. J’ai découvert avec lui les membres du groupe d’étudiants exclusif et leurs personnalités. J’ai tué et j’ai vécu le stress de cacher un meurtre avec ces derniers. J’ai levé les nombreuses couches de secrets gardés par les étudiants et j’ai vécu leur dissolution. La première lecture m’est resté dans la tête, trottant parmi mes idées durant des mois. Ses moments singuliers hantaient mes nuits au point qu’au début je restais éveiller le temps de faire et refaire le point sur les évènements connus, mais par la faute du narrateur et son obsession pour le pittoresque des événements, il y a autant d’inconnu qu’il y a de mauvaises décisions au travers des pages. Je devais le lire à nouveau, ou jamais je ne retrouverai le repos.
« La beauté est rarement douce ou consolatrice. Plutôt le contraire. La véritable beauté est toujours très inquiétante. »
La deuxième lecture révèle beaucoup de chose. Si lors de la première lecture j’étais Richard à 19 ans, je me suis retrouvée plus vielle de neuf ans lors de la seconde. Sachant déjà le dénouement, je découvrais de nouveaux détails qui laissaient présager les futurs événements. Ayant le contexte nécessaire, je remarquais les symbolismes présents dans le texte, que ce soient les fleurs déposées sur le seuil de la fenêtre ou bien les actions en arrière-plan. Cette seconde lecture a donné repos à mon pauvre cerveau malmener par le génie de Donna Tartt.  Je planifie le relire au moins une troisième fois, histoire de trouver encore plus de détails.
« Est-ce que quelque chose comme la “fêlure fatale”, cette faille sombre et révélatrice qui traverse le milieu d’une vie, existe hors de la littérature ? Je croyais que non. Maintenant je pense que oui. Et je crois que voici la mienne : une avidité morbide du pittoresque à tout prix. À moi. L’histoire d’une de mes folies. »
Le maitre des illusions est un livre truffé de citations, de référence à la Grèce antique et totalement obsédée par la beauté, un livre parfait pour s’éduquer à travers maintes références (trouver les sources originales est en soi une aventure passionnante, je peux vous le dire.) Décrit comme étant une aventure de détective inversé, plusieurs lecteurs l’ont interprété plus comme étant une critique de la recherche de l’esthétique et comment faire ses choix pour le pittoresque sans penser aux conséquences peut mener à la perte d’un individu tel qu’il est. Un livre parfait pour les amoureux de la beauté académique.
À noter que j’ai originalement lu ce livre en Anglais, j’ai traduit les citations ainsi que le titre pour les besoins d’un texte uniforme. Toute impression m’es venu du texte original en anglais.
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mmepastel · 9 months ago
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Pfffiou !
Quel drôle de livre !
Je ne suis pas certaine d’avoir tout compris. A vrai dire, j’aurais beaucoup de peine à dire quel en est le sujet. Le pérégrin, c’est celui qui voyage évidemment, et ce livre évoque les déplacements en tous genres et en tous sens, par delà mers et océans, de la narratrice, qui ressemble fort à l’autrice, d’autant qu’elle évoque son parcours personnel au début. Oui, certes, le livre parle d’espace, de lieux, de déplacements, mais aussi de temps, de la mort. Du corps également. Le livre ressemble un peu à un cabinet de curiosités, dont elle parle abondamment d’ailleurs, à travers les destins de certains personnages, dont certains ont réellement existé, et qui n’ont eu de cesse de progresser dans la science ou dans l’art de connaître le corps humain, et donc la façon de le conserver, puis de le montrer. (Ces pages, très nombreuses, sont effroyables et fascinantes.)
Oui, ce livre à ce désir d’être une somme, une œuvre totale qui embrasserait l’espace-temps, le passé, le présent, leur découpage probablement trompeur, comme si tout était cyclique, voire parallèle, simultané. Il se présente d’ailleurs comme une série de textes plus ou moins courts, comme des objets curieux et stimulants pour l’esprit, comme dans un fameux cabinet de curiosités. Des objets épars, mais qui se répondent, par échos, rebonds (remarquez par exemple comme les fleuves de la couverture française évoquent des veines et leurs ramifications…). Des anecdotes ou des récits mythiques, des considérations hasardeuses ou troublantes. Parfois, des histoires, voire des contes, à la portée symbolique puissante. On passe par des sentiments variés, allant de l’effroi à l’émotion ou au rire. Car le ton d’Olga Tokarczuk est toujours surprenant, faussement sobre, émaillé de malice discrète.
J’ai beaucoup aimé lire ce livre, malgré sa complexité, et l’absence apparente de fil conducteur. J’ai aimé me perdre dans les méandres de ce voyage intérieur érudit et fantasque. J’ai aimé retrouver, chaque soir, l’assurance de trouver de l’étonnement, des idées neuves et stimulantes, un art évident de conter les histoires les plus saugrenues tout autant que passionnantes. On est sans cesse sur le fil, entre la joie de comprendre quelque chose de neuf, et la sensation vertigineuse de chute dans le surnaturel, jamais bien loin.
Je retiens toutefois des éléments de la conclusion qui suggèrent qu’il est judicieux de comprendre qu’on n’est pas vraiment différent de quelqu’un d’autre, qu’on y gagne, et que l’intérêt pour autrui est toujours enrichissant, que nous appartenons à un tout dont l’harmonie secrète existe, même si tout semble chaotique. Il y a une forme d’apaisement dans ces assertions, la promesse d’une humanité puissante, englobante, consolatrice, qui nous fait tant défaut au quotidien, il faut quand même bien l’avouer. C’est une dimension que j’ai ressentie au fil du livre, même si je ne suis pas sûre d’en saisir toute la portée.
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havaforever · 11 months ago
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PAST LIVES - Il y a des œuvres dont on sait qu’elles vont nous plaire dès les premiers instants. Past lives, nos vies d’avant est clairement de cette catégorie. Mieux, elle nous cueille dès le départ pour ne plus jamais nous lâcher. Et il faut souligner que c’est un premier film, ce qui rend cet essai poétique et parfaitement maîtrisé encore plus louable, et plus touchant.
La réalisatrice et scénariste Céline Song a bien sûr mis beaucoup de son expérience dans cette histoire presque autobiographique, ce qui est souvent l’apanage des premières œuvres. Cette immigrée nord-américaine (ou émigrée sud-coréenne selon d’où on se situe) a donc réalisé un film qui lui ressemble. Elle y fait un parallèle fort avec sa propre histoire, nous la fait presque partager, et nous gratifie d’une passionnante et sublime histoire d’amour pas comme les autres. Elle se caractérise par un amour d’enfance qui se transforme en une sorte de relation manquée qui s’étire sur près de trois décennies. Et que c’est beau, que c’est juste, sensible et intelligent, tout en nuances et en délicatesse.
On sort du film plein de baume au cœur. On n’a pas vu le temps passer (hormis quelques minuscules petites longueurs au milieu du film) et on a assisté à quelque chose de presque magique. Quelque chose qui nous fait encore croire à l’amour sous toutes ses formes même quand il n’est pas consommé.
Le titre fait référence à une sorte de légende bouddhiste prônant les âmes liées à travers la réincarnation mais n’a pour autant rien de surnaturel, de spirituel ou de métaphysique. Ce qui est impressionnant, c'est que cette histoire nous fait rêver, mais justement parce qu'il n’y a pas plus terre à terre. C’est juste l’hypothèse invoquée par les personnages, comme une sorte d’espoir ou la promesse de se retrouver dans une autre vie qui suffit à faire décoller le récit, à sublimer la relation inaboutie.
Song déjoue tous les clichés propres aux films sentimentaux en choisissant le réalisme et la justesse de ton et de point de vue. C’est doux comme une caresse, tendre comme une étreinte et souvent beau à se damner. Elle parvient même à rendre les échanges virtuels de la seconde partie intéressants et cinégéniques. Le trio de de comédiens qui incarne ce film sublime est dans la même harmonie. Sans leur précision de jeu, le long-métrage n’aurait pas le même impact...
Mais au-delà de la puissance des sentiments qu’elle convoque, à travers de simples discussions et la dissection d’un amour qui ne dit pas son nom et ne se réalisera pas, Song nous met une claque de mise en scène encore plus impressionnante puisqu’il s’agit d’un coup d’essai. Sans jamais être prétentieuse ou ostentatoire, sa réalisation est dans la même lignée que le fond de son film : belle, pudique, sobre tout en étant parfois majestueuse.
Un plan sur une flaque de pluie à la magie éthérée, un autre d’une pureté aseptisée où on voit le personnage principal assoupi tandis qu’en second plan flouté arrive un homme qui deviendra son mari ou encore celui qui voit deux enfants prendre deux ruelles différentes, symbole d’une séparation qui les marquera à vie. Même sa façon de filmer New York est pleine de goût.
La séquence initiale est aussi fûtée et originale que le film est bon. On y voit nos trois personnages principaux dans un bar tandis que la discussion de deux personnes qu’on ne verra pas tente de savoir quelles sont leurs liens, ce qui amorce un petit suspense en plus bien vu en plus d’être une idée judicieuse.
Et, enfin, cette fin déchirante de simplicité, bouleversante de tristesse et flirtant avec la nostalgie et la mélancolie des plus grands films romantiques achève de nous convaincre. «
NOTE 16/20 - Past lives, nos vies d’avant est un grand film d’amour du même niveau que N’oublie jamais ou In the Mood for love. Un moment privilégié, où quelque chose de fort et de profondément sensible parvient à se dire et à se faire entendre en chacun de nous.
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bordeldelivres · 1 year ago
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♡ Générosité ♡
✏️ Mon avis :
○ Basé sur la légende coréenne « Shim Cheong, la fille dévouée », Axie Oh s’approprie ce conte avec de grandes libertés, certes, mais qui en garde les bases. Je ne suis pas, à tort, une adepte de la littérature asiatique ou de ses mythes par manque de référence, pourtant ce n’est pas l’envie qui me manque pour la découvrir.
○ J’ai complétement craqué pour la couverture et ne parlons pas du titre. Il m’en faut peu pour succomber, j’avoue. Il me faudra quelques chapitres pour tomber sous le charme de la plume d’Axie Oh pour ne plus lâcher le roman. On retrouve les codes de la littérature féerique avec le sacrifice d’une jeune femme, l’amour, la passion, la dévotion, l’empathie. Mais l’autrice ajoute cette part de mystère avec une intrigue magnifiquement ficelée. Les mots créent rapidement un décor dont il est facile de s’imaginer et de s’approprier. Toute histoire n’en serait pas une s’il ne fallait pas déjouer les plans démoniaques d’une méchante déesse en manque d’amour et de reconnaissance. Les rebondissements s’enchainent pour une folle course contre la montre. Un texte à la forte symbolique où finalement l’empathie de l’héroïne est le moteur du récit sans oublier la petite touche de romance qui sera finalement la clef de l’intrigue. Je ne suis pas le genre à chercher une touche de moralité sous-jacente, je me suis simplement laissé porter par une histoire fougueuse et passionnante.
○ Une réécriture totalement réussie et portée par des personnages charismatiques et touchants. Intentionnellement, je ne vous parlerai pas davantage de l’intrigue et des personnages. Sachez que ce roman vaut le détour. L’univers est subjuguant et rempli de couleur au diapason avec les émotions qui s’en dégage.
➡️ Est ce que cette lecture pourrait te plaire ?
399 pages
💥 Genre : fantasy
📍Ma note : 4,75/5
🔎légende coréenne/aventure/amour/vengeance/dieux/déesses
#axieoh @lumeneditions #lumeneditions #lafianceedudieudelamer
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raphraconte · 1 year ago
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2023年08月19日 Mon Premier Blog !
Décidément, on n'arrête pas le progrès...
Depuis que je me suis lancé dans l'art et en particulier la conception de jeu vidéo, j'ai croisé le chemin de nombreuses personnes qui n'y connaissent pas grand chose en la matière. C'est bien normal, le jeu vidéo est relativement récent comparé à d'autres arts et aujourd'hui l'argent généré par son industrie est bien plus mis en avant que sa conception et son histoire.
Cependant, même au-delà de ça je m'étale sur plein d'autres formes de création et certains membres de ma famille ne sont pas au courant de grand chose... Un paradoxe, car j'adore partager ce que je fais quand j'en ai l'occasion !
C'est pourquoi je crée ce blog pour donner des nouvelles et partager des choses diverses et variées... de préférence passionnantes !
J'ai déjà écrit ici et là par le passé pour des pièces de théâtre, de la bande dessinée ou encore du jeu vidéo, mais je pense que ce blog constitue un nouvel exercice d'écriture qui me permettra aussi de garder une trace de mes pensées à un moment donné.
Comme la date à laquelle je publie un post ne semble pas indiquée clairement sur le post lui-même, je vais l'intégrer en japonais dans le titre. C'est plus joli qu'une date écrite en français vous ne trouvez pas ?
Autant vous apprendre comment lire une date en japonais dans ce premier post ! Si nous prenons la date dans le titre, ce post date du 19 août 2023. Vous pouvez ainsi deviner quel kanji correspond à quoi ! Je vais quand même le préciser ici :
年 = L'année 月 = Le mois 日 = Le jour
En japonais, les kanjis symbolisent des idées. Cela signifie que l'on peut grosso modo écrire un mot en un seul caractère. C'est le cas ici avec par exemple 年 qui représente l'idée de l'année. C'est une distinction à faire entre idée et mot mais je reviendrai peut-être dessus une autre fois.
Pour l'anecdote, le kanji du mois 月 représente également la Lune, tandis que le kanji du jour 日 représente le Soleil. Pourquoi sont-ils alors utilisés pour écrire la date ? C'est tout simplement parce qu'un mois est défini par la rotation de la Lune autour de la Terre, qui prend environ 27 jours pour faire le tour de celle-ci. Quant au Soleil, le cycle jour-nuit avec le lever et le coucher représente une journée. Malin !
En tout cas, j'espère que vous aimerez lire ces lignes autant que j'aime les écrire. À la prochaine !
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carolemm · 2 years ago
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Suite à un burn out, Solène 40 ans et avocate, décide de répondre à une petite annonce d’écrivain public au Palais de la Femme.
Pareillement à cette histoire, on suit celle de Blanche Peyron qui va créer cet établissement sous l’égide de l’armée du salut.
Un très beau livre sur la sororité, la résilience et la générosité.
Je ne connaissais pas cet établissement essentiel, inauguré en 1926 et réhabilité en 2011 (lien en commentaires).
« Pour être aimée, elle est devenue ce que l'on attendait qu'elle fût. Elle s'est conformée aux désirs des autres en reniant les siens. En chemin, elle s'est perdue. »
« Blanche le voit déjà, son Palais de la Femme: un refuge pour toutes celles que la vie a malmenées, que la société a mises de côté. Une citadelle, où chacune aura son logis bien à elle, une chambre chauffée, aérée, confortablement meublée. Une chartreuse de paix.Un Palais pour panser ses blessures et se relever. »
« Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent; ce sont Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.Ceux qui d'un haut destin gravissent l’âpre cime.Ceux qui marchent pensifs épris d'un but sublime. » Victor Hugo
« Ce qui l'a tuée, c'est l'amour qu'elle n'a jamais reçu. C'est ce vide de l'enfance, ce manque en elle, jamais comblé. Ce gouffre que rien ni personne n'a pu colmater, pas même l'amour d'un fils, ni la plus dure des substances. »
« Je te garde aussi sûrement que tu m'emportes. »
« Avoir une clé, ce n'est pas rien. C'est avoir une vie. »
« Le temps est venu de m'en aller, En silence, sur la pointe des pieds.
Je n'emporte rien avec moi.
Je n'ai rien créé ici-bas,
Rien construit, rien produit,
Je n'ai rien enfanté.
Ma vie n'a été qu'une étincelle éphémère
Anonyme, comme tant d'autres, oubliées de l'Histoire.
Une petite flamme, infime et dérisoire.
Qu'importe. Je suis là, tout entière, Dans le souffle de ma prière.
Vous qui me survivrez, Continuez à vous battre, Continuez à danser, Et n'oubliez pas de donner.
Donnez de votre temps, donnez de votre argent, Donnez ce que vous possédez, Donnez ce que vous n'avez pas.
Quand votre heure aura sonné,
Vous vous envolerez vers des cieux inconnus, Et vous vous sentirez plus légers.
Car je le dis, en vérité:
Tout ce qui n'est pas donné est perdu. »
Sœur anonyme,
Couvent des Filles de la Croix,
XIX° siècle
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lysakarell · 2 years ago
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Outlander, L'Écosse, contrée lointaine de l’amour a la guerre
Diana Gabaldon détrône les plus grandes histoires d'amour en créant Sassenach et son Highlander avec Le chardon et le tartan!
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Fascinant, une promesse de palpitations intemporelles! Un récit qui donne l'envie d'aimer pour le meilleur et pour le pire!
Et si, avec des si beaucoup de choses seraient différentes. Mais osons-le…
Si le temps ne fonctionnait pas comme on le perçois d’après nos horloges.
Si le passé serait notre futur et que le futur pourrait être notre passé.
Peut-être que la perception de la réalité que nous créons dans le confort de notre foyer saurait être très différente.
Si fuir et se battre était devenue ma réalité pour sauver ma vie ?
Si à cause de mes connaissances je serais accusée de sorcellerie ?
Si j’aurais vécu les guerres qui ont forgé nos nations ?
Si celui qui m’est destiné m’attendait 200 ans plus tôt ?
Serais-je encore celle que je suis à notre époque ?
Certainement que vous vous poseriez ses questions, si tout comme Claire Randall (née Beauchamp) vous auriez traversé les pierres de Craigh Na Dun. Vous savez, ces étranges regroupements rocheux érigés et dressés que l’on retrouve aux quatre coins de la planète, ceux que l’on surnomme des ménhirs. De somptueux monuments mégalithiques qui selon d'anciennes légendes Écossaises; serait en fait un passage, qui pour certaines personnes, les ferait voyager vers d’autres siècles. En quelque sorte vers leur destin...
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C'est à travers la spectaculaire rudesse de la splendeur des Highlands que Diana Gabaldon brode ce premier tome de la série de romans Outlander. Une justesse qui crève le coeur se ressent comme si nous, le lecteur ne devenions qu'un avec le personnage principal. Claire, la Sassenach (qui signifie étrangère ou Anglais en gaélique) est une infirmière de la Seconde Guerre mondiale, féministe avant l'heure, elle voyage en Écosse pour sa deuxième lune de miel avec son époux Frank Randall, un historien passionné par la généalogie. Suite à une visite solitaire à Craig Na Dun elle se voit propulsée à travers le temps en 1743 ... À cette époque, elle y rencontre Jamie Fraser, ce Highlander à la chevelure de feu.
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Les conditions de vie sur les terres Écossaises durant le soulèvement des rébellions jacobites étaient une lutte intolérable entre les Écossais et les Anglais.
L'auteure calque intelligemment certains faits historiques à une profonde romance qui relie l'aventure et le fantastique.
Une concoction qui croise les univers les plus improbables en une épique saga à en devenir. Évidemment qu'il ne serait pas possible de se contenter que d'un roman pour vivre à souhait la passionnante et oh trop brulante liaison entre l'étrangère et le guerrier. Ce livre se lit à une vitesse incroyable, de la page 11 à la page 530 le temps file dans l'espace-temps, ne reste plus que l'envoutement, ensuite le désir de lire le suivant, parce que jamais cette intensité ne devrait s'arrêter. Bien heureuse que selon les rumeurs l'écrivaine serait présentement à l'écriture du tome 10 !
Avec toute l'admiration que j'ai pour l'écriture de ce trésor des régions sauvages, je ne le conseille en aucun cas à un lecteur sensible ou de moins de 18 ans. Le language utilisé est parfois grossier quant à certaines situations osées et d'autres extrêmement choquant. Il est important de se rappeler que ceci est une fiction espérant démontrer, les temps de guerre, les sévices, les convictions, les meurs, les espoirs et les coutumes d'antan, certaines ne sont en aucun cas excusable et demeure intolérable.
Nous avons ici un portait d'autrefois le plus difficile fut-il à vivre pour nos ancêtres, ceux qui ont fondé nos pays et nos héritages en donnant leurs vies, leurs sangs, leurs âmes.
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La série Outlander dédie une saison par roman, il est extrêmement rare d'être emportée par une émission autant que le livre original. Quoi qu'il en soit Ronald D. Moore assure adéquatement une fidélité à la hauteur des attentes en développant des personnages autant réels à l'écran, donnant ainsi vie à notre héroïne Claire personifiée par l'étonnante Caitríona Balfe donnant admirablement la réplique à Sam Heughan son Jamie enfin en chair et en os.
Un aller simple vers le désir de défendre ce qui nous appartient et de préserver ce que l'on aime, à n'importe quel prix!
Texte : Lysa Karell
Pour les chroniques littéraires : De Shakespeare à Senécal
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gedjub · 2 years ago
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281222 Je comprends pourquoi j'aime être malade la nuit. D'abord parce que je sais que je vais guérir. Il y a aussi la fierté de prendre soin de moi-même sans prendre de remèdes autres que du repos, du mouvement, de l'eau chaude et de bonnes choses dedans. Ensuite et surtout, c'est parce que mon corps est le laboratoire, je peux tout observer dehors et ressentir dedans, j'ai tout le temps et mon sujet sous la main et sous les yeux. Les nuits, comme cette nuit dans laquelle je suis encore, sont passionnantes, tout développement de la situation m'intéresse, la nuit il n'y a pas de différence entre gravir la montagne et la descendre. La nuit dernière je me suis retrouvé dans cette situation horrible où j'avais peur de bouger, sentant un endroit de mon cou bloquer tout mon corps, douleur de la tête aux épaules, et je dois dire que j'ai eu peur. Mais j'ai réagi et par la suite j'ai aimé respirer et me faire vibrer de sons graves, et voir le résultat, je savais où ça bloquait (cou-épaule côté droit, le classique pour moi), j'avais libéré mes bras les jambes et mon tronc du domaine de la peur et j'ai constaté que je pouvais dormir sur mon côté gauche, je l'ai fait et me suis finalement bien reposé.
Cette nuit-ci, réticentes à me placer dans le lit comme je le voulais, testé avec soin, sur le dos, sur les côtés, un coussin là entre les jambes, ma main fourré dans le drap, telle ou telle hauteur d'oreiller sous la tête, quand j'avais trouvé, je savourais grandement la position. Comme je savoure les sensations de mes rêves, que j'allonge, que je fais tourner en tête, que je lèche presque. Le temps est long, ou n'est presque pas, tout est attrapable. Les nuits sont savoureuses.
+ Le dernier rêve de cette nuit avait une esthétique remarquable: dehors il faisait sûrement tout blanc, mais ça se passait dedans, une histoire de relation se finissant, de cachets pour faire mourir ou mourir, dans un immeuble complexe, obscurité bleu, quelques éléments blancs comme du papier à découper au sol et un sofa marron. Une ambiance de stores mi-fermés, inquiétante mais connue, foule en intérieur des années '80, costumes stricts et larges. Ascenseur qui tombe en roulant, vécu de l'intérieur. Spectacle dans un coin de bureau, héroïnes en retard, on apporte une chaise. Nuit bleue intérieure, rehauts de lumières blanches.
291222 en marchant la tête en haut on perd dans une grande mesure le pouvoir d'apprécier la profondeur des ombres.
301222 Cette nuit, mon corps en rêve singeait les différentes positions de mon corps en lit, en changeait en même temps que lui mais prenait le style, les attributs du rêve courant. Ce n'est pas la première fois que j'observe ça.
31122 egocentric muses
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mes-envies-de-culture · 20 days ago
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Welcome to Happy Land
Welcome to Happy Land - Le paradis de la vérité... et où seule une famille en ressortira vivante !!!
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Happy Land est un manga en 2 tomes de Shingo Honda sorti en 2002 chez Omaké Manga… Histoire qui aurait pu être choisi pour la thématique d’Halloween.
L'auteur Shingo Honda est un spécialiste de l'horreur avec son autre série en 11 tomes Hakaiju (Tonkam).
Der de couverture : La famille Komiya est une famille sans histoire : les deux parents s'aiment et sont aimants envers leurs deux enfants. Ces derniers sont de brillants élèves et en bonne santé. Bref, en apparence, une famille idéale qui avait tout pour être heureuse ! Jusqu’à ce qu’ils prennent la décision de se rendre à Happy Land, où leur bonheur va littéralement exploser…
C'est du moins ce qu'ils croyaient jusqu'à ce que le père décide d'emmener la petite tribu passer une journée au parc Happy Land. Tout du moins, c'était pas forcément la destination initialement prévu par le père.
La mission première du directeur du parc est d'offrir à ces hôtes un bonheur authentique et sans faux-semblant... et gratuitement. En échange, il demande à ce que chacun reparte le cœur et l'esprit libérés, mais pas forcément sur ses pieds
Une certitude, nous avons tous des choses à cacher et parfois le destin remet en doute nos propres croyances et ce qui fonde notre quotidien. En effet, tous les personnages ont des secrets inavouables qui vont remettre en cause l'équilibre familiale. Le parc d'attraction Happy Land met en exergue ce que chaque membre d'une famille cherche à dissimuler, et finalement, c'est la révélation et la fin des non-dits qui s'offre à nous.
Sanglant, âme sensible s'abstenir, en ce lieu, même vos secrets les plus sombres, seront révélés.
Amusez vous bien à travers cette histoire passionnante et n'oubliez pas que seule la vérité triomphera !
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Affiliation pour Mamans Entrepreneures : Comment Générer des Revenus Passifs
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Affiliation : la voie du succès pour les mamans
Si vous êtes maman et que vous cherchez un moyen efficace de générer un revenu tout en restant près de votre famille, alors l’affiliation pourrait être votre solution idéale. Ce concept accessible vous permet de découvrir une nouvelle activité tout en développant une source de revenu passif. Êtes-vous prête à plonger dans cet univers passionnant ?
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Pourquoi le marketing d'affiliation est idéal pour les mamans
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Critères de choix : sélectionnez les programmes gagnants
Le choix des programmes d'affiliation est une étape cruciale. Cherchez ceux qui s'alignent avec vos valeurs et votre niche. Voici quelques critères importants à prendre en compte :
Les éléments à scrutiniser
Réputation de l'entreprise : vérifiez si l'entreprise est fiable et bien vue par les consommateurs.
Niveau de commission : assurez-vous que le programme propose une commission satisfaisante pour vos efforts.
Matériel de marketing : examinez les outils et ressources fournis pour vous soutenir dans vos efforts de promotion.
Pour les mamans intéressées par la parentalité ou le bien-être, il existe des programmes spécialement conçus qui proposent des commissions attractives et des supports marketing efficaces.
Ton contenu : l’art de séduire et convaincre
Une fois que vous avez choisi vos programmes, la prochaine étape consiste à créer un contenu de qualité. Votre contenu doit être à la fois informatif et engageant, afin que vos lecteurs aient confiance en votre expertise.
Créez un contenu unique et captivant
Incorporez vos propres expériences personnelles pour élaborer des histoires captivantes. Vous pourriez écrire des articles de blog, réaliser des vidéos, ou partager des publications sur les réseaux sociaux. Pour être percutant, utilisez des techniques de storytelling qui touchent le cœur de votre audience.
Pour vous démarquer, assurez-vous aussi d’optimiser votre contenu pour le SEO. Par exemple, si vous écrivez un article sur les produits de bien-être pour les mamans, utilisez des mots-clés pertinents comme "produits de bien-être pour mamans" ou "astuces de parentalité".
Stratégies de promotion : faites entendre votre voix
Avec votre contenu prêt, il est temps de passer à la promotion. Utilisez les réseaux sociaux pour partager vos liens d'affiliation et atteindre votre public cible. Pensez aux plateformes où se trouve votre audience : Facebook, Instagram, ou même TikTok.
Maximisez votre visibilité
Pour accroître la visibilité de votre contenu sur les moteurs de recherche, intégrez des techniques de SEO. Des titres accrocheurs, des descriptions de produits attrayantes et des balises ALT pour vos images sont des éléments clés pour améliorer votre positionnement sur Google.
N'oubliez pas de diversifier vos canaux de promotion : envisagez d'utiliser des newsletters par e-mail, ou même d'échanger des articles invités avec d'autres blogs dans votre niche.
Mesure et optimisation : maximisez vos gains
Pour réussir dans l'affiliation, il est essentiel de suivre et d’analyser vos performances. Utilisez des outils comme Google Analytics pour comprendre d'où provient votre trafic et quelles sont vos meilleures sources de revenus.
Affinez votre approche
Cela vous permettra d'identifier les stratégies qui fonctionnent le mieux et celles à améliorer. Par exemple, si vous remarquez qu'un type de produit ne se vend pas bien, envisagez d'ajuster votre contenu ou de changer de programme.
Surveillez également les tendances actuelles dans votre niche. En 2023, les mamans influentes qui adaptent leurs recommandations aux tendances (comme les produits écologiques ou les services en ligne) ont vu une augmentation de 30% de leur rendement d'affiliation.
L'aventure de l'affiliation vous attend
Le marketing d'affiliation représente une opportunité fantastique pour les mamans entrepreneures souhaitant générer des revenus passifs. En adoptant les bonnes stratégies et en vous lançant avec passion dans cette activité, vous pouvez bâtir une entreprise lucrative tout en restant alignée sur vos passions.
Qu’attendez-vous pour voyager dans cette aventure enrichissante ? Avec de la détermination et une approche réfléchie, votre rêve de liberté financière pourrait devenir réalité. Prenez votre envol et commencez dès aujourd'hui à explorer le monde de l'affiliation. C'est le moment idéal pour bâtir votre nouvelle vie de maman entrepreneure !
Pour approfondir vos connaissances sur le sujet, je vous recommande de consulter le livre "Élever un entrepreneur" de Patricia T. qui contient des témoignages inspirants et des conseils pratiques. Rappelez-vous, votre potentiel est illimité !
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flaner-bouger · 3 months ago
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Water jousting in France: a fun and exciting tradition
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Les joutes nautiques sont un sport unique en France, en Allemagne et en Suisse. Il s'agit de deux concurrents debout sur des bateaux propulsés par des rameurs. Le but est simple : faire tomber son adversaire à l'eau à l'aide d'une lance et d'un bouclier.
En France, les joutes nautiques sont particulièrement célèbres, et différentes régions y apportent leur propre touche personnelle. Voici quelques-unes des joutes nautiques les plus populaires en France :
La joute du Languedoc
Dans cette version, deux grands bateaux, un rouge et un bleu, sont ramés par huit à dix personnes et guidés par des skippers. Les jouteurs se tiennent sur une plate-forme appelée « tintaine », qui se trouve à environ trois mètres au-dessus de l'eau. Lorsque les bateaux se croisent, les jouteurs tentent de faire tomber leur adversaire à l'eau. Le dernier debout gagne ! Le plus grand événement de ce style est le Grand Prix de la Saint-Louis, organisé chaque année à Sète depuis 1743.
La joute provençale
Ici, le jouteur tient également un bâton dans la main gauche, qu'il ne peut lâcher pendant le match. Il est donc encore plus difficile de garder l'équilibre en essayant de frapper l'adversaire.
La joute lyonnaise
Cette version utilise la lance la plus longue et la plus lourde, ce qui en fait l'une des versions les plus difficiles de la joute nautique.
La joute givordine
Semblable à la joute lyonnaise, mais avec une différence : les bateaux se croisent à droite au lieu de gauche.
La joute alsacienne
Dans cette version, les jouteurs ne portent pas de protection et s'affrontent pieds nus, ce qui fait de l'équilibre et des réflexes rapides une question d'équilibre.
La joute parisienne
Cette version moderne utilise des bateaux à moteur au lieu de barques, ce qui rend les matchs plus rapides et plus intenses.
10 événements de joutes nautiques à voir en France
Si vous souhaitez voir des joutes nautiques en action, voici dix événements à ne pas manquer :
Joustes nautiques
Tournoi de joutes
Trophée de joutes Didier Jimenez
Joustes nautiques
Tournoi de joutes
Trophées de joutes Louis Molle
Tournoi de joutes
Tournoi de joutes nautiques
Fêtes du Rhône Joutes nautiques
Fête maritime de Courgain
Pour plus de détails, notamment les dates, les lieux et des informations supplémentaires, visitez notre site Web : https://www.flanerbouger.fr et trouvez toutes les informations.
Les joutes nautiques sont une tradition amusante et passionnante qui allie sport et histoire. Que vous soyez fan ou simplement curieux, ces événements sont un excellent moyen de découvrir ce sport fascinant de première main !
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mmepastel · 2 years ago
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Emballée par L’ami, j’ai lu le dernier roman de Sigrid Nunez.
C’est un superbe livre, qui m’a captivée. La narration, comme dans L’ami, est totalement libre et originale. Une narratrice (dans les deux cas écrivaine) raconte ce qui lui arrive ; en fait les deux narratrices de ces deux livres se ressemblent énormément, un peu comme si le dernier roman était écrit par la même personne, avec la même voix. Cela m’a donné l’impression que c’était du coup autobiographique, comme si l’autrice avait vécu ces histoires d’amitié et de deuil. Mais j’ai écouté un bout d’une interview, et pas du tout. Sigrid Nunez n’a pas vécu ces histoires là. Elle les invente. Mais ça semble terriblement vécu ; sans doute en partie grâce au procédé qui est le sien : raconter au fur et à mesure, de manière linéaire, une histoire. Dans l’interview, elle explique qu’elle ne sait jamais où elle veut aller avec ses livres. Elle commence et fonctionne avec l’esprit d’escalier, une pensée en amène une autre, sans parler des multiples digressions. On a un peu l’impression d’un flux de conscience, en même temps qu’une forte tendance à s’échapper par le biais de l’essai. La narratrice digresse comme on le fait dans la vie. Les heures sont sans cesse interrompues par des pensées, des rapprochements, des rêveries, des questions, des flashs, des peurs, des choses triviales et d’autres philosophiques. Elle semble ne pas faire le tri (alors qu’elle doit le faire, évidemment, c’est une romancière habile), délibérément, avancer par blocs, et on la suit sans peine.
Le résultat est qu’on se sent très proche de la narratrice si généreuse, qui s’efface pour accompagner au mieux son amie, atteinte d’un cancer, au stade qu’elle appelle fatal.
Le titre est emprunté à Simone Veil pour qui la vraie question qui montre un réel intérêt pour autrui est celle-ci : « quel est donc ton tourment ? », ce qui m’a aussi fait penser à la chanson de Biolay « comment est ta peine ? ». Chanson qui a emporté les cœurs en 2020, parce que cette peine (sûrement amoureuse si on écoute le reste des paroles) était commune à tous, la peine nouvelle du covid, mais même plus largement, la peine qu’on se traîne tous, pour nos raisons à la fois si variées et si communes, c’est le talent des grandes chansons que de toucher par des mots simples à l’universel. Même, et surtout, des chansons de variété.
Ici encore, on touche à l’universel avec cette obligation de se coltiner la mort, en face, droit dans les yeux. Alors, comme c’est intenable, on fait des détours, on s’appuie sur des livres, des œuvres, pour chercher des aides, des réponses, on divague, on piétine, mais avec Sigrid Nunez, on reste sur le fil de la justesse, de l’honnêteté. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, c’est un livre très agréable à lire car il est lumineux, intelligent, il ne nous mène toujours où on ne s’attend pas, et il ne met pas la poussière sous le tapis. La parole vraie est toujours bénéfique, bienfaisante, quand bien même ce qu’elle dit est dur.
Les pages sur le vieillissement des femmes m’ont beaucoup marquée. C’est rare de lire de telles choses. Cette disparition qui guette les femmes qui vieillissent, ça me parle beaucoup, et ça fait du bien.
Un livre sur la mort, le vieillissement, les femmes, l’intranquillité, l’art, l’écriture, mais aussi, sur l’amitié et la vérité. Un livre qu’on lit comme une conversation entre l’autrice et sa narratrice, passionnante et bouleversante.
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deslivresetmoi · 4 months ago
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La serpe de Philippe Jaenada, 2017 (France)
L'auteur raconte son enquête personnelle d'un terrible fait divers de 1941.
Un matin, On retrouve les cadavres atrocement mutilés de 3 personnes : le père, la tante et la servante de Henri Girard plus connu sous son pseudonyme d'écrivain Georges Arnaud.
Alors que tout semble l'accuser, il est finalement innocenté par la justice.
Pourtant, le doute n'a cessé de subsister. En consultant les archives nouvellement mises à disposition, Jaenada va élaborer une possible version des faits.
Très documenté, l'auteur raconte à la fois les évènements autour du crime ainsi que sa propre histoire de recherche. Il ne prétend pas avoir la réponse à l'énigme. Toutefois, l'enquête est passionnante et angoissante.
Le salaire de la peur de Georges Arnaud, 1949 (France)
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plumitude · 5 months ago
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Nouvelle #1 - Passions
Il écrit, sans cesse, son clavier sonnant si fort qu’un son rauque envahit l’open space. 
L’inspiration le prend, le script tant attendu parvient sur son Java, enfin ! 
Il a fini son travail… Pour l’heure. Mais d’autres défis l’attendent. Chaque minute, chaque jour il a des deadlines à respecter. Est-ce que ça lui arrive de ne pas être occupé ? Non. Il reste toujours un script à faire, un Powerpoint à remplir. Il aime ça, être busy, ne jamais s’ennuyer, peu importe l’utilité de ses tâches. Tout est mieux que l’ennui. 
Parfois Téo se demande à quoi servent les vacances. On risque de s'ennuyer, dites donc ! Une semaine par an lui suffirait amplement. 
Heureusement qu’à chaque heure il fait une pause de 15 minutes, sinon il ne soufflerait pas ! Le mouvement c’est la vie. Et le goûter. Et les frites à la cantine. 
Bref Téo est un homme…occupé. Il ne se passe pas une journée, une seconde, sans que son esprit soit pris par une tâche, et dehors les pensées parasites, allez houste ! Du balais. 
Il ne parle que de cyber sécurité car c’est sa passion. Que serait la vie sans cyber ? L’informatique, les macs, les serveurs, … Même sur Youtube, il ne suit que des informaticiens. 
Et quand il ne fait pas d’informatique ? Il boursicote. Et quand il ne boursicote pas ? Il court. Des kilomètres et des kilomètres, il en avale. Un jour il a même voulu faire construire un abribus, donc il a ramené son mètre à la pause. Mais ça, c’est une autre histoire. 
Sa vie personnelle étant presque inexistante, il ne dit pas non aux astreintes. C’est un bon moyen de rencontrer des gens, et de parler de cyber sécurité. Ou de bourse. 
Et d’où lui vient cette passion de la course à pied ? Eh bien, depuis le COVID, il a eu une impulsion. Étant confiné à l’époque, il s’est pris d’un amour sportif pour sa cage d’escaliers, qu’il montait et redescendait sans cesse. Pendant des heures ! 
Et le sport lui a sécrété tant d’adrénaline, qu’il est devenu accro. Pas un jour sans sa course ! Même si ces genoux lui crient d’arrêter. En rentrant du travail, il court parfois avec son ordinateur dans sa sacoche. Pas le temps de réfléchir ! Il embarque son PC et court en chemise. Il arrive que des voitures s’arrêtent et lui demandent s’il court après un bus. Quel désespoir pour Téo, qui souhaite juste qu’on le laisse courir tranquille. Ce n’est pas sa faute si les Français ne sont pas sportifs. 
Téo est comme qui dirait…un passionné. Il aime la vie, il danse la vie. Il achète des actions nuit et jour, revend une poignée d’or… Sa vie est si passionnante ! Il a 45 ans, un esprit d’enfant dans un corps âgé. Au travail, pour parler de bourse et faire le conseiller bancaire pour ses amis, il lui faut du temps. Et pour en avoir, quoi de mieux que de déléguer tout son travail à ses collègues. Et de se plaindre sans arrêt qu’il en a trop ! Que celui qui ne l’a jamais fait lui jette la première pierre. 
Un matin, il court vers le travail comme d’habitude, et apprend que Sarah démissionne. Apparemment, elle a conseillé son nom en tant que nouveau RSSI. Pourquoi ne pas accepter ? Certes il parlera moins de bourse, mais la cyber le passionne autant, et le salaire… Il sourit en s’imaginant donner des ordres aux autres équipes. Et déléguer, il sait déjà le faire, non ? 
Il s’imagine revendant encore plus d’actions et d’or, quel délice ! 
A lui la belle vie…
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havaforever · 6 months ago
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FRERES - L’histoire vraie de deux petits garçons de 5 et 7 ans qui, abandonnés par leur mère en 1948, s'enfuient dans la forêt. Ils vont y survivre pendant sept années et tisser un lien qui les unira à jamais. Des décennies plus tard, les deux frères quittent tout pour se retrouver. Mais le passé et les secrets les rattrapent, même à l'autre bout du monde.
Cette histoire passionnante, est incarnée avec une émouvante sobriété par Yvan Attal et Mathieu Kassovitz, les deux frères qui se retrouvent, après tant d’années, dans une forêt canadienne habitée par leurs propres fantômes, comme pour solder quelque chose d’inachevé. De nombreux flash-back nous dévoilent la vie quotidienne des jeunes ermites, au gré d’un montage parallèle parfois maladroit.
C'est d'ailleurs avec cette dimension de l'histoire, dans laquelle les deux frères tentent de rejouer une dernière fois la partition d'une vie à deux dans une nature sauvage, que le réalisateur, trouve une vraie justesse, une vraie émotion, tandis qu'ailleurs, il se perd souvent dans les redites et le pathos.
NOTE : 12/20 - Malgré les incohérences, la multitude de répétions, et le mauvais rythme du scénario, on ne sort pas indemnes de ce film. La réussite de ce qui ressemblerait plus à une fable qu'à une histoire vraie, tient au fait qu'à travers un récit extrême et spécifique, cet exode terrifiant, raconte parfaitement des origines de la pathologie fusion/rejet dans toute fratrie.
L'abandon, la dépendance, la façon de se constituer en société exclusive face à l'adversité d'un monde qui est vu comme traitre, nous rappellent que la structure relationnelle d'un individu ne dépend pas que de celle qu'il a eue avec ses parents, mais beaucoup de ce qui en a découlé ensuite entre frères et sœurs.
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