#un moment d'égarement
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Un moment d'égarement
Una semana en Córcega
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Je t'aime
Pas la même naissance.
Pas le même caractère.
Pas les mêmes besoins.
L'humanité est vaste et variés ce qui la rend complète et belle.
Pas le même vécu.
Pas les mêmes attentes.
Pas les mêmes souvenirs.
Pourtant nous sommes tous liées et devons avancer ensemble à la fois afin de progresser dans notre existence charnelle mais également psychique et spirituelle afin de nous élever.
Pas les mêmes forces.
Pas les mêmes faiblesses.
Pas les mêmes tords.
Mais cela n'empêche pas les Êtres de s'aimer et de désirer construire à deux.
1- tes colères
Danse du tonerre dans ton esprit,
Décharge électrique qui induit forcément de faire conduire le courant,
Mais je suis épris,
Je me branche et prend l'épanchement.
Comment reflèter ces émotions qui te submerges ?
Créer mentalement des berges,
Te dire que l'avenir n'est pas très éloigné de tes doux rêves...
Si je devrais donner une méthode je dirais qu'il faut tout d'abord que tu te résonne dans le fait que tu es accomplie ==> tes enfants, ta famille, tes amis, ta maison, ta Vie.
2- les pots cassés
Je paie et accepte de recevoir les coups qui ne sont pas portés à ceux qui les ont provoqués,
Comme-ci une averse pouvait arrosé un désert mais faire pousser une fleur à l'autre bout du continent. Et l'inverse.
Mon conseil est de compartimenté chaque seconde,
Exercice mentale de se dire que l'on est qu'une pétale qui se fane mais qu'avant cela croie dans l'évolution,
Sans poison délégué apposé à ceux qui ne l'ont pas mérité.
3- Le deux poids, deux mesures
Banale et non voulu d'imposer à autrui ce que l'on souhaite.
Repprocher ce que l'on se repproche à soi-même tel un miroir sans teint en plein interrogatoire interne où l'inspecteur serait son subconscient.
Relativiser, ce dire que la vie est faite pour se tromper et des moments d'égarement,
Que ton conjoint n'a que dans une journée 24h de temps et essai de l'organiser en apaisant,
Souvent maladroitement,
T'es tiraillement,
Te donner le sentiment que lorsque tu fis d'être c'est que je suis,
Ce dire que le produit est finit lorsque la fin est un renouveau se dire qu'il est beau.
Pas la même douleurs.
Pas les mêmes remors.
Pas les mêmes blessures.
Interlude
Dessiner dans tes cheveux de jolies runes qui vont devenir poèmes, des rêves espiègles lorsque tu t'endors et que je veille à garder tes yeux fermés, te dire en te susurrent à l'oreille que tu es étincelle dans le dortoirs de Lucifer le porteur de lumière.
Et pour finaliter simplement dire que parfois écrire les maux, et les mots endormis dans le temps, et les temps s'échange de lendemains en lendemains,
4- Et je te dirais
Que j'appartiens à ceux qui favorise la cicatrisation de l'âme,
Ceux qui balayes,
Ce qu'il y a de plus noirâtre.
Je suis de ceux qui te soulèverons, et t'apaiserons,
Qui te donnera le droit d'être Toi et pas une autre.
D'être épanouie et sans frisson, de revêtir le blouson de la silhouette qui t'habite depuis tout ce temps,
Et un jour,
Si toc le néant,
Je ressortirait du tiroir du diable d'où mes chaînes m'entraves afin de te ramener obligatoirement vers le bonheur escompté.
Je suis damné,
Et je suis perdu,
Mais dans ta non vertue j'ai vu une âme qui abîme ceux qui s'enivrent,
Et j'écrirais toujours sur le sujet de l'avenir,
Et le pire,
C'est que :
Je te Loupic <3
P.amis
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𝐓𝐔 𝐀𝐒 𝐁𝐄𝐒𝐎𝐈𝐍 𝐃𝐄 𝐏𝐄𝐑𝐒𝐄́𝐕𝐄́𝐑𝐄𝐑 𝐃𝐀𝐍𝐒 𝐋𝐀 𝐏𝐑𝐈𝐄̀𝐑𝐄. 𝐋𝐀 𝐅𝐈𝐍 𝐃𝐄 𝐓𝐎𝐍 𝐄́𝐏𝐑𝐄𝐔𝐕𝐄 𝐄𝐒𝐓 𝐏𝐑𝐎𝐆𝐑𝐀𝐌𝐌𝐄́𝐄 !
LORSQUE LE SEIGNEUR JESUS CHRIST FAIT DES PROMESSES, IL les accomplit toujours en Son Temps. Les bénédictions ainsi acquises sont parfaites et ne sont suivies d'aucun chagrin.
Mais souvent entre le moment de la formulation de la prière, et celui de la manifestation pratique de l'exaucement, un certain temps peut s'écouler. Un certain temps qui va alors exiger de la persévérance et de la patience, qui sont deux vertus qui accompagnent toujours la véritable foi.
Malheureusement dans ce siècle de la vitesse, de la rapidité et de l'Internet, la persévérance et la patience font cruellement défaut, même où plutôt, surtout au sein des enfants de DIEU. Et pourtant sans ces vertus, il est impossible de vivre victorieusement par la foi.
𝐇𝐞́𝐛𝐫𝐞𝐮𝐱 𝟏𝟎 : 𝟑𝟔 "𝐂𝐚𝐫 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐳 𝐛𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐞́𝐯𝐞́𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞, 𝐚𝐟𝐢𝐧 𝐪𝐮'𝐚𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐢 𝐥𝐚 𝐯𝐨𝐥𝐨𝐧𝐭𝐞́ 𝐝𝐞 𝐃𝐈𝐄𝐔, 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐨𝐛𝐭𝐞𝐧𝐢𝐞𝐳 𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐫𝐨𝐦𝐢𝐬 ".
Il ne suffit donc pas de prier selon la Volonté de DIEU, mais il faut également attendre l'exaucement, selon le Temps de DIEU. Cette compréhension est importante, car pour l'avoir négligé, beaucoup de chrétiens sont tombés dans les pièges du diable, passant ainsi à côté de la parfaite bénédiction.
L'impatience et la précipitation sont sources d'égarement, de confusion, de déception et d'échec qui sont de la responsabilité du chrétien, le diable ne faisant qu'en profiter, en accentuant les failles dans la foi qu'il aura au préalable constatée.
𝐍𝐎𝐔𝐒 𝐀𝐕��𝐍𝐒 𝐁𝐄𝐒𝐎𝐈𝐍 𝐃𝐄 𝐏𝐄𝐑𝐒𝐄́𝐕𝐄́𝐑𝐄𝐑 𝐌𝐎𝐍 𝐅𝐑𝐄𝐑𝐄, 𝐌𝐀 𝐒Œ𝐔𝐑 !"
Bonne journée
Guy Rémi PAMBOU
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Image
Dans le creux des heures, s'épanche l'aveu, image évanescente d'un hier étreint par le voile du temps. Une réminiscence s'invite, tremblante, sur la toile de mon présent. L'antique amour, artiste des jours passés, me peignait en chef-d'œuvre dans le regard d'un autre, reflet d'une beauté que je ne voyais pas. Ses murmures, "t'es belle, mon amour", volaient en éclats de rire, visions fugaces d'une réalité que je n'osais saisir. Étaient-elles mirages, ces douces flatteries, ou l'écho sincère d'une passion ardente? "La plus belle", proclamait-il, et je riais, portrait d'une comédie céleste, jamais la plus éclatante des étoiles, mais dans son univers, sans pareille. Même Scarlett Johansson, icône lointaine, ne pouvait estomper l'illustration d'amour qu'il esquissait de moi. Ce n'était point l'éclat universel qui importait, mais l'ombre et la lumière qu'il projetait sur moi, faisant fi des reflets incertains pour tisser une vision de vérité. L'amour, en ses croquis aveugles, transformait mes failles en tableaux d'étoiles.
Ces minutes que nous savourions, éclipses du quotidien, s'entrelaçaient sans compter les heures, sans peser les silhouettes des jours. Et les soucis, tels des fantômes, s'effaçaient sous le pacte de nos peaux unies. Dans cet amour, sculpture immuable, je puisais la force d'habiter mon espace, d'ouvrir les fenêtres de mon âme, de porter le projet vers les cimes. Il traçait mon chemin, non sans peindre mes défauts, toujours avec une douceur qui brossait ma volonté. La relation, ce pilier, plus qu'un simple socle, plus qu'une fresque de la vie quotidienne, équilibre précaire qui, s'il s'érode, laisse le tableau se fissurer. Mais nous, dans notre cocon, nous étions le tout, et ce tout était sans faute. Je ne t'implore pas de devenir ombre d'un passé, ni même de chasser les spectres qui hantent mes nuits. Seulement, tu as perçu juste, dans mes regards qui parfois dérobent les scènes d'antan, dans mon deuil qui se peint en luttes, dans le combat incessant de chaque instant.
Un moment d'égarement, et la tragédie ressuscite, vive, impitoyable. Les pensées s'échappent, et son visage, à lui, s'affiche, figé dans l'abîme. Voilà ma lassitude, voilà ma peur. Et lorsque nos échos se percutent, lorsque notre diptyque semble chanceler, la vision de mon amour défunt surgit, m'envahit, me paralyse. Alors, dans un élan désespéré, je cherche à fixer notre toile pour fuir ces visions de mort, mais le tumulte de nos voix ne fait qu'intensifier mes frayeurs. Je pleure, moins pour la discorde, que pour le siège de ces réminiscences qui m'encerclent, m'ôtent mes armes. Voilà mon appel, mon désir de paix, non pas seulement pour toi, mais aussi pour moi, pour nous. Que ces mots sèment en toi les images de mes silences, car elles sont les notes d'une mélodie vitale, composée avec l'encre de mon être, pour toi.
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Entre brumes et neige - épisode 23
Episode précédent
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Les quatre héros entourent Ascernos, prisonnier sur un trône, maintenu par des ronces qui prennent racine dans son corps. Pendant que ses compagnons réfléchissent à des moyens de le libérer, Anthemos s'empare d'une des couronnes posée sur un des seize trônes du cercle. D'un mouvement il la pose sur sa tête... et crie. La couronne le brûle et lui paraît entrer dans l'os de son crâne, s'y forger une place d'où elle ne pourra être délogée. Pendant quelques secondes, ses compagnons regardent puis Orvasa et Andhiir décident de lui retirer la couronne - plus qu'autre chose, c'est la vision du reflet d'Anthemos s'estompant qui les pousse à l'action. Tirant de toutes leurs forces, ils parviennent à enlever la couronne, non sans qu'elle ait laissé une trace circulaire au sommet du crâne d'Anthemos.
Pourtant, pendant quelques secondes, la Robe Noire a eu le sentiment de pouvoir vaincre la mort. Que la couronne lui apportait autant, si ce n'est plus que ce qu'elle lui prenait.
Andhiir reproche à Anthemos son moment d'égarement puis elle se retourne vers Ascernos... Le groupe doit le libérer. Laisser ainsi la personne qui a caché le cœur de Téothos dans la cité souterraine et l'a remis aux bons soins de la gardienne immortelle Cedwynn leur est impossible. Alors si ils ne peuvent s'attaquer aux ronces, ils viseront le trône - et plus précisément, ce sera Cynthia qui l'attaquera avec sa magie. Malheureusement, les ronces réagissent à la destruction du trône et malgré leurs efforts pour les empêcher de plonger plus profondément dans le corps d'Ascernos, les épines et les ronces finissent par avoir raison de lui... Mais tout espoir n'est pas perdu. Contrairement aux autres corps que le groupe a laissé dans les Limbes, celui-ci ne se délite pas. Il reste avec eux.
C'est avec le corps dans leur charrette que nos quatre héros reprennent le chemin. En suivant la lumière de leur lanterne, ils arrivent à des docks très semblables à ceux qu'ils ont visité il y a peu. Orvasa et Cynthia voient bien les différences et surtout la petite cage au bout du ponton dans laquelle apparaît un éclat argenté. Des soldats de Teothos occupent les lieux et protègent une cage dans laquelle se trouve un faon aux bois d'argent. Prenant leur temps, les héros décident d'agir pour sauver la jeune biche : tout d'abord, Andhiir et Cynthia allument des feux sur les navires puis sèment la confusion grâce à un brouillard magique. Ensuite, Anthemos plonge dans les pouvoirs Yngtuos pour apparaître dans le brouillard, juste à côté de la cage fermée. Il lutte contre les quelques soldats qui ne sont pas occupés à calmer le feu qui dévore les navires pendant que ses compagnons recherchent la clef. C'est Andhiir qui convainc les esprits de l'eau de lui donner la clef, mais au contact de l'eau, elle est plongée dans d'anciens souvenirs. Pendant qu'Orvasa vient la protéger d'un duo de soldats, Cynthia envoie son ombrelin passer la clef à Anthemos. Ce dernier se débarrasse des soldats qui peinent à le toucher dans l'obscurité du brouillard et libère le faon qui n'arrête pas de lui parasiter ses pensées d'une voix excitée.
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Elles n'ont pas reculées face à ma bienveillance. En quelques minutes, quelques cris, quelques mots, tout s'est cassé. Un verre, mon coeur, le mur, ma main, mon âme, le sourire de mon petit soleil.. Cette douleur dans la poitrine. Les échos du passé qui heurtent mes pensées, obstruent mon ouïe et me plonge dans la folie. A quel point je regrette. D'avoir nourrit mon petit démon. A quel point je regrette d'avoir laissé la colère, le dégoût, la fatigue et l'amertume des uns, la haine, et les colères des autres m'atteindre. A quel point j'ai mal, des bleus sur les mains, des coups de griffes sur le coeur... Le coeur et le corps qui gonflent. Ces dernières semaines ponctuées de cris, de larmes et de doutes. Les insomnies pour mieux me retrouver, ne suffisent plus. La chaleur des bras et le calme des baisers me manquent. Je me sens mal aimée, pleine de regret, je n'ai plus assez de force pour tout donner.. Ces idées noires reviennent, comme une vague, au moindre éclat de désespoir, cette noirceur qui surgie.. Elle vient des profondeurs de mon coeur, c'est la colère des uns, les violences des autres, qui viennent la provoquer. Ca titille, au jour le jour, quand je crie stop sans être écouté, c'est là, qu'elle surgit. Et j'agis. Au delà de ma pensée. Je crie, je frappe, je me débat contre moi même. Je lutte pour renvoyer ce monstre de dégoût et de violence dans sa nuit, avant qu'il n'atteigne mon petit soleil.. Pourtant à quel point c'est facile... De crier plutôt que chanter. A quel point c'est facile, de cogner plutôt que de caresser.. A quel point c'est facile de détester plutôt qu'aimer... A quel point c'est épuisant, de vouloir le dompter.... Pardonne moi cet écart. Pardonne moi ce cauchemars que j'ai vécu éveillée. Il n'y a pas pire que se confronter à ses chimères, à travers les yeux de son petit soleil... En ce moment, les rêves ne suffisent plus à écouler la haine. Le sucre ne suffit plus à étouffer ma peine. Et il n'y a plus d'infusion suffisante pour calmer mon âme au clair de lune... Si l'on s'entourait d'amour, de baisers. Si l'on pouvait vivre de chaleur, sans avoir à penser... Est-ce que ça suffirait ? C'était juste quelques minutes... D'égarement et d'épuisement. Mais en un instant, j'étais là, debout. Transformée en ce que je redoutait le plus. Du bruit blanc dans les oreilles, je voulais le silence et je n'ai eu que des cris.. Et cette fois, ce n'est pas un calin qui a pu me ramener. Il a fallut la douleur et un appel à l'aide, pour m'apaiser. Des semaines à fuir l'amertume. Ce goût amer et ce poids dans le poitrine... Pour céder.. Un câlin tiède, baigné de larmes, sur le sol froid de la salle de bain. Une petite main ensoleillée, fatiguée, contre mon sein. Pour colmater les fissures de mon âme. A quel point je me déteste parfois...
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Les notes du match PSV-Lens : soirée mitigée pour les Lensois !
L'échec du Paris Saint-Germain face au Milan a propulsé le RC Lens sous les feux des projecteurs. Le club lensois, encore invaincu avant cette rencontre cruciale, avait suscité de grands espoirs de qualification dans un groupe réputé difficile de la Ligue des Champions. Mais la performance des joueurs de Franck Haise était en dessous du niveau attendu. Voici les notes des Lensois pour ce match PSV-Lens. La détermination de Lens insuffisante face à la stratégie du PSV Franck Haise a misé sur son onze de départ habituel, témoignant de sa confiance dans la force principale de l'équipe. Malgré une entame prometteuse, Lens a connu son premier revers dans la compétition, battu par une équipe du PSV entreprenante et désormais devant, au classement. Ce coup d'arrêt place les Lensois dans une position plus délicate pour la qualification en huitième de finale. Lire aussi : - Primes en Ligue des Champions : Combien Lens a empoché ? Les notes du match PSV-Lens : Des performances individuelles en deçà des attentes La rencontre a été l'occasion d'évaluer les performances des joueurs lensois, avec des notes attribuées pour souligner les réussites et les écueils de chacun. Samba, le dernier rempart de Lens, a connu des hauts et des bas, ponctuant son match de parades décisives malgré des moments d'égarement. En défense, Gradit et Danso ont été mis à rude épreuve. Gradit a lutté avec acharnement dans les duels tandis que Danso a souffert sur le marquage, en particulier contre l'attaquant De Jong. Une défense lensoise mise à l'épreuve Le secteur défensif lensois, d'ordinaire si solide, a montré des signes de faiblesse. Medina a relevé la tête après un début de match compliqué, montrant une présence accrue en défense. Les difficultés de coordination entre les joueurs ont toutefois laissé des espaces exploités par l'adversaire. Les notes du match PSV-Lens : Des erreurs coûteuses et une attaque en berne Sur le flanc, Frankowski a multiplié les courses, mais sans parvenir à convertir ses efforts en occasions nettes, ce qui a conduit à son remplacement suite à un carton jaune. Au milieu, Abdul Samed a semblé submergé par l'enjeu, perdant en influence au fil des minutes. Mendy, bien que dynamique en début de match, a vu son impact s'essouffler avec le temps. Voir ensuite : - Qui est Yassine Cheuko ? Garde du corps de Messi en MLS ! Des changements tactiques pour un Lens en panne de solutions Machado, malgré des éclats de qualité, n'a pas su maintenir le rythme, ce qui a conduit à son avertissement. Sotoca, quant à lui, a tenté de prendre les choses en main, mais a vu son influence décliner en seconde période. Thomasson, remplaçant acharné, a cédé sa place à Fulgini, qui a insufflé un vent de fraîcheur et de menace sur le but adverse. L'attaque lensoise piétine, des remplacements sans effet décisif En attaque, le jeune Wahi, malgré une prestation notable lors des précédents matchs avec deux buts au compteur, n'a pas réussi à peser sur la défense du PSV. Il a été remplacé par Said, dans l'espoir d'apporter un nouveau souffle à l'équipe, mais là encore, le nouvel entrant n'a pas su apporter un impact sur l'animation offensive de son équipe. ________ Retrouvez toute l'actu foot sur notre page Facebook et sur notre page Twitter ! Read the full article
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Avril 2023
● Je verrai toujours vos visages (01-04-23) ● Sacrées momies (01-04-23) ● Tetris (01-04-23) ● Murder mystery (01-04-23) ● Bonne conduite (01-04-23) ● Annie colère (02-04-23) ● Super Mario Bros, le film (08-04-23) ● Cet été là (10-04-23) ● Stella est amoureuse (10-04-23) ● Sauvage (10-04-23) ● Les Trois Mousquetaires: D'Artagnan (10-04-23) ● Contes du hasard et autres fantaisies (12-04-23) ● Reines en fuite (15-04-23) ● Les bonnes étoiles (15-04-23) ● One true loves (17-04-23) ● A good person (17-04-23) ● Monstrous (19-04-23) ● Un moment d'égarement (19-04-23) ● Mpn héroïne (20-04-23) ● L'amour en touriste (21-04-23) ● One more time (22-04-23) ● Donjons et dragons: l'honneur des voleurs (23-04-23) ● Le tourbillon de la vie (23-04-23) ● La passagère (24-04-23) ● Evil dead rise (25-04-23) ● 99 moons (25-04-23) ● Ghosted (26-04-23) ● The communion girl (27-04-23) ● Mariage à la polonaise (27-04-23) ● Le date le plus long (28-04-23) ● Chœur de rockers (28-04-23) ● Jesus revolution (29-04-23) ● Scream 6 (29-04-23)
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THROUGH THE LOOKING GLASS
Paddington flat
Assise sur le canapé, ordinateur portable posé sur la table basse, Law consulte internet. Elle tente de recueillir un maximum d'informations concernant la famille de sa cliente. Felicia s’assoie à ses côtés et lui tend un mug de thé.
— Merci, ma belle.
— Qu'est-ce que tu cherches ?
— Des renseignements sur les Montgomery. Figure-toi que cette chose qui te sert de miroir appartenait à ces gens. Et notre cliente veut s'en emparer.
— Qu'elle le reprenne, je m'en fous. Toutes ces breloques appartenaient à mon père. Celui-là même qui m'a reniée. C'est ma tante qui s'est arrangée pour que j'en hérite. Vraiment, je m'en fous.
Beaumont-Montgomery... pas certaine de vouloir dire à ma féline vahiné qu'elle aurait peut-être un lien de parenté avec cette femme...
À ce moment-là, un verre posé sur le meuble enfilade bascule dans le vide pour éclater en mille morceaux. Les deux colocataires se regardent, dubitatives.
— Tu ne m'avais pas dit que tu avais un don de télékinésie, lance Felicia, d'un air moqueur.
— Ah non. Je pense plutôt que l'habitant du miroir ne veut pas que tu te débarrasses de lui. Il t'aime bien, on dirait. T'es obligée de garder ce foutu machin sur le mur !
La coloc regarde Law, flattée, puis tourne la tête vers l'objet :
— D'accord, je te garde, mais arrête de jeter des verres par terre. J'en ai assez de me taper le ménage ! Je parle à un miroir, tout va bien.
— Tu n'es pas cinglée. Je pense être bien plus atteinte que toi. Le loufoque, j'en ai fait mon job.
— Sois sûre, ma chérie, que tu es la personne la plus normale que je connaisse en ce monde ! Je dirais même que ta profession tombe sous le sens. Si tu savais ce que je me coltine à Ste Mary's, finalement un quidam dans un miroir, c'est banal.
*
Paddington flat - Night
En entendant un bruit, Mortensen se réveille en sursaut, se redresse dans son lit, puis écoute attentivement. Rien. Le silence. Intriguée, elle va dans le salon et chuchote :
— Feli ? C'est toi qui fais tout ce boucan ?
Comme toujours, son amie dort à poings fermés. Personne dans l'appartement, à part les deux colocataires. Law ressent pourtant une troisième présence. Soudain, elle aperçoit quelqu'un dans le miroir, se retourne, scrute la pièce : néant. Elle se fige face à l’objet.
— Il y a vraiment quelqu'un de l'autre côté de cette chose ?! La vache, c'est quoi ce truc ?
L'ex-flic a toujours été d’une nature incrédule. C'est sans doute pour cela qu'elle est douée dans ce métier. Si enquêter sur des phénomènes étranges peut être vraiment considéré comme un métier. Pour elle, la règle est simple : cause égal conséquence. L'étrange n'est qu'une illusion, un enrobage. Tout s'explique. Mais à cet instant, la jeune femme se sent peu fière. Son foyer commence à prendre de faux airs de La Chambre 1408. À tout moment, elle appréhende de voir Samuel L. Jackson apparaître à côté de son reflet, whisky à la main et sourire narquois. Peu rassurant. C'est difficile de ne pas basculer dans le délire, lorsque l'on côtoie constamment l'irrationnel.
Bon, à dire vrai, je m'en sort bien, malgré quelques courts épisodes d'égarement.
*
Bethlem Royal Hospital
Law n'a jamais aimé ce genre d'endroit et ce Royal Hospital la faisait doucement rire.
Royal, pour une place comme Bethlam, c'est du foutage de gueule ! Mais, oui, je sais, tout appartient à la reine d’Angleterre ! Même la folie, tiens... beaucoup cachent leur pathologie, de peur d'être enfermés dans cet asile de la mort.
Ce monde où des fous enchaînent d'autres fous. La jeune femme se rend bien compte qu'elle représente l'une des facettes de cet univers insensé, enquêtant dans cette bulle étrange, dégénérée, incohérente. En ce jour de fin d'été pluvieux, Mortensen a rendez-vous avec un ancien collègue de Felicia, qui y travaille depuis peu. « Facile à corrompre, si on peut dire », lui avait précisé sa colocataire.
— Louise Montgomery était une véritable sociopathe, mais c'est la mère qui fut internée. Après la disparition de son mari et la mort de son beau-frère, Suzanne Montgomery avait sombré dans la démence. Elle se suicidait deux mois après son internement. Dieu seul sait ce que Louise lui avait fait subir...
Cette information, Law s'en doutait déjà, mais elle avait besoin d'une confirmation pour valider une de ses théories. Il manquait cependant un élément afin de tout relier, ce qui avait le don d'irriter considérablement l'ex-inspectrice. Maison, thé, dodo et demain j'y verrai plus clair, se dit-elle en sortant de cet endroit lugubre.
*
Louise monte les escaliers avec un plateau repas. Elle entre dans la chambre de sa mère, encore dans son lit à une heure si tardive de la matinée. La jeune fille pose l’accessoire sur la table de chevet, puis avance vers la fenêtre afin de tirer les rideaux.
— Il vous faut de la lumière, chère mère, dit-elle d'une voix mielleuse, dissimulant à peine l'ironie.
La brunette ressort de la chambre pour se rendre dans le jardin. Les graines qu'elle a plantées avec son oncle se sont transformées en superbes gerbes florales aux multiples couleurs. Louise les regarde un instant, puis se dirige vers un lopin de fleurs de pavot ayant perdu leurs pétales, s'arrête devant et sort de sa poche une petite boîte contenant des petits ciseaux ainsi qu'une lame de rasoir.
*
Paddington - 4 AM
Law ne dort pas. Elle guette, assise sur le sofa comme un chat attendant la souris cachée dans son trou. Le miroir qui était accroché à la verticale, sur la gauche du buffet enfilade, est maintenant accroché à l'horizontale, à hauteur du regard. Juste en face des étagères à livres au-dessus du canapé. Soudain, un ouvrage tombe à côté de la jeune femme. Elle se lève pour observer l’intérieur de l’objet infernal, qui semble la fixer à l'affût de la moindre de ses réactions.
— Je sais que tu es là, murmure-t-elle.
Aussitôt, Mortensen y voit apparaître une silhouette. L'enquêtrice se fige instantanément, appréhendant la suite des événements. L'ombre prend un roman sur l'étagère, puis le laisse tomber. La rousse se retourne et constate qu'il y a deux bouquins sur le sofa.
— Tant que tu ne me les jettes pas à la gueule...
Ce petit jeu dure depuis trois nuits, déjà. Mais l'ex-flic n'a pas encore trouvé le moyen de communiquer avec l'hôte de ce reflet d'un autre monde.
*
Hyde Park
Law et Ren prennent leur petit déjeuner à la terrasse du Serpentine Bar & Kitchen. Le soleil fait son timide, caché derrière de gros nuages duveteux. Cependant la température ambiante est douce et la brise fraîche donne un petit coup de fouet à la cervelle pétrie de multiples pensées qui se bousculent dans la tête de nos deux fouineuses.
— Y'a quelqu'un enfermé dans le miroir de Felicia.
— Le miroir de Madame Montgomery, tu veux dire.
— Il est à Felicia, en attendant. On ne va pas le donner de suite à notre cliente. Pour peu que madame Montgomery et Louise soient une seule et même personne...
— Louise ?
— Oui, je te raconterai, pour le moment je n'ai aucune certitude, lance Mortensen, l'air sombre.
— Quelle histoire... Mais on fait quoi avec le fantôme enfermé dedans. Si c'est réel, je n'ose imaginer l'enfer de vivre bloqué comme ça ! Et depuis combien de temps ?...
— Près de huit décennies. On va se ridiculiser, si on va à la police avec cette théorie ! Il faut régler ça soi-même.
— Oui ! Nous devons sortir cette personne de sa prison de verre !
Law regarde Ren, puis acquiesce en prenant une gorgée de thé refroidi par le vent. Pour ce qui est du comment, la question reste ouverte. La brise fraîche du début d'automne caresse leur peau. Assises à la terrasse de l'établissement au style contemporain planté sur les rives du Serpentine, les deux jeunes femmes s'enfoncent dans leurs pensées, le nez dans leur tasse, sans prêter attention à la beauté environnante. Il est surprenant de constater que, dans une ville aussi tentaculaire et hyperactive que Londres, subsiste encore un fragment de verdure empreint de quiétude.
*
Louise, debout près du bureau de son oncle, observe le miroir sur le mur d'en face. L'homme s'y reflète. Il se relève, lançant un regard horrifié en direction de sa nièce. La jeune fille sourit en caressant de son pouce un objet qu’elle porte autour du cou : un hibou entourant un crâne de ses ailes.
*
Paddington - 3 AM
Endormie sur le canapé, Mortensen se réveille en sursaut. Prise d'une révélation, elle se jette sur son ordinateur portable.
— Ah Puch !
Passionnée depuis l'enfance par les légendes et les contes amérindiens, l'ex-inspectrice est fière de sa trouvaille. La jeune femme saisit précipitamment son cellulaire pour appeler Ren, qui lui répond, somnolente :
— Mais t'es sérieuse...
— Le dieu des morts ! Chez les Mayas, représenté par un hibou ou une tête décharnée. Ça ne te rappelle rien ?
— À cette heure-ci, pas grand chose...
— Madame Montgomery portait un pendentif de ce style : un hibou dont les ailes entouraient une tête de mort.
— Si tu le dis...
Mortensen raccroche brusquement. Sa collègue regarde son mobile, l'air de dire : « Elle est barge », avant de se recoucher. L'ex-flic entre en trombe dans la chambre de Felicia et fond sur elle pour la réveiller :
— Feli ! T'as des origines africaines, tu dois connaître un peu les machins vaudou...
La colocataire sort mollement sa tête de sous la couette. Tout aussi mollement elle se tourne vers l'enquêtrice en lui lançant sur un ton engourdi par le sommeil :
— C'est quoi ce cliché de merde ? Bon sang, Law, la moitié de ma famille...
La rousse lui coupe la parole :
— On s'en fout ça. T'as bien une grand-mère qui te racontait des histoires ?
— Ma grand-mère était blanche, elle me lisait Alice aux pays des merveilles... et l'autre là...
— De l'autre côté du miroir.
— C'est ça. Bon tu veux savoir quoi, que je puisse dormir ?
— Si une personne est enfermée dans un miroir, on fait comment pour l'en sortir ?
La coloc se relève lentement dans son lit, allume la lampe de chevet, puis se lance dans une longue tirade explicative en gesticulant tel un chef d'orchestre.
— Je ne sais pas pour le vaudou, mais en science fiction on mettrait deux miroirs - même taille, même poids - l'un en face de l'autre et la personne devrait se matérialiser au centre... enfin, entre les deux, tu vois... basé sur le principe d'équivalence « Lavoisier », en gros pour deux masses à chaque extrémité d'une balance, afin de rééquilibrer il faudrait extirper la masse de trop, et la placer au centre, mais ça c'est en théorie.
Ce que son amie venait d'énoncer n'aurait pas vraiment le moindre sens pour un néophyte, mais Law et le bizarre, c'était un mariage de longue durée. Pour ainsi dire, une seconde nature.
— C'est pas mal comme théorie. Merci !
L'ex-flic se rue hors de la chambre de son amie.
— À ton service M'dame. Vaudou. Qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre...
Felicia se recouche. Quand sa colocataire est dans cet état, inutile d'insister pour comprendre. Il faut répondre à ses questions le plus simplement possible et ne rien demander en retour. Surtout pas d'explications.
Même si en temps normal elle déteste ça, pour réfléchir, Law a besoin de courir. Se vider la tête. Dans ce cas, rien de mieux qu'une bonne nuit fraîche aux rues vides et paisibles.
*
W. Agency - Victoria - 5 PM
Mortensen entre avec un miroir relativement semblable - pour ce qui est du poids et de la taille - à celui de Felicia, le pose contre le mur à côté de la table, court préparer du thé, puis s'installe dans le canapé de la pièce à côté du bureau - le salon où elle fait parfois la sieste après une nuit blanche - pour attendre l'heure du diable. Londres passe progressivement à la vie nocturne. L’enquêtrice se lève brusquement pour sortir de l'agence. Après quelques mètres parcourus dans une rue parallèle à son lieu de travail, elle entre dans un petit pub cosy, s'installe au fond, dans un chesterfield usé par le temps, puis commande une bière qu'elle ne boit pas. Le patron lui apporte le breuvage en personne et s'assoit à sa table, silencieux. Il la regarde dans les yeux. Law esquisse un sourire en coin. Ce petit rituel dure depuis quelques années déjà : cette bière, c'est pour leur ancien collègue, décédé en service. Neil a miraculeusement survécu, mais non sans séquelles. Aujourd'hui, il gère cet établissement acheté avec de l'argent mis de côté, sa pension d'invalidité, la tirelire des collègues et un petit crédit contracté au nom de sa femme. Cet homme est l'une des rares choses que l'ex-inspectrice n'a pas oubliée de son passé ombrageux.
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Un moment d'égarement
Una semana en Córcega
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Le Train
J'ai toujours aimée les trajets en Train. Les paysages jaune et vert défilant, Traversant forêt de pins, champs, étangs... C'est un lieu hors du temps.
Il suffit que le train se mette en route. Et le doux balancement commence. Des musiques passées et mon soleil. Une douce torpeur me pousse vers le sommeil.
On croise le regard d'un jeune inconnu. Ça rougit, baisse les yeux, c'est bien connu. Les gens du train sont souvent charmants. On se perd dans de douces pensées, moment d'égarement.
Oui... Le train, c'est ce voyage intemporel, Ou les sens sont ensorcelée. Où se produit des rencontres inattendues. Petit moment d'une vie où tout est suspendu.
Loréa Pesnicki. Le 24 Février 2023.
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“your father wants to kill whoever touched you”
— un moment d'égarement, 2015
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LE CHIFFRE 6 DANS LA BIBLE
Le chiffre 6 caractérise l’homme dans sa nature déchue et ses prétentions. Ce chiffre évoque ce qui est incomplet, imparfait, déficient, insuffisant...
👉L’homme a été créé le sixième jour: « Dieu créa l'homme à son image... Il créa l'homme et la femme » (Genèse1v27, 31).
👉Selon la loi divine, l’homme devait travailler six jours: «Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage » (Exode 20v9 ; Exode 23v12; 31v15 ; 34v21; 35v2 ; Lévitique 23v3; Deutéronome 5v13; Luc 13v14).
👉L’esclave hébreu servait six années: « Si tu achètes un esclave hébreu, il servira six années ; mais la septième, il sortira libre, sans rien payer » (Exode 21v2; Deutéronome 15v12,18 ; Jérémie 34v14).
👉La terre devait être ensemencée six années: « Pendant six années, tu ensemenceras la terre, et tu en recueilleras le produit. Mais la septième, tu lui donneras du relâche et tu la laisseras en repos » (Exode 23v10-11; Lévitique 25v3).
👉Durant la fête de la Pâque, les Israélites mangeaient des pains sans levain pendant six jours: « Pendant six jours, tu mangeras des pains sans levain » (Deutéronome 16v8).
👉Le trône de Salomon avait six degrés: « Le roi fit un grand trône d’ivoire, et le couvrit d’or pur. Ce trône avait six degrés, et la partie supérieure en était arrondie par derrière...(1Rois 10v18-19).
👉Comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, ainsi la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché.
Mais Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Lorsqu'un homme accepte Jésus-Christ comme son Sauveur, il devient un enfant de Dieu et il est affranchi de la loi du péché et de la mort. Ayant été régénéré par le Saint-Esprit, l'homme peut désormais produire du fruit digne de la repentance afin que Dieu soit glorifié en lui.
👉Les six vases de pierre à Cana ne pouvaient jamais contenir autre chose que l’eau pour la purification des juifs. Seul le Seigneur saurait transformer ce qui parle de la loi en quelque chose qui donne la joie (Jean 2v6-9).
Jésus par son propre sang nous a rachetés et justifiés, c'est Lui seul qui peut satisfaire le coeur de l'homme et lui procurer la vraie joie et la vie éternelle (Éphésiens 1:7).
👉Lorsque le chiffre 6 revient trois fois de suite 666, il désigne la bête immonde dans l'Apocalypse. C'est un nombre d'homme au sommet de la méchanceté et de la rébellion contre Dieu: « ... C'est le moment d'avoir du discernement. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six » (Apocalypse 13:11-18; 14:11; 16:2).
Quel est le nom de la bête ?
Quel est le nombre de son nom ?
Quel est le nombre de la bête ?
Quelle est l'image de la bête ?
Quelle est la marque de la bête ?
Quelle est la marque de son nom ?
Quelle est la voix de la bête ?
Quel est le nom du royaume de la bête ?
Quel est le chemin de la bête ?
Quelle est la destination de la bête ?
Bien-aimés, c'est ici la sagesse, que celui qui a de l'intelligence réponde à toutes ces questions. Nous sommes dans les temps de la fin (2 Timothée 3:1-5).
Le mystère de l'iniquité agit déjà; il faut seulement que Celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l'impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu'Il anéantira par l'éclat de son avènement. L'apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l'iniquité pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés. Aussi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés (2 Thessaloniciens 2:7-12).
Nous vous prions, frères et soeurs, avertissez ceux qui vivent encore dans le désordre de ce monde afin qu'ils se repentent et se sanctifient; Jésus-Christ seul est le chemin, la vérité et la vie. Revêtons-nous de Jésus-Christ avant qu'il ne soit trop tard ! Que la grâce du Seigneur vous touche ! Amen !
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on the brink of collapsing 🥴
#noemie merlant#noémie merlant#one wild moment#un moment d'égarement#2015#look at her omg lemme kiss#MWAH#womans#portrait of a lady on fire#poalof#LOOK AT HER#uwu#cutie#qt#;)
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Souvenirs cinématographiques mariellissimes
#movie poster#Jean pierre marielle#comme la lune#... comme la une#les galettes de Pont Aven#calmos#la valise#un moment d'égarement#Cause toujours... tu m'intéresses !#cours après moi que je t'atrappe#on aura tout vu !#l'entourloupe
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Film Journal
“Un moment d'égarement“ by Jean-François Richet
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