#travailler c'est trop dur
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Bonne soirée 💙😉💙
Julien Clerc 🎶 Travailler c'est trop dur
(Cover Zachary Richard)
#live music#julien clerc#music video#travailler c'est trop dur#1er mai#fête du travail#live music video#zachary richard#70s music#youtube#bonnesoirée#fidjie fidjie
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Je vais réussir ma vie pour mon bb chien. Je vais réussir ma vie pour mon bb chien. Je vais réussir ma vie pour mon bb chien. Je vais réussir ma vie pour mon bb chien. Je vais réussir ma vie pour mon bb chien.
#Mdr j'ai l'histoire du mec qui reprend sa vie en main après avoir adopté des crevettes#C'est exactement ça depuis qu'on a notre bb chien#J'ai jamais été aussi motivée à réussir mes études et travailler dur#J'ai une meilleure hygiène de vie parce que c'est important qu'elle ait un environnement sain et qu'elle soit épanouie#C'est fou comme on peut s'attacher à une saucisse sur pattes#Actuellement je suis sur le sol à côté de son panier parce qu'elle a fait un cauchemar (oui)#Et elle vient de s'endormir avec la tête une patte sur ma cuisse#Me jugez pas#Je deviens trop gaga
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saga: Soumission & Domination 344
João-1
Depuis qu'il a intégré la colocation, c'est un autre mec. Là où il restait une attitude compassée, s'est développé une aisance, je dirais même une normalité de comportement. L'association qui l'a fait venir continue à regarder par-dessus son épaule. Même s'il est majeur maintenant, il est toujours en France avec un visa étudiant.
Au contact de mes deux " commerciaux " 1ère année, il rentre enfin dans le monde étudiant français. Il faut dire qu'avec ces deux-là je ne m'étais pas trompé non plus ! Ils sont bosseurs mais aussi de bons fêtards. Ils l'ont même fait venir à quelques-unes des soirées de notre école où son exotisme a fait quelques ravages et pas seulement auprès des filles.
Ça + son nouveau logement + une nouvelle garde-robe + ses entrainements avec ma bande + son nouveau travail = un João tout neuf. Le timide et timoré, bénéficiaire des oeuvres sociales d'une association de bienfaisance a cédé la place à un jeune homme ouvert au naturel gai (aussi). Son directeur du dojo de capoeira est aussi très content de lui. Déjà qu'il passait bien avec les jeunes, il est maintenant aussi à l'aise avec les 16-18.
A la montagne, il s'est bien dérouillé même si c'était pour lui la première fois qu'il montait sur des planches. Avec l'enseignement des Chasseurs Alpins, il a fini la semaine capable de dévaler les pistes bleues rapidement et les rouges avec aisance à défaut de rapidité. Par contre il a su glisser sa grosse queue avec maestria entre leurs fesses en remerciement de leurs bons conseils sur les pistes. Et les militaires ne se sont pas privés non plus de lui donner la réciproque.
Coté Client, il fait toujours un tabac. Son accent Brésilien si spécifique les enchante et je ne reçois que des louanges.
J'ai dû prendre en compte les services que me rend André pour le faire passer dans les premiers. En effet chacun y va de sa surenchère pour faire avancer son nom sur la liste des réservations. Bon j'ai attendu quand même qu'il se fasse trois autres clients ttbm avant. André est parmi ceux qui sont montés les plus larges avec ses 7 cm de diamètre.
Je prends le temps d'accompagner João dans ses premiers " services ". Il m'intéresse et en plus il ne conduit pas encore ! Il donne satisfaction aussi à mes clients blacks. Quand je les vois enfoncer leurs matraques noires entre ses petites fesses dorées, ça me fait bander dur !
Et je peux dire que les leurs sont au maxi de leurs extensions possibles après qu'il se soit mis nu et que sa bouche se soit occupée de leurs glands. Si sa gorge profonde ne l'est pas encore suffisamment plus des sexes de plus de 24 cm, il compense par une science de l'excitation de l'extrémité la plus sensible de l'homme, le gland. Chacun de mes clients l'ont supplié de cesser sous peine de tout recevoir sur le visage. Il a le bonheur de disposer d'une langue plus râpeuse que la normale, limite une langue de chat. Et son mentor brésilien lui a parfaitement appris à l'utiliser pour donner du plaisir. Il arrive à faire monter les clients à quelques secondes de l'éjaculation puis à les maitriser pour qu'ils ne se vident pas trop tôt. En plus quand je le regarde faire, je vois que lui aussi se fait plaisir. Et ça, les clients le ressentent aussi. Avec sa pratique de la capoeira, il est très souple quasiment du niveau des gymnastes professionnels.
C'est assez troublant de le voir esquisser une passe de capoeira (pour ceux qui connaissent) et en fin de mouvement se planter sur la mat tendu vertical. Je l'ai vu faire plusieurs fois. C'est magique !
Ça me fait penser que si j'en avais quelques-uns de gymnastes ça étofferait mon offre. A réfléchir...
Si sa gorge manque parfois un peu de profondeur encore, ce n'est pas le cas de sa rondelle. Je le vois sans problème se prendre les bites de 25 à 27 par 6 à 7. Je sais qu'il se prépare avant car sa rondelle reste bien serrée quand même. Il module selon l'attente qu'il perçoit chez le client. Je l'ai vu se planter brutalement sur leurs pieux comme descendre mm par mm les absorbants jusqu'à poser ses fesses dorées sur leurs cuisses.
Il n'a pas encore fait de cheval mais sait parfaitement trotter et galoper sur de telles montures. Plus je le mate et plus je vois le travail de son mentor. Il retrouve ses marques et les pratiques qu'il avait apprises. On en discute en rentrant à la colocation. Il me raconte un peu ses années de favela. La vie qui pouvait être aussi belle qu'elle était moche pour d'autre. Les revenus procurés par le trafic de la drogue permettaient à son gang de vivre dans l'aisance. Son chef a veillé à ce qu'il soit instruit. Il l'a protégé même des autres membres qui en auraient bien fait un réceptacle à sperme. Il admire mon tatouage qu'il trouve esthétique contrairement à tous ceux qui ornaient la peau des membres de son clan, le chef compris. De ceux-là, il a une aversion.
Il se rappelle les bons moments passés sur les plages quand, pour lui faire plaisir, son mentor prenait le temps de le sortir de sa favela. Il comprend maintenant qu'il prenait des risques rien que pour lui faire plaisir, pour lui offrir des glaces et qu'il vive comme un enfant normal.
Il me dit que reviennent en mémoire les gestes qu'il faisait afin de lui donner du plaisir. Tout ce qu'il lui avait appris remontait à la surface. Je lui dis que je m'en doutais vu la maitrise qu'il montrait lors de ses prestations.
La première fois où nous en avons parlé j'ai dû m'arrêter sur le bord du trottoir pour le prendre dans mes bras. Puis nous sommes revenus au blockhaus. Pas question de le laisser seul (malgré ses colocs).
Il me remercie. Mais c'est normal. Entouré de nous trois (PH et Ludovic aussi), il trouve la chaleur humaine qui lui avait tant manquée depuis le décès de son mentor.
Il reste aussi toute la nuit, je n'avais pas envie de ressortir.
Sans acte sexuel (il avait déjà donné avec le client), il passe la nuit entre nous. Plusieurs fois je me réveille serré par ses bras. La colocation n'est peut-être pas ce qui lui faut finalement.
J'en discute le lendemain avec PH et Ludovic. Ils ont la même analyse que moi. La colocation c'est mieux que sa chambre en cité U mais encore loin de ce qu'il avait perdu. C'est Ludovic qui propose une solution : le prendre avec nous.
Ce n'est pas que je n'y avais pas pensé mais je l'aime plus comme un petit frère et, pour une fois, j'hésitais à imposer ce choix à mes amours.
Ludovic argumente son option. Il ajoute qu'il serait peut-être temps que la chance se penche sur lui. PH est d'accord. On appelle donc Marc pour le prévenir/avoir son accord. Il connait déjà notre nouveau protégé. Quand je lui fais part de notre analyse et de ce que nous projetions de faire, il m'assure de son complet accord.
Il ne reste plus qu'à avoir l'accord de João. Finalement c'est le plus dur à obtenir. Il trouve que j'en fais déjà suffisamment pour lui. Pour clore le débat, j'arrive avec Samir à la coloc et embarque tout ce qu'il a à lui. Les deux autres comprennent mais je les préviens qu'ils auront bientôt un autre résident.
Nous l'installons dans la chambre à côté de la nôtre au 3ème. Samir et Ammed implantent un bureau et on pose dessus son portable et on ajoute une imprimante. Le soir même je vais le chercher à la sortie de ses cours. Il est étonné, c'est la première fois. S'il est gêné par ma voiture, cela ne se voit pas. Il monte surpris de me voir l'attendre. Retour au blockhaus, jusque-là rien que de presque normal puisqu'on est un soir de sport. Par contre l'arrêt au 3ème et l'entrée dans sa nouvelle chambre, lui coupe les jambes. Il reconnaît son ordinateur et les quelques affiches dont il avait commencé à orner ses murs à la coloc. Je lui dis que nous avions tranché pour lui et qu'à partir de ce soir il était chez lui ici. Sur le bureau j'avais mis un post-it avec ses codes personnels d'entrée sur la rue et celui du monte-charge.
Il essaye encore ce me dire que c'est trop, pour lui que la coloc c'était déjà bien. Je lui dis de se taire et de nous rejoindre en tenue au 2ème, il a des conseils à donner en capoeira.
Je descends et j'ai le temps de me mettre en jock avant qu'il n'arrive. Il y a déjà la moitié des escorts d'arrivés. Il arrive porteur de son large pantalon blanc sans rien en dessous comme il aime le porter pour être plus à l'aise. Nous nous entrainons tous une bonne paire d'heures avec ceux qui nous ont rejoints. Puis comme c'est en début de semaine c'est souvent sans touze à la sortie, il remonte avec nous après nos douches prises tous ensemble.
Je le sens plus gêné avec Samir et Ammed que les fois où il était invité. Je me vois donc dans l'obligation de préciser les choses. Ammed et Samir sont nos hommes de service mais pas des larbins pour autant. Ils ont la charge du blockhaus dans son ensemble bouffe et lingerie comprise. Ils font tout pour prendre en charge les contraintes matérielles afin que nous n'ayons que nos cours et nos " vies personnelles " à gérer. S'il a besoin de quoi que ce soit, il leur demande en premier. Mes deux hommes confirment. S'il a besoin de quoi que ce soit, d'un bloc de feuilles à l'encre pour son stylo plume, d'un boxer à une boite de kpotes ou un tube de gel, il n'aura qu'à leur demander. Pour les déplacements, les bus ne passent pas loin et quand les horaires seront raccords, un de nous trois pourront l'emmener aussi.
Il finit par accepter l'état de fait. Il se lève de table et fait le tour pour nous embrasser un par un. Quel émotif ! Je sens ses joues humides alors qu'il presse son visage contre le mien.
Avant de nous endormir, je mets notre TV sur le circuit interne pour veiller sur sa première nuit chez nous. Une heure plus tard je me réveille alors que João tourne et vire dans son lit. Je le regarde. Il est troublé, pas habitué à son nouvel environnement. Après une demi-heure, je me lève et vais le rejoindre. Je me glisse dans son lit et le prend dans mes bras. Il se calme et s'endort aussitôt. Nous finissons la nuit collés, lui protégé de l'extérieur par mes bras.
Je me réveille avant lui. Je le regarde son visage est détendu, ses long cils noirs caressent ses joues. Ses lèvres pulpeuses légèrement entrouvertes, laissent passer son souffle. Il me fait bander ce petit con.
Le développement de ma bite fait s'enfoncer mon gland entre ses fesses. Evidemment puisqu'il est dos à moi au creux de mes bras !
Je sens qu'à son tour il est réveillé quand ses fesses ondulent et que, ce faisant, il se frotte la rondelle sur mon gland luisant de mouille. Je ne bouge pas. Il donne un petit coup de rein et absorbe mon gland, juste lui. C'est trop bon. Sa rondelle se resserre juste derrière la couronne et colle ma hampe. Il ne bouge plus. Puis il tourne sa tête pose ses lèvres sur les miennes, me souffle un bonjour avant de m'enfoncer sa langue à la recherche de la mienne.
Je n'y tiens plus. J'écrase ma bouche contre la sienne et en même temps enfonce le reste de ma queue dans son cul. On se décolle sous l'effet de nos grimaces respectives. Quasiment à sec, ce n'est pas notre meilleur enculage ni pour l'un ni pour l'autre. Je me retire doucement, bascule vers la table de chevet le temps d'attraper une kpote et du gel et reprend ma position. C'est nettement meilleur ! Lentement je lui laboure la rondelle. Je ressens la compression de son intérieur à chaque pénétration et il gémit doucement, surtout quand mon gland vient frotter sa prostate. Il me tend à nouveau ses lèvres. Sa langue cherche la mienne, l'entoure et tente de l'aspirer. Sans se presser mon bassin bascule régulièrement pour lui enfiler puis retirer mes 20cm. Couchés sur nos côtés gauches, j'utilise ma main droite pour branler ses 22cm dont ma main peine à faire le tour. Ça nous achève rapidement. Il me jute dans la main et ses contractions anales me font à mon tour juter mais dans ma kpote.
Nous n'avons pas le temps de nous décoller que mes deux amours nous sautent dessus. Chahut sur le lit, nos spermes se dispersent sur les peaux et les draps. Quand João s'en rends compte, il veut nous calmer mais c'est peine perdue !
Vu l'heure, nous filons tous sous les douches de la salle de bain commune.
Quand Samir demande plus tard à João comment s'est passée sa première nuit chez nous, il lui répond trop bonne. Je lui dis qu'il devra quand même s'habituer à dormir seul. Enfin tant qu'il n'a pas de petit copain.
Jardinier
??
oooohhh
~~
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" Camp Fire "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Javier Escuella
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Après des festivités enflammées, le camp se repose et laisse place à une atmosphère plus calme. Aux yeux d'une certaine demoiselle, c'est le moment idéal pour se rapprocher du garçon dont elle est éprise. Ainsi, elle espère pouvoir passer un peu plus de temps avec lui et peut-être enfin se déclarer.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟗𝟏𝟑.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Les filles commencent à s'endormir. Elles tombent comme des mouches depuis que Tilly s'est retirée auprès de sa couchette. La célébration du retour de Sean les a grandement épuisées, après avoir autant bu, chanté, dansé, c'est compréhensible et elles ne sont d'ailleurs pas les seules. Abigail et le petit Jack se sont retirés de l'autre côté du camp ⸺du côté de la charrette de monsieur Pearson⸺. Il me semble que même le révérend, Molly et Dutch s'en sont allés. Plus grand monde ne rôde dans les parages à la recherche d'un partenaire de chant. Ils sont tous au lit.
Je crois que c'est mon jour de chance.
J'entends les voix de Pearson, Tonton et Arthur raisonner de là où je me trouve. Ils se trouvent autour du feu de camp, ils sont bien les seuls à tenir encore debout, même Sean s'est tut. De la musique flotte dans l'air, elle provient de la guitare de Javier.
J'esquisse un sourire rêveur à cette pensée, rapprochant mes mains de ma poitrine j'accoure auprès de la charrette de Pearson ⸺j'ai fait le tour de ma couchette partagée avec les filles jusqu'à l'entrée du camp, le feu qui sert à réchauffer nos repas et le lieu de travail de notre cuisinier⸺ je suis à la recherche d'une bière. Je sais qu'il y a des caisses un peu partout toutefois avec l'obscurité qui gagne l'endroit j'ai des difficultés à me repérer. Il m'est aussi contraignant d'éviter certains obstacles, notamment les tables et barils. Il me semble qu'il reste des bouteilles auprès de la tente de Dutch, si ni Karen ni Tonton n'ont pas tout vidé, il devrait en rester quelques-unes. Je fais donc le tour du camp à leur recherche.
L'humidité qui parfume les brindilles d'herbe me taquine les chevilles, elle laisse perler des gouttes d'eau le long de mon épiderme jusqu'à tâcher mes souliers. C'est assez inconfortable. Je suis chatouillée de toutes parts. J'accélère donc le pas. Passant devant les derniers hommes réveillés, je ne tarde pas à attirer leur attention.
Tonton se stoppe dans son monologue, il est le premier à me remarquer. Il crie mon prénom et me fait signe d'approcher.
« Approche, ne reste pas dans ton coin, ma petite, viens nous rejoindre ! »
Je me pince les lèvres et acquiesce. Mes mains se saisissent d'une bière tiède tandis que mon corps pivote.
« J'arrive, je viens. »
Arthur est assis sur le tronc d'arbre qui sert de banc, il est dos à moi. Quant à monsieur Pearson il se tient sur une caisse boisée à droite de Arthur et moi-même. Ils sont auprès du feu, profitant de sa luminosité et chaleur. Quant à Tonton et Javier ils nous font face, sous la tente. Tonton a pris place sur une chaise un peu plus vers monsieur Pearson, quant à Javier il fait face à Arthur, à même le sol. Sa guitare tient sur ses cuisses, de celle-ci s'échappe une agréable mélodie. Quant à ce que ces messieurs chantaient plus tôt, je ne préfère pas y repenser.
J'apporte ma bière à mes lèvres, histoire de me donner du courage j'en prends une gorgée et m'avance.
« Comment ça va ce soir ? » parle Arthur. « Pas trop dur ? »
Ma réponse se fait négative. Je parle tout en me rapprochant du feu.
« Outre le retour de Sean c'était plutôt calme aujourd'hui. La routine.. »
« C'est bien. Madame Grimshaw ne vous ménage pas, j'imagine ? »
« Ah, comme si c'était possible. » plaisanté-je. « Le jour où elle arrête de crier les poules auront des dents, tien. »
Ma remarque arrache un rire aux quatre hommes, j'en profite pour m'asseoir par terre. À côté de Javier.
« C'est bien que Sean soit de retour. Sa bonne humeur commençait à me manquer. »
« C'est vrai que sans lui c'était assez tendu. Il faut croire que ses conneries nous changent les idées. » renchérit Arthur.
« Il va nous en faire voir de toutes les couleurs, ça c'est moi qui vous le dit ! » s'exclame Tonton.
Javier ne joue plus très fort. À présent, une mélodie d'ambiance se balade dans l'air, de part sa légèreté elle a transformé l'atmosphère autrefois festive par quelque chose de plus calme. Elle rythme notre discussion sans pour autant nous désorienter. Je pense être la seule à avoir fait cette découverte, ou alors les hommes s'en fichent. Après tout la musique n'est qu'un moyen pour eux de chanter leurs musiques salaces à tout bout de champ.
Curieuse, je lui jette un coup d'œil.
Je suis assise sur sa gauche, les jambes recroquevillées sur le côté.
De mes deux mains, je tiens fermement ma bouteille, si elle n'avait pas été là j'aurais fini par me triturer mes doigts ou toucher mes cheveux toutes les cinq secondes. Plutôt, ici je joue avec l'extrémité ⸺là où se place la bouche⸺ et tente vigoureusement de m'occuper l'esprit.
J'ai des papillons dans le ventre.
Je crois que Arthur l'a remarqué.
Il me zieute accompagné d'un fin sourire aux lèvres, à l'instar d'une figure fraternelle il m'observe. Sans oublier de consommer sa propre bière. Ça fait longtemps qu'il m'a percée à jour, je ne parle pas de ce soir mais plutôt de ces derniers mois. Je suis consciente que je ne suis pas douée pour la discrétion, mon premier but n'est pas de passer inaperçue. À vrai dire c'est le dernier de mes soucis. Arthur me lance un clin d'œil auquel je réponds par un gloussement.
Sans attendre, Tonton nous interrompt.
« Qu'est-ce que vous avez tous les deux ? Vous faites des cachotteries, maintenant ? »
« Et de quoi je me mêle ? » s'emporte Arthur. « Va donc te rendre utile pour une fois et⸺ »
« Je suis utile ! C'est juste ma lombalgie qui m'handicape, si j'étais encore jeune tu peux être sûre qu'on serait sorti de ce pétrin depuis longtemps. »
« Mais bien sûr.. Tant que ça t'aide à dormir.. »
Je pouffe à nouveau.
Ma tête se tourne, je zieute Javier. Ses doigts s'attellent à poursuivre le fil de sa mélodie, quant à ses yeux.. Ils sont plongés dans les miens.
Je souris.
Il sourit.
Je rapproche mes jambes de ma poitrine, ma bière est rapidement laissée à l'abandon devant le feu; elle ne m'intéresse plus vraiment. Déposant ma joue contre mes genoux, je dévoue mon entière attention à Javier. Je.. Je ne⸺
Mon cœur est coincé dans ma gorge.
Mon estomac se fait lourd.
Qu'il est joli.. Je ne peux que m'agripper à mes mollets, les sourcils froncés.
« Comment⸺ Comment tu te portes ce soir ? »
Il touche quelques cordes. D'une lenteur enivrante, Javier les titille sans que, ne serait-ce qu'une fois, son regard ne se détourne du mien. Il ne m'observe pas avec malice. Il me regarde juste. Ça suffit amplement à me mettre dans tous mes états, j'attends qu'il réponde à ma question, en même temps, je combats l'envie de crier et gigoter.
Javier penche la tête.
« On a connu pire. »
« Tu n'es pas trop fatigué ? »
« Tu t'en fais pour moi ? Attention, je pourrais croire que tu as le béguin. » me taquine-t-il.
Mes yeux roulent au ciel.
« Ne te surestime pas, non plus.. C'est juste que Bill m'a parlé de cette histoire de bagarre au bar et puis tu n'es pas revenu au camp alors⸺ Je, je me demandais juste si ça allait... J'ai posé la même question à Arthur. Ne.. ne t'emballe pas. »
« Je m'emballe pas. »
Son rictus me crie le contraire.
Javier continue de jouer de ses doigts avec nonchalance, il fait mine que cette conversation ne lui fait aucun effet, il fait mine de ne rien remarquer pendant que ses doigts s'affairent à nous offrir un moment des plus agréable. Il a une telle aisance avec la musique, c'en est déroutant. Je déglutis à cela. Mes orteils se recroquevillent à l'intérieur de mes souliers. Mes pupilles le contemplent, je bois goulument la vue qu'il m'offre d'ici; son si joli visage, et sa tenue élégante. Il est parfaitement incrusté dans son environnement malgré l'aura luxueuse qui se dégage de lui.
Je suis dans l'incapacité de détourner le regard. Dès le moment où nos yeux se sont croisés j'ai été prise au piège.
Je ne peux pas le nier : c'est ce que je cherchais en m'asseyant auprès de lui. Être prise au piège sous lui, dévorée par ses pupilles aussi dévastatrices que le néant et charmée par le sourire taquin qui prend souvent place sur ses jolies lèvres froncées : c'est exactement ce que je désire. Il faudrait être aveugle pour ne pas le remarquer. C'est la raison pour laquelle je ne le fuis pas, je pars sans cesse à sa recherche dans l'espoir qu'il m'accueille pour ensuite me perde.
Il m'en faut peu pour être comblée.
Lui, seulement lui.
Javier.
« Tu repars demain ? »
Il arque un sourcil.
« Curieuse ? »
« Non— oui. Je me posais la question... »
« Je pensais faire un tour à Valentine, la dernière fois je n'ai pas pu m'y attarder trop longtemps. Qui sait, peut-être que je trouverais un bon coup. »
« Tu as déjà fait beaucoup. Tu pourrais te reposer ? »
« Ça aussi tu l'as dit à Arthur ? »
Je suis gênée. Son commentaire me force à détourner le regard.
« Non.. c'était... C'était juste histoire de faire la conversation puis— je— »
« Je te taquine. » me coupe-t-il. « J'y ai pensé, mais je tiens pas en place ces derniers temps. J'ai envie de me rendre utile. Je vais voir où ça me mène. »
« Tu vas encore t'absenter alors.. »
« Peut-être. »
J'inspire profondément, ma joue reste collée à mes genoux. J'ai les poumons lourds, tout mon corps se retrouve endoloris alors que je me situe aussi proche de lui. Nos épaules sont à deux doigts de se toucher. J'en rêve.
Mon regard ne se détache pas du sien.
Je suis hypnotisée.
« Tu es sortie du camp depuis qu'on est arrivés ? »
« Arthur nous a accompagnées à Valentine il y a quelques jours. C'était amusant. J'ai beaucoup à faire ici sinon. »
« Tu aimerais y retourner ? »
« Où ça, Valentine ? Oh, oui ! » j'affirme, soudain enthousiaste. « Mais il me faudrait une bonne raison pour convaincre quelqu'un de m'y emmener. J'avais pensé à Arthur mais il fait beaucoup en ce moment. Il y a Bill aussi, mais il est trop bête, il va encore causer des problèmes. »
Javier dépose sa guitare entre Tonton et lui.
« Je suis même pas une option ? Ça me blesse. »
« Tu viens rarement au camp ces derniers jours. Je ne vais pas t'embêter avec ça... »
« M'embêter ? Oh, ma belle, c'est mal me connaître. »
Mon cœur s'emballe.
Je respire fort.
« Ce serait un honneur de pouvoir t'y emmener faire un tour. »
Sa bouche se fend en un sourire.
« Si ça t'intéresse, bien sûr. »
Quelle question, il est évident que je le suis. Ça doit se lire sur mon visage. J'implose.
« Tu as— tu as quelque chose à faire là-bas ? » je m'interroge.
« Pas grand chose. Mais je peux toujours trouver de quoi nous faire un peu d'argent, on fera d'une pierre deux coups. »
Javier extirpe une cigarette de sa poche, il l'enflamme avec son briquet et l'apporte ensuite à ses lèvres. Tout en expirant, il me zieute.
« Tu veux ? »
Une question me brûle la langue.
Lorsque Arthur m'a emmenée à Valentine, ça a été en compagnie de Tonton, Tilly, Mary-Beth et Karen. Au départ, il avait des courses à faire. Son escale là-bas n'avait rien en rapport avec nous.
Je sais que si je dois y aller avec Javier, et que nous revenons les mains vides Dutch s'emportera ⸺il est assez tendu depuis Blackwater⸺, il est impératif que tous les membres du gang se montrent utiles. Mais... Si je dois aller à Valentine avec lui, j'espère secrètement que ça ne sera pas pour travailler.. Si nous nous retrouvons tous les deux dans un tel endroit, j'ose espérer que nous ferons bien plus que défier la loi et nous montrer sournois. J'espère que personne ne se rajoutera. Pas de Sean, ni de Bill, aucune fille pour m'embarrasser, juste moi et lui. Nous deux..
Est-ce que c'est trop demander ?
« Tu as des plans alors ? »
Javier me dévisage.
« T'es bien curieuse ce soir, dis-moi. Tu tiens si peu en place ? »
« Je me disais— on... On pourrait— »
« On ? »
J'arque un sourcil.
« Quelqu'un d'autre vient ? »
Javier secoue la tête. Il esquisse un fin rictus taquin et prend une taffe de sa cigarette; il l'expire tout en me répondant.
« Je pense pas. Les filles en ont eu assez après votre dernière escale et le reste de la bande est occupée de son côté. Ce sera que toi et moi. »
Sans surprise, l'idée me ravit. Je suis plus qu'emballée à la pensée que nous allons nous retrouver seuls.
Plus de madame Grimshaw pour nous couper, plus de Micah pour faire des remarques stupides ⸺même si ça fait déjà quelques semaines qu'il a disparu⸺, plus de Tonton pour gâcher l'ambiance. Tant de fois, nous aurions pu avoir l'occasion de nous rapprocher, de devenir plus, mais à chaque fois le manque d'intimité au sein du camp nous a gênés. Je ne peux m'empêcher de penser que c'est une chance unique. Elle est faite d'or : je refuse de la laisser passer. Le moment est idéal surtout après tout ce que nous venons de vivre, depuis Blackwater, les montagnes enneigées, je ne vois pas de meilleure occasion pour me confesser. Cette fois-ci, pas de Dutch pour nous interrompre, pas de Arthur pour rendre notre interaction gênante.
Je bats des cils un bref instant. Quant à Javier il attrape le cul de sa cigarette et le rapproche de ses lèvres. Il prend une profonde inspiration, l'expire : tout cela sans jamais me quitter du regard. Il m'observe d'un sérieux déconcertant.
Soudain, nous sommes interrompu.
« Eh, les deux fourbes, qu'est-ce que vous complotez ? »
C'est à nous que Tonton s'adresse.
« Ah, laisse les vieux fou, c'est pas tes oignons ! » peste Arthur.
« Tout ce qui se passe autour du feu est mes oignons, c'est mon sanctuaire. Alors, qu'est-ce que vous planifiez ? »
Tonton nous regarde, il balance ses yeux entre Javier et moi.
Il est tellement enthousiaste qu'il sourit grandement, ça ne fait que m'embarrasser davantage. Je détourne le regard malgré moi. Je regarde par dessus l'épaule d'Arthur, là où la tente de Dutch et Molly se trouve, ainsi je n'ai pas à faire face à leur expression curieuse.
Mes joues se creusent, je me mords l'intérieur de la bouche.
« En quoi ça te concerne, le vieux ? » réplique Javier. « Tu contribues à rien et tu voudrais qu'on te raconte nos vies ? La bonne blague. »
« Qu'est-ce que c'est sensé dire ? » s'indigne Tonton.
« Ça veut dire ce que ça veut dire, tien. »
« Non mais je rêve, décidément plus personne n'a de respect pour les malades.. »
« Malade ? La seule maladie que t'as c'est la fainéantise. » rétorque Arthur avec mesquinerie, il n'hésite d'ailleurs pas à ricaner.
« Et ma lombalgie alors, hein ? »
« C'est des conneries ! Tu trompes personne, vieux tas. »
Tonton marmonne dans sa barbe, ça m'arrache un sourire. Je les regarde à nouveau ⸺monsieur Pearson a disparu, il ne reste que nous quatre⸺, Arthur s'en va m'offrir un clin d'œil. Malgré ses quelques maladresses, il fait de son mieux pour m'aider. Je le remercierai plus tard, c'est certain. Les attaques qu'il lance à Tonton me mettent à l'aise, je ne me sens plus mise au pied du mur, toutefois, j'avoue ne plus avoir la force de me tourner vers Javier. Maintenant que notre bulle a été ⸺encore⸺ percée, j'ai comme l'impression que nous ne pourrons plus discuter, alors je me contente d'observer Arthur des étoiles dans les yeux.
Mes doigts triturent nerveusement le tissu de ma robe, je me sens nerveuse.
« Peu importe. » grommelle Tonton. « J'en ai assez entendu, je vais me coucher. »
« Tant mieux, une bonne nuit de sommeil te rendra plus aimable. » plaisante Arthur. « Va donc. »
J'en profite pour me lever.
Javier réagit immédiatement.
« Toi aussi ? » me questionne-t-il.
Tonton ne dort pas loin, il s'installe sur la seconde tente qui se trouve juste à côté du feu de camp. Elle n'est qu'à un petit mètre de nous, c'est là que le révérend s'est assoupi. Je le vois s'installer sur sa couchette et nous tourner le dos, pendant ce temps je dépose mes mains sur mon ventre, j'offre un sourire à Javier.
« Il faut bien que je sois en forme pour demain. Bonne nuit. »
« Oh— euh, ouais. »
Il se gratte la nuque.
« Bonne nuit. »
« Arthur, tu m'accompagnes ? » je demande.
Le concerné secoue la tête.
« Tu m'excuseras, je reste encore un peu avec Javier, on a des trucs à se dire. »
« D'accord, bonne nuit alors. »
« Bonne nuit, repose toi bien. » répond-t-il affectueusement.
Je ne peux pas m'empêcher de zieuter Javier. Il ne m'a toujours pas quittée du regard. Cependant, dès le moment il où je le remarque, je tourne aussitôt la tête, mes joues s'embrasent et mon estomac se recroqueville sur lui-même. Ah, j'ai chaud. J'ai mal à la poitrine. Mes mains se pressent sur mon bas-ventre tandis que j'entends Arthur pouffer. Nous sommes loin d'être discrets, je le savais déjà, mais le fait que nous soyons aussi évidents, même devant Arthur est plus humiliant que prévu.
Mes paumes se font moites.
« Je— Je vais y aller. »
Alors que je m'en vais, je reste sur un petit nuage. Je passe sur le côté de la tente de Dutch, dépasse la roulotte de Arthur, pour rejoindre ma couchette. Elle est aux côtés de celles des filles ⸺comme prévu, elles sont toutes endormies⸺. J'entends les voix de Javier et Arthur résonner, ils ne cessent de parler, accompagnés par le crépitement du feu.
Il fait frais, hormis les quelques lampes à huile éparpillées dans le camp, nous sommes plongés dans un noir complet. Je parle d'un noir si obscur que je n'en vois pas la fin. L'herbe à mes pieds n'est pas visible, je marche en faisant confiance à mon instinct, je ne sais pas ce qui traine par terre, j'avance juste. Tilly, Mary-Beth, Sadie, Karen, elles sont toutes les trois endormies. Il me tarde de les rejoindre. Nous sommes levées depuis très tôt ce matin; il nous a fallu recoudre des vêtements pour ensuite les nettoyer, aider à préparer les repas; se coucher tard n'aide pas. Demain, nous répéterons les mêmes actions, nous passerons la journée à coudre, laver, faire la vaisselle, pour nous coucher tout aussi tardivement. Rien que d'y penser me fait soupirer.
La vie de fugitif peut être frustrante.
Une fois suffisamment approchée de ma couche, je m'assieds dessus. Je remets ma chevelure en état puis passe mes mains sur mes bras, je les frotte vigoureusement.
Un sourire se pose sur mes lèvres.
J'apporte mes mains à ma poitrine, rêveuse, oui je ne peux pas m'empêcher de sourire. Je suis encore toute chamboulée.
Mon interaction avec Javier me revient à l'esprit et j'ai comme l'impression de tomber dans un ravin : c'est violent, je ne peux m'accrocher nul part, ma logique m'abandonne. Je perd pied. Et alors que son image me revient à l'esprit, je ne peux me retenir de glousser.
L'intensité avec laquelle il m'a contemplée, sa voix; ses paroles mielleuses, j'en ai des frissons.
Mes doigts s'agrippent à ma chemise. Je me pince les lèvres et pose mes yeux sur la roulotte d'Arthur ⸺elle a été installé juste devant la notre, nous bloquant ainsi la vue sur le feu de camp⸺ j'ai beau l'examiner dans ses moindres détails, je ne parviens pas à me sortir Javier de la tête. Je repasse notre interaction dans mon esprit, le moindre geste, coup d'œil, ce qui me force à de nouveau glousser. Je secoue la tête et tape des pieds.
Je me retiens de crier, pas seulement de beugler, mais aussi d'exprimer à tout le camp que je l'aime. Je désire l'avoir pour moi toute seule, je n'ai même pas envie d'attendre qu'il m'emmène à Valentine. Je veux être avec lui, là maintenant tout de suite. J'en ai la poitrine serrée.
Dans un tel état, je ne me sens pas de dormir. Je ne fais que revivre notre conversation, j'interprète les moindres gestes qu'il a pu faire en ma présence. Je n'ai pas envie de l'oublier, ne serait-ce qu'une minute. J'ai envie de conserver le sentiment qu'il fait naître au sein de mon cœur. J'ai envie... J'ai envie de penser si fort à lui que son image en finisse gravée dans mon esprit. J'en viens à m'imaginer ce qui pourrait bien se passer si nous nous retrouvons seul à Valentine. Allons-nous nous comporter tels de jeunes mariés ? Nous tenir la main afin de ne pas nous séparer ? Va-t-il enfin me charmer proprement, alors ira-t-il me faire l'amour dans un hôtel, au coin de la rue ? Me dévoilera-t-il ses sentiments avant ou après m'avoir volé mon premier baiser ?
Je ne peux pas y échapper, ces questions me hantent. Toutes ces possibilités...
J'en ai la chair de poule.
Brusquement, j'apporte mes mains à mon visage. Je frotte vigoureusement mes joues.
Je ne devrais pas me laisser aller à de telles pensées, elles sont salaces, déplacées, Javier est un homme bon, je suis folle pour penser ainsi de lui. Nous imaginer dans de telles positions...
Des bruits de pas m'interrompent, je lève la tête.
Arthur pose son avant-bras contre sa roulette, il m'observe d'un œil taquin. Je sursaute. Son chapeau a disparu, il ne le porte plus.
« Eh, tu pourras penser à lui demain il va pas disparaître, pour l'instant repose-toi. Tu vas te rendre malade. »
J'étouffe un rire.
« Très bien Arthur. »
Il hoche la tête.
« Merci et bonne nuit. » murmuré-je.
« De même. »
Il se décale de sa roulotte et s'en va se coucher. Je l'entends faire, je vois aussi son ombre sur le sol, elle s'agrandit, se mouve avec aise jusqu'à ce qu'elle disparaisse lorsque Arthur s'allonge. Simultanément, je vide mes poumons.
Ses paroles me restent en tête. Je secoue enfin la tête. Doucement, mes mains descendent se poser sur mes cuisses, je contemple un bref instant le ciel étoilé qui nous surplombe puis les bois qui nous servent de cachette.
Il n'y a plus un bruit dans le camp, désormais. Je crois que tout le monde est parti se coucher. Plus de musique, de rires, de discussions enflammées. Il n'y a que ce sentiment de solitude qui m'emporte, pour autant, il n'est pas dérangeant. Il me fait du bien. Je me laisse donc tomber sur ma couchette et me tourne du côté de Karen. Je bats des cils, l'observe endormie de mon côté. Puis, sans attendre, je ferme mes yeux. J'obéis au conseil de Arthur et m'endort sans perdre de temps. Je me recroqueville sur moi-même.
J'ai encore le cœur qui bat à toute allure, l'esprit embrumé. L'image de Javier ainsi que le son de sa voix me restent en mémoire, je suis incapable de les fuir. Pour autant, ça ne me déplaît pas. Si je m'endors, c'est en pensant à lui que je le fais. Il me tarde de passer une nouvelle journée à ses côtés et qui sait, peut-être plus dans les jours à venir.
#javier escuella#red dead redemption 2#red dead redemption two#rdr2#javier escuella x you#javier escuella x reader#rdr
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Je suis tellement bourrée, j'ai plus trop l'habitude, j'ai évidemment peur d'aller dormir. Jsuis vraiment bleu omg. En fait j'ai refumé un joint mais ça compte pas, c'est du récréatif, mais fiou être défoncée c'est un travail en lui meme. Mon mec boude mdr, c'est génial. Il essaie de me faire culpabiliser de sortir mais j'ai aucun remords. J'ai juste envie de le quitter parce que c'est tellement dénué de sens. J'ai l'impression d'avoir un plan cul, pas un mec. La dinguerie. Jsuis fatiguée en plus purée vraiment du mal à respirer et être en forme. Jdis n'importe quoi mais vraiment c'est dur la.vie d'adulte. J'aime pas toutes ces obligations. C'est trop compliqué pour moi toutes ces responsabilités. Jessaie d'avoir une vie correcte mais c'est chaud. Ya tout qui me rend triste et fatiguée.jen ai marre de m'inquiéter pour un rien, ça m'épuise trop
Je regretet trop de trucs mais jaim pas ça parce que les regrets c'est pas sensé autant impacter
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Coucou :) Pour les questions sur les persos : Cyril (pour changer un peu) et Castti si ça t'inspire ?
Coucou ! :D Merci pour les questions ! ça m'a donné l'occasion de relire les soutiens de Cyril en plus, tout comme les discussions de Castti alors, ça fait toujours plaisir !
Rappel des règles (en espérant ne pas avoir compris de travers - -') :
DONNEZ-MOI UN PERSONNAGE; et je vais leur casser la gueule :
Ce que je ressens à propos de ce personnage
Toutes les personnes avec qui j'ai une relation romantique avec ce personnage
Mon OTP non romantique pour ce personnage
Mon avis impopulaire sur ce personnage
Une chose que j’aurais aimé voir arriver / arriver avec ce personnage dans le canon.
Cyril :
Ce que je ressens à propos de ce personnage
Alors, pour Cyril, c'était un peu dur au départ avec lui, vu qu'il semblait assez bourru mais, en voyant différentes interactions entre lui et les autres personnages, je l'ai de plus en plus appréciés à force de le connaitre, surtout que j'avais pas mal de personnage avec qui il a un soutien dans mon armée vu que je jouais les cerfs avec quelques lions de saphir lors de ma première partie. C'est souvent comme ça avec les persos : au début, j'ai du mal mais, quand on apprend à les connaitre, ils deviennent bien plus sympathiques ! Maintenant, j'aime beaucoup son côté très franc et direct, même s'il en devient bourru, et qui ne se laisse pas raconter des cracks ou marcher dessus quand Claude a besoin d'un almyrois honoraire dans la salle pour sa démonstration. J'aime aussi beaucoup sa relation avec Rhéa, surtout que même Nopes n'a pas raté leur relation en montrant que Rhéa s'en fait pour lui et veut le protéger (Fodlan nous a volé un soutien entre lui et Rhéa - ainsi que les autres nabatéens en plus de Seteth, c'est un fait et je mourrais sur cette colline !).
D'accord, il n'est pas parfait, il peut être très brute de décoffrage, surtout quand on le dérange quand il bosse, et il s'enferme trop dans son travail sans penser au futur mais, c'est un gosse, il a 14 ans au début du jeu, c'est normal de ne pas faire les choses correctement et de ne pas savoir interagir avec d'autres personnes à cet âge (dans un monde moderne, il rentrerait en 3e et passerait son brevet des collèges à la fin de l'année, évidemment qu'il n'est pas parfait, et je le trouve même plutôt mature sur pas mal de sujet... même si ça rejoint les pires soutiens du jeu avec Manuela), surtout vu tout ce qu'il s'est pris dans la figure : il a d'abord été enfant soldat dans son pays, puis esclave dans le pays ennemi et il a ENFIN trouvé un endroit où il est sécurité avec des gens qui s'occupent de lui et l'aime, c'est normal qu'il veuille tout faire pour aider et payer sa dette, même si ce n'est pas nécessaire et qu'on le lui répète. Il aime profondément Rhéa et veut lui rendre service. Et pour son absence de plan pour l'avenir, j'ai envie de dire : qui savait ce qu'il allait faire dans le futur à 14 ans ? Et vu tout ce qui lui est tombé dessus, il a surement passé une bonne partie de sa vie au jour le jour et survivre jusqu'au lendemain (ce qu'il dit à Seteth d'ailleurs, c'est la première fois qu'il a une raison d'être) alors, il n'a jamais dû avoir le temps de penser ce qu'il ferait de sa vie. ça ne fait que 2 ans qu'il est au monastère, il lui faut du temps pour apprendre à penser plus loin que juste le lendemain.
En plus, quand il accepte de s'ouvrir et qu'on gagne sa confiance, il s'avère être quelqu'un de fidèle sur qui on peut toujours compter et qui aide ses amis quand ils sont dans une mauvaise passe, tout en sachant les recadrer quand c'est nécessaire car, ils se lancent dans de grandes idées sans y avoir trop réfléchir alors, Cyril mérite plus d'amour !
Toutes les personnes avec qui j'ai une relation romantique avec ce personnage
Ah là, c'est un poil plus compliqué. Au départ, je le shippais un peu avec Lysithéa vu qu'ils sont plutôt mignon ensemble, et j'aimais bien que Lysithéa aide quelqu'un au lieu de chouiner qu'elle n'était pas un bébé H24 mais, vu que j'ai du mal avec son personnage (ça vient de moi pour le coup, je n'aime pas les personnages de petit chef autoritaire et qui veulent être considéré comme des adultes alors qu'ils sont encore immatures, surtout vu ce que ça donne dans son soutien avec Ignatz), je ne les shippe plus ensemble, même si je trouve qu'esthétiquement, ils forment un très joli couple tous les deux.
Par contre, je trouve que son soutien avec Pétra est vraiment excellent ! Les deux s'estiment, ils se sentent bien ensemble, Cyril comprend que Pétra soit aussi attaché à son pays natal même si elle a dû le quitter de force depuis longtemps et la respecte, et surtout, ENFIN un personnage qui reconnait que Cyril n'a pas à être attaché à Almyra et que sa vraie maison à présent, c'est Garreg Mach avec ses proches ! ça fait du bien ! Enfin quelqu'un qui le reconnait sans qu'il ait besoin de répéter dix fois ! J'aime aussi beaucoup leur fin où leurs relations devient un symbole d'entente et de paix entre Fodlan et Brigid alors, c'est devenu mon meilleur couple pour eux deux ! ^^
Mon OTP non romantique pour ce personnage
Ici, je dirais qu'à la base, ça se jouerais entre Mercedes et Ashe. J'aime beaucoup la manière dont Mercedes prends soin de lui et le voir autant à l'aise avec quelqu'un fait du bien aussi, et j'aimais bien aussi la manière dont Ashe aidait Cyril et devenait son ami petit à petit avec les deux qui peuvent compter l'un sur l'autre.
Son soutien avec Ignatz aurait pu rentrer en course vu qu'il aide Cyril à sortir le nez de son travail pour profiter de ce qui l'entoure et de profiter du moment mais, son insistance à ce que Cyril lui montre Almyra le plombe un peu, Cyril a le droit de ne pas vouloir revenir à Almyra vu ce qu'il y a vécu là-bas et de considérer Garreg Mach comme sa vraie maison où il veut avoir de bons souvenirs. Le soutien avec Shamir est très bien aussi mais, je les voies plus avoir une relation maitre / élève. Une très bonne relation maitre / élève où les deux s'aiment beaucoup mais, pas au point d'en faire mon OTP non romantique de Cyril (même si j'aurais adoré avoir un soutien de Cyril avec Catherine qui se comporte comme une grande soeur avec lui, et qui donne renforce la dynamique Catmir. Vu que Cyril est le protégé de Shamir, ils ont dû pas mal s'entrainer tous les trois ensemble, et Catherine aurait pu lui montrer comment s'améliorer à l'épée vu qu'il dit qu'il a du mal à en utiliser une). Idem pour sa relation avec Seteth, c'est plus celle d'un mentor qui veille sur Cyril et veut qu'il s'épanouisse en décidant de son propre avenir plutôt que de s'enfermer dans sa dette, tout en lui rappelant à quel point Rhéa serait heureuse de le voir s'épanouir et faire quelque chose qui lui plait, même loin d'elle. Et vu que le jeu pousse Rhéa sous le bus de l'intrigue en lui interdisant d'avoir d'autres relations et soutiens qu'avec Byleth, on a pas le droit de la voir s'occuper de Cyril alors que ça aurait été une super occasion de développer leurs liens, ça n'aide pas...
Maaaaiiis... après avoir lu le billet de randomnameless sur la relation entre Ashe et Cyril avec le facteur Lonato dans l'équation... la claque au réveil fait très mal mais, parce que ça touche des points très justes. Personnellement, je dirais qu'Ashe rejette complètement les doctrines de l'Eglise Occidentale et elle avec alors, il n'a pas été influencée par leurs discours de haine, d'où le fait qu'il n'a aucun problème à se lier d'amitié avec un duscurien et un almyrois mais, ça reste un problème dans leur relation : il est quand même le fils de l'homme qui a voulu assassiné Rhéa qui a adopté Cyril et lui a donné un foyer où il était en sécurité. Et vu qu'à la base, Ashe n'était pas au courant que son frère adoptif avait fait partie d'un complot pour tuer l'archevêque (il l'apprend qu'en lisant les lettres de l'évêque de l'Eglise Occidentale si on se fie à son soutien avec Catherine) et que c'était la raison pour laquelle, il a été livré à l'Eglise Centrale pour être exécuter (ce qui fait se poser la question : est-ce qu'Ashe pensait depuis tout ce temps que Christophe a été exécuté pour aucune raison ?), il se rapproche quand même du protégé de la femme qui a tué son frère adoptif. Même s'ils n'ont été que 3 ans ensemble, vu comment il en parle, je veux bien croire qu'Ashe était proche de lui et que sa mort l'a beaucoup affecté, surtout vu comment ça a détruit son sauveur qu'était Lonato à ce moment-là... ce qui complique évidemment les choses entre Cyril et Ashe.
J'aime toujours leur relation et leur soutien est très bon (si toute la donnée "Lonato a essayé de tuer Rhéa parce qu'il n'était pas content que les actes de son fils ait des conséquences" est bien traité) mais, ça le plombe toujours alors, je partirai plus sur son soutien avec Mercedes, Cyril a le droit d'avoir une grande soeur !
Mon avis impopulaire sur ce personnage
Cyril est un très bon personnage et c'est tout à fait normal qu'il soit aussi attaché à Rhéa et considère Garreg Mach comme son vrai foyer biiien avant Almyra après tout ce qu'il a vécu. Rhéa est sa maman, Cyril est son fils et je veux qu'ils vivent tous les deux très heureux pendant très longtemps à Garreg Mach avec Seteth et Flayn. Faites avec et que les rageux se penchent, j'ai besoin de leurs larmes pour faire du sel avec !
Une chose que j’aurais aimé voir arriver / arriver avec ce personnage dans le canon.
C'est classique mais, j'aurais beaucoup aimé que Cyril ait bien plus d'interactions avec Rhéa où on la voie en train de prendre soin de lui malgré son emploi du temps surchargé d'archevêque, ainsi que des scènes de vie mignonne entre eux. ça aurait été aussi cool de le voir parler avec Catherine où elle serait la belle-soeur plus cool que Shamir mais qui sait ce qu'elle fait pour qu'il apprenne correctement mais ça, c'est parce que j'adore le Catmir et je trouve que Catherine a une grosse énergie de grande soeur !
Castti :
Ce que je ressens à propos de ce personnage
C'est honnêtement mon personnage préférée du jeu et un auquel j'ai le plus accroché dès le départ. Pour le coup, à part pour Oswald (mais parce que j'ai eu du mal avec son côté bougon et émotionnellement mort, même si je sais que toooouuute son histoire le justifie largement), je m'étais très vite attaché à tous les persos de départ mais, étant donné que je prend toujours un soigneur comme personnage principal (histoire de toujours avoir quelqu'un qui soigne mon équipe tout en pouvant varier les compagnons), je suis partie sur Castti dont l'histoire me parlait plus que celle de Téménos étant donné que c'est une apothicaire qui aide toujours les gens, même après avoir perdu la mémoire et elle le fait même si les gens la rejette dans la première ville du jeu.
J'adore son histoire où elle redécouvre petit à petit qui elle est et son histoire mais, même si elle a tout oublié, les gens qu'elle a rencontré en chemin sont tellement marqué par sa gentillesse qu'ils ne l'oublient jamais et l'aide dès qu'ils le peuvent pour la remercier. Un de mes moments préférés de son personnage est quand elle met un énorme stop à un chef rebelle / militaire en plein combat avec la garnison d'en face pour lui dire "non, je laisse personne derrière. Je suis apothicaire, je soigne tout le monde comme je vous ai soigné auparavant et vous allez m'aider, vos conflits frontaliers attendront deux secondes qu'on mette tout le monde en sécurité. Et pas de discussion !" Puis elle va combattre un énorme monstre des sables qui vient de vaincre la moitié de la garnison du pays d'à côté à lui tout seul, et elle va l'affronter avec juste sa hache, ses décoctions, et son courage à toute épreuve ! Si le chapitre avec Rosa était le plus touchant et qu'on voie aussi son courage quand elle va sauver Mélia de criminel, je trouve que c'est vraiment celui à Saï où on voie le plus sa force de caractère avant qu'elle ne retrouve la mémoire.
Je trouve que c'est vraiment un personnage équilibré malgré sa perte de mémoire : c'est une femme gentille, généreuse, intelligente, travailleuse, très forte de caractère et au combat, et qui sait toujours prendre la bonne décision au bon moment tout en prenant soin des autres. Sûr et certain, c'est elle qui gère le plus l'argent du voyage avec Hikari et Téménos (Partitio le gère aussi plutôt bien mais, il a tendance à trop le distribuer pour recruter de nouveaux camarades dans l'aventure ou claquer une grosse partie de leurs économies pour aider financer un bateau alors, faut le surveiller ^^'). Même ses compétences personnels en disent beaucoup sur son perso : d'un côté, elle endors les gens qui ont du mal à dormir la nuit pour passer en douceur, et de l'autre, elle arrive à mettre en confiance ceux qui l'entoure pour qu'il partage leur histoire avec elle !
En plus, son gameplay n'est pas en reste vu qu'elle est pile dans le genre de perso que j'adore jouer : un perso solide défensivement mais qui peut affaiblir l'ennemi grâce à des moyens détournés comme le poison tout en soignant ses alliés (et sans gaspiller ses herbes grâce à sa compétence spécial !).
Toutes les personnes avec qui j'ai une relation romantique avec ce personnage
Là aussi, on reste sur les classiques, je la shippe avec Malaya, je pense vraiment qu'elle était en couple avant [ALERTE SPOILEEERRR !!!!] sa mort par pluie violette mortelle de Trousseau [fin de l'alerte] étant donné les quelques informations qu'on a (notamment avec la signification de la fleur blanche qu'elle utilise pour concocter le remède final) et vu que c'est précisément elle qui est resté dans le fond de sa mémoire et qui lui soit apparu parmi tous ses compagnons disparus.
Sinon, pour les autres personnages... j'ai pas vraiment de ship pour elle. Il y a beaucoup d'art autour d'une relation avec Throné (à la manière d'Alfyn et Thérion du premier jeu) mais, j'avoue ne pas les voir comme étant amoureuse l'une de l'autre. De bonnes amies et compagnons de voyage qui compte toujours l'une sur l'autre, oui, mais plus, pas vraiment. C'est même la voyageuse avec Téménos que je voie comme étant les moins proches d'elle en fait ^^' Idem pour Edmund, le chef des réfugiés qu'elle retrouve à la fin de son histoire, c'est plus une relation de confiance mutuelle et beaucoup de respect l'un envers l'autre. Elle restera donc célibataire pour le moment.
Mon OTP non romantique pour ce personnage
Là aussi, dur de choisir vu qu'elle a une très bonne relation avec tous les voyageurs dont elle prend soin et en retour, tous les autres la soutiennent toujours et l'aide autant qu'ils peuvent en reconnaissant ses capacités. Elle arrive à bien cerné Oswald et l'aide à se décongeler émotionnellement, sa dynamique avec Partitio est vraiment amusante vu qu'elle passe son temps à le troller (ce qui permet de voir une autre partie de sa personnalité), Hikari la respecte énormément et fait attention à tous ses conseils, Agnéa veut l'aider malgré sa maladresse...
Vu qu'on reste sur les classiques depuis le début, je vais dire Ochette, j'aime beaucoup leurs chemins croisées ensemble, surtout qu'il réutilise bien tous les codes du chemin de Castti où on a souvent l'impression que la console est en train de lâcher quand elle se souvient de quelque chose, et quand elle est perdu dans la forêt avec le Vide qui veut la "réconforter" loin de la colère des patients qu'elle n'a pas réussi à sauver mais, Ochette arrive à la sauver grâce à sa lumière et parce qu'elle est un personnage à la fois très positif et mature d'une certaine manière malgré son comportement enfantin.
Mon avis impopulaire sur ce personnage
Je ne connais pas trop les avis impopulaires sur Castti, tout le monde a l'air de l'apprécier... en discutant avec une copine que j'ai converti à Octopath, elle trouvais que Castti manquait un peu de personnalité au début, je sais pas si ça compte, surtout que je comprends d'où ça vient, même si je ne suis pas d'accord. Alors, je passe mon tour sur cette question ^^'
Une chose que j’aurais aimé voir arriver / arriver avec ce personnage dans le canon.
Là, c'est quelque chose qui est général à Octopath mais, j'aurais aimé qu'elle puisse plus interagir avec l'histoire des autres voyageurs (notamment Hikari à cause de ses pensées obsédantes et de son double maléfique, ça aurait été complètement dans ses cordes de l'aider avec ça, ou après qu'Ochette convainc les bêtes de l'accompagner, on aurait pu la voir les soigner après le combat). Je sais que c'est pour des questions techniques vu qu'il y aurait trop de possibilité de groupe à coder mais, je me dis qu'on pourrait partir du principe que les huit sont tout le temps ensemble mais, que pendant les parties scriptés, ils se séparent pour raison x (couvrir plus de zone, séparation forcé à cause du scénario, couvrir les arrières du groupe principal...) pour justifier qu'on en joue que 4 à la fois, et pendant le scriptes, les 8 puissent se retrouver et commenter l'action ou aider comme un groupe solide.
Pour Castti, j'aurais rajouté une scène où tous les voyageurs viennent la soutenir et la réconforter après qu'elle ait retrouvé la mémoire au village abandonné. Même si elle est déterminée à arrêter Trousseau, ça l'a quand même beaucoup ébranlé de se souvenir de tout ce qui s'était passé et de se rendre compte que tous ses amis sont morts mais, tout le monde l'aide et la soutient. Hikari l'écoute et comprend très bien ce qu'elle ressent, ayant aussi perdu des amis très chers au combat, tout comme Throné qui a aussi dû se battre contre Pirro au lieu qu'il puisse s'en sortir tous ensemble. Téménos pourrait l'inviter à prier pour leurs âmes car, même s'il ne croit plus vraiment aux dieux, il veut faire quelque chose pour qu'ils se sentent mieux. Oswald est moins émotionnellement mort qu'au début du jeu alors, il lui proposerait son aide pour améliorer le remède car, son poison pourrait être mélangé à de la magie noire, et la soutiendrait aussi à sa manière dans son deuil. Ochette et Agnéa peuvent moins aider sur ce plan mais, elles prendraient soin d'elle (je voie bien Ochette lui apporter un morceau de viande et Agnéa suivre avec un plat de chez elle pour qu'elle mange toutes ensemble et lui changer les idées avec Mahina/Akala qui vont se caler contre Castti, ou Agnéa danserait pour elle vu qu'elle est capable de faire oublier leurs soucis aux gens quand elle le fait).
Sinon, pour les chemins des autres voyageurs, c'est vraiment un vrai manque qu'elle n'intervienne pas sur la route d'Hikari : il est hanté par une version maléfique de lui-même qui ressemble à des pensées obsédantes mélangés à des hallucinations, et il fait tout pour les repousser et les contrôler autant qu'il peut pour ne pas blesser autrui à nouveau alors, Castti aurait été parfaite pour l'aider à les réguler (surtout qu'au départ, on ne sait pas que c'est à cause de la magie noire du grand méchant). Vu qu'on dit que le sang des Ku est maudit, Castti pourrait lui expliquer que ce n'est pas rare que des légendes et superstitions se créent autour de phénomène qu'on n'arrive pas à comprendre ou expliquer mais, qu'il n'est surement pas maudit. C'est peut-être qu'il y a une maladie héréditaire dans sa famille et qu'on peut la traiter. ça aurait vraiment été fort à la fin du troisième chapitre que tous les voyageurs se mettent à le défendre après qu'il soit arrivé à repousser de justesse, surtout si Ritsu commence à cracher sur Hikari ! Mais bon, c'est les limitations techniques du jeu n'aide pas...
#jeu de questions#dame ladyniniane#merci beaucoup pour les questions !#je suis vraiment désolé que ça ait pris autant de temps avant de te répondre !!!#Je voulais les faire ce week-end mais l'appel de la BD a été plus fort et je n'ai pas eu le temps hier...#je vais essayer de finir pour Peony avant la fin de la semaine !#j'espère que c'est clair en tout cas...#de mémoire tu n'as pas joué à Octopath alors j'ai essayé d'être le plus claire et précise dans mes réponses#j'espère juste que je n'ai pas compris le jeu de travers vu que les questions tournent autour du postif...#mais d'un autre côté on dit aussi et 'je vais leur casser la gueule' alors je ne savais pas trop sur quel pied dansé...#alors je suis resté sur le positif vu que j'avais surtout du positif à dire
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Voici les groupes sur HOW TO MAKE IT IN KOREA !
SPOON CLASS THEORY (la théorie des cuillères)
Idée selon laquelle les individus d'un pays peuvent être rangés dans différentes classes sociales selon leur patrimoine et leurs revenus. D'après cette théorie, le succès d'une personne dépend entièrement de la famille dans laquelle il est né. WIKIPEDIA
Les différents groupes renvoient à la classe sociale à laquelle appartient votre personnage, selon sa situation financière et son influence. Il s'agit du groupe officiel de votre personnage, c'est-à-dire, le groupe dans lequel les autres joueurs pensent que votre personnage appartient, sans tenir compte de son ou de ses secret(s).
01. DIAMOND SPOON.
Véritables stars de la capitale, souverains non officiels d'un pays qu'ils dominent. Les Diamond Spoon observent avec dédain la roture qui s'entasse au pied de leurs tours de verre. L'argent coule à flot et contribue grandement à leur magnificence, leur suprématie, et leur influence sur les affaires qui rythment la vie de cette ville qui ne dort jamais. Let them eat cake. Successeurs d'une prestigieuse famille à l'éclat indéniable, ils profitent de leur trésor sans se soucier le moins du monde de ceux qui n'ont pas reçu la même bénédiction.
Les Diamond Spoons, cuillère en diamants, sont majoritairement des héritiers de grandes familles (chaebols ou non). Ils représentent 0.1% de la population..Ils sont extrêmement riches (millionnaires à milliardaires), ce qui leur confère énormément de pouvoir et d'influence, à la fois sur l'économie et les affaires du pays.. I
02. GOLDEN SPOON.
L'aisance et l'élégance. Tranquillité et sérénité profonde, loin du tumulte et de l'agitation du monde extérieur. Les billets verts apportent une chaleur réconfortante, rendant le quotidien plus doux et plus agréable. Pour autant, cette opulence n'est pas assez importante pour attirer les vautours des presses. Golden slumbers fill your eyes. Ils sont probablement les âmes les plus tranquilles du pays. Ce sont ceux qui bénéficient d'un confort financier, sans qu'il ne soit question pour eux d'émettre trop d'influence sur les affaires urbaines.
Les Golden Spoons, cuillère en or, font partie des plus aisés du pays. Grâce à leur héritage et parfois (rarement) à leur dur labeur, ils sont riches et représentent moins de 5% de la population. Ils ne sont pas aussi riches que les Diamond Spoon, et ont bien moins de pouvoir et d'influence que les grandes familles de chaebols.
03. STEEL SPOON
Stabilité modérée, travailleurs aux revenus moyens. Ils sont les premiers pions de ce système économique qu'ils subissent, se démenant corps et âme pour atteindre l'aisance et l'harmonie. Ils existent, ils travaillent, ils sont là, et c'est tout. The Quiet Life. Aux yeux des plus riches, leur valeur semble se compter à leur degré de stabilité. Ils ont un toit au-dessus de la tête, de quoi manger, et un peu d'argent de côté pour leur permettre de profiter des plaisirs que la vie peut leur offrir. Jamais ils n'oseraient imaginer dépasser ce modeste train de vie qu'ils pensent si ordinaire ; après tout, ils sont en majorité.
Les Steel Spoons, cuillère en acier, regroupent la classe moyenne de Hanseo. La plupart d'entre eux sont des travailleurs, des familles, et parfois des étudiants. Ils représentent 40 à 60% de la population.
04. WOODEN SPOON
Les oubliés et les déshérités de Hanseo. Ils subissent la misère de leur situation, mais aussi les obstacles que la société leur impose. Ils n'ont jamais consenti à leur condition, et se battent jour et nuit pour résister à cette insuffisance. A working class hero is something to be. Le système les abandonne peut-être, mais eux n'ont jamais oublié leurs rêves ; ils se battront, s'échapperont de cette précarité et feront taire les médisants, ou se complairont dans ce train de vie qui les satisfait peut-être plus que quiconque.
Les Wooden Spoons, cuillère en bois, représentent la classe la plus défavorisée de Hanseo. Ils regroupent environ 20% de la population.
#ressources rpg#forum rpg#forumactif#rp#rpg#rpg asiatique#avatars rpg#pub forum rpg#pub rpg#rpg forumactif#groupes#annexe#rpg français#pub forumactif#projet forumactif#forumactif rpg#rpg forum#avatars forum#forum roleplay
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23 février
j'ai entendu une humoriste sur france inter qui disait qu'elle se sentait tellement seule qu'elle allait se faire faire des manucures pour que quelqu'un la touche et les gens dans le studio ont poussé des exclamations de dégoût choqué, les gens ne sont clairement pas prêts pour mon livre. et puis ce matin, toujours sur france inter, j'ai entendu un écrivain que je connaissais pas qui parlait de son travail d'homme à tout faire et de sa situation d'ultra précarité et que parfois c'est dur mais bon c'est lui qui l'a choisi (avant il était photographe et il portait des costumes dior). il est publié chez gallimard mais il est quand même homme de ménage et archi pauvre, il peut pas chauffer plus d'une pièce de son appartement que j'imaginais tout pourri à la bordure d'un paris imaginaire avec de la tôle rouillée et des murs qui suintent. il faut que j'arrête de voir la publication comme une finalité. je veux de l'argent, tant pis pour la liberté, ça veut rien dire la liberté. il me faut un plan de carrière.
25 février
encore en train d'écouter le nouvel album d'mgmt, je crois que je commence à l'adorer. j'étais un peu partagée au début. j'ai regardé des interviews et ça m'a replongée en 2008 dans mes jours de groupie en chef d'andrew vanwyngarden. ils sont inextricablement liés à mon adolescence de bloggueuse insupportable mais touchante (quelqu'un m'avait dit ça un jour dans les commentaires et je trouve que c'est une bonne description). dans une interview on leur demande pourquoi ils sont pas sur les réseaux sociaux et andrew dit qu'à leur époque c'était pas cool de s'auto-promouvoir et que faire un selfie c'était le truc le plus embarrassant du monde et ça m'a fait réaliser que beaucoup de temps avait passé depuis... je sais pas, que je suis née? aussi j'ai toujours honte de faire un selfie en public.
andrew a 41 ans. il est verseau, comme r. et comme a. j'ai réécouté leurs deux premiers albums hier, après m'être promenée sur le campus du lycée pour me rouler dans la nostalgie. la nostalgie de quoi, je sais pas trop parce que j'étais aussi déprimée à 17 ans qu'aujourd'hui, le seul truc bien c'était la musique les concerts et ma double vie de bloggueuse populaire où les gens me disaient que je leur manquais quand je partais en vacances. la première fois que j'ai écouté mgmt c'était un dimanche matin sur youtube, c'était le printemps et j'avais 17 ans et j'étais assise au pc dans la pièce de l'ordi et il faisait probablement soleil. le soleil et le printemps sont des composantes importantes de ma relation à mgmt. leur musique me rend nostalgique de plein de choses que j'ai connues et pas connues. comme wildflower des avalanches.
les choses pas connues: les époques avant les années 90; les états-unis. les choses connues: un truc doux et joyeux de l'enfance, une piscine chaude où il fait bon vivre; les sapins, la forêt de manière générale; le soleil (PLEDGE ALLEGIANCE TO THE SUN); le jardin de la maison quand j'étais petite, les fleurs de ma grand-mère, les habits que j'aimais quand j'étais petite (le tshirt avec les papillons, du rose barbie et du vert fluo, du jaune bordé de rouge, des pois, des fleurs); du bois (meubles).
6 mars
je me force à écrire. je suis en crise. j'ai envie d'exploser et d'imploser en même temps. j'ai envie de manger du sucre mais j'en ai pas envie, j'ai juste besoin de combler un vide, HA, à chaque fois je crois avoir trouvé un truc profond mais après je me rappelle que ça existe déjà et que c'est archi commun. j'essaie d'écrire un texte sur les mythes pour un appel à textes mais je me sens submergée par l'ampleur du thème et par les choses que j'ai à dire mais en même temps j'ai rien à dire. j'ai trop pris goût à avoir mes textes publiés dans des revues, c'est en train de devenir addictif, comme mon addiction aux annonces de location immobilières bruxelloises sur fb. je suis accro aux photos d'apparts dans lesquels me projeter et je suis accro à voir mon nom imprimé sur du papier.
mon texte sur a. tiré de bluettes que j'ai été assez naïve d'envoyer à deux revues différentes a été sélectionné par les deux revues et j'ai du choisir entre les deux et ça m'a stressée toute la journée lundi. j'en avais mal au ventre, comme à chaque fois que je dois faire un choix, ça a pris des proportions de vie ou de mort, j'avais peur de faire le mauvais choix et de le regretter toute ma vie. j'arrive pas à accepter l'idée selon laquelle y a pas de mauvais choix. dans ma vision des choses, y en a toujours un qui est forcément mieux que l'autre. j'arrive pas à voir les choses à égalité, tout est en compétition. alors j'ai demandé conseil à j. de paris, vu qu'elle a fait des meilleurs choix de vie que moi, je me suis dit que son intuition fonctionnait mieux que la mienne, et je l'ai suivie.
j'ai écrit aux deux revues en rentrant de la chorale et j'avais l'impression d'être dans the voice quand les candidats doivent choisir un coach et qu'ils s'excusent auprès des autres de pas les avoir choisis, sauf que ça aurait été mille fois plus facile de choisir un coach de the voice (mika). j'arrivais pas à croire que j'étais en train d'écrire un mail à une revue pour leur dire qu'elles pouvaient pas publier mon texte, j'avais l'impression de me tirer une balle dans le pied. en plus elles m'ont dit que ça leur faisait rien à elles que mon texte soit publié ailleurs. j'arrive pas à m'en remettre. l'autre revue m'a dit que c'était un beau luxe de pouvoir choisir mais entre la peur de faire le mauvais choix et la déception de pas être publiée dans mouche j'arrivais à peine à savourer le goût du succès.
#stuff#j'ai déjà laissé tomber l'idée du blog respectable#je crois que je préfère continuer à déblatérer ici
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LES DALMASSO : TEST À LA VIE À LA MORT
Clothilde Dalmasso a fuit sa famille et son père violent dès qu'elle a pu.
Mais la vie semble s'acharner sur elle alors qu'elle rencontre Dan : solide, gentil, elle se conforte dans ses bras. Mais le rêve tourne vite.
Sans famille et sans amis, il n'est pas dur pour Dan d'isoler Clothilde. Il la façonne et la contrôle. Ils ont une fille Georgina.
Mais le jour où Dan, encore une fois un peu trop énervé, tape dans une casserole bouillante qui tombe sur le cou de Georgie, c'est trop pour Clothilde. Elle part.
Elle retourne chez sa mère, maintenant veuve à Ravenwood. Elle trouve un travail aux pompes funèbres de la ville.
→ On va suivre ses aventures pour tester la nouvelle extension !
#Ravenwood#sims 4#ts4#sims#les sims#random gameplay#sims 4 gameplay#sims gameplay#the sims#sims 4 life and death#sims 4 ravenwood#sims 4 à la vie à la mort
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/...[triggering]...\
Je suis en train de penser à des trucs mega badants et cela me permet de réaliser 2-3 trucs par rapport à comment mes peines enfouies dans mon subconscient se manifestent avec mes mécanismes de défenses
J'essaye d'écouter mon corps et de situer mes émotions (on dit merci aux exercices somatiques). Je ressens une grosse boule lourde comme du plomb dans mon ventre (estomac) et ma mâchoire est mega crispée. Peur et colère
Honnêtement, j'ai envie de courir au nightshop m'acheter une bouteille de vin blanc et de boire à la bouteille. J'ai envie de me prendre des grosses lattes de coke en faisant péter les basses afin de ne plus m'entendre penser ou/et de me prendre une de ces poutrelle de k histoire de m'évader ou/et de fumer la blinde de grosse ganga qui fait planer puissance 15000 pour taire toutes ces choses et visions horribles qui me hantent depuis trop longtemps, qui refont surface et m'éclatent à la gueule
Mais non.. jsuis dans mon lit en train de me dire que c'est pas facile tout ce que j'ai vécu ces 20 dernières années et je suis consciente que céder à mes pulsions empirait le tout. C'est donc ça, s'asseoir avec ses émotions. Eh binnn c'est dur ptnnnn. Je suis également consciente que mon psyché est bien atteint et que continuer de me droguer risquerait vraiment de me faire caler à tout jamais.
La raison pour laquelle je me suis débarrassée de ma voiture il y a quelques mois est qu'à défaut de me tuer, j'allais finir par tuer quelqu'un. L'angoisse, l'anxiété prenait trop le dessus. J'étais sur l'autoroute et une voix me disait "prends toi le mur, allé" "accélère et fonce dans le tas" (death wish hello). Mes pensées parasites étaient devenues incontrôlables ... j'avais personne à qui en parler. Je me disais que ça y est la schizophrénie s'était installée et que ces voix n'allaient plus me quitter mais non, là, ça va mieux, surtout depuis mon hospitalisation en psychiatrie et les visites chez le nouveau psy et tout le travail que je fais sur le côté pour améliorer ma santé mentale, psychique et régler mes problèmes d'addictions et tout le tralala et le blablabla
Je me comprends mieux, ouais. Ça va mieux. J'dis pas que je vais BIEN mais ca va bcp mieux mais ptn c'est dur de gérer cette envie de crever tellement puissante parfois, tellement on a mal à l'intérieur de soi tellement qu'on se sent .... j'sais pas.. j'ai encore du mal à mettre des mots la dessus: abandonné délaissé unlovable moins que rien insuffisant triste démuni vide inexistant inconsolable... inconsolable ouais. La mort, je l'ai connue bcp trop jeune, je l'ai vue et je l'ai touché. Je lui ai parlé. Elle ne m'a jamais quitté. C'est pour ça que je la trouve si attirante. Je me dis qu'elle doit être plus douce que la vie, c'est sur! Je sais que ça doit paraître fucked up mais si vous saviez ... mon cœur
C'est du lourd (wesh) mais j'pense réellement que si je survis à cette année (oui, survivre) alors tout sera possible pour moi. J'accepterai l'idée de vivre et voilà. J'suis tjs là, je me donne à fond (même si je ne me l'avoue pas). Dieu (whatever it means) sait à quel point j'essaye d'être là, d'être ici, de me construire et puis pourquoi pas, d'être bien ..... d'être bien, oui. J'ai plein de jolies visions aussi, faut pas croire. Plein de jolis projets, en veux-tu en voilà
Le mal est toujours là. J'ai mal mais j'crois sincèrement que je suis en train de tout cracher, petit à petit. Le venim, la souffrance, le mal être est en train de sortir.... je le vomis. Je le vomis vraiment en mode vade retro satana. Le passé est passé, je me dois d'avancer
60 jours sans coke et 14eme jour sans cuite (je n'ai bu que trois verres ces deux dernières semaines) et plus de 3 semaines de yoga journalier au compteur !! ..... yay
#mental illness#cestpasjoli#introspection#addiction#alcoholism#exposure therapy#metacognition#go shawty
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Eté 1916 - Champs-les-Sims
10/15
Rose m'a aussi parlé des longues séances de rééducation. Combattre la douleur, redonner confiance malgré le membre perdu. Il est clair qu'au vu de ces blessures affreuses, je n'aurai guère envie d'être un homme à cette époque. Et malgré cela, elle les rafistole du mieux qu'elle peut. Aux défigurés, elle essaie de rendre un semblant de visage, aux estropiés, un semblant d'équilibre avec un membre artificiel. C'est un travail admirable. Admirable, mais bien trop dur pour quelqu'un de faible constitution mentale comme moi. Je grimace quand je vois Madame Eugénie se piquer avec son aiguille, alors recoudre des chairs. J'en tremble rien que de l'écrire.
Transcription :
John « Mademoiselle Beauvais ? Vous êtes occupée ? »
Juliette « En réalité, c’est Madame. En effet, je viens pour chercher pour la séance de rééducation en plein air avec le Docteur de Chastel. »
John « ... »
Juliette « Pourquoi me regardez vous comme cela ? »
John « Quoi ? Oh pardon je… la rééducation oui. »
Juliette « Vous vous sentez mal ? C’est à force de rester en plein soleil, vous avez peut-être une insolation. Allez à l’ombre en attendant que je vous amène un broc d’eau. »
John « C’est sans doute cela. Sauf que c’est vous, le soleil qui m’aveugle et me fait perdre tous mes moyens. Votre beauté irradie comme un astre de midi. »
Juliette « Veuillez m’excuser mais… la consommation d’alcool est interdite aux patients durant tout leur séjour à l’hôpital. »
John « Je ne suis pas ivre. Ou alors ivre de votre voix qui captive mes sens. »
Juliette « Bon, Monsieur le poète va devoir se lever et aller s��asseoir avec ses camarades dans le parc. J’ai autre chose à faire que de vous écouter divaguer. »
John « Oh non, ne vous fâchez pas, je vous en supplie ! Je cherche une façon de vous parler depuis des semaines ! C’est que… vous êtes si jolie. Et les belles femmes m’intimident, surtout avec ma jolie gueule toute balafrée. »
Juliette « *soupir* Ne dites pas cela, même avec une grosse cicatrice au milieu du visage, vous n’êtes pas si mal. Vous n’avez même pas perdu votre nez. En revanche, si vous êtes aussi bon soldat que poète et séducteur, ce n’est pas étonnant que vous vous retrouviez ici. »
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#sims 3#decades challenge#nohomechallenge#ts3#simblr#sims stories#Albertine Le Bris#Jules Le Bris#Juliette Le Bris#Rose Le Bris#eugénie le bris
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Je suis un peu démunie par rapport à l'un de mes patients et surtout par rapport à ses parents, ou comment devenir maltraitant en essayant de "bien faire".
Ado, syndrome autistique et une notion bien particulière de ce qu'est "l'abstrait" bien sûr. Donc le calcul littéral en maths est presque impossible parce qu'il a du mal avec le fait qu'on fasse des opérations sur des lettres, qu'on puisse y mettre des exposants. En chimie il galère aussi parce qu'on utilise des symboles. La physique et l'utilisation de formules, pareil, il galère. Les autres matières sont assez bien intégrées mais comme il a ce truc un peu bizarre dans son attitude aux autres, il subit du harcèlement à l'école. Les profs sont au courant du diagnostic et c'est important pour la tolérance et la protection à son égard, les harceleurs sont sanctionnés, l'école gère comme elle peut mais H. a aussi dû frapper pour qu'on le laisse tranquille.
Il a 15 ans, l'âge où il pourrait choisir une voie sans les maths, aller vers ce qu'il souhaite "du travail dans un bureau tout seul". Il a des projets, il veut écrire, raconter et il est capable de faire pas mal de tâches répétitives, encoder des informations,etc. C'est un jeune homme capable et motivé.
Mais ses parents sont dans le déni. Ils multiplient les prises en charge pour que ce gamin rentre dans les cases. Ils délèguent en se disant "on a fait tout ce qu'il fallait et il n'y arrive pas" et ils lui font passer le message qu'il est nul en tout, bon à rien malgré "tout ce qu'on fait pour toi"
Alors là pendant les vacances, il me voit 2h par semaine pour de la méthodologie et des maths. Et il voit une absl de soutien scolaire 3h par semaine pour de la chimie et de la physique et il y a également une dame qui va chez eux 2h par semaine pour un mix de tout. Ça fait déjà 7h.
Ensuite, il a psy, 1h par semaine. Et il change de psy régulièrement parce que les psys comprennent vite que le problème ne vient pas de lui mais des parents, et les changements ne vont pas dans leur sens. Il se retrouve à raconter sa vie encore et encore à des psys différents.
Comme si ce n'était pas assez, il voit une personne 1h par semaine également pour avoir une belle écriture.
Ça fait 9h de suivi pour faire entrer un ado dans une case. Il est déjà en difficulté identitaire par le simple fait d'être ado et ses parents lui expriment de toutes les façons possibles qu'il n'est pas celui qu'ils veulent qu'il soit.
Lui il veut écrire, il ne veut pas des maths. Alors en secret on bosse l'implicite du récit, les étapes d'une fiction, la polysémie, les récits "à la manière de".
Sa mère entend ce que je dis, parce que bien sûr j'ai dit ce que j'en pensais, j'ai dit que c'était trop, que ça l'épuisait, que c'était nocif pour lui et que s'ils veulent le voir épanoui, il suffit de supprimer les maths de son emploi du temps et le laisser écrire , j'ai utilisé des mots durs pour des parents pour qu'ils sortent de leur déni. Mais rien n'y fait, ça sort aussi vite que c'est rentré et rien n'est fait des informations.
Aujourd'hui il m'annonce que le nouveau truc de son père c'est "il est mauvais à l'école, il doit faire l'armée". Le père est bizarre, malsain et toxique. Souvent absent et en conflit permanent avec son entourage. On ne sait pas ce qu'il se passe derrière les portes mais je me doute que la pression que mon patient subit vient en grande partie de son père. Je sais aussi que si je mets trop les pieds dans le plat, les parents cesseront de me consulter et la confiance est installée entre lui et moi, je n'ai pas envie de le forcer à s'habituer à une nouvelle personne, ça a déjà été très long pour construire cette confiance.
Je vois de l'acharnement, qui à ce niveau est une forme de maltraitance, je vois un ado qui ne parvient pas à être épanoui parce que les personnes qui devraient le soutenir ne le font pas. Et je suis démunie par rapport à tout ça parce que mon champ d'action n'est pas si large que je le voudrais.
C'est encore une fois une remise en question de mon rôle de praticienne et de la compréhension à avoir à l'égard des parents. Je sais que mon rôle est de protéger mon patient mais à partir de quel moment peut-on dire fuck au putain de déni des parents et leur enfoncer dans le crâne que ça ne sert à rien de s'acharner, leur gamin ne rentrera pas dans les cases. Où sont les limites de mon métier...
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YOUTH RADIO CHAPITRE 1
(couloir)
Makoto : waaah...... j'ai beau vérifier dans toutes les directions, il n'y a vraiment personne.
hmm, peut-être que je suis arrivé trop tôt ? quoique s'il y avait du monde je ne réussirais peut-être pas à me concentrer sur mon travail.
il n'y a pas un bruit, je vais pouvoir réussir à me concentrer, aller travaillons un peu avant que tout le monde arrive.
(classe 2-A)
BONOJOUURR!!!!!!♪
effectivement il n'y a personne, je suis bien le premier.
...............
(j'ai sorti mes feuilles et mon stylo en me disant "au travail !!" c'est super mais...... je suis perdu. je ne sais pas quoi écrire..)
(jusqu'à présent... ou plutôt, jusqu'à ce que anzu chan arrive à yumenosaki il n'y avait pas beaucoup de postes en tant que membre du comité de diffusion....)
(bien sûr, c'est déjà arrivé que j'ai eu a choisir des pistes audio pour l'émission de midi, j'ai aussi déjà eu à rédiger des articles sur l'actualité de l'établissement.)
(pas mal de choses étaient réglementées par le conseil des élèves, donc je ne pouvais pas diffuser ce que je voulais. pour moi ce modèle de hiérarchie a toujours été présent ici.)
(il y avait des moments où je n'aimais vraiment pas ça, alors j'allais dans le quartier commerçant près de l'école et je recherchais de la bonne musique bon marché.)
(mais durant DDD, fine, dirigé par Tenshouin senpai, le président du conseil des élèves, s'est effondré et la monarchie absolue s'est effondrée.)
(les dream festivals ont également beaucoup changé avec le retour des shuffle unit et l'ajout du système "S3".)
(maintenant que l'on peut créer librement nos émissions sans se soucier du conseil des élèves, Nito senpai est tout excité.)
(l'autre jour, je travaillais sur un article pour l'émission du club, j'ai travaillé tellement dur jusqu'à en négliger mon sommeil.)
(je ne fais vraiment pas le poids face à nito senpai..... je suis tellement dépendant de lui que je peux même pas rédiger un script par moi-même.)
ah! ce n'est pas le moment de déprimer! demain je serais de service, alors je dois être en pleine forme!!
(je dois prouver a nito senpai que shinobu kun et moi pouvons assurer seuls, afin qu'il ait l'esprit tranquille.)
bon !! je suis remotivé! quel thème choisir...... quelque chose de pas trop sérieux, comme ça ce sera plus amusant à écouter que si c'était un sujet compliqué.
quelque chose d'amusant... quelque chose d'amusant... qu'est-ce qui me rendrait content ? autant que de manger mon plat préféré par exemple ?
ah! pourquoi pas un classement de mes plats préférées !
héhé je suis tellement intelligent ! c'est important de mettre beaucoup de réflexion dans nos émissions, même cette saison !
♪~♪~
WAH !! anzu chan!? depuis combien de temps tu es là ?
oh, est-ce que tu as entendu tout ce que je disais depuis tout a l'heure ?
euh.. certes j'y ai mis du cœur mais tout ça c'était juste une blague...
ah, tu n'es pas obligée de me dire ton avis ! après avoir vu ta réaction, je sais déjà ce que tu en penses...
au, au fait, c'est vraiment bien que tu viennes aussi tôt a l'école.
moi ? je suis de service pour l'émission d'après-demain après midi. donc je suis venu tôt pour rédiger le brouillon du programme~♪
je n'arrive pas bien à me concentrer chez moi, c'est pourquoi j'écris généralement mes brouillons à l'école ou à la bibliothèque, mais cette dernière n'est pas encore ouverte alors je me suis installé là.
um ? anzu chan où vas-tu avec ce sac ? oh, est-ce que tu as oublié quelque chose chez toi ?
"si je reste ici je vais gêner"...... non tu ne me déranges pas du tout, d'ailleurs ça serait même mieux si tu restais là, anzu chan !
anzu chan, est-ce que toi aussi tu es inquiète à propos de la production et des chansons du prochain live ? si tu es en train de chercher des musiques, alors aide-moi aussi !
eh bien, j'ai décidé le contenu pour l'émission mais je n'ai pas encore décidé quel genre de musique je vais mettre.
oui, je suis membre du comité de diffusion~♪ je dois réfléchir aux idées pour les programmes. et c'est également mon travail de décider quelles chansons nous diffuserons♪
les réglementations se sont assouplies, donc si on veut utiliser des chansons de groupes de l'école on n'est plus obligés d'utiliser que celles faites par les membres du conseil des élèves !
on peut toujours utiliser celles faites par les groupes du conseil, mais on a aussi la possibilité d'en utiliser d'autres !
après tout il est important que les idols de notre école découvrent de nouvelles chansons pour développer leur sensibilité musicale.
après tout lorsque l'on est chef cuisto et qu'on mange des plats délicieux, on a envie de les refaire pour les servir à nos clients pas vrai ?
mais également,
si nous nous limitons à ce qu'il y a dans l'école, notre champ de vision sera forcément réduit. il faut qu'on puisse développer notre capacité de voir les choses dans une plus large perspective pour que nos capacités en tant qu'idols s'élargissent aussi.
enfin c'est pas à moi de dire des choses aussi ambitieuses.. quoi qu'il en soit, maintenant je suis libre de faire un peu tout ce que je veux.
je me demande de quelle manière je pourrais le mieux en profiter..
euh, hum, tu, tu vois, tout à l'heure quand je disais que je cherchais de la bonne musique pas chère ?...
ah tant mieux tu t'en souviens ! eh bien, je pensais aller jeter un coup d'œil dans les boutiques aujourd'hui.
si, si par hasard tu as du temps libre anzu chan, je me demandais si tu aurais envie de venir avec moi pour trouver de la musique..
comme toi aussi tu cherches des chansons je pense qu'on pourrait faire d'une pierre deux coups ?
wah.... faire les recherches demain après l'école ce serait ce qui te conviendrait le mieux ? wah, tu acceptes vraiment qu'on y aille ensemble ??
merci anzu chan !♪ je choisis toujours les musiques de mon émission en fonction de mes goûts personnels donc ça arrive que ça ne soit pas très varié...
mais si anzu chan est là alors je pourrais avoir un avis extérieur pour trouver les meilleures chansons~♪
Mao : oh, j'entendais du bruit depuis le couloir, c'était toi makoto
makoto : oh ? isara kun ? tu es censé être dans la classe d'à côté, qu'est-ce que tu fais là ?
mao : hm. je revenais de mon travail au conseil des élèves, et en passant par là j'ai entendu des voix depuis cette classe.
j'étais tellement impressionné que quelqu'un soit là si tôt, alors j'ai voulu voir qui c'était et c'était vous. vous sembliez bien vous amuser alors je suis rentré♪
makoto : ah d'accord. isara kun, tu avais l'air vraiment occupé avec le travail du conseil des élèves hier, ne te force pas trop d'accord ?
mao : haha, merci !
moi je travaille dur, mais le vice président a encore plus de travail!
il y a des gens qui occupent des postes plus importants que le mien, alors je ne peux pas me permettre de partir en premier.
makoto : ah ouais, quand nito senpai reste tard au club je lui demande toujours si je peux faire quoique ce soit pour l'aider.
alors je comprends vraiment ce que tu ressens isara kun.
mao : tous les deux on a quelqu'un de très sérieux au-dessus de nous. il faut qu'on se montre à la hauteur en leur rendant la pareille.
makoto : ahaha, c'est vrai
mao : cette conversation est passionnante, mais je suis curieux de savoir de quoi vous parliez tout les deux avant que j'arrive.. est-ce que vous pourriez m'inclure dans votre discussion ?
~~~~~~~~~~~~
END☆
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tag game du rpg
règles du jeu:créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
Vu via le post de @barbe-noire-2
depuis combien de temps fais-tu du rp? — J'ai commencé il y a 17 ans, mais j'ai fait des loooongues pauses. Parfois pendant quelques mois, pendant quelques années. C'est dur d'estimer mon temps "actif".
quel était le premier personnage que tu as créé? — Oulà, j'avoue que mes souvenirs sont flous. J'avais genre 13 ans, c'était ridicule. Il me semble que c'était une fille populaire sur un forum rpg qui avait pour thème "High School Musical". Ce n'était pas très profond, je dois bien l'avouer.
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — J'avoue que j'ai toujours été hyper influencé par les séries ou films que je pouvais voir. Comme j'ai débuté durant la hype High School Musical, j'avoue que j'aimais beaucoup prendre Zac Efron, Ashley Tisdale, Miley Cyrus. J'aimais énormément Amanda Bynes, c'était elle que je prenais aussi beaucoup.
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — Pas vraiment un genre, mais plutôt les contextes compliqués et difficiles à comprendre. Je les admire, mais j'ai toujours énormément de mal à comprendre toutes les spécificités, les détails qui font la complexité du forum. Et finalement, je ne m'y sens pas bien, par peur de pas forcément respecter le travail de réflexion des créateurs du forum en question.
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — J'aime les drames, comme beaucoup je pense. Mais j'avoue que j'aime beaucoup les liens romantiques où les personnages cachent des secrets qui mettent justement en péril la relation.
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — J'aime assez les contextes qui mettent un avant une ville, une école. S'il peut y avoir une touche de surnaturel (sans que ce soit trop compliqué) alors je suis comblé.
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — En vérité, mes derniers personnages étaient les plus construits et j'ai une place dans mon coeur pour chacun d'eux. Mais j'aimerais énormément faire revenir Pearl, une jeune fille riche qui était détestable au possible et problématique sur tous les points. Mais il y avait aussi la possibilité de la rendre tellement profonde, d'ajouter du relief à ce personnage et j'ai la sensation de ne pas avoir pu explorer tout ça (du moins pas autant que je l'aurais voulu). Mais c'est un personnage si clivant, que je ne trouve pas vraiment d'endroit où la jouer.
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — Oh oui : le personnage triste, qui remet sa vie voir l'existence même en question. J'aime beaucoup explorer les sentiments et les décrire.
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — Alors pas vraiment ; à l'époque je lisais beaucoup des bandes-dessinés. En fait, j'aime énormément écrire, mais pas tant lire. Je trouve ça drôle. Mais dernièrement certains livres m'ont donné envie de m'y remettre : "Et ils meurent tous les deux à la fin" ; "My dear f*** prince" ; "Celle qui a tous les dons"...
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — En ce moment je suis sur deux forums que je recommande : All Delighted People - Blurryfaces. Il y a aussi un forum en projet que je suis et que j'ai hâte de voir s'ouvrir : @what-if-imagine. Je profite de ce petit post pour indiquer que je cherche des partenaires de rp', alors si jamais... hésitez pas à envoyer un message !!
☞ je tag: Ceux qui veulent reprendre le concept et participer. Je connais que peu de comptes sur Tumblr alors j'ai personne à taguer, en fait :)
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Opération speciale
Chap: 1
Ce soir, il m'a prévenu que l'on allait sortir. Comme souvent.
Je suis assise à côté de lui, côté passager. Mes chevilles liées par des menottes dont il garde la clef dans sa poche de pantalon. Une vieille habitude depuis que je vis chez lui. Ou plutôt, depuis qu'il m'a interdit de partir de chez lui!
Il a toujours peur que je me sauve. Il m'attache ou m'enferme en permanence. Pour moi ce n'est pas vraiment une nécessité, je n'ai pas d'endroit où aller, pas d'argent. Je ne sais même pas si je partirais dans l'éventualité où il me laisserait libre.
Il est dur mais plutôt juste. Je subis au quotidien. Je m'attache à lui comme un otage qui se lie à son gardien. Je m'habitue à cette vie finalement. Mon cerveau se vide.
Plus d'envies. Plus de rêves.
Je deviens un automate. Je subis sans me plaindre. Les quelques punitions que j'ai reçues les premiers temps m'en ont dissuadées. Les cachets qu'il me donne plusieurs fois par jour aussi j'imagine. Je me sens las. Sans énergie. Je n'étais pas comme cela avant.
Il est pharmacien. C'est facile pour lui de me rendre à sa merci. De me droguer. De faire de moi un zombie.
Nous avancons dans Strasbourg et nous nous rapprochons du centre. Le regarde par la fenêtre de la voiture. Le regard vide. Le paysage urbain défile. Des lumières. Des boutiques en train de fermer. Des passants.
J'imagine la soirée que je vais passer.
Je n'ai pas peur. Je n'ai plus peur. Je m'habitue a être malmenée. J'aurai mal sans doute. Je passerai un mauvais moment. Ça m'est égal. Je pense à après. Quand il irait travailler demain matin. Je serai enfin seule. Enfermée dans ma chambre. Mais seule. Je dormirai. J'ai toujours envie de dormir depuis que je suis chez lui. Les cachets sans doute...
Il se gare le long d'un trottoir. Il y a un peu de monde dans la rue. Je pourrais crier. Demander de l'aide.
Même pas la force. Même pas l'envie. Juste l'idée qui me traverse l'esprit...
Il défait les menottes et me regarde d'une manière menaçante:
- Je te fais confiance petite pute! Tu restes bien docilement à côté de moi, d'accord?
- oui Maître.
Je me garde bien de lui dire que je n'ai pas la force ni l'énergie de fuir ou de demander de l'aide. Il doit bien le savoir de toute manière.
D'ailleurs je ne peux pas lui parler. Il me l'a interdit. Je peux juste lui répondre. Et encore, avec calme, politesse et en baissant les yeux! Réponses courtes obligatoires. J'ai été punie plusieurs fois au début pour manque de respect. Je fais attention désormais. Ses punitions font trop mal.
Il fait le tour de la voiture et m'ouvre la portière.
- merci Maître.
Il me prend sous le bras, gentiment.
Nous commençons à marcher. Comme des amoureux. Nous donnons le change j'imagine, pour les autres passants.
Je fais l'objet de quelques regards de mecs que nous croisons. Je suis habillée un peu court pour ce début de soirée. C'est lui qui choisi mes tenues.
Il est fier que les hommes me regardent.
Il me chuchote à l'oreille:
- tu vois petite pute, tu plais aux hommes! Je suis fier de toi!
- merci Maître... je réponds en chuchotant également.
Dans ma tête, un sourire passe. La satisfaction. J'avoue ressentir une certaine fierté à plaire. Presque de l'excitation.
Nous arrivons en bas d'un immeuble. Il sonne.
Nous entrons lorsque la porte se déverrouille....
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Impossible de dormir je pense à plein de choses et comme toujours, j'ai la main sur très peu. Je repensais à la conversation que j'ai eu avec mon pote tout à l'heure sur le travail de psy et la responsabilité que c'est, et la neutralité qu'il faut et la bienveillance aussi. Je pense aussi au découvert de ma mère, on a acheté un lit pour mon appart, sa carte expire bientôt donc pour payer en plusieurs fois on a pris la mienne et elle voulait me faire des virements et aujourd'hui elle était déjà à -550€, j'ai du mal à vivre avec cette information. Le stress que ça doit être pour elle. Je m'en veux de lui coûter de l'argent même si je demande rien, il me fallait un lit mais ça me rend triste. Je pensais aussi au stage que je dois trouver, j'ose pas rappeler l'hôpital de peur de forcer et en même temps j'ai peur qu'ils me disent plus tard dans l'été que pas possible ou que quelqu'un a été plus réactif. Puis je repense à lex de mon mec qui le spam et me spam aussi et à l'envie malsaine de mettre une photo de moi trop fraîche. Mais en fait, quand je dis trop fraîche je pense à prendre une photo avec un filtre pour atténuer mes cicatrices d'acné parce qu'en fait je me trouve immonde. Et c'est un peu toxique de vouloir juste mettre ma tronche pour qu'elle voit qui l'a succèdée je sais. Aussi j'ai hâte de revoir mon mec, ça se passe mieux et le fait qu'il soit parti en vacances nous a donné de l'air et de la liberté mais je m'en veux un peu de pas lui avoir dit que je voyais un pote ce soir. Jlai pas dit pour éviter l'embrouille et c'est pas forcément bien mais c'est plus facile. J'avais pas envie de me prendre la tête pour ça alors que vraiment zéro ambiguïté avec lui et voilà c'est dur à faire croire que je peux boire un verre en tête à tête jusqu'à 23h avec un pote en parlant des années collège. J'aimerais pas qu'il me fasse ça mais il a un passif aussi, pas moi, d'où le fait que je banalise le fait que je mente. Puis je vais devoir lâcher bcp d'argent pour la fac, le permis, les vacances avec mon mec fin', je peux je vais être payée là en juillet mais j'ai toujours une peur profonde de manquer car globalement je vis avec 200€ par mois pendant 11 mois sur 12. Plus je grandis, plus j'ai peur de ne pas toujours réussir à subvenir à mes besoins. De ne pas avoir les moyens. Ma meilleure pote m'a invitée ce WE avec mon mec pour fêter son concours mais la vérité c'est que j'ai pas envie de la voir. Je suis très contente pour elle mais on est trop loin maintenant. Je fume énormément en ce moment et je sais pas comment faire, avant ça me posait pas de problème maintenant je sens que c'est pas très aligné avec mon côté "bien manger, faire du yoga, arrêter de fumer de la weed et de boire". Ma dermatillomanie ne cesse pas de grandir et ruiner tout mon corps sans que j'y puisse quelque chose. J'ai gâché mon visage, mes jambes, mon décolleté et je me déteste pour ça mais c'est le seul dérivatif que j'ai trouvé à la mutilation. Des fois, j'ai juste envie de me remettre un sale coup de lame pour m'éviter des heures de triturage de peau et c'est horrible à dire. Je me sens un peu nulle dernièrement en fait en plus de me sentir complément dégueulasse et affreuse mais ça va passer, tout passe. Voilà j'ai fait un effort, j'ai tout dit je crois, est-ce que je peux dormir ?
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