#tout le monde parle de nous mais personne ne nous parle
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Tips pour RP avec des personnages ayant des troubles dys.
Je parle surtout avec mon vécu et les difficultés que je retrouve au quotidien.
(Mon texte ne sera pas corrigé via un correcteur en ligne. Risque de faute.)
• Éviter un maximum d'utiliser des polices avec des empâtement.
C'est aussi agréable pour nous que lire un pavé barré. (Lexend de Google font... Just perfect).
• Prenez le temps de séparer les lignes de dialogue du reste du texte.
Changer de couleur ne suffit vraiment pas. Sautez au moins une lignes avant et après. Surtout si l'espacement des lignes est petite.
• l'écriture inclusive c'est ok, mais pas pour tout. Le mélange de mots (celleux, createurices etc...) c'est juste une difficulté en plus pour nous.
Comme certains point médian ! Au mieux, demandez a la personne avec qui vous jouez si iel préfère le •, le . ou encore le bon vieux - (mon pref ! Celui qui le convient me mieux). Et le TOP DU TOP ! Utilisez des mots neutres, tout simplement. Genre "Les hommes et les femmes" dire "les personnes" aux lieux de celleux. (C'est mieux si l'écriture inclusive était vraiment inclusive pour un max de gens).
• Essayez d'être assez bref.
Genre ça sert vraiment a rien de broder le texte en rajoutant des mots inutiles pour dire que Eugène mange une tranche de pain de mie. Joliment le décrire, oui. En faire une tonne, non. Pas besoin de remonter jusqu'à la pouce du blé.
• Si on répond a côté de la plaque, nous le dire avec bienveillance.
Il arrive (souvent) qu'on lisent mal une phrase, ce qui peut changer le sens de la réponse qu'on nous a envoyé. Ce n'est pas un manque d'attention mais juste que parfois, certains mots se changent en d'autre mots, ce qui est problématique pour la conpréhension su texte.
• Écrire et surtout lire nous prend plus de temps et plus d'énergie.
Nous pressez ne sert a rien a part nous mettre mal. Quand le texte devant vos yeux, même avec la plus grande concentration au monde, est illisible (fatigue, stresse...). Bah on ne peut rien y faire.
• Nous rattraper sur nos fautes sans notre accord peut être... Extrêmement vexant et baisser notres estimes de nous.
On sait qu'on fait des fautes, et même avec une super explication on l'a refera au premier coup de fatigue. Écrire est surtout un plaisir, on n'as pas forcément envie d'avoir un court de français, même si de base le geste était bienveillant.
• Surtout... SURTOUT laissez nous une chance.
Personnellement j'ai souvent ressenti de la honte a cause de ça. Je fais des fautes, je passe mes RP au correcteur orthographique, mais certaines fautes restes.
Bien-sûr, chaque dys est unique. Certaines choses dites ici ne sont pas valable pour tout le monde. C'est surtout mon vécu et ce que j'ai pu entendre en parlant avec d'autre dys rpgiste (trop rare malheureusement, souvent pas honte).
C'est pour ça que le mieux à faire, c'est d'en parler en amont. A vous, personnes dys, de prévenir en cas de problème. Et a vous, les autres, d'être cool pour que tout le monde puisse partager un passe temps/passion dans la joie et la bonne humeur.
Les dys (et autres), n'ayez pas honte. Ce n'est pas parce que votre écriture n'est pas parfaite que vous écrivez mal. Nous ne sommes pas bête, pas fainéants, et non, nos troubles dys ne sont pas une "simple excuse pour mal écrire" mais bien un handicap.
N'hésitez pas a rebloguer si vous voulez rajouter quelque chose (surtout des petits conseils) ou a tout simplement le dire en commentaire.
Et soyez bienveillant, il y a déjà trop de colère en ce moment.
La bise ! ♥
#dyslexic#dys en tout genre#dysorthographic#forum rpg#rpg#rpg francophone#Bisounours time#jé fé dé fote mé c pa grav
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
#article copié en entier car réservé aux abonnés#rien ne me surprend dans cet article mais ça m'attriste...#racism#upthebaguette#whatthefrance#french side of tumblr#french#en français#maghreb#mena#arabe#islam#muslims
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Conseils accessibilité graphique
Je me dis que c'est le bon moment pour re-poster ce post de 2021 qui trainait dans mon ordi, suite au message de @petrichorpg !
Point à noter :
L'accessibilité, ce n'est pas tout ou rien. On peut améliorer beaucoup de choses et d'autres seront plus difficiles car nous n'avons pas les connaissances, les compétences, le temps ou l'énergie. Le plus important, c'est de s'y mettre.
Même si je suis un fervent admirateur du design dit universel (bon pour tout le monde), l'accessibilité a aussi ses besoins de personnalisation. Certains handicaps, maladies, neuroatypies requièrent des aménagements précis et qui n'iront pas à tout le monde. -> Exemple : des personnes liront mieux en grand, d'autres en petit (vision tubulaire) ; un dark mode hyper contrasté conviendra bien à quelqu'un mais sera trop "bright" pour d'autres (c'est mon cas, j'adore le dark mode mais souvent, les textes sont trop lumineux pour moi).
Mais globalement, les conseils ci-dessous répondent à beaucoup de besoins et permettent d'améliorer l'accessibilité globalement. Ils sont majoritairement issus des recommandations internationales (et sinon, à travers mon expérience de graphiste).
J'ai encore pleins d'idées sous le coude mais bon, là j'ai déjà corrigé certains éléments de cette liste partagée en 2021. On verra pour le reste un jour aha
Je suis ouvert à toute question, clarification et correction en commentaire !
“Mais souvenez-vous que vous ne faites pas ce design pour des designers. Vous concevez un site pour des utilisateurices varié·es aux besoins divers, et avec différents outils pour y accéder.”
(terminologie : user -> utilisateur·trice / dys’ -> raccourci pour évoquer une partie ou l'ensemble des troubles d'apprentissage dont le préfixe est « dys »)
Typographies :
Textes tout en uppercase/capitales : À éviter sur tout un paragraphe, à garder pour de court mot ou court texte (1 ligne) -> Pourquoi ? Globalement, les textes tout en capitales manquent de lisibilité à cause de l’absence des repères de lectures comme les lettres qui montent (l,d,k) et qui descendent (p,j).En majuscules, toutes les lettres sont à la même hauteur.
Textes tout en lowercase/minuscules : À éviter aussi, les majuscules servent de repère de lecture pour savoir quand une phrase débute ;).
Texte centré : Éviter les textes centrés quand ils sont trop longs (longues lignes ou beaucoup de lignes). -> Pourquoi ? Les lignes d'un texte centré ne débutent pas aux mêmes endroits et la lecture en est impactée. À garder pour de très courts textes type 2 lignes (citation, titre et sous-titre court...)
Texte justifié : Éviter globalement (oui je sais, 98% des forums ont leurs textes justifiés aha....) -> Pourquoi ? Sur le web, on peut difficilement gérer les espaces entre les mots. Un texte justifié va donc créer des espaces + ou - grands entre chaque mot pour combler l'espace et rentrer dans une largeur fixe, ce qui peut complexifier la lecture (l'oeil va plus difficilement sauter d'un mot à l'autre en gros).
Texte aligné sur la gauche : À privilégier au max, surtout les longs textes ! Je sais que le justifié rend plus "esthétique" car tout est aligné. Si on veut les garder, plutôt pour les textes de catégories et privilégier le texte aligné à gauche (dans le jargon on parle de ferré à gauche) pour la majorité des textes type annexes, rp...
Line-height (espace entre les lignes) : Pour les paragraphe, il est recommandé d'avoir un line-height de x1.5 de la taille du texte. -> Exemple : paragraphe en 16px → 16x1.5 = votre line-height. Pour les grands titres, j'ai tendance à descendre à x1.3 généralement car normalement les titres sont courts et grands.
Letter-spacing (espace entre les lettres) : Éviter de changer les espacements de lettres, surtout sur ce qui est titre et paragraphes. Normalement une typographie a des espaces précis pour faciliter sa lisibilité. En ajouter peut créer des difficultés de lecture.
Niveaux de titres (ce qu'on nomme H1, H2, H3) : Choisir plusieurs niveaux de titres et s'y tenir. Il faut que chaque élément ayant le même niveau d’informations soit dans le même style graphique à chaque fois pour aider à comprendre la structure :) -> Exemple : tous les titres d’annexes = tel css / tous les boutons = tel css / tous les sous-titres = tel css. -> Partage d'infos en plus : les Hr ont aussi un rôle de structure pour les lecteurs d'écran (logiciel qui restitue vocalement ou en braille l'information écrite. Ils sont utilisés par certaines personnes aveugles, malvoyantes, qui ont des troubles cognitifs...).Je n'en parlerai pas dans cette liste car je n'ai pas de connaissance sur la facilité d'usage de Forumactif avec un lecteur d'écran.
Taille de texte : Sur le web, il est recommandé d'écrire en 16px minimum pour les paragraphes.
Accent et texte : Garder les accents sur les majuscules (À, É) facilite aussi la compréhension des textes.
Largeur de textes : Normalement sur FA, on n'a pas ce soucis, mais on conseille globalement d'avoir entre 50 et 70 caractères, espaces compris, par ligne pour une bonne lisibilité. Le but n'est pas de calculer chaque ligne mais de se rendre compte de ce que ça signifie visuellement ( j'utilise le site compteursdelettres).
Mise en valeur :
Changement de typographie : Éviter les changements de typographies dans des paragraphes pour mettre en valeur des éléments ! Plutôt utiliser le gras, une couleur différente ou un surlignement en couleur discrète (mais visible, faut juste pas que ça soit TROP visible).
Nombre de mises en valeur : normalement, une mise en valeur ne devrait pas être trop présente car sinon...ça voudrait dire que tout le texte est important aha. Restons utile et efficace : un peu de gras, un surlignement si besoin d'avoir 2 CSS de mises en valeur mais ne faisons pas un sapin de noël.
Italique : Utiliser l'italique avec parcimonie (manque de lisibilité sur certaines typographies). En général, l’italique sert pour des citations courtes, des mots en langue étrangère à celle du texte, des noms propres ou d’ouvrages, pas juste pour “faire joli”.
Soulignement : Éviter d’utiliser le soulignement pour des éléments non-cliquable. C'est un code connu et reconnu dans le web pour visibiliser les liens alors autant l'utiliser comme le cerveau s’y attend :)
Liens et infos :
Élément cliquable (bouton, lien, flèche...) : pas trop petit et éviter des éléments cliquables trop proches les uns des autres. -> Pourquoi ? Une personne qui a des troubles de la vision ou de la motricité pourrait galérer à cliquer au bon endroit si c'est trop petit / trop proche d'un autre élément cliquable !
Lien et css : je conseille toujours de garder le soulignement pour les liens, c'est un code connu du web alors autant de ne pas réinventer la roue. On peut ne pas avoir de soulignement pour ce qui est "logique" (genre les menus, on sait globalement que c'est cliquable) mais un lien dans un texte, on garde le soulignement ! -> Note : Un lien en couleur seule n'est souvent pas suffisant, surtout si on utilise déjà la couleur et/ou le gras pour mettre en valeur (il y a des cas à la marge mais j'essaye de rester efficace).
Cacher du contenu : Éviter de trop dissimuler du texte dans des collapses/accordéons. Plus les textes seront cachés, plus ça créer un sentiment de “mauvaise” surprise chez les users qui se retrouvent à lire 4x plus de texte que ce qu'iels pensaient.
Renseigner ce qu'on va trouver : Sur de longues annexes, ne pas hésiter à préciser le contenu avec une introduction courte qui résume ou avec un mini sommaire. Pourquoi pas y ajouter des ancres (html) pour faciliter la navigation dans l’annexe.Liens entre les informations : Ne pas hésiter en fin d’annexe/contexte à mettre des liens vers d’autres sujets qui serviront à mieux comprendre ce que les membres ont lu juste avant. Pas tous les liens, juste ceux autour des informations évoquées au dessus. En gros, aider les users à mieux comprendre en leur indiquant où se rendre ensuite !
Plan de forum : Sur un site, on conseille d'avoir une page "Plan du site", qui récapitule toutes les pages. Je me dis qu'un post "plan du forum", spécifiquement pour la partie annexe, peut-être très cool.
Couleurs :
Contraste général : Ni trop fort, ni trop faible. Dans les recommandations officielles d'accessibilité, on parle de ratio de contraste. Il existe des outils pour tester les couleurs de texte sur les couleurs de fonds pour voir si on est dans les clous. -> Comment s'y prendre ? Je vous recommande l'outil Color Contrast Analyser qui est un logiciel sur Mac et Windows : vous entrez la couleur de texte (1er plan) et la couleur de fond (2e plan) pour obtenir un ratio de contraste. L'objectif est de viser la conformité sur "texte normal" et "texte grand" du niveau "AA" (je conseille toujours le niveau AA car sinon on rentre dans des choses plus précises type si texte plus de 24px, on peut être moins contrasté etc...)
D'autres site de contraste (si besoin, je serais ravi de faire une vidéo pour montrer comment les utiliser) : Colorsafe.co ou Contrast-finder
Couleurs pures ou vives : Éviter les couleurs dites pures (noir #000 sur blanc #FFF, etc) ou très vives. Privilégier des nuances comme un noir coloré, grisé ou un blanc cassé, une couleur descendue et pas flashy, surtout pour ce qui est texte ! Même si le contraste sera bon, certaines couleurs trop vives peuvent entrainer des migraines ou autre sensibilité à la lumière.
Gifs : Éviter les gifs avec flash de couleurs ( type spot de soirées) ou flash trop rapides / répétition. Ça peut entrainer une crise d’épilepsie photosensible chez les personnes épileptiques (et aussi des migraines). Ou alors prévenir en amont. Donc à éviter sur des headers, à un moment c'était assez tendance. -
Éléments animés : Toujours laisser la possibilité d'arrêter une animation (ex : un fond de forum qui bouge pour donner un côté grain de vieux film -> on a un bouton qui permet de stopper cette animation.) Ça peut être plus complexe à faire mais une animation qui tourne en boucle, niveau concentration, c'est chaud :/
Information et couleurs : Ne pas signaler une information uniquement par la couleur -> Exemple : "info importante en rouge" ou pour diviser une liste d'info "en rouge les malus, en vert les bonus". -> Pourquoi ? Les personnes daltoniennes verront le rouge jaune/marron ou rose (il existe plusieurs types de daltonisme). -> Comment ? En plus d'une couleur, on peut accompagner d'un pictogramme, d'un symbole (triangle rouge = telle info ; carré vert = telle info), ou d'un mot, tout simplement. Ne pas oublier la légende ;) En plus, c'est top pour apporter un peu plus d'identité graphique !
Récurrence d'usage des couleurs : Utiliser chaque couleurs pour les mêmes éléments au fil des pages. -> Exemple : Une palette avec du bleu doux , du gris perle et du bleu marine : le bleu doux pour tous les boutons et liens, le bleu marine pour tous les titres, le gris perle pour les separateurs....
Autres :
Poids des visuels : L'accessibilité concerne aussi l'accès à l'information quel que soit notre matériel ou notre type de connexion. Tout le monde n'a pas la fibre et des headers de 3 mo (oui j'a déjà vu :/) peuvent être très pénibles à charger. -> Conseils : N'oublions pas de diminuer le poids de nos images en passant par des logiciels de compression (compress jpg ; compress png ; compress gif). Il est toujours possible de trouver le juste milieu entre qualité et poids !
Laisser la parole : que ce soit dans un post dédié, un questionnaire en ligne et anonyme, par MP au staff ou dans la fiche de présentation (le forum Maybe this time le propose par exemple), on peut intégrer la possibilité de faire des retours d'accessibilité ou préciser des besoins précis. On ne peut pas penser à tout et peut-être qu'un besoin remonté par un·e membre aidera d'autres qui n'ont pas osé en parlé !
Pour aller plus loin :
En anglais : conseils sur les couleurs pour les personnes avec des handicaps visuels
Designing-for-color-blind-users
Colour-accessibility
En français : accessibilité, design, webdesign
Le site design accessible
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"petit tips pour les anonymes, si vous assumez pas suffisamment vos propos pour les poster avec votre compte, c’est probablement que vous devriez les garder pour vous." Non c'est juste que tes potes et toi avez fait une profession du fait de tourner en ridicule et d'aggro les gens qui leur parlent ouvertement, confonds pas tout. C'pas psq les gens veulent pas que vous veniez vous acharner sur eux leurs fo et leurs potes pendant 5 ans qu'ils sont pas en accord avec leur opinion. C'pas psq des gens qui vous connaissent pas veulent pas deal avec vous que c'est eux le problème.
Et si on veut parler en anonyme tu vas faire quoi ? J'viens avec un post anon rien que pour te mettre ça dans la tronche : me semble que des meufs t'ont dit de pas parler sur leur projet et que t'as répondu grosso modo que tu fais ce que tu veux. Donc les anon font ce qu'ils veulent ? :)
Ah et pour ton "ouin ouin violence bouh regardez vous avez deux poids deux mesures" : j'peux pas t'aider comme le tone policing est interdit ! Mince alors. Mais t'es drôle quand tu insistes sur le fait que personne n'a à te dicter comment parler puis que tu sors une quote de comment t'estimes que X aurait dû te répondre avant de reblog Y pour te plaindre de son parler de banlieusarde. C'est pas comme si ça fait 4 ans que 90% des gens qui vous lisent vous disent que vous filez de l'anxiété à tout le monde et que vous êtes agressifs et que vous rendez impersonnelle et malveillante une cause juste, et que vous en aviez rien à taper.
Comme t'as dit t'es une bad bitch qui emmerde tout le monde donc vas-y relève-toi mdrrrrrr t'as soudain oublié ta street cred dans le marécage où tes potes ont laissé leurs neurones quand ils ont ficha qu'un post débat poli était trop long et trop complexe pour eux.
Bon étant donné que tout semble tourner autour du « vous » et du « nous » je vais donc en faire de même. Et vu que vous avez tous pris le temps de lire 5k d’une autre personne, vous prendrez certainement le temps de lire les miens n’est-ce pas?
Vous êtes super rapides à brandir la croix et la bannière pour défendre les gens sur des multitudes de sujets tels que la santé mentale, l’accessibilité, le plagiat et autres, mais quand c’est des personnes racisées qui expriment leur lassitude face à une discrimination qu’ils subissent (et donc un mal-être qu’ils ressentent, parce que c’est bien de ça dont on parle, c’est pas un débat ou l’un a tort et l’autre raison c’est un constat fait par des gens qui partagent leurs plaintes et vous votre réponse à ça c’est de les fustiger encore plus) là y’a plus aucune tentative de compréhension parce que vous êtes visiblement tellement étranglés par votre propre conscience que vous le prenez personnellement.
Vu que vous n'avez à priori pas dotés de suffisamment d'empathie pour parvenir à saisir les nuances d’une situation quand elle ne s’applique pas à votre propre personne : s’offusquer qu’on fasse des généralités (statistiquement correctes, j’insiste encore) sur les membres d’une communauté c’est du même niveau que les hommes qui s’offusquent quand des femmes témoignent de l’oppression qu’elles subissent et dégainent leur #notallmen. Là c’est pareil. On a pas dit qu’absolument toutes les personnes qui jouaient des fcs blancs sur ce forum ou d’autres étaient des racistes, mais si vous n’aviez absolument rien à vous reprocher ça vous serait passé au dessus de la tête et vous auriez pas été violentés au point de faire des amalgames comme si on avait sous entendu que vous étiez des nazis. La preuve étant qu’on a même pas qualifié quiconque de raciste, ce raccourci vous l’avez fait vous même comme des grands ce qui ne fait que prouver davantage que vous êtes au courant de la problématique que cette constatation de sur-représentation blanche représente. Vous êtes en train de vous empaler tout seuls sur votre épée mais vous préférez blâmer le forgeron.
En fait vous êtes tellement aveuglés par votre désir de diabolisation de nos personnages que tous vos arguments se focalisent sur notre façon de parler et/ou de ne pas parler plutôt que sur le message qu’on porte. Vous avez des œillères tellement phénoménales que vous préférez par exemple ignorer que si, on a répondu au long message qui ne comportait que des affabulations et de la réthorique fantasmagorique qui reposait sur de la spéculation totale. Tout ce qu’on dit vous trouvez un moyen de l’interpréter et de le tordre pour concorder au moule de votre vision étriquée de la situation et vu que vous avez l’air d’avoir des soucis d’ordre interpersonnels avec nous vous préférez ne pas chercher à comprendre ce qu’on dit mais plutôt trouver un moyen de nous le renvoyer à la gueule.
La vérité elle est très simple, on est face à une situation où on a constaté un manque de représentation dans les fcs des forums, et la réponse qu’on a reçu c’est « traitez nous pas de nazis vilains harceleurs haineux ». Un grand écart tellement prodigieux qu’il en ferait faire pâlir les plus grands gymnastes de ce monde.
On est tous d’accord je l’espère sur le postulat que le racisme c’est pas bien, donc pourquoi est-ce que vous cherchez à nuancer le propos uniquement quand la responsabilité de son existence vous incombe aussi? Au lieu de saisir l’occasion de vous remettre en question et d’œuvrer positivement pour faire de cette communauté un espace davantage bienveillant comme vous semblez tant le désirer vous préférez sacrifier ça au prix de votre défense. Quel égoïsme et autocentrisme tragique.
En tout cas ne te fais pas de soucis pour nous, on se porte tous très bien mentalement, on notera tout du moins la rapidité avec laquelle tu es venue te réjouir et fanfaronner d’un potentiel mal-être de notre part. L’attention portée au mental des gens c’est à sens unique comme toujours mais heureusement on est solides à ce niveau là parce qu’on est profondément convaincus de la noblesse de nos propos et de ce qu’on défend. Les difficultés de l’un ne l’emportent pas sur celle des autres, vous ne savez à priori pas grand chose non plus de ce qu’on vit ni qui on est, mais étant donné qu’on ne pollue pas nos paroles avec des informations d'ordre de l'intime on n’y prête pas attention. Si vous êtes fragiles mentalement et souffrez d’anxiété, j'en suis désolée pour vous mais ça n'a pas sa place dans la discussion et avant tout ça ne vous dispense pas d’être tenus responsables de vos propos et actions lorsque ceux-ci sont de nature discutable. Si vous proférez des propos virulents et invalidants, on vous répondra avec la même énergie parce que jusqu’à preuve du contraire le droit de se défendre ne vous est pas exclusivement réservé, et soudainement vous vous plaignez en disant que ça vous agresse? J’suis au regret de vous annoncer qu’il fallait pas laisser votre bouche écrire un chèque que votre cul est pas apte à encaisser.
Maintenant que ça c’est fait, je te réponds aux critiques envers moi et moi seule. Par rapport au sujet de ma critique vis à vis de l’anonymat, oui vous faites ce vous voulez, et moi j’ai pareillement le droit d’exprimer mon avis sur la question. C’est ce que j’arrête pas de dire depuis le début mais vu qu’encore une fois vous préférez comprendre ce que vous voulez je vais continuer à radoter.
Mon message avait pas pour but de « chouiner », il avait pour but de retourner le principal argument qui est employé depuis le début de cette histoire pour dévaloriser nos paroles et décrédibiliser l’importance de notre revendication étant : vous êtes violents, et même si on est d’accords on cautionne pas. Le fait étant que là y’a de la violence réelle et tangible qui a été proférée mais j’vois personne en aller de son petit texte et rebloguer en masse pour exprimer oh combien ça le remue de voir de l’agressivité. Étrange phénomène. Ça prouve bien que le problème de notre soit-disant violence il est épidermique et que le cœur de vos reproches envers nous est lui bien viscéral.
La vérité c’est qu’à la fin de la journée c’est chacun avec sa propre conscience et vu la virulence avec laquelle vous défendez et justifiez votre caractère j’ai l’impression que la vôtre est bien bien lourde. J’ai jamais dit que j’étais une bad bitch, jamais mentionné la moindre street cred mais merci pour le compliment, et tu sais quoi pour te remercier c’est ton jour de chance j’emmerde pas tout le monde mais j’vais mettre un point d’honneur à t’emmerder toi tout particulièrement, des bisous.
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J'ai été déçue tellement de fois par tellement de monde pour tellement de choses. À vrai dire, je pense rarement à mon passé, les gens autour de moi, que je les connaisse ou pas, y pensent certainement davantage. J'avais rendez-vous avec une potentielle maître de stage aujourd'hui alors je m'y suis rendue. Le stage concerne un service de réanimation pédo-psychiatrique. Je n'aurais jamais pensé qu'un personnel de santé qualifié et réputé me parle comme si j'étais mon passé, mes cicatrices, une vulgaire maladie. J'ai toujours pensé que je me devais d'être transparente envers les personnes impliquées dans ma vie, peu la sorte d'implication. J'ai toujours été honnête sur mon passé, ouverte pour en parler, pour rassurer, pour me laisser connaître. Aujourd'hui, j'ai continué sur cette lancée et j'ai été honnête avec cette dame. J'ai commencé par lui dire que je trouverais ça plus approprié de venir manche longue lors des consultations où les adolescents pouvaient vivre des épisodes de mutilation pour éviter la fascination, de l'angoisse, des pulsions. Cependant, au lieu de me donner son avis sur cette pensée, elle m'a plutôt dit que faire mon stage dans ce service me ramènerait à mon état, que je n'arriverais pas à tenir ce stage, à vivre la douleur des autres sans penser intensément à la mienne, que je ne serai jamais guérie, que j'étais fragile, qu'il fallait que je me préserve, que je ne serai jamais psychologur ou jamais une bonne psychologur du moins. Je me suis demandé si se préserver c'était s'empêcher de vivre par peur infondée de recroiser un embryon de notre passé dans chaque situation future. J'ai senti une colère et une déception vertigineuse, tout ça pour ça alors ? Avoir été mal ne serait que finalement une entrave supplémentaire au fait d'exister ? Si je n'avais pas eu de cicatrices, elle n'aurait jamais été sur ce terrain affectif malsain. On ne lit que très rarement les traumas des gens sur leur corps. Un viol ne se devine pas, une tentative de suicide ne se devine pas, une rupture amoureuse ne se devine pas, une addiction non plus mais des cicatrices oui. Pourtant elles seront là toute ma vie. Et même des années après, je n'ai jamais trouvé le moment pour en avoir honte. Mais tout ces efforts pour quoi ? Ces années de thérapie à me soigner, ces internements forcés privée de tout à être contrainte de réfléchir, toutes ces études, tout ce travail sur moi pour quoi ? Pour quoi faire si finalement au yeux de tout le monde je reste qui j'ai pu être et surtout ce que j'ai eu ? J'ai pleuré parce que je pleure souvent en ce moment et parce qu'on ne m'avait jamais autant déshumanisée que pendant ces 45 minutes d'entretien. J'ai tenu bon, le regard sec, fixe, attentif, les déglutitions douloureuses et les tempes qui battaient fort dans mes lobes temporaux certes parce que je n'ai rarement autant rien eu à prouver qu'aujourd'hui. J'ai fait ma part du travail. Personne n'a aucun traumatisme et aucune manière d'être certain qu'il ne sera pas réactivé ou juste recroisé de loin, pour autant, arrêtons-nous de vivre ? Qui est ce que je dois protéger en renonçant à ce stage ? Moi ? Les patients ? Un personnel de santé incompétent ? On nous dit de vivre pour nous, librement et qu'aller mal n'est que le reflet d'aller bien, pourtant, ma condition d'adolescent malade me suivra sûrement à vie. Je ne pensais pas arriver au stade où je devais justifier que je ne me tuerai pas à la moindre plaie, aux moindres mots forts, à la moindre détresse apparente. Ça m'a fatiguée. Je suis profondément fatiguée.
Les personnes les moins humaines sont celles que j'ai le plus côtoyé dans le milieu du soin. Je repense souvent à cette médecin des urgences qui a dû me recoudre sur 20cm de mon avant bras et sur deux plans de ma peau. Avoir m'avoir répété sur je prenais la place des autres et que j'étais folle, elle m'a recousu à vif, sans anesthésie en me disant "tu voulais souffrir en faisant ça hein ? Alors tu vas vraiment souffrir". Je repense à ma psychiatre qui m'a fait interner, qui a fait signé les papiers à mes parents dans mon dos et qui les a obligés à me conduire à l'hôpital psychiatrique alors qu'on était censés faire une balade. Je pense à cette psychologue qui m'a obligée à rester assise pendant des heures devant mon assiette pour me forcer à la manger. Je repense à cette infirmière qui a soupiré quand il a fallu m'amener me faire recoudre au service juste en dessous de l'hp, elle m'a dit d'y aller seule. Je repense à toutes l'équipe de soin qui m'a gardée jusqu'au jour de mes 18 ans pour me faire sortir le lendemain juste pour que je le fête là. Je suis en colère si fort parce que je n'ai jamais rien dit, j'ai obéi, j'ai fait alors que j'avais le cœur fracturé. Tout ça pour ça.
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Qui êtes vous, selon votre personnage préféré de Blue Lock ?
Le principe est simple, tous les personnages du manga/animé ont des fans. Comment ces fans sont (personnalité) par rapport à leur personnage préféré ?
⚠️🚨 Le post ci-dessous n'a qu'un seul but humoristique, toute critique est à prendre au second degré et n'est en aucun cas là pour vous blesser, si c'est le cas j'en suis désolée 🙏🏻
Isagi Yoichi : Ceux qui ont pas encore choisi
Ceux qui le préfère, c'est des gens biens, des gens bienveillant en qui tu peux avoir confiance. C'est vraiment eux qui ont commencé la série, ils ont pas encore choisi qui ils préfèrent donc ils restent dans leurs zones de confort et prennent le personnage principal pour pas faire de faute.
Ça fait plus de 100 chapitres qu'on nous parle d'Isagi et ils sont toujours là, du premier chapitre au dernier, ils sont toujours derrière lui. Que ce soit pour l'encourager ou pour le vanner derrière son dos. C'est des gens qui savent pas trop s'énerver, très humble, ils ont du mal à dire non et à crier sur quelqu'un parce qu'ils veulent pas blesser profondément. C'est des gens biens.
Je recommande.
Rin Itoshi : Gars sûrs
C'est ceux qui ont d'abord préféré Isagi et qui pour une raison que j'ignore, sont partis dans le camp de Rin. Soit pour suivre sa rivalité avec son frère, soit parce que Isagi n'était pas assez passionné par le football.
C'est vraiment des gens qui sont à fond sur Rin, ils l'aiment beaucoup pour tous ce qu'il apporte à la série. C'est quelqu'un qui est plus strict, plus froid que Isagi qui lui est plus ouvert au rencontre. Les fans de Rin préfère son foot plus calculateur, plus manipulateur et sa froideur au quotidien. C'est les fans introverti de Isagi qui ne se reconnaissent pas dans sa chaleur et sa lumière.
Après c'est vraiment des gens qui souhaite à Rin de réussir dans sa vie, ils sont très sympas avec la communauté mais un peu plus fermés aux avis des autres sur leur personnage préféré. Ils sont aussi très discret comparé à leur nombre.
Sae Itoshi : Les fumeurs de cigarettes
Contrairement à son frère, les fans de Sae c'est des fumeurs de cigarettes, ils savent que leurs préférés c'est pas le meilleur. Il est asocial, il parle à personne, il refuse de jouer avec les autres, il a même rejeté son propre frère. Mais. Mais...
Ils l'aiment quand même.
Parce que Sae est drôle. Quand il parle nonchalamment à des supérieurs hiérarchiques, en les insultant, c'est vraiment un personnage décalé qui ramène un peu de la légèreté dans un monde très sérieux.
C'est un connard, mais ils l'aiment quand même.
Ils aiment son foot mais ils le déteste parce que son foot est parfait, ils le déteste parce qu'il fait du mal aux autres mais en même temps il a raison. C'est vraiment l'antagoniste, le vilain que tu n'aimes pas mais qui a de bonne raison, que tu comprend pas sur le moment mais que quand tu finis par l'entendre, tu te rends compte que c'était pas une si mauvaise personne. Qu'il a un message à faire passer.
C'est je pense, la raison qui fait que les fans de Sae l'aiment.
Reo Mikage : Les masochistes
Eux ils aiment souffrir, ses fans savent tous à quel point le mental de Reo c'est comme le beau temps, ça va, ça vient, kousi kousa.
Ils savent qu'il va sombrer à un moment mais ils restent quand même avec lui sur le même navire.
Pourtant c'est de bonnes personnes, encore plus fidèle que ceux de Isagi. Leur perso sombre, et pourtant ils sont toujours là pour attendre qu'il se relève et le soutiennent toujours autant comme un seul homme.
J'éprouve beaucoup de respect pour eux et j'espère que vous pourrez en faire autant.
Shidou Ryusei : Les passionnés (un peu trop)
Ils ont rencontré Shidou ça a été le coup de foudre, vous êtes ce couple un peu étrange vu de loin mais en s'approchant en fait on arrive à comprendre la relation.
Je pourrais pas expliquer ce qu'il se passe avec lui, mais ses fans le résume vraiment à sa manière de parler un peu crue. À chaque fois que je vous vois parler ou interagir avec d'autres vous ne parlez que de ça, Shidou pourtant plus que ça, c'est un personnage qui est très solaire, il attire beaucoup l'attention et est très expressif, il est cru et n'hésite jamais à dire ce qu'il pense même à quelqu'un supérieur à lui. C'est un personnage un peu sauvage mais libre surtout. C'est ça que j'aime chez lui.
C'est pour ça que je suis un peu gêné avec vous, parce que tous ce que vous aimez chez lui semble être sa manière de parler. C'est juste un peu dérangeant. Vous pouvez l'aimer, je vous l'interdit pas, mais c'est juste... pourquoi aimer un personnage juste pour sa manière de parler ?
Et chez certains ce genre de caractère un peu fou, ça vous a touché, vous êtes passé outre sa manière de parler très limite. Même s'il parle mal de vous ou qu'il vous frappe, vous vous en foutez, vous l'aimez à la folie.
C'est comme avec Sae, vous êtes conscient de son caractère un peu débridé, mais vous le trouvez attachant tout de même.
Michael Kaiser : Les Stans
« Tu lances un jeu mais pas niveau difficile, niveau expert.»
« Il faut beaucoup d'endurance pour maîtriser les fans de Kaiser.»
Les fans de Kaiser sont les pires fans de persos que j'ai rencontré. Là-dedans il y a tout. Il y a ceux qui sont l'aiment à cause de son passé et qui le déteste à cause de son caractère présent, ceux qui l'aiment gentiment, qui le supporte parce que tous le monde à besoin d'amour.
Mais il y a une catégorie qui dépasse tout ça, quand est trop présente et qui rend pas service au personnage. J'ai jamais eu autant peur de fans, cette catégorie est vraiment la pire.
C'est eux qui ont commencé à se tatouer des trucs chelous sur le côté du cou en forme de rose, qui se sont teint les cheveux en bleu et en blond. Qui ont commencé à changer de personnalité juste parce que, c'est trop cool de ressembler à un personnage détesté de la communauté. Qui s'habille comme lui, qui parle comme lui, qui ont commencé l'allemand juste pour essayer de le comprendre, qui on réservé un vol à Berlin pour faire des selfies et parler de leur récente passion pour un certain joueur de foot allemand.
Qui savent exactement ce que Kaiser veut dire en allemand ou même son prénom, allons plus loin. Qui met de l'eye-liner en expliquant que "vous ne pouvez pas comprendre d'où ça vient, c'est trop compliqué à expliquer".
J'en ai croisé qui prenait des screenshots de page du manga où il apparaissait, qui les imprimait et les découpait pour le garder et faire un collage de lui avec des positions qui mettait en valeur ses cuisses.
Et il y a ceux qui pensent que Kaiser est la réincarnation de Jésus parce qu'il avait des cheveux longs blonds et qu'il sauve les match comme Jésus de la maladie.
Je parle pas des filles qui ont commencé à tomber de nouveau amoureuse des blonds aux yeux bleus, parce qu'ils sont trop beaux.
Je parle pas non plus des fans inconditionnels, capable de retracer la vie de Kaiser du moment où il était dans le ventre de sa mère jusqu'à ce qu'il meure alors qu'il est même pas mort. Ceux-là, il faut s'en méfier. Ils sont capables de venir te voir dans tes DM, et de dire "dans tel message de tel jour, troisième ligne du deuxième paragraphe, tu as théorisé sur le fait que Kaiser n'aimait pas les chocolats, je tiens à te préciser que selon le chapitre 234, douzième page, troisième bulle en partant de la gauche, Ness précise que c'était lui qui réceptionnait ses chocolats de saint Valentin et que il l'a vu en manger et que donc c'est faux".
Ou encore qui sont capables avec juste quelques images de lui, de déterminer la longueur de ses mains à partir du théorème de Pythagore, qui indique qu'en suivant les lignes de ses phalanges et en appliquant l'équation suivante √12 x 34 /(nombre de centimètres qui sépare les doigts du sol) puis en le multipliant par le nombre de centimètres de la main, arrive à trouver la longueur de sa main. Ou ceux qui essayait de calculer le volume de ses cuisses, en mode c'est un moteur cylindré.
Quand je vous dis que bientôt, il y en a qui vont créer un autel sacrificiel avec des photos de Kaiser accroché sur leur mur, un faux autographe signée sur un bout de papier, des bâtons d'encens et eux devant l'autel en train de faire des prières pour espérer qu'un jour Kaiser devienne réalité. Un jour vous penserez à moi et vous saurez que je l'ai pas inventé.
Il y en a déjà qui pense que si tu appelles trois fois Kaiser à 3 heure du matin devant ton miroir, il apparaît.
Le problème avec eux c'est qu'ils aiment tellement Kaiser qu'on peut plus discuter avec eux, après tout il est tellement parfait. Pour eux Kaiser est parfait c'est juste qu'il est pas respecté comme il devrait l'être. C'est des gens vraiment trop fans qui font peur, souriez au moins.
J'ai juré.
Kurona Ranze : Excessivement effrayant
Oui oui ils existent.
Contrairement aux fans excessif de Kaiser qui protège la mauvaise personne avec beaucoup d'acharnement, vous protégez Kurona mais un peu agressivement.
En fait le problème c'est que vous l'aimez trop, j'ai l'impression que vous voulez le protéger de tout et de n'importe qui et donc, dès que quelqu'un pense qu'il est pas assez fort au foot ou trop discret ou trop quelque chose, vous le défendez bec et ongle parfois en n'étant pas au courant d'être méchant .
C'est à dire au lieu d'être insultant et méchant vous allez vous expliquer pendant des heures sur pourquoi tu devrais aimer Kurona, presque on a pas le choix. Alors que tous le monde peut aimer qui il veut (sauf Kaiser).
Soyez comme les autres fans de Kurona, soyez pleins d'amour, de bienveillance et de paix. Propagez la bonne parole mais pas pendant des heures. Restez entre vous si vous n'aimez pas comment les gens parle de lui, mais ne harcelez pas les autres comme les témoins de Jéhovah.
Avez vous un peu de temps pour que je vous parle de Kurona ?
Alexis Ness : Les incompris
Ceux qui sont fans de Ness, ils sont courageux, c'est des leaders nées, parce que pour détendre et aimer un personnage qui est détesté, il faut de la force.
Généralement au début tous le monde l'a détesté, sauf les fans inconditionnels qui l'ont trouvé attachant juste parce qu'il ressemblait à un chien ou qu'il était mignon (je vous juge un peu).
Les autres ils ont commencé à l'aimer un peu après, soit par pitié soit par gentillesse parce que vous êtes de bonnes personnes qui aidez votre prochain.
Vous êtes vraiment des bonnes personnes, vous méritez vraiment qu'on vous écoute, qu'on écoute vos arguments au moins une fois et qu'on tranche comme dans un tribunal. Vous êtes des fourmis dans le poème, vous trimez mais personne ne vous calcule et après quand Ness aura son moment de gloire (j'en suis persuadé) vous pourrez danser devant les cigales qui pensait vous faire du mal en critiquant votre personnage principal.
Respectez les, ils sont pas méchant juste très incompris et ça les rend un peu nerveux. Écoutez les et vous verrez, ils ne vous veulent aucun mal.
Yo Hiori : Les sentimentaux
En vrai j'ai rien à dire, ils sont très sympas, il rigole bien et ont généralement le sens de l'humour.
La plupart de ses fans l'aiment parce que lui aussi apporte de la profondeur à la série, de par son caractère très simple qui résonne avec la plupart des gens un peu perdu qui ne savent pas comment faire dans la vie de tous les jours. Et aussi par son passé et son incapacité à savoir comment il aurait dû réagir.
C'est vraiment des gens qui sont pleins d'amour pour lui et qui vont le supporter et l'aider à travers des messages pleins de sens, de réalité. Ils sont très terre à terre et plein de sang froid, c'est des fans qui sont très adulte par rapport à certains. Si vous avez un problème ou besoin de conseils je pense c'est eux qu'il faut aller voir.
Par contre, je juge fort ceux qui pense qu'ils sont comme lui, des sadiques qui aime voir la souffrance des gens, leur détresse et les voir mourir sous vos pieds.
Bande de mini-Kaiser.
Et si je pousse le délire vous buvez de la monster juste parce que c'est cool, vous jouez à des gaming de 18 ans et + alors que vous avez 17 ans et vous vous sentez cool. Vous êtes déscolarisé, rien ne vous attire, vous êtes seul, solitaire, manipulateur et menteur.
Ouais vous des menteurs, à vous même.
Sinon les autres je vous adore 🩵.
Oliver Aiku : Les Menteurs et Menteuses
Vous êtes des menteurs et des menteuses, j'ai jamais vu ça de ma vie.
Vous pensez fort pour une raison X ou Y, j'ai pas envie de savoir, que vous seriez capable de sortir avec quelqu'un comme Aiku. Vous êtes des menteurs.
Qui est capable de sortir avec lui, tous ça parce qu'il des yeux dépareillés ? La seule chose que vous lui trouvez ça se compte sur les doigts d'un main :
Il est beau (yeux sont beau pas le reste)
Il est sexy quand il agit comme de la merde
Les arguments sont implacables, j'abandonne.
La plupart de ses fans c'est des meufs qui disent toutes une chose, "c'est le seul mec qui peut me marcher dessus sans que je dise quoi que ce soit", "Il a beau avoir trompé sa meuf, je suis capable de sortir avec lui".
Mais on sait tous que c'est faux, même vous vous savez que c'est faux.
A chaque fois, vous dites que les bases d'une relation saine c'est la communication et la fidélité. Comment tu veux tomber amoureuse et sortir avec un mec comme ça, quand tu sais que s'il sort dehors, c'est certainement pas pour aller taper dans un ballon de football ?
Et après vous allez vous plaindre que les mecs c'est tous des connards, après tu fais pas les bons choix.
« Juste la prochaine fois aimez un garçon pour ce qu'il fait, pas pour ce qu'il est.»
Meguru Bachira : Des monstres d'amour
« Vous êtes les seuls capable de me faire rougir.»
Vous êtes des anges et vous regardez tous le monde de haut, j'ai jamais connu un fan de Bachira malveillant ou sadique, peu importe si Bachira parle de son monstre intérieur.
Généralement on les reconnaît grâce au meme plein de coeur ou de blague idiote sur lui, c'est très bon enfant, c'est l'endroit où tu vas pour te reposer après avoir subi les fans de Kaiser. À eux seuls il sont capables de te faire aimer la communauté.
Plein de sincérité, plein de bons conseils, il y a pas un qui pense qu'il est meilleur que les autres, vous faites tout ensemble et c'est vraiment beau.
Les fans de Bachira ils te parlent en mettant des cœurs partout, comme si tu parlais à ton petit ami, je les trouve trop mignon et tellement attentionné. Ils sont capables de parler sans insulter, de remettre leur point de vue en question et d'entamer une conversation sans parler du passé de leur personnage.
« En fait ils ont complètement compris que ce qui fait un personnage c'est ce qu'il est maintenant et pas ce qu'il était avant.»
Charles Chevalier : Des Taquins
Dans la vraie ses fans ce sont des taquins, ils aiment rigoler et faire des blagues à tous le monde.
C'est des bons vivants, des personnes libres et rebelles qui n'écoute pas trop mais qui sont très attentionné envers les gens qu'ils estiment.
Ils ne sont pas un problème dans la communauté dans le sens où parler avec eux est simple, par contre ça arrive qu'ils vous lance dans piques parfois quand l'envie leur prend sans pour autant vouloir être méchant.
Bien sûr ils apprécient Charles pour son caractère vivant et joueur, moi je l'aime aussi parce qu'il est français et j'aime les français.
Niko Ikki / Kiyora / Nanase : Sur le banc de touche
Les fans de Niko ou même de Kiyora, vous êtes ceux qui sont assis sur le banc de touche. Ceux qui sont sur Twitter sans pour autant tweeter. Vous regardez les autres se battre pour leur personnage préféré sans vous immiscer dans leur débat puéril.
Soit par dépit, vous ne voulez pas communiquer avec des gens aussi expressif. Soit par volonté, vous savez que votre personnage est le meilleur est vous l'aimerez mieux que les autres.
Vous avez raison, restez entre vous est le meilleur moyen de ne pas s'énerver inutilement avec d'autres fans (entre autres ceux de Kaiser), et partager une même passion.
Mention spéciale au fans de Kiyora qui sont des petits malins, ne les engagez pas dans des batailles d'arguments vous perdrez rapidement.
Les fans de Niko et de Nanase sont des gens simples et pleins d'amour mais ils ne savent pas trop à qui le donner, restez sympa avec eux s'il vous plaît il mérite tous l'amour du monde.
« Il est difficile de se faire entendre dans une communauté avec tant de personnages préférés.»
Merci d'avoir lu ! N'hésitez pas à me faire savoir si un de vos personnages préférés n'est pas dans la liste !
Persos qui ont des communautés trop peu présente pour que j'en parle : Nagi Seishiro, Kunigami, Chigiri Hyoma, Raichi, Gagamari, Igarashi, Don Lorenzo
Perso en écriture : Sendo,
#blue lock#michael kaiser#isagi yoichi#bachira meguru#what are you character edition#writing humor#don't take it personally#don't take this too seriously#it's just for fun#itoshi sae#rin itoshi#oliver aiku#hiori yo#kurona ranze#alexis ness#reo mikage#shidou ryusei#french#🇨🇵 oui oui baguette 🥖#charles chevalier#niko ikki
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Lettre aux amis (ou pas) qui ne votent pas comme moi
"L’équipe de Reporterre est jeune — 35 ans si on m’enlève du compte — et la plus grande partie de ses plus de 2 millions de visiteurs mensuels a aussi moins de 40 ans. Je crois qu’elles et ils savent très bien ce qu’il faut faire cette semaine et dimanche prochain au bureau de vote, et je ne vais pas les chapitrer.
Les vieux, réveillez-vous !
En revanche, du fait de caractéristiques personnelles dont la première est un âge certain, la gravité du moment me pousse à écrire à des personnes avec lesquelles je partage des traits communs, à commencer par le nombre des années : j’ai 67 ans, et suis ce qu’on appelle un vieux ! Donc, je parle aux vieux et aux vieilles. Eh bien, mes amis, il serait temps de se réveiller ! Allez-vous arrêter de voter à droite et à l’extrême droite et de tordre le nez devant le Nouveau Front populaire ? Nous sommes la génération qui a profité du système social mis en place par nos aînés de la Résistance, qui a assez bien vécu (oui, nous avons beaucoup travaillé, et alors ?), et maintenant, la grande majorité d’entre nous vote pour le parti d’extrême droite. Qui est hostile aux jeunes. Qui est climatosceptique alors que la question écologique est une des plus importantes que vont affronter nos enfants et nos petits-enfants. Qui veut toujours plus de police et d’autorité, alors que nos enfants et nos petits-enfants ont besoin de bienveillance et de soutien.
Vraiment, les vieilles et les vieux, arrêtez de vous laisser berner par tout ce que racontent les télés. Pensez aux jeunes, pensez à leur avenir. Alors votez contre l’extrême droite dimanche prochain. Vous êtes vieux dans votre corps, mais vous pouvez être jeune dans votre tête, et plein d’espérance, d’enthousiasme, de joie pour le nouveau monde qui peut naître si vous ne vous y opposez pas.
Oh, les Républicains, c’est fini les conneries ?
Dans les temps anciens, il y avait un type qui s’appelait de Gaulle. Plein de défauts, mais enfin, il a sauvé l’honneur, et de ce fait, la France. Quand tout s’avachissait autour de lui, il a lancé la Résistance. Quand le pays s’effondrait, il l’a remis debout, sans devenir despote. Et quand le peuple lui a dit, « C’est assez ! », il est parti. Pour l’anecdote, c’était aussi un homme de droite, mais qui avait la fibre sociale. Il a dit : « Le capitalisme, du point de vue de l’homme, n’offre pas de solution satisfaisante. »
Pourquoi je vous en parle ? Parce que mon papa était gaulliste. Il a milité dans le parti gaulliste (l’UDR) qui, au long de multiples chambardements, est devenu Les Républicains. Incidemment, mon papa a résisté dans les maquis du Jura et son frère aîné a été assassiné par les nazis, au camp de Mauthausen. Alors, il y a une chose que de Gaulle et les gaullistes n’auraient jamais imaginée, c’est que des gens qui se réclament d’eux votent pour un parti issu des partisans de Pétain, de ceux qui ont bradé la France à l’hitlérisme, de ceux qui étaient antisémites. Jamais de Gaulle n’aurait accepté un tel vote.
Sans hésiter, il s’était uni avec des adversaires idéologiques, les communistes, quand on se battait pour l’essentiel, l’honneur du pays. Alors, Les Républicains, arrêtez vos conneries ! Pensez à votre histoire, à vos valeurs, à ce pourquoi vous vous êtes sans doute engagés, et votez contre le Rassemblement national, que le candidat soit La France insoumise ou pas.
Les catholiques, « Aimez-vous les uns les autres », c’est aussi le jour du vote
Croyez-moi, ça n’a pas toujours été facile pour moi d’être « catho » dans des milieux très athées, et parfois très anti-religieux. Et Dieu, de toute façon, c’est un truc compliqué. Mais mon attachement au sacré, à une dimension cosmique du monde, à l’Église — malgré tous ses défauts, et notamment son incroyable incapacité à sortir des scandales pédophiles, qui m’a mis en colère, comme tant d’autres — est toujours vivant. Alors, avec vous, ça devrait être simple. Le Pape François a toujours été clair : « Ouvrons la porte aux pauvres, ouvrons la porte aux faibles, ouvrons la porte aux étrangers. » Et son maître Jésus encore davantage : « Aimez-vous les uns les autres. » Dans un moment où tout peut basculer, il est clair que l’amour n’est pas du côté de celles et de ceux qui prêchent « l’autorité, la sécurité, la fermeture aux étrangers... ». Plus que jamais, mes frères et sœurs, votre sens moral doit vous guider dimanche."
Hervé Kempf-Reporterre-suite du texte ICI MÊME
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Ce matin, François Morel a écrit une lettre pour Valérie Lemercier Chère Valérie Lemercier, Je vous écris cette lettre que je ne vais pas poster vu que je vais directement vous la lire ce matin. Moi, ça m’économise un timbre et peut-être ça fera parler de votre film Aline, qui sans doute n’en a pas besoin, mais quand même le bouche à oreille, c’est encore la manière la plus efficace d’inciter à partager ce qu’on aime et vu que je suis une bouche derrière un micro qui parle à des oreilles qui écoutent la radio, ce serait bête de ne pas en profiter étant donné que je voudrais que tout le monde aille voir votre film vu qu’il est beau, tellement drôle et tellement bouleversant, tellement populaire et tellement singulier. Valérie, cette chronique n’est pas un exercice de copinage, je vous connais sans vous connaître, je vous ai découvert il y a de ça une trentaine d’année, quand nous étions dans les studios de Boulogne, dirigés par Jean-Michel Ribes, vous étiez Lady Palace et j’étais Alfred le Groom. Je sais, ça ne rajeunit personne. Depuis, nous nous sommes peu vus. Moi, j’allais voir vos spectacles et chaque fois j’étais scié, par votre inspiration, vos talents multiples, votre culot. La dernière fois, c’était au Châtelet, vous traversiez le plateau avec une valise à roulettes et c’était beau comme un dessin de Sempé. Hier, je suis allé vous voir dans Aline. Avant vous, je crois, de ma vie je n’avais jamais pensé à Céline Dion et puis vous m’avez présenté à Aline Dieu et depuis je crois en Dion. Ce que vous avez tourné, ce n’est pas un biopic parce que pendant tout le film on ne voit que vous, Valérie Lemercier. Ce que vous avez filmé, ce n’est jamais une parodie, vous ne vous moquez jamais, vous rigolez pourtant comme on rigole avec ceux qu’on aime. On ne sait pas si vous êtes Aline ou Céline ou Valérie, ou les trois à la fois mais ça n’a aucune importance. C’est un truc à part que vous avez réalisé, qui parle de plein de choses, de la volonté de chanter qui se confond avec le désir de vivre, du courage, de la famille, du couple, des enfants, de la naïveté, de l’amour, de la vie. Vous êtes toujours là où on ne vous attend pas Il faudrait dire du bien de chaque actrice, de chaque acteur qui vous entoure, de Sylvain Marcel, de Danielle Fichaud, de Roc La Fortune, de Jean-Noël Brouté, d’Elsa Tauveron, de tous les autres, il faudrait citer aussi le nom de la coiffeuse, de la costumière. J’espère que les spectateurs qui iront voir Aline resteront jusqu’au bout du générique en signe de reconnaissance à tous ceux qui ont œuvré pour votre film. C’est un film tellement épatant, tendre, drôle mais jamais moqueur, complétement premier degré et intégralement subtil. C’est un film France Inter, Laurence Bloch s’engage à rembourser chaque spectateur à qui le film, par erreur, ne plairait pas. Valérie, je vous embrasse. Peut-être qu’on se tutoie, auquel cas, je t’embrasse.
Merci François
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Le Pari Risqué des Canards Vaccinés à l’ARNm le 1er octobre 2024, 62 millions de canards se font piquer avec des vaccins dernier cri à dans quelque 2500 élevages français. L’objectif affiché est de lutter contre la grippe aviaire qui décime les élevages depuis des années. Cette campagne vaccinale va coûter la bagatelle de 100 millions d’euros, dont 70% seront pris en charge par l’État, c’est-à-dire par nous, jusqu’à fin 2024. Tout ça pour sauver le foie gras de Noël et les exportations de volaille. Car oui, la France est le seul pays au monde à se lancer dans cette folle aventure. Mais attention, on ne parle pas ici de vaccins classiques à virus inactivé. Non, nos chers canards vont avoir droit à la totale : des vaccins à ARN messager. Une première mondiale dans l’élevage aviaire. Le principe est simple, on injecte aux canards un ARN messager synthétique codant une protéine du virus de la grippe. Les cellules des volatiles vont alors produire cette fameuse protéine, déclenchant une réponse immunitaire. Malin, non ? Pas vraiment oh oh il a été tester sur nous … On ne connaît pas encore tous les effets à long terme de cette technologie, surtout quand elle est utilisée à grande échelle. Vu les drames créés par l’ARN messager avec le vaccin du covid19, imaginez la suite. Car c’est bien là que le bât blesse. En se lançant dans cette expérimentation grandeur nature, la France joue aux apprentis sorciers avec notre alimentation. Personne ne peut prédire quelles seront les conséquences de la consommation régulière de viande et d’œufs issus d’animaux vaccinés à l’ARNm. Certes, les autorités nous assurent que tout est sous contrôle, que les vaccins sont sûrs et sans danger pour le consommateur. Mais avouez que ça fait quand même très peur de se dire qu’on va manger du canard OGM au prochain repas de famille. Ne faudrait-il pas appliquer un principe de précaution et attendre d’en savoir plus sur les effets de ces vaccins révolutionnaires avant de les administrer à toute une filière ? C’est en tout cas ce que demandent de nombreux experts et associations de consommateurs. Mais le gouvernement semble bien décidé à foncer tête baissée dans cette direction, quitte à nous faire avaler de force ces canards nouvelle génération. Alors, la prochaine fois que vous croquerez dans un magret, pensez-y : ce n’est peut-être pas seulement du gras que vous ingérez, mais aussi une bonne dose d’ARN messager aux effets délétères. Bon appétit, bien sûr ! …
mostraak.com/le-pari-risque…
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J'ai vu The Fabelmans de Spielberg (et j'ai adoré) et j'ai écouté un podcast sur le cinéma où ils analysaient le film. Un des critiques m'a tellement énervée : il a adoré le film mais il arrêtait pas de dire "la Spielberg filme ça mais dans la réalité, ça s'est passé autrement" "cette scène est véritable, on sait qu'il a vraiment rencontré telle personne à tel moment".
C'est vrai que le film a une dimension autobiographique mais, comme un autre critique dit très justement "le personnage c'est Samuel Fabelman, pas Spielberg". C'est fortement inspiré de sa vie mais ce n'est pas sa vie et moi qui ne connais pas sa vie, j'ai suivi l'histoire du protagoniste pour ce qu'elle était : celle d'un jeune homme juif passionné par le cinéma et qui a une histoire familiale compliquée. Et ça m'a suffit !
Ce qui me tue avec cet angle d'analyse, c'est que ce critique parle d'un moment du film qu'il n'arrivait pas à comprendre. Spoilers, mais les parents divorcent et Samuel s'imagine en train de les filmer et ça l'agace. Et le critique se disait "je ne comprends pas, est-ce que ça veut dire que Spielberg aurait filmé le divorce de ses parents ?" alors que pour moi, sans savoir que les parents de Spielberg avaient divorcé, c'était l'artiste qui écrasait Samuel, cette volonté de faire de l'art, de comprendre le monde par l'image mais qui pouvait obstruer ces vrais sentiments : il se dissocie de ses émotions en un sens.
Et ça prouve à quel point cette analyse biographique est de fait limitée et ce qui me rend vraiment folle, c'est que c'est exactement ce que critiquait Proust dans la Recherche et c'est pourtant exactement comment certains analysent Proust : est-ce que telle scène est véridique, est-ce qu'il a vraiment vécu ça, ah ça non etc, on s'en fiche ! Proust passe toute la Recherche à nous dire qu'on s'en fiche ! Ce qui importe, c'est l'histoire racontée, pas sa source !
C'est fou qu'on en soit encore là : Barthes a écrit "Death of the author" et on a encore des critiques de ce genre.
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Eté 1926 - Champs-les-Sims
2/10
Ce que je vais t'écrire, je te supplie de ne pas en parler à ta famille, car j'ai déjà suffisamment honte.
Tu disais que je devrais davantage me fier à ce que Antoine et Ange m'ont dit au sujet de Jean. Après tout c'est vrai, ils tiennent à moi, et ils ne disent rien par malveillance, juste dans mon intérêt. Mais parfois, je suis complètement stupide ! Franchement, tout le monde sait qu'Antoine est brillant, et je ne compte plus le nombre de fois où Ange m'a dit (avec un certain orgueil quand même il faut le préciser) qu'il avait appris très tôt à scruter les visages et les attitudes pour y déceler les gens qui lui voudraient du mal de ceux qui lui voudraient du bien. Alors quoi ? Moi, bêtement vexée par ta remarque, je décide de ne pas y faire attention.
Tout a commencé lors d'une conversation avec Oncle Adelphe un soir. Je lui dit tout, ou presque. Il ne savait pas pour Jean. Mais quand j'ai un doute, c'est lui que je vais voir. Sur de nombreux aspects de ma vie, il est bien plus paternel que mon propre père. Bref, une chose en entrainant une autre, j'ai fini par lui parler de ma vie amoureuse, l'air de rien, sans jamais trahir Jean, car j'avais peur qu'il ne se rappelle de lui.
Transcription :
Adelphe « Alors, comment avance ta réponse à Cousin Lucien ? »
Arsinoé « Raaaaah, ça n’avance pas. Je n’ai aucune idée de ce que je peux bien lui raconter. J’en ai assez de ne lui parler que d’Ange ou d’Antoine. Mais c’est un homme qui travaille en ville, je pense que ça doit davantage l’intéresser d’entendre parler de la vie trépidante de mon cousin ou histoires marrante de Cléo à la faculté de lettres. »
Adelphe « Pourquoi ne lui parles-tu pas de ce que nous faisons ici ? »
Arsinoé « Vous croyez ? Dès que j’en parle à quelqu’un, j’ai l’impression de le voir retenir un bâillement. »
Adelphe « Il est peut-être différent. »
Arsinoé « Oh, je ne sais pas. Heureusement, d’ici peu, j’aurai enfin quelque chose d’intéressant à lui dire. »
Adelphe « Vraiment ? A ce point ? »
Arsinoé « Oui, enfin. Il va sans doute se passer quelque chose d’intéressant ici sous peu. Tu as bien vu que Antoine et Mademoiselle Laroche s’écrivent des lettres à présent non ? »
Adelphe « Noé, c’est supposé être un secret. Pour Grand-Mère uniquement, mais restons prudents. Et cesse de noyer le poisson, tu ne parlais pas des amours de ton frère. De toute façon, tu n’as jamais pu garder un secret. »
Arsinoé « Pardon ? Mais, bien sur que si ! »
Adelphe « Je sais ! Il y a un garçon qui te plaît ! »
Arsinoé « Oui, j’avoue, c’est vrai. »
Adelphe « Je le connais ? »
Arsinoé « Peut-être… Dites-donc, vous êtes bien curieux aujourd’hui. Dire que je ne parle même pas de cela avec ma propre mère… »
Adelphe « Alors personne n’est au courant ? »
Arsinoé « Si, Cléo. Et Sélène. Et Antoine. Et puis Lucien. »
Adelphe « Ange aussi j’imagine dans ce cas. C’est de longue date donc. »
Arsinoé « Assez, oui. En fait, j’avais envie de vous en parler depuis un moment, mais j’avais peur que vous n’approuviez pas. »
Adelphe « Je comprends. Mais tu dois savoir que peu importe ton choix, si c’est sérieux, tu as tout mon soutient. J’irai parler à Grand-Mère si jamais tu en ressens le besoin. Elle a beau paraître très rigide, mais elle finira bien par se plier à ton choix. »
Arsinoé « Merci mon oncle. Je suis touchée. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Adelphe Barbois#Ange de Chastel#Marc-Antoine Le Bris#Cl��opâtre Le Bris#Aurore Laroche#eugénie le bris#Albertine Le Bris#Sélène Le Bris#Jean Davires
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Je viens enfin de voir le Comte de Monte Cristo, et je vais pas mentir, même si j'ai majoritairement passé un bon moment, pas mal d'aspects m'ont déçue.
Premièrement, contrairement à beaucoup de gens si je me réfère aux quelques posts que j'ai vu passer, j'ai pas assez ressenti le côté jouissif de la vengeance. Au contraire, le film prend clairement parti de dire que la vengeance a un coût, et que Monte Cristo a tort, quelque part (avant qu'il mette de l'eau dans son vin). Étrangement, la réputation de Morcerf n'est pas ruinée, c'est une vengeance privée, presque sordide, alors qu'il est le plus gros morceau des trois, et donc celui qui aurait dû ressentir la justice le plus fortement.
Mais surtout, il y a la vengeance, okay, mais où sont les récompenses, dont il parle dans le même souffle ? Elles sont tout aussi jouissives que la rétribution, normalement : le pouvoir de faire le bien, autant que de se faire justice. De tout le film, Dantès ne sauve personne. Il arrive toujours trop tard. Angèle meurt. Morell est mort, et, bien qu'on aie pris la peine de nous présenter son fils, qui sans doute est dans une situation difficile après la ruine de son père, il n'y a pas de scène où Monte Cristo arrive tel un deus ex machina pour le sortir de la misère avec ses diamants et ses faux documents. Puisqu'il n'y a pas de justice publique pour Morcerf, il n'y en a pas non plus pour Haydée.
Ensuite, et c'est adjacent, on ne la sent pas, la fortune de Monte Cristo. Certes, ils ont tout donné dans les demeures, les décors, mais montrez-nous de l'or, des diamants, du pognon ! Le diamant à peine montré à Caderousse devrait faire l'amour à la caméra, qu'on sente vraiment le poids, la valeur, de ce diamant, ce qu'il représente pour changer la misérable vie de Caderousse. Montrez-nous les extravagances de Monte Cristo, son pouvoir. Il est austère, sinistre, comme dans le livre, certes, très bien, mais là tout ce qui l'entoure l'est aussi.
Où sont ses serviteurs ? C'est à peine si son bras droit, qui est censé être son portier (un rôle d'une importance capitale, et qui fait que normalement on n'entre pas chez lui comme dans un moulin, faut pas déconner), a un rôle dans le film, et il n'y a littéralement personne d'autre.
Où est sa science ? L'abbé Faria lui a enseigné bien plus que juste l'italien, l'anglais et le roumain (dont par ailleurs, Pierre Niney a fait une excellente performance !). Je sais bien qu'il n'y avait pas le temps pour la science et les poisons et la philosophie, mais je le regrette.
Autre point qui me dérange : tout le monde est blanc. Haydée, le serviteur à peine aperçu, absolument tout le monde. C'est bien dommage quand on est en train d'adapter une œuvre de Dumas, et une histoire aussi cosmopolite.
En parlant de ça, où est Marseille ? Où est la Provence ? Pas une trace d'accent ou de cigales, on sent à peine qu'on est dans le sud, je trouve ça vraiment dommage :/ Même Mercédes est blanche et française (et déjà noble ??).
Autrement, Pierre Niney est très bien, la musique superbe, et c'est certain qu'on doit faire des choix drastiques pour adapter une histoire aussi fournie, simplement je trouve que le scénario aurait pu être un poil plus cohérent avec une dernière passe. Cela dit, il y a eu des moments où on ricanait joyeusement de ce que le Comte manigançait donc tout n'était pas décevant dans l'exécution de la vengeance...
Et puis j'ai adoré quand ils ont fait du Comte une figure Draculesque en lui donnant ses loups qu'il commandait en roumain ! Et, même si c'était par force maladroit (manque de temps) ils ont inclu explicitement Eugénie et Suzanne.
Mais enfin, mon adaptation préférée reste la série de téléfilms avec Gérard Depardieu pour l'instant.
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Macron est en train de liquider notre pays. Je ne parle même pas de la déstructuration systématique des services publics, pour ensuite affirmer qu’ils ne fonctionnent pas, de la volonté de débilitation de la société avec la fin de l’enseignement à l’école. Après avoir détruit l’économie française, Macron est en train de dépecer le pays, pour envisager sérieusement d’envoyer des Français sur le front ukrainien mourir pour l’Atlantisme. Parce que soi-disant, « la sécurité des Français se joue en Ukraine ». Non, c’est l’avenir de ce pouvoir atlantiste et mondialiste, qui s’y joue. Il est prêt à sacrifier la France. Cet individu n’est pas fou, il défend froidement le système mondialiste, qui l’emploie.
Une légende de l’une de nos régions riches d’histoire, dont la diversité d’ensemble a longtemps fait la richesse, désormais perdue, de la France, nous conte l’histoire d’Ankou, qui ne représente pas la mort en elle-même, mais son serviteur : son rôle est de collecter les âmes des défunts, remplissant ainsi un rôle de « passeur d’âmes ». Il est l'ouvrier de la mort. On dit aussi que celui qui aperçoit l’Ankou meurt dans l’année. On rapporte parfois que le dernier mort de l’année, dans chaque paroisse, devient l’Ankou pour l’année suivante. A Ploumilliau, l’Ankou présent dans l’église porte la faux et la pelle, il est à la fois meurtrier et fossoyeur.
Macron est l’Ankou de la France et des Français, portant la faux et la pelle, à la fois meurtrier et fossoyeur. Cela se confirme sur tous les fronts : il mène la bataille ultime contre notre pays.
Nous avons eu droit à une destruction systématique de notre tissu économique, pour arriver à des chiffres inquiétants.
Vous pensez sincèrement que c'est le résultat d’une erreur politique ou stratégique ? N’oublions pas que les PMI/PME sont la force vive de la France, elles constituent cette classe moyenne forte, ancrée dans le pays. Elles incarnent tout ce qui dérange dans le cadre du mondialisme, comme les paysans, propriétaires de leurs terres. Ces derniers ont déjà été assassinés, pour les premiers, c'est en cours.
Le dépècement physique de la France accompagne ce qu’il reste de notre pays meurtri dans sa chair et dans son âme. Les régions, dont la diversité culturelle a toujours fait la richesse de notre pays, sont conduites sur la voie de la sécession. Il suffit pour cela de trouver les « bonnes personnes » et les bonnes carottes. La boîte de Pandore a été ouverte avec la Corse, dont l’accord sur l’autonomie de l’île va à l’encontre du principe sur lequel la France s’est constituée depuis la fin de la féodalité : l’union. Voici lancé, le processus néo-féodal de déconstruction de l’Etat, en reconnaissant des peuples à l’intérieur du peuple français et en octroyant une autonomie législative. Gilles Simeoni, président autonomiste du conseil exécutif de Corse, a estimé qu’un pas décisif avait été franchi et s'est félicité d'avoir obtenu pour la Corse un pouvoir législatif validé par le conseil constitutionnel. Il est enthousiaste : l'étendue et les modalités de ce pouvoir relèveront d'une loi organique, « reste à gagner cette demi-finale, puis plus tard, la finale ».
Désormais, les « autonomistes », pour ne pas dire « sécessionnistes » d’autres régions, peuvent être activés à la suite des Corses, afin de dépecer le cadavre-France.
Pour accompagner cette marche funèbre, Macron met les Français en état de stupeur en leur annonçant, légèrement, qu'il va bien falloir y aller, sur le front ukrainien. Car le monde global se joue là-bas et il faut bien payer la facture. Dans Le Monde : Le président de la République est songeur. La situation en Ukraine […] se dégrade. La guerre s’enlise. « De toute façon, dans l’année qui vient, je vais devoir envoyer des mecs à Odessa ».
De cette manière détachée, parfaitement cynique, il répond à la question que se posent les Français : il va vraiment falloir y aller ?
Comme le confirme la légende, en faisant le compte de ses victimes, cet Ankou est particulièrement méchant.
Rybar FR
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PAUL AUSTER, VOUS ÊTES DANS MES PENSÉES
L'écrivain Paul Auster me manque beaucoup. Il est décédé le dernier jour d'avril 2024. J'ai adoré certains de ses livres mais ce vide mérite une explication.
Permettez-moi de commencer par dire que comme la plupart des lecteurs qui aiment son travail, j'ai commencé avec « La Trilogie New Yorkaise » (1987). Je l'ai lue quand j'étais étudiant. J’ai trouvé l'œuvre mystérieuse. Toutes ces coïncidences inexpliquées, le pastiche d'un roman policier et la venue d’un personnage appelé Paul Auster. Tout cela m’a donné une bonne idée de l’homme derrière le livre. C’est un écrivain audacieux et curieux.
Cependant, je ne l'ai jamais suivi dans les labyrinthes qu'il a souvent créés dans plusieurs de ses livres. Par exemple, « Voyages dans le Scriptorium » est un livre dans un livre. La spirale a un effet claustrophobe sur moi et je n’aime pas une pièce pleine de miroirs.
Pourtant, j’ai adoré « A Man in the dark », « The Brooklyn Follies », « Moon Palace » et quelques autres dans une certaine mesure.
Maintenant, ce que j’ai le plus apprécié chez lui, ce sont ses interviews. L’homme était un magnifique communicateur. Il donnait tout ce qu’il pouvait à chaque fois qu’un micro était allumé. La franchise, l'honnêteté et la simplicité m'ont conquis. J'écoutais ses interviews sur ses livres, sur la vie ou la politique depuis des années.
Ses conseils aux jeunes écrivains n'ont pas de prix. « Oubliez votre ego ». J’aurais pu utiliser ce conseil dans ma jeunesse. « Ne soyez pas trop attachés aux choses que vous jugez intelligentes dans ce que vous faites. N'attendez rien de personne car le monde ne vous doit rien. »Il le dit avec affection, avec tendresse.
Lorsqu'on lui demande ce qui l'empêche de dormir la nuit, il admet que c'était autrefois savoir s’il pouvait payer le loyer. Est-ce quelque chose que de nombreux écrivains ont vécu ? Bien sûr. Il avait une manière simple de transmettre ses idées, ses pensées. C’est ce qui me manque chez lui et pour très longtemps. La capacité de viser l’essentiel de la vie et de vous le donner directement et sans méchanceté.
Je redoute le discours alambiqué des auteurs, le discours de vente du type égoïste ou celui de l’intellectuel torturé. Ils existent tous, mais Paul Auster n’en fait pas partie. Je suis toujours impressionné quand il parle des parties complexes et mystérieuses de la vie. Son écriture est louable. Mais ses conversations sont mémorables.
Grâce à la technologie, je peux reculer le temps, l'écouter et apprécier son approche humble de la vie. Humble mais audacieuse à la fois. Il partageait sa curiosité de la vie avec tous ceux qui voulaient bien l'écouter.
Dans le roman « Moon Palace », il dit : « Et maintenant, nous arrivons à la partie la plus difficile. Les fins, les adieux et les fameux derniers mots. Si vous n’avez pas souvent de mes nouvelles, n’oubliez pas que vous êtes dans mes pensées.
Vous êtes aussi dans les miennes, Paul.
Didier Leclair, écrivain
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le trashtalk c'est dépassé les ami.es
certains de vos billets tumblr me font peur. oui, tout le monde peut jouer ce qu'il veut. pourquoi se ramener en pensant avoir le droit de dicter ce que chacun doit jouer ? est-ce que je parle, moi, de ce que vous jouez ? non, car on s'en contre carre le haricot mdr. chacun est là pour s'amuser, chacun s'amuse avec les personnes qu'ils veulent, pourquoi vous venez vous plaindre que x joue trop ses ships, que y parle trop de fesses (j'aime aborder la sexualité de mes perso comme d'autres abordent la mort (que j'aborde aussi hein, je suis pas l'obsédée du Q pour laquelle on me fait passer mes potes et moi)), que z parle de la mort (ohlala attention). je comprends pas ce besoin de parler, de se moquer ou de trash talk le jeu d'une autre personne tant que ça vous atteint pas. et si c'est le cas, bah vous le dîtes, vous lisez plus (car on vous fout pas nos rp ou nos sms devant vos yeux, vous faîtes le choix de cliquer, vous faîtes le choix de lire, vous vous infligez ça (à croire on parle d'une torture mdr merci pour nos écrits)). c'est dingue ce jugement que vous avez sur tout. c'est dingue que dès que c'est pas comme vous faites bah c'est plus bien. merde, laissez les gens vivre, laissez les gens rp, vous rendez le rp tellement chiant. vos jugements vous vous les gardez si c'est pas constructif, surtout quand vous voyez que par vos opinions sans réaliser que non, on est pas des obsédés qui rp qu'avec leur ship, qu'on a des liens amicaux, familiaux et tout le reste. vous catégorisez tellement les gens, mais vous réalisez à quel point c'est bas et merdique comme comportement ? vous donnez franchement envie de s'investir. marre d'être mise dans des cases car je fais x ou y chose sur un forum, marre de lire du bashing sur tumblr dès que je fais mon tour, d'entendre x ou y choses sur telle ou telle chose. juste vous savez pas profiter de votre passion, vous savez pas juste vous amuser ? vous ressentez toujours le besoin de commenter ce que le voisin fait, critiquer, encore et encore. vous êtes lassants et je commence à fatiguer de cette communauté qui ose se dire bienveillante (même si apparement c'est pas donné à tous.tes) et qui souhaitent l'intégration de leur personnages, quand en retour ça tacle sur tumblr ou en dm. vous êtes pas les goat que vous pensez être. on voit les critiques et c'est juste blessant. en bref, moi j'suis juste d'avis que tout le monde joue comme il veut tant que ça dépasse pas les limites. laissez les gens jouer et s'amuser. amusez-vous. arrêtez de vous prendre la tête. arrêtez le trash talk gratuit. arrêtez de nous prendre la tête aussi. vivez, profitez, passez pas votre temps à cracher sur ce que les autres font. je suis pacifiste mais marre qu'on critique mes potes, qu'on leur fasse vivre un bordel monstre et qu'on les fasse (dont moi) passer pour ce qu'ils ne sont pas. et quand bien même je le serais, je n'impose rien à personne. :))
ET oser sous-entendre que parce qu'on joue x ou y sujet, on ne respecte pas le travail des admins c'est le pompon mdr. surtout quand on manque autant de respect envers les membres de cette dite communauté, qui respecte pas qui ? ps. regardez comment vous agissez avant de parler de comment les autres agissent, merci :)
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