#toujours des tests dans tous les sens
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hoodwinkme · 11 months ago
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muzukashiidesune · 7 months ago
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本語能力試験 (JLPT)
Dans la salle où a lieu l’examen, trois boules disco pendent du plafond. Touche festive qui se marie mal au silence précédant la remise des copies. Tout le monde fixe le vide.
Salle de bal, moquette, vague odeur de cigarette. Longueur et lenteur. Trente minutes avant l’heure.
Ryan et moi nous sommes inscrits sur un coup de tête au JLPT, ce test de langue standardisé qui détermine l’avenir de beaucoup d’immigrants au Japon. Une idée que nous avons eue en mars, lors des vacances scolaires, quelque part au milieu de ces journées sans école qui s’éternisent et se confondent maintenant dans ma mémoire. Un défi, s’était-on dit, pourquoi pas.
À la reprise des cours, cette idée fut vite écartée. Puis, retour en flèche tout juste un mois avant l’examen. Constat inquiet: on aurait dû s’y mettre il y a longtemps.
Ryan m’a déposée beaucoup trop tôt. Inquiet de l’état des parkings dans ce coin de Kōchi-centre. Impossible de le raisonner — toujours à son rythme.
Je regarde mon téléphone; vingt-huit minutes avant le début de l’examen.
Un message de Juliette sur mon écran. Elle fera le même examen que moi, à des kilomètres de là, au pied du Mont Fuji où elle habite.
🪩💃🕺 — sa réponse à ma photo des boules disco.
Nous avons toutes deux une confiance très moyenne en nos habiletés. Il y a quelques semaines, en annonçant à Maryko, une partenaire de taiko, le niveau pour lequel j’avais opté — coup de grâce.
« N4? » s’était-elle exclamée. Le bout de ses doigts couvraient le trait inquiet de sa bouche. « N’est-ce pas un peu trop ambitieux? »
Le JLPT se mesure sur cinq; de N5 à N1, en ordre croissant de difficulté. Le N4 a une valeur nulle. Il n’est même pas remboursé par notre employeur. À peine une stepping stone vers les niveaux les plus importants, de N3 à N1.
L’expression consternée de Maryko, piqûre.
J’en parle à Kusumoto le lundi, tâchant de ne pas laisser le découragement m’atteindre.
« Ah, » me dit-il, vague relent de pitié au fond des yeux. Sur son écran de téléphone, traduction, et revers de la gifle: « Mais tu as payé pour le prendre, cet examen. Vaut mieux y aller tout de même. »
Peu de réconfort à puiser auprès de lui.
Je me ré-attelle à mon étude de kanji, wanikani, comme chaque jour depuis mon arrivée au Japon. L’impression de le faire pour rien. À quoi bon, avec ma mémoire de carpe. Tous les mots se ressemblent; variations autour du kyo, kyō, ko, kou, kyu, kyū. Et les kanji qui font presque douter de notre lucidité, 夫, 末, 天.
La honte, la lenteur.
L’air doux-amer des gens qui me disent sur le même ton que mon japonais est bon depuis le début — compliment qui tourne à la farce plus le temps passe. Nihongo jōzu desu ne.
Se faire ré-expliquer le sens du même mot plus de cinq fois d’affilée. Kusumoto, forcé d’apprendre l’anglais pour palier à mes lacunes. Tax. License. Pay. No pay.
La rangée des liquides à l’épicerie. Huile, vinaigre, mirin, sake — liquide clair dans une bouteille illisible, aux kanji stylisés et intraduisibles.
Terminer une conversation, et se rendre compte du ridicule de mes erreurs après coup. Front pressé sur le volant de ma voiture.
Mon père, au téléphone. À quoi ça pourra bien te servir, tout ça. Même réflexion que lorsque je lui avais annoncé mon départ.
Toutefois, ces moments.
Dans la toile opaque de la langue, le flou sombre du quotidien — un éclat de lumière. Quelque chose, saisi, enfin.
Kihon, foundation.
Souzou suru, to imagine.
Kekkyoku, in the end.
Modoru, to return.
Trou d’aiguille dans la toile, à la clarté si fine qu’on en douterait presque. Scintillement lointain, qui peu à peu se rassure, se concrétise, se joint à ceux des autres. Tracé, tapisserie.
Quand je rentre au soir, après ma pratique de taiko, le ciel noir de Muroto s’éclaircit. Fil des saisons. Nous sommes loins des lumières de la ville, et loin des profondeurs de l’hiver.
Après un an à en faire l’ascension tous les jours, depuis peu, je monte les escaliers de mon bloc appartement sans avoir à m’aider du flash de mon téléphone.
Sur ma copie d’examen, des petits reflets de lumières tournent, lents.
Je lève les yeux vers les boules disco, et me sens sourire.
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e642 · 1 year ago
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Il y a quelques posts de ça, je parlais des décisions que l'on peut prendre au sein de notre vie et qui peuvent nous faire ressentir de la honte lorsqu'il s'agit de les assumer. Si j'ai eu cette discussion avec mon père ce n'est pas par hasard, je l'y ai volontairement amené parce que dernièrement j'ai pris une décision sur laquelle j'ai menti à bon nombre de personnes. J'ai failli même mentir sur tumblr mais au final, pour quoi faire ? Je me suis officiellement mise en couple avec le garçon qui m'a trompée lorsque nous étions en relation officieuse mais bien exclusive. Après avoir fait les tests pour m'assurer que cette erreur n'avait pas déteint sur ma santé, et vu qu'ils étaient négatifs, je me suis sentie soulagée. Soulagée au point de me dire que le vrai problème n'était pas qu'il soit allé voir quelqu'un d'autre mais qu'il ne se soit pas protégé avec ce quelqu'un d'autre. J'ai toujours été quelqu'un de particulièrement angoissée vis à vis des MST, bien plus que la majorité des gens. Ça en est quasiment obsessionnel, d'où la trahison vécue particulièrement mal. Une fois les tests revenus clean, j'ai décidé de pardonner. Et en fait, je ne sais toujours pas ce que ça signifie pardonner. Recevoir des excuses ne m'a jamais fait me sentir mieux, pourtant des fois, j'en attendais beaucoup mais finalement, elles ont toujours été creuses. La plupart des choses pour lesquelles on s'excuse sont seulement dues à un cruel manque d'empathie et de conscience de l'autre. Je me suis toujours plus sentie désolée pour l'autre que la personne ne l'était pour moi. En réalité, ça ne change rien des excuses et donner un pardon est tellement abstrait que ça ne fait pas de sens dans ma tête. Normalement, on ne devrait pas en arriver là pour la majorité des actions faites et regrettées par des tiers personnes. Donc par pardonner, j'imagine que je veux dire que je suis passée dessus parce que j'ai estimé que ses regrets étaient supérieurs ou au moins égaux aux miens. Voir les gens souffrir d'avoir été irrespectueux m'apporte plus de réconfort que des mots maladroits là pour réparer des trucs brisés à jamais. Et, au delà de ça, étant passée si facilement dessus après avoir reçu les tests clean, je ne peux que me dire que je ne l'aime pas. De toute évidence, quand on aime vraiment quelqu'un, on ne lui laisse pas d'autres moyens de se rattraper, du moins, ça devrait être comme ça. Jai pleine conscience qu'on pense/fait souvent l'inverse: accepter car on aime. Ce qui me fait tolérer ce qu'il a fait, c'est pas l'amour que je peux avoir à son égard aussi conditionnel soit-il à l'heure actuelle, non, c'est ce sentiment d'avoir rien à perdre si ça s'avérer vraiment être un mauvais choix. Je ne perds pas quelqu'un que j'aime éperdument, pas un fragment de mon être, ni de la présence car je me sens déjà si constamment seule et abattue. Autant le laisser animer mes week-end. Et comme une expérience sociale, je regarde comment il réagit face à ma tolérance, je le vois faire des efforts. Lui non plus ne m'aime pas réellement car, quelqu'un qui aime n'attend pas un drame pour devenir meilleur, si ? Remarque, peut-être que si mais ça me fait pitié. Pitié de réaliser qu'il m'aide, m'écoute et fait des choses plutôt rudimentaires juste parce que j'e l'ai remis tellement fort à sa place qu'il a décidé de faire mieux. C'est humiliant, surtout pour lui en fait. Comme s'il se sentait obligé de rattraper tous ces mois où il a été médiocre si ce n'est pas simplement insuffisant.
En vrai, je ne dis pas grand chose dernièrement, je me ratatine très fort pour qu'on oublie mon existence ou même de prendre de mes nouvelles. Je fais les cents pas dans mon appartement en attendant le cours suivant. Ma vie est rythmée par ça, je n'ai jamais été aussi régulière, pas parce que ça m'intéresse mais parce que ça comble le temps. Je me suis rarement autant ennuyée dans ma vie, ce sera peut-être bénéfique pour plus tard, j'ose espérer réfléchir au moins aux bonnes choses. La seule chose que je fais en dehors de prendre des notes, c'est être là pour ma maman. Aujourd'hui, elle a appris qu'elle aurait une chimio. Son regard, d'une tristesse presque indécente, m'a fait mal au cœur toute l'après midi. J'en parle à personne de ça. Pour quoi faire encore une fois ? Je n'ai même pas l'énergie, ni l'élan d'expliquer quoique ce soit à qui que ce soit. Je me sens profondément vide et épuisée, tout me coûte et la peur que tout ça ne perdure ne fait que me rattraper et lentement me ronger. Depuis des années, je sais que le réel problème larvant et latent est le manque d'intérêt et d'implication dans ma propre vie. J'ai compris que peu importe le lieu, les études, les gens dans ma vie, mon âge, ect, je ne grandirai jamais assez pour vouloir trouver un sens à tout ça. Je continuerai de me plaindre des années jusqu'au jour où je réaliserai que c'est réellement pénible et irréversible. Chaque jour me donne une raison de mettre fin à ma vie de manière définitive. Je me sens particulièrement monstrueuse dans ma manière de ressentir les choses, ou de ne pas les ressentir, au choix. Quand je vois que mes décisions ne tiennent qu'à une prise de sang, je me demande réellement si un jour je vais pouvoir fabriquer à nouveau des émotions valides et viables. J'aimerais que les choses m'affectent d'un point de vue émotionnel, pas seulement pragmatique. Je suis très mal à l'aise avec moi même parce que j'ai l'impression qu'aucun individu n'arrive à trouver grâce à mes yeux, si c'est hautain à lire, alors c'est aussi hautain à ressentir.
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the-ninth-moon · 1 year ago
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Les magies jouables (en bref)
Crédit icons martyr.
L'imagination ( Syràn )
(cf l'imagination chez Bottero) Cette magie particulière permet aux utilisateur.rices (que l'on appelle les Dessinateur.rices) de rendre réelles les choses imaginées. C'est comme si l'on dessinait dans notre esprit nos pensées, et que celles-ci se matérialisaient dans le vrai monde de façon temporaire.
Cette magie est assez rare au sein de la race, nombre de Syràn en sont totalement dépourvu.es. Néanmoins, iels compensent sans difficulté par leurs capacités physiques au combat au corps à corps assez exceptionnelles.
La magie est contrôlée par un groupe de personnages aux grands pouvoirs que l'on nomme les Sentinelles. L'imagination est donc réglementée : il est par exemple formellement interdit de faire revivre les morts, ou bien d'utiliser ses pouvoirs à des fins meurtrières (ce qui n'empêche pas certain.es de contrevenir à ces règles).
le Vif ( Laëris )
(cf Le Vif chez Robin Hobb)  Le Vif est une magie intimement liée à l'environnement de son utilisateur.rice (que l'on appelle les Ligné.es), et notamment au monde animal. Il permet les dons de liens aux autres, que ce soit par la télépathie ou par la communication animale.
Cette magie est extrêmement courante chez les Laëris, toustes en sont doté.es, mais à des échelles extrêmement différentes. A l'âge de 12 ans, un test est effectué sur chacun.e pour déterminer le niveau de Vif.
Il existe un pouvoir particulier au Vif : certain.es de ses Ligné.es parviennent à tisser un lien si fort avec un animal qu'iels se retrouvent lié.es à lui, pour toujours. Ce lien leur permet de communiquer plus facilement, parfois même d'utiliser les sens de l'autre lorsque c'est nécessaire. Cette faculté est si mal vue par toutes les races et dans tous les coins du globe qu'elle peut mener à un procès mortel si découvert.
La magie du Feu   ( Fiel )
(cf sorcellerie) Cette magie occulte tire son pouvoir du feu et de l'Enfer. Elle peut être utilisée par les sorcier.es à des fins bénéfiques, mais comme en alchimie, son pouvoir nécessite des sacrifices et un principe d'équivalence. Il en va de même pour les sortilèges ou les formules.
Magie occulte ou divine, elle peut sembler effrayante bien que son utilisation dépende exclusivement de ce que qu'en font les sorcier.es (nom donné aux utilisateur.rices de la magie du Feu).  L'apprentissage de ce pouvoir (qui n'est que très partiellement inné) demande des années de sacrifices et de douleurs, et d'innombrables erreurs qui peuvent coûter extrêmement cher. Nombreux.ses sont les Fiel à n'avoir jamais su utiliser leur pouvoir correctement, et à avoir abandonné toute forme de magie dans leur vie.
L'elfique   ( Magriel )
(cf les elfes fantasy)  La magie elfique est utilisée et possédée par tous les elfes, quelque soit leur classification. Celle-ci est différente des autres car, si toute aussi puissante, elle nécessite l'utilisation de mots, d'herbes ou d'objets. Elle est innée, mais a besoin d'un support.
Elle repose sur la soif de connaissance, et est surtout tournée autour de la communication et de la guérison. L'immortalité elfique telle que connue dans les livres fait office de mythe, car elle a été perdue il y a fort longtemps, faute de dilution génétique.
Toustes ont la capacité et le savoir des plantes médicinales, qu'iels apprennent depuis tou.tes petit.es. Pas besoin donc de les acheter dans la boutique d'Atalan.
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bienvenuechezmoi · 2 years ago
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Un mardi normal finalement
Ce matin ma cheffe m'a engueulé (gentiment) parce que je suis arrivée à 9h10 au lieu de 9h. Je sais, en tant que millenials on trouve ça complètement con mais bon je travaille pour une boîte de vieux et apparemment c'est important pour eux. Mais la réflexion est que, quand elle me faisait la morale (toujours gentiment), je me suis refais le chemin dans ma tête du pourquoi ce matin j'étais en retard. Je ne lui ai pas dit parce que le but n'est pas de se trouver des excuses, on a tous nos problèmes. Je ne lui ai pas dit, surtout, parce que sinon elle aurait eu tellement pitié de moi.
La raison était la suivante : après avoir passé 15 jours (ce n'est pas une blague, du 24 avril au 6 mai) avec un mal de crâne à m'éclater la tête par terre, j'ai voulu tester un nouveau médicament contre le douleur. Je l'ai testé le week end (de 3 jours en plus) parce que je sais qu'à ce niveau de médicament on ne connait jamais les effets secondaires sur son corps. Et comme je dis souvent : un week end de douleur est un week end gâché mais une semaine de travail de douleur est une semaine en enfer. Bref je le teste, je passe un samedi et un dimanche horrible entre dormir et regarder des séries pour faire passer le temps fasse aux effets secondaires. Le lundi ça va mieux mais mon corps est encore traumatisé par les deux dernières jours, je sens qui se passe encore des choses au niveau de ma tête. Cependant, je ne sais pas si c'est encore l'effet du médicament ou si c'est mon mal de tête qui revient alors je suis en stress permanent (parce que ma vie c'est ça, c'est la peur d'être coincé dans mon état de douleur pour toujours en appréhendant la prochaine crise, les douleureux.ses chronique on est là). Le problème avec les douleurs chronique c'est que tu ne peux pas te rationaliser parce que c'est ton corps et ton esprit qui sont en alerte et en boucle constante sur le même sujet. Donc lundi, impossible de me calmer de toute la journée, j'ai même été incapable de ranger ma chambre. Je décide de sortir me promener dehors, parce que l'activité ça permet de détourner l'attention de ton cerveau et de relâcher les tensions du corps (à moindre mesure mais c'est mieux que rien). Évidemment, durant cette promenade, j'ai croisé un collègue alors que j'étais dans un état déplorable. Encore heureux, je m'étais lavé quand même. Puis, évidemment, même si la promenade m'a un peu calmé, j'étais toujours très tendu alors j'ai fait une insomnie jusqu'à 4h du mat. Ce matin, après tant d'émotion je me suis levée en retard et comme c'est un mardi après un jour férié c'était bouchonné à cause des camions qui rattrapent le lundi non travaillé.
Voilà alors je trouve que pour toute cette épopée, 10 minutes de retard c'est plutôt un très bon ratio.
Amusé de cette disproportion entre la raison de mon retard et la durée de mon retard je le prend à la légère (également parce qu'il est le matin et que je n'ai pas bu mon café). A ce moment là, commence une discussion de sourd où je lui raconte qu'à mon ancien travail on prenait à 9h30 ; elle me répond que quand elle était cheffe d'usine c'etait 5h du matin au travail. Je lui rétorque que c'est pour ça que j'ai fait un bac+5. Elle me répond que ces gens ont bien fait un bac+5 mais doivent se lever tôt quand même.
C'est là où nos deux générations s'entrechoquent. Je n'ai pas fait un bac+5 pour faire une carrière mais pour maximiser mes profits en minimisant mes efforts. Ce qui signifie que le but n'est pas d'être cheffe mais d'avoir un salaire descend avec le moins de responsabilité possible tout en sachant que je peux me casser et changer d'entreprise à tout moment. Je ne lui ai pas dit que le réveil à 5h du mat était rédhibitoire pour mon choix de travail mais je le pensais très fort.
M'enfin bref. Je suis surtout fière de moi parce que depuis un petit moment quand on me fait des critiques qui sont balayages par des infos solides de mon cerveau je m'en fiche au plus haut point alors que j'ai longtemps pensé que la moindre critique serait un problème pour moi en entreprise. Ça me fait extrêmement plaisir.
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claudehenrion · 2 years ago
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L'interminable cauchemar du covid, hyper-scandale d'Etat (suite)
   On me dit que certains pourraient s'étonner de mon édito de pub' pour ''Les Apprentis sorciers'' signé par ma fille –qui caracole en tête du hit parade, devant Musso, Lévy, Zemmour, etc... (source : La FNAC, ''5 sur 5'', ce matin : le mieux noté et le plus vendu.). Désolé (pas vraiment!) pour les rétrogrades : une page se tourne, la leur. Vive la vérité... et la justice immanente. Cela dit, je ne trouve pas ''choquant'' qu'un père parle de sa fille... mais je vais me racheter tout de même : avez-vous lu ''Covid 19 – Ce que révèlent les chiffres officiels'', de  Pierre Chaillot ? Si ''non'', allez vite l'acheter : c’est le complément utile à ''Les Apprentis sorciers'' !
Cette complémentarité a une explication : Alexandra Henrion-Caude a consacré 25 années �� étudier l'ARN-messager, et elle n'a écrit ce livre que pour expliquer à tous les faux gourous-de-plateau, urologues ou oto-rhinos sans patientèle (qui sont donc hyper-compétents en génétique !) les risques que courrait l'humanité si les choses tournaient dans un mauvais sens...  Pierre Chaillot est compétent dans un autre domaine : la statistique... et il a aussi été entraîné par l'obligation de rétablir des vérités déformées par des donneurs de leçons peu scrupuleux. L'une explique la teneur du mensonge et l'autre la manière de l'imposer. Ils ont en commun que le système n'a à leur opposer qu'insultes, ostracisme, boycott et exclusion....
Qui n'a pas vu, sur les chaînes du ''Sévice Public'', Michel Cymès et Laurent Alexandre le visage déformé par la haine, ne peut pas comprendre ! Comme Alain Fischer dans le Figaro, ou Rohart sur Télématin, ils hurlent ''je ne parle pas à des gens qui ne pensent pas comme moi''. L'autodafé n'est pas loin : déjà, ils en sont à ''il faut priver les déviants de parole !'', au nom de la Science et de la Démocratie. Faut-il qu'ils n'aient rien à dire pour n’être que véhéments, bêtes et méchants ! Ces gens-là sont une énigme : le temps qui passe et tout ce qu’on apprend est sans effet sur eux. En fait, le reproche de ''complotiste'' n'est qu'une autre forme du ''c'est çui qui l'dit... qui l'est''  des cours d'école maternelle. Comme Macron, ils sont sourds. Résultat : les français, surpris par cette violence injustifiée et ce déni du réel, les écoutent... et se précipitent pour acheter le livre... qui bat  ainsi tous les records du genre, grâce à eux. Merci, les nuls ! Continuez surtout : ça fait avancer la vérité ! Contre vous. Et c'est très bien comme ça !
Revenons à nos moutons : personne n'a oublié cette pub (stupide et sans doute coûteuse !) : ''On peut discuter de tout, sauf des chiffres'' –bobard XXL s'il en est : les chiffres ont peu d'autre utilité que d'être discutés, comparés, expliqués, interrogés... Par exemple, si Pierre Chaillot dénonce le récit officiel cataclysmique, c'est ''chiffres et graphiques à l'appui''. Et s'il écrit ''Mortalité, tests, vaccins, essais cliniques, saturation des hôpitaux... les autorités ont tout utilisé pour jouer sur nos peurs et nous soumettre à l'inacceptable'', nous découvrons, stupéfaits, que ''Sitôt la pandémie déclarée, le 20 février 2020, le gouvernement a appliqué le plan Orsan REB qui habilitait 38 hôpitaux (sur 1500) à recevoir des patients étiquetés ‘’Covid''. 
Nous avons donc été saoulés d'images d'hôpitaux noyés sous les cas de covid... pendant que l'activité des autres, jamais montrés aux JT, baissait --parfois de 50 %... ce qui explique (1)- pourquoi on continuait à supprimer des lits, ailleurs, (2)- pourquoi il fallait transférer les malades à l'autre bout du pays, à grands frais, alors qu'il y avait, à un ou deux jets de pierre, tous les équipements privés ou publics nécessaires et (3)- pourquoi il n’y avait que ...38 ''Experts-du-20-heures'' qui venaient pleurnicher sur nos écrans, en espérant un vaccin, leur seul espoir de mettre la tête hors de l'eau... Les médias ont été ridiculisés et nous, pris pour des pommes pendant 3 ans (à ce jour), à ceci près que eux n'ont toujours pas compris !
Autre monstruosité : ''Les consignes officielles étaient très claires : ''En cas de maladie avérée, prenez de la Doliprane et restez chez vous. Si votre état empire, appelez le 15''. On a interdit aux médecins de ville de soigner... et ''les malades arrivaient à l'hôpital dans un état lamentable... tandis que les patients victimes de crises cardiaques, terrorisés, restaient chez eux et y mouraient...''. Plus horrible encore : ''le 23 mars 2020 a été signé le criminel ''décret Rivotril'' qui intimait aux médecins l'ordre d'injecter ce produit à toute personne âgée qui présentait des difficultés respiratoires, ‘’sans même en prévenir les proches’’... alors que la notice du ''Vidal'' précise que ce produit ne doit jamais être prescrit en cas d'insuffisance respiratoire, le risque étant mortel''. (NB : qui a crié ‘’tout ça n’est pas vrai‘’ ?) 
Un seul et ultime argument reste disponible aux ''patho-vax'' : une ''protection des cas graves''. (NDLR – ''Patho-vax'' est un mot que j'ai inventé : pourquoi ne pas les qualifier de ce qu'ils sont, eux, alors qu'ils ont affublé d'un ''anti-vax'' mensonger des gens qui ne sont anti-rien ?). Mais ce ''les cas graves'' est faux, comme tout le reste : ''aucun des essais cliniques reportés par Pfizer et Moderna n'a porté sur la protection des ''formes graves'', et nous avons tous connu des tri- ou des quadri-vaccinés qui sont morts de covid grave. Mais les labos, eux, ''ne cherchaient qu'à protéger d'un test positif'' (sic !). Donc...''on testait très peu les vaccinés et beaucoup les non-vaccinés... ce qui a fabriqué la légende du ''il y a plus de morts chez les non-vaccinés'', les chiffres actuels  disant au contraire qu’il y aurait un peu plus de morts chez les vaccinés –chez Pfizer, en tout cas.
Leur absurde ''pass-sanitaire'', tellement infantilisant, humiliant, liberticide et inconstitutionnel (voir Fabius, habillé pour l'hiver, ci-après) a considérablement aggravé cette situation : ''les vaccinés n'avaient plus besoin de rien, mais les non-vaccinés avaient besoin d'un test pour boire un café, aller aux toilettes ou traverser la rue'', et il y avait donc, arithmétiquement, plus de positifs chez les non-vaccinés. Au seul souvenir de la psychose qui avait été inoculée de force à tous les braves gens et des tsunamis de contre-vérités déversés ''H 24'', on ne doit plus jamais croire un seul mot proféré par un seul de ces ''serial-menteurs'' devenus, par la loi des nombres, des assassins... Et Chaillot de conclure : ''la seule chose dont ce vaccin protège, c'est de faire un test''. Bravo, les mecs ! Ca, c’est du costaud !
Mais la terreur imposée et les menaces brandies étaient si violentes qu'il a fallu 2 ans pour qu'on ose commencer à dire ce qui était évident –car ceux qui ont ''ouvert leur gueule'' l'ont payé d'une ''mort sociale''... Pierre Chaillot confirme que le Conseil constitutionnel a validé la constitutionnalité de lois parfaitement liberticides (tout en rappelant que le job du fils de Fabius chez McKinsey ne serait pas étranger à cet autre scandale...)... ce qui fait aussitôt penser aux scandaleux ''feux verts'' du pseudo comité d'éthique (?), qui déclarait ''conforme'' tout ce qui venait d'en haut, fut-ce totalement amoral... et aussi au récent rachat de PornHub, le 1er site porno au monde, par le fonds d’investissement canadien Ethical Capital Partners, qui investit ‘’dans les secteurs exigeant des principes éthiques" (sic, dans ces 3 cas !).
La vérité, c'est qu'il n'y a pas eu de surmortalité et aucune des hécatombes annoncées en 2020, en 2021, si ce n'est, ''des hausses de mortalité suspectes, tombant pile au moment des campagnes de vaccination, dans tous les pays et pour toutes les tranches d'âge...'' ce qui est à l'exact opposé de tout le discours officiel des Philippulus qui prêchent l'apocalypse, aujourd'hui encore ! ''Le seul constat indiscutable, c'est que les courbes de mortalité et de vaccination se suivent''... dit Chaillot, ce qui est en faveur de l'abandon de toute vaccination. On n’en est pas là !
Mais ''il reste interdit de critiquer la vaccination : l’omertà est totale’’.. Dire une chose à contre-courant du discours officiel sur le covid vous étiquette ''complotiste'' et fait de vous un gibier pour l'engeance néfaste, inutile et mortifère des soi-disant ''fact-checkers''. (NB - ces gens-là sont des ignares absolus sur tout sujet, ce qui les autoriserait (?) à raconter n'importe quoi : leur méthode consiste à sélectionner un seul ''fait'' (un bruit de caniveau fera l'affaire, s'il va dans leur bon sens), à l'ériger en ''vérité incritiquable'', et à imposer cette vision réductrice, contre des gens qui ont passé toute leur vie à étudier les mille facettes, nuances et complexités de la chose en question. Mais comme ils ne sont pas complètement fous, il n'existe, dans leur univers pourri, ni droit de réponse, ni discussion, ni références. C'est la vengeance des nuls sur ''ceux qui savent vraiment''. Il y en a une, hier, qui expliquait doctement (?) que Sarkozy aurait menti devant le Sénat ! On en revient, toujours, à Michel Audiard : ''Les cons, ça ose tout... et c'est même à ça qu'on les reconnaît !''. 
Et ce n’est pas les lecteurs de l’Express qui vont ne pas reconnaître leur magazine dans cette jolie citation, cette semaine... encore que ses journalistes, totalement dépassés par ce qui se passe aux Etats-Unis, où la vérité éclate plus vite qu’en France (liberté oblige !) soient plutôt des adeptes du ‘’Quand on veut noyer son chien, on dit qu’il a la rage’’. Les chiens aboient, la caravane passe... Pauvres petits journaleux français qui n’ont pas vu que le confinement était terminé... Pour un Gérald Kierzec (Directeur médical de Doctissimo) combien de ces défenseurs d’époques révolues où la science se soumettait aux idioties du pouvoir politique ?
Résumé : aux Etats-Unis la vérité éclabousse peu à peu les mensonges et les peurs fabriquées de ces trois longues années, et on découvre... qu'il suffisait de ne rien faire de tout ce qui a été perpétré ! Il reste une question : a qui profitent ces crimes ? En France, on en est encore aux mensonges, aux interdits, et aux insultes  ! Une chose est certaine : ‘’c’est pas demain’’... que vont changer les discours et les pratiques... pour notre plus grand malheur ! Pauvre France !
H-Cl.
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lilias42 · 11 days ago
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Esquisse au noir
...et il y aura peut-être une suite si le résultat me va mais, je voulais déjà vous montrer car j'aime bien le premier rendu, même si c'est encore loin du rendu dans ma tête.
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Ce n'est pas en lien avec l'idée en cours (qui n'a toujours pas de titre) mais, j'avais juste envie de dessiner une divinité après avoir vu la saison 2 d'Arcane qui est une déception narrative (même si on avait déjà des prémisses de cette déception dans la saison 1, notamment en faisant de Vander LA figure sage de mentor à suivre, de Silco quand la série a décidé d'en faire un baron de la drogue alors que ça ne cadre pas du tout avec son personnage d'indépendantiste radicale - c'est un terroriste, c'est sûr et certain mais, vu ses motivations, ça n'a aucun sens qu'il gaspille sa drogue de combat en la distribuant dans les rues comme drogue récréative et qu'il empoisonne les gens qu'il veut protéger, j'aurais plus vu un conseiller vouloir se faire encore plus d'argent et décider qu'empoisonner des pauvres avec autre chose que la pollution serait une bonne idée - et l'absence de cadre autour du Shimmer qui sert à tout et n'importe quoi sans affecter les personnages de la même manière selon si oui ou non, ils ont une armure de scénario vu qu'encore, l'Hextech a l'excuse d'être de la technologie magique instable mais le Shimmer, c'est censé être un produit scientifique qui n'a rien de magique alors, ses effets devraient être mieux encadrés, tant pis pour la parcimonie scénaristique... enfin bref, je divague) MAIS, qui est une claque graphique, on va pas se mentir. Sur tous les aspects qui ne sont pas le scénario, la série est à voir, c'est juste dommage que le squelette / liant qui tient tout ensemble soit aussi décevant et même raté à plusieurs niveaux (même si étant donné que le fandom ressemble à un champ de bataille, je vais éviter d'y aller, y a déjà fort à faire avec les adeptes d'une certaine Fée des Houles).
Enfin bref, un point que j'avais préféré, c'est toute l'esthétique autour de Viktor et du monde de l'Hextech une fois qu'il devient Jésus / Dieu / Hérault des Machines. Ces couleurs, ces compositions, le mouvement, le design... c'est juste magnifique et vraiment, ça met bien en avant la nature quasi divine de Viktor et l'étendu de ses pouvoirs. ça n'aurait pas oublié les motivations de Viktor en cours de route et pas pris sa maladie en phase terminale comme imperfection à ne pas supprimer, ça aurait été tellement fort qu'il soit devenu dieu pour sauver les gens, sans se rendre compte qu'il leur offre en fait la paix de la tombe !
Alors, j'ai voulu tenter de faire une figure divine en jouant sur les couleurs (même si elles ne sont pas sur ce calque-là, même s'il y a un test pour voir ce que ça donne avec ces yeux) également mais, pas aussi négative que Viktor qui se perd dans sa toute puissance et veut rendre l'humanité parfaite en supprimant tout ce qu'il considère comme des imperfections, émotions comprises. Alors, j'ai repris une très vieille idée d'il y a assez longtemps : une enfant d'une figure divine encore assez jeune (enfin, jeune pour une divinité techniquement immortelle j'entend) qui se prend d'affection pour une planète habitée et décide d'y descendre pour voir ce qu'elle peut faire pour aider les humains à améliorer leur vie, ayant réellement foi en eux pour s'améliorer, tout en essayant de ne pas trop empiéter sur leur libre arbitre pour ne pas leur retirer et les condamner à la paix de la tombe, tout en essayant de calmer son pouvoir qui grandisse de plus en plus, ce qui la force à porter un masque régulant un peu ses force pour ne pas écraser les humains autour d'elle à cause de sa présence, et en donnant beaucoup de ses forces à la planète pour la renforcer et la rendre plus fertile, même si en contrepartie, le jour où il lui arrive quelque chose, autant dire que la planète est très le mal et qu'évidemment, des gens préféreraient avoir le pouvoir absolu pour eux plutôt que de le laisser à cette rêveuse patenté qui les empêche de faire du mal aux autres en intervenant avant qu'une guerre éclate pour forcer les gens à discuter sans s'entretuer en mode "oui, y a un risque qu'on tue la planète en la tuant pour voler ses pouvoirs de créations MAIS, je suis sûr que ça va bien se passer et si on y arrive, on pourra encore plus exploser la figure des gens qu'on n'aime pas !" car bon, pour avoir autant confiance en l'humain qu'elle et en sa capacité à s'améliorer, il faut une foi absolue et une patience de à toute épreuve que seul un dieu peut avoir... de mémoire, vu que ça commence à remonter cette histoire... (quelle date d'ailleurs... alors, "Les Enfants de Mir", c'était encore ma période "triplés tout le temps en héros principaux", alors... avril 2019 ? Déjà ? Mon dieu que le temps passe vite !).
Enfin bref, c'est un premier test qui sera très différent du final vu que niveau technique pour son visage et ses cheveux jusqu'à ce qu'elle remette son masque, je voudrais faire un rendu semblable à celui de Dil et Esther sans trait noir, c'est que le premier calque mais, j'arrivais pas à attendre de vous montrer alors, voilà !
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lunahmoxallin · 5 months ago
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Episode 4 : L'épreuve
"Des événements particuliers vont pousser Miiko et les autres membres de la garde à remettre en cause ta nature humaine. Aide la garde d'Eel pour prouver que tu es bel et bien humaine et enfin rentrer chez toi !"
Vous reprenez l'épisode exactement au même endroit que vous avez terminé l'épisode 3. C'est-à-dire exactement à la Salle de Crystal. Vous remettez donc le morceau de Crystal à Miiko.
Dirigez-vous vers la Salle des Portes mais vous serez automatiquement diriger au Garde-Manger où vous assisterez à une discussion assez animé entre plusieurs personnes. Vous êtes alors accostée par Leiftan.
Après la dispute, vous retournez à la Salle de Crystal où vous donnez enfin le morceau de Crystal à Miiko. Le fragment fusionne à l'énorme Crystal et alors une entité se matérialise en nous montrant du doigt.
On vous explique alors que cette entité est l'esprit du Crystal et qu'elle ne se montre que très rarement sauf à l'approche d'un événement important. Son apparition remet en question vos origines et ouvre la possibilité que vous ayez du sang de Faery. Il est donc décider que vous passerez un test pour savoir si vous êtes bien à demi-feary.
Une fois que vous traverserez la Salle des Portes pour aller dans le Laboratoire d'Alchimie. Ezarel avait le nez plongé dans un vieux grimoire.
Observer en silence. + Ezarel
Lui demander s'il a besoin d'aide.
Se pencher par-dessus l'épaule d'Ezarel. -5
Achetez de l'Eau Purifiée à la Boutique d'Alchimie dans la catégorie Gaz et Liquides.
Vous devez trouver Nevra, Valkyon et Kero.
Pour le Fruit Sélénite, il vous faut l'aide de Nevra :
Nevra : Eh bien c'est un fruit non ?
Tu pourrais m'aider à en trouver ? (vous payez le fruit 200 maanas et -5)
Tu saurais où je peux en trouver ? (vous payez le fruit 150 maanas et neutre)
Je sais pas du tout ce que c'est. (le fruit vous est offert et +5)
Pour la Roche Ecarlate, il vous faut l'aide de Valkyon :
Valkyon : Ah, il y a une roche écarlate !
Tu sais où je peux en trouver ? -5
Oui, ça doit être une pierre rouge, non ? (elle se retrouve dans votre inventaire et +5)
C'est quoi ? (neutre)
Pour la Sève de Cyprès Doré, c'est Keroshane qui vous indique où la trouver. C'est à la Clairière aux Cyprès. Allez à la Grande Porte, à l'Orée de la forêt et finalement à la Clairière aux Cyprès.
Vous entendrez du bruit et vous dirigez vers celui-ci. Vous ferez alors la rencontre d'Ykhar une sympathique lapine et Alajéa une sirène.
Intervenir. (-15 Ykhar)
Ne pas intervenir.
Vous n'aurez pas d'autres choix de les accompagner voir Miiko.
Dites, elle est toujours comme ça ? (-5 Ykhar)
Pourquoi stresse-t-elle ? (+5 Alajéa)
...
Ensuite, vous devez retourner à la Clairière aux Cyprès. Mais une fois arrivée, vous entendez du bruit à droite et allez voir.
Demander s'il y a quelqu'un. (Illustration)
Allez voir ce qui se cache dans le buisson.
Notre mystérieux inconnu masqué apparaît mais à peine vous le voyez qu'il disparaît. Vous fouillez dans le tronc creux et oh surprise ! Vous trouvez un nouveau fragment du Crystal.
Vous retournez donc à la Clairière aux Cyprès pour récupérer la sève. Vous trouverez un tronc où il y a de la sève, il vous suffit de cliquer dessus pour qu'elle rejoigne votre inventaire.
Vous avez maintenant tous les ingrédients; vous pouvez donc rejoindre Ezarel au Laboratoire d'Alchimie. Il y aura un dialogue à sens unique. Vous irez à la Bibliothèque puis retournez au Laboratoire d'Alchimie.
Ezarel : Ah ah ah !
Arrête de te ficher de moi. J'en ai marre ! -5
Comment ai-je pu y croire ? +5
...
Vous devrez vous balader dans le QG et croiser tous les personnages sauf Ezarel, Miiko et Jamon. Vous devrez descendre jusqu'à la prison et remontez pour croiser Alajéa. Si elle n'est pas là, elle se trouve dans le Garde-Manger.
Vous croisez ensuite Ykhar, elle peut être également à la Forge :
Lui demander ce qui ne va pas.
Ne rien lui demander. +10
En remontant vous croisez Mery, il vous apprends qu'il a nommé son familier comme le vôtre.
Allez à la Forge, vous rencontrer Valkyon.
Valkyon : Oui, on en croise de temps à autre.
J'aime bien les fées.
Qu'est-ce qui leur est arrivé ? +5
Est-ce qu'elles sont vraiment aussi cliché que les descriptions que j'ai pu entendre dans mon monde ? -
Vous quittez la Forge pour aller à la Bibliothèque pour discuter avec Keroshane
Kero : J'espère juste qu'Ezarel cessera de te taquiner Enfin, s'il continue, il verra de quel bois je me chauffe !
Tu oserais vraiment lui dire quoi que ce soit ? (neutre)
Ah ah, je te vois mal lui tenir tête (-5)
Ensuite, vous devez aller dans le Corridor des Gardes pour que Nevra vous informe qu'Ykhar est une Brownie mais que vous avez déjà croisé quelqu'un de la même espèce.
Nevra : Devine.
Kero ! (neutre)
Mery ! (+5)
Jamon ! (-5)
Après avoir croisé tout le monde, retourner au Laboratoire d'Alchimie. Vous devez aller chercher Miiko pour l'emmener au Laboratoire pour passer le test.
L'inimaginable se produit, sous le choc vous allez jusqu'au Kiosque Central où vous croisez Mery et Ykhar. Un dialogue sans choix se déclenche ensuite vous retournez à la Salle des Portes.
Vous devez faire un choix :
Entrer directement dans le Laboratoire d'Alchimie. (+5 Ezarel)
Faire demi-tour. (neutre Nevra)
Attendre encore un peu. (neutre Valkyon)
Peu importe le choix, vous retournez au Laboratoire en compagnie d'un des Capitaines. Ensuite vous devrez aller dans le Corridor des Gardes escortée par Jamon pour vous montrer votre chambre.
Vous recroisez Ezarel.
Ezarel : Si tu veux mon avis, on aurait pu se passer de ton caprice.
Caprice ? Tu penses vraiment que j'ai fait un caprice ? +5
...
Désolée... -5
Allez dans le Corridor Simple et vous pourrez entrer dans votre chambre. Si on peut appeler ça une chambre, ça se rapproche plus d'une cellule de prison.
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sarahc351 · 5 months ago
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christophe76460 · 7 months ago
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PAROLE DE LA SEMAINE
Allez Là Où Dieu Vous Appelle
Zac Poonen | 21-07-2024
Un jour, alors que j'envisageais de me rendre dans un certain pays (où il est interdit de prêcher l'Évangile), le Seigneur m'a rappelé Matthieu 28:18-19. J'ai alors compris que c'est parce que le Seigneur a toute autorité dans les cieux et sur la terre qu'il nous a ordonné d'aller dans toutes les nations et de faire des disciples. Si nous ne partons pas sur cette base, nous rencontrerons des problèmes partout où nous irons.
Le mot « donc » est le mot le plus important du grand commandement de Matthieu 28. La plupart des prédicateurs mettent l'accent sur le mot « Allez ». C'est une bonne chose. Mais sur quelle base devons-nous aller ? Sur la base de l'autorité totale de notre Seigneur sur tous les hommes de la terre et sur tous les démons. Si vous ne croyez pas vraiment cela, il vaut mieux que vous n 'alliez nulle part !
Ce verset de Matthieu 28 m'est apparu comme une nouvelle révélation à l'époque. J'ai alors réalisé que je pouvais aller dans ce pays sans hésiter. Il y avait des craintes en moi - naturellement - lorsque je suis entré dans ce pays. Mais je n'ai pas pris ma décision sur la base de ces craintes.
Si vous pensez qu'il y a une nation dans ce monde où le Seigneur Jésus n'a PAS une autorité totale, alors je vous conseille de ne pas y aller ! Je ne m'y rendrais pas moi-même. J'aurais peur. Mais Dieu merci, un tel endroit n'existe nulle part sur cette terre ! Tous les coins de cette terre sont sous l'autorité de notre Seigneur.
De même, si vous pensez qu'il y a quelque part un homme (aussi puissant soit-il) sur lequel notre Seigneur n'a pas d'autorité, alors vous devrez toujours vivre dans la crainte de cet homme. Mais Dieu merci, une telle personne n'existe nulle part. Notre Seigneur a autorité sur chaque être humain. Même le roi Nebucadnetsar l'a compris - comme nous le lisons dans Daniel 4:35.
S'il existe quelque part un démon qui n'a pas été vaincu par notre Seigneur sur le Calvaire, mais qui a échappé à la défaite, alors nous devons toujours vivre dans la crainte de ce démon. Mais il n'y a aucun démon de ce genre qui n'a pas été vaincu sur la croix. Satan lui-même y a été vaincu - définitivement. C'est ce qui nous libère de toute crainte de Satan et de ses démons, et nous donne une grande audace dans notre ministère.
Nous allons donc là où Dieu nous appelle à aller. Il peut y avoir des risques dans certains endroits. Mais d’après ce que nous savons, si nous sentons que le Seigneur nous y conduit, nous n'avons pas à craindre d'y aller. La question n'est pas de savoir s'il y a une persécution des chrétiens dans un endroit particulier ou non. La seule question est de savoir si le Seigneur nous a demandé d'y aller ou non. S'il l'a fait, son autorité nous soutiendra totalement. Nous n'avons aucune crainte à avoir. Mais si Dieu ne nous a pas appelés à aller quelque part, alors nous ne devons pas y aller, même si les hommes essaient de nous persuader d'y aller, ou si l'esprit d'aventure qui nous habite nous donne envie d'y aller !
Nous devons nous demander pourquoi nous allons à tel ou tel endroit. Si nous y allons parce que nous voulons faire des disciples et que nous n'avons pas d'autre ambition, nous pouvons être certains que le Seigneur sera toujours avec nous, « jusqu'à la fin des temps », comme il l'a promis. Mais nous pouvons avoir d'autres motivations. Le Seigneur « examine l'attitude de notre cœur » (Jérémie 12:3) et teste nos motivations.
Le Seigneur ne s'engage pas avec tous ceux qui se disent croyants. Nous lisons cela dans Jean 2:24. Mais si vous pouvez honnêtement dire au Seigneur :
Seigneur, je vais à cet endroit uniquement parce que je sens que tu m'as appelé à y aller. Et je n'y vais que pour faire des disciples, les baptiser au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit et leur apprendre à faire tout ce que tu as ordonné. Je n'y vais pas pour gagner de l'argent ou pour me faire un nom ou pour toute autre raison personnelle.
Si vous pouvez dire cela honnêtement, alors vous aurez certainement l'autorité du Seigneur qui vous soutiendra toujours.
Et vous n'aurez pas à vivre dans la peur, en vous demandant ce qu'il adviendra de votre femme et de vos enfants ou comment vos besoins financiers seront satisfaits. La seule question qui compte est la suivante : « Dieu t'a-t-il appelé ou non? Est-ce Dieu qui vous envoie là-bas ou est-ce un homme qui vous y envoie ? Ou est-ce l'esprit d'aventure qui vous anime ?
Si vous avez un programme autre que celui de Dieu, alors je ne peux pas vous offrir une seule promesse de l'Ecriture pour vous réconforter. Mais si votre programme est le même que celui de Dieu - faire des disciples, les baptiser au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit et leur enseigner à faire tout ce que Jésus a ordonné - alors je peux vous assurer que vous n’avez pas à craindre les hommes ou les démons.
Zac Poonen – [email protected]
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https://francais.cfcindia.com
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darkpalmor · 8 months ago
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19 JUIN 2024
Programme de presque fin d’année.
Échauffement libre en 5 minutes : « On tient le bon bout ! »
On tient le bon bout ! Enfin, ça sent l’écurie, on touche au but. Bientôt on sera libres : Bernard aura fini de nous imposer ses exercices tordus, ses contraintes incompréhensibles. Les cahiers au feu, l’animateur au milieu ! On va pouvoir penser à autre chose que l’écriture : le soleil, la flemme, la désobéissance…
1°) Écriture longue (10-15 minutes) : Compliment de circonstance. On écrira le discours destiné à féliciter quelqu’un pour sa réussite à un examen médical. Liberté totale pour le type d’examen, et le sens du mot « réussite » à cet examen. L’annonce d’un cadeau spécialement destiné à cette circonstance sera faite au cours du discours.
Chères et chers collègues de notre équipe de boulistes, cher Jean-Jacques, au titre de Président de notre Amicale Bouliste Lédonienne, je suis heureux de pouvoir te remettre cette Boulette d’or qui vient récompenser ton brillant passage devant la Commission Santé et nos infirmières. Jean-Jacques, tu as réussi tous les tests, avec mention, si j’ose dire. Tension concentrée avant l’effort, position accroupie pour pointer, 13/7. Tension au moment du lancer, après les trois pas réglementaires en petites foulées, 17/8. Tension et pouls au moment de la mesure des écarts en centimètres par rapport au cochonnet, 12/6 et 58, pouls régulier, aucune arythmie, preuve de ton calme face à l’adversité et à la mauvaise foi de ceux de Montmorot. Jean-Jacques, sache que nous avons aussi examiné la quantité de liquide exsudé pendant la durée de ce tournoi : eh bien, tu es remarquablement sec ! Pas de perte de sels minéraux, et l’analyse d’urine n’a révélé aucun produit dopant connu à cette date. Tu peux donc, désormais, rejoindre la catégorie enviée des polyvalents, les pointeurs-tireurs, et nous comptons beaucoup sur toi pour la prochaine compétition. Nous irons bientôt affronter, sur leur terrain, les redoutables Petits Boulets de Perrigny. On va leur mettre la pâtée, avec la forme olympique que tu tiens ! Approche, Jean-Jacques, pour que j’épingle sur ta puissante poitrine cette Boulette d’or ! Applaudissons-le ! Applaudissons notre champion ! Bravo Jean-Jacques ! Et ouvrez les canettes, derrière le bar ! Faut que ça saute ! Faut que ça mousse et que ça pète ! Et avec cette médaille, Jean-Jacques, un bon de retrait de douze packs de Kro au Lidl, en une seule fois ou petit à petit ! Est-ce que ça te convient ?
2°) Défragmenter (10-15 minutes) : Petits bouts perdus. Cinq fragments, piochés au hasard sur des messages laissés sur Internet, sont à compléter et assembler librement, puis à développer en un récit dramatique à la première personne. « … avec tout ça, ne pas oublier que… » « … de l'étoile de notre choix… » « … la seule fois de l'année où je… » « … lève les bras vers le ciel… » « … lundi et je suis déjà au bout de… »
Je ne sais pas si je tiens le bon bout, après cet examen médical. J’ai des doutes. Depuis le temps que je me demandais pourquoi j’étais toujours patraque, j’ai franchi le pas et me voilà sur le point de savoir si j’ai réussi… Ce n’est pas la seule fois de l’année où je vais m’inquiéter, parce qu’après cet examen il faudra préparer les bagages, partir en vacances, et c’est autre chose de plus compliqué. On est lundi et je suis déjà au bout de ma patience. Quand j’en parle à ma femme, elle lève les bras vers le ciel et me conseille de faire confiance au destin. Tu parles ! Le destin ? Si notre bilan de santé devait dépendre de l’étoile de notre choix, je choisirais une étoile très lointaine, dans le genre Sirius, pour m’en remettre à elle de très loin, ce ne serait pas plus incertain que d’attendre un miracle en provenance de ce fieffé laborantin qui analyse mes prélèvements ! Bref, je vais ruminer jusqu’à ce que le facteur mette ce résultat dans la boîte aux lettres. Est-ce que c’est du Covid ? Autre chose ? Est-ce que c’est plus grave encore ? Avec tout ce que j’ai à faire cette semaine, ma vie est gâchée. Et avec tout ça, ne pas oublier que c’est bientôt la Fête de la musique, suivie des élections… Je sens que le début d’été sera chaud.
3°) Écriture longue : Nouveaux fabulistes. Écrire une fable, en vers ou en prose, avec une moralité, à partir d’un ou deux objets imposés qui en seront les personnages (pas forcément exclusifs). Fable à écrire : La cravate et le gourmand.
La cravate et le gourmand Le festin approchait. Le financier gourmand Sentait l’appétit qui venait. Il lui fallait se faire beau, La compagnie serait choisie : D’autres banquiers très bien vêtus, Leurs femmes chic en robes longues, Il ne devait pas déparer. Il sortit du placard sa plus large cravate, Cravate en soie de Chine, Avec soin la noua sur sa chemise blanche. Au banquet, on s’assit, Les serveurs arrivèrent, Chargés de petits fours Et de canapés fort appétissants. Après l’apéritif, ce fut le plat en sauce, Un civet fort goûteux. Notre gourmand, réjoui, se pence sur l’assiette Afin de n’en pas perdre la moindre bouchée. Sa cravate de soie, large et flottante, un peu trop longue, En pâtit lourdement, Trempa dans le ragoût Et se tacha de brun. Mais le gourmand, distrait, Ne s’en rendit pas compte. À la fin du repas, Quand chacun se leva, Les convives surpris remarquèrent la tache, Mais n’osèrent rien dire : On ne critique pas le banquier principal. De retour au logis, le gourmand bien confus Se dit qu’une autre fois, Il choisirait plutôt Un bon nœud papillon.
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gedjub · 1 year ago
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051223 Si caches était le mot pour dire les yeux, ça ne m'étonnerait pas, mais pour les tiens il faudrait un adjectif de lumière (force en vision périphérique)
071223 scapespace
+ L'un dans l'autre, même si c'est rien qu'une fois
081223 comment être un monde meilleur? (Microbiote)
+ Un musicien joue pour sa plante d'agave des chansons dont il adapte les paroles pour elle.
141223 66, rue des éperons
+ 99, rue des oreilles
+ Nachts Fenster wie Bühnen
+ Je réfléchissais à notre empathie relative à la taille de l'objet envers lequel se dirige le sentiment, je pensais au autres animaux: plus l'être est petit, moins grande est l'empathie. La petite araignée qui loge chez moi en ce moment a ravivé ce questionnement. Felix, en voyant les vidéos et photos que j'en ai faites, a fait mention de Lucas, cette autre petite araignée un temps très présente sur internet et considérée toute mignonne. Elle est petite, on pourrait l'écraser mais, comme moi en ce moment avec mon araignée, on la filme en gros plan et alors on est pris d'affection pour elle, on prête des sentiments connus à ses gros yeux noirs et brillants, à ses petites pattes avant qui gigotent comme les bras d'un bébé. Cependant, tous les jours j'ai peur de l'a tuer en l'écrasant parce qu'elle se déplace et que je pourrais ne pas la remarquer sous mon pas, sous ma main, comme j'écrase certainement des dizaines ou des centaines d'autres insectes toutes les jours en marchant dans la rue, sur l'herbe, ou comme j'en avale sûrement en respirant, etc. Personnellement, je sens bien que mon empathie exacerbée me rend la vie plus difficile. (Plus belle et riche aussi, oui.) C'est donc de bonne guerre dans l'univers, ce fait qu'on éprouve moins de peine envers une fourmi mourante qu'un chien souffrant, ou même qu'un cochon d'Inde malade.
151223 pas sommeil. Je me souviens du magasin Z.
+ J'ai laissé disparaitre l'araignée derrière la porte du petit placard à compteurs. J'aimerais qu'elle réapparaisse. J'ai peur de l'avoir tiré par le fil sans le voir et de l'avoir projetée ailleurs que là où je crois qu'elle est, en sécurité cachée de moi.
161223 quelqu'un lui a dit que le mot "test" était un mot anglais compliqué, alors il a toujours du mal à le prononcer. Puzzle
171223 You make me flower
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commentaire-d-arret · 1 year ago
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RECOURS CONTRE UNE ACTION GOUVERNEMENT   L'ULTRA VIRES
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Il doit être implicite et fondamental, dans un ordre politique formé de souveraineté populaire, que le but de son gouvernement soit la protection, si nous voulons vivre avec l'idée qu'il est établi de et par et pour le peuple. Voir aussi « La fiche d’arrêt Dame Lamotte du 17-02-1950 ».
L'expression du pouvoir de cette société organisée fait apparaître deux caractéristiques précieuses d'un peuple libre vivant sous un gouvernement représentatif. Toutes deux comportent des aspects de "sécurité" et de "liberté".
L'une est la qualité bénigne et protectrice de la limitation gouvernementale de la mauvaise conduite. L'autre est la liberté individuelle. En cas d'excès, la protection se transforme en tyrannie. En cas d'abus, la liberté personnelle devient une licence d'anarchie, la position d'autrui pouvant être détournée à des fins d'exploitation ou d'extorsion. La thèse émotionnelle tend à les mettre en concurrence.
Un sage équilibre doit être recherché pour les maintenir en complémentarité. Les deux expriment la protection par la représentation car, le cas échéant, tous sont protégés dans leur potentiel d'opportunités en laissant le choix libre ; et tous sont protégés en restreignant le choix qui est prédateur de l'égalité des chances d'autres personnes se trouvant dans une situation similaire".
Pour le gouvernement, le courage et la compétence nécessaires à la réalisation de ces objectifs doivent s'inscrire dans l'environnement de deux créatures fondamentales d'un peuple digne de notre système d'auto-gouvernement.
L'une est la confiance dans le système de représentation et l'autre est le respect congénital de l'autorité légalement constituée. Bien qu'elles naissent séparément, elles doivent évoluer en unité. Elles doivent s'exprimer dans un sens profond et durable au sein de la société constitutive de la responsabilité participative.
Agir équitablement dans l'équilibre de ses fonctions doit être le premier test d'un bon gouvernement. L'équilibre entre le privilège du libre choix et de la possession de l'individu et sa responsabilité à l'égard des contraintes doit être trouvé dans l'intention du souverain ultime qui a ordonné et établi notre système constitutionnel de gouvernement populaire.
Si la compression gouvernementale du choix de l'individu ne découle pas des dictats de la nécessité commune mais uniquement d'un objectif militant d'expurgation, la pratique ne sera pas simplement la fin d'un principe mais la fin de l'énergie vivante de l'une des ressources les plus puissantes de la nation. C'est la tâche de l'interprétation et de l'application de la Constitution.
Souvent, la tâche du gouvernement américain, qui consiste à répondre à des faits changeants, est confondue avec un changement supposé de la forme de gouvernement. 
Répondre à un changement nécessaire, c'est appliquer le principe de notre système ordonné de droit ou de raison, selon lequel tous doivent être gouvernés par des lois générales pour le bien commun, par un gouvernement conçu pour durer dans les âges à venir, et capable de faire face aux diverses crises des affaires humaines.
Il est toujours difficile de distinguer l'argument, adressé à la raison, qui cherche à persuader la majorité d'accepter une modification ordonnée de la structure du gouvernement et l'action qui transforme l'objectif de la minorité en pouvoir arbitraire. L'un sert la politique constitutionnelle d'un peuple libre. L'autre la contredit.
La première doit être protégée. L'autre est un ennemi.3 Dans une économie et une politique d'individualisme, la phrase souvent répétée, selon laquelle la restriction est l'exception et l'absence de restriction la règle, s'ensuit naturellement.
L'apparition du fait ultime ou du fait juridictionnel gouvernemental qui transforme la liberté ou l'immunité de restriction en responsabilité est donc toujours extraordinaire ou exceptionnelle. Lorsqu'ils sont compris ainsi, les termes d'urgence et de crise ne sont rien d'autre qu'une exubérance dialectique.
L'existence d'une situation d'urgence ne crée pas de pouvoir gouvernemental, mais elle peut fournir l'occasion de l'exercer. La différence de degré ou de pression pour l'action, dans le but commun reflété, ne concerne que l'exercice du pouvoir de restreindre le choix ou la propriété de l'individu et non son existence.
En fait, la conséquence de l'urgence et de la crise est seulement d'évaluer les preuves déjà suffisantes pour soutenir la réglementation dans l'intérêt commun ;
La construction de la prépondérance de la preuve soutenant le pouvoir gouvernemental peut être de la plus haute importance pour magnétiser l'opinion publique afin d'exiger ou d'approuver l'intervention du gouvernement dans la norme. Les exemples sont nombreux. Quelques-uns révèlent le symptôme.
II- Plus je regarde les choses impliquant une conduite humaine qui doit être considérée comme légitime, en dehors de la brume des courants et des pressions contradictoires, plus la détermination semble se concentrer sur la question de savoir si celui qui prend la décision a eu le choix et ce que l'on peut penser être important pour ce choix.
Il s'agit de savoir s'il avait le choix de la conduite et ce qui est lié à ce choix. En passant du trottoir et du coin du feu au processus de gouvernement, nous saisissons la réalité en termes de compétence et de pertinence. Ceux-ci sont utilisés pour déterminer ce que la fonction peut faire et ce qui est lié à l'action du titulaire.
Ce dernier point est important car, si nous ne savons pas ce qui a été pris en compte pour prendre la décision, nous n'aurons aucun moyen de savoir si l'action a été accomplie dans le cadre de la fonction ou si elle n'est que l'apparence d'une fonction pour exprimer n'importe quel objectif que l'état des viscères de l'agent a disposé.
Cela permettra de savoir s'il s'occupe de ses propres affaires ou s'il s'occupe de celles du voisin, en utilisant l'excuse de la proximité. Dans l'administration de la loi ou l'administration du gouvernement, cette construction d'empire est très grave.
Il s'agit de la conscription directe d'une compétence attribuée ailleurs. Souvent, cela se fait en se substituant à la juridiction décisionnelle du voisin. Une forme diluée d'abus de juridiction est l'auto-projection, non pas dans la juridiction décisionnelle de l'autre, mais dans l'autograndissement.
Le fait qu'il utilise sa chaire de professeur simplement comme une excuse et un tremplin, par le biais du golf et du bridge, pour être le lion social du campus, ne le dérange pas, car le reflet de la grandeur permet la diffusion d'un infrarouge pour la lumière blanche de la perspicacité que la fonction est censée refléter.
L'importance du service public réside dans les concepts d'intégrité et de diligence. Ce n'est qu'ainsi que l'on peut diluer et tromper, mais pas perdre. Si son élargissement n'est qu'une croissance, la chaise peut porter le gonflement ; mais lorsque la distension est prononcée, le débordement dépassera également la juridiction.
Il n'y a rien sur quoi reposer l'excès. Bien qu'il puisse entasser et restreindre ses voisins, ce n'est pas l'étouffement de la substitution qui élimine la volonté indépendante de la volonté décisionnelle autrement indépendante du voisin, qu'il soit naturel ou politique.
C'est l'équation de la compétence qui explique le pouvoir du gouvernement.
III - Le mauvais traitement de l'individu par le gouvernement est la conséquence de la mauvaise conduite du gouvernement.
Ainsi, nous devons d'abord observer la structure et les divisions du gouvernement de la maison, et les mécanismes qu'il emploie pour exprimer la volonté souveraine.7 Il ne peut y avoir de mutilation de l'individu par la contrainte imposée par cette volonté.
Il est adapté à la taille de la société par ses mécanismes juridiques. Un système juridique doit reconnaître qu'une telle menace ou pratique peut donner lieu à une action. Le pouvoir discrétionnaire de l'agence du souverain appelée gouvernement est décrit dans son expression continue à travers les dispositions constitutionnelles.
C'est cette souveraineté populaire décrivant le pouvoir physique de la société organisée qui est le fondement de la maison gouvernementale. Ses dimensions sont mesurées à la fois par l'octroi et les limitations des dispositions constitutionnelles.
Dans le cadre de l'autorité accordée au gouvernement, c'est comme si le souverain y était hypostasié, car l'exercice du pouvoir discrétionnaire accordé est l'expression du principal. L'expression directe de la volonté souveraine se fait de manière définitive et permanente dans le fondement de la loi.
L'expression indirecte dévolue au gouvernement est naissante. En ce qui concerne la première, il ne peut jamais y avoir de question de validité. Elle ne pose que le problème du sens. La volonté souveraine exprimée par le gouvernement doit être sondée pour savoir quelle autorité il a transmise à son agent. La détermination de l'autorisation est indexée par le processus d'interprétation.
Ces quelques exemples démonstratifs rafraîchissent notre compréhension du principe selon lequel, lorsque la survie est en jeu, des mesures adaptées au danger sont prises par notre gouvernement. Il peut intentionnellement brûler une nouvelle maison pour arrêter la conflagration de la ville ;
 Il peut envoyer ses citoyens au combat avec le risque d'être tué. Ainsi, l'individu normalement protégé par le principe "tu ne tueras point" découvre, lorsqu'il est agressé, que s'il se retire contre le mur, il a clairement le privilège de tuer intentionnellement son assaillant. Le choix entre les deux vies se retourne contre le malfaiteur.
Ici, nous ne nous intéressons à ces questions que parce qu'il est clair, lorsque tous les faits sont connus, que le gouvernement peut employer les moyens dont il a besoin pour assurer l'efficacité de son objectif représentatif.
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spiritgamer26 · 1 year ago
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Rune Factory 3 Special
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https://youtu.be/QgAcLe-nlbs
Rune Factory 3 Special : Une Mise à Jour Subtile mais Appréciable
Rune Factory 3 Special est le remaster du jeu vidéo presque homonyme publié en 2010 sur Nintendo DS : Rune Factory 3: A Fantasy Harvest Moon. Le produit de départ n'a pas été entièrement repensé ni structurellement modifié, mais plutôt mis à jour - stylistiquement, graphiquement et techniquement - pour le rendre plus attrayant pour les temps modernes. L'œuvre mérite des applaudissements, car non seulement Rune Factory 3 n'a pas été dénaturé, mais en gardant l'original à portée de main sur Nintendo DS et la "version mise à jour" sur Nintendo Switch, cette dernière apparaît comme la version adulte du premier, son évolution étant naturelle, parfaitement crédible et réussie. Comme nous l'avions anticipé lors du test, il s'agit d'une opération presque entièrement conservatrice, et bien que raisonnable, elle pourrait ne pas satisfaire complètement ceux qui attendaient des innovations plus substantielles. Outre la mise à jour technique, Rune Factory 3 peut essentiellement se vanter de deux nouveautés : le mode Inferno, qui relève encore plus le niveau de défi ; et un post-match dédié à la romance. Les fans savent que le titre était l'un des « plus simples » de toute la série, à la fois pour la relative flexibilité des combats de boss et pour le nombre généralement réduit d'énigmes ; malgré sa nature RPG, Rune Factory 3 est aussi pour cette raison plutôt court, et ne nécessite pas non plus un nombre d'heures disproportionné pour atteindre le générique de fin. L'introduction d'une difficulté supplémentaire, à terme, intervient donc pour rééquilibrer le niveau général du défi, auparavant calibré plus à la baisse qu'à la hausse. La deuxième nouveauté est plus conséquente, elle concerne la romance et satisfait enfin tous les joueurs qui à l'époque avaient un goût amer à l'idée qu'en épousant leur héroïne préférée, l'aventure prendrait fin - exactement à ce moment précis. Tous ces efforts pour rien ? Désormais, la conclusion de l'intrigue n'impliquera pas le générique de fin, étant donné que vous pourrez toujours continuer à jouer afin de dérouler une série de scènes supplémentaires (style visual novel) en compagnie de votre moitié. Pour être précis, de onze douces moitiés, car les filles prêtes à se marier dans Rune Factory 3 sont précisément une douzaine. Et avec des sauvegardes supplémentaires, il y a aussi la possibilité de profiter de tous les matériels post-maritaux supplémentaires, créant ainsi une sorte de harem implicite. Rien de scandaleux, bien au contraire : les images proposées sont toutes extrêmement modestes et « romantiques », au sens littérale du terme. Dommage que ces deux concessions aux fans, qui auraient déjà été nécessaires à l'époque, constituent toutes les nouveautés de Rune Factory 3, qui reste finalement quasiment la version 1:1 de la première aventure sur Nintendo DS (mais ce n'est pas dire que c'est forcément mauvais, en effet).
Un Mélange de RPG et de Simulateur de Vie bien Exécuté
Le gameplay de Rune Factory 3 Special fait preuve d'une extrême polyvalence dans son alternance de mécaniques de simulateur de vie avec celles plus justement attendues d'un RPG. Certes l'aspect "Animal Crossing" de la production n'est pas négligeable : vous passerez une grande partie du temps à vous occuper de votre champ personnel, en alternant les cultures issues des différents biomes du monde du jeu. Aucun élément n'est sans utilité : des consommables à la vente de produits agricoles, tout dans Rune Factory 3 Special est fonctionnel pour la croissance du protagoniste Micah. Même la simple "marche" est une compétence qui se maîtrise adéquatement... avec de l'entraînement, c'est-à-dire en continuant à se déplacer d'un point à un autre sur la carte. Il en va de même pour les esquives, les coups avec certaines armes, etc. Si l'aspect agricole de la production ne vous intéresse pas, vous pourriez être intrigué par la dynamique relationnelle avec les autres habitants du pôle principal, un village qui revendique la présence de 25 âmes (dont des demoiselles en attente d'un mari). Et si cela ne vous plaît pas non plus, après tout, l'exploration et le combat constituent l'autre moitié de l'offre de gameplay actuelle. Le remaster a conservé les combats en temps réel, donc (heureusement) il n'y a pas de continuité entre le mouvement dans l'environnement et le début d'un combat. La capacité d'esquiver n'importe quelle attaque au bon timing rend le tout encore plus intéressant, car même les monstres les plus puissants peuvent être affrontés avec beaucoup de patience et une pincée de ruse. Les zones de la carte correspondent aux saisons (Été, Automne, Hiver et Printemps, plus la section finale), et celles dont l'accès est actuellement déconseillé sont signalées par un panneau indiquant le niveau requis. Plus clair que ça... Tout le reste est resté pratiquement identique au passé. Rune Factory 3 Special continue donc de disposer d'un arsenal respectable, qui peut être mis à niveau et amélioré en poursuivant le récit principal et en se consacrant à des activités secondaires (gardez un œil sur les panneaux d'affichage en ville, ils sont aussi importants pour le "lore") . Chaque style de combat est facilement accessible, et la possibilité d'échanger des armes et de la magie à la volée, même pendant la bataille, enrichit encore la variété des batailles. C'est dommage pour les interfaces à l'écran, moins intuitives que les deux écrans de la Nintendo DS et selon nous pas particulièrement intelligemment optimisées sur Nintendo Switch. Read the full article
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disloyalty-game · 1 year ago
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Disloyalty au festival les Floraisons Ludiques !
C'était le week-end du 26/08/2023. Eh oui, c'est déjà passé... pour les prochains je préviendrai ici avant !
"Disloyalty" a été sélectionné et présenté à la protozone (la zone dédiée aux prototypes, pour ceux qui ne sont pas familiers avec ce terme) durant les 2 jours du festival, ainsi qu'à la soirée "off".
Il s'agissait de la première présentation publique du jeu - en dehors des parties de tests dans un cercle restreints d'amis, collègues et famille.
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De nombreuses parties ont pu être réalisées et le public testeur a globalement été très enthousiasmé ! Beaucoup de retours très positifs, quelques remarques contructives et au final assez peu de temps morts : le jeu a attiré l'oeil et le bilan est plein de promesses pour la suite !
Quelques retours de joueurs
Voici une petite sélection de retours de joueurs suite aux parties effectuées lors du festival. Il s'agit d'une restitution de mémoire, j'espère ne pas trop écorcher les propos initiaux !
"Vraiment excellent, je l'ajoute tout de suite à ma ludothèque !" : entendu plusieurs fois, je pense vraiment que le jeu n'a pas à rougir face aux meilleurs jeux de société modernes actuellement en vente !
"Je vois un jeu avec un gros potentiel d'extensions" : en effet, j'ai déjà pas mal d'idées derrière la tête en ce sens...
"Quand est-ce qu'on peut l'acheter ?" : je n'ai pas encore de réponse à cette question - je suis dans l'optique de passer par un éditeur, donc il va falloir être repréré ou prendre contact !
"Ah bon, c'est un prototype ? On ne peut pas l'acheter ?" : cette phrase a été prononcée au beau milieu d'une partie à 2 joueurs. Mais pour remettre du contexte, après une unique et courte averse le 1er jour (heureusement juste après avoir fini une partie), nous avons dû migrer la table à l'abris, hors de la protozone - ce qui a prêté à confusion ! Il est agréable de voir que la présentation du jeu semble au niveau ;)
"Les parties sont peut-être un peu longues... Il n'empêche : Je le mets dans ma ludothèque et j'enlève quelques cartes !" : certaines personnes peuvent trouver les parties un peu longues, surtout que les premiers tours n'ont qu'un impact très limité sur le résultat final... Une variante "Partie rapide" est à l'étude !
"Il faudrait moins de texte et plus d'iconographie sur les cartes si ce n'est pas un jeu initié/expert" : très juste, je vais étudier ça et voir si je peux remplacer un maximum de texte par des icônes... Tout le défi sera de rester compréhensible et efficace !
"Parfois on ne peut rien faire pour améliorer sa situation" : ah oui, Disloyalty est un jeu injuste ! Toutes les cartes sont utiles, mais pas dans toutes les situations. Il est possible de monter des stratégies et se faire des noeuds au cerveau dans Disloyalty, mais même le meilleur stratège n'aura jamais la garantie de gagner ! Il y a une bonne part de chance et des possibilités d'alliances - bien qu'elles soient toujours très temporaires...
"J'adore et c'est vraiment le type de jeu qui plairait à mes enfants" : le public de Disloyalty peut être assez large. Je dirais qu'il s'agit d'un jeu à catégoriser entre "Tous publics" & "Initiés".
Le festival
Quant au festival en lui-même, celui-ci était très plaisant. Je n'ai malheureusement pu que le survoler - j'étais seul et devais donc assurer la présence à la protozone - mais je peux vous dire que l'ambiance était bonne, le public chaleureux, et le staff de bénévoles était efficace et agréable ! Bref, un week-end très agréable qui m'a motivé pour participer à plein d'autres festivals ! S'ils veulent bien de moi, bien entendu :)
Quelques rares photos du festival que j'ai pu prendre, qui n'ont rien à voir avec Disloyalty :
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kiirex · 2 years ago
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Tous les matins je me lève toujours avec la même question. Je trouve pas de solution. Toujours la même question : Qu’est-ce que je fou là ? Qu’est-ce que je fou là ? Dans ma tête ça commence à balancer grave. Je maîtrise pas ça sort de moi. Je hurle : qu’est-ce que je fou là ? Qu’est-ce que je fou là ? Et puis c’est quoi Normal ? Rien que chez moi ma mère me dit : tu vois pas que je suis fatigué ? J’ai travaillé toute la journée moi. Faut surtout pas lui parler sinon elle tape une crise de nerf : gosse de merde, plus tu grandis, plus tu es comme ton père. Moi j’ai des états d’âme, elle pas tant. Vie de chien, vie de chienne, la vie de ma mère elle me fait de la peine. Et puis normal c’est quoi ? La cage, ma parole j’en peux plus. rien que tu marches tu es déjà suspect. Tous les 100 mètres contrôle d’identité : ma tête vous reviens pas ? Mes papiers, ouais je suis né ici, ouais je suis d’origine arabe. A part je ne sais pas qui je suis je sais où je vais mais j’ai la rage tu m’inspecte suspecte moi je veux que tu me respectes tu me testes déteste alors je conteste . J’ai un truc qui grandis dans ma poitrine c’est comme un énorme ballon. Il gonfle il gonfle il GONFLE IL GONFLE IL GONFLE ! ET JE ME DIS QU IL VA FINIR PAR EXPLOSER QU EST QUE TU AS TU AS L AIR ÉTONNER Avoue ça te fait flipper ta cru j’allais me laisser bétonner tout le reviens en bloc : racaille, bougnoule, parasite, sauvageon, RACAILLE BOUGNOULE PARASITE SAUVAGEON ! Le feu dedans, je brûle de l’intérieur, je sens vivant. Et c’est trop bon mon gars ! Une voiture une 2e une 3e une 4e et je sais même plus compter. OUAIS CEST TROP BON MON GARS ! Quand je suis rentré, ma mère m’a regardé, elle avait les yeux rouges elle a rien demandé j’étais éclaté. Je suis passé à côté d’elle j’allais me coucher. De toute façon on a jamais parlé, c’est pas maintenant que ça va commencer. Je suis sorti de la cage. Sortie du protocole du feu du feu, du feu, du feu ma parole j’ai rien à faire parce que je n’ai jamais rien eu. Je demande pas grand chose juste pas me sentir à l’écart, juste du feu, une parole, un regard.
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