#tintinophile
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tintinyuri · 5 months ago
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hi guyssss my friend made a discord server for tintin fans!! not alot of members rn but we r super nice and hope that you will join! ^_^
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bachassclub · 9 months ago
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Piochée ces derniers jours chez Éric Ciotti, cette image légendée comme suit : '…nous allons faire décoller notre ville '. Nice, bien sûr. Les chabeuillois connaissent bien ce mode de recours propagandaire et néanmoins tintinophile, l'emploi de la même fusée, support de la même métaphore du 'décollage'. Devenue donc un topique LR, quand les sondages, eux, refusent précisément de 'décoller' et que la situation politique de ce parti est justement celle-là : l'apesanteur.
LE COUP DE MOU D'ALBAN PANO. Mardi 23 janvier, le Conseil municipal de Chabeuil présentait ses voeux à la population. Du monde au centre culturel, et on semblait enfin revenu aux jauges d’avant Covid, quatre cent personnes aux premiers décomptes. L’an dernier, seule l’équipe majoritaire avait été invitée sur scène par le maire de Chabeuil et cette entorse à la démocratie représentative locale, une faute de débutant, avait été sévèrement jugée en son temps : correction donc en 2024 où l’ensemble du Conseil Municipal des chabeuillois avait été plus justement et décorativement disposé sur l’estrade. Seule absente sur scène, Cécile Trempil, représentante et singleton du Groupe Le Chemin des possibles, qui, en matière de voeux, avait préféré assister à ceux du valentinois Jimmy Levacher (LFI, qui lançait à Valence sa campagne municipale pour 2026), qui venaient d’avoir lieu. Autre absence notable, celle des services techniques, dont on ne repérait que peu de représentants, d’autant plus isolés que l’élu qui s’occupe d’eux dans sa délégation, Stéphane Planta, était absent lui aussi. Stéphane Planta a pris du champ avec l’action municipale, on en reparle plus bas… Pour le reste, le public habituel : corps constitués, sous-préfet, mirlitaires zà lavalières, associations chabeuilloises, fiers notables et pompiers divers et variés. Et Nicolas Daragon, bien sûr, qui a très sûrement son rond de serviette féodal (LR) à Chabeuil. Sans oublier Nathalie Iliozer, binôme d’Alban Pano au Conseil Départemental, qui y a ses pantoufles (LR) et sa tenue complète de chaperon. Bref de l’ordinaire, assez pauvrement ritualisé cette année, sans tambours ni trompettes, comme on dit.
Non, la surprise est plutôt venue du discours d’Alban Pano, terne, morne, et marqué tout du long par de nombreux bafouillages et glissements. Un discours ‘savonné’, qui suivait ensuite sa pente de clichés et d’images convenues, pour un maire pas en forme, ça se voyait et s’entendait, fatigué, loin de la pop’politique enjouée à quoi les chabeuillois commençaient à s’habituer, loin de cet habituel (souvent incongru, mais parfois emballant, voire charmant) optimisme insouciant qui faisait jusqu’alors la ‘marque’ Pano.
Chabeuil a affaire d'ordinaire à un jeune maire fluide et à l'aise, énergique mais ce soir-là la ville découvrait son Pano sans allant et sans joie de vivre, au discours qui ne décollait pas de cette tristesse empesée et des lourdeurs de style qui vont avec, prononcé gorge sèche et voix éteinte.
Intermezzo : un court film de réclame au montage rapide, bien rythmé, où crépitaient les images archibattues de fusées, de feu d’artifice, de biquettes environnementales, photogéniques, et brouteuses, de Tintin, de Tintin et encore un peu de Tintin, obstinément imposé comme signature visuelle de Chabeuil, sur fond d’infantilisation de la ville, encore et toujours.Alban Pano était fatigué, voilà tout.
Après que son petit clip touristico-tintinophile ait échoué à relancer la cérémonie, à lui redonner un peu d’élan politique et de ressort programmatique, il devait poursuivre sur le même ton. C’était censé évoquer des projets et mettre l’année 2024 en perspective, bref, donner de l’allant à l’année qui vient, mais rien, ou si peu n’attachait plus au fond de la gamelle :
-Projet Cuminal (une salle audiovisuelle dans l’enceinte de l’ancienne école de Chabeuil), mais sans les images montrées au dernier Conseil Municipal. Dommage. Et sans le montant global annoncé (Dans son compte rendu, le Dauphiné Libéré comblera cette information déficiente : 1,4 M€) : un peu court pour une première présentation publique d'un projet pourtant séduisant par bien des aspects.
-Une politique environnementale faiblarde, qui, les années passant, s’efface sûrement du bilan Pano et de son adjoint. Rien, hormis une nième (et très brève) mention du ‘relamping’ de l’éclairage.
-Mieux, au même chapitre, Alban Pano réalise le tour de force de passer sous silence les Points d’Apport Volontaires (PAV), pourtant la plus grosse affaire communale (entreprise par l’agglo…) de 2023, qui a d’abord pris du retard et qui, depuis l’installation des PAV en question, pétouille notoirement, exigeant des services des efforts répétés de nettoyages des alentours. Et ça tombe mal, parce ces fameux PAV sont du ressort du même évanescent adjoint à l’environnement, dont la délégation s’avère toujours plus faible : rien non plus sur le moustique tigre, rien sur le Canal des Moulins… Et rien de rien pour le traitement des déchets organiques pourtant obligatoire depuis le 1er janvier.
-Des ‘études’ pour l’école Cavalli, à Parlanges, sans plus de précision d’échéances (‘la fin de mandat’…) Rénovation de la salle des fêtes des Faucons, toujours sans beaucoup de précision.
-Ah si…la voirie, voilà la grande affaire, au moins budgétaire. Comme tous les ans. Le Dauphiné Libéré fait les comptes : 700 000 € en 2022 et 2023 et 900 000 € jusqu’en 2026.
-Ah si…on ne pouvait pas s’en sortir comme ça, sans Tintouin à Chabeuil, forcément Tintouin qui, en 2024 proposera de s’agiter autour des Cigares du Pharaon. Cette gaudriolante perspective [triompher à coup sûr (enfin!) de m��chants trafiquants d’opium] rend un peu de sourire au maire de Chabeuil, qui annonce un programme de mobilisation citoyenne : ‘préparez vos babouches et vos cigares’. Un demi-clin d’oeil d’Alban Pano, avant qu’il replonge son discours dans la morosité d’une plainte très politique contre la loi Solidarité et Renouvellement Urbain (SRU) traitée sur le ton très facile de la démagogie antiparisianiste, contre une loi qui serait imposée d'en haut, à quoi on oppose un imparable slogan ‘ici, ce n’est pas Paris’. Mais sans bien sûr aborder le sujet au fond : le logement social, bien sûr, ni apporter les chiffres qu’il faudrait fournir sur les perspectives de l’équipe Pano en la matière. Une autre paire de manches.
Bref, on se traînait : Alban Pano avait besoin d’un dopant, d’une relance. Ça tombe bien, IL est là, assis au premier rang du banc de touche. IL se lève et se dirige vers le micro et annonce dans un demi sourire : ‘…je vais refaire le discours d’Alban’. Une vanne (on est entre amis, n’est-il pas ?), qu’IL veut sans doute sympathique, mais qui annonce trop lourdement la redite littérale qui allait suivre. Parce que redite il y eut, Nicolas Daragon (il s’agit bien de LUI,) ne faisant en somme que répéter le discours d’Alban Pano, sans trop de vergogne. Sous couvert de présidence de l’agglomération de Communes, le maire de Valence repassait ni plus ni moins, les plats du discours du maire de Chabeuil, et déroulait son menu d’actualités locales, à l’aise, chez lui, tout sourire…IL poussait même l'imitation jusqu'à escamoter LUI aussi des PAV qui sont pourtant de la compétence de l'Agglo, se privant d'une bonne défense et illustration, concrète, de son institution, à quoi ça sert, et combien ça ‘rapporte’ à la Commune. Raté.
Nicolas Daragon devait ensuite reprendre pesamment la marotte LR, cette très fameuse ligne argumentaire d'un ruissellement bénéfique Wauquiez-Mouton-Daragon-Pano (LR inc.). Soit une continuité de financement Région-Département-Agglo-Commune théorisée ce soir-là comme suit : '…notre vision commune (LR) permet de développer nos territoires…'
Nicolas Daragon ne se lasse pas non plus de répéter ‘mon ami Alban par-ci et cher Alban par-là, appuyant sans aucune pudeur sur le tutoiement, répétant et flagornant : ‘Alban est un maire comme on (LR) les aime…’
Marie-Pierre Mouton présidente du Conseil Départemental (LR) l’an dernier, Nicolas Dragon cette année, les parrains et marraines politiques et partisanes viennent meubler les voeux d’Alban Pano et étoffer ses prestations, masquer ses difficultés, comme s’ils prenaient leur tour de baby sitting dans la petite classe de Chabeuil. Dans quelle autre ville du quartier est-ce que ça se passe comme ça ? Nulle part. Partout ailleurs les maires sont seuls maîtres de l'annonce de leurs projets, et de l'exposé de leur bilan, bien assez grands pour rester maîtres du rapport démocratique avec leurs administrés. Parce que c’est vexant, à la fin, cette infantilisation (encore !) de Chabeuil. Quand Les Républicains du coin vont-ils enlever les roulettes du petit vélo du maire de Chabeuil, pour qu’il fasse enfin seul le tour de la piste de ses voeux et de son bilan ?
Cérémonie dans la cérémonie, Alban Pano remettait ensuite une médaille de ‘citoyen’ ou ‘citoyenne’ d’honneur à six personnalités chabeuilloises, bien connu.es en ville, chenu.es et blanchi.es sous le harnais de l’action locale. Pour l’’énergie nouvelle’ dont aime à se vanter Alban Pano, on repassera, mais ça mettait un peu de chaleur humaine dans la soirée. Notabiliser des notables, c’est pas vraiment une performance et ça a le défaut surtout de distinguer (en les flattant) quelques chabeuillois, laissant dans l’ombre les associations qui les portent. Alban Pano décorait ainsi la trésorière de l’association des amis du Canal des Moulins de Chabeuil, sans même mentionner le nom de son association. Oubli, négligence ou mesquinerie, on ne sait trop...
BRÈVES COMPLÉMENTAIRES, qui expliquent le passage à vide du maire de Chabeuil, tel que mis en évidence ci-dessus :
-Le poste de Directeur Général des Services (DGS) de Chabeuil est à nouveau vacant. Poste à pourvoir, roulez jeunesse, tournez manège, le 1er mars, pour cette pièce centrale de la machinerie communale. Le titulaire était en place depuis juillet seulement, après la foirade de l’embauche de Vincent Campens, premier DGS de l’ère Pano, indûment recruté ‘hors classe’. La préfète de l’époque avait toussé et posé un recours au tribunal administratif de Grenoble : Campens avait piteusement quitté la place. Son remplaçant n’a donc pas tenu longtemps à Chabeuil et le recrutement du remplaçant du remplaçant est en cours, annonce publique publiée le 25 janvier, et aussitôt signalée par le groupe d’opposition Le chemin des possibles dans sa publication (Facebook) dominicale.
-La Chambre régionale des comptes a procédé à un ‘contrôle simple’ de la Commune de Chabeuil, et doit rendre bientôt son rapport ordinaire, qui concerne la période 2018-2023. Ce qui devrait en ressortir, rapidement : les subventions aux associations posent un problème, et l’absence de critères d’attribution surtout.///La location de salles à ces mêmes associations et la mise à disposition de salles soulèvent quelques questions. Sur le même sujet, on note que Groupe le Chemin des possibles a posé un recours au tribunal administratif contre une ‘délibération fixant les tarifs pour l’utilisation des salles municipales’. Rapport, recours : il y a donc bien un sujet sérieux.///Plus largement, le rapport relève une absence de politique de recrutement dans les services, pas de Ressource Humaines à proprement parler.///Toujours dans les services : une prime importante devra être intégrée dans les salaires, la situation actuelle étant irrégulière. S’attendre à des secousses sur ce sujet, internes et budgétaires. De même facture : les heures supplémentaires sont trop nombreuses et devront être régularisées.///Trop de commandes publiques passent ‘en interne’. A revoir.///Pour le reste, et dans la mesure ou ce contrôle est dit ‘simple’ : la Commune est déclarée ‘bien gérée’.
-Les services techniques, encore eux : ils ont de fait boycotté les voeux du maire (aux services) début janvier. Ce qui n’est pas rien, et traduit un climat tendu entre les élus de la majorité et les services. Les causes d’après plusieurs témoignages, recueillis à des sources multiples : 1-L’élu en charge, Stéphane Planta, délégué aux services techniques est aux abonnés absents, occupé par une carrière professionnelle nouvelle et prenante. Les services se plaignent à qui veut les entendre de ce manque d’interlocuteur. La délégation ‘services techniques’ est maintenant vide : problème. 2-Les DGS passent et veulent laisser leurs marques dans les services de la Commune. On enchaîne les nominations, on esquisse des recrutements, on réforme les organigrammes et…on s’en va. 3-Le népotisme qui avait présidé aux recrutements opérés par Vincent Campens dans les premiers temps de l’ère Pano passe toujours aussi mal. Il avait mis en place des proches, notamment au service accueil de la mairie, et une telle disparité de traitement provoque de multiples difficultés.
-Changement de poste au périscolaire : une titulaire très expérimentée part à la MJC. D’après quelques témoignages, ça tangue, au moment où, devant les besoins manifestes, la Commune ouvre des places supplémentaires à Gustave André, quand les listes d'attente s'allongent, et où les coûts pour les familles vont semble-t-il augmenter.
-L'actualité nationale vient d'imposer à Alban Pano une présence soutenue en appui à son parti, au moment où celui-ci tentait de récupérer à toute force la colère des agriculteurs : très présent dans un soutien appuyé à 'nos' agriculteurs, comme il dit, comme dit LR. Présence sur le barrage de Bourg-de-Péage, photo et déclaration conclusive à Valence. Sur ce sujet aussi, l'intégration verticale et l'alignement strict d'Alban Pano sur les préoccupations politiques partisannes des Républicains, son absence d'autonomie, a un prix : il est en surchauffe, surexposé. En novembre dernier, il a été élu délégué LR dans la troisième circonscription de la Drôme (164 inscrits, 88 votants) et il doit maintenant remplir ce rôle partisan. Pas de problème, mais ça ne doit pas l’empêcher en quoi que ce soit de travailler pour sa commune, ni bouffer son temps ni l’obliger à imposer à ses administrés, à tout bout de champ, les cadres locaux de son parti. On comprend bien à la fin, le coup de mou du maire de Chabeuil : grosses difficultés dans les services, absence de Directeur Général des Services, et nécessité d'une présence partisane aux côtés d'un parti LR à la peine au plan national. C'est sans doute trop pour un jeune maire inexpérimenté, qui vient d'arriver aux responsabilités, dans une ville qui, au passage, n’est pas LR.
claude meunier
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francepittoresque · 1 year ago
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EXPOSITION | Tintin, l'aventure immersive ➽ https://bit.ly/Exposition-Immersive-Tintin Un voyage à 360 degrés qui ravira les tintinophiles avérés ou les amateurs de ce nouveau genre d'exposition
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thewul · 1 year ago
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Karaboudjan! Voila Professeur nous etions dans l'exuberance, et ici nous sommes dans le mystère, l'image proviens du Temple du Soleil, il se trouve que le PACHACAMAC ressemble comme deux gouttes d'eau au KARABOUDJAN, qu'en pensez vous? C'est tout a fait cela! Ce n'est pas une aventure en solo donc? Non Haddock est la, il cherche a tout prix a retrouver Tintin tandis que vous vous fourvoyez au milieu d'une bataille au Yémen en faisant vos fouilles archéologiques A propos Professeur nous ne sommes pas les seuls a faire de nouvelles couvertures, d'autres Tintinophiles s'y essaient, cependant notre travail concerne également les histoires de ces albums Cette fois ci il transporte des armes avions nous dit? Exact Professeur, opium, cigarettes de contrebande, clandestins, armes, Allan Thompson transporte tout ce qui rapporte Ces couvertures sont finales? Ce sont des propositions Professeur, certaines sont a dessiner a la main, nous ne voulons pas introduire l'image de synthèse dans l'oeuvre d'Hergé, tout est dessiné a la main Certes il y a eut des exceptions pour les productions cinématographiques il n'y en aura pas pour les albums, les Tintinophiles achètent des dessins, de belles planches, et des histoires
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afnews7 · 5 months ago
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Les Rencontres Internationales Tintinophiles - libro - video
Il Console Onorario del Regno di Syldavia in Taurinia e afNews.info segnalano: Nella piccola cittadina di Chabeuil, nel cuore della Drôme, si svolgono da 21 anni Les Rencontres Internationales Tintinophiles. Fine settimana di dolce follia, dove gli spettatori scoprono le scenografie degli album di Tintin a grandezza reale, realizzate da appassionati volontari. François Merle, ideatore di questi…
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1340fatboy · 1 year ago
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Quand t’es Tintinophile mais que ta aussi de l’humour 😜
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pascalbeucler · 2 years ago
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TINTIN, L’AVENTURE IMMERSIVE (‘Tintin: the Immersive Adventure’) is a unique exhibition devoted to the adventures of Tintin, specially created for the Atelier des Lumières - Paris’ first digital art centre. The transfer from paper to digital is but a short step, which will rejoice all the genuine ‘tintinophiles’ 👏
#art #paris #digital #tintin
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tintinology · 2 years ago
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I've added an English translation below the cut:
“Hergé wasn’t against the idea”: How Tintin and Haddock became gay icons
Forty years after Hergé’s death, Tintin continues to inspire artists and live new, more inclusive adventures in queer fanarts imagined by tintinophile illustrators.
In 1973, Hergé was Bernard Pivot's guest on the set of the program Apostrophes. As he evokes his favorite Tintin album, his tongue is forked: "Tintin in Tibet, simply, it's a story of lov... of friendship, like we’d say a love story. He goes to the looking for his friend and against all odds, he finally finds him.”
A revealing slip on a question that has tormented fans and specialists of Hergean work for several decades: Tintin and Haddock's supposed homosexuality. "Any great work invites extensions," the famous tintinologist Benoît Peeters explained in 2012 to Figaro. "And the explicit absence of sexuality in Tintin has led more than one exegete to reflect on the subject..."
The subject has since inspired dozens of queer fanarts and fanfictions about the reporter with the quiff. A fresco by the artist Combo located rue des Petits Carreaux in the 2nd arrondissement of Paris thus represents Tintin and Haddock kissing. Illustrations by cartoonist Hads depict Hergé’s heroes in intimate situations.
"Tintin and Haddock make it possible to express the craziest fantasies", summarizes the designer David Gilson, author of some of these fanarts.
"Tintin is a well-known cross-generational icon, and in a context where the demands for the inclusivity of queer communities is increasingly large and heard, using a character who at first glance might be thought of as straight according to our heteronormative bias is a strong image to come and disturb our preconceived ideas”, analyzes for her part the illustrator Choco.
“A world freed from all our norms”
“Despite personally preferring Spirou or Gaston Lagaffe, we must all the same recognize that Tintin constitutes a marvelous base for the imagination of any self-respecting illustrator", explains David Gilson. For him, fanart constitutes first and foremost “a sort of compensation, an outlet even, and reveals the need for unwavering love, unbridled sex, tenderness in abundance."
If this phenomenon is quite widespread with the heroes of Franco-Belgian comics, such as Spirou and Fantasio, Gaston Lagaffe or even Blake and Mortimer, it seems obvious to look at Tintin and Haddock from a queer perspective. Their “affectionate closeness is obvious,” insists Choco. "In a world freed from all our norms, I can see them giving each other little kisses without it shocking anyone."
“The characters in the comics are presented as being asexual, but I feel like there’s a lot of love when reading between the lines as well,” Hads said. “Hergé wasn’t against the idea, and he encouraged his readers to make their own interpretations.”
Tintin the twink
In 2009, the former deputy Matthew Parris, great defender of the gay rights in the United Kingdom, published a column entitled "Of course Tintin is gay. Ask Snowy" in The Times. According to him, “an inexperienced, androgynous young man with a blond quiff, weird pants and a scarf, who moves into the castle of his best friend, a middle-aged sailor,” can only be gay.
In addition, the character of Tintin physically corresponds to the figure of the "twink", which designates a thin man, often with an androgynous appearance, aged between his late teens and twenties. Haddock, for his part, is a "bear", a term that often designates men of a more mature age, endowed with a lot of hair, and with a voluminous, even muscular appearance.
Many fanarts are based on this dichotomy, but also on elements drawn from certain albums such as Tintin and Alph-Art, Tintin’s last adventure. "It says Haddock 'falls in love' with [painter] Ramo Nash," Hads said. "This infatuation is so strong that Haddock completely changes his lifestyle to impress him! The verb used is 'infatuate' - which is a synonym for falling in love."
Also inspired by Haddock's "fascination" for Professor Bergamotte (in The 7 Crystal Balls) and Colonel Alvarez (in Tintin and the Picaros), Hads has fun imagining scenes from the captain's married life with the young reporter, between video game sessions and rescuing animals in distress. "In the comics, Tintin and Haddock quite often behave like an old married couple," he says.
A symbol of marital bliss
David Gilson sees in these fanarts the updating of a "fantasy as old as the world": "that of the relationship between the young and the old, or in other words of the ephebe among the Greeks or the catamite in the Satyricon [by the Roman writer Petronius]. The young man who discovers life thanks to a mature man has always existed and the fanarts uniting Tintin and Haddock prove that this fantasy continues."
Tintin and Haddock also offer a model of happy union, which pleases David Gilson: "For some gays, it can even be reassuring to think that finally, these two could be a couple like so many others." This marital bliss is central to Hads' work: "It's very nice to see them having a happy and healthy relationship. Whether it's platonic or not, they both deserve to be happy."
"The notion of love, beyond the erotic load, combined with that of support, of the protection of one towards the other is often what we can see in the fanarts of Tintin", further comments David Gilson, who "until recently" did not really see Tintin and Haddock "as potential gay characters or as a possible couple", finding them "quite smooth and too impersonal".
“A positive view of masculinity”
Some fanartists have become quite infatuated with Haddock. Hads finds him "very beautiful": "He never ceases to surprise you with all his nuances and his particularities, and the way in which he evolves through the series. He is a character both very funny and iconic without wanting to. He's perfect in his imperfections. He's a magnificent fictional character. He's very underrated and really fascinating to study."
Through Haddock, these artists offer a counterpoint to heteronormative imaginations and propose "a positive vision of masculinity", according to Hads: "It shows that even a paragon of virility can also be confronted with depression and suicidal ideation. I love how Haddock isn't afraid to show his emotions. Readers should really take inspiration from him."
"I am not surprised that Haddock in particular can symbolize this figure, both paternal and erotic, for certain gays", concludes David Gilson. "Tintin's asexual presence only reinforces the stature of Haddock, who becomes a kind of hyper virile 'sugar daddy' who can make people fantasize and allow some to imagine themselves in Tintin's place."
Definitely check out this article (although needs translation) 👉
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shimospookyapple · 6 years ago
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Me and my short-time-sprint-motivation >^<
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tintinophile92 · 6 years ago
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Welcome to the second Tintin Tumblr Tag!
Please read the 3T Tintinifesto before sharing your answers!
#2 Your Favourites
Question 1 - Who is your favourite main character? (who isn’t Tintin) Question 2 - Which is your favourite story? Question 3 - Which is your favourite big screen adaptation? Question 4 - What is your favourite Captain Haddock insult? [link] Question 5 - What is your favourite piece of Tintin merchandise?
Please reblog the original post with your answers below and hashtag ‘Tintin Tumblr Tag’! Thanks for joining in!
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babypoof08 · 7 years ago
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I don’t know. but I get really excited when I find tintin stuff I never seen before. which is good. makes me even better tintinophile.
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bachassclub · 1 month ago
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CHRONIQUE DE QUELQUES PUBLICATIONS CHABEUILLOISES....ET UN GIONO POUR SOULAGER L'AFFAIRE.
Trois livres ou supposés tels viennent de sortir à Chabeuil. Ils ressortissent à une littérature de sauvegarde personnelle, à visée soignante et consolante, ou tonitruante. Ces trois livres sont auto-édités et expriment donc sans filtre éditorial qui un malaise politique et victimaire, qui une rêverie poétique et autocentrée, qui une obscène boursoufflure gloriolisée. Chronique donc ci-après, avec, côté gloriole : François Merle et ses 'Tintinofolies, histoire des rencontres internationales tintinophiles à Chabeuil', côté plainte vengeresse Lysiane Vidana et son 'Journal d'une femme maire, 18 mois, le prix à payer'. Et côté intimisme poyétique Millie Rosiers et sa 'Part des oiseaux'. Millie Rosiers est le pseudonyme de Mireille Rossi, collaboratrice de cabinet d'Alban Pano, maire de Chabeuil. Trois exercices de style très différents, comme on va voir, pénibles comme l'impudeur, à des degrés très divers. Pour se consoler, on pourra utilement se plonger dans le dernier rapport d'observations définitives de la Chambre régionale des comptes, qui traite de la Commune de Chabeuil. On vous en parle ici parce qu'après trois embardées autocentrées, un peu de 'sujet-verbe-complément', ça réconcilie avec le français, qui, sait on jamais, peut servir à dire autre chose que soi-même...
-Allez...on commence par le pire, l'étouffe chrétien qu'impose François Merle quand il veut documenter un quart de siècle de tintinophilie à Chabeuil. François Merle est un enfant désoeuvré de Chabeuil qui s'est jadis mis en tête d'installer en ville de spectaculaires décors inspirés des albums de Tintin, en mettre plein la vue avec ses maquettes géantes, épaves, pyramides et...fusées. Le livre qu'il propose aujourd'hui est un exposé de la démarche, album photo de ses grandes réalisations. Et comme ses souvenirs de grand gosse sont marqués de pharaonique, d'interstellaire et d'éléphantesque, on a droit au total à du gigantesque du formidable et de l'épastrouillant, que la ville est invitée à considérer à longueur de page. Innombrables photos de Merle François, qui appuient le propos de François Merle : tant d'orgueil triomphant finit par donner le vertige quand il tourne au panégyrique, tendance onaniste, dont la lecture est empêchée par l'omniprésence narrative et visuelle du personnage unique et principal.
Pour : le livre parvient tout de même à saluer la dévotion des bénévoles qui ont permis par leur rude et patient travail, à cette dinguerie autocentrée d'exister. Et souvenir des années 2000, quand les journées tintinophiles étaient encore bon enfant...
Contre : Merle par-ci, Merle par -là, au moi surchargé d'un discours d'apparat, à tous les âges et à toutes les pages, on n'insiste pas. Ne répond pas à la question : pourquoi Tintin ? Pourquoi Chabeuil ? Et quel intérêt, au fond pour la ville ? Fatiguant. Et le prix, 25 €, pas piqué des vers. Tiré paraît-il à 2000 exemplaires.
Cet ouvrage, c'est Tintouin à Chabeuil, c'est fatiguant. La manifestation (budget : approx 50 000 € pour la dernière édition, aux dires des promoteurs de l'événement) s'arrête. Elle s'arrête pour cause d'épuisement, tu m'étonnes : 'on est épuisés', entend-on chez les bénévoles, au coeur de l'équipe en question. Oui, Chabeuil est fatigué (comme il y a des fatigues psychiques, si l'on veut...) Ce livre a le même défaut : il est éreintant de kitsch, de ringardise et de mauvais goût, le tout sur papier glacé de fort grammage (quel gâchis...) Faut que ça s'arrête.
-Lysiane Vidana sort de son silence et propose un court livre (156 pages), ramassé, monocorde et tendu, de son mandat de maire de Chabeuil (juillet 2020 à février 2022). Maître mot : trahison. Lysiane Vidana a été trahie, voilà tout le propos ; elle explique sans détour par qui.
Elle présentait l'autre soir (27 septembre 2024) son livre à ses soutiens chabeuillois et valentinois. Assistance fournie, applaudissements, pleine page ou quasi dans le Dauphiné Libéré du même jour. Sa présentation était succincte, en forme de justification de l'ouvrage : écrire pour aller mieux en somme, sortir d'une très mauvaise passe. Écrire aussi pour expliquer aux chabeuillois le pourquoi du comment du putsch qui avait agité la ville à l'automne 2021, à la suite de quoi elle avait dû démissionner et quitter son mandat, provoquant une nouvelle élection. Pas d'analyse politique à proprement parler, mais on comprend tout de même, au fil des pages, qu'Alban Pano n'est pas maire de Chabeuil par la seule grâce d'un charme bien mis et d'une rhétorique droitiste. Il y fallait un golpe, une entourloupe démocratique, une trahison : le livre de Lysiane Vidana permet utilement d'en comprendre le principe, la manière, et les circonstances.
Lysiane Vidana expose ses 'blessures', sans fard ni faux semblants : 'cette introspection était faite pour guérir mes déceptions, ma tristesse (...) et pour exprimer mes vérités et mes sentiments'. Une question revient, tout au long de l'ouvrage : 'pourquoi des personnes que j'avais choisies et en qui j'avais confiance m'avaient-elles trahie ? J'ai une certaine idée de la loyauté, pas ceux qui m'ont trahie'. Une trahison qui obsède le récit, on le voit bien. Et encore une fois : 'par cette élection de 2020, j'avais fait naître de nouveaux visages, et ils m'ont trahie'.
Dans son récit l'ancienne maire de Chabeuil ne nomme personne [c'est un défaut sérieux du livre, parmi d'autres (absence de recul, ignorance du contexte politique, pas de point de vue comparatif à propos des premiers mois de l'équipe Pano, rien non plus sur les contraintes réglementaires qui ont encadré la crise...)] et se contente de désigner les protagonistes du putsch par leur fonction dans son équipe. On y perd en précision, et en clarté. En somme, des brutes ont joué avec l'institution communale, l'ont mise à bas, et on ne connait pas leur nom, ce qui leur économise de porter leur responsabilité devant les chabeuillois. Pas nommés, les voilà impunis, alors qu'une partie d'entre eux est en place dans la nouvelle équipe municipale. Faisons une hypothèse : et si, sous les fonctions 'adjoint à l'urbanisme' et 'adjoint aux associations' et si...bas les masques, étaient dissimulés respectivement Patrice Courthial et Alban Pano, dont les rôles sont largement détaillés (mais anonymisés) ? Leurs responsabilités dans le putsch de 2021 serait alors plus claire, plus évidente.
À son habitude, Lysiane Vidana est directe et ne retient pas ses coups ('ce tartuffe, méprisant et fourbe...', ou encore 'panurgisme et inculture politique', ou encore 'un homme pressé qui avait pris la grosse tête'), et le chaos municipal d'octobre 2021 est bien rendu, crépitant, violent. Le débit est rapide, haletant et, au bout du compte, étouffant. Pas de recul, pas de mise en perspective, de la part d'une femme blessée, seule au monde, face à la brutalité irresponsable de quelques uns, qui ont bien fini par couler le navire municipal.
Pour : une victime, on l'écoute, basta, c'est la règle. Et on ne peut plus faire comme si ces explications n'existaient pas, comme s'il ne s'était rien passé.
Contre : un ton étouffant : colère et indignation ne cèdent jamais à l'analyse politique de la période concernée. Et l'anonymisation, incompréhensible, nuit à la clarté de l'ouvrage.
'Le prix à payer' fera l'objet d'une édition en ligne, sous peu, prévue à 10€. L'article du Dauphiné Libéré (26 septembre 2024) se présente sous la forme d'une interview (complète, vive, bien menée). Inévitable question finale : 'Ce livre est-il un moyen de revenir dans le paysage politique'. La réponse ('je ne sais pas.Je ne m'interdis rien') fait sacrément causer en ville...
-Autre ton, tout autre style, plus posé, plus distant, mais pour une littérature pareillement auto centrée : 'La part des oiseaux' de Millie Rosiers. Millie Rosiers, c'est le pseudonyme de Mireille Rossi, collaboratrice de cabinet du maire de Chabeuil, Alban Pano. Rien d'autre, et pas le contenu de ce recueil de gentils poèmes, ne relie ce livre à l'actualité chabeuilloise ; ça ne parle pas du pays. La chronique en sera donc rapide. Le recours à un pseudonyme n'est pas ici un artifice, une planque, c'est plutôt l'invention d'un personnage, Millie, qui écrit de la poésie, qu'elle nous présente. Millie Rosiers est ainsi comme un vrai personnage de fiction poétique, qui nous raconte son monde, ses amours, son âme (avec insistance) et son corps, son corps, et encore son corps tourmenté. L'ambiance générale est à l'art-thérapie, fleur bleue d'un genre particulier, tendance psy. Avec des bonheurs d'expression tout de même, qui peuvent racheter l'agacement que provoque toujours l'art-qui-veut-soigner.
Pour : mignon.
Contre : mignon.
Le livre (14 €, 101 pages) est plutôt bien fichu, beau papier ivoire, mais orné de dessins simplets, par l'autrice elle-même. Mireille Rossi est une ancienne (il y a peu) journaliste au Dauphiné Libéré, soulignant encore un peu plus l'ambiance valentinoise dans l'entourage (personnel et professionnel) d'Alban Pano. Mireille Rossi écrit les discours du maire de Chabeuil ; on peut utilement lire sa Part des oiseaux pour se mettre dans l'oreille son style et ses thèmes de prédilection et, ainsi repérer dans les envolées du maire de Chabeuil ce qu'il doit à la plume de Rossi-Rosiers. Souvenir, dans un récent discours de voeux à la population, d'une surprenante citation de Frida Khalo, qui doit peu à la passion d'Alban Pano pour la peinture mexicaine et tout à l'intérêt de Mireille Rossi pour les corps déglingués...
-Mais les chabeuillois qui préfèrent la concision et la nervosité du Code Civil, modèle, comme les stendhaliens de Chabeuil le savent bien, de naturel, de précision et de clarté, ceux-là se délecteront du rapport d'observations définitives de la Chambre régionale des comptes Auvergne-Rhône-Alpes qui vient de paraître. Prêt dès le début de juillet, mais acté seulement au Conseil Municipal de Chabeuil du 26 septembre, il est maintenant public. Ce qui ne veut pas dire accessible facilement : rien encore sur le désastreux site de la mairie, toujours aussi bancal et daté, très mal mis à jour. Mais votre Bachass'Club favori met ici le lien vers le site de la CRC, où vous trouverez le pdf du document, disponible depuis hier (2 octobre) seulement. Merci qui ?
Situation correcte quant à la qualité de la gestion budgétaire et comptable, endettement, emprunts, etc...Alban Pano, lors du Conseil municipal où était examiné ce rapport, s'est bien entendu attardé sur ces (bons) points. Mais le rapport liste très utilement les nombreux abandons de projets opéré récemment par la Commune : un investissement considérablement ralenti, qui permet à Chabeuil de présenter un tableau serein des finances locales. Atone, serein.
On vous laisse plutôt découvrir le chapitre 3 consacré à la gestion des ressources humaines, très sévère (courtois bien sûr, et pondéré, mais rude) quand il traite au point 3.6 de la 'situation de la responsable du service administration générale et solidarité'. Précédé, p.12 d'un point d'histoire : 'le recrutement du Directeur Générale des Services (DGS), M. Campens en mars 2022 a été contesté par les services de la Préfecture, ce qui a conduit à son départ le 15 juin 2023'. On rappelle que le motif du courroux préfectoral était rien moins qu'un recrutement de Vincent Campens (puisé dans les meilleures ressources de la daragonie valentinoise), 'hors classe'. Illégal, rien moins. C'est page 18 que ça se gâte, quand ça concerne la responsable de l'important service 'administration générale et solidarité, comprenant le CCAS et les services d'accueil, d'état civil, des titres d'identité, des affaires funéraires et des élections' (ouf). Le rapport cingle à son propos : 'la titulaire de ce poste a été recrutée par voie de mutation en juin 2022, soit au cours de la période de présence de son mari [Vincent Campens, le 'hors classe' en question] sur les fonctions de DGS. Son dossier ne fait pas mention de la tenue d'un jury de recrutement.' La CRC ne prononce pas les mot de népotisme, ni de scandale, mais bon, elle en dit suffisamment long pour qu'on le fasse à sa place. D'autant que la CRC enfonce le clou, toujours concernant notre bienheureuse (et désormais fameuse) responsable de service : 'l'affectation rapide de son actuelle titulaire sur un poste de responsabilité d'un service composé de 3,5 agents, est ainsi irrégulière au regard des missions d'exécution et de simple coordination dont sont normalement chargés les agents relevant du cadre d'emplois d'adjoint administratif territorial.' 'RAPIDE' et 'IRRÉGULIÈRE' : vive le style du Code Civil qui décrit au plus près notre petite Commune à l'oeuvre. Et pour pimenter le tout, au chapitre du traitement de madame : une NBI (Nouvelle Bonification Indiciaire)) et un CIA (Complément Indemnitaire Annuel) parfaitement indus, dont la CRC détaille les montants.
La Chambre régionale formule évidemment de fortes recommandations, pour que de telles fantaisies ne perdurent pas. En somme, pour la faire moins 'code civil' : les services chabeuillois sont à la ramasse, faut que ça change. Les chabeuillois le savent pour ce qui concerne les services techniques (ça se voit), qui rament, pleins de bonne volonté, mais qui rament. La CRC vient de mettre la lumière (ça finit par se voir) sur les services administratifs, où les problèmes sont nombreux.
-Note finale : vient de paraître, de Jean Giono : Voyage à pied dans la Haute-Drôme. Excellent, très bien édité, le carnet de balade de Giono, livré tel. Et l'histoire du manuscrit est incroyable : retrouvé dans le dossier judiciaire Giono, où s'instruisait une enquête sur les activités de l'écrivain pendant la derrière guerre. Oui, petit livre, mais superbe édition. La 'haute Drôme', c'est ValDrôme, Bouvières, Nyons, où Giono s'était aventuré à pied...
Claude Meunier
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There is no doubt, despite his great popularity and the friendship of Captain Haddock, Tintin remains one of the oldest boys in comics. So much so that a French painter wanted to give it a boost. On the moon or in friendly bars conducive to encounters, the French painter Xavier Marabout has taken it into his head to imagine behind the scenes of the albums of the famous reporter with a puff. Thus, the Breton painter, under the influence of Hopper, decided to give Hergé's son female companionship. Beer in hand, tattoo on his forearm, here is the hero in the blue sweater, more relaxed than facing Rastapopoulos and prey to feminine charms. And in particular, between a few strangers who are not shy, another comic book heroine, Yoko Tsuno. Pin-ups, much more alluring than Castafiore or Irma, which also put the adventurer in all his states and even... shirtless! A realized fantasy that some tintinophiles were desperate to see realized one day. Kindly nostalgic, these paintings also take us through dated landscapes, evoking the American dream and its beautiful racing cars. As if tired of no longer living stories, Tintin had finally decided to have a good time, without leaving Dupondt, Tournesol and Captain Haddock on the floor. A beautiful audacious but also respectful revision of this soon to be octogenarian still very lively. Xavier Marabout, who defines himself as a pop artist, is not at his first attempt since he had already succeeded in bringing the characters of Tex Avery into famous paintings
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l n’y a pas de doute, malgré sa grande popularité et l’amitié du Capitaine Haddock, Tintin reste l’un des plus vieux garçons de la bd. À tel point qu’un peintre français a voulu lui donner un coup de pouce. Sur la Lune ou dans des bars conviviaux et propices aux rencontres, le peintre français Xavier Marabout s’est mis en tête d’imaginer les coulisses des albums du célèbre reporter à la houppette. Ainsi, le peintre breton, sous influence d’Hopper, a décidé de donner au fiston d’Hergé une compagnie féminine. Bière à la main, tatouage sur l’avant-bras, voilà le héros au pull bleu plus décontracté que face à Rastapopoulos et en proie aux charmes féminins. Et notamment, entre quelques inconnues qui n’ont pas froid aux yeux, d’une autre héroïne de BD, Yoko Tsuno. Des pin-up, bien plus affriolantes que la Castafiore ou qu’Irma, qui mettent d’ailleurs l’aventurier dans tous ses états et même... torse-nu! Un fantasme réalisé que certains tintinophiles désespéraient de voir un jour réalisé. Gentiment nostalgiques, ces tableaux nous baladent aussi dans des paysages datés, évoquant le rêve américain et ses beaux bolides. Comme si lassé de ne plus vivre d’histoires, Tintin s’était enfin décidé à prendre du bon temps, sans laisser sur le carreau les Dupondt, Tournesol et le Capitaine Haddock. Une belle révision audacieuse mais aussi respectueuse de ce bientôt octogénaire encore bien sémillant. Xavier Marabout, qui se définit comme un artiste pop, n’en est pas à son coup d’essai puisqu’il avait déjà réussi à emmener les personnages de Tex Avery dans des tableaux célèbres
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thewul · 10 months ago
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C'est une énigme cela? Effectivement Professeur, qui mène a l'entrée du labyrinthe et a la salle du temple, Livrez nous l'énigme! Je ne peux pas Professeur, il y a une part de recherches a effectuer quand on aborde les albums de Hergé, c'est voulu, Voyons! Pour les Tintinophiles!
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tintin-is-my-life · 5 years ago
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Je ne serai jamais assez reconnaissante envers Hergé d'avoir créé un personnage tel que Tintin. Quand j'étais enfant, il me faisait voyager, rêver (encore aujourd'hui d'ailleurs). Tintin m'a aussi transmis des valeurs et des principes, qui ont fait de moi la personne que je suis aujourd'hui.
Parfois, quand je n'ai pas trop le moral, je lis Tintin et je me sens beaucoup mieux. Cette BD, elle est magique ! *^*
J'ai parfois l'impression d'être habitée par cet univers. Je crois que je l'ai vraiment dans la peau ! Tout les tintinophiles ont cet univers dans la peau ! Cet univers qui nous fait oublier tous nos soucis, qui nous fait rêver et voyager !
Je suis tellement passionnée par cet univers ! Jamais je ne pourrai me lasser d'un pareil chef-d'oeuvre. *^*
C'est aussi grâce à mon grand-père que j'ai fait cette magnifique découverte, car c'est lui qui m'a transmis cette passion dévorante, lui qui m'a offert mes tout premiers Tintin !
Tintin, c'est ma vie !
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icjmbeijing · 6 years ago
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Visite au Lotus bleu
Pour être honnête nous n’avons pas trouvé (ni même cherché !) le Lotus bleu, mais nous sommes allés faire un petit saut à Shanghai où nous avons retrouvé nos amis chinois de Malaisie, Elizabeth et Yeoh. Ici, devant le bâtiment du Musée de Shanghai, où chacun aura reconnu qu’il symbolise la Terre (base carrée) et le Ciel (sommet circulaire). C’est un très beau (et très grand) musée (bonjour les pieds douloureux).
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La présence française reste très marquée (comme celle, d’ailleurs, des autres concessions étrangères). Au sein de l’ancienne concession française, devenue un quartier très branché (bars, discothèques, boutiques huppées), le parc Fuxing est un havre de paix, planté de nombreux et superbes platanes. Nous avons ainsi appris que le platane était originaire de Chine (du Yunnan) et avait été introduit en France au XVIIIème siècle. Qui l’eut cru ?
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Ces deux badauds ne sont pas époustouflés par les platanes, mais se demandaient quand l’écureuil qui sautait de branches en branches allait leur tomber dessus (ok ! un écureuil c’est moins grave qu’une tortue comme aurait dit Eschyle !).
La concession française est aussi un lieu historique (que nous n’avons malheureusement pas pu visiter, étant arrivés deux minutes après la fermeture à 16h, une raison pour revenir à Shanghai). Mao, contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, n’y a pas joué un rôle prépondérant ; tant mieux pour lui quand on sait que cette première réunion a été perturbée par l’intervention de la police française qui avait infiltré les militants.
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Incontournable de Shanghai, la promenade sur la rivière pour admirer, de nuit, les gratte-ciel de Pudong (Pu de l’est) et le Bund de Puxi (Pu de l’ouest). Le bâtiment, façon Big Ben, sur le Bund (qui d’ailleurs sonne les heures avec le même carillon que Big Ben), c’est la Douane (toujours la Douane). Le bund est l’avenue le long de la rivière où se sont installées, au début du XXème siècle, les grandes institutions financières, avec des bâtiments souvent en style art déco. Contrairement à ce que je croyais, “Bund” n’est pas un mot allemand, mais un mot anglo-urdu qui signifie “boueux” (comme “lumpur”, la boucle est bouclée). Si les gratte-ciel de Pudong sont si hauts (par rapport à ceux du Bund) c’est essentiellement dans un souci de rentabilité : les fondations devaient être établies si profondément, compte tenu de l’instabilité du sol, que les coûts de construction étaient prohibitifs et nécessitaient des immeubles de grande hauteur pour rentabiliser l’investissement (comme les tours Petronas de KL, la boucle est à nouveau bouclée). D’ailleurs il paraît que Pudong s’enfonce petit à petit sous le poids des gratte-ciels (et malgré les fondations).
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(un peu floues ces photos, le bateau devait aller trop vite !)
Isabelle, qui adore le style Art Déco, a été enchantée. Ici l’ancien Lycée français et un des halls de l’Hôtel de la Paix
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Mais heureusement, il y a aussi du pur chinois, et notamment le Jardin Yu (comme le jardin de Vancouver, mais plus grand !). Il date du XVIème siècle. A voir les photos, on pourrait penser qu’il n’y avait aucun visiteur : en fait c’était noir de monde, mais Isabelle est dotée d’une patience infinie pour attendre LE moment où elle pourra prendre la photo qu’elle veut sans perturbateur.
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Dernière info, pour tous les Tintinophiles avertis, la Fondation Moulinsart a nommé un représentant exclusif qui a ouvert une boutique Tintin au 805 Chang’An Lu (Métro HanZhong Road -lignes 1-12-13- sortie n°4), ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h. Qu’on se le dise !
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