#theologie
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maximvandaele · 7 months ago
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Het 'probleem van het goede' en goddelijke almacht
Het meest overtuigende argument tegen het bestaan van God, is volgens mij 'het probleem van het kwaad'. De eenvoudigste manier waarop ik dit probleem kan verwoorden is de volgende:
Als er een god is, waarom is er dan zoveel lijden en kwaad?
Om deze kritisch vraag kracht bij te zetten, verwijst men soms naar extreem leed, zoals genocide, baby's die sterven, wilde dieren die elkaar op gruwelijke wijze verscheuren, verkrachting, ... Voor veel atheïsten is het duidelijk: in een wereld met zoveel zinloos leed, kan er simpelweg geen god zijn. Die god zou immers moeten ingrijpen om het (zinloze) leed weg te nemen.
Volgens mij is de meest geloofwaardige theïstische reactie hierop de stelling dat God wel oneindig liefhebbend is, maar niet oneindig machtig in de letterlijke zin van dat woord. God is dan in de eerste plaats oneindig liefhebbend, de oorzaak van alles wat goed en liefdevol is. Hij is als het ware almachtig in Zijn oneindige liefde. Dit is de theologie die door Thomas Jay Oord verkend wordt in zijn boek The Death of Omnipotence and the Birth of Amipotence.
Nu we dit besproken hebben, kan het probleem van het lijden omgekeerd worden naar het 'probleem van het goede'. Dit is dan de volgende vraag:
Als er geen god is, waarom is er dan toch zoveel liefde, goedheid en plezier?
Deze vraag werd ook al gesteld in de masterthesis van Bruce Leroy Davis. Een atheïst zou kunnen stellen dat er natuurlijke, niet-goddelijke oorzaken zijn van het goede. Het bestaat zonder reden. Wie in God gelooft, kan dan weer stellen dat God het goede en liefdevolle in de wereld veroorzaakt, want God is liefde.
Wat is er dan meer overtuigend: dat het goede bestaat zonder reden, of dat we het goede aan God te danken hebben? Welk antwoord iemand kiest, zal wellicht gelijkaardig zijn aan iemands keuze van antwoord op de vraag waarom het universum ontstaan is: zonder reden, of door God?
Het antwoord dat iemand kiest, hangt af van verschillende zaken, waaronder temperament. Maar de uitleg dat er Iemand (God) de oorzaak is van alles, lijkt mij toch geloofwaardiger dan de stelling dat alles uit niets kwam zonder reden.
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whatlandremembers · 2 years ago
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01. LA MYTHOLOGIE 
A Valarya, les dieux sont au nombre de deux. Jumeaux nés de la même mère, la Magie elle-même. Créatrice de toute chose, La Magie s'est tout d'abord attelée à modeler ses deux enfants, Ahara et Wilnir, les deux lunes de Valarya. Puis, suivant les pas de leur créatrice, les deux lunes ont créé à leur tour leurs propres enfants : les différents peuples de Valarya. Si la Magie a créé les Montagnes, les Courants, les Plantes et les Animaux, les lunes Ahara et Wilnir ont créé ensemble la plupart des Peuples qui parcourent Valarya. Seulement, les Astres foncièrement jaloux l'un de l'autre enfantèrent, dans l'ombre, deux peuples façonnés à leur image. Ahara créa les nymphes, personnification de la beauté. Tandis que Wilnir mit au monde les Orcs, personnification de la force. 
Les historiens de Valarya pourraient vous dire que les jumeaux sont parfois loués comme la personnification de la Mère-Magie. Et que les peuples ont séparé les deux afin de pouvoir louer différents aspects de la Magie. Cette dualité permet de conserver une foi en la Magie-Mère. 
AHARA. C'est la plus petite lune d'un jaune pâle,  elle est également celle qui reste le plus longtemps dans le ciel et qui scintille d'une lumière plus importante la nuit. Ahara est la personnification du Malheur mais également de la Beauté. Elle représente également la Sagesse.  Elle est la fille de la Magie. 
WILNIR. Il est la plus grande lune aux reflets bleutés, qui semble souvent être brumeuse, même lorsque le temps est clair. Wilnir est, contrairement à sa soeur, visible tout au long de la journée mais disparait quelques temps la nuit. Wilnir est la personnification du Bonheur mais également de la Force, de la Nature. Il est le fils de la Magie. 
ECLIPSE. Advenant tous les ans, la rencontre des deux lunes est une chose redoutée mais également attendue. En effet, il est dit que l'éclipse peut apporter extrême chance ou total malheur. 
02. LE CULTE DE LUUR 
◇ INTRODUCTION 
A Valarya, la nuit est aussi vénérée que le jour. La peur que pourrait inspirer la pénombre est souvent dissipée par la lueur des deux jumeaux. Dans les anciens textes retrouvés dans les bibliothèques elfes, traduits de l'ancien valaryen, l'essence de la Magie Mère était décrite comme une luur, traduisible en valaryen plus moderne par la "lueur". Dans les textes anciens, on expliquait que cette lueur brillait à travers les deux lunes qui créèrent les peuples. 
◇ LE CULTE DE LUUR 
Le culte de Luur fut fondé sur le besoin de remercier, réverer la Magie Mère et ses enfants : Wilnir et Ahara.  Le culte est basé sur la croyance que la luur est l'essence de toute chose, que lorsqu'un être meurt, il retourne à la Luur, la magie, la source. En donnant son importance à toute chose vivante, le culte de Luur est une religion basée sur l'acceptation et la bienveillance. En effet, en son sein, chacun peut devenir prêtre ou prêtresse, quelques soient ses origines sociales ou son peuple. Le culte est basé sur la générosité et la charité. Les plus nécessiteux sont souvent hébergés ou nourris par le culte. 
Les prêtres et les prêtresses parviennent à lire des présages dans le placement des lunes, ces présages sont souvent cryptiques et complexes, permettant à ceux qui les reçoivent d'utiliser ces interprétations comme ils le souhaitent. 
◇ ORGANISATION 
Le culte est basé sur une hiérarchie simple, il existe 4 Grandes Prêtresses ou Grands Prêtres, un représentant pour les régions de :  Kilrea (région ouest), Evesham (région nord),  Nandaral (région est), Isachakan (région sud). Et un ou une prêtre.sse chargé.e d'officier les rites pour la Couronne d'Opale et de siéger au Conseil restreint. Il existe ensuite une multitude de prêtres et prêtresses au sein des lieux de cultes. Ceux-ci répondent aux Grand.e.s Prêtre.sse.s de leur région. 
◇ LIEUX DE CULTE 
Si on peut retrouver des lieux de culte dans toutes les régions de Valarya, et même des petits hôtels au sein des foyers, l'île sacrée du Temps au large d'Eredhel est bien le lieu de pèlerinage par excellence. Le temple est le plus grandiose du royaume et c'est en son sein qu'on y trouve la formation pour devenir prêtre et prêtresse ainsi que les écritures saintes de luur. 
◇ RITES 
PRÉSAGES. le culte est basé sur la lecture des présages, qui sont officiés par les prêtres et les prêtresses de Luur. Les présages permettent de répondre à des questions précises, mais ne sont pas limpides.  Chacun peut demander un présage à un des membres du clergé de Luur, cependant, il n'est pas rare qu'ils ne trouvent pas grand chose.
MARIAGE.  ce rite est officié par les nymphes, enfants d'Ahara, qui veillent sur la beauté et l'amour. Le culte de Luur leur a délégué officiellement la fonction après la Grande Guerre. Il est à noter que les prêtre.sse sont également libres de se marier et de fonder leur famille.
PÈLERINAGE. Les plus fervents des croyants de Valarya réalisent au moins une fois dans leur vie un pèlerinage sur l'île du Temps. L'été est la saison de la foi et il n'est pas rare que l'Île soit submergée de pèlerins ayant emprunté la route de la Pénitence pour se rendre au Temple. 
PRIÈRES, DANSES ET CHANTS.  la musique permet aux croyants de se rapprocher de la Magie Mère et des deux lunes, de nombreuses mélodies sont utilisées afin de prier les dieux. De nombreuses danses sont effectuées pour remercier Ahara et Wilnir lors des moments importants de la vie d'un croyant : la naissance d'un enfant, la mort d'un proche, le mariage ou encore lors de la prise de décision.
ABLUTIONS. Avant de rentrer dans un lieu sacré, les croyants doivent se laver les mains, le visage et la nuque pour se présenter sans aucun apparat.
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many-sparrows · 1 month ago
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Howdy folks, the Senate will be considering a major resolution blocking arms to Israel. This is huge and historic; it would block government contracting and about $20 billion in arms and support. This is an uphill battle, PLEASE urge your senators to support S.J.Res114-115. This is maybe the most important piece of legislation relating to Palestine that we have ever gotten and we must seize this opportunity.
This doc has information on the resolutions and their process, as well as sample messages and a phone script you can use. Please, use this moment to hear witness for your neighbors.
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inkognito-philosophin · 6 days ago
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Preis, Wert, Würde – Oder: Was kostet eigentlich ein Mensch?
Heute kennt man von allem den Preis, von nichts den Wert. Das bekannte kulturpessimistische Bonmot Oscar Wildes aus dem Drama Lady Windermeres Fächer, das 1892 uraufgeführt wurde, scheint sich heute, 120 Jahre später, in großer Deutlichkeit zu bewahrheiten.
Alle Lebensbereiche werden der ökonomischen Kontrolle unterworfen, auch die Bereiche, in denen Geld nicht die Hauptrolle spielt und der Markt nicht alles regeln sollte, weil das freie Spiel der Kräfte Ergebnisse hervorbringt, die dem Menschen nicht gerecht werden.
Kultur, Bildung, Gesundheit – in diesen Politikbereichen scheint in der Tat das Gefühl für Werte in dem Maße verloren gegangen zu sein, wie das Bewusstsein für Preise zunahm.
Die Preisfrage ist:
Was kostet der Mensch?
Sie lässt sich ganz unterschiedlich beantworten, je nach dem Bewertungsansatz, der zur Anwendung kommt. Gängige Verfahren (etwa die Analyse der Unfallverhütungskosten, die Berechnung von kompensatorischen Lohndifferenzialen, die Bewertung nach dem Humankapitalansatz oder auch Umfragen zur subjektiven Bewertung von Lebenszeit und zur Zahlungsbereitschaft für Sicherheitsmaßnahmen) führen zu mehr oder weniger konkreten Zahlen, zu Preisen für den „Wert eines statistischen Lebens“ (WSL).
4,5 Millionen Euro? – 7,4 Millionen Euro? – 5,3 Millionen Euro?
Die Preise für den WSL sind sowohl hinsichtlich des jeweils angewandten Verfahrens als auch in Bezug auf die Untersuchungsregion und die sozialen Merkmale der zugrundeliegenden konkreten Menschenleben höchst unterschiedlich. Hannes Spengler nennt in seiner Studie Kompensatorische Lohndifferentiale und der Wert eines statistischen Lebens in Deutschland (2004) einen WSL-Mittelwert von 4,5 Millionen Euro für Deutschland und für die USA von 7 Millionen Euro.
Zugleich berechnet Spengler selbst einen Mittelwert von 1,65 Millionen Euro für einen sozialversicherungspflichtig Beschäftigten und weist auf einen Unterschied bezüglich des Geschlechts hin:
Bei einem Mann beträgt der WSL 1,72 Millionen Euro, für eine Frau von 1,43 Millionen Euro – sowohl die Einkommensdifferenzen als auch die höhere Risikoaversion weiblicher Arbeitnehmer wirkt sich hier auf den je unterschiedlichen WSL aus.
Auch die Hautfarbe kann zu Unterschieden führen, wie eine US-Studie mit dem Titel Racial Differences in Labor Market. Values of a Statistical Life (2003) offenbart, die das Leben eines weißen Arbeitnehmers doppelt so hoch bewertet wie das eines schwarzen Arbeitnehmers.
Noch größere Differenzen zeigen sich in Umfragen, die auf die Zahlungsbereitschaft von Menschen abheben, tödliche Risiken von der Gemeinschaft abzuwenden, von denen sie nur mit einer bestimmten, sehr geringen Wahrscheinlichkeit selbst betroffen wären, oder die ganz konkret danach fragen, wie viel einem Menschen die Aufopferung eines Lebensjahres wert wäre bzw. umgekehrt, wie viel Lebenszeit sie für 1 Million Euro hergeben würden.
Andrea M. Leiter, Magdalena Thöni und Hannes Winner analysieren in Der „Wert“ des Menschen. Eine ökonomische Betrachtung (2010) fünf verschiedene WSL-Studien aus dem Zeitraum von 1986 bis 2007 und ermitteln so Werte zwischen 1,7 und 7,4 Millionen Euro; sie selbst kommen auf der Basis von Schmerzensgeldzahlungen auf durchschnittlich 1,7 Millionen Euro, bei einem Minimum von 0,6 und einem Maximum von 5,3 Millionen Euro. Sie summieren dabei die zugesprochenen Entschädigungen für den Verlust von Gliedmaßen und Organen auf, bis hin zu einem funktionsfähigen Körper.
Noch einen Schritt weiter in Richtung einer rein materialistischen Bewertung geht eine Analyse der Einzelpreise menschlicher Körpersubstanzen auf der molekularen Ebene.
Der Biochemiker Harold J. Morowitz berechnet für den durchschnittlichen Menschen von 75 Kilo und knapp 25 Kilo Trockenmasse einschließlich wertvoller Enzyme und Peptide einen Katalogpreis von 6 Millionen Dollar (etwa 5,3 Millionen Euro).
Über all diesen Verfahren, so unterschiedlich sie sein mögen, steht eine Grundsatzfrage:
Darf man das – den Menschen bewerten?
Ist der Mensch in diesem, im ökonomischen Sinne, überhaupt bewertbar?
Der Mensch hat doch Würde – und soll nun einen Preis bekommen. Wie passt das zusammen?
Die Frage der Bewertbarkeit von Menschenleben ist eine ethische und eine (grund)rechtliche. Sie soll nachfolgend erörtert werden.
Ethische Aspekte
„Was ist der Mensch, dass Du Dich seiner annimmst?“ (Psalm 8,5)
Die Frage richtet sich an Gott. Ihre Antwort findet sie in der Absolutheit der Würde, die dem Menschen eignet. Dies ist keineswegs nur religiös begründbar, sondern auch mit weltlicher Philosophie.
Moraltheologische Betrachtung
Judentum und Islam
Im Judentum und im Islam, die man für diese Frage zusammen behandeln kann, ist der schier unendliche Wert des Menschen ein unhintergehbares Postulat der religiösen Anthropologie. Im Talmud (Sanhedrin, 37a) finden wir: „Nur für diesen Zweck wurde der Mensch erschaffen: Zu lehren, wer eine einzige Seele zerstört, zerstört die ganze Welt. Und wer eine einzige Seele rettet, rettet die ganze Welt.“ Und im Koran (5:32) steht: „Wer einen Menschen tötet, für den soll es sein, als habe er die ganze Menschheit getötet.
Und wer einen Menschen rettet, für den soll es sein, als habe er die ganze Welt gerettet.“ Ein Menschenleben entspricht hier der Menschheit, der Welt, dem Ganzen. Auch hier wird ein Vergleich angestellt, der den Wert eines Menschen bestimmt, doch ist dieser nicht in Geldeinheiten auszudrücken, sondern unermesslich hoch.
Christentum
Die christliche Philosophie geht einen etwas anderen Weg, kommt aber zu einem ähnlichen Ergebnis. Sie verleiht dem Menschen – und das war völlig neu, als dieser Gedanke im Zuge der Ethik Jesu auftrat – eine unveräußerliche dignitas humana, die sich direkt aus der Geschöpflichkeit und Gottebenbildlichkeit des Menschen ergibt und in der Menschwerdung Gottes eine besondere Pointe erfährt.
Als Abbild des personalen Gottes ist dem Menschen personale Würde verliehen. In Christus bekräftigt Gott diese Würde des Menschen durch die größtmögliche Zuwendung des Schöpfers zum Geschöpf.
Gottebenbildlichkeit ist also keine Eigenschaft des Menschen, sondern seine Essenz. Sie besteht nicht in etwas, das der Mensch ist, sondern sie besteht, indem der Mensch ist. Damit ist die Würde des Menschen unveräußerlich, nicht von ihm zu trennen, weil die Gottebenbildlichkeit nicht von ihm zu trennen ist. Zugleich ist seine Würde eine dignitas aliena (Luther), eine „fremde Würde“, denn sie kommt von Gott. Auch das macht sie und damit den Menschen unermesslich.
Das Verhältnis von Freiheit und Abhängigkeit bei der Bestimmung des Wesens der Menschenwürde als Gottesgeschenk zeigt sich im berühmten Gleichnis vom verlorenen Sohn bzw. Gleichnis vom barmherzigen Vater.
Der Sohn hat in Verkennung der Abhängigkeit vom Vater die Freiheit seiner Sohnschaft nur im negativen Modus gelebt. Er kann schließlich seine Beziehung zum Vater nicht mehr auf seine eigene Sohnes-Würde bauen, denn diese hat er verloren. So bekennt er: „Vater, ich habe gesündigt gegen den Himmel und vor dir; ich bin hinfort nicht mehr wert, daß ich dein Sohn heiße“ (Lukas 15,21).
Er muss hoffen, dass der Vater seinerseits die Beziehung neu aufbaut. Dies tut der Vater, in dem er von sich, von seiner Würde, von seinem Besitz gibt. So antwortet der Vater auf das Bekenntnis des Sohnes: „Holt schnell das beste Gewand, und zieht es ihm an, steckt ihm einen Ring an die Hand, und zieht ihm Schuhe an“ (Lukas 15,22).
Gewand, Ring und Schuhe sind Besitztümer des Vaters, auf die der Sohn eigentlich keinen Anspruch hat; er empfängt sie aus Gnade. Der evangelische Theologe Helmut Thielicke (Theologische Ethik, Tübingen 1972, S. 294) fasst dies eindrücklich zusammen: „Die Ebenbildlichkeit des verlorenen Sohnes beruht nicht auf der Eigenschaft des Sohnes, Sohn geblieben zu sein, sondern auf der des Vaters, Vater geblieben zu sein.“
Es ist klar, dass hier eine Würde angesprochen ist, die nicht nur unermesslichen Wert hat – jenseits jeden vorstellbaren Preises –, sondern die auch außerhalb unserer Verfügungsgewalt liegt, die nicht von uns (den „Söhnen“) bemessen werden kann, da sie letztlich im Gnadenerweis des „Vaters“ ihre Bewertung erfährt – und zwar mit dem Zahlwert der göttlichen Barmherzigkeit: unendlich.
Moralphilosophische Betrachtung
Auch in säkularen Konzepten der Menschenwürde geht es um das Verhältnis von Mensch und Menschheit. Doch gehen säkulare Konzepte der Menschenwürde im Ausgang von Immanuel Kant weg von der hetero- bzw. theonomen Begründung hin zur Autonomie und Selbstbestimmung des Individuums, das nicht die Gebote Gottes oder der Natur nachvollzieht, sondern sich selbst Gesetze gibt, die seine Identität und Integrität anerkennen und stärken sollen.
Damit erheben sie – wenn sie es denn ernst meinen mit der Würde – ebenso wie die religiösen Konzepte einen Anspruch auf Absolutheit und Unveräußerlichkeit, auf vorrechtliche Moralität, auf überpositive Verbindlichkeit der Würde, die den Staat und die Gemeinschaft bei allem, was sonst noch geregelt werden muss, unbedingt verpflichtet.
Wie es etwa das deutsche Grundgesetz ausdrückt, in Artikel 1 Absatz 1 Satz 1: „Die Würde des Menschen ist unantastbar.“
Und nur so verstanden kann die Würde im Rahmen der Rechtsordnung überhaupt einen Platz einnehmen, der sie als eigenständiges Konzept rechtfertigt, nur dann also, wenn sie den Menschen heraushebt aus den Verzweckungsmechanismen unserer Gesellschaft, seien sie politisch oder wirtschaftlich bedingt, nur dann, wenn der Begriff – religiös oder säkular begründet – über die Regelungsebene hinausweist und auf eine Ebene der Unverfügbarkeit deutet, die dem Menschen gerecht wird – als Wesen mit der Fähigkeit zur Selbsttranszendierung, auf eine Transzendenzentität, also auf Gott hin orientiert, oder auf eine Transzendentalsubjektivität hin, also auf ein im Menschen selbst gründendes Numinoses, wie es Kant denkt.
Also: Entweder die Würde ist absolut und unbedingt oder es lohnt sich nicht, den Begriff zu verwenden.
Kant schließt in seiner Grundlegung zur Metaphysik der Sitten jede Objektivierung des Subjekts, jede Instrumentalisierung des Menschen aus, dessen elementare Rechte nicht verrechnet werden dürfen, auch nicht, um damit dem „guten Zweck“ zu dienen, einen größtmöglichen Gesamtnutzen zu identifizieren.
Ein solches Vorgehen ist für Kant unmoralisch. Die einschlägige Form seines Kategorischen Imperativ lautet:
„Handle so, daß du die Menschheit, sowohl in deiner Person als in der Person eines jeden anderen, jederzeit zugleich als Zweck, niemals bloß als Mittel brauchst“ (Grundlegung zur Metaphysik der Sitten. Akademie-Ausgabe, Bd. IV, Berlin 1978, S. 429).
Der Mensch ist Zweck an sich selbst, er ist Selbstzweck. Das heißt umgekehrt jedoch, dass überall dort, wo der Mensch als Mittel zu einem vermeintlich höheren Zweck dient, seine Würde verletzt wird. Dieser Gedanke ist in das deutsche Verfassungsrecht eingegangen, in die so genannte „Objektformel“ Günter Dürigs, nach der die Würde des Menschen verletzt ist, „wenn der konkrete Mensch zum Objekt, zu einem bloßen Mittel, zur vertretbaren Größe herabgewürdigt wird“ (Kommentar zu Art. 1 Abs. 1 GG, in: Maunz, T. / Dürig, G.: Grundgesetz. Kommentar, München 1958, Rn. 28).
Kant spricht hier ebenfalls – wie das Judentum und der Islam – von der „Menschheit“, die im Menschen anzuerkennen sei. Er meint damit aber nicht die Summe aller empirischen Menschen, sondern das, was den einzelnen Menschen zum Menschen macht.
Doch im Ergebnis misst auch Kant damit dem einzelnen Menschen als Vertreter der Menschheit aufgrund seiner „Menschheit“ einen unermesslichen Wert bei, der sich nicht in Geldeinheiten ausdrücken lässt.
An andere Stelle wird er dazu deutlicher:
„Im Reiche der Zwecke hat alles entweder einen Preis, oder eine Würde. Was einen Preis hat, an dessen Stelle kann auch etwas anderes, als Äquivalent, gesetzt werden; was dagegen über allen Preis erhaben ist, mithin kein Äquivalent verstattet, das hat eine Würde.
Was sich auf die allgemeinen menschlichen Neigungen und Bedürfnisse bezieht, hat einen Marktpreis; das, was, auch ohne ein Bedürfnis vorauszusetzen, einem gewissen Geschmacke, d. i. einem Wohlgefallen am bloßen zwecklosen Spiel unserer Gemütskräfte, gemäß ist, einen Affektionspreis;
das aber, was die Bedingung ausmacht, unter der allein etwas Zweck an sich selbst sein kann, hat nicht bloß einen relativen Wert, d. i. einen Preis, sondern einen innern Wert, d. i. Würde.“ (a.a.O., S. 68; eigene Hervorhebung).
Das bedeutet: Die interpersonelle Verrechnung menschlichen Lebens ist nach Kant mit der Menschenwürde nicht vereinbar. Denn: Was eine Würde hat, kann nicht zugleich einen Preis haben und sich damit vergleichbar und verrechenbar machen.
Und genau das ist der Mensch:
Ein Wesen mit innerem Wert, ein Wesen, das fähig ist, Zwecke zu setzen und sich selbst zum Zweck zu erheben, das an sich selbst Zweck ist.
Die Frage ist, ob sich die Monetarisierung des Menschen, etwa im Rahmen von Schadensbewertungen und -analysen, mit dem Konzept der „Menschenwürde“ verträgt.
Kant würde dies verneinen, nicht nur wegen der offenkundigen Differenz von Würde und Preis, sondern auch wegen der im Menschen anzuerkennenden „Menschheit“.
Judentum und Islam verneinen diese Frage ebenso, weil sie Mensch und Menschheit letztlich gleichsetzen. Das Christentum muss die Frage verneinen, weil es dem Menschen nicht zusteht, sich selbst zu bewerten.
Seine Offenheit für Gott macht den Menschen prinzipiell unendlich wertvoll. Würde gilt also absolut, Achtung und der Schutz der Würde gilt ohne Limit. Soweit die Sichtweise religiöser und säkularer Moral.
Rechtliche Aspekte
Zu einer anderen Sichtweise gelangt man in der rechtsphilosophischen Betrachtung des Grundrechts auf Leben und des damit verbundenen Anspruchs auf Lebensschutz. Es zeigt sich dabei, dass Rechte unter den Bedingungen eines real existierenden Gemeinwesens immer nur relativ gelten können.
Dem Grundrecht auf Leben (in Deutschland: Artikel 2, Absatz 2 Grundgesetz) und dem damit verbundenen Anspruch auf Schutz steht der Grundsatz der Verhältnismäßigkeit entgegen, der wiederum vom Über- und Untermaßverbot bestimmt wird und im Falle von Maßnahmen des Katastrophenschutzes der Pflicht des Staates nach oben und nach unten Grenzen setzt, sodass im Ergebnis selbst das elementarste aller Menschenrechte, das Recht auf Leben, nicht bedingungslos geschützt werden muss.
Auch der Grundsatz der Verhältnismäßigkeit ist in Deutschland Verfassungsrecht (Artikel 1, Absatz 3 Grundgesetz; analog etwa in der Schweiz: Artikel 5, Absatz 2 Bundesverfassung).
Er gilt freilich, vor allem im Sinne des Übermaßverbots, mit dem staatlichen Eingriffen in das Leben der Bürger Grenzen gesetzt werden.
Doch umgekehrt wirkt der Grundsatz der Verhältnismäßigkeit als Untermaßverbot dort, wo der Staat gerade zu solchen Eingriffen verpflichtet ist. So sollen gleichermaßen Freiheit und Sicherheit gewährleistet werden.
Schlussbetrachtung
Wir erkennen einen Widerspruch zwischen Moral und Recht, eine Differenz, die Kant bereits markiert hat, indem er Moralität und Legalität unterschied.
Was erlaubt ist, ist noch längst nicht gut.
Was gut ist, kann noch längst nicht beansprucht werden.
Wunsch und Wirklichkeit, das Ideal der Würde und die Realität des Preises prallen aufeinander. Wie kann damit umgegangen werden?
Es ist unerlässlich, die Begriffe ernst zu nehmen: das statistische Leben, das empirische Leben, das Leben an sich.
Wir müssen unterscheiden zwischen dem „Menschen“ als statistische Größe, mit der kalkuliert wird, dem Menschen vor Ort, um den es konkret geht, und dem Menschen an sich.
Kant behandelt konzeptionell nur die beiden letzten, den homo phaenomenon und den homo noumenon. Gerechnet wird aber mit einem „homo statisticon“. Alle, die mit Bewertungsfragen zu tun haben, sollten dies wissen und es entsprechend kommunizieren.
Es geht eben nicht darum, der Würde des Menschen Grenzen aufzuerlegen, nur weil eben damit gerechnet werden muss, im Zweifelsfall das Leben des Menschen nicht grenzenlos schützen zu können.
Daraus, dass dies eben zugegeben wird, ist auch nach der „Objektformel“ kein Verstoß gegen die Menschenwürde abzuleiten, denn es wird nicht der konkrete Mensch bewertet (und damit „zur vertretbaren Größe herabgewürdigt“), sondern der „Wert eines statistischen Lebens“ ermittelt.
Das ist, nach all dem, was wir betrachtet haben, ein Unterschied.
Methoden der Bewertung müssen dabei so ausgelegt sein, dass sie konkret existierende Menschen nicht hinsichtlich ihres transzendentalen Menschseins, ihrer Würde als Menschen verletzen.
Das ist die unhintergehbare Bedingung aus ethischer Sicht. Sie muss sich im Rechtsrahmen entsprechend niederschlagen.
Am Ende noch mal eine ganz eigene Bewertung des Menschen. Der Wiener Kabarettisten Georg Franz Kreisler ließ sich in den 1950er Jahren vom Institut für Gerichtsmedizin in Wien errechnen, wie hoch der Materialwert eines Menschen sei. Das Institut kam damals auf eine Summe von 40 Schilling, schloss aber seine Antwort mit folgender Bemerkung, dass in den Zahlenangaben die Herstellungskosten des Menschen nicht enthalten seien.
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thoughtfulvoidsong-blog · 7 days ago
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prokopetz · 10 days ago
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Some of my favourite pieces of Christmas media are the ones that are straight up Evangelical propaganda, but they don't want to appear as such, so they copy and paste Santa Claus into Jesus' place. Like, I appreciate the hustle, my dudes, but I cannot begin to explain how many heresies you just promulgated.
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spielkritik · 4 months ago
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Game Studies: Religionswissenschaftliche Neuerscheinungen (#3)
Herzlich willkommen zur dritten Ausgabe dieser kleinen Beitragsreihe. Hier stelle ich aktuelle Veröffentlichungen der religionswissenschaftlichen Digitalspielforschung sowie religionswissenschaftlich relevante Werke aus anderen Disziplinen vor. Diesmal möchte ich auf eine Veröffentlichung aufmerksam machen, die vornehmlich dem Fachbereich der (christlichen) Theologie zuzurechnen ist, der sich ja…
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probablyasocialecologist · 11 months ago
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saulsplace · 7 months ago
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Multipolaire wereldorde vraagt om polytheïstische geopolitiek
Links is gefixeerd op gender, ras en klimaatdoembeelden – drijfzand waarin het onmogelijk is om constructief te zijn. In de VS drijft Jan met de pet steeds verder weg van linkse politiek, en wordt met open armen ontvangen door de America First!-ideologie. Voor het Israël-Palestina conflict geldt hetzelfde – ook dit is een toxische bom voor elke niet-islamitische partij. Het beste wat rechts kan doen, is dit conflict links laten liggen en afkoersen op eigen binnenlandse doelen.
Ga je in op Israël contra Palestina, dan gaat het gesprek meteen over joden: hoe goed en hoe fout die groep is geweest door de geschiedenis heen, in hoeverre zij onze sympathie verdienen. De discussie gaat over zionisme en antisemitisme, en niet over onze eigen problemen in Nederland en West-Europa. Zoals: de woningmarkt, de massa-immigratie, de vernietiging van de boerenstand, energieprijzen en energiezekerheid. We staan het toe dat onze universiteiten worden ontregeld door activistische NGO’s die ongetwijfeld ook vanuit het Midden-Oosten worden gefinancierd.
We moeten vaststellen dat moslims en joden elkaar zullen blijven bestrijden op grond van de religieuze lading van de omstreden heilige plekken. Het beste wat wij in Europa kunnen doen, is de grote moralistische narratieven loslaten, zoals het spreken in termen van ‘genocide’. Alle aandacht moet worden teruggeleid naar de hoofdvraag: Hoe kunnen wij ons in Nederland zó besturen, dat wat er gebeurt in het Midden-Oosten, ons helemaal niet raakt?
Moderniteit en liberalisme
Feit is dus dat Israëliërs en islamitische actiegroepen elkaar zullen bevechten. Het is aan ons om onze samenleving zó te organiseren, dat wij ons daarvan afzonderen. Hiervoor moeten we onze Grieks-Romeins-Germaanse grondbeginselen naar de voorgrond halen. Het vergt een analyse van het succes en de ondergang van het Romeinse Rijk. We onderzoeken hoe de Romeinen omgingen met godsdienstvrijheid en religieuze conflicten.
Inspiratie hiervoor vinden we in een artikel van de Duitse filosoof Odo Marquard (1928–2015). In ‘Aufgeklärter Polytheismus’ suggereert hij dat de moderniteit – waaronder bijvoorbeeld de rechtstaat en de representatieve democratie – niet neutraal zijn van karakter, zoals de aanhangers van de Verlichting dikwijls verkondigen. Marquard oppert dat de moderniteit zijn pluraliteit dankt aan een anti-monomythische polythëistische theologie.
Over mythes schreef ik reeds dat elke inrichting van de samenleving een mythe kent. Denk aan de Amerikaanse ‘self made man’, de communistische ‘klasseloze heilstaat’, of het offer van Jezus in het christendom. Vaak zijn mythes intolerant: ze eisen dat je maar één god aanbidt, één keizer gehoorzaamt, één kerk erkent, enzovoorts. Zoemen we uit, dan zien we dat in het Westen er meestal sprake is van velddiversiteit: dus van verschillende clans, beroepsgenootschappen en religies die allemaal een eigen hiërarchie hebben en een autonoom bestuur. Dit Westerse model van ‘pluriformiteit’ staat tegenover het Euraziatische model, waarin de nadruk ligt op de eenheid van de natie, staat, volk en religie. 
Marquard stelt dat monotheïsme – dus het geloof in één ware, alwetende, almachtige God – in zichzelf onverdraagzamer is dan polytheïsme. Een polytheïstisch pantheon is immers poreus en er kunnen nieuwe goden in worden opgenomen, zoals een Hindoe een Jezusbeeldje naast zijn andere godenbeeldjes kan toelaten. Pluriformiteit betekent dat er ruimte is voor rivaliserende geloofsgroepen onder één rechtstaat, naar gelijkenis van de concurrerende goden binnen één polytheïstisch pantheon. En dus zou een pluriforme liberale rechtstaat – waarin er verschillende geloofsgroeperingen naast elkaar kunnen bestaan – schatplichtig zijn aan polytheïsme en niet alleen aan de Verlichtingsmythos.
Alles wat zojuist is benoemd, is nodig om tot het volgende inzicht te komen. De absolute onverdraagzaamheid van de ene God die zichzelf verheft boven al het andere, is dezelfde absoluutheid waarmee de moslims en de joden verwikkeld zijn in een strijd over de heilige plaatsen waar zich het einde van de geschiedenis zou aankondigen. En als je – zoals Nederland – een mogendheid wil zijn die kan schipperen, handel kan drijven, zich niet wil laten vastklemmen in verstrekkende geopolitieke conflicten; kortom een mogendheid die neutraal wil kunnen blijven als dat het eigen belang dient, dan moet je zo ver mogelijk verwijderd blijven van dat type moralistische, eschatologische en apocalyptische mythes. En dús moeten we leren van de Romeinen.
Liberalisme zou oorspronkelijk bedacht zijn om verschillede morele universa in vrede met elkaar te laten leven. Intussen wordt liberalisme steeds vaker benut om militaire ingrepen in soevereine landen te rechtvaardigen. Ook bínnen natiestaten kan liberalisme problematisch zijn. Een seculiere staat moet zijn eigen seculiere karakter waarborgen en dit vergt een hiërarchische afstand tot stromingen die vanuit een religieus wereldbeeld de samenleving willen inrichten. Liberalisme blijft een aanwezigheid veronderstellen van christelijk geïnspireerde normen en waarden. Zónder die christelijke mores ontbreekt ook “geef de keizer wat des keizers is, geef God wat aan God toebehoort”. Dan vervalt de scheiding tussen kerk en staat en staan we voor die monomythische maatschappijinrichting die Marquard bekritiseerde.
Secularisme en orthodoxie
In de orthodoxe kerk droeg de theoloog Father Seraphim Rose (1934–1982) het concept van Symphonia uit. Dit is een leer waarin kerk en staat elkaar aanvullen zonder inmenging in elkaars werkgebied. Het symbool hiervoor is de tweekoppige adelaar. Deze orthodoxe leer staat tegenover de praktijk van de katholieke kerk, die zich opwierp als een eigen macht met een eigen staatsdomein. Dit gaf het katholicisme een meer werelds karakter en leidde onder meer tot een machtstrijd tussen paus en keizer. 
Deze geschiedenis brengt ons op de Tweezwaardenleer en het conflict tussen de Welfen en Ghibellijnen. Het is óók waarom Dante Alighieri schrijft in De monarchia (1313): “Oh Constantijn, was u maar nooit geboren” – hij wist namelijk niet dat de Donatio Constantini, een oorkonde waarmee de paus zijn aanspraak op wereldlijke macht rechtvaardigde, vervalst was. Nu is het de vraag of liberaal Nederland zich niet beter kan bekeren tot het orthodoxe geloof: de scheiding tussen kerk en staat kan dan in stand blijven, en tegelijk wordt het mogelijk om de eigen beschaving te herijken en het culturele zelfvertrouwen uit te dragen met een meer weerbare, martiale mentaliteit.
Toch is het beter om zelf iets te stichten, dan om te proberen iets te geloven – of te doen alsof je iets gelooft – wat je in feite niet kúnt geloven, omdat je nu eenmaal een rationeel mens bent. Zoveel van de hoogontwikkelde Grieken en Romeinen konden niets met het christendom, maar werden er uiteindelijk uitgefokt door de lagere klassen, bij wie het christendom zeer populair was. Het brengt ons op een wijsheid die Andrew Tate onlangs opperde in een gesprek met Thierry Baudet: “Als je een grote groep mensen in je maatschappij toelaat die dogmatisch geloven dat één plus één drie is – en ze zijn bereid daarvoor te strijden – dan ga je vroeg of laat rekening met hen houden, jezelf op hen aanpassen. Zelfs al weet je dat het onzin is.”
De val van het Romeinse Rijk
Vanuit de opkomst en val van het Romeinse Rijk – en de overgang van polytheïsme op monotheïsme – komen we op de vraag of het Romeinse Rijk is gevallen door het christendom. We vinden illustere auteurs aan onze zijde: Friedrich Nietzsche, Edward Gibbon, Oswald Spengler en James George Frazer. Hun analyse is dat het redden van de individuele ziel, voor velen belangrijker werd dan het redden van het keizerrijk. 
Er zijn christelijke keizers die significante militaire successen boekten. Het verval van het intellectuele erfgoed hangt samen met het waarderen van geloof boven ratio; met fatalistische overgave aan het lot boven het streven om de natuur en de omstandigheden, te plooien naar de eigen wil. Voor wie écht meent dat er spoedig een apocalyptische tijd aanbreekt waarin mensen worden gered of verdoemd op grond van innerlijk geloof, zijn militaire dienst en wetenschappelijke ontdekkingen onbelangrijk. 
Toch gaat het waarschijnlijk te ver om de totale val van het Romeinse Rijk toe te schrijven aan het christendom. Het Rijk was al in de problemen was tijdens het leven van Cicero en Marcus Antonius: de bestuursvorm knelde en er was sprake van imperial overstretch. Tekenend was het beleid van keizer Diolectianus, die in 293 de tetrarchie invoerde: nu werd de macht in het Rijk verdeeld over vier hoofdsteden, met naast de keizer een medekeizer en twee Caesars.
Het Oost-Romeinse Rijk, oftewel Byzantium, hield het nog 1.000 jaar langer vol, maar dit was een totaal andere situatie. De infrastructuur die nodig was om het West-Romeinse Rijk te behouden, verschilde compleet van die in het Oost-Romeinse Rijk. Byzantium heerste over steden die al eeuwen sterk waren verstedelijkt en waren gewend aan bureaucratische regimes. Het West-Romeinse Rijk heerste over de uitgestrekte wildernis, inclusief nomadische volksverhuizingen. Het leger dat in Brittannië was gestationeerd, was al groot genoeg om een burgeroorlog over Rome mee te winnen. In Real Time Strategy termen gezegd: het onderhouden van het West-Romeinse Rijk kostte veel meer upkeep. In Rome: Total War – Barbarian Invasion, valt de Oost-Romeinse campagne onder de moeilijkheidsgraad ‘Hard’; de West-Romeinse valt onder ‘Very Hard’.
Zonder al te verstrekkende uitspraken te doen, stellen we vast dat het orthodoxe christendom fungeerde als religie om diverse volkeren eeuwenlang effectief te verenigen onder Byzantium. Ook hier met de nuance dat deze orthodoxe christenen elkaar de hersens in sloegen in discussies over het monofysitisme – de leer die de goddelijkheid van Jezus benadrukt boven zijn menselijke natuur, en over het iconoclasme – in hoeverre heiligenbeelden een rol mochten hebben in de religieuze beleving.
Geopolitiek en hypermoralisme
Nu komen we op de vraag, of een polytheïstisch godsdienst beter in staat is om een wereldrijk – met voortdurend wisselende allianties die vragen om morele flexibiliteit – bijeen te houden, dan een eschatologische Abrahamreligie. De kwestie Israël suggereert dat dit zo is. Hierbij verwijst eschatologie naar een binaire ‘eindtijd’ en een ‘eindstrijd’ – een ultieme confrontatie tussen goed en kwaad. Ook het marxisme is een loot aan de stam van de Hebreeuws-christelijke eschatologie. Het is immers gebaseerd op apocalyptische doembeelden van een ultieme strijd tegen het kapitalisme. De geschiedenis wordt voorgesteld als verdeeld tussen ‘kinderen van het licht’ versus ‘kinderen van de duisternis’, de overheersten versus overheersers. Deze tweedeling leidt tot hypermoralisme.
Abrahamreligies (jodendom, christendom, islam), plus het marxisme, leiden tot het moraliseren van geopolitieke conflicten, en dit gaat ten koste van een wereldrijk. Machiavelli zag dit scherp in – hierom putte hij inspiratie uit de werken van de Romeinse historicus Titus Livius. Moeten we de heidense Romeinen zien als proto-liberalen? Waarschijnlijk niet – wie de geschiedenis duidt in termen van ‘wie een voorloper was van liberalisme’, loopt het risico om de geschiedenis eschatologisch te gaan opvatten, als een heilsgeschiedenis met liberalisme als einddoel.
Het oude heidendom kent géén scheiding tussen kerk en staat en geen universele mensenrechten. Deze beginselen komen uit het christendom, met ieder persoon als kind van God en een inperking van de wereldlijke machten. De Japanners, bijvoorbeeld, maakten alle christelijke bekeringen ongedaan – de feodale krijgsheren begrepen dat een systeem waarin de keizer tegelijk God is, zo’n religie niet kan verdragen.
Het spreekt voor het christendom dat de bijbel geen argumenten biedt voor een totalitaire staat: het kerkelijke-spirituele en het wereldlijk-politieke domein worden als gescheiden sferen neergezet. Tegelijk is het ook geen amoreel systeem, waarin alles maar moet kunnen en mogen. In de moderniteit filosofeert René Descartes over de goddelijke almacht: God is goed én God is almachtig. Dit leidt dan tot het probleem ‘wie of wat bepaalt dat God goed moet zijn?’ – een morele categorie die vaststelt dat goedheid een noodzakelijke eigenschap is van een almachtige God, beperkt die almacht. God besluit iets en daarmee is dat besluit goed, puur en alleen omdat de almachtige God in zichzelf de bron én de rechtvaardiging is van dat besluit.
Via deze weg komt het totalitarisme alsnóg binnen in de moderniteit. We zien dat de moderne staten absolutistische pretenties hebben – denk aan koning Lodewijk XIV die zichzelf als ‘Zonnekoning’ uitriep. Onder zijn bewind betekende verzet tegen de koning hetzelfde als zondigen tegen God. Thomas Hobbes en Carl Schmitt beschreven de absolute machtspretenties van de moderne staatsmacht, die geen rechtvaardigheid meer zoekt buiten de eigen soevereine beslissing. Joseph de Maistre en kardinaal de Richelieu hadden aanverwante ideeën over een onbegrensde staatsmacht.
Kosmologie en theologie
Een polytheïstisch universum met vele goden die elkaar indammen en complotjes maken tegen elkaar, zoals in de Oudgriekse mythen, beperkt het valideren van die almacht. De klassieke Oudheid bouwde het denken over macht en gezag op andere kosmische grondveronderstellingen. De antieke filosoof Plato en de dichter Hesiodus beschreven een oneindige cyclus van opkomst, bloei en verval. In de Griekse mythologie heersten eerst de titanen en zij werden verdreven door de goden van Olympus. De boodschap is: hoogmoed komt voor de val en niemand heerst eeuwig. 
De Abrahamreligies kennen een tegenstelling tussen de geschapen wereld en het toekomstige paradijs. De geschapen wereld is op zichzelf niet goed en behoeft verlossing via een redder, een Messiasfiguur. Deze theologische grondveronderstelling opent de weg voor de politieke maakbaarheidsgedachte: de almachtige staat die als redder optreedt en de wrede, chaotische wereld eindelijk goed en volmaakt zal maken. Het polytheïsme van de Oudheid berust op andere kosmische grondveronderstellingen: omdat die cyclisch zijn en niet messianistisch, en omdat de goden ieder hun eigen ‘domein’ hebben en zo velddiversiteit garanderen, zijn ze minder een voedingsbodem voor totalitarisme.
Dit alles ondersteunt Marquards pleidooi voor het polytheïsme als basis voor een politieke ordening van de maatschappij. De heidense veelvoud aan goden kan een ondergrond bieden voor een aristocratische verdraagzaamheid in het omgaan met rafelrandjes en het erkennen van de niet-maakbaarheid van het bestaan. De geesteshouding die dit oplevert is ietwat autoritair doch betrekkelijk verdraagzaam: “Prima dat jij jezelf als ‘queer’ ziet, maar we gaan dat niet verheffen tot maatschappelijke identiteit. We gaan het al zéker niet tot publiekelijk schouwspel maken. Dus nu terug naar de akkers en weilanden om voor het vee te zorgen.”
Deze geesteshouding berust erbij dat er altijd mensen zullen zijn die afwijken van de natuurlijke norm, en dat is okay, zolang die afwijking maar niet op de plaats wil komen van de natuurlijke norm. Behandel in gelijke gevallen, wat gelijk is. Een polytheïstische kosmos kent veel gradaties – tussenlagen tussen wat menselijk, mythisch en goddelijk is – dus er zijn maar weinig dingen écht gelijk, en in het Romeinse aristocratische samenlevingsmodel, heeft iedereen daar vrede mee. In het christendom ligt echter de nadruk op de morele gerechtvaardigheid van de vertrapten – de afwijking van de norm wordt vroeg of laat de norm. Dat ligt besloten in de christelijke eschatologie! De eersten zullen de laatsten zijn en de laatsten de eersten. 
De Romein valideert zijn normen door te kijken naar de natuurlijke orde. Het christendom verwijst naar zielen en morele codes die abstract zijn en zelfs tegennatuurlijk, zoals ‘de andere wang toekeren’ en ‘de tweede mijl gaan’ – leeuwen zullen naast lammeren slapen. Het Westen, en in het bijzonder de protestantse landen, zijn in de ban geraakt van het uitroepen van steeds nieuwe slachtofferklasses. Juist de christelijke protestanten staan dichtbij Jezus’ oorspronkelijke leer van verbroedering organiseren tussen maatschappelijke verschoppelingen. Dichter in ieder geval dan de katholieke kerk, dat als instituut toch altijd half heidens is gebleven, en minder met innerlijke spiritualiteit bezig is dan met machtsuitoefening.
Polytheïstische aristocratie: een reëel alternatief?
Aristocratische, autocratische verdraagzaamheid is als theoretisch concept begeesterend, maar zal zonder dragende en levende ideeën snel afglijden naar het recht van de sterkste of rijkste. Maar juist het Romeinse polytheïsme, waarbij de politieke orde ligt ingebed in de spirituele ervaring van de wereld, biedt uitkomst. Want de scheiding tussen kerk en staat geeft ruimte voor een seculiere sfeer waarin dat nihilistische morele vacuüm ontstaat dat nu door het cultuurmarxisme is opgevuld. Het polytheïsme van de Grieken en Romeinen ging uit van krachten in de natuur, halfgoden, bezielde bronnen en wouden. Hun kosmische hiërarchie kent vele treden en lagen. Zij dachten niet in termen van een wereld waarin er geen verlossing te vinden is buiten het offer van Jezus, en een verre God die zich achter de sterren verstopt.
Op religieus vlak bleken de Romeinen bereid tot compromissen. In het joodse geloof mag uitsluitend Jaweh worden aanbeden, terwijl de Romeinen het belangrijk vonden dat ook hun keizer aanbeden werd. Het compromis behelsde dat de joden voor de keizer zouden binnen, in plaats van tot de keizer. Heerlijk pragmatisch en oplossingsgericht!
Besef wel dat aanbidding van de keizer voor de Romeinen een fundamentele kwestie was – een kwestie van gezag, van ‘rule of law’. Aanbidding van de keizer kwam neer op Leitkultur, weigeren hem te aanbidden kwam neer op het moreel verwerpen van het systeem waarop het keizerrijk gebaseerd is. Met het eisen van de keizerverering zeiden de Romeinen: het staat u als onderhorig volk vrij om uw eigen godsdienst te onderhouden, maar erken dat onze cultuur de cultuur is van het hoogste gezag. Zoals we vandaag zouden opleggen: verplicht varkensvlees verkopen bij McDonalds en verplicht Sinterklaas en Zwarte Piet op scholen en bij de NPO.
Voor ons zou het aanbidden van een keizer onnodig zijn: mensen blijven immers feilbaar, corrumpeerbaar, vatbaar voor irrationaliteit en bevliegingen... Zie Koning Willem Alexander en Maxima, die zich inzetten voor Central Bank Digital Currency en voor het vervangen van dierenvlees in voeding door verpulverde insecten. Ten beste zou het keizerschap binnen deze alternatieve kosmologie, symbolisch en ceremonieel worden ingevuld. Toen ik tegen nationaalconservatieve Japanners zei: “Pas op met het verheerlijken van jullie keizer. Voor je het weet komen WEF-lobbyisten langs en wappert ook op jullie keizerlijke paleis de regenboogvlag”, konden ze domweg niet begrijpen wat ik zei. Het was makkelijker om een vierkant blokje door een ronde opening te persen, dan om deze gedachte bij hen te laten landen. Tragisch…
Conclusie
We moeten in realistische, niet in moralistische termen kijken naar geopolitiek, het strijdveld van botsende beschavingen. Want praten in grote moraliserende verhalen ontneemt praktische handelingsvrijheid en verlamt jezelf. Het praten over buitenlandse conflicten in termen van ‘genocide’, moraliseert vooral en zal een groot conflict, zoals dat tussen joden en moslims, toch niet stoppen. 
Laten we ons hier niet aan conformeren en alle politieke partijen oproepen om hetzelfde te doen! We moeten naar geopolitiek kijken vanuit een polytheïstisch denkraam: er zijn meerdere concurrerende machten, meerdere goden, bij allegorie. Wie vandaag je vriend is, kan morgen je vijand zijn. Dus wees pragmatisch en flexibel.
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religion-und-gesellschaft · 8 months ago
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Künstliche Intelligenz darf den Papst nicht veralbern
Ketzerpodcast | Episode 144 Mai 2024 144.2 Künstliche Intelligenz darf den Papst nicht veralbern KI darf den Papst nicht veralbern Continue reading Künstliche Intelligenz darf den Papst nicht veralbern
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twafordizzy · 8 months ago
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T.S. Eliot Fluistert van Onsterfelijkheid
bron beeld: thoughtco.com Fluisteringen van onsterfelijkheid Webster, bezeten door de dood, / Door elke huid de schedel zag, / Gestalten borstloos in de grond, / Terugleunend met liploos gelach. Bloembollen staarden als pupil / De kassen de ogen uit! / Hij wist: de geest hangt aan dood vlees / En scherpt zijn lusten en geilheid. Donne, neem ik aan, was ook zo een / Zonder een zinnensurrogaat; /…
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flagellant · 2 years ago
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yeah we might be brothers in christ but so were cain and abel so shut the fuck up before i decide to find a rock about it
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dag3103 · 1 year ago
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"Eine Kirche die ex-istiert. Versuch einer schwachen Ekklesiologie" – Mein Beitrag in der kleinen Schrift für Christian Bauer zu seinem 50. Geburtstag.
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thoughtfulvoidsong-blog · 2 months ago
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prokopetz · 1 month ago
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It's fascinating how a lot of Evangelical Christian anxiety about Satanism seems to be rooted in the unspoken idea that if the Devil gathers enough worship he'll depose God and become the new God, because that's not the party line in any major religion, but it is how it works in Dungeons & Dragons.
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