#the final capter
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Hier il y a un garçon qui s'est excusé pour son comportement à mon égard. C'était il y a bientôt 2 ans. Mieux vaut tard que jamais finalement. Pour le contexte, c'était un mec en couple qui m'avait un peu promis et dit monts et merveilles tout en sachant que j'étais intéressée par lui et qui avait disparu du jour au lendemain. J'avais un peu refoulé cette expérience sûrement parce que j'ai été un peu trop habituée à ce genre de comportement. Un jour on est intensément intéressé par moi et on sort de la prose et le lendemain c'est à peine si je ne suis pas encore moins perceptible que l'air mdrr. Et donc hier il s'explique, communique et à un moment il me dit ça: "je ne mesurais pas l'importance que tu y accordais, car j'ai cette image de toi : une femme indépendante dans son esprit et dans son affect, à qui il est difficile de capter l'attention, difficile de plaire, qui donne cette impression de ne pas pouvoir la retenir si elle se désintéresse".
Ça là ce qu'il a écrit c'est ce que j'avais mis des années à mettre en place et à renvoyer aux autres. Je voulais qu'on me voit comme quelqu'un qui n'avait besoin de personne, qui vivait extrêmement bien sa présence et l'absence surtout et en réalité, c'était vrai. Je crois vraiment que j'avais fait un travail sur moi solide. Maintenant, quand je relis ça je me dis juste quel gâchis vu ma perte d'autonomie et d'indépendance et de liberté. J'ai réussi à être ce qui je voulais mais ça n'existe déjà plus. J'ai tellement hâte de retrouver cet état d'esprit de jeune femme qui se respecte.
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Hi! Could I request a Frank Morison x Reader where the reader came into the fog with the Ghostface capter? He's generally pretty chill and laid-back but gets some severe paranoia about being stalked because he's a survivor of the killings in Roseville? But he vibes with the Legion because he thinks they're fun! :) thanks in advance!
Frank Morrison / The Legion:
Early on in your relationship, Frank had only known you as the mellow soul you typically are. Casual and fun, but he always suspected there was something else beneath the surface — his people reading skills are unmatched, he never knew for certain but he knew something was amiss.
Don’t get him wrong — he’s touched that you took to him so well in spite of that. It was a shock, because most survivors avoid the killers at all costs, and it must not have been easy for you to build up the courage to get to know him and his friends.
His suspicions about your past are confirmed when you return to him after a trial against Ghostface, shaking and clearly upset. You had come out unscathed, but he knew something about the encounter went deeper than just what went on in the Entity’s realm. You finally have to tell him about your life before, in a mess of tears. Roseville, being stalked for weeks on end...
He holds you. He tells you that as long as he and the rest of the Legion still stand, nobody like Ghostface will terrorize you or get their hands on you again. Deep down, he knows he won’t always be around to protect you, but he means it with his whole heart. He’d set fire to all the realms to keep you safe.
After knowing what’s happened to you, he’s much more protective. He always walks behind you, with his hands on your shoulders, to keep watch and make sure nobody is following you around. He apologizes if this makes it worse, but he tells you this is the best way for him to make sure nobody is out to hurt you. If someone’s there, he’ll know. And they won’t know he’s coming.
#inbox#frank morrison#gender neutral reader#dbd imagines#dbd x reader#dbd x you#frank morrison x reader#the legion x reader
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Not saying I'm finally writing capter 15 VR46 SPN Academy... But I'm also not saying I am not ;)
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OK. Après avoir pris du recul, je me dis qu'être avec quelqu'un qui a encore une autre personne en tête au début, c'est possible. Le truc c'est que pour moi ce n'est vraiment pas à dire à la personne avec qui tu tentes quelque chose. Mais le musicien est super honnête et j'ai capté qu'il avait énormément besoin de communiquer. Il est du genre à penser que toutes les vérités sont bonnes à dire. Il me fait trop penser à mon frère, qui dit parfois plus que ce qu'il ne devrait. Des vérités blessantes qu'on ne sait pas contrôler en fait. Peut-être qu'il avait vraiment besoin d'en parler parce qu'il se sentait mal par rapport à ça et que ça tournait dans sa tête. En tout cas, s'il devait le faire un jour, il a bien fait d'en parler maintenant. Plus tard, ça m'aurait vraiment blessée. Et plus tôt, ça m'aurait fait fuir et on serait peut-être passés à côté de quelque chose de beau. Parce que c'est un fait : il me plaît. Et pour la première fois depuis le début de ma vie, TOUT me plaît chez un garçon. Même les défauts que j'ai aperçu pour l'instant. (Bon SAUF quand il me coupe la parole mdr mais je sais que si je lui en parle il fera super gaffe parce que c'est une grande qualité qu'il a : il prend en compte ce qu'on lui dit, il APPLIQUE ce qu'on lui dit). Je sais aussi que pour une fois, je ne l'idéalise pas. Même si tout a été très vite, il est tellement honnête, vrai, spontané, que je l'ai vite cerné. Après je sais que ce n'est encore que le début et que je ne sais pas encore tout de lui. C'est surtout que je commence à capter quand j'enjolive un peu trop la réalité (il était temps).
Je pense qu'il est HP. Mon frère et ma meilleure amie le sont et j'ai remarqué les mêmes comportements typiques. Y a un truc très réconfortant là dedans parce que je sais un peu comment il fonctionne. Les personnes avec qui je m'entends le mieux s'avèrent toujours être HP. Leur manière de penser en arborescence est juste géniale, c'est tellement enrichissant. Parfois je sais que je reste bloquée dans ma vision des choses et ils sont toujours là pour m'ouvrir à une autre manière de penser. Ils pensent à tout sans spécialement l'avoir vécu parce qu'ils prennent en compte absolument tous les facteurs possibles, c'est assez impressionnant. J'ai des orgasmes intellectuels avec eux mdr. D'ailleurs je me demande souvent "j'en penserais quoi si j'étais HP?", ça ouvre à pleins de manières de réfléchir. Mais bon là je digresse.
Par contre il y a pleins de petites choses desquelles on doit vraiment parler. Je vais faire des points pour organiser ma pensée parce qu'il y a beaucouup.
Très vite quand on a commencé à se voir, il me disait "Je te connais, t'es comme ça". Et moi j'étais en mode "Frérot, non, on s'est rencontrés y a 2 semaines. Tu ne peux pas prétendre me connaître??". Et cette fois il m'a dit "au final, je ne te connais pas" alors que maintenant ça fait 1 mois qu'on apprend à se connaître. On s'est tous les deux dit qu'on s'était attachés. Tu ne peux pas non plus dire que tu ne me connais pas du tout. Je sais pas, je trouve ça assez blessant. Ça a été rapide mais on a quand-même vécu des trucs. J'ai l'impression que dire ça, ça délégitime notre attachement. Tu ne t'es pas attaché à rien chez moi? Après je sais qu'il a peur de s'attacher et ça ressemble à quelqu'un qui dit ça pour mettre un peu de distance à cause de cette peur, c'est une pro de ça qui parle
Puis parfois je déteste qu'on couche ensemble parce que j'ai l'impression qu'on ressemble à des plans culs. Parce que les sentiments ne sont pas encore vraiment là. Or j'ai pas du tout envie de ça. On a été tellement vite à ce niveau là et en même temps ça s'est fait tellement naturellement. C'est très bizarre comme sensation. Et quand il m'a sorti ce "au final, je ne te connais pas", ça m'a tellement renvoyé à cette image là de plan cul. Pour lui on ne fait que baiser alors? En tout cas pour moi on fait quelque chose qui se situe entre baiser et faire l'amour. Il faudrait inventer un nouveau terme. La baise d'amour. Ou un truc du genre. Non, c'est pas fou.
La différence entre lui et moi c'est que lui cherchait à être en couple et je l'ai intéressé alors que moi je ne cherchais pas mais il m'a donné envie d'essayer. C'est tellement énorme pour moi le fait d'accepter de m'engager et il ne s'en rend pas compte. Lui ne s'embête pas avec les "qu'en dira-t-on?" et les codes de la société. Il m'a fait rencontrer sa mère sans pression parce que pour lui ce n'est pas quelque chose d'énorme. Il m'a fait des câlins devant elle et son frère parce que pour lui ce n'est pas quelque chose d'énorme. Il m'a très vite raconté des trucs deeps parce que c'est quelqu'un qui a la mauvaise habitude de se confier très rapidement à n'importe qui. Il veut venir chez moi alors que pour moi c'est énorme de ramener un garçon à la maison. Il m'a embrassé et m'a tenu la main dès le premier date comme si c'était rien. Alors quelque part c'est rafraîchissant parce que ça fait du bien de ne pas se mettre de la pression pour tout et je crois que j'avais besoin d'un gars qui agit comme ça MAIS il faut qu'il comprenne aussi que parfois ça dépasse mes limites, et là c'est à moi de jouer. Sauf que comme je suis une people pleaser, j'ai vraiment du mal à lui en parler sur le moment. Il m'a dit qu'il était conscient qu'il n'agissait pas comme on a l'habitude d'agir et qu'il fallait vraiment que je pose mes limites si je n'étais pas à l'aise avec quelque chose.
Je crois que si je me suis attachée aussi vite c'est non seulement parce que je peux m'attacher vite, mais aussi parce que j'ai vu qu'il s'attachait vite, et enfin et surtout parce que je me suis un peu forcée à le faire pour passer à autre chose avec mon plan cul. Parce que quoi que j'ai pu dire, cette relation m'a quand-même impactée. Et c'est NORMAL. Il faut que j'arrive à l'accepter. Ça faisait longtemps que je n'avais rien vécu avec un gars, il a été le premier avec qui j'ai eu autant de contacts physiques (rien que les papouilles, j'avais jamais vécu ça avant), il m'a fait aimer mon corps, m'a fait me sentir désirée, je me sentais vraiment féminine et épanouie dans cette féminité, puis surtout il est arrivé dans une période où j'avais besoin d'attention et il m'en a donné exactement comme je le voulais sans que j'aie eu besoin de le réclamer. Ce qui m'a fait très mal c'est d'avoir compris que je n'avais pas été spéciale pour lui. Je n'étais qu'une fille parmi d'autres. Et c'est ce qui m'a fait super peur quand le musicien m'a parlé de son ex. Je n'avais pas envie de n'être qu'une fille parmi d'autres juste pour qu'il arrive à penser à autre chose qu'à son ex. Je mérite d'être la priorité de quelqu'un. Mais au final on est pareils, on veut tous les deux passer à autre chose après une relation qui s'est mal terminée. La différence c'est que moi je me suis convaincue que j'étais passée à autre chose alors que j'ai même pas pris le temps de passer à autre chose, j'ai directement enchaîné avec un autre gars.
Par contre je sais que si mon plan cul revenait vers moi, je ne reviendrais pas vers lui. C'est sûr et certain. Tandis que lui il ne sait pas ce qu'il ferait si elle revenait. Et ÇA c'est pas possible. Même si ça n'arrivera peut-être jamais, le fait qu'il soit dans cette optique là c'est juste pas compatible avec le fait de se lancer dans une autre relation. Ça met en insécurité alors qu'il faut pouvoir avoir confiance.
(21/06/2024)
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ATOFAF: Chapter 28: Lucien's Return
Capter 1 | Chapter 28 | 4,204/137,882 Words Summary: In the days before Beron's funeral and Eris's ascension ceremony, Lucien returns to Velaris. He and his friends from Midgard have lunch at the cafe where they run into someone Lucien isn't keen to see.
Note: I didn't have anyone proof this chapter for final edits. Sorry not sorry. Feel free to let me know of any typos you see.
Excerpt:
“Sometimes I think that they’re right.” Lucien hung his head, trapped in his own thoughts. A broken male. For a moment, no one moved, no one even breathed. Declan searched desperately for something to say. Something to ease the lines on Lucien’s face. Something to ease the ache in his own chest. He came up short. But Ruhn didn’t. Ruhn stood slowly and made his way to Lucien and crouched before him so that he could look directly into the male’s downcast eyes. “We are not our fathers.” A hard determination settled over Ruhn’s features. “Their sins are not ours, and we do not have to follow in their footsteps. We can make our own path.”
Read Now on AO3
#a tragedy of fawns and fate#yanny wips#declan emmet#declan emmet pov#lucien vanserra#tharion ketos#ithan holstrom#ruhn danaan#bryce quinlan
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I present to you the "Some things never change" Excerpt from the latest prompted hurt/confort/whump fic
As if summoned by Arthur's thoughts. A door opened just out of sight and then Cenred himself was standing in front of the cell. At least he didn’t have his stupid knife and stupid apples.
Arthur snarled at him taking a step forward “You’re a coward!”
He could hear Merlin’s hiss of exasperation that he was taunting their capter. And the sound of his warlock standing up behind him
Cenred merely grinned. “I’m a winner”
“WHERE ARE MY KNIGHTS COWARD” Arthur shouted and took another step foward grabbing the bars of the cell.
“I let them go” Cenred said simply. “Back at the border, with instructions about a ransom and the assurance that I would kill you if they try a rescue attempt instead.”
He leaned forward “but I lied. They can send whatever money they like. It won’t change anything”
“What did you do to my magic!” Merlin demanded from behind Arthur. “How!?”
Cenred grinned even more. “Really now did you think I would have allied with two sorceresses without some contingency plan. Turns out the ancient tales talk of something called “Witch Iron" We'll be experimenting with it a bit more of course but I knew it would do its job.”
Suddenly his face turned into a mask of rage “Which one of you killed Morgouse… She had a foolproof plan, she said. A storm. But she’s dead! Which of you killed her!?”
Imediatly, without hesitation, Arthur replied with a “it was me” He had stuck the final blowe, but in reality they had done it together. That was beside the point however The point being protecting merlin.
Unfortunately, merlin was, of course, being merlin. At the same moment he said "me" he heard merlin saying “I did.”
They both looked at each other with exasperation, Both with the world “really!?” practically written on their faces as they started at each other.
#I'm sorry they spent the entirety of the last fic (will be published in october) trying to die for each other.#and LOOOKIE WHATS HAPPENING#excerpt#this is rough draft of course
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THERE AIN'T NO WAY!
Did they also increase the odds for capter A in addition to the 50 free pulls??? Are you actually telling me that 5 out of my 10 pulls are URs?? What's more, I've been playing since release and pining for the Guardian Demon card the whole time and it's finally home T0T
Brb, gonna buy a lottery ticket.
#like what the hell???#I feel like I've used up all the luck I had in stock for this year#kinda scared to step outside now#is this the Great Mammon's blessing??#obey me#obey me shall we date#obey me gacha#mammon#beel obey me#asmo obey me#barbatos obey me#om
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Spooked d'Emma Spook et Gil Gloom (2017)
Spooked est, à mon avis, l'une des meilleures parodies de films d'horreur. Spook and Gloom manie avec art les clichés très américains (Bonjour, les Warren et compagnie...). Notons également le clin d'oeil adressé à Was Craven et à son Freddy Kruegger... Pourtant le personnage au pull rouge et vert est bel est bien absent. A la place, un démon à l'accent plus que douteux tente de terroriser une famille... A ses risques et périls!
Parfois frustrée par la longueur des courts-métrages, je reste sur ma faim... Néanmoins, les scènes sont aussi intenses qu'humoristiques et les détails sont si nombreux qu'un seul visionnage n'est, sans doute, pas suffisant pour en capter toutes les subtilités.
Je note également l'originalité des aptitudes développées par les protagonistes afin de chasser le démon (les chasseurs de fantômes devraient en prendre de la graine...)
Gros coup de coeur pour la petite fille aux passions morbides et insolites et évidemment pour Darken (David Mora) Attention: la scène finale peut provoquer un rire orgasmique!
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I am so in love with Moth to a Flame I need you to know how good it is really bless you for writing an amazing story like that and the lenght of the capters is so so good too really bless you ❤️🖤❤️🖤
WAAHHHH you’re so sweet!!🤧💞 Thanks for not only saying this but being the first person to use my ask box. I didn’t expect just getting compliments on here but I literally cannot verbally explain how much I appreciate it. You’re hitting me where it counts, as in my big ole heart. A Moth to a Flame is actually my first time consistently writing and posting something online. I used to do little half-assed stuff when I was younger on Wattpad but I finally gained the motivation and courage to properly write something. I will say that I have ALOT planned for A Moth to a Flame and at this point I’m estimating it to have around 20 chapters. Maybe more, maybe less. It all just kinda depends how much insistent daydreaming I do about my story lol. So I’m glad my writing style and chapter lengths are to your liking. It’s difficult to churn out something so large but I just REALLY want to describe my story the best I can. So I’ll keep providing you with my writing and I hope you keep enjoying it!! HUGS AND KISSES YOU AMAZING PERSON😫💞
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La psyché complètement balafrée.
Capter le bonheur même dans la douleur.
La lumière se dessine au loin.
Finalement.
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Nous nous réveillons ce matin sous un petit crachin frileux digne d'un guanaco fâché, et réussissons (enfin, surtout Dr X) à ranger la tente de toit lors d'une accalmie. Surprise, malgré les 100% d'humidité ambiante, la valise ouverte et planquée sous la voiture a tout de même séché !
C'est tout plein d'énergie que nous partons à la recherche d'un de ces garages si réputés dans l'optique réparer les deux trois petits détails mal en points de notre van. Après être tombés sur une porte close, un monsieur très occupé qui nous a élégamment envoyé chier, un camping et un terrain vague (oui, l'appli est très à jour), nous finissons par aller dans une quincaillerie spécialisée, bien décidés à réparer nous mêmes Patochimbo. Non mais.
Nous tombons alors sur un adorable monsieur et son chat, respectivement Felix et Negro (oui, ça nous a fait sourire que Felix soit l'humain, il n'a pas bien compris pourquoi), qui passe une bonne heure à nous apprendre les bases du bricolage.
Je suis très fière de pouvoir vous dire que je sais désormais changer un clip de ceinture de sécurité, déboulonner avec une petite machine pour éviter de perdre un bras en desserrant le monstre, vérifier trop tard que le clip et la ceinture sont compatibles, réaliser que non, découvrir qu'on a poli le boulon avec ladite machine, utiliser un Caiman pour essayer d'attraper ce truc de la mort qui est vaaaaachement plus petit une fois qu'il n'a plus d'angles, et réinstaller le clip de base.
Sinon, en plus réussi, on a réparé le massacre électrique à base de fils à nu et de silicone qu'était notre pompe à eau, elle est desormais belle et propre. La boite à gants a été réparée efficacement avec un bout de scotch, nous avons renoncé au frigo vu qu'il fait 3° de toute façon, et finalement on se débrouille avec le coffre ! C'est si beau la débrouille.
Le temps de prendre la route, il est déjà midi, et nous nous posons fort astucieusement dans le sens du vent pour cuisiner le déjeuner, ce qui nous oblige donc à observer le repas cuire à travers la fenêtre de la voiture pour éviter que le gaz ne s'éteigne.
Une fois nos pâtes instantanées infâmes dégustées, restes du trek du W, nous partons faire une jolie petite balade sous le ciel bleu, le soleil ayant décidé de pointer le bout de son nez cet après midi. Ca a l'air régulier comme schéma, à nous les grasses mat ! Heureusement qu'il fait jour jusqu'à presque 21h.
Nous arrivons à Confluence, où une rivière aux eaux bleus limpides de rêve et sa copine de couleur marron terne type effluent de station d'épuration se rejoignent, faisant un pied de nez à la théorie des couleurs pour créer un fleuve à la teinte turquoise incroyable !
Après avoir passé une dizaine de minutes avec Dr Rathatton à observer les acrobaties du Dr X et à se demander s'il faudra aller le repêcher ou si on laisse la sélection naturelle suivre son cours, nous passerons l'aprem à chercher une douche pour nettoyer nos aisselles putrides. Peu de succès dans notre quête, tous les campings du coin nous claquent la porte au nez ou nous ignorent, nous partons donc finalement à la recherche d'un coin où poser Patochimbo cette nuit. Cette fois encore, on doit faire 4 spots différents pour être satisfaits, mais on termine la soirée à observer le lac, les montagnes en fond et les gros nuages de neige, tout en râlant que seul Dr X arrive à capter du réseau. La vie est injuste, mais vous avez ce post grâce à ça, alors on lui pardonne.
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je me souviens qu'y a un moment ça avait bardé par rapport à aconia dans le fandom (perso j'ai déjà dit où je me plaçais, sa relation avec arthur est hyper malsaine ((et oui idéaliser arthur/guenièvre aussi c'est con mais pas le sujet)) mais je la comprend mais elle avait tort sur toute la ligne et elle me fait chier mais elle mérite pas qu'on la déteste et c'est un excellent perso) mais pétard à un moment faut juste reconnaitre que la promesse c'est le coup le plus crasseux qu'elle aurait pu lui faire et qu'obligé elle le sait très bien.
(OUI ça excuse en rien qu'arthur s'y tienne, qu'il traite guenièvre comme de la merde ou qu'il couche avec n'importe qui mais la je parle d'elle)
c'est pas juste par rapport à l'amour, pcq elle lui dit qu'il peut coucher avec toutes les femmes qu'il veut en dehors du mariage - et elle elle promet jamais de pas coucher avec macrinus hein - c'est vraiment pcq tout leur plot c'était elle qui l'éduquait pour que rome en fasse un prête-nom et elle décide de niquer rome. Si arthur n'a pas d'enfant avec sa femme il aura jamais d'héritiers et son pouvoir politique est en danger. c'est un point qui est dit et répété plein de fois et elle c'était sa prof d'histoire, de culture et de politique. sans dec. elle se venge de rome en utilisant son cœur, c'est gros comme une maison (en vrai j'espère que quand elle balance sa robe rouge par terre elle voulait lui dire qu'elle le dégageait de son mariage avec elle pcq elle pouvait pas supporter la culpabilité de lui faire ça finalement mais que lui a pas voulu capter)
donc bref c'est un élément important qu'elle le foute dans la sauce sciemment is all i'm saying
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Cet été j’ai pas beaucoup dessiné mais j’ai fait la paix avec le crochet 🧶 (je crois qu’on était fâchés parce que j’ai du mal à ne pas me perdre quand il faut compter les mailles, et aussi que les instructions c’est pas toujours facile à capter, mais finalement on peut s’en sortir !)
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Anathazerin : le sang des joueuses
Partie 3 : Le turgescent Pic d’Andalf
Après avoir rencontré BILL BILIBON, qui n’est pas du tout un bootleg name du Seigneur des Anneaux, nous avons pu enfin savourer l’essence même du jdr tradi dégueulasse : les trahisons !
Vous savez, ces MJs qui se plaignent que ses joueurs sont des “murder hobo” ? Et bien, quelque part, si tout le monde dans sa campagne n’essayait pas de trahir les PJs et qu’il était moins dirigiste (ne laissant aux joueurs que la possibilité d’interaction "taper des trucs”.), ça arriverait pas. Anathazerin enseigne dans la grande tradition que tu ne peux faire confiance à personne, SURTOUT les gens qui ont l’air sympa. Et ouais. On passe sur le fait que le personnage d’Amarange LeBel a un nom pas du tout inspiré d’un des mecs derrière cette campagne dont le nom de famille est Debelle, sinon je deviens chèvre. Après avoir tabasser des méchants qui font un crime innommable (de la fausse monnaie), on a libéré un esclave et y’a aucune mention de ça dans le texte. Genre pour écrire qu’il y a de l’esclavagisme, y’a de l’encre et de la place, mais pas vraiment pour ce qui est de la question “et donc le mec devient quoi ? Non parce qu’il parle à peine la langue, donc la question est assez légitime.), nous sommes amené à devoir trouver l’origine de la fausse monnaie qui gangraine la région. À partir de là, on a beaucoup rigolé qu’on était les paladins du fisc. On a beaucoup moins ri en voyant que c’était la réalité. Vint le moment. LE MOMENT. Qui a fait reroll 3 personnes sur 4. Le Pic d’Andalf. Un barde sympa, une traitrise, et l’impossibilité (au vu de la mécanique engagée) de capter que nos personnages viennent de se faire voler plusieurs mois de leur vie sous un sort de charme qui n’existe absolument pas à une telle puissance dans le jeu. Alors, j’imagine que lorsqu’on a des personnages dont on se fout de la vie, bah on s’en fout. Mais je rappelle que la campagne a insisté de OUF pour faire commencer les PJs à Clairval, de les inscrire dans la vie du village. Donc tu te retrouves avec 4 perso qui sont paniqués parce que leurs familles les croient sans doute mort. Et 3 qui abandonnent parce que “Honnêtement, votre prophétie m’intéresse pas, le loot m’intéresse pas, par contre mon vieux père laissé seul depuis 5 mois, ça ça m’intéresse”.
Ai-je oublié le truculent conseil de la campagne ? Si par miracle, et je suis pas loin du bon terme vu les jets successifs que ça demande, un des PJ arrive à comprendre dans le Pic qu’il se trame un truc louche, la campagne nous donne un fameux conseil. Faites en sorte qu’Amarange la têtedegland veuille discuter en tête à tête avec le PJ, et balancez le dans le vide.
Ouais, ouais. Tuez un PJ sans possibilité de se défendre parce qu’il a réussi par miracle à détecter un piège indétectable.
Je vous laisse le temps d’assimiler ça. Lorsque les PJs se sont rendu compte de tout ça, baston, révolution, etc. Ensuite y’a une aile avec un boss optionnel. Je déconne pas, hein, c’est juste si vous avez envie de vous farcir 2h de combat, y’a aucun impact sur l’histoire.
Le Pic d’Andalf a été LE MOMENT où la table a juste abandonné l’espoir qu’il y ait des choses bien écrites dans cette campagne. Déjà parce que l’histoire se dirigeait vers un truc de fausse monnaie dont on s’en tamponne le coquillard, mais aussi parce que clairement c’est juste malsain. Et la suite nous a fait confirmer ça. Y’a un moment totalement gratuit où les PJs peuvent se faire enfermer dans un cachot et à ce moment y’a Amarange LeBel qui arrive juste pour teabag et repart, et ceci n’est pas une plaisanterie.
Pour l’instant la critique est très dans l’émotionnel, mais je vous assure que je ferais une partie finale (ou non) avec un décodage du jeu en mode robot et c’est pas sûr que ça soit moins ulcérant.
Pour terminer sur une note festive, voici des noms de vrais PNJs et Lieux de la campagne :
- Isuldarn
- Tibor et Tibur
- Monastir (et oui y’a un monastère)
- Valpyr (sans vampire)
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Je suis allée au CIO vendredi et je suis encore plus perdue qu'avant. Je me suis rendu compte que le Master que je voulais faire ne me convenait pas du tout donc je ne sais pas quoi faire finalement. Le gros problème dans tout ça c'est que j'ai l'impression de m'accrocher aux études parce que je n'ai toujours pas fait le deuil de mes études qui se sont super mal passées. Je n'arrive pas à passer à autre chose. Je crois que j'ai envie de garder un bon souvenir de ce qui est censé "être les plus belles années de notre vie" et pas finir sur cette note amère. Mdr. J'ai l'impression d'être une gosse parce que clairement je veux faire des études pour faire des études. Ça n'a aucun sens. J'ai juste envie de vivre ce que la plupart des gens vivent. Rencontrer des gens, galérer dans les cours mais se soutenir, se demander mutuellement si on va en cours, avoir quelqu'un qui te garde une place en auditoire, se demander si on sort ce soir, étudier ensemble,... J'ai l'impression que j'arriverai jamais à passer à autre chose tant que je le vivrai pas. J'arrive pas à capter que parfois dans la vie ça se passe pas toujours comme on veut. Je veux trop contrôler le truc. Mais peut-être qu'une fois lancée dans le monde du travail, j'y penserai plus? Et en même temps on repense toujours à nos années à l'université pcq c'est quand-même une partie importante de notre vie.
Au moins mon année en infographie, avant le covid, était vraiment géniale. Je vais peut-être juste devoir m'accrocher à ça pour passer à autre chose. J'en reviens pas que les conséquences du covid soient toujours là.
(01/04/2024)
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L'air de l'extra-terrestre
youtube
Finally heard the full "air de l'extra-terrestre!!"
It was only ever included in its original form on the 78 studio vinyl (not the CD) and in two of the early Quebec recordings, and is not included on any of the most well-known recordings I've found or in any of the well-known stage productions -- even the 79 show had already turned it into the "Final" which is sung by Balavoine as his soul ascends or whatever, and the ensemble reprises "Petite musique terrienne," and the alien guy doesn't get to berate them about being stupid idiots lol (Apparently the 1980 Québec had a child sing it? Which might be the only time it was actually done live!)
BUT when you listen to it a LOT of things start to make (more obvious) sense, and I'm so happy that there's a nod to it in the new show!
First of all, musically, you need the reprise from the "Petite musique terrienne" air to close the show so it echos the beginning of the Ouverture. If you don't have that air in the show at all, the Ouverture is basically orphaned.
Then, lyrically, the air EXPLICITELY spells out that the whole show is meant as an indictment of the fame-seeking behaviour that all of its characters exhibit (which is obviously implied, but the point is never really hammered home in a song) :
Qu´est-ce que c´est que cette Starmania? Vous vous prenez pour qui, pour quoi? Moi qui suis d´une autre planète Je vous surveille dans ma lunette Et je vous trouve bien minuscules Bien ridicules!
What the hell is this 'Starmania' / Who or what do you think you are / Being from another planet / I'm watching you through my lens / And I find you so very small / So very ridiculous!
It also gives a moral to the story and makes it clear there are no good guys here:
Un rayon de soleil suffit Et vous êtes tous anéantis Vous n´avez encore rien compris Avec vos bombes et vos fusils Vous êtes tout petits, petits
A ray of sunlight / And you are all destroyed / You still don't get it / With you bombs and your guns / You are so, so small
(Just in case you thought Berger and Plamondon advocated violence from any side)
But it also acts as a sort of reality check to the human tragedy & darkness of the story by putting things into a wider existential context:
Habitants de la planète Terre Vous n´êtes pas seuls dans le monde A cent millions d´années-lumière Nous avons su capter vos ondes [...]
Non, ce n´est pas la fin du monde Le temps qui passe est infini Le temps d´une vie N´est pas une onde Dans l´espace
Sur des millards d´années-lumière Que sont vos heures et vos secondes? Comment voulez-vous que la Terre Soit le centre du monde?
Earthlings / You are not alone in the world / A hundred million light-years away / We were able to receive your signal [...]
No, it's not the end of the world / Passing time is infinite / The span of one life / Is not a wave / In space
Compared to billions of light-years / What are your hours and your seconds? / How could you think that Earth / Is the center of the world?
And I think the "Final" with Balavoine in the 79 show does try to fulfill the same role with its own lyrics:
Maintenant, pour moi tout s'éclaire Je n'ai fait que passer sur Terre Le temps d'une vie Mais le temps est infini
Now for me things are clear / I was just passing on Earth / For the span of one lifetime / But time is infinite
But it loses the moralizing outsider POV (maybe not a bad thing!)
Plus, let's face it, the second half of the air itself isn't the most memorable or the most momentous -- I think it is nicer musically to close the show with the "Petite musique terrienne" than with the weirdly poppy "Qu'est ce que c'est que cette Starmania" chorus.
The 2022 show references this air in two places: just before "Le monde est Stone" you hear the Roger Roger voice (Thomas Jolly) say the first couple lines: "Quelle heure est-il en ce moment, est-ce la fin du monde ou le commencement ?" [What time is it right now, is it the end of the world or the beginning?] and then after the curtain falls, the main cast come back and reprises "Petite musique terrienne" together, which is a lovely and moving way to end the show IMO.
ANYWAY those are my wayyy over-thought thoughts! (I have to put them somewhere!! Do you have thoughts?? Put them here!!)
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