#terrasse bois et dalles

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MERCREDI 20 MARS 2024 (Billet 1 / 2)

Hier, Pierre Guettre et sa petite équipe de jardiniers sont venus « ouvrir » notre terrasse. Vous savez que nous n’avons pas d’enfants, ni de petits-enfants… notre BB à nous, c’est ELLE, sise au sixième et dernier étage de notre immeuble.

L’hiver, comme les ours d’antan (il parait qu’à cause du réchauffement climatique, ça n’est plus le cas), elle hiberne. Mais un peu avant le printemps, nous lui faisons se refaire une beauté. Il y a des années, c’était nous qui nous en chargions mais à un moment cela nous est devenu de plus en plus difficile.

Un peu par hasard, suite à une maladie dont était atteinte une de nos plantes, nous avons fait intervenir un jardinier trouvé sur Internet. Il s’appelait Pierre. Il a sûrement été de très bon conseil et efficace car lorsqu’il nous a dit que nous pouvions utiliser ses services au titre de l’« AAD » et bénéficier d’une aide de l’Etat, nous avons très vite décidé de lui confier « l’ouverture » et la « fermeture » de notre terrasse. Cela fait quelques années qu’il s’en occupe, elle ne s’est jamais aussi bien portée, nous lui en sommes très reconnaissants… et nos vertèbres du dos aussi !

Vous trouverez ci-dessus des photos des « travaux ». Ils s’y sont mis à quatre, toute la journée, et nous pouvons vous dire qu’ils n’ont pas chômé (surfaçage de tous les pots, engrais, taillage des plantes, toutes les dalles passées au Karcher, remise en route et vérification de l’arrosage automatique, etc.) ! Nous leur avons même demandé de changer les trompe l’œil de la cheminée et des murets du fond. Ils étaient en bois, donc fragiles. Il aurait fallu les dévisser tous les ans pour les repeindre. Nous ne l’avons jamais fait. Du coup, ils ne tenaient que 3 ans en moyenne. Comme ce sont des articles très coûteux, et que cela aurait dû être notre 4e investissement, nous avons préféré opté pour des treillis en plastique, certes un peu moins esthétiques mais beaucoup plus pérennes.

Puis ci-dessous, des photos de la terrasse après leur passage.

Bien sûr, à part les Corettes du Japon, les Lilas des Indes n’ont pas encore fleuri (mais il y a déjà plein de petits bourgeons qui pointent le bout de leur nez, idem pour la vigne vierge), ni les lauriers, les pivoines, les spirées et les hortensias pour ne citer qu’eux.  Tout ce petit monde, comme la Belle au Bois Dormant, va se réveiller en temps et en heure… leurs Princes Charmants étant le Printemps, le soleil, la chaleur et pour les Lilas, le mois de juillet.

Et pour finir, nous étions invités hier soir à dîner chez nos voisins du dessous. Christine, la maîtresse de maison, cuisine divinement bien et ses menus sont toujours différents et originaux. Nous nous sommes régalés. Jugez plutôt : en entrée, une crème brûlée aux champignons, puis des pavés de saumon en croûte d’amandes et, au dessert, une salade d’agrumes bien fraîche, surmontée d’un granité au Mojito. Une tuerie !  Soirée gourmande et très sympathique, nous avons passé un excellent moment.

En rentrant, nous avons voulu tester nos éclairages… un prétexte pour déguster un petit digestif (Schweppes aux agrumes / Grand Marnier). Voir les photos ci-dessous.

NB Nous vous en parlons chaque année, si vous êtes à la recherche d’un jardinier et que vous souhaitiez utiliser ses services régulièrement, téléphonez-nous, nous vous donnerons avec plaisir les coordonnées de Pierre. Ceci est bien entendu une publicité totalement désintéressée…

Nous n'avons pas choisi le même paparazzi que Kate ex-Middleton et la photo n'est pas truquée... Par contre, nous trinquons à votre santé !

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 Si vous recherchez des services de maçonnerie dans la région de Saint Germain Les Arpajon (91180), l’entreprise Maçonnerie 91 est là pour vous. Avec 20 ans d’expertise dans le domaine, ils sont votre partenaire de confiance pour tous vos besoins en maçonnerie, rénovation et étanchéité.

Voici quelques-uns des services qu’ils proposent :

Travaux de Maçonnerie :

Construction de murettes, du montage des fondations jusqu’à l’enduit final.

Réalisation de terrasses en bois ou en carrelage.

Montage et pose de clôtures.

Terrassement pour diverses constructions.

Réalisation de dalles en béton, bordures et trottoirs.

Viabilisation, assainissement, drainage et voirie.

Travaux de plâtrerie, etc.

Rénovation :

Transformation d’espaces vieillis en joyaux modernes.

Rénovation de salles de bains, terrasses, etc.

Service de démoussage de toiture pour protéger votre maison des éléments extérieurs.

Travaux de Maçonnerie Générale :

Petite maçonnerie ou gros œuvre.

Agrandissement, surélévation.

Travaux de terrassement.

Menuiserie extérieure, cloisons en plâtre, murets fissurés.

Ouverture de murs porteurs, modification de structures, isolation du bâtiment, béton armé, etc.

Maçonnerie 91 s’engage à exécuter chaque projet avec un souci méticuleux du détail, garantissant ainsi la solidité et la durabilité de chaque construction. Leur expertise couvre tout, de la maçonnerie de pierre exquise aux parements qui rehaussent l’apparence de votre espace. Demandez un devis gratuit pour vos projets de maçonnerie et de rénovation 

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Cette villa se compose d'un séjour lumineux, d'une cuisine indépendante aménagée, de trois chambres dont deux avec placard et une climatisée, d'une salle d'eau avec placard et d'un W.C. séparé. L'espace de vie extérieur se compose quant à lui d'une première terrasse de 8,20 m2 attenant au séjour et d'une deuxième terrasse de 25 m2 situé de l'autre côté de la maison. Un carport de 50 m2 avec une dalle en béton offre trois places de parking couvertes en enfilade. Le jardin possède plusieurs arbres fruitiers, un potager, un grand poulailler et un coin "feu kanak" pour réaliser de bons plats au feu de bois.

La maison est située au fond du terrain rural sur une surface d'environ 30 ares et laisse environ 70 ares de terrain plat pour d'autres projets.

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ALEXANDRIN CHAGRIN

D’ici je regardais la grisaille des dalles Rêvant du ciel cendré, orange, après l’Espagne Où s’échouaient les flocons du feu sur ton châle Couvrant d’un long manteau tes épaules de flammes Au matin le bruit bleu de l’eau contre les doigts De tes mains abîmées jusqu’au bout des phalanges Je m’éveillais heureuse dans la chambre en bois Avec le charme absent de toutes peurs étranges Par les volants roulants une lumière pâle Hachurait le plafond et le papier à fleurs Lorsque mes yeux s’ouvraient lentement et sans mal Accueillis par les sons, les dessins, la chaleur D’ici je retrouvais tes formes en secret Un paysage entier sur la terrasse blanche Et chaque jour depuis ta voix claire est cachée Dans un fleuve paisible où ton âme s’épanche

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10 signes montrant que vous devriez investir dans structure bois en Loire-Atlantique

Quelle longueur de clou pour un écran ? : comment construire un toit cathédrale ?

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[lesombresnomades]

Les ombres au Sri Lanka ...

Quel pays d’Asie visiter en été après l’Indonésie...? Telle fut notre question. Certaines régions du Sri Lanka étant épargnées par la Mousson, nous avons décidé d’y aller en août 2017. N’ayant que deux semaines, nous avons orienté notre séjour sur trois régions: le triangle culturel au nord, le centre et les montagnes, et le sud avec ses plages de sable fin. Nous avons réservé les services d’un chauffeur pour la partie Nord; et des hôtels et chambres chez l’habitant pour le logement.

Bon à savoir: nous avons pris la compagnie Srilankan Airlines. Malgré une appréhension initiale, le vol fut parfait avec de nombreux services et repas.

1- Le triangle culturel au nord. 

A peine sortis de l’aéroport, nous prenons la direction du triangle culturel au nord qui est le cœur historique du Sri Lanka. Il regroupe plusieurs vestiges du passé, notamment d'anciennes capitales, des temples, des stupas, des lieux sacrés, des statues de Bouddha ou encore des monastères.

Anuradhapura:

Cette ancienne cité, riche en monuments, a été la première capitale de Ceylan (Sri Lanka). C’est un immense site naturel parsemé de ruines du IIIème siècle avant JC, de dagobas (stupas), de temples, de palais et bassins. Tout est en granit et blanchi à la chaux contrastant avec la végétation tropicale verdoyante: c’est un véritable décor de film ! 

Nous arrivons le jour d’une fête bouddhiste liée à la pleine lune. Une foule de pèlerins tout de blanc vêtu tourne autour de l’immense stupa blanche et sillonne les diverses allées. Quelques heures après l’atterrissage nous sommes totalement dépaysés.

Bon à savoir: Pour visiter les sites religieux, il est obligatoire d’avoir les jambes couvertes et porter un sarong. Pour pénétrer à l’intérieur des temples, il faut se déchausser. N’ayant rien prévu pour ce premier jour, et étant en tong, nous nous brûlons les pieds sur les dalles de granit chauffées au soleil.

Nous sommes surpris par l’intérieur des temples très coloré. A côté du temple, un arbre isolé se dresse tel un monument sacré: il s’agit de l’arbre sacré du bouddha sous lequel il venait se recueillir. Les Sri-Lankais y déposent de nombreuses offrandes à son pied tout en priant.

Mihintale:

Après cette matinée riche en découvertes, nous partons visiter la cité monastique de Mihintale. Il s’agit d’un site perché en hauteur et accessible par un millier de marches (mais il y a un parking à mi-parcours).

Toujours sans chaussette et sans casquette, nous gravissons les marches qui mènent à un plateau sur lequel se dresse une dagoba entourée de piliers en granit. Autour de nous, trois petites collines: sur la première est érigée une statue de bouddha géante en marbre blanc; sur la deuxième se trouve une immense dagoba de plusieurs dizaines de mètres et la troisième est un promontoire rocheux avec un belvédère.

Le soleil est aveuglant, la chaleur quasi insoutenable rendant le sol brûlant. La vue est magnifique, et nous donne à voir la campagne environnante, des lacs et des forêts tropicales.

Sigiriya:

Très tôt le matin nous nous rendons au rocher de Sigiriya afin d’éviter la foule et la forte chaleur de l’après-midi. Dès que nous approchons, le roc de 370m de haut, de couleur ocre se dresse face à nous, seul au milieu de la plaine.

Nous empruntons la grande allée bordée de ruines et bassins qui mène au pied du rocher. Ce dernier est très imposant et nous sentons très petits face à lui. Partout autour de nous des singes s’amusent.

Après avoir gravi quelques marches, nous prenons un escalier en colimaçon, suspendu dans le vide, pour accéder à une caverne taillée dans la roche. Là, nous découvrons des fresques, une vingtaine de silhouettes féminines peintes sur les murs, datant du Vème siècle.

Nous poursuivons par une passerelle suspendue dans le vide et atteignons un premier plateau avec deux grandes statues de lion.

Après une bonne heure de marche nous atteignons le sommet. Là, de nombreuses ruines en brique rouge contrastent avec les quelques arbres d’un vert éclatant.

Nous profitons de cette vue imprenable sur la plaine environnante. Des grandes statues blanches de Bouddha et des dagobas se détachent du paysage.

Bon à savoir: Le site parait très impressionnant vu d’en bas, mais l’ascension se fait par paliers et escaliers. En prenant son temps, elle se fait facilement.

Le parc national de Kaudulla:

Impossible de venir au Sri Lanka sans faire un safari pour observer les éléphants en liberté (et non enchainés....). Nous montons tous les deux dans une jeep et partons dans ce parc national. A peine arrivés dans ce parc, nous comptons plus d’une dizaine de jeeps qui attendent ! Pas très écolo mais nous sommes tout de même excités de voir des animaux en liberté... Au bout de quelques temps des troupeaux d’éléphants apparaissent avec des grands mâles et leurs défenses ainsi que de petits éléphanteaux.

Retour en enfance garanti, nous restons bouche bée devant ces pachydermes en liberté.

Certains frôlent les voitures à vive allure. Nous sommes dans une grande plaine ponctuée d’arbres isolés ressemblant à la savane !

Polonnaruwa:

Nous arrivons à Polonnaruwa qui a été la deuxième capitale du pays après Annuradhapura. Elle est très étendue et regorge de ruines et autres traces de cette époque (palais royaux, temples....). L’ensemble de ces monuments est réparti dans la cité ancienne, certains au bord d’un lac. Notre guide nous amène en voiture afin de découvrir chaque merveille. Il est possible de louer des vélos pour visiter ce site mais la chaleur (plus de 37°C à l’ombre) peut rendre cette balade très pénible.

Nous sommes surpris par la diversité des sites. Nous commençons par l’ancienne salle du palais royale qui est magnifique avec ses alignements de colonnes en granit et ses statues de lion.

Nous poursuivons par les piscines du palais royal tout en granit avec des gradins.

Nous finissons par d’immenses statues de Bouddha géantes, taillées dans un même rocher !

Après cette visite, nous ne résistons pas à découvrir à nouveau les pachydermes, et décidons d’aller faire une randonnée à dos d’éléphants, même si nous savons bien que les conditions de leurs détentions ne sont pas idéales...

2- Kandy et les montagnes du Centre.

Nous quittons notre chauffeur à Kandy et nous poursuivrons notre itinéraire en transports en commun.

Séjour chez Wige et Kai.

Il nous dépose chez Wige et Kai, un couple sri-lankais qui nous héberge dans leur villa, située sur les hauteurs de Kandy.

Le mari parle français et aime accueillir des touristes francophones. Kai, sa femme, nous invite dans sa cuisine pour un cour de gastronomie sri-lankaise, le fameux rice and curry. Un parfum exotique, où toutes les épices se mélangent, exalte la petite pièce. La table est dressée tel un festin: nous avons hâte de passer à table tellement nos papilles ont été éveillées.

Ce diner est un  régal et nous prenons plaisir à échanger sur nos cultures et traditions. Après celui ci, Kai nous fait essayer les tenues traditionnels: sarong et sari. Nous posons, tels deux mariés au milieu du salon...  Ce fût une soirée mémorable durant ce séjour !

La Ville de Kandy.

Nous débutons cette journée par la visite du temple de la dent, situé au bord du lac. Ce temple est une enceinte composée de plusieurs bâtiments, différents lieux de prières entièrement décorés et peints.

Il y a beaucoup de monde, autant de touristes que de locaux venus se recueillir et prier. Nous sommes tout de suite envoutés par ces volutes d’encens.

Nous visitons un premier temple, une pièce remplie de statues en bois de Bouddha où de nombreuses personnes prient à même le sol et dans tous les recoins de la grande salle. Nous poursuivons vers un temple ajouré, façonné de multiples colonnes en bois sculpté. des personnes y sont assises, flânant et discutant, c’est un lieu paisible.

Le jardin botanique de Kandy.

Nous prenons un tuk tuk motorisé (ce qui change des beccak de Java) pour nous rendre au jardin botanique, situé à 6km du centre.

Il s’agit d’un parc immense composé de multiples collections de diverses essences exotiques: palmiers, yukas, bougainvilliers, orchidées...

Au delà de la flore, nous profitons de cette faune sauvage si particulière: iguanes géants et singes en liberté. Tous les végétaux sont immenses: nous reconnaissons des plantes qui sont en pot en France alors qu’ici se sont de véritables arbres. Nous traversons l’allée des grands palmiers menant dans une vaste prairie où jouent les enfants.

Ce parc ressemble à un vrai jardin à l’anglaise !

Là au bord de cette prairie, des grands arbres abritent des milliers de chauve-souris: une ambiance impressionnante, rappelant certains films d’horreur.

Bon à savoir: l’entrée du jardin est payante (1 500 roupies pour les touristes et 50 roupies pour les locaux). Il existe un restaurant avec une grande terrasse en plein cœur de ce parc exotique.

Les jeunes sri-lankais aiment bien être pris en photo, et Nico ne tarde pas à se faire plein de copains !

Les montagnes du Centre : Nuwara Elya.

Tôt le matin nous prenons le train à la gare de Peradenya (située avant Kandy et permettant d’avoir une place assise) en direction de Nuwara Elya.

Nous prenons place dans ce train bleu en deuxième classe, avec de simples ventilateurs. Le train est bondé, de nombreux touristes sont debout dans les allées ou assis sur les marchepieds. C’est parti pour 4h30 de voyage pour parcourir une distance de 80 km ! Le train serpente entre les plantations de thé et les forêts, la vue est magnifique pour un billet qui coûte moins d’un euro par personne !

Durant tout le trajet, des marchands ambulants grimpent pour vendre des beignets, cacahuètes et fruits. Nous nous laissons tenter par ces beignets bien épicés (ou plutôt bien pimentés): un vrai délice, nous attendons avec hâte le prochain arrêt et vendeur !

Nous arrivons à Nanu Oya, la gare de Nuwara Eliya. A 1600m d’altitude, on se croirait en pleine montagne : l’air y est très frais et la pluie abondante. Les pulls sont nécessaires ! C’est une ville qui a gardé son aspect colonial et la culture anglo-saxonne. Nous visitons son jardin anglais, situé en plein centre ville, et passons devant l’hippodrome et le golf en rentrant à l’hôtel. Nous déjeunons dans un restaurant indien (le grand indian restaurant) pour changer du rice and curry.

Le lendemain matin, nous prenons la route de bonne heure vers le parc de Horton Plains pour la randonnée la plus connue, “Little World’s end” ! C’est une boucle de 3h de marche à 2 000m d’altitude par un chemin praticable et accessible. Nous avons à peine commencé à marcher que nous apercevons dans le sous bois des singes à tête pourpre. Sur les branches, de nombreux lézards à peine perceptibles simulent l’art du mimétisme tels des caméléons !

Cette randonnée mène à un point de vue surplombant une falaise à partir duquel nous admirons les montagnes environnantes. Nous poursuivons par un chemin plus escarpé qui suit la ligne des crêtes avec de nombreux précipices d’où son nom : on se sent au bout du monde !

Après cette randonnée, nous décidons de nous rendre dans une fabrique de thé (Thé Pedro à 6 km du centre ville de Nuwara Eliya ) dans laquelle nous visitons l’usine du XIXème siècle encore en activité. La guide nous présente les différentes étapes de fabrication et nous explique les divers raffinements de thé.

Après avoir dégusté, nous nous promenons quelques instants à travers les plantations de thé.

Les montagnes du Centre : Ella.

Nous reprenons le train entre Nuwara Eliya et Ella. Encore une fois, nous trouvons une place assise, mais cette fois en 3ème classe avec la population locale, histoire de s’imprégner de l’ambiance sri-lankaise, des traditions et de mieux appréhender les Sri Lankais de manière générale.

Là pas de ventilateur et les fenêtres sont délabrées. C’est un train omnibus: il met 2h30 pour parcourir 60 km ! A chaque gare, les touristes descendent du train pour se défouler, prendre des photos. Nous retrouvons ces fameux marchands ambulants, vendant ces mêmes beignets épicés ! Nous profitons du paysage qui défile devant nous. Le train traverse les plantations de thé et des forêts d’eucalyptus.

Il passe sur des ponts métalliques avec un certain bruit de ferraille peu rassurant....

A certains moments, la vue dégagée nous permet d’admirer les chaines de montagnes au loin. Nous rencontrons de nombreuses personnes marchant le long des voies. Nous finissons par arriver à Ella en fin de matinée. Là, nous sommes surpris par la température, plus élevée qu’à Nuwara Eliya.

Nous avons fait deux randonnées agréables à Ella.

Nous commençons par Little Adam’s Peak dont le départ se situe à 500m de notre Homestay. La balade débute par un large chemin au milieu des plantations de thé. Très vite nous surplombons la vallée et avons face à nous une chaine de montagnes.

Petit à petit, le chemin se rétrécit et quelques centaines de marches nous mènent au sommet. De là, à 360°, nous apercevons des montagnes de toute part. Tout nous parait grandiose; les paysages sont très diversifiés entre les plantations de thé, les falaises abruptes et les forêts. En posant sa sacoche d’appareil photo, Nicolas voit un caméléon se confondant parfaitement avec le buisson.

Nous poursuivons le chemin sur une ligne de crête et parvenons à un autre sommet. Là nous découvrons deux statues de Bouddha donnant un côté spirituel au lieu.

La deuxième balade mène au viaduc aux 9 arches (nine arches bridge) où passe la voie ferrée. le chemin débute quelques centaines de mètres après celui du Little Adam’s Peak. Nous traversons une forêt de pins et d’eucalyptus, rappelant à Nicolas le massif de l’Esterel (sans les bambous géants bien sûr). La pente s’accentue en descente et nous apercevons le viaduc en contrebas. C’est un ouvrage en courbe, entièrement en pierre, qui porte une voie ferrée encore utilisée. Nous empruntons le pont aux neufs arches.

Heureusement, les trains sont peu fréquents et circulent à faible allure. Nous poursuivons en marchant sur la voie ferrée jusqu’à la gare d’Ella.

Là, sur ces traverses, nous rencontrons de nombreux Sri-Lankais qui vont en ville.

Le lendemain, nous partons en taxi partagé, en direction de Tangalle au Sud et de ses plages de sable blanc. Nous avons préféré ce moyen de transport plutôt que les bus, des cercueils sur roue.

3- Tangalle.

Après 2h de taxi, nous arrivons à notre hôtel face à l’Océan Indien, sa plage de sable fin bordée de cocotiers. Une vraie carte postale !

Nous ne résistons pas à déambuler sur cette plage immense, et déserte !

Nous flânons et profitons du moment en sirotant des noix de coco assis sur le sable à l’ombre des palmiers.

Nous trempons nos pieds mais impossible de se baigner, tant les vagues sont énormes.

Le lendemain, au large de gros nuages noirs annoncent la mousson qui ne tardera pas à arriver sur nous.

Nous repartons le 19 août pour l’aéroport de Colombo, juste avant la mousson!

En conclusion, c’est un pays aux paysages très diversifiés où il est très facile de se déplacer. En termes d’hébergement, il faut savoir que les Homestay sont très simples, spartiates. L’hôtel de Kandy (Nature Walk Resort) a été un véritable havre de paix durant le séjour. 

[traces-ecrites]

Adaptation

Défi : 10 000 pas par jour. Tel serait l’objectif à atteindre pour se maintenir en forme, parait-il. 10 000 pas, dans nos vies modernes trop sédentaires, ce n’est pas facile à atteindre au quotidien. Aujourd’hui, en ce temps suspendu, réduit à rester chez soi, est-il possible de le relever ? Normalement, par un si beau dimanche de début de printemps, il serait inconcevable de rester à la maison. Cela aurait pu être une escapade en amoureux, un week-end à la montagne ou au moins une balade dans les sentiers de la campagne environnante.

Rien de tout ça. Il faut inventer d’autres solutions, sans franchir le portail. Même si je vivais dans un petit appartement, même s’il fallait me contenter de tourner en rond autour de la table du salon ou de faire de aller-retours dans le couloir, je continuerais de marcher. J’ai de la chance, j’habite dans une maison, entouré d’un jardin. Depuis quelques jours, il se transforme quasiment à vue d’œil, pour se remplir de fleurs et de feuilles vert tendre. Faisons donc le tour du jardin. Que de merveilles à ma porte ! J’ai de la chance. Merci la vie de me permettre d’en profiter.

Un tour du jardin, en faisant des zigzagues, ça fait entre 400 et 500 pas. Donc, si je le fais 20 fois, je devrais réussir mon défi. Je descends d’un côté, je remonte de l’autre, je tourne d’un côté, je retourne de l’autre, je contourne et je détourne. Tant de variétés de contacts sous mes pieds dans un espace limité : des graviers, de la terre, de l’herbe, du bois, de la pierre, du béton… Mes pieds sont heureux. Et moi aussi, puisque je marche !

Ami lecteur ou lectrice, prépare-toi pour un long, très long paragraphe. Si tu manques de courage, tu peux sauter directement à celui d’après. Sinon, accompagne-moi dans le tour de mon monde en 400 pas. C’est parti !

Je passe devant le grand portail qui prend la rouille, mais que je trouve beau comme ça. Je descends à gauche la rampe sur le côté de la maison, entre le grand cyprès et la haie de vieux buis décimée par la pyrale, mais reverdie par toutes les plantes grimpantes qui se servent des branches dégarnies comme de tuteurs. Sur ma gauche, le côté de la maison et ses 4 fenêtres. Sur l’appui de la fenêtre en bas à gauche, il y a toujours 3 fers à cheval rouillés. Depuis quand sont-ils là ? 5 ans ? 7 ans ? Sur ma droite, au pied de la haie, le bébé cyprès qui peut-être deviendra grand. Juste après, je passe devant la tonnelle recouverte par la glycine qui se prépare secrètement à fleurir bientôt. Je contourne le gros laurier taillé en boule, sans prendre à gauche la pente vers la cabane et le noyer. Je descends plutôt l’escalier étroit aux marches faites de tronçons de vieilles traverses de chemin de fer. En bas des marches, je tourne à gauche pour traverser la terrasse intermédiaire et rejoindre l’escalier large qui descend jusqu’à la piscine. Je contourne par la droite le grand bassin encore protégé par la bâche d’hivernage. Sera-t-il découvert le mois prochain ? Je longe la terrasse en bois jusqu’à l’olivier au feuillage argenté, puis je tourne à droite, dans l’herbe, en enjambant les taupinières et en évitant d’écraser les innombrables pâquerettes. Les taupes s’y connaissent en matière de confinement. Quels conseils donneraient-elles ? Je descends en diagonale vers l’angle inférieur droit du jardin, là où se trouve le passage pour rejoindre le jardin de mon voisin. Je contourne le portique de la balançoire, qui ne sert plus depuis longtemps. Je descends encore, jusqu’en bas du talus qui forme la limite du terrain. Impossible de descendre davantage. Je tourne à gauche, dans l’étroit passage entre le bas du talus et la haie sauvage, là où l’on entasse les déchets verts. Le terrain est accidenté, je dois regarder où je pose mes pieds. Combien faudra-t-il de passages pour que commence à se dessiner le début d’un sentier ? Je manque de justesse d’écraser une belle tige verte, bien droite, qui me fait penser à un poireau fin, ou peut-être à un oignon sauvage. Il faudra que j’interroge ma voisine qui connaît bien les plantes. Je pourrais lui téléphoner ou lui envoyer une photo, puisque je ne peux pas aller la voir. Je contourne par la droite le bouquet de noisetiers et je me faufile en remontant à gauche l’escalier étroit le long du local technique de la piscine, dont j’entends le bourdonnement discret. Me voilà de nouveau au pied de l’olivier. Mes pieds retrouvent avec plaisir le contact du bois de la terrasse. Je longe toute la longueur de la piscine, sur l’étroite bande bordée par le talus. J’avance nettement plus vite que si je nageais dans l’eau. Au bout, je tourne à gauche, à la hauteur du lilas qui se prépare à fleurir de sa belle couleur violet intense. Je passe à proximité du figuier et du massif de bambous, en marchant toujours sur la terrasse, en bois d’ipéca. Pourquoi le nom de ce bois me revient-il en tête maintenant, alors que je le cherchais sans réussir à le retrouver tout à l’heure ? Dans cette partie, beaucoup de planches ne sont plus fixées que d’un côté : elles bougent sous mes pieds, un peu comme si je marchais sur les lames d’un kalimba géant. Je tourne à gauche encore pour la longueur retour, dans la partie la plus large de la terrasse, celle qui sert de solarium, de zone d’élan pour faire des ploufs dans la piscine, d’espace pour installer mon tapis de yoga, de zone de dépôt pour le matériel d’entretien et aussi parfois, l’été, d’abri pour des essaims de guêpes. Avant la fin de la terrasse en bois, je tourne à droite pour remonter l’escalier large, puis encore à droite vers la terrasse en béton, devant la vieille cabane à l’abandon, sous le vieux noyer. Puis, c’est la pente qui remonte en travers, jusqu’à la hauteur de la maison. Sous mes pieds, le sol en béton est recouvert de lierre sur la gauche, recouvert de mousse sur la droite. Au centre, une bande grise marque l’endroit le plus emprunté. Le long de la pente, sur la droite, le long mur en béton, fissuré par endroit, est entièrement recouvert de lierre toujours vert et de vigne vierge qui s’apprête à reverdir. En haut de la pente, sur la droite, le cerisier du Japon, au sommet de sa floraison, explose de fleurs rose intense. À son pied, je tourne à droite, pour passer devant la maison. Sur la terrasse dallée de pierres, mon scooter est sagement stationné. Juste en face, au milieu du massif touffu, le magnolia déploie ses branches encore dénudées, qui ne portent pour le moment que ses grandes fleurs aux pétales soigneusement peints en dégradé du violet au rose pâle. Un peu à l’écart, au-dessus de tout cela, installé juste derrière le mur de clôture, se dresse l’immense cèdre aux reflets vert bleuté. À cet angle de la maison, je rejoins l’autre cerisier, éblouissant de fleurs blanches, qui donnera dans quelque temps des cerises qu’il faudra disputer aux oiseaux. Je prends à gauche sous le cerisier puis descends dans le grand sous-sol sous le bâtiment attenant à la maison. Au fond, la table de ping-pong est repliée, elle n’a plus servi depuis des années. Peut-être serait-il temps qu’elle reprenne du service ? Pour lui tenir compagnie dans ce vaste espace vide, une table et des chaises de jardin, un banc, un vieux canapé, une roue de voiture, une grande poubelle vide, un vieux tas de bois… Au fond, à gauche, la porte me donne accès au passage où se trouve l’escalier métallique qui remonte derrière la maison. 6 marches droites, 6 marches qui tournent, bordées par une grille en forme de soleil, 4 marches droites, demi-tour sur le petit pont, métallique lui aussi, qui rejoint la large dalle à l’arrière de la maison. Je passe entre les voitures stationnées et le mur de clôture le long de la rue. L’espace est dominé par l’immense cèdre, bien vert celui-là, tellement grand au-dessus de ma tête que j’en oublie presque sa présence. Je passe devant la petite terrasse qui précède la porte d’entrée de la maison. Encore quelques pas et me revoilà à la hauteur du portail.

Voilà, ça fait un tour. Plus que 19. Pour faire un compte-rendu fidèle de mon défi, je pourrais copier-coller le paragraphe précédent 19 fois. Cela serait long et monotone. Pourtant, en marchant, je ne me suis jamais ennuyé. Bravo si tu as pris le temps de tout lire jusque là. Et encore, ma description est sommaire, j’ai omis des tas de précisions, qui te permettraient de vraiment imaginer mon jardin, même si tu n’y as jamais mis les pieds.

Par exemple, j’ai parlé de beaucoup de fleurs, mais pas des violettes qui finissent de fleurir, des iris qui commencent, des tulipes qui ne vont pas tarder, des pissenlits, moins nombreux que les pâquerettes, mais qui se transforment en gracieuses boules de graines que le courant d’air emporte.

Par exemple, j’ai omis de raconter que le bébé cyprès n’a pas poussé là tout seul. Au début, il a germé au pied des marches de la terrasse devant la porte d’entrée, à un endroit improbable, où il n’aurait pas pu grandir correctement. Alors, je lui ai choisi un emplacement plus confortable. Mais résistera-t-il à la transplantation ? Chaque fois que je passe devant lui, je lui adresse en silence mes encouragements, je l’imagine en train de plonger ses racines sous la terre, pour prendre des forces et mieux s’élancer vers le ciel.

Par exemple, j’ai peu parlé du lierre, pourtant omniprésent, qui sans vergogne, envahit tout support immobile. Il recouvre les piquets de la rampe et les piliers du portail. Il gagne contre la vigne vierge la course à recouvrir les murs. Il s’attaque même aux troncs des arbres les plus vigoureux. À certains endroits, son manteau vert est utile et agréable. À d’autres, il faut sans relâche tenter de le contenir pour qu’il n’étouffe pas les plus faibles que lui.

Par exemple, je n’ai pas évoqué la douceur de l’air, le bleu limpide du ciel, exempt de tout nuage, déserté de toute trace d’avion. J’ai tu aussi le paysage au-delà des limites de mon jardin, le petit bois sur l’autre versant du vallon, dont les arbres sont en train de passer progressivement du gris au vert, plus loin, les entrepôts de la grande usine d’avions et les constructions denses de la Ville Rose, plus loin encore, invisibles aujourd’hui, mais que je sais être là, tout au bout de l’horizon, les montagnes des Pyrénées, où je rêve d’aller marcher bientôt.

Par exemple, j’ai détaillé ce que mes yeux voient, mais passé sous silence ce que mes oreilles entendent. Et pourtant, c’est le printemps chez les oiseaux qui s’en donnent à cœur joie, en trilles et roucoulades. Ils occupent l’espace sonore laissé libre par les bruits de moteurs. Plus de ronron des voitures qui ne circulent plus sur la route en bas du vallon. Un véhicule à moteur qui passe dans la rue ne peut passer sans qu’on le remarque. Un bruit de tondeuse dans le lointain me rappelle que, faute de pouvoir faire la même chose, mon jardin va bientôt devenir un joyeux fouillis d’herbes folles. D’autres bruits prennent la place : le bourdonnement incessant des insectes, particulièrement intense quand je passe sous le cerisier rose et sous le cerisier blanc, le glissement furtif des lézards que je fais fuir et dont je n’aperçois qu’à peine le bout de la queue, le froissement des feuilles et le craquement des brindilles sous mes pas…

Je n’ai pas raconté non plus qu’au bout de 3 tours, je me suis demandé comment j’allais faire pour ne pas perdre le compte. Et qu’au 5e tour, j’ai fait une courte pause pour boire de l’eau et pour prendre de quoi tenir à jour un compteur de tours. J’ai posé un petit verre sur l’appui de la fenêtre devant laquelle je passe à chaque tour avant de descendre l’escalier étroit en dessous de la glycine. À chaque tour, j’ai cueilli une pâquerette et je l’ai déposée dans le petit verre. J’ai maintenant un joli petit bouquet de 20 pâquerettes.

Quel intérêt à raconter tout cela ? Aucun. C’est la réponse à l’inspiration du moment, le plaisir de trouver les mots, d’enchaîner les phrases, de construire un texte, de raconter une expérience. C’est un défi d’écriture, que je relève après celui des 10 000 pas. Et l’envie, au fond de moi, de transmettre à celle ou celui qui me lira, de façon aussi contagieuse qu’un virus, l’envie de marcher.

[unsisypheheureux]

J’ai été taggué par plein de monde, alors bon, on va s’y coller.

1. Are you named after anyone ?

Pas que je sache.

2. When was the last time you cried ?

Je ne me souviens plus. Mais c’est rare, d’habitude quand ça ne va vraiment pas je hurle.

3. Do you want/have kid ?

Je vous parle souvent de mes deux démons. Enfin garçons. Maintenant est-ce que j’en veux encore... C’est plutôt mal barré mais j’aurais bien aimé avoir une fille. Marrant ça, quand j’ai réalisé que je voulais des enfants dès le début j’aurais aimé une fille et j’étais persuadé que j’aurais que des garçons. Je sais visiblement faire que ça. J’ai proposé à ma copine MJ d’échanger un de mes fils, au choix, contre sa fille, mais la mère de mes garçons est pas partante...

4. Do you use sarcasm a lot ?

Non. Plus jeune énormément, mais j’ai réalisé que c’était une manière assez désagréable d’être au monde.

5. What’s the first thing you notice about people ?

Le sourire.

6. What is your eye color ?

Tellement gris qu’on ne remarque pas toujours le bleu. Mes gosses par contre ont des yeux à tomber.

7. Scary movie or Happy ending ?

Je me fais souvent chier devant les films d’horreur. Mais je déteste la guimauve, alors plutôt un film d’horreur.

8. Any special talents ?

Le matin m’appartient. Quelque soit ma nuit, même avec plein d’alcool, je me réveille toujours tôt, et en forme. Le lever de soleil est mon spectacle préféré. J’ai des fois des baisses de moral le soir, mais le matin est toujours neuf.

Et je ne me souviens pas avoir eu une seule fois dans ma vie une panne de réveil. D’ailleurs le réveil ne doit me réveiller que 10 fois par an grand maximum.

9. Where were you born ?

Bayonne. Naissance (et conception d’ailleurs) de hasard, dont je peux remercier l’armée française pour avoir parachuté un ardennais au pays basque et le goût de mon papa pour les jolies serveuses en terrasse des bistrots.

10. What are your hobbies ?

La lecture mais c’est pas un hobby vraiment, c’est ma façon de vivre.  Tout ce qui se passe en extérieur. Etre dehors, marcher, randonner, balader, faire du vélo, à la plage, à la campagne, en montagne...  Regarder la vie, les plantes, les animaux... Travailler dehors de mes mains... Et regarder les gens. Sont souvent très agaçants mais toujours intéressants.

11. Do you have any pets ?

Mon chien. Z., la machine à tuer la plus affectueuse que je connaisse.

12. What sport do you play/have you played ?

Depuis un an je ne fais plus que courir, et pas assez régulièrement à mon goût en plus. Petit du judo l’hivers et de la natation l’été. Mes vrais sports de prédilection que j’espère trouver le temps de reprendre cette année: la boxe thaï et le krav maga. Parce qu’une journée sans baston c’est comme un jour sans soleil. Mais la course à pied... C’est vraiment un très beau sport, surtout dans les bois, en montagne... J’ai beaucoup couru, beaucoup appris sur moi en courant, beaucoup partagé, beaucoup été seul, beaucoup souffert, beaucoup aimé... 

13. How tall are you ?

1m85 je crois. Enfin ni petit ni immense quoi.

14. Favorite subject in school ?

Histoire et physique-chimie.J��ai un master en histoire et un bac S spé physique chimie d’ailleurs.

Bizarrement j’ai pris énormément de plaisir quand j’ai repris mes études en faisant des maths. Au collège aucun problème en math. Au lycée par contre j’ai eu un prof de merde en seconde et j’ai décroché complètement. 

J’avais gardé un gros complexe des maths. Alors quand j’ai vu dans l’emploi du temps qu’on allait se taper 4h de math (des stats appliquées à la métrologie) j’ai carrément flippé. Me suis retrouvé en cours. Et j’ai rien pipé. Que dalle. 4h à ne pas comprendre une putain de phrase. Je savais même pas ce que c’était une putain d’intégrale. 

Je suis sorti de là j’étais effondré. J’avais repris mes études pour plus porter des colis, je jouais ma vie, et là pour la première fois je me sentais vraiment incapable. J’ai bossé toute la nuit. J’ai repris les cours. J’ai trouvé sur le net des cours plus simples. J’ai bataillé. J’ai fait tous les exercices du TD. J’ai terminé major de promo, avec une très bonne note en math, et j’aurais jamais cru pouvoir faire ça.

15. Dream job ?

Je ne sais pas. J’adore mon métier, mais je ne ferai pas ça toute ma vie. Après, on verra. Quand le grand cirque s’arrêtera je me réinventerai, mais à faire quoi, mystère. Je l’ai déjà dit ici mais si je reste dans la vie salariale quel boulot me permettra de faire des réunions avec des actionnaires et de démarrer une usine avec les techs à 3h du mat’?

Je taggue personne, je crois que je vous ai tous vu remplir ce questionnaire à un moment ou à un autre. 

[exodia-xcx-blog]

Seul maison à l’égard de nation à trois niveaux selon Agnès & Agnès Logement (ceci plan du 2ème étage) - Alors le dernier étage en même temps que la maison. Agnès & Agnès Urbanisme Cela pays abritait déjà une âgée Bâtiment alors la nouvelle construction négatif devait pas la concurrencer, bravissimo au antithétique. Nous avons subséquemment repris la même volumétrie après la même vigoureuse bande de 50° auprès cette toiture. Près ceci reste, fadeériaux, coloris, configuration certains ouvertures, l'écriture est beaucoup plus contemporaine. Bizarre maison d’architecte à céder est bizarre luxe réservé aux non-conformistes, ceux-là qui se fient à à elles carambolage à l’égard de cœur préalablement d’appliquer certains critères davantage terre à terre. Nous-mêmes avons recouvert Selon oeuvre certaines règles basiques en compagnie de l'Urbanisme bioclimatique. Pareillement les baies vitrées ouvertes au sud après à l'orient malgré profiter vrais apports solaires, pendant qu'au Arctique et à l'ouest, les façades sont pratiquement aveugles. Unique Plaisir en même temps que lignes horizontales blanches en compagnie de panneaux en même temps que Caillou reconstituée, cadrant les colossal baies vitrées, se plie alentour du jardin, tend bizarre auvent nonobstant s'abriter du planétoïde alors revient Pendant retour en compagnie de la Repas d'été Chez belvédère sur l'entrée en compagnie de la propriété. À cette demande des propriétaires, ces architectes Antonio Morello puis Donato Savoie ont imaginé rare maison en compagnie de vacances un Selon béton de quoi l’Logement, aux lignes sobres, est soulignée à l’égard de couleurs intenses. A rare durée en même temps que Lisbonne, entourée en même temps que pinastre alors de altitude en tenant calcul, cette maison d’architecte au configuration contemporain se distingue tout Pendant s’intégrant à merveille dans le paysage. Découverte Selon diagramme. également est-elle-même chauffée ?Le capacité est presque entièrement décloisonné puis la mobilité en tenant l'air est favorisée en rare ventilation mécanique contrôlée (VMC). Cela poêceci à bosquet argent après ton formé tubulure d'évacuation des fumées dont monte jusqu'au faîtage suffit à maintenir seul température agréable. Comme ces baies vitrées ouvertes au Midi alors à l'levant nonobstant profiter des apports solaires, pendant qui'au Septentrion alors à l'Occident, ces façades sont pratiquement aveugles. facebook Twitter Pinterest agrandir 5 - Lumière agréable dans la Salle - Les fenêtres de la Mansarde sont occultées parmi seul zéphyr-planétoïde fixe à claire-voie posé en endroit et plazza à l’égard de volets roulants ou bien à l’égard de panneaux coulissants. Inspirée de ton environnement naturel, cette centenaire ferme portugaise s'est transformée Parmi maison à l’égard de rêve. Décoration épurée, pâleériaux locaux puis Stylisme tendance, complet levant bon près métamorphoser cette maison en tenant famille. Visite guidée. Un résultat économique (et esthétique) contre préserver l'intimité des propriétaire rempli Selon laissant pénétrer unique gracieux lumière dans la pièça. Vincent Gremillet Surplombant cette cité du Éminence, cette maison en tenant Grant et Jessica Rushmere est bizarre brillant concentré de transparences, en même temps que couleurs considéré, en tenant mélanges Heurt et en tenant domestique caractère. Do'est dans cette splendide villa en tenant Palm Springs en tenant 1954 que Kirk Douglas, son épouse ensuite ses quatre menus ont vécu pendant plus en même temps que 42 année. Initialement construite dans l'architecte moderniste Donald Wexler pour ceci richissime businessman Robert Howard, Kirk Douglas Selon fit l'achat, à la résultat assurés années 50, malgré se poser reculé du tumulte d'Hollywood.a

Seul petit connaissance brocante règne sur cette maison en tenant cette styliste britannique Jo Willer. Située au mitan avec Londres, la résidence familiale, construite à partir d'unique Lorsqueâtiments de logement, a des allures en même temps que Toit anglais. Le sol abritait déjà un centenaire grange alors cette nouvelle bâtiment ne devait pas cette concurrencer, parfaitement au contraire. Nous avons après repris cette même volumétrie ensuite la même vigoureuse inclinaison de 50° malgré la toiture. Pour ceci reste, délavéériaux, coloris, forme des accès, l'écriture levant beaucoup plus contemporaine. La maison se compose avec nombreuses chambres (demi-douzaine!), avec à peu près pareillement à l’égard de pièces à respirer et à l’égard de terrasse. C'orient entier l'année dont l'on pourrait respirer dans cette maison en même temps que vacances exceptionnelle.

Ceci paire formé chez l’architecte argentin Alejandro Sticotti après la créatrice Mercedes Hernaez a fait surgir bizarre maison faite à l’égard de Sinonéton ensuite bois au utœur d’bizarre végétation presque tropicale. Rare maison contemporaine à l'Urbanisme rigoureuse néanmoins à l’atmosphère chaleureuse. Dans ce Mairais, l'architecte DESA Camille Hermand a récupéré l'appartement dont se libérait supériorité avec ses bureaux près s'chez établir en compagnie de à elle peuplade. Dans ces 75 m2, elle-même aménage les 3 chambres dont'elle souhaitait oui, exploitant les privilège d'unique duplex sans Pendant détenir l'mine. Visite. Connaisseur d'Logement ensuite en même temps que décoration, vous-même n'avez marche pu excéder à doôté d'rare tendance majeure qui transforme À nous extérieurs autant que À nous intérieurs : cette tendance " naturelle ". [...] Chez Archiboom Nous-mêmes ces utiliserons également, par-dessous réserve sûrs fleur souscrites, à certains terminaison avec ciblage publicitaire puis à l’égard de prospection commerciale au sein à l’égard de à nous Groupe, or qu’avec nos partenaires commerciaux. Toi-même disposez à entier moment d’bizarre tendu d'accès, en compagnie de rectification, en même temps que suppression alors d’opposition relativement aux données vous-même concernant dans les limites prévision parmi cette droit.Vous-même pouvez également à entier soudain revoir vos options en matière avec prospection commerciale alors avec ciblage. Ces droits peuvent être exercés à entier imminent en écrivant à l'Dextérité DPO_proprietes@figarocms.fr.

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[la-bucolie]

La saveur de la vase

Je ne sais pas si j'en ai déjà parlé : le jus de mangue et la vase entre les roches. C'était à Erbalunga - les gens disaient "erbalongue" -, sur la terrasse en bois, un petit déjeuner banal. J'ai goûté le jus de mangue, juste une goutte pâteuse au fond de mon verre, et après la déglutition, est apparu le fantôme d'une saveur inédite. La vase, jamais léchée encore, entre les dalles chaudes et glissantes. Des cataractes d'eau salée sur mes pieds, la touffeur, la possibilité d'un orage. Le goût de la vase, c'était ça, la même teneur en sel, le même érotisme iodé qui attirait les guêpes aux endroits les plus bizarres. J'ai ouvert grand les yeux sur le dépôt gluant et orange au fond de mon verre. J'ai emmagasiné l'information ; une nouvelle expérience pluriperceptive s'inscrivait dans mon registre de sensations corses.

[cabinetlevytahiti]

A vendre grande maison en bois type F4 à Papara (Accès facile – 5 Minutes du centre) A vendre grande maison en bois type F4 à Papara (Accès facile – 5 Minutes du centre) Une maison d’habitation sur pilotis et sur dalle béton, murs en dur et en grande partie en bois, sol carrelé et parquet en grande partie, toiture en tôles nervurées sur charpente bois, d’une superficie de 162 m2 habitable, comprenant: Salon, salle à manger/ cuisine, avec 3 Chambres dont une avec bureau, une salle d’eau avec WC + une 2ème salle d’eau + Buanderie d’une superficie de 5,96 m2 et WC extérieur + Terrasse couverte d’une superficie de 28 m2. + Garage d’une superficie de 55,84 m2 + Atelier d’une superficie 16,83 m2 (Charpente et couverture à rénover) Sur un beau terrain clos de 1050M2 arboré et planté avec portail automatique. (piscinable) -Maison construite en 1976, avec des extensions réalisées au cours des années, nécessitant quelques travaux de rénovation. . CHARGES: Pas de charges de lotissement -Impôt foncier: 47 520 XPF -Eau: 22 000 XPF et Ordures ménagères: 15 000 XPF . – Maison avec de beaux volumes à exploiter – Idéal grande famille – Bonne situation, proche centre Papara et de toutes commodités. PRIX: 42 500 000 XPF Cabinet LEVY – Olivier – Tel: 89 22 56 43