#tellurique
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atypeekmusic · 1 year ago
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Kill The Thrill - Tellurique [FULL ALBUM] ☆☆☆☆☆
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esoterique-fr · 1 year ago
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Comment expliquer la Geobiologie?
La geobiologie ne se limite pas à une simple discipline, mais elle représente une exploration passionnante des interactions entre les phénomènes telluriques et électromagnétiques et leur influence sur notre bien-être. Cet article vous guidera à travers la discipline intrigante de la geobiologie, en expliquant ses fondements et en mettant en lumière son rôle bénéfique pour votre qualité de…
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jamesusilljournal · 1 month ago
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Tellurique, Olivier Zed, 2024
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human-antithesis · 17 days ago
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Nuit de Walpurgis
Auprès du Prince contemple maintenant du Grand Sabbat le rituel. Et y vois surgir l'expression même de la Vie.
Des soubresauts telluriques accompagnent un coït unitaire en une cacophonie blasphématoire.
La magnificence des perversions souille a jamais ce qui fut consacré.
La Nature enfin consommée, se voit glorifiée, et la lune engrossée.
Tombé devant leur sénescente beauté, je saigne a grandes eaux les orifices meurtris des sœurs de la Nuit.
D'entre les jambes d'une vierge je vois naitre l’hérésie de conception, la Nature incarnée en son exception, et tout autour les humeurs de la Terre se répandre.
Léonard surmonte l'ardeur paroxystique de cette congrégation.
Du Prince contemple ainsi un des aspects lors sur moi oublié, de l’avènement de la chair en cette nuit éclairée, découvre mes pulsions réincarnées.
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unsubconscious · 1 year ago
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Benjamin Ottoz, "Tellurique # 5" Stone and spray paint, 30 x 49 x 9 cm
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aurevoirmonty · 7 months ago
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Adolf Hitler pensait que l'univers était régi par des lois naturelles, et que pour que l'homme soit heureux et réussisse, il devait d'abord reconnaître que ces lois existent ; deuxièmement, il devait découvrir quelles étaient ces lois ; et troisièmement, il devait vivre en conformité avec elles.
Martin Kerr
En ce 20 avril, voici 135 ans que la Vengeance céleste s'est manifestée en cet âge crépusculaire en la personne de notre Führer en vue d'opposer un dernier combat eschatologique contre le peuple de la vengeance égotique — ténébreuse, tellurique, pleine de ressentiment envers le Noble — incarnée sous les traits repoussants et torturés du Juif.
79 ans après la fin de la guerre, le combat continue et l'arrogance de la race maudite est sur le point de lui être fatal.
Hommes de noblesse et de liberté, tenez-bon !
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jimbojim997 · 1 year ago
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Today I Learned: French Words & Expressions
stèle (f) – stone tablet, memorial stele
Il y a une stèle commémorative là où tomba l’avion.
arqué – arched
Les bébés ont naturellement les jambes arquées jusqu’à leurs trois ans.
convive (m/f) – guest
Les convives discutaient joyeusement autour de la table.
immondice (f) – (formal) filth, foul matter
Merci de débarrasser le trottoir de ce tas d’immondices !
voie (f) de la facilité – path of least resistance
affabuler – to plot, dream up (a plot)
L’auteur a mis deux jours pour affabuler son nouveau polar.
s’enliser – to sink, get stuck
Le tracteur est allé aider une voiture qui s’était enlisée dans la boue.
jupitérien – Jovian
éphéméride (m) – block calendar, tear-off calendar
bouclier (m) – shield
Les légionnaires romains portaient des boucliers rectangulaires.
tellurique – telluric, terrestrial
Le courant tellurique est un courant qui circule dans la croûte terrestre.
remue-ménage (m) – commotion, agitation, fuss, pandemonium, upheaval
Qu’est-ce que c’est que ce remue-ménage ? Tout est en désordre.
saccadé – jerky
La rotation de cette roue dentée est saccadée.
rodage (m) – setting up, establishment, trial period
Le rodage du nouveau service informatique se termine.
réticule (m) – (historic) reticule, drawstring bag/pouch
Les réticules étaient très à la mode sous le Directoire.
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de-gueules-au-lion-d-or · 2 years ago
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Si l'on s'intéresse aux causes lointaines, la guerre d'Indochine n'a pas commencé en 1945, mais trois siècles plus tôt, en 1625, quand débarque au Vietnam un jésuite français, le R.P. Alexandre de Rhodes. À sa façon, cet homme remarquable est un conquérant, comme ses confrères qui entreprennent à la même époque une tâche analogue au Japon et en Chine. S'emparer des esprits n'est pas la moindre des conquêtes. Ces missionnaires s'inscrivent dans le grand mouvement d'expansion occidentale qui a commencé au siècle précédent. La propagation d'une religion radicalement étrangère à la tradition d'un pays de très ancienne civilisation, provoquera au fil du temps des réactions de défense immunitaire. Elles seront d'autant plus vives que, dans le sillage des missionnaires, accostent des commerçants aux dents longues, des marins et des soldats. En dehors d'exceptions, les colonisateurs sont aussi universalistes dans leurs desseins que les Américains d'aujourd'hui, convaincus qu'ils sont d'apporter “la civilisation et le progrès” pour le bien de tous. Ainsi débute l'histoire équivoque de la colonisation qui, pour l'Indochine, ne devient effective qu'à partir de 1858.
Après coup, quand viendra l'énorme lame de fond du reflux européen, il sera facile de juger le passé avec sévérité et de se livrer aux délices de l'auto-culpabilisation. L'anticolonialisme dressera le tableau le plus noir du passé, provoquant des ripostes qui flatteront les réussites en masquant les ombres. Polémiques stériles. En Indochine et ailleurs, l'aventure coloniale de la France n'avait été qu'un moment particulier du grand mouvement d'expansion qui jeta les Européens sur toutes les routes du monde, véritable mouvement tellurique, au même titre que les grandes invasions, les changements climatiques ou les effets des révolutions techniques. La faiblesse attire la force comme le vide attire le plein, et personne n'y peut rien.
Au XIXe siècle, face à l'envahissante supériorité technique et matérielle de l'Europe et des États-Unis, si elles voulaient survivre sans être dominées, les autres nations, notamment en Asie, étaient contraintes de s'occidentaliser, donc de se renier. Défi gigantesque et souvent mortel auquel le Japon a été le seul à répondre par ses propres moyens. Ce fut une formidable révolution que celle de l'ère Meiji, conduite par la caste militaire des samouraïs, mais révolution réussie puisqu'elle est parvenue à préserver une part réelle de la tradition japonaise au sein de la modernité. L'Inde constitue un cas à part dans la mesure où la colonisation britannique, n'ayant pas eu un effet de “table rase”, a laissé subsister une part notable de la tradition hindoue enracinée dans le système des castes. Pour la Chine et le Vietnam, il n'en fut pas de même. La modernité leur fut imposée de l'extérieur, par l'adoption de systèmes spirituels étrangers, destructeurs de leur tradition spécifique. En Chine, ce fut le rôle du communisme, système mental et social issu des pathologies européennes. Quant au Vietnam, il subit d'abord l'acculturation de la colonisation française, et fut laminé ensuite, comme la Chine, par le communisme qui sut exploiter à son profit un puissant éveil nationaliste.
Après 1945, le reflux fut plus ou moins intelligemment conduit. Les Britanniques, dont l'empire était beaucoup plus vaste que celui de la France, ont su réaliser leur retrait le moins mal possible pour eux-mêmes. On ne peut en dire autant des Français. Au Vietnam, l'aveuglement de tous les gouvernements, depuis 1945, a conduit à une guerre cruelle que le pouvoir politique refusait d'assumer tout en s'y soumettant. Ne furent grands que les combattants. Alors que la société politique de l'époque n'inspire que mépris et dégoût, les soldats furent souvent admirables. C'est en eux que se maintenait l'âme d'un pays veule et assoupi.
Dans les derniers jours de la bataille de Dien Bien Phu, alors que tout était perdu, 1.520 volontaires dont 680 non parachutistes se présentèrent pour sauter dans la fournaise. Parmi eux, des plantons et des secrétaires. Pourquoi ont-ils fait cela ? Pour les copains, par enthousiasme sacrificiel, par une sorte d'espérance tragique. Dans les heures noires comme dans les autres, souvenez-vous de ceux-là. Ils incitent à se tenir debout.
Dominique Venner
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raisongardee · 1 year ago
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"[…] le monde de la tradition a interprété la vie comme une lutte permanente entre des puissances métaphysiques : forces ouraniennes de la lumière et de l’ordre, d’une part, forces obscures, telluriques, du chaos et de la matière, d’autre part. Cette lutte, l’homme traditionnel devait la mener et la gagner sur les deux plans, intérieur et extérieur. On considérait comme vraie et juste sur le plan extérieur, la guerre qui reproduisait, en la transposant, la lutte intérieure qu’il convenait de mener : lutte contre les forces et les êtres présentant, dans le monde extérieur, les mêmes caractères que les puissances qui, chez l’individu, doivent être soumises et dominées intérieurement jusqu’à l’accomplissement d’une pax triumphalis. Il en résulte que l’idée guerrière rejoint celle d’une certaine ascèse, d’une discipline interne et d’une certaine supériorité par rapport à soi, ou contrôle de soi, que l’on retrouve, à divers degrés, dans les meilleures traditions guerrières et qui subsiste sur le plan militaire stricto sensu, avec l’authentique valeur d’une culture au sens anti-intellectualiste de formation et de maîtrise de soi. Contrairement aux dires de la polémique bourgeoise et libérale, l’idée guerrière ne se ramène pas à un matérialisme, n’est pas synonyme d’exaltation d’un usage brutal de la force et de violence destructrice ; la formation calme, consciente et maîtrisée de l’être intérieur et du comportement, l’amour de la distance, la hiérarchie, l’ordre, la faculté de subordonner l’élément passionnel et individualiste de soi-même à des principes et à des fins supérieures, surtout sous le signe de l’honneur et du devoir, sont des éléments essentiels de cette idée et le fondement d’un "style" précis qui devait se perdre en grande partie quand, à des Etats considérés comme "militaristes", où tout cela correspondait à une longue et sévère tradition, presque de caste, se substituèrent des démocraties nationalistes, où le devoir du service militaire remplaça le droit aux armes."
Julius Evola, Les hommes au milieu des ruines, trad. Gérard Boulanger, 1953.
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patatedestenebres · 1 year ago
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Damaskus, la Cité aux larmes de feu
(Cité) Le peuple nexo-planaire des damask’uun semble s’être développé spontanément à la création du Chapelet tellurique, répondant à un besoin, probablement inconscient, des anciens collectifs N’uru’N. Sans passé mais animés par de puissantes émotions, les Premiers fondèrent la cité de Damaskus sur une grande mer de magma en fusion, bâtissant de grandes tours spiralées selon les directives des…
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Entre Mars et Jupiter se trouve un astéroïde unique et riche en métaux nommé Psyché. Psyché est spécial car il semble qu'il fasse partie ou la totalité de l'intérieur métallique d'un planétésimal, l'un des premiers éléments constitutifs planétaires de notre système solaire. Pour la première fois, nous avons la chance de visiter un noyau planétaire et éventuellement d’en apprendre davantage sur l’histoire mouvementée qui a créé les planètes telluriques.
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lupitovi · 2 years ago
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Le coup d'un soir où la rencontre des corps n'a rien du coup porté mais nous transporte vers là d'où l'on est arrivé Effarant décalage des corps et des âmes où la douceur de la caresse n'a d'égal inversé que la rugosité du palais Quand le reste s'en mêle l'impalpable l'insaisissable l'inexplicable qu'on emballe en un joli mot ne jamais le dé-cor-tiquer au risque de l'abîmer Pourquoi cet homme que tu glisserais volontiers dans ton lit mais pas à ta table ou l'inverse cet autre dont la seule main sur ton épaule te fait hérisser le poil D'où viennent les aimants ceux qui s'attirent Forces telluriques
Thérèse Bardenaine - Corps à cœur
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nordiamus · 1 year ago
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Les Civilisations Paléomagos
La découverte pour les humains du monde magique suite à l’��vénement de Stonehenge ne fut pas le seul choc majeur qui suivit l’Éveil de la Magie.
Les multiples barrières de dissimulations tombées révélèrent également les Mers, que même les magus avaient oubliés… mais surtout de multiples ruines à travers le monde, prédatant toutes les civilisations connues!
Ces ruines, il s’avéra vite, étaient les vestiges des civilisations Paléomagos, peuples d’Homo Magicus vivant durant le Mésolitique, et ayant disparu au Néolithique.
Ces civilisations faisaient toutes un grand usage de magie, à un niveau équivalent, voire parfois supérieur au niveau de connaissance et de maîtrise de la magie actuel, et même un niveau technique et culturel proche des Homo Sapiens durant l’Antiquité. De plus, l’usage de magie fait que ces civilisations pouvaient voyager et communiquer à travers le monde avec une facilité qui ne sera plus vue jusqu’à la Révolution Industrielle. Même si on avait perdu tout souvenir d’elles, ces civilisations avaient clairement laissé leur trace dans l’Histoire, puisqu’on trouve encore, des millénaires après leur disparition, des vestiges de leur culture dans les civilisations humaines ayant suivi.
Liste des Civilisations Paléomagos:
Agartha
localisation : Ouest Asie, principalement dans l’Himalaya jusqu’en Inde et au Népal mais également jusqu’en Mongolie et en Ouzbékistan langue : Samskrtam Agarthan écriture : Siddham Agarthan style architectural : rappelant des temples hindous Il s’agit d’une civilisation presque entièrement souterraine, si bien que les ruines auxquels on a pu avoir accès sont très bien préservées. En contrepartie, la découverte et l’accès à ces ruines est parmi les plus compliqués.
Les Agarthans étaient un peuple vivant relativement isolé, ne faisant que peu de commerce, et très spirituel, cherchant à se rapprocher toujours plus de l’essence de la magie. C’est probablement pour cela qu’ils vivaient sous terre, cherchant à se rapprocher plus des points telluriques où la magie était la plus puissante, mais aussi la plus instable. Leur utilisation de la magie s’appuyait largement sur les gemmes taillées, faisant de leurs zones magiques des œuvres d’art étincelantes.
Avalon
localisation : Europe du Nord-Ouest, de l’Islande à la Bretagne et de l’Irlande jusqu’en Suède langue : Gaelg Avalonan écriture : Ogham Avalonan style architectural : rappelant du celte et viking Les Avalonans était un peuple très spirituel, mais ouvert aux autres cultures dans son ensemble. Religieux, la divinité principale de leur panthéon était une déesse de la Magie et de la Flore. Ils construisaient donc énormément en symbiose avec la nature. Leurs ruines ne sont pas faciles à trouver, car les constructions les plus durables sont enfouies pour se rapprocher des lignes telluriques, tandis que le reste était fait pour être difficilement différenciable de la nature. Des recherches à Stonehenge ont révélé que le site avait été bâti au-dessus d’une place religieuse Avalonane, d’où l’Événement de Stonehenge a probablement été déclenché d’une manière ou d’une autre… Les écrits à travers le monde semblent s’accorder pour dire que les Avalonans étaient un peuple ayant un don pour la Divination inné.
Atlantis
localisation : Bassin méditerranéen langue : Ellinika Atlantida écriture : Alfavito Atlantida style architectural : rappelant du style gréco-romain antique Peu de ruines ont pour l’instant été explorés, car cette civilisation possédait probablement les barrières les plus sophistiquées, difficiles à désarmer et dangereuses à forcer. Des rares ruines ouvertes, il est clair qu’ils sont l’influence principale derrière l’architecture gréco-romaine. Ils paraissaient avoir une approche quasi scientifique de la magie, n’ayant quasiment aucune notion de religion et étaient très commerçants. Ils ont probablement créé les fondamentaux de l’Arithmancie.
Hyperborea
localisation : de la Suède jusqu’en Corée, couvrant principalement la Russie et l’Europe de l’Est langue : Hyperboroi Yazik écriture : Cyril Hyperboreal style architectural : rappelant les fort militaires XVIIe siècle C’était un peuple martial, très ordonné, voyant plutôt d’un mauvais œil ceux s’intéressant de trop près aux lignes et points telluriques, car ils étaient considérés comme trop dangereux, puisque la magie environnante en est plus puissante, mais surtout plus instable. Ils commerçaient assez peu et ont provoqué des conflits avec la plupart de leurs voisins. Les rares ruines identifiées pour l’instant étaient toutes des forts, massivement fortifiés aussi bien magicalement que physiquement, ayant probablement inspiré les premiers châteaux au Moyen Âge et confirmant leur côté très belliqueux.
Iram
localisation : Moyen-Orient, de la Turquie à l’Éthiopie, de la Libye au Pakistan langue : Iram-Gi écriture : Cuneis Irami style architectural : rappelant Pétra et les villes troglodytes Tout aussi commerçants que leurs voisins Atlantes, les Iramis avaient en revanche une approche bien plus artistique de la magie, et sont ceux qui ont laissé le plus de recueils écrits de l’époque dans leurs ruines. En outre, la désertification de la région a enfoui nombre de ruines, les rendant difficiles à retrouver. C’était un peuple troglodyte, rendant leurs ruines d’autant plus délicates à retrouver, mais le travail fait dans les montagnes et autres ravins où on a retrouvé leurs traces est absolument époustouflant.
Lemurie
localisation : Sub-Sahara et Océan Indien langue : Al’Lemuria écriture : Abjad’ Lemuria style architectural : navires de tous types
On ne sait que peu de choses des Lemures, car très peu de ruines ont été retrouvées. Cependant, tout indique que c’était un peuple de marins, très doué en astronomie et vivant plus en mer qu’à terre, leurs navires ayant été de vraies villes flottantes. Malheureusement, cette vie sur l’eau fait que presque tout a été perdu de leur civilisation, à l’exception de quelques restes très dégradés par le temps. Cependant, les rumerus veulent qu’il existe encore certains de leurs navires, si bien protégés qu’ils n’ont pas encore été retrouvés, et que ce seraient eux qui sont à l’origine de la plupart des légendes de navires fantômes.
Mu
Localisation : Amérique du Nord, mais également Nouvelle-Zélande et Australie langue : Tjukurrpa-Kapi écriture : Tjukurrpa-Waru style architectural : rappelant les ruines Incas
Ayant entretenu des liens étroits avec les Avalonans, le peuple de Mu avait une civilisation similaire, mais donnant la part belle à la Faune plutôt qu’à la Flore, et que leurs temples n’étaient pas sous terre mais au cœur des montagnes. Il est fort probable que les premiers Bestiamihis viennent de cette civilisation.
Tiwanaku
localisation : Amérique du Sud et Centrale langue : Tsagali Mu écriture : Sequoyah Mu style architectural : rappelant les ruines mayas C’est le seul peuple dont des ruines ont été découvertes avant même l’Événement de Stonehenge, bien que, bien entendu, personne à l’époque n’ait cru à la datation qui paraissait fantaisiste des lieux. C’est peut-être le peuple le plus différent, cherchant au contraire à s’élever vers les cieux en s’établissant sur de hauts plateaux montagneux plutôt qu’à vivre sous terre comme le faisaient nombre de leurs contemporains. Ils pratiquaient énormément la magie rituelle, et sont l’exemple typique que l’on donne pour prévenir des dangers de la magie noire : on pense en effet que cette civilisation s’est écroulée avant les autres suite à une pratique trop intensive de rituels dangereux, ayant rendu une bonne partie de leur civilisation folle ou corrompue.
Yamatai
localisation : Japon, Chine et Asie du Sud-Est langue : Yamatai Guo écriture : Kan Yamatai style architectural : rappelant les châteaux japonais Cette civilisation était probablement la plus isolationniste, n’ayant quasiment pas de liens avec les autres peuples de l’époque et se contentant de commerce interne. Ils avaient une bonne maîtrise des rituels, et des lois très strictes à ce sujet pour éviter les cas de corruption et de folie.
C’était également un peuple spirituel, respectueux de la magie qu’ils possédaient et tout à fait conscient de sa dangerosité. Là encore, leur architecture a été adoptée, d’abord part les Youkais, puis par les populations non magiques de la région bien plus tard.
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soul-and-blues · 1 year ago
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Des rencontres fortuites tentations telluriques je les capte d'une main sûre projette le meilleur au coeur de l'arbre au centre du ventre respirations concentrées aimer est peut-être ce dont il s'agit Tony Tremblay
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thomariviere · 2 years ago
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EN TRAVAUX
Atelier d’écriture A5
(mars 2023)
Le temps ne révélera rien (mais ça je te l’avais bien dit) Le temps sait seulement le prix qu’il faut payer. Si je savais ces choses, je serais venu te le dire.
Pour lancer l’atelier j’ai tenu à partager en trad simultanée non fixée if I could tell you de AUDEN (sa première strophe est ci-dessus).
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Suavement, ce python-arc-en-ciel glisse entre les boyaux mêles de mon cerveau. Depuis —me semble-t-il— que je tente de m’extraire et de fermer la lourde pierre sur l’entrée du Nyihl. Depuis que je retrouve du regard ces quelques taches de soleils disséminées ça et là près de l’entrée de la grotte.
Traduction en direct (même si informellement préparée durant la semaine) car les maladresses, les hésitations, ce me semble, témoignent incontestables son enracinement profond et sa symbiose mouvante à l’intérieur de moi ; et puis comment d’autre que maladroitement pourrait-on transposer la troublante évidence du ressassement poétique de l’auteur.
Consigne de l’atelier (élaborée collégialement) chacun pose un mot sur un tit bout de papier. on les lit. Notre texte doit en utiliser 3, avoir pour thème le 4e (sans l’inclure) et commencer et terminer par le 5e.
Les mots : Dysmorphie / assommé / le temps / cockring /miroir miroir on the wall…
Miroir, miroir, insaisissable jumeau, tu sais pertinemment le prix qu’il faut payer.
(dit-il)
Un temps.
Miroir ô mon miroir, toi qui n’es que silence, tu sais aussi que le temps vient toujours solder ses comptes.
Miroir—Ah miroir, supplicié sur mon mur, je connais ta devise : plus on sait plus on sent, plus on ne peut parler. Plus on ne parle plus.
Et comme je suis bavard… comme je parle sans cesse. peut-être plus que jamais…
Plantés, droits. Immobiles. L’un en face de l’autre. Attendant…
Pauvre image échouée dans ce lieu vitrifié, mon miroir et mon âme, tu agites bien haut cet air indifférent. Mais je connais tes yeux, chacun des millimètres, je connais ton sourire et j’ai vu dans ton cœur. Cet air n’est qu’un déni, une pirouette charmante. Pour mettre un paravent devant l’angoisse qui te secoue. Je ne suis pas idiot. Bien sûr que tu étouffes dans ce cadre étriqué qui te coince et te blesse de ses bords écorchés. Bien sûr que tu envies l’ivrogne liberté dans laquelle je m’ébats, l’étendue foisonnante de mon monde débordé.
Et pourtant ô Miroir, comme c’est chevaleresque, tu cherches à m’apaiser. Mais pourquoi–Comment puis-je m’apitoyer. Tout ce que je suis dans cet instant précis, c’est mon faire et ma volonté. J’ai parcouru la route, atteint l’extrémité. L’ai choisie, oui, moi seul, le sillon obscurci qui se tort et frétille, qui entaille et entrave de son trait tellurique les entrailles trouées de la croûte terrestre.
Une larme orpheline, comme une clandestine s’élance irrésolue à travers un océan de joue.
Pourtant, foutu miroir, je suis tétanisé. Appesanti par ce dont je suis capable mais plus encore je crois par tout ce dont je sais être parfaitement incapable.
Miroir, oui toi, mon vaillant naufragé, me diras-tu enfin ce secret enterré dessous les fondations au fond de la forêt par-delà les étoiles. Celui-là, essentiel, que tu as effacé. Que tu gardes sauvage. Pourquoi me le cacher. Ne mesures-tu donc pas le montant exorbitant qu’il nous faudra payer.
N’ouvre pas ces grands yeux. ô mon vieux compagnon. Rebel indifférent.
Si peu nous sépare. Tu es accroché… je suis écorché. (tu vois seuls 2 petits phonèmes un tit peu dissipés). Toi, tu Es échoué. Dans ce lieu déréalisé. Et moi j’y suis venu parce que j’AI échoué… là-bas, dans le monde tgv, celui des autres (juste un auxiliaire ayant renversé l’autre).
Le prix …
Le prix reste toujours le même. Immuable depuis… depuis les origines. Celui là que jadis Adam a dû payé. Et lucie également. Et nous tous après eux.
Un prix assourdissant. Vertigineux. Quoi qu’il ne coûte rien. Pas un de nos deniers humains. Prix qui éclipse … Tout. Aucune de nos calculatrice n’a assez de mémoire pour faire tenir l’indicible total de l’addition finale.
Leurs regards se touchent. S’effleurent. Hésitent. Se tressent. Pénétrant. Comme deux lutteurs. L’un calme l’autre bouillant. L’un avisé l’autre épuisé.
Le miroir est malin. Il préfère garder ses distances. Au cas où. … si c’était contagieux.
La double forme optue s’impatiente à moitié. Son corps frisonne. Alors que les deux tours anémiques menacent de s’effondrer, le laissant exsangue doublement à genoux.
Il force sa main à s’avancer tremblante vers la main magnanime qui, fluide et flottante, volute à sa rencontre. Cette main redoublée qu’il peine à reconnaître. Malgré l’imitation presque sans défaut de ses vibrances les plus tenues et de la panoplie ample de ses inexpressions.
Pourquoi là face à toi, …? Que viens je donc chercher que je ne sais déjà.
Quelle question pertinente, mon cher. oui Pourquoi en effet? (Et toujours ce sourire.). Pourquoi … Tu Es Là (Ou est-ce, peut-être, mon sourire à moi). L’amertume mousseuse s’amuse à se dissoudre dans le sable mouillé. L’amorce d’un sourire. Cette fois oui c’est bien le mien. Faiblement. Écho de son écho. Au-dessus tournoient tout un essaim de questions que multiplient les siennes. Un nœud de möbius. Je réfléchis mon reflet qui réfléchit ma vie dans ce grand miroir. Derrière moi, derrière lui derrière mon reflet, un noir pénétrant. Le noir absolu et invisible où n’existe plus rien.
C’est donc elle. La fameuse. La porte de perles (comme l’a nommée Thom Yorke). Elle me toise. Dubitative. Un peu renfrognée. Elle exècre les esclandres. Elle en a vu bien d’autre. Elle les connaît à l’envers à l’endroit, les salves de questions ineptes qui n’ont de réponses (si ce n’est de tirer sur l’élastisme usé du moment), il connaît les regards qui s’aveuglent, la bravoure qui pleurniche, l’indécision assomante et la panique chevillée comme une sauvageonne.
C’est elle, la porte sacrée qu’il est interdit de contempler en pied. Elle est là. Tout près de moi. Mes yeux plonge dans la trouée étroite pour apercevoir … —— . Il n’y a rien à apercevoir.
Là, à mes pied, la ligne d’arrivée. Et aussitôt ——. Ce … qui n’a pas de nom. Vacuum anomalique.
La bouche architecturale me surveille, menaçante et avide. C’est la plaie sans remède. Avec ses crocs de glace et son regard carié. Le péage infranchi (on ne s’en acquitte pas avec notre argent ; chacun doit improviser et trouver comment s’en débrouiller, se peut-il qu’il s’agisse pour moi d’une bulle d’air que l’on envoie jouer avec une bande de globules?)
Est-il vraiment possible de la désirer la Fin de la partie… l’exiger. Se lever de la table où tous veulent prendre place. Arrêter de jouer, peut-être pour pouvoir enfin écrire son propre nom, sa propre décision, agir et ne plus subir.
Ne plus souffrir.
Je laisse au miroir le soin de réfléchir. Réfléchir m’asphyxie. Je n’en peux plus je m’y refuse. J’ausculte le carcan, ses bords rugues ouvragés m’évoque évidemment les deux arbres de Yeats. C’est lui le cadre millénaire fabriqué bien au-delà des temps tandis que dieu dormait par des esprits perfides, ce cadre mortifère qu’avec une bile habile, les démons nous soulèvent juste devant les yeux. Ce cadre façonné d’os de sable et de thé, son teint aluminium lissée dans la morve bouillante du magma volcanique.
La voilà donc, la virgule vinaigre au-delà de laquelle tout solide redevient un symbole. La transition qui— vers—
Miroir dis-je… dit-il… disons-nous dis-tu… miroir…
Le cockring se met à vibrer. Instamment m’absorbe par le gland et me jette dans les ouates exaltées des moiteurs idéales.
Il veut jouir.
Je veux jouer.
Je veux jouir et jouer.
Je veux ce vibrement qui résorbe le temps.
Qui absout la pensée.
Je veux jouer, oui je veux … rêver, danser, jouer.
Et je veux m’écrier.
M’écrire me dessiner.
Me dire mordre et hurler de toutes mes couleurs
que je SUIS que je vis,
et que oui j’ai bien failli aller.
(OÙ?)
là exactement au même endroit mais de l’autre côté.
De l’âme.
parce rien ne restait.
Plus.
Rien ne me retenait.
La fatigue absolue, l’ombre incommensurable, la guerre qui détruit tout.
Et le marteau têtu qui tient tout mon espace, il tape à coup d’enclume…
que ‘Rien’ vaut mieux que ces mois passés.
Je veux hurler hurler que oui
OUI que je suis vivant,
que j’ai failli mourir,
que j’ai eu 50 ans et que je n’ai plus rien.
J’ai tout perdu Tout, dans l’en dedans de moi.
Il ne reste plus rien.
et que j’ai beau chercher, fouiller
et farfouiller creuser des lèvres et des yeux la vase malodorante…
je ne retrouve pas. Rien.
Rien rien je ne trouve rien du tout à quoi me retenir.
Rien d’autre que ce grand moribond vétuste qui s’estompe juste là
face à moi.
Ce moi qui s’est réfugié dans ce monde sans poids,
ce monde transit où l’on doit venir seul.
Il n’y a que moi ici. ma queue gonflée, ma turgescence fidèle qui tente de m’offrir les derniers reliquats d’un plaisir de moins en moins convaincant. De moins en moins convaincu. Mon champignon mâtin.
C’est à peu près la seule chose qui semblait intéresser en moi.
Rude, à la longue, d’être relégué sans cesse aux performances sanguines des cavités spongieuses. Aux exploits de mon mat (même pour un thomas).
Le cockring trépide comme un idiot, vibre en accélérant. Rapidement le membre dégonfle. Le rituel devenu factice et sclérosé. Le jour où il n’y aura plus ce frisson de plaisir, ce jour…
Je me jette sur la pipe. Tourne le dos à l’autre.
Miroir ô douce saloperie à l’abris sur le mur. Me laisseras-tu donc entrer. Enfin sale fils de pute engrossée vas-tu te décider. Me laisseras-tu sortir ou entrer ou partir, me laisseras tu donc m’envoler ou chanter. Ou m’endormir en paix. Me laisseras tu en paix. Me laisseras tu revivre ou résorber ma forme?
Le miroir interdit réfléchit réfléchit. Son reflet assassin soudain accusateur m’assomme. Sa laideur émacié m’assomme. Il m’enveloppe d’un regard que je connais trop bien. Ce regard guillotine empreint de mon dégoût. Le dégoût très léger, propre et civilisé. C’est encore pire, cet air intelligent pour m’écraser moi-même. Ce mépris immémorial qui luit infime et radical depuis le centre en moi, ce phare lilliputien à la clarté stridente bâti il y a bien des âges et des jadis, peu après que Babel la fière ne se soit accroupie dans les sables et le vent.
Le miroir m’a montré gros laid estropié difforme laid mal formé. Bête cruel colérique méchant blessant supérieur et manipulateur. Factice mise en scène mégalo égoïste. Faible risible laid répugnant coupable. Laid. Disgracieux laid et raté. Raté raté.
Je me suis jugé. Des années durant.
Préférant mes sentences pour ne pas avoir à entendre celles des autres. Et après 50 de boue et marécage, je suis vide, triste, éteint. Mes mines sont à l’arrêt dont on extrait plus rien. Raté dans le regard d’autrui bien sûr. Mais le pire est raté pour l’enfant que j’étais. Lui ne cesse de m’appeller de son portable dernier cri pour me remercier de tout ce que je n’ai été capable de lui donner. Tout ce dont nous avons rêvé jadis lui et moi quand nous ne faisions qu’un, gît là juste à ses pieds putride et transpercé. Il ne me le pardonne pas.
Je suis le raté. Le rat taupe. Créature ambidextre de la terre et du vert. Les vers qui appartiennent aux boues et aux fossés. Je tiens à peine debout mais je me dresse tremblant dans la lumière obscure. Recyclant sans jamais m’arrêter les excréments puants et les mots mensongers pour en faire le lit de toutes les fleurs d’été et le rus parfumés où je nettoie les vérités fertiles.
Le miroir s’illumine. Il a peinturluré sur son visage un air plein mâtiné d’une trace d’ironie. Mais doux. Pour de vrai une douceur rare. À laquelle je crois. Un peu aussi de ce regard entendu que je déteste ne pas comprendre.
Tu sais très bien où est la clef, child. Partir… rester… c’est ton pas. Pas le mien. Il n’y a que toi savoir. La clef… C’est toi qui l’a rangée. Qui l’a égarée. Exprès? Et le prix. Oui je le connais. Tu le connais aussi. C’est comme tu dis. L’addition est la même. Le prix est identique. Quel que soit le passé. Tu sais très bien Tomas que le difforme, le dysmorphique ce n’est pas toi, ton âme ou tes baisers. Que ce n’est pas ton nez, refait ou d’origine. Pas la queue volubile que secoue le cockring, ni les nues ni les chants ni les mots décorés que tu files bien ou pas sur ton rouet cabossé. Ce n’est pas SURTOUT PAS, Ta Bonté. Celle que tu as conscienceusement et vaillamment fabriquée a l’intérieur de toi malgré des circonstances souvent bien peu propices. Tu veux donner depuis très très longtemps parce que c’est ce qui t’est arrivé et que ça t’a changé fait grandir et sauvé. Et tu trouves ça juste incommensurable. Cet égoïsme si idéalement généreux. C’est pour ça que tu aurais voulu incarner écrire vibrer danser. Et c’est loin d’être la plus mauvaise raison de vivre.
La clef, me sourit-il, elle est là dans la main que tu crispes sans Rbeu rfbdrd compte. Tu es innocent. Tomas. Entends tu? Innocent. Et non tu n’as pas à payer pour une faute que tu as subie. Une faute hypothétique dont tu ne te souviens pas et au nom de laquelle tu acceptes une punition qui ne suffit jamais. Cette faute mythologique, elle n’existe pas. C’est le poison que les autres ont distillé. La clef mon cher enfant est tellement simplette que je ne l’écrirai pas. De peur de faire éclater cette pauvre bulle de savon. Ces 50 ans brouillons que tu te reproches en boucle sont ton accomplissement ta force et ta richesse. 50 ans pour apprendre que nous sommes tous unis même ceux que croient gagner à vouloir te détruire. C’est ainsi que tu ne conçois même pas de prendre ta défense. Te défendre serait forcément contre ceux qui te chargent et contre eux c’est contre toi.
Oui toi tu as la paix, la délicate luminance d’avoir compris que c’est à de se construire à son rythme. La haine ni qu’une immaturité qui doit apprendre à grandir. La lumière à tout prix. Peut-être n’as-tu plus rien et peut-être n’es-tu rien. Mais ce rien c’est l’espace dans lequel tout peut vivre.
Miroir miroir ô mon miroir… les rides de mon visage se détendent lentement.
Et je me tais.
(À mes compagnons d’atelier d’écriture : je vous aime)
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claudehenrion · 2 years ago
Text
Les limites de la peur...
 On a toujours tort de douter de la force de l'âme humaine : elle peut montrer des signes de faiblesse sur une courte période, mais pas sur le long terme. La célèbre phrase biblique ''Dieu a fait l'Homme à son image', qui doit évidemment être lue avec intelligence –une denrée qui devient rare, par les temps qui courent--  veut simplement dire qu'il y a en tout être humain un facteur inexplicable, indéchiffrable, insondable, qui le rattache à sa propre éternité et à des forces qui sont comme éternelles, d'une puissance iso-tellurique (comme ces survivants après 8 ou 10 jours sous les décombres, dans le froid glacial en Syrie, lors du séisme récent...).
Je pensais à ça hier, en lisant les ''unes'' des quotidiens, qui titraient, tous, sur le rejet de plus en plus massif des européens devant les conneries (il n'y a pas d'autre mot) de la grosse Commission de Mme von der Leyen –qui, dans son petit coin, si j'ose, prétend imposer des règlements contre nature et contre-intelligents à tout ce qui bouge. Les soi-disant grands esprits microscopiques (et surtout déraisonnables) de nos pseudo ''représentants'' –qui, une fois élus, ‘’roulent’’ pour eux et pour leurs idéologies assassines-- imposent à tous les normes de leur folie, et profitent de leurs pouvoirs coercitifs pour l'imposer au commun de mortels qui, sagement et intelligemment, n'en veut à aucun prix. Dans le cas présent, il s'agit de la mort des moteurs thermiques, que nos faux gaucho-écologistes ont décidée, tout seuls et contre tout bon sens. Ils appellent cette folie ''le tout électrique'' –ce qui est faux, le vrai nom étant : la mort programmée... puisqu'il n'y aura jamais assez de courant (déjà comme ça, ils nous inventent des coupures. Alors, imaginez la suite...), ni de matières dites ''rares''. Bref, on va droit dans le mur –seulement... il est en béton !
Depuis que cette énorme ‘’hollanderie’’ (une de plus !) a été émise, nous sommes vent debout... et je dois confesser que, devant la passivité de mes contemporains, j'ai douté, parfois... J'avais tort : le bon sens se repose parfois mais ne disparaît jamais. Le réveil est brutal : vos idioties, MM. les faux leaders/vrais prophètes de malheur, ne nous intéressent pas et nous n'en voulons à aucun prix. Remballez-les et foutez-nous la paix, sinon... pan-pan cucul -vous voilà prévenus. Le combat n'est pas encore entièrement remporté –la bête gaucho-progressiste n'est pas morte--  mais l'abandon pur et simple de cette absurdité (pas son report, fut-il sine die) est en bonne voie. Il était temps : on allait droit vers une de ces catastrophes qui surgissent chaque fois que des politicards incultes et stupides (tous le sont) mais endoctrinés et enrégimentés (trop le sont) veulent se mêler de quoi que ce soit...
Ma pensée s'est, de là, égarée vers des domaines comparables... et Dieu sait que nous n'en manquons pas : la seule chose où nos élus finissent toujours par nous surprendre, c'est leur capacité à générer des idées mortifères, des bêtises inutiles et des principes ébouriffants... Les temps derniers ont été  ‘’tsunamiesques’’, en matière de très mauvaises idées qui nous ont été imposées en jouant sur et avec nos terreurs reptiliennes... C'est à croire qu'ils ne connaissent que ce vecteur pour plier l'humain à leur besoin pathologique de puissance... donc de soumission et d'obéissance de leurs semblables : ''Tu trembles de trouille... donc je suis'' !
Il semblerait vraiment que le monde actuel a atteint un degré de complexité tel que la nouvelle génération des ''leaders'' (tu parles ! Des ''leaders'' sans le plus petit ''leadership'' !) est bien incapable d'imaginer autre chose que de la trouille pour contraindre les ''ouailles'' à se plier docilement à leurs idéologies (car ils n'ont plus d'idées, ils n'ont que des systèmes idéologiques) dévastatrices, ravageuses, mortelles... mais sans ''Plan ''B'' ! Conséquence : que ce soit pour les énergies,  l'auto, la mise au pas de tout ''déviant'' –qui devient ''complotiste'' s'il est individuel, et ''illibéral'' ou ''populiste'' si c'est un Etat... mais est insulté dans tous les cas-- tous les bobards qu'ils rêvent de nous imposer, contre nous, passent par la terreur : la terre va mourir, l'immigration est la seule planche de salut, le CO² va nous tuer, l'homme est mortel pour la planète, la maladie est là, qui nous épie, et ''ne pas se faire vacciner, c'est tuer les autres et mourir soi-même'' –au moment où ils pondent des lois qui rendent le suicide légal, permis et recommandé... Si vous doutez que nous soyons dirigés par des fous, attendez : vous serez très bientôt convaincus.
Prenons deux autres exemples d'actualité : le covid et le réchauffement climatique,. Ce sont deux problèmes réels qui sont posés à l'envers de tout ce qu'il faut faire, en dire et en penser. Et la terreur induite qui a donné vie à ces deux crises entièrement fabriquées a fini par se retourner contre eux... Commençons par le covid, d'abord, qui leur colle aux doigts comme le célèbre  sparadrap du Capitaine Haddock...
Il est cruel de rappeler que, pour nous faire croire que la fin du monde était proche, ces Philippulus –pour rester dans l'univers de Tintin-- ont aligné des chiffres farfelus  (le mot ''super-déconnants'' me vient, mais je leur laisse la violence : ils n’ont plus que ça !), présentés comme émanent de sources qu’ils disaient  ''scientifiques'', comme si la science affirmait, tranchait, dictait des comportements... alors elle n'a pour utilité, vocation et raison d'être que douter, questionner, remettre en cause ! Avec 400 000 000 de morts annoncés, pour commencer...  nos technocrates se sont couverts de … tout ce dont on a envie de les voir couverts, maintenant que sont vérifiés, validés et confirmés les dires de ceux qu'ils avaient affublé du titre –devenu très recherché, depuis-- de ''complotistes'', en disant, contre toute vérité, qu’ils seraient ''anti-vax''. Rarement le mot ''n'importe quoi'' n'a été aussi à sa place !
Il s'agissait d'un nouveau machin, fabriqué en Chine avec nos ''sous'' -- via un labo payé par l'INSERM avec la bénédiction de Buzyn (légionnaire d'honneur, depuis), qui allait connaître la vie de tout virus : des attaques fortes le temps que nos corps créent des armes de protection, puis après 2 ans environ, un comportement prévu –et annoncé ici-même dès tout début Mars 2021--  celui d'un virus de plus à ajouter à notre panoplie. C'est là que nous devrions en être arrivés si, prisonniers de leurs discours et de leurs erreurs passés, nos dirigeants ne se donnaient un mal ‘’de dingues’’ –comme dit l'autre-- pour nous maintenir la tête sous l'eau et écouler un peu de leur surstock de 9 millions de vaccins inutilement commandés par l'Europe, dans une débauche folle d'argent public et de prébendes. Diagnostic : ils sont fous !
Autre exemple ? Notre planète n’est pas un fleuve tranquille : elle vit, et elle connaît sans cesse des soubresauts, des hasards,  et des chocs –thermiques ou autres--... avec lesquels on est bien forcé de vivre... ou de mourir. Mais notre temps, où les nouvelles circulent comme jamais, permet d'être informés ''en direct'' du moindre orage ''hors norme''. Des petits malins en veine de gloriole sinistre ont eu l'idée de bricoler des chiffres et des statistiques réels mais présentés de façon vicieusement biaisée pour bâtir une théorie à laquelle les cuistres, les naïfs, les pervers et, hélas, une majorité de braves gens ont cru, le ‘’réchauffement climatique dû à l’homme’’ (où on retrouve les moteurs thermiques et l'assassinat de notre parc nucléaire et donc notre appauvrissement actuel, réel, lui). Les arguments démontrant sans le moindre doute possible que nous avons été victimes de menteurs éhontés sont disponibles ou le deviennent, depuis peu, et il n'est donc plus besoin de s'étendre sur ces scandales gigantesques. Laissons chacun face à sa propre envie de savoir à quel degré il a été fait cocu par ceux qui clamaient vouloir le protéger et qui seront les seuls vrais complotistes, dans l'Histoire majuscule. Et c'est très bien comme ça.
Une dernière série de mensonges ''héneaurmes'' –pour parler comme Flaubert-- concerne tout ce qui tourne autour de l'Europe... ou plutôt autour de ce qu'est devenue, entre les mains des équarrisseurs au pouvoir, cette ancienne belle idée qu'aurait pu rester notre ''EUROPE'', mais la vraie, l'originale, celle de nos Pères Fondateurs. Mais en parler nous entraînerait trop loin pour la taille d’un de nos ''éditos'', et nous garderons donc cet autre ''scandale--issime'' pour un autre jour...
H-Cl.
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