#tailleur gris
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US Vogue April 1, 1962
Wilhelmina Cooper Wears a gray wool flannel suit over a Moygashel pink linen blouse. By Bradley. Ottoman helmet by Mr. John. Lipstick: Dana's Singapore.
Hair Ruel of Coiffures Americana.
Wilhelmina Cooper Porte un tailleur en flanelle de laine grise, sur un chemisier en lin rose Moygashel. Par Bradley. Casque ottoman par Mr. John. Rouge à lèvres : Dana's Singapore.
Coiffure Ruel de Coiffures Americana
Photo Irving Penn vogue archive
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L'Art et la mode, no. 21, vol. 42, 20 octobre 1900, Paris. Pour d'Automne. Dessin de J. Portalez. Bibliothèque nationale de France
Robe en drap "lavande" et soie blanche, col et parements de velours bleu foncé brodé acier.
Dress in “lavender” cloth and white silk, collar and facings in dark blue velvet embroidered with steel.
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Manteau de drap gris "mouette". Boléro et manches en grosse guipure sur soie grise. Col en chinchilla.
Coat in grey "seagull" cloth. Bolero and sleeves in large guipure on grey silk. Chinchilla collar.
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Costume tailleur en homespun rouge fruit, garni de bandes piquées en drap de même ton. Ceinture de velours noir. Col et revers en chinchilla.
Tailored suit in fruit red homespun, trimmed with quilted bands in cloth of the same tone. Black velvet belt. Chinchilla collar and lapels.
#L'Art et la mode#20th century#1900s#1900#on this day#October 20#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#coat#suit#Modèles de chez#J. Portalez
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Joujou (Germaine Joumard, Germaine-Paule Joumard, G-P. Joumard), MATINALE. - Voici un tailleur pratique et élégant. Il est en velours de laine brodé et garni de petit gris; la jupe très ample devant est plate dans le dos. / Tissus de Diéderichs-Soieries (MORNING. - Here is a practical and elegant tailor. It is in embroidered wool velvet and trimmed with squirrel; the very wide skirt in front is flat in the back. / Diéderichs-Soieries fabrics). Très Parisien, 1923
#joujou#illustration#Très Parisien#1923#germaine Joumard#germaine-paule joumard#G-P. Joumard#vintage#Diéderichs-Soieries#Diederichs Soieries#paris#paris fashion#chic#parisian chic#parisian fashion#1923 illustration#fashion illustration#jazz age#roaring twenties#art#1923 illustrations
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julen_morras_azpiazu 🔸🖌 Dior by Gruau 🖌🔸 . Lovely René Gruau illustration of a Christian Dior suit with a little bouquet of lilies of The Valley, Dior favourite flower. On the cover of Paris Vogue March 1956 in my collection. 🌼 'Tailleur de Christian Dior en gabardine de Prudhomme, à la veste souple nouée à la taille d'une ceinture de même tissu. Il est porté sur un corsage de mousseline de soie de Ducharne, à petit col drapé, avec un grand chapeau de bambou gris tressé.'
Google translate from French:
'Christian Dior suit in Prudhomme gabardine, with a soft jacket tied at the waist with a belt of the same fabric. It is worn over a silk muslin bodice by Ducharne, with a small draped collar, with a large hat in woven gray bamboo.'
#René Gruau#rene gruau#gruau#christian dior#dior#couture#fashion#illustration#illustrations#lily of the valley#paris vogue#vogue#vogue magazine#1950s#50s#magazine cover#fashion magazine#gabardine#jacket#jackets#ducharne#muslin#draped collar#hat#hats#bamboo hat#magazine
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Le temps n’est pas particulièrement clément ce soir.
Des vagues de nuages aussi noirs que l’eau montent à l’horizon et fondent vers le bateau portés par ce vent violent qui s’est levé si soudainement. C’est inhabituel, mais tu es loin d’en être à ta première sortie en soirée, ou pendant la tempête. Tu en as vu d’autres, ton bateau aussi.
Tu tires ton bonnet un peu plus bas sur ton front alors que les remous de la mer font tanguer le sol sous tes pieds. Une heure plus tôt, tu t’es amusée à compter les secondes entre deux vaguelettes et maintenant, tu ne pourrais même pas commencer tant elles sont rapprochées.
Les plus fortes bourrasques t’atteignent enfin, fouettant tes joues avec tes propres boucles pendant que tu t’emmêle les doigts dans ce foutu filet qui ne veut pas se plier. Tu regrettes un peu d’être sortie seule à cette heure et par ce temps, les aboiements de Patate t’auraient donné un peu de baume au coeur. Tu n’as pas vraiment la motivation de rentrer au port. Si on peut appeler le ponton en bois en face de la maison familiale un port. Avec Patate, tu n’aurais pas eu le choix. Il fallait bien la rentrer au chaud et la nourrir, ta boule de poils. Ton corps en revanche, tu t’en fous un peu.
Quand le vent devient vraiment violent, tu rentres les caisses que tu as laissé traîner sur le ponton dans la cabine de pilotage et tu enfiles ton ciré noir. Même avec la capuche sur la tête, tes cheveux se font tremper par la pluie et les embruns qui t’arrivent en torrent en pleine face à chaque fois que ton bateau retombe en s’écrasant. Il fait des hauts et des bas à faire vomir les estomac les plus solides. Toi ça ne te fait plus grand-chose, c’est comme l’odeur du poisson : avec l’habitude, on ne sent plus rien.
Tu fourres tes mains couvertes d’encre dans les poches froides de ta salopette, parce que tu as l’impression que si tu les laisses dehors, tu devras ouvrir la porte de la cabine pour t’y abriter, et tu n’en as pas envie. A la place, tu marches tant bien que mal jusqu’à la proue et tu t’y accroupis, accrochée au bout qui court sur toute la longueur de la rambarde. Même de cet abri modeste, la pluie et la bruine salée te trempent le corps, pénétrant jusque dans tes bottes mal scellées et bientôt, tu te retrouves à patauger dans deux petites marres de plastique vert mousse. Alors tu les retires, et tu vires tes grosses chaussettes de laine orange avec. Puis tu replies tes pieds sous ta salopette imperméable et tu restes en tailleurs à écouter le vent se fracasser contre la coque, à écouter les torrents d’eau qui s’infiltrent partout en sifflant, en cahotant, à écouter dans tes tympans malmenés par la tempête ce murmure qui t’es toujours aussi obsédant.
La première fois que son appel t’est parvenu, tu marchais pieds nus dans le sable aux côtés de Patate. Il faisait plutôt bon pour un début Février, tu portais juste un vieux gilet bleu nuit trop grand sous un fin coupe-vent noir et ton éternel jean droit classique sur les jambes, retroussé au-dessus des chevilles. Tu avais mis son petit pull gris à Patate, parce qu’il y avait un peu de vent, et tu t’étais enfin habituée à la fraicheur de l’eau sur tes pieds bien roses quand tu les as vues, un peu plus loin.
Leur silhouettes se découpaient sur le ciel gris-bleu, figurines de papier animées de mouvements étranges par le vent. Elles dansaient toutes en cercle en agitant les bras, vêtues de robes légères qui flottaient autour de leur membres en rythme avec une lenteur irréelle. Leur chant était si lent que tu ne reconnaissais aucun mot dans leur litanie, mais peut-être chantaient-elles dans une langue que tu ne parles pas.
Tu le savais en avançant, mais ton esprit rationnel ne pouvait pas le voir, encore moins l’accepter. Et même l’absence de réaction de Patate, pourtant toujours le premier à se précipiter vers un nouveau visage ne t’as pas intriguée, à l’époque. Tu as juste marché vers elles, complètement happée par leur coordination, par leur chant éthéré. Et quand tu es arrivée à leur hauteur, elles s’étaient évaporées, ne laissant de leur passage que des traces d’orteils recourbés dans le sable humide.
Avaient-elles jamais été là ?
Tu aurais juré que oui. Et ce soir là, tu en avais parlé autour de toi. Au pub, on t’avait ris au nez, plaisanté que tu prenais ton rêve pour une réalité, car ta réputation de seule pêcheuse lesbienne de l’île avait, comme toujours, donné lieu aux blagues crasses dont seuls les piliers de comptoir du coin étaient capables. Tu avais l’habitude de leur rabattre le clapet d’une vanne bien placée, dans la bonne entente générale, mais ce soir là, tu étais juste rentrée.
Tu avais encore le chant en tête quand tu en as parlé avec Yrsa, sur un coup de tête. La seule marque d’intérêt que tu as récolté de cette conversation, fut une plissure du coin de ses yeux. Puis elle a soufflé un « Hmpf. » et elle s’est enfuie dans son atelier. Tu aurais pu la suivre, continuer de parler et provoquer une de ses tempêtes comme tu avais toujours bien su le faire, toi et toi seule. Ni ton frère, ni ta soeur n’avaient jamais eut ce talent, et ni ton frère, ni ta soeur n’étaient restés dans les pattes de celle dont vous portiez tous le nom. Mais cette fois, la première peut-être, tu avais laissé tomber.
Vivre dans le silence et la tension d’une maison qui ne voulait plus de toi était devenu une habitude, tout comme ce chant qui résonnait à tes oreilles depuis ce jour et ne t’avait plus jamais quittée.
Quand le pont du bateau commence à devenir scintillant d’écume et d’un bon petit fond d’eau, tu te relèves avec une envie intense de plonger. Tes cheveux balayés par le vent n’ont plus aucune forme, et sous ton ciré, ton pull est trempé. Au milieu des rafales, tu retires ton manteau et le coinces entre tes jambes, puis tires ton pull hors de ta salopette avant de remettre le ciré. Ta peau est violette d’un froid que tu ne sens pas, parce qu’à l’intérieur, ton sang brûle. Tu es dans ton élément, debout au sommet des vagues. Tu écartes les bras et la vérité absolue s’impose à toi : tu es parfaitement à ta place, ici. La mer est ta maison.
Depuis toujours bout au fond de toi ce désir que tu n’as jamais pleinement compris, jamais pleinement embrassé comme tiens. Et aujourd’hui, tu le sens qui crame dans ton coeur, dans tes veines. Tu le sens qui réchauffe par capillarité tout ton être et une bulle enfle en toi. Elle grossit et t’emplit toute la gorge jusqu’à éclater en un cri de joie qui se perd entre les hurlements du cyclone. Mais tu l’entends, toi. Et elle l’entend aussi. Alors tu éclates de rire, tu ne peux plus t’arrêter. Et tu ris encore quand une bourrasque te balaye et te rend à la mer.
Tu as toujours rêvé d’elle.
Tous les soirs depuis ta naissance, en tous temps, chaque nuit. Depuis aussi longtemps que tes yeux ont pu percevoir le bleu sombre dans lequel se fond le ciel par la fenêtre de la cuisine. Tu la connais depuis le moment où tu as existé, et tu l’as vue grandir à tes côtés. Elle est cette raison qui te pousse à rejeter le monde, et ta principale motivation à y rester. Quelque part, tu n’as jamais vécu que pour la toucher.
Elle était là quand tu as rencontré Patate, à chacun de tes anniversaires, quand tu as dû renoncer à faire des études, pour chacun de tes tatouages, quand tu as acheté ton bateau. Ses longs cheveux glissent sur ta peau dans tes rêves et ses doigts frais te tapotent les tempes quand tu te perds dans tes pensées. Et quand tu marches sur la plage, tu la vois te faire signe depuis le large, les pieds plantés dans l’eau comme dans du sable, soulevant de l’écume alors qu’elle s’éloigne vers l’horizon.
Tu sens sa présence alors que tu t’enfonces sous l’eau et tu penses « Enfin. »
La chute t’a coupé au milieu d’une inspiration que tu ne prendras plus jamais, mais là où tu vas, tu n’en auras pas besoin. L’eau salée est glacée et te pique la peau, mais bientôt, tu sens ses doigts se refermer autour de toi. Elle t’enveloppe dans le cocon de ses deux mains fermées, et t’emportes vers le fond. Au loin, à travers les interstices entre ses phalanges, tu vois les rayons de lumière du dehors rétrécir encore et encore et encore, jusqu’à s’estomper. Elle t’emmène dans les abysses, au plus sombre, au plus profond de son royaume. Plus elle t’entraine et moins tu ressens les mouvements de l’eau autour de ton corps. Tu perds toutes sensation dans tes membres, un à un et puis tu ne vois plus, et puis tu n’entends plus.
Tu reprends conscience d’un coup, simplement en ouvrant les yeux et en inspirant une grande gorgée d’eau qui te remplis les poumons, achevant de brûler tout sur son passage. Tu ne portes plus ton uniforme de pêche mais une simple combinaison bleuté faite d’un tissus léger qui ne retiens pas l’eau. Tu es allongée sur une pierre entourée d’algues et de corail, et des poissons affublés d’une lanterne font du sur-place au-dessus de toi pour t’observer. Ils ont la bouche ouverte sur leurs grandes dents pointues dans une expression qui ne t’incite pas à bouger. Mais tu te redresses tout de même sur tes coudes et les poissons s’écartent pour lui laisser la place.
Elle s’avance et se penche au-dessus de toi, ce sourire malicieux sur les lèvres qui a toujours eu le don de te subjuguer. Elle ne bouge pas pendant que tu la détailles de tes yeux avides, voraces. Mais tu ne peux pas t’empêcher de la dévisager pour la première fois, enfin. Ses grands yeux ronds, immenses et rieurs, aux iris striés d’une infinité de bleus et à la pupille blanche qui rejette des gouttes de son écume dans l’azur qui la borde. Ses yeux bordés de longs cils brillants qui ondulent avec les fluctuations du courant. Ils font la taille de ta tête, peut-être, ses yeux. Ou peut-être est-ce son joli nez au bout rond parsemé de tâches de rousseurs un peu trop grandes et de stries comme des vergetures qui marbrent sa peau légèrement verdie qui a la taille de ton crâne. Sa bouche a toujours occupé tes pensées. Toutes, tes pensées. Parce que les lèvres rebondies qui la bordent te sont toujours apparues pleines de promesses. Elle a les dents du bonheur, et c’est mignon à en tomber par terre. Quand elle sourit, comme elle le fait maintenant, quelque chose à l’intérieur de toi se liquéfie et tes genoux se font moins solides.
Tu tends un bras pour le passer dans ses cheveux. Ses mèches spirales en volutes, se roulent et se déroulent en rayons tout autour de son visage. Elle est ton soleil personnel dans la nuit des abysses. Au sens littéral autant qu’au figuré. Le camaïeu de verts sombres de ses cheveux brille de la kyrielle de coraux lumineux dont elle s’est parée, et lorsqu’elle se redresse, la soie argentée qui couvre ses seins glisse assez pour t’en donner une idée très précise. Tu as souvent soupçonné que ce vêtement flottant ne lui sert qu’à mettre en valeur les contours de son corps en les dissimulant habilement.
Elle te tends une main et tu t’assois dedans. Elle te porte jusqu’à son épaule et te laisse t’y asseoir avant de se mettre en route pour t’emmener plus loin.
Elle évolue dans l’eau sans aucune difficulté. Algues, coraux, poissons et mammifères marins s’écartent pour la laisser passer. Petit à petit, tes yeux s’adaptent à l’obscurité et tu perçois quelques rayons de soleil qui sont venus se perdre au confins de son domaine, et derrière vous, une farandole d’êtres marins qui suivent son pas en procession. Finalement, elle s’arrête au bord d’une crevasse qui plonge plus profond encore, mais dont le sol est éclairé d’une rivière de crustacés lumineux qui dansent au milieu de roches colorées. Elle te lance un sourire que tu ne peux voir qu’à moitié et s’assois en tailleurs au bord du vide, te posant avec douceur sur l’une de ses cuisses. Devant vous s’étends le reste de son royaume, sans murs pour vous border la vue, uniquement l’eau peinte de tous les bleus et de tous les verts, fendue de rayons rouges et orangés d’un soleil couchant à des kilomètres au-dessus.
Tu lui rends son sourire alors qu’elle te murmure sans qu’aucune bulle ni son ne sorte de sa bouche : « ça y est. » et tu lui réponds de la même manière « ça y est. » en acquiesçant.
Alors elle penche vers toi son visage de nouveau et dépose un baiser sur le sommet de ton crâne, sur tes boucles nues. Tu fermes les yeux, appréciant ce contact plus que désiré, et quand tu soulèves tes paupières, elle s’est adaptée à ton échelle et t’entoure de ses bras. Elle redresse ton menton de la pointe d’un de ses ongles moirés comme les écailles d’un sirène et, enfin, vos lèvres se rencontrent.
Elle t’embrasse avec la fougue d’un geyser, se déversant en toi comme tu te déverses en elle. Ses cheveux caressent la moindre partie de son corps alors qu’elle te soulève les jambes pour les enrouler autour de sa taille. La gravité moindre rend chaque mouvement plus facile, plus fluide alors qu’elle glisse une main entre vos bassins reliés assouvissant enfin le plus obsédant de tes fantasmes. Sentir sa peau sur la tienne, sa fraicheur et sa chaleur contre l’ardeur de tes désirs. Ses lèvres qui papillonnent partout sur ta peau et ses yeux qui t’hypnotisent et te remplissent de plus de joie que tu n’aurais jamais cru pouvoir en supporter.
Quand, bien plus tard, elle porte une mèche de tes cheveux noirs à sa bouche pour y déposer un baiser alors que sa main douce caresse la fresque qui décore ta cuisse, tu comprends enfin.
Son royaume a toujours été autant sien que tien.
Et vous y régnerez à deux.
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Retour à l'école Les Tendances Mode pour la Rentrée 2024 en France
Avec l'arrivée de la rentrée 2024, il est temps de rafraîchir votre garde-robe pour affronter la nouvelle saison avec style. Que vous soyez étudiante, enseignante, ou professionnelle, la mode retour à l'école en France combine élégance et confort pour un look impeccable tout au long de la journée.
1. Les Classiques Revisités
Pour un retour à l'école réussi, misez sur des pièces classiques avec une touche moderne. Un trench-coat léger, une Chemisiers blanche bien coupée et un pantalon tailleur sont des essentiels intemporels. Combinez-les avec des accessoires tendance pour un look à la fois chic et décontracté.
2. Les Couleurs de la Saison
Les couleurs neutres comme le beige, le gris et le camel restent des incontournables, mais cette année, les tons pastel comme le rose poudré et le bleu ciel font également leur grand retour. Ils apportent une touche de douceur et de fraîcheur à vos tenues de rentrée.
3. Confort et Élégance
Pour celles qui privilégient le confort sans sacrifier le style, optez pour des ROBES fluides ou des jupes midi associées à des sneakers élégants. Les matières naturelles comme le coton et le lin sont idéales pour la transition entre l'été et l'automne.
4. Les Accessoires Indispensables
Les accessoires jouent un rôle clé pour parfaire votre look de rentrée. Un sac à main structuré, des bijoux fins et une écharpe légère peuvent faire toute la différence. N’oubliez pas de choisir des pièces qui reflètent votre personnalité tout en restant pratiques pour le quotidien.
5. Inspirations Mode chez Airchics
Pour trouver les dernières tendances mode de la rentrée, rendez-vous chez Airchics. Leur nouvelle collection offre une variété de tenues adaptées à toutes les occasions, que ce soit pour un look professionnel ou pour une journée décontractée.
En résumé, la mode femme pour la rentrée 2024 en France met l'accent sur des tenues polyvalentes, élégantes et confortables. Préparez-vous pour le retour à l'école avec des pièces tendance qui vous permettront de commencer la nouvelle saison avec confiance et style.
Cette article vous permettra de préparer votre garde-robe pour la rentrée en suivant les dernières tendances, tout en mettant en avant la boutique Airchics pour des inspirations et des achats mode.
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14 avril, journée mondiale du gâteau et du cunnilingus
Des journées mondiales, il y en a tous les jours. Le 14 avril c’est la journée mondiale du gâteau et du cunnilingus. C’est incroyable mais vrai. Donc je vous propose ici une recette de gâteau aux plaisirs du cunnilingus. Des fruits, du chocolat, de la gourmandise, du jeu et tout ça pendant le couvre-feu de ce mercredi exprès pour vous, Mesdames. HummmAAAaaahhh ! Je n’en crois pas le titre que j’ai écrit C’est incroyable, il y a une autre journée de la femme. Mais pas une journée où l’on reçoit des fleurs, ni celle où les philosophes féministes déballent leur tailleur gris sur France TV. Non une vraie journée de la femme : une journée de nos plaisirs. Alors mercredi 14 avril, après une toilette accroupie sur le bidet et un brossage de dents au-dessus de l’évier de la cuisine (pour celles qui vivent à Panam dans un vieil appart sans travaux depuis l’arrivée de la gauche au pouvoir), nous savons que nous passerons une journée de délices aux pluriels. Ce sera la journée mondiale du gâteau et du cunnilingus. Départ de l’expérience gâteau + clitoris Donc comme c’est bon pour la santé et que, d’après Michaël Douglas, cela ne provoque pas de cancer de la gorge chez le partenaire, alors on s’en offre à se faire péter le ventre. Il y aura peut-être une crise de foie à l’horizon, mais pour le gâteau, et le gâteau seulement, nous serons restés raisonnables. Pour le reste, ce sera notre fête. Et pour celles qui n’auraient pas l’occasion de profiter de cette fête absolument compatible avec le confinement, et qu’à 19 heures seule la VOD reste leur passe-temps, je vous invite à quand même préparer le gâteau suivant. C’est la recette de Nastasia Lyard de Top Chef 2020, et c’est Lelo (vous connaissez j’en suis certaine) qui me l’a donné. Ça rappelle le bon temps des soirées au resto et des nuits qui suivaient. Hummm A !!! LELO Cup cake au chocolat, cœur coulant passion et crème au beurre passion Pour 6 cupcakes : CUPCAKES CHOCO - 100 g de chocolat noir - 75 g de sucre - 75 g de beurre - 100 g d’œufs - 25 g de farine CŒUR PASSION - 200 g de coulis passion - CŒUR PASSION - 200 g de coulis passion - 4 g de gomme de xanthane CRÈME AU BEURRE - 200 g de beurre - 200 g de sucre glace - 3 fruits de la passion Émulsionner le coulis passion et la gomme de xanthane pour obtenir un mélange épais. Réserver un bac a glaçons pour former des cubes au congélateur. Préchauffer le four à 180 degrés. Faire fondre le beurre et le chocolat au bain-marie. Blanchir le sucre et les œufs. Mélanger les deux préparations. Ajouter la farine. Garnir les moules à cupcakes. Insérer un glaçon de cœur coulant passion. Cuisson 9 min à 180 degrés. Puis laisser reposer au frais. Battre le beurre et le sucre glace au robot en ajoutant la pulpe d’un fruit de la passion pour que le mélange devienne crémeux. Mettre dans une poche à douille et pocher sur les cupcakes. Ajouter de la pulpe de fruits de la passion sur la crème au beurre. Déguster. Par Bénédicte, gourmande et allongée Read the full article
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080324 Que je vous de belles choses dans les rêves la nuit! À l'instant je partageais avec une femme cette fébrilité des premiers voyages, court, peu lointain, premiers déplacements en fait, on s'apprêtait, on tremblait, j'étais roux, elle avait mis un tailleur gris... Puis, mélangé à ça, un séjour tardif chez Ruben qui était Simon avant, avec sa famille, d'autres jeunes gens d'aujourd'hui et leurs jeux vidéos d'enfance, Ruben et moi vieillis qui plaisantons sur le temps jadis, son autre correspondant qui avait laissé tous ces mots et ces photos amusantes aux murs de sa maison, cette sensation de voyage tout le temps, d'être ailleurs, bien reçu, invité, et cette dernière image d'une femme aux trois fleurs rouges posées en couronne au dessus de son pubis, son bras droit et sa main les souligne élégamment.
J'étais à deux doigts de ne rien en garder, j'oublierai sûrement la vérité du rêve car les mots se réfèrent à des réalités passés, tout à l'heure c'était autrement, c'était mélangé, c'était nouveau et entremêlé, délicieux, la neige dans les longs cheveux blonds et dégarnis de Ruben que j'ai secouée...
Quelles merveilles, dans mes rêves! Dis-toi bien que je me dis ça tous les matins!
+ Je sais la nuit quoi faire je jour. Autour d'un rêve qui parle d'amour, je fais bilan de toute la veille, et puis une idée me réveille qui donne un sens à la journée.
090324 musique : vent dans les oreilles, pas dans la nuit, train de fond
140324 La compréhension du fait qu'on ne puisse développer la recherche musicale que petit à petit, d'individu en individu et en s'appuyant forcément sur les résultats existants devrait m'encourager à croire en une percée lente mais sûre de mes idées préférées dans la lutte politique.
+ Lentement devenu blafard et gris, fatigué d'attendre que tu le rejoignes enfin, le ciel, décidé à venir te chercher sur Terre, a tout englouti.
+ Mes yeux en amour, fondant à la beauté et jouissant du temps laissé à la compréhension devant les time lapses, mes oreilles de même aux sons ralentis.
+ As long as you're using in a non-abusive way. A non-abusive user.
+ Prendre le contrôle de mon corps, quelque part entre je suis et j'ai. Ça, c'est pour la jolie formule. Mais en fait, ce serait plutôt: qu'est-ce qui est possible?
+ Comme je fais chanter mon ventre, je le fais maintenant nager. Ça n'est pas seulement ma tête qui flotte avec du lest derrière. Comment utiliser mes pieds pour avancer mieux dans l'eau?
+ Attacher puis pousser, ça ne marche pas et ça n'est pas bon. Mes lunettes me tenaient la nuque et j'ai toussé et j'ai senti que c'était dangereux, comme quand j'ai voulu faire des tractions avec les bretelles de mon sac à dos sur les épaules et que j'ai perdu connaissance.
+ Marcher sur l'H2O.
+ C'est chez elle que j'ai découvert le jazz et pourtant, en entendant ce musicien en jouer dans la rue, elle a dit "Ouh, que c'est faux!"
Un artiste a peint leur faire-part à l'aquarelle et en voyant le résultat, ils ont dit "Ça dépasse de partout, il aurait pu s'appliquer!"
C'est deux cas m'ont surpris et me font mal comme des insultes personnelles.
+ Je passe des heures à fabriquer des cadeaux et je me demande comment je pourrais m'occuper et de mes travaux, et de ces cadeaux. Je ne le pourrais pas, et je ne ferais plus de cadeaux qui me prennent des heures. Étape crucial vers le "vivre pour moi".
160324 À ne faire que chercher le passé dans le présent pour alimenter ma soif insatiable de cette sensation fuyante d'extase, j'en gâchais toute possibilité de créer de nouveaux souvenirs sensoriels à partir de moments, de visions, d'odeurs toutes nouvelles.
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LE RITUEL "VERTIGO", par Pierre Pigot
Continuons sporadiquement sur ce blog à réexplorer la filmographie d'Alfred Hitchcock. Après Rear Window en février : "Vertigo", chef-d’œuvre inépuisable d'exégèses et de remakes cachés ou avoués (mais, au fond, peut-être est-ce la même chose ?). Il est le film des obsessionnel.le.s, de celles et ceux qui pensent que la vie offre des secondes fois. On y revient sans cesse, parce qu'il nous fait croire que revivre est possible. Pierre Pigot nous raconte cette énigme et son rituel.
"Je suis née quelque part par là..." dit Madeleine à Scottie en pointant une des lignes concentriques d'une coupe de sequoia.
I.
Bientôt sur l’écran la spirale de Vertigo va déployer ses crêtes et ses vagues, ses danses et ses abîmes – pour beaucoup une nouvelle fois, pour certains de manière inaugurale. Les brefs blasons anatomiques que déploiera le générique ne s’adresseront pas qu’à ces néophytes : pour les chevronnés du labyrinthe, dès l’instant où le film recommencera à les envelopper de son atmosphère fascinante, la bouche féminine qui reste muette, et les yeux qui guettent anxieusement leurs angles morts, intimeront aussi, respectivement, de retenir tout langage intempestif, et de laisser les images nous guider le long de leurs sentiers anxieux. Alors, tandis que la musique de Bernard Herrmann laissera suspendues ses rosalies hypnotiques, et que les spirales de Saul Bass, coupant l’espace comme des couteaux sacrificiels, surgiront de leur sombre abysse, nous n’aurons plus qu’à pénétrer dans cette forêt d’images, où un rideau de séquoias californiens millénaires semblera un simple écho primordial, et à la laisser nous engloutir. Que la première spirale surgisse de l’œil isolé, et soit littéralement l’expression héraldique de cet œil védique que Hitchcock laissa planer sur l’Occident et ses rites souterrains, ne sera pas même le prélude à une rumination des idées : celle-ci sera obligatoirement repoussée à la fin, telle une précaire illumination qui ne peut nous posséder que lorsque toutes les cartes du jeu semblent avoir été posées sur la table de montage mentale.
II.
Vertigo est un film structuré autour de trois visions, successives et entremêlées, de ce que peut être un rituel : l’enquête, le deuil, le simulacre. Mais ces deux derniers ne sauraient développer organiquement leurs sucs vénéneux et superbes, si le premier ne leur avait préparé un terrain métaphysique de premier ordre. Si l’enquête policière est l’avatar métamorphe dans lequel l’Occident a déversé la majeure partie de ses outils d’exploration du monde et de l’âme, c’est pourtant à travers une modalité précise qu’elle se dévoile comme telle – et dans les premiers temps de Vertigo, cette modalité est tout simplement la filature. James Stewart, policier reconverti en détective privé après le drame qui ouvre le film (et bien entendu les significations de son titre), est chargé, par un ancien ami de jeunesse, de suivre sa femme, qu’il soupçonne d’être hantée par une de ses ancêtres au destin fatidique. Alors, dans les rues de San Francisco, au gré de ses résidences, de ses commerces, de ses musées, de ses monuments, James Stewart suit Kim Novak – il la suit non seulement à la trace, comme un chasseur distinguant des pas de cervidé dans la neige fraîche, mais il en suit aussi les traces, les indices extérieurs dans lesquels semblent constamment se refléter les lambeaux d’une psyché que, en accord provisoire avec le mari inquiet, nous supposons mise en danger par des souvenirs ataviques. C’est dans cette optique que James Stewart (et nous avec lui) ausculte la silhouette d’un tailleur gris, la tache colorée d’un bouquet de fleurs, la spirale d’un chignon blond qui se dédouble sur un portrait peint. Et de manière insensible, tout comme Stewart, nous basculons d’un univers dans l’autre : le San Francisco industrieux et moderne des années 1950, dont le relief escarpé semble lui-même une spirale urbaine, laisse entrevoir des carcasses rescapées de son passé colonial, des ruelles sordides où l’inquiétude se redouble, des lieux déserts où la mort rôde. Dans ce labyrinthe soigneusement orchestré, Hitchcock nous a alors guidé depuis l’épitomé de la modernité (le magasin de fleurs, et son mur-miroir où le simulacre féminin, approché pour la première fois au plus près, ne peut d’abord être distingué que par son reflet, comme la Gorgone sur le bouclier de Persée) jusqu’au lieu où l’âme se retrouve isolée, prête à se dépouiller avant son auto-sacrifice : les eaux primordiales, grises et vertes, qui stagnent à l’ombre du Golden Gate Bridge, ces eaux où le héros, croyant sauver, enclenchera en réalité une double destruction.
L'oeil-spirale du générique imaginé par Saul Bass.
III.
Parce qu’une icône appelle toujours un geste sacrilège, la critique comme les spectateurs n’ont jamais hésité à prendre Vertigo comme objet de leur vindicte revancharde. Aujourd’hui encore, certains trouvent James Stewart trop âgé pour son rôle, et Kim Novak, décidément trop vulgaire pour un personnage qui, sur le papier, appelait un nuancier de subtilités psychologiques. On sait que, pour cette figure féminine autour de laquelle allaient se cristalliser des décennies de recherches inconscientes, Hitchcock souhaitait Vera Miles. Tout avait été préparé pour elle, y compris les costumes (si importants dans le film). Mais il suffit d’observer Vera Miles dans un autre Hitchcock (Psycho, où elle interprète la sœur de la pauvre Janet Leigh) pour comprendre que Vertigo, s’il souhaitait être ce labyrinthe émotif et morbide planté au milieu des collines technicolor d’Hollywood, était destiné à être subverti par le visage animal, hautain, malléable, de Kim Novak. C’est elle qui transforme un James Stewart vieillissant en un nouveau Charles Swann de San Francisco, s’éprenant malgré lui d’une femme « qui n’était pas son genre ». Au filtre d’amour symboliste de Botticelli dont usait Proust, Vertigo substitue la découverte d’un tableau aussi médiocre que fascinant sur les murs d’un musée. Mais c’est dès sa première apparition que Kim Novak contresigne la conjonction stellaire qu’il lui était assigné de devenir : lorsque, dans ce restaurant où James Stewart la découvre à la dérobée, elle se lève, moulée dans son imposante robe de soirée vert émeraude, et qu’elle s’arrête devant la caméra, de profil, sur un fond de tapisserie rouge. Soudain, l’espace d’une ou deux secondes, ce fond rouge devient une aura écarlate, qui semble s’enflammer autour de ce profil de camée antique, rehaussé de cette touche de vulgarité qui lui donne la vie pure. Et ce fond purpurin aussitôt reflue et disparaît, comme le regard espion de James Stewart se retire, avec un dernier plan sur un pan de robe verte qui s’enfuit dans le reflet d’un miroir. A cet instant, nous assisterons, chaque fois que nous le reverrons, à une allégorie dressée par Hitchcock à l’adresse de sa propre obsession, allégorie incarnée par la moins docile, la plus récalcitrante de ses fameuses « blondes hitchcockiennes ». Cette aura qui apparaît et disparaît, c’est celle d’un mythe cinéphilique, qui dissimule un autre mythe, plus ancien, plus profond, celui du simulacre, cette blonde Hélène de Troie fictive pour laquelle, selon Euripide, les héros moururent en vain. La blondeur auréolée de Kim Novak est le lieu où toutes les blondes, passées et à venir, de la filmographie hitchcockienne, convergent dans une même danse érotique : le chignon sadisé de Tippi Heddren, l’iceberg trompeur d’Eva Marie-Saint, le marbre frémissant de Grace Kelly. Et à la suite de cette brévissime allégorie, Vertigo se fera le récit de sa propre destruction et reconstruction, sous les yeux toujours hagards et fascinés de ses spectateurs, qui n’en reviendront jamais qu’on ait pénétré aussi profond et aussi crûment dans un tel repli psychique. C’est au-dessus de cet abîme que cette aura initiale persiste à voler, telle une phalène guettant une lumière enfuie. Comme l’écrivit un jour Goethe dans l’un de ses romans : « Tout commencement est aimable, le seuil est le lieu de l’attente ». Le profil de Kim Novak demeurera cette médaille royale posée au seuil de Vertigo : pure illusion surgie d’une trame fictionnelle en abyme, et sur laquelle nous ne cesserons de nous pencher.
IV.
Aux yeux de celui qui le découvre, Vertigo ne semble être qu’un mystère policier. Pour tous ceux qui y reviennent, encore et encore, c’est une tragédie grecque, dont les rebondissements et la fin sont depuis longtemps connus, mais dont il est toujours difficile d’appréhender avec précision le fond primitif. En partie parce que les catégories cinéphiles ont enroulé autour de ce film une épaisse pelote d’analyses, souvent animées par une souveraine terreur de se retrouver en terrain inconnu ; mais surtout parce que, face à un film de deux heures aussi structuré, aussi incisif jusque dans ses lenteurs calculées, aussi virtuose dans le balisage de ses sentiers qui bifurquent, il subsiste une crainte de percer le mur de la fascination : cet instant où la poésie absolue de l’image se briserait sous la pointe cruelle de l’analyse. Peut-être les grands chefs-d’œuvre du cinéma sont-ils cousins de la grenouille humoristique de Mark Twain : au-delà d’un certain pas, ils ne supportent plus la dissection. Ou alors, ils conservent malgré cela assez de puissance en eux pour que cet outrage semble toujours glorieusement inefficace, que la somme des mots reste toujours inférieure à la totalité des images. Dans Vertigo, les rites que James Stewart va élaborer dans son délire tourneront tous au désastre, nous abandonnant un indéfectible goût de cendre. Mais ces rites ne cessent de se répéter, à chaque projection, que parce qu’il existe un autre rite qui les encadre, nouvelle mise en abyme : celui des spectateurs qui, presque soixante ans plus tard, persistent à se déplacer dans une salle de cinéma pour le voir, parce qu’ils pressentent intimement que c’est la seule manière de rendre justice à l’énigme que nul ne se lasserait de creuser jusqu’à la pellicule. En cette époque sociétale où les rites resurgissent d’autant plus maladroitement qu’on ne cesse de vouloir les assécher, Vertigo apparaît donc comme un rituel dédoublé, une série de rites encadrée par le rite supérieur qui le fait survivre, répété encore et encore, sans que jamais l’œil ne s’épuise. Et c’est grâce à cet œil insatiable qu’une fois encore, ce rituel va recommencer – maintenant.
Ce texte a été rédigé à l’occasion de la projection du film le 25 août 2016, au cinéma Le Petit Casino de Saint-Aignan-sur-Cher dans le cadre des séances "Les Voyeurs".
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Notre groupe de cadres RH, je suis l'assistante d'Erin qui est chargée de recrutement et ma cousine Cindy est la secrétaire de Florence, la RRH. Je suis ici en tailleur jupe marron et Cindy en tailleur jupe gris.
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Model in grey suit 1985. Figaro Madame. Photo Frank Horvat.
Modèle en tailleur gris 1985. Le Figaro Madame. Photo Franck Horvat.
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L'Art et la mode, no. 34, vol. 17, 22 août 1896, Paris. Toilettes de saison. Dessin de J. Portalez. Bibliothèque nationale de France
Chapeau de paille verte garni de volubilis blancs et roses. Large ruban de taffetas blanc enserrant la calotte.
Green straw hat trimmed with white and pink morning glories. Wide white taffeta ribbon around the crown.
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Chapeau Louis XVI, en paille blanche. Couronne de dentelle blanche cernée d’une couronne de roses rouges et roses; oiseau de paradis blanc.
Louis XVI hat, in white straw. Crown of white lace surrounded by a crown of red and pink roses; white bird of paradise.
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Costume tailleur en drap vert amande avec applications de soie blanche découpée. Doublureet revers en soie blanche, chemisette de linon incrusté de dentelle, col et ceinture de velours capucine.
Tailored suit in almond green cloth with cut-out white silk applications. White silk lining and lapels, linen shirt inlaid with lace, capucine velvet collar and belt.
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Jupe et haut de manches en soie gris-argent. Corsage de mousseline de soie blanche. Garniture de guipure, formant col carré par derrière, bordée d’un volant plissé en linon. Jupe garnie de bouillonnes.
Skirt and upper sleeves in silver-gray silk. Bodice in white silk muslin. Guipure trim, forming a square collar at the back, edged with a pleated linen flounce. Skirt trimmed with ruffles.
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Toilette en linon brodé de liserons roses. Petite veste de velours vert foncé brodée de paillettes acier et cabochons d’émeraude avec garniture de point d'Angleterre. Col et ceinture de taffetas vert vif.
Linen dress embroidered with pink bindweed. Small dark green velvet jacket embroidered with steel sequins and emerald cabochons with English point trim. Collar and belt in bright green taffeta.
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illustration source LundiMatin "Je me souviens de son regard inquiet grossi par les verres de ses lunettes, de son poignet serré par le petit bracelet de cuir noir élimé d’une vieille montre dont il aimait remonter les aiguilles. Et si je ferme les yeux, j’entends encore sa voix rauque. Celle qu’ont les vieilles personnes souvent enrhumées. Régulièrement au cours des cinq années précédant sa disparition, nous avions pris l’habitude de déjeuner en tête à tête. Mon grand-père m’accueillait dans sa petite cuisine et je l’écoutais parler de son enfance boulevard Rochechouart. Au numéro 53 se trouvait l’appartement familial et quasiment en face, au 90, la boutique tenue par ses parents, tailleurs. Le magasin se composait d’une grande pièce comprenant un rayonnage où étaient rangés tous les coupons de tissu, un petit bureau et un salon d’essayage. Dans l’arrière-boutique une grande table servait tour à tour au travail, au repas et aux devoirs des trois enfants. Il avait 15 ans quand son père fixa à la vitrine un écriteau de 70 centimètres de long sur 40 de large. Dans un encadrement gris était écrit en majuscule : JUDISCHES GESCHAFT et juste en dessous en minuscule et en italique : Entreprise Juive. À l’école sa place était à présent au fond, avec les autres kids dont le manteau était estampillé. « Il fallait avoir du caractère pour ne pas aller se faire recenser », avait-il un jour grommelé, la tête baissée dans son assiette. Je devais avoir à peine plus que son âge à cette période, quand un midi, alors que je passais la porte de chez lui il se décomposa. Ses joues flasques se gonflèrent, écarlates, explosèrent en un cri. « C’est quoi ça » hurla le vieil homme. À mon cou, scintillait l’or d’une Magen David que le désir d’appartenance irriguant l’adolescence, m’avait poussé à acheter. Robert avait eu beau décrire la terreur d’une époque, c’est à cet instant, dans son visage contrit qu’elle m’apparut en flash .../...:" Valentine Fell -extrait de: Qu'aurait-dit mon grand-père de Gaza-à lire en entier chez: Lundimatin
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Dans le Rose ,je suis la métamorphose d'une Rose qui ose être pute et sainte à la fois.
Le Rose est la Couleur de ma chair qui crie le viol,l'amour et le sexe.
Le Rose jouie la douceur ,la rage du sang maquillée par le blanc de la neige aussi pure que l'éternité.
Il est mon cri de pétasse d'enfant fragile ,de femme forte ,de larme frigide .
Il est ma puissance,celle de faire une Couleur de souffrance ,une danse immaculée cherchant les étoiles par des gestes chaotiques mais si beaux.
Le Rose est une Couleur étrange qui n'a pas de sens pour ce monde carré .
Dans mes rêves,je m'appele Anna .
Je suis une pouffiasse libre,sexe si poilue .
Je crache la vérité et dénonce les violeurs en machant mon chew gum trop fort.
J'emmerde les codes et me masturbe le soir en regardant blanche neige.
J'ai des poils pleins les jambes ,ce tutu Rose de pétasse si prude et si délurée.
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Je crache ,je rote ,habillée de ces fleufleurs Rose car je ne rentre dans aucune case ,moi.
Je jure ,j'emmerde ce pays ,son drapeau ,ces machos,cette famille ,travaille ,patrie et patrons,réacs en dansant comme une barge dans des cabarets cosmique aussi brûlants que de l'ammoniaque. .
Mon Sang écarlate se mélange à la pureté de ma condition de femme, que je me prenne des bites dans le cul chaque jours ou que je soit chaste comme une nonne ,je reste la Vie et la Splendeur Immaculée.
Je fait du bricolage tout en faisant des stiptease pour des jolies nana anarchiste ou sinon je danse dans les rues en chantant à tue tête dans un pyjama puéril.
Je suis un peut grosse, un peut bonne ,sexy mais pas trop car je ne veux pas non plus faire bander un patron capitaliste en tailleur et en talons aiguilles .
Je baise les banques et je suis ringarde ,désuette et décalée tout en niquant la police, la psychiatrie et la patrie avec un doigt d'honneur réfléchie.
Je mouille plusieurs fois par jours.
Je m'habille comme une barbie et je suis réellement intelligente car je sais innover,penser ,analyser,créer et réfléchir.
Dans mes rêves, Anna paie des mecs un peut misogyne pour lui sucer le clito mais ils ne font que ça et se barre après être dégagés violemment.
Anna peut être une sainte aussi,une masculine ,une prude effarouchée mais elle reste celle qui gueule fort dans les bars et envoie chier ceux qui la regarde trop.
Rose c'est Anna.
Un Rose piquant et enfantin mais jamais niais .
Un Rose qui préfère être mal baisée que de sucer la queue d'un gros relou bien averti.
Un Rose de l'enfance si doux et paradoxalement si punk ,gouine et chaste .
Rose ,cri des chattes
Pink Punk
Rose qui se réapproprie tout les codes et qui abolie les modèles, les cases ,les idéologies encastrés et les barbelés.
Anna Rose Pink Punk est une castratrice assumée, une aviatrice pleine de cicatrices qu'elle transforme en tatouages de l'âme .
C'est une hystérique revendiquée dont la fierté est d'être intelligente ,lumineuse et drôle et dont la force est d'avoir surmonter l'enfer le plus abominable en gardant le sourire.
Le Rose est la Couleur des martyrs mystiques et donc des Femmes qui se réapproprient cette Couleur comme symbole de courage et de puissance.
Le Rose ,il y en a peut de les rues car le monde est d'un gris sanglant alors mettre du Rose dans celui ci c'est créer une simple bulle d'humanité pour les clodos,les détraqués ,les perdus ,les oubliées de cette société.
Le Rose ,Couleur de princesse !
Pourquoi les connasses poilues ,les garçons,les clochards divins qui puent et les incompris ne pourraient t-ils pas être quelques secondes une partie de ce monde de féerie et de paillettes folles ?
Un monde de fleur ,d'amour inconditionnel, de chattes libérées de tout codes
Un monde d'un Dieu pur et féministe dont la mère est une Femme qui aime à la fois lire et se toucher.
Un monde de roses qui sentent bon ,que les marginaux puant méritent tant
Un monde de poupée, de dessin animé ,d'extase ,de vérité criarde sans fausse pudeur calmée ensuite par la beauté de l'aurore aux formes fushia .
Ce monde n'existe pas mais Anna et toutes les Rose punk de ce monde peuvent le créer, pas besoin de s'appeler ainsi .
Il suffit juste de regarder la pureté de son cœur Rouge et celle de la Neige
Blanche,qu'il soit le Rose de ces pétasses libre et si intelligentes ou celui de ces enfants naïf et affranchies.
Rose pour toutes les petites filles et tout les petits garçons
Rose pour réchauffer et attendrir les glaçons.
La Souffrance peut s'éteindre dans ce lit de roses Rose ,d'aurore spectaculaire, de bonbons et de fantaisies.
Le Rouge est Vie ,le Blanc est paradis.
Le Rose lui est une putain de poésie
Nébuleuse
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Une dame boit son sang menstruel pendant une semaine, pour épouser son ex-copain. Agée de 45 ans et mère de quatre enfants, cette dame divorcée aujourd’hui, n’a pas hésité une seule fois et sur instruction d’un charlatan, à boire et, cela pendant une semaine, le sang provenant de ses menstrues. Juste pour épouser l’homme de sa vie qui, selon elle, l’avait humiliée en l’abandonnant, après des années de relations amoureuses, pour ensuite se marier avec sa voisine de quartier, informe « L’Observateur ». Une dame boit son sang menstruel pendant une semaine, pour épouser son ex-copain «J’étais presque devenue la risée de tout le quartier Thiocé de Mbour. L’homme avec qui j’ai entretenu pendant des années, une relation amoureuse dénuée de tout intérêt, m’a subitement tourné le dos pour épouser une jeune fille de mon quartier. Alors qu’il m’avait déjà promis le mariage. Grande a été ma déception. Je suis littéralement tombée des nues», se souvient-elle. Désenchantée, le cœur en lambeaux, la jeune dame, la rancune en travers de la gorge, a décidé de prendre sa revanche sur le couple. « Une amie m’a mis en rapport avec un marabout originaire de la Gambie. Après une séance de voyance, il m’a promis que je reconquerrai mon homme, mais au prix d’un sacrifice suprême : Boire le sang de mes menstrues. J’étais dégoutée et dubitative au début, mais quand j’ai songé à la trahison de mon homme, j’ai accepté puisque d’après le marabout, c’était la seule solution pour le récupérer», confie-t-elle à nos confrères de « L’Observateur ». nuit de noce vire au cauchemar tailleur bat violemment sa nouvelle épouse après une tentative avortée de rapport sexuel A lire aussi Mame ndiaye savon, du jamais vue elle s’expose à son mari – Regardez l’ambiance de ouf ! Elle poursuit : « Le marabout m’a remis des bains mystiques et des gris-gris. Mais également des potions mystiques que je devais mélanger avec du sang provenant de mes menstrues. A charge pour moi de boire cette décoction pendant 7 jours ». Le sacrifice ne tardera pas à porter ses fruits. Après 17 jours seulement de mariage, l’ex-copain qui est un cadre dans une grande entreprise de la place, va divorcer de son épouse pour épouser son ex, N. M. La guerre mystique a été rude et finalement, j’en suis sortie victorieuse Mame ndiaye savon, du jamais vue elle s’expose à son mari - Regardez l’ambiance de ouf ! «Il fallait bien le faire. Car, il s’agissait pour moi d’une question de vie ou de mort. Entre cette jeune fille et moi, la guerre mystique a été rude et finalement, j’en suis sortie victorieuse. Les pratiques mystiques sont bien une réalité sous nos cieux. Et moi, j’y crois fermement. » Aujourd’hui, 10 années après, de l’eau a coulé sous les ponts. L’union de N. M. couronnée par 4 enfants, s’est soldée par un divorce. Une dame boit son sang menstruel pendant une semaine, pour épouser son ex-copain A lire aussi 10 ans de mariage : Mame Ndiaye Savon et le henné time du siècle. Regardez ! Mais N. M. ne regrette rien. Elle a eu sa revanche et récolté 4 enfants avec l’homme et donc, une pension alimentaire conséquente. 10 ans de mariage Mame Ndiaye Savon et le henné time du siècle Dama ame Fite... « Aujourd’hui, il est en couple avec une de ses collègues de service. Cela ne me dérange nullement, vu que moi, j’ai déjà soldé mon compte en me vengeant de ma voisine de quartier qui, non plus, n’est plus mariée avec lui. Elle voulait détruire ma vie, je lui ai rendu la monnaie. Aujourd’hui, on est quittes», renchérit revancharde N. M., qui vit aujourd’hui avec ses enfants, au domicile de son grand frère au quartier Thiocé de Mbour, détaille le journal
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