#tôt le matin
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GAËL FAYE - TÔT LE MATIN
Empereur de brigands, Mackandal, Bois-Caïman Écris des récits ou te cogner à des récifs Une feuille blanche est encore vierge pour accueillir tes hérésies Lis entre les vies, écris la vie entre les lignes Fuis l'ennui des villes livides si ton cœur lui aussi s'abîme
Briser les chaines, fissurer la dalle Inventer la lune, que tous la voient
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Early morning in Banff National Park Photograph by Stevin Tuchiwsky UP KNÖRTH on Instagram
Just give us whiskey, wilderness and mountain sunrises.
#getoutdoors #upknorth Early morning in Banff National Park shot by @stevint (at Banff National Park)
#UP KNÖRTH#upknorth#early morning#Banff National Park#shot#Stevin Tuchiwsky#stevint#photography#nature#раннее утро#Национальный парк Банф#снимок#Стевин Тучивски#фотография#природа#früher Morgen#Banff-Nationalpark#Aufnahme#Fotografie#Natur#tôt le matin#Parc national de Banff#prise de vue#photographie
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Tôt le matin !
Mots d’ordre pour créer le désordre ! + article : Déshonneur démocratique Par Bernard Bruyneel Nous avons besoin de VOUS pour poursuivre notre combat face à la dictature de la pensée unique.Cliquer ICI pour nous soutenir Attention ce texte est un pamphlet n’engageant que son auteur. Observatoire du MENSONGE défend la liberté d’expression ! Faîtes de même en le partageant et/ou en nous suivant.…
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#Bernard Bruyneel#déshonneur démocratique#désordre#Observatoire du MENSONGE#ordre#politique#tôt le matin
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la vie de ma mère si aa nous montre pas ce qu'arthur et guenièvre se sont dit pendant les 4 heures de marche jusqu'à la tour de ban qui lui ont ensuite donné envie de grimper la tour pour aller l'embrasser j'vais lui péter la gueule
#oui il est tôt le matin mais y a kv1 qui repasse à la télé et on est à ce moment précis et juste ça me bute#en vrai tout est rushé dans ce film mdr ça M'ÉNERVE#kt
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/sigh/ I poured ground coffee directly in my mug instead of French press. So it’s one of those mornings.
How is your day going, Folks?
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Noël, du coup, de la glace, du coup, le roi d’os. Bref. Juste envie de dessiner un peu le roi d’os à… 3heures du matin…cool, cool. Moi qui m’étais promis de dormir tôt. Bah. Une autre fois.
#sketch#digital art#just doodlin#lmk shadowpeach#lmk macaque#lmk sun wukong#just night doodle#bone king au#lmk mayor
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avan��a plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
#mixte 1963#voltaire high#alain laubrac#joseph descamps#jean-pierre magnan#fanfiction#oneshot#fluff#angst#school au#voltaire high fanfiction#x reader
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100 Days of Productivity [Day: 59] || 100 Jours de Productivité [Jour: 59]
dreams that lead to home. one that you can call your own.
another week, another venture. started off with an early morning, lots of readings, and new ideas. I'm slowly learning to set goals that also allow me to spend time with the people I love the most.
readings completed
course work completed
visual project started
house cleaned
meal plan sorted
reading done
notes re-written
currently listening // Endless Love by DVRST, OBLXKQ
Les rêves qui mènent à la maison, une maison que l'on peut appeler la sienne.
Une autre semaine, une autre aventure. J'ai commencé tôt le matin, avec beaucoup de lectures et de nouvelles idées. J'apprends lentement à me fixer des objectifs qui me permettent également de passer du temps avec les personnes que j'aime le plus.
lectures terminées
travail de cours terminé
projet visuel commencé
maison nettoyée
plan de repas réalisé
lectures effectuées
notes réécrites
chanson // Endless Love par DVRST, OBLXKQ
#100 days of productivity#day 59#100dop#100 jours de productivité#jour 59#100jdp#studyblr#study motivation#studyspo#study aesthetic#study blog#bookish#gradblr
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Pourtant, tôt le matin et tard le soir, Hessie cousait…
Hessie 1970s
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Salut Julien, depuis combien de temps es-tu là ?
Oh! nous sommes arrivés tôt ce matin ! Owen a une maison ici et nous résidons actuellement jusqu'à ce que les choses soient mises en place.
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Bonjour tout le monde!🌥 Il semble que tôt le matin soit une occasion parfaite pour se réconforter, pour respirer avant que le reste du monde ne se réveille. Les matins sont avant tout une question de rituels et non d'horaires. Bon dimanche chers amis
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I was sitting in this psych ward waiting to go into the canteen and this 60 or 70 something year old woman started talking to me and after a while said « vous connaissez le funiculaire de Montmartre ? » and I said yes and she said « Je vais jamais oublier ça, mais un jour j’étais en bas et j’appuyait le bouton pour monter. Il y avait une dame en bas allongé et elle me demande pour des pièces. Je l’ai dit ‘Va te faire foutre, si tu veux de l’argent il faut se lever tôt le matin comme moi et travailler’. Après, elle a pointé le doigt vers moi et elle m’a dit ‘Jamais dans la vie vous trouverez l’amour’ » After a while she looked at me and was like « Et, c’était vrai. » and I didn’t know what to say at all except try to write it down.
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Hé hé ! Demain, à cette même heure, nous serons en voiture avec Spritz ! On compte partir entre 4 et 5h du matin, je vous dirais bien à la fraiche mais il fera frais pendant encore plusieurs heures après notre départ, vu le climat dans le nord, donc en fait non. Si on part si tôt, c'est avant tout pour arriver dans le sud à l'heure de l'apéroooooo !!!
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Candaulisme
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
Un soir, au retour d’un apéritif d’entreprise improvisé, ma femme ayant préféré rentrer à la maison pour ne pas me laisser seul (même si lorsqu’elle m’a appelé au téléphone pour me prévenir je lui ai laissé comme d’habitude la décision d’accompagner ses amis ou pas) , vint me rejoindre dans la pièce bureau de notre maison.
« Hello, chéri » m’adressa-t-elle en venant me gratifier d’un baiser rapide sur les lèvres « Tout va bien ? Ta journée ? »
« Oui, et toi ? Tu aurais pu rester tu sais...je travaille à mon prochain livre...Je t’ai préparé le repas...Tu trouveras tout de prêt dans la cuisine... »
« Merci Chéri me glissa-telle à l’oreille tout en m’embrassant à nouveau et en se collant contre moi... »
« Oh...toi... ! lui fis-je remarquer...toi, tu as quelque chose à me raconter...§ Je te connais tellement...Viens... »
En m’embrassant, elle s’était effectivement appuyée assez significativement contre moi ...Son odeur...Sa chaleur...Ses adorables seins qui pointaient au travers de son chemisier un peu plus ouvert qu’à son départ au matin...
« Hummm me fit-elle en minaudant...Euh, oui enfin, pas grand-chose...mais il faut que je te dise... A l’apéro ce soir, à la guinguette à côté de notre boite, il y avait pas mal de monde et on a un peu dansé. »
Ma femme adorait danser et j’adorais la voir danser ou savoir qu’elle avait été heureuse en dansant...Elle était belle et dansait réellement avec grâce et légèreté...ce qui ne manquait pas d’attirer plus encore les regards sur son corps entretenu.
Ce faisant, alors qu’elle continuait à embrasser mes lèvres avec une réelle et non feinte gourmandise, me bécotant, je passais ma main sous sa courte jupe du vendredi, une habitude du "vendredi tout est permis" chez elle, se permettant ainsi de ne rien porter en dessous...Elle était alors si sexy...Elle avait aussi ce soir là ajouté une de mes cravates sur son chemisier pour un effet « woorking-girl » libérée qui lui allait particulièrement bien...
« Oh...toi...C’est bien chaud et bien humide tout ça », lui dis-je en parcourant sa chatte aux lèvres déjà accueillantes et entrouvertes...
« Hummmm...Toi, tu as été coquine ce soir...Coquine... ? Très coquine... ? Raconte-moi !»
Elle s’assit ainsi sur moi en faisant tourner mon fauteuil pivotant...
« En fait, rien de prévu mais après un Mojito et quelques danses avec les collègues, un jeune homme s’est approché de moi et m’a fait du gringue...Imagines-toi qu’il est voisin...Il vient d’arriver dans la boite d’à côté et m’a dit qu’il m’avait souvent vue arriver le matin, que j’étais toujours super habillée et souriante...Il arrivait tôt car débutant et s’installait à une fenêtre de leur espace café en attendant l’arrivée des autres ... On a alors discuté, il m’a proposé un autre verre et on a fait quelques danses car il y avait une série de rock et tu sais que je ne sais pas résister à cette danse... Il danse d’ailleurs très bien pour un jeune d’une autre génération de musiques...D’un pas à l’autre , on a ri, on a discuté et à la fin de la série de danses, il m’a prise par l’épaule pour qu’on discute un peu à l’écart...Là, et j’ai réellement aimé ;, il ne m’a pas caché son attirance, qu’il aimerait me revoir, m’a donné son téléphone...Il est bien bâti comme j’aime, car joueur d’une équipe de rugby du village d’à côté...Son sourire était trop craquant et aussi un peu sa timidité...Il rougissait mais était tellement sincère que s’en était touchant...J’ai craqué... ! Je l’ai embrassé...Il n’en revenait pas... et surtout il m’a indiqué ma bague...Je l’ai rassuré en lui disant qu’il ne risquait rien et que j’avais le plus incroyable et merveilleux des maris qui me laissait totalement libre...Il n’en revenait réellement pas, enchaînant les « Mais... ? » incrédules...Aussi, je lui indiquais de rester là quelques instants , le temps que je t’appelle...Je t’ai appelé et ai décidé de te rejoindre, aussi , en retournant vers lui et en saluant les collègues de bureau, je l’ai pris par la main et entrainé sur le parking...Il faisait déjà nuit et ne lâchant pas sa main, je me suis appuyée sur ma voiture pour l’embrasser de nouveau et lui indiquer que nous ne serions pas sans nous revoir … ».
Pendant que ma femme me racontait son histoire, elle avait aussi remonté sa courte jupe sur ses merveilleuses fesses et se frottait sur mon sexe qui ne cessait de grandir au travers de l’étoffe de mon pantalon...
Je bandais comme un fou...
J’ouvrais adroitement ma braguette pour qu’elle s’empale sur mon dard à son zénith et rapidement elle « dansait » sur ma bite tout en continuant son adorable récit d’adorable salope qu’elle avait su être et plus encore à cet instant, qu'elle était...
Je crois que c’est elle qui me baisait pour être honnête...
Elle se déchainait et je réussi à attraper la cravate, sa cravate, ma cravate pour la tenir comme en laisse ou avec un guide et suivre le rythme qu’elle voulait comme un cow-boy suit le rythme de son cheval déchaîné tout en tentant d’en garder la maîtrise... !
Elle continua en me décrivant comment elle l’avait sucé entre les deux voitures, au risque de se faire voir par ses collègues qui ne devaient pas tarder à quitter l’établissement festif...
Elle me narrât en détail la queue de ce nouvel amant, son poids, sa forme, sa puissance, sa liqueur, son abondance et surtout le plaisir qu’elle avait pris à le sucer sauvagement sur le parking, le garçon toujours aussi incrédule de la bonne étoile de cette soirée...
Elle m’expliqua aussi combien il lui fut difficile d’arrêter sa main pendant le trajet du retour vers la maison et combien son esprit naviguait entre la queue de ce jeune homme et la mienne, impatiente de se faire démonter...
« Chéri...On sort ce soir ! J’ai trop envie...Je suis impatiente de toi, d’autres, des autres et de lundi... Je crois que pendant un moment je vais avoir le sourire en allant au boulot le matin... ! »
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
La soirée était loin, très loin d’être achevée...
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C'est pas mon banquier qui m'appelle à 9h du matin pour me dire "oui c'est dommage que vous n'ayez pas pris vos assurances chez nous" ???? fréro y a pas à appeler les gens si tôt wsh et le mec je lui dis que j'ai trouvé moins cher ailleurs et il me dit "ah oui mais quand même" ?? fréro tu vois mon compte en banque je pense tu peux voir l'étendue de ma pauvreté
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Tôt mercredi matin, une centaine de manifestant·es ont bloqué l’entrée d’un édifice de Bombardier près de l’aéroport Pierre-Elliot-Trudeau à Montréal. Ils et elles dénoncent la complicité de la compagnie ainsi que celle de l’entreprise d’armement et d’aéronautique Lockheed Martin, qui a aussi des bureaux sur le site, dans la mort de plus de 14 000 Gazaoui·es depuis le 7 octobre dernier.
« Ce n’est pas simplement une catastrophe humanitaire se déroulant à l’autre bout du monde, mais une guerre génocidaire dont l’État canadien et les intérêts économiques canadiens sont profondément complices », peut-on lire dans un communiqué émis par le groupe. « Nous ne pouvons pas accepter que les instruments du génocide et de l’apartheid continuent d’être manufacturés chez nous. »
Bombardier est visé puisque ses trains sont utilisés par la compagnie des Chemins de fer israéliens depuis 2010, notamment en Cisjordanie, dans des zones occupées illégalement par des colons israéliens. Notons toutefois que Bombardier a vendu sa division transport à Alstom en 2021 et ne fait plus de train depuis cette date.
Les manifestant·es soulignent aussi que le fabricant d’armes Lockheed Martin est l’un des principaux fournisseurs de l’armée israélienne, qui se serait récemment procuré des avions F-35 auprès des États-Unis, présumément utilisés à Gaza. [...]
Continuez la lecture.
Note from the poster @el-shab-hussein: I'll translate these segments later for English readers. For now this article is for the francophones who follow the blog. Je vais traduire cet extrait plus tard pour les lecteurs anglophones. Mais pour maintenant cet article est pour les francophones qui suivent ce blogue.
#cdnpoli#Montreal#Québec#Bombardier#Lockheed Martin#foreign policy#zionist occupation of Palestine#western imperialism
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