#tôt le matin
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GAËL FAYE - TÔT LE MATIN
Empereur de brigands, Mackandal, Bois-Caïman Écris des récits ou te cogner à des récifs Une feuille blanche est encore vierge pour accueillir tes hérésies Lis entre les vies, écris la vie entre les lignes Fuis l'ennui des villes livides si ton cœur lui aussi s'abîme
Briser les chaines, fissurer la dalle Inventer la lune, que tous la voient
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Early morning in Banff National Park Photograph by Stevin Tuchiwsky UP KNÖRTH on Instagram
Just give us whiskey, wilderness and mountain sunrises.
#getoutdoors #upknorth Early morning in Banff National Park shot by @stevint (at Banff National Park)
#UP KNÖRTH#upknorth#early morning#Banff National Park#shot#Stevin Tuchiwsky#stevint#photography#nature#раннее утро#Национальный парк Банф#снимок#Сте��ин Тучивски#фотография#природа#früher Morgen#Banff-Nationalpark#Aufnahme#Fotografie#Natur#tôt le matin#Parc national de Banff#prise de vue#photographie
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Tôt le matin !
Mots d’ordre pour créer le désordre ! + article : Déshonneur démocratique Par Bernard Bruyneel Nous avons besoin de VOUS pour poursuivre notre combat face à la dictature de la pensée unique.Cliquer ICI pour nous soutenir Attention ce texte est un pamphlet n’engageant que son auteur. Observatoire du MENSONGE défend la liberté d’expression ! Faîtes de même en le partageant et/ou en nous suivant.…
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#Bernard Bruyneel#déshonneur démocratique#désordre#Observatoire du MENSONGE#ordre#politique#tôt le matin
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la vie de ma mère si aa nous montre pas ce qu'arthur et guenièvre se sont dit pendant les 4 heures de marche jusqu'à la tour de ban qui lui ont ensuite donné envie de grimper la tour pour aller l'embrasser j'vais lui péter la gueule
#oui il est tôt le matin mais y a kv1 qui repasse à la télé et on est à ce moment précis et juste ça me bute#en vrai tout est rushé dans ce film mdr ça M'ÉNERVE#kt
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Noël, du coup, de la glace, du coup, le roi d’os. Bref. Juste envie de dessiner un peu le roi d’os à… 3heures du matin…cool, cool. Moi qui m’étais promis de dormir tôt. Bah. Une autre fois.
#sketch#digital art#just doodlin#lmk shadowpeach#lmk macaque#lmk sun wukong#just night doodle#bone king au#lmk mayor
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Soft Launch - Alain Laubrac x Fem Reader (FR)
The story that follows is in French for my French Voltaire High's fans, English version is posted there!
Requested by @babydeersblog
Synopsis: Alain et toi aviez fait connaissance au début de l’année et aviez été associé à plusieurs travaux de groupes, ce qui a permis de faire évoluer votre relation au fur et à mesure. Cependant, après avoir été moqué lorsque tu as avoué des sentiments à un garçon, tu as décidé de les garder pour toi et de ne plus faire transparaître des traces d’amour. Mais Alain te fait malheureusement ressentir quelque chose que tu aimerais découvrir davantage.
Warnings: petits changements dans l'histoire de base.
Notes: n’hésitez pas à me recommander des idées de oneshots — j’écris en anglais et français!
Depuis le début de l’année, Alain et toi vous échangez des mots durant vos heures de cours. Tu as l’habitude de lui faire des petits dessins pendant qu’il t’écrit des citations ou des farces, dépendant de son humeur. Depuis son combat avec Joseph il y a quelques mois, tu es devenue la sorte d’ange gardien d’Alain, tu l’empêches de déraper et tu le défends lorsque tu en as l’occasion devant Joseph et ses amis.
Cependant, depuis ces dernières semaines, Joseph ne peut s’empêcher de vous taquiner en rappelant comment vous êtes proches et en assumant que vous vous aimez comme si cela était un jeu. Mais Joseph était comme ça. Tout était drôle pour lui et tout n’était pas grave.
Lorsque tu rentres à la maison les week-ends, tu as le droit à l'interrogatoire privé de ton frère Jean-Pierre, comme si les questions bidons de Joseph ne suffisaient pas. Pour Jean-Pierre, tu étais et resteras toujours sa petite sœur qu'il doit chérir et protéger. Il a arrêté de te voir grandir à l'âge de neuf ans.
"C'est qui Alain ?" Demanda Jean-Pierre la seconde où tu déposas ton pied à l'intérieur de ta maison.
"Un ami. Question suivante ?" Tu répondis.
Jean-Pierre fronça les sourcils. Pour lui, hors de question que tu sortes avec un garçon. Simone lui avait rappelé plusieurs fois que tu avais dix-sept ans et que tu étais assez grande pour avoir un copain, mais il était têtu et ne voulait rien savoir concernant ce sujet.
"Apparemment non, ce n'est pas ce que Joseph prétend dire."
"Joseph ! Tu le crois vraiment lui ?! C'est un idiot et il aime lancer des rumeurs sur tout ce qui bouge. Je te croyais plus intelligent…" Tu affirmas en attrapant un verre que tu remplis soigneusement d'eau.
Après ton échange avec ton frère, tu te dirigeas vers ta chambre et découvre une lettre déposée sur ton lit. Elle est signée A.L.
Tu as reconnu tout de suite l'écriture de l'expéditeur et ses phrases toujours si originales que captivantes. Tu ne pus t'empêcher de sourire à chacune de ses lettres, à chacun de ses mots, de ses actions. Mais bien que cela devrait te rendre heureuse, au contraire, cela t'angoissait.
Chaque soir avant de dormir, tu réfléchissais à ce que tu voulais vraiment. Tu avais deux choix qui se présentaient à toi : lui avouer tes sentiments et risquer de te faire humilier comme auparavant, ou les garder secrets et peut-être perdre l'amour de ta vie.
L'amour de ta vie, c'est peut-être un grand mot.
Le lundi matin, après avoir quitté ton domicile, tu arrivas au lycée un peu plus tôt. Tu espérais surtout voir Alain.
"Matinale." Une voix masculine t'interpella.
Sans même te retourner, tu pus reconnaitre cette voix entre cents, même si ce n'était pas réjouissant pour toi.
"Joseph, qu'est-ce que tu me veux encore ?"
"Qu'est-ce que je te veux ? Qu'est-ce que tu me veux plutôt."
Tu leva ton sourcil, lançant inconsciemment un regard noir à Joseph.
"Même si le lycée ne me connait pas encore sous ce nom, je suis ravi de me présenter, Joseph le Cupidon." Il se baissa en mimant une révérence.
"Joseph le quoi ?!" Tu pouffas de rire à cette nouvelle imprévisible. "Tu te moques de moi, c'est ça ?"
"Est-ce que j'en ai l'air ?"
Mon sourire s'effaça immédiatement de mon visage lorsque je compris qu'en effet, il était complètement sérieux. Mais Joseph, sérieux ou non, n'est pas quelqu'un de confiance.
"Va te chercher un autre client." Tu répondis en tournant les talons.
"Tu n'as pas envie de savoir ce que ton cher Alain pense de toi ?" Un sourire narquois se forma sur les lèvres du blond.
"Pas forcément, et sûrement pas grâce à ton aide." Tu déclares.
"C’est dommage, je connais beaucoup de choses à son sujet et des choses qui pourraient t’intéresser-" Joseph s’arrêta dans sa phrase lorsque Alain arriva.
"Ça va Y/n ? Joseph…" Alain lança un coup d’œil confus à Joseph. "On peut déjà se préparer à aller en cours, t’en dis quoi ?"
Tu acquiesces et tous les deux partirent jusque dans les couloirs. Alain s’adossa au mur.
"Si Joseph t’embête, dis-le-moi."
"C’est Joseph, il est comme ça." Tu déclares.
Alain baissa son regard, comme s'il était contrarié, et contrarié par ce qui venait de se passer.
Lors du premier cours de la journée, tu ne pouvais t’empêcher de jeter de nombreux coups d’œil à Alain qui paraissait tellement concentré sur le cours. Tu étais aussi concentrée sur lui que lui sur son cours que tu ne te rendais pas compte que son regard était maintenant tourné vers toi.
Ses yeux bleus étaient encrés sur toi. Il ne bougea même pas lorsque ton regard rencontra le sien. Tes joues prirent soudainement une teinte de rose pendant qu’un sourire narquois se dessina sur le visage d’Alain.
À la sortie des cours, tu croises à nouveau la route de Joseph qui te supplia de t’accompagner jusqu’à chez toi puisque vous habitez près l’un de l’autre.
Alain, qui marchait quelques mètres plus loin, a pu apercevoir ta silhouette et celle de Joseph marcher côte à côte. Il ne put s’empêcher de ressentir de la jalousie. Pourquoi Joseph était-il toujours obligé d’être avec toi alors qu’il rêvait seulement d’être à sa place.
***
Le lendemain, Alain et toi aviez un travail de science à terminer, un travail qui t’obligeait à travailler pendant une durée indéfinie avec lui. Tu te réjouissais déjà d’avance de te retrouver avec lui, mais bizarrement, tu ressentais de la pression, comme si cela allait mal se passer.
Tu marches rapidement vers la salle de science en apercevant Alain qui était déjà assis sur une chaise au fond de la salle.
"Je suis en retard ?" Tu demandas.
"On va plutôt dire que je suis en avance." Alain te sourit avant de te tirer une chaise.
Le travail avança plus rapidement que prévu, tous les deux étiez concentrés, mais prenaient quelques poses afin de discuter de choses plus divertissantes et amusantes que les cours de sciences.
"Toi et Joseph, il y a…" Alain commença.
Tu écarquillas les yeux avant de répondre.
"Non, non ! C’est seulement un ami, il ne m’intéresse pas." Tu t’empressas de répondre.
Alain lança un coup d’œil à son cahier sans dire un mot, comme si ta réponse ne lui convenait pas.
Ses doigts tenaient fortement son crayon avec lequel il gribouillait dans le coin de son cahier.
Tes yeux parcouraient tout son visage, de ses boucles brunes jusqu'aux courbes fines de sa mâchoire.
"Ça ne va pas ?" Tu demandas finalement.
Les yeux d’Alain se fixèrent une nouvelle fois sur toi. Ils descendirent jusqu’à tes lèvres avant de remonter à tes yeux. Bien qu’il ne parlait pas, son regard en dévoilait tellement plus.
Tes battements de cœur s’accélèrent et tes lèvres te démangeaient de l’envie de l’embrasser.
Son visage se rapprocha doucement du tien, ton cœur manqua presque un battement.
"Ça bosse dur ?" Une voix masculine lâcha.
Alain et toi vous retournez en un sursaut avant d’apercevoir Joseph dans l’embrasure de la porte. Il te souriait de manière espiègle comme s'il avait fait ça exprès. Et tu étais sûre que c’était le cas.
"Je vais te laisser, Y/n. On se remet en commun demain." Alain remballa ses affaires et te lança un bref sourire avant de s’en aller, frôlant légèrement Joseph.
"Ça t’amuse ?!" Tu déclares.
"J’ai cru que tu n’étais pas intéressée ?" Un sourire narquois apparut sur les lèvres de Joseph.
***
L'après-midi, tu t'étais rendue à l'infirmerie pour prendre des médicaments pour soigner ton mal de ventre irrépressible. Avant que tu puisses à nouveau enfiler ton gilet, la porte s'ouvrit sur Alain.
"Hey..."
"Je- Je ne pensais pas voir quelqu'un ici à cette heure." Il affirma.
Son nez saignait légèrement et tu pouvais remarquer du sang sur ses phalanges.
"Tu t'es battu ?" Tu demandas directement.
Il ne répondit pas, ses lèvres se pincèrent et il détourna le regard. Des fois, le silence est plus fort que les mots.
Tu mouillas un coton avant d'attraper doucement sa main pour la désinfecter.
"C'était pas moi… Je n'ai pas commencé." Il murmura.
"C'est trop simple de dire ça à chaque fois, Alain."
Il inspira et expira un 'oui' silencieux et serra les dents lorsque tu appuyais sur sa plaie.
La proximité entre vous deux te permettait d'entendre les battements de son cœur et de sentir son regard sur toi pendant que tu désinfectais soigneusement sa blessure.
En déposant le coton sur la table à côté de vous, tu sentis la main immobile d'Alain frôler légèrement ta cuisse lorsque tu te déplaças.
Tu mordilles ta lèvre pour dissimuler ta préoccupation. Chacun de ses mouvements, de ses regards ou de ses mots te procurait toujours une sensation qui était impossible à décrire.
Il était devenu de plus en plus compliqué pour toi d'assumer tes sentiments sans toujours imaginer le pire. Cependant, tu voulais que ça marche avec Alain. Tu sentais toujours des papillons dans ton ventre lorsque tu le voyais te sourire dans la cour, ou lorsqu'il dissimulait des lettres dans ton sac. Sans compter les fois où tu pouvais croiser son chemin, comme dans l'infirmerie par exemple.
Tout te menait à lui et tu ressentais quelque chose de différent, quelque chose de captivant.
***
Le lendemain, après la fin des cours, Alain t’avait invité pour faire un tour en ville. Au début, vous marchiez en silence. Tes interactions avec lui n’étaient jamais aussi gênantes, et l’ambiance était presque pesante actuellement.
"Désolée pour hier…"
Alain tourna sa tête, presque étonné que tu t’excuses.
"Ce n’est pas ta faute." Il répondit brièvement.
Tu te mordais les lèvres, tu ne savais pas comment rendre l’ambiance plus joyeuse ou seulement moins morbide.
"Joseph est-" Tu commences avant de te faire interrompre par Alain.
"C’est toujours Joseph, Y/n. Sauf que Joseph prend un malin plaisir à t'embêter, je le remarque très bien. Il faut que tu l'ignores, parce qu'il ne va pas s'arrêter si rapidement. Alors arrange toi pour qu’il arrête, ou je vais m’en occuper moi-même."
Lorsqu’il finit de s’exprimer, tu n'as pu t’empêcher de sortir un court ‘non’ de ta bouche. Tu ne voulais pas qu’ils s’en prennent aux mains comme toujours.
Tu attrapes son bras pour le pousser légèrement vers toi. Soit tu attendais et tu risquais peut-être que la situation dégénère ou se finisse autrement que prévu, soit tu prenais ton courage à deux mains.
Alain te regardait de nouveau avec un regard rempli de désir. Tu ne savais pas ce que ce regard voulait exactement dire, mais bien que tu ne veuilles pas te tourner des films, il n’était en aucun cas amical.
"J’aimerais t’avoir à moi pour une fois… pour pouvoir agir sans que quelqu’un me coupe à chaque fois…" Alain affirma.
Vous arrivez dans une petite ruelle. Vous marchez de plus en plus lentement et vos corps se rapprochaient au fur et à mesure que vous avancez, jusqu'à ce que vos mains se frôlèrent à plusieurs reprises.
Vos deux regards se croisèrent lorsque vous sentez la main de l’autre. Alain s’avança devant toi et s’arrêta soudainement, ce qui mena à ton arrêt à toi aussi.
"Y/n, j'aimerais tellement que tu sois plus confiante, tu es jolie et intelligente. Ne te cache pas et ne te laisse pas marcher dessus par qui que ce soit."
Tes sourcils se levèrent lorsque tu entendis ses mots. Tes joues devinrent immédiatement rouges malgré le fait que tu essayais de les cacher.
Alain se pencha lentement vers toi, sa main se tendait vers ton bras. Il n’osait pas la poser autre part et attendait surtout une réponse de ta part pour le faire. Ses yeux se baissèrent de nouveau vers tes lèvres. Cependant, cette fois-ci, il ne détourna pas le regard. Malgré l’hésitation, il posa enfin ses lèvres sur les tiennes et tu répondis immédiatement au baiser. Ses lèvres douces s’appuyèrent contre les tiennes et bougeaient à la même allure que les tiennes.
Quelques secondes plus tard, vous reculez tous les deux vos visages et vous regardèrent dans les yeux avant qu’Alain t’affiche un sourire doux.
"Je n’aurais pas pensé faire ça ici… mais c’est même mieux." Il sourit et posa enfin une main sur ta taille.
Tu fus prise par les émotions et atteins à nouveau ses lèvres pour l’embrasser. Il appuya fermement sur ta taille en même temps que ses lèvres s’enfoncèrent dans les tiennes.
Sa respiration chaude soufflait contre ta peau et tu la sentais s’accélérer doucement.
Tu sentis ses lèvres former un sourire contre les tiennes et tu ne pus t'empêcher de sourire à ton tour.
De nouveau, tu sentais comme une sensation de flottement dans ton estomac. Sa main qui caressait tendrement ta taille et les mouvements de vos lèvres les unes contre les autres ne faisaient qu'empirer ton cas.
Cependant, ce que tu ne pouvais pas savoir était que du côté d'Alain, des tonnes d'émotions et de sensations envahissaient également son corps et faisait palpiter son cœur en rythme avec les battements du tien.
1758 mots.
#mixte 1963#voltaire high#alain laubrac#joseph descamps#jean-pierre magnan#fanfiction#oneshot#fluff#angst#school au#voltaire high fanfiction#x reader
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Ce matin...l'aurore!
L'aurore succède à l'aube et précède donc immédiatement le lever du soleil où l'horizon et le ciel présentent des lueurs brillantes, rosées et parfois flamboyantes. Elle fait souvent l'admiration de ceux qui se lèvent tôt.
Aurora follows dawn and therefore immediately precedes sunrise where the horizon and sky present brilliant, pinkish and sometimes flamboyant glows. It is often admired by those who get up early
Dany ERDOCIO
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100 Days of Productivity [Day: 59] || 100 Jours de Productivité [Jour: 59]
dreams that lead to home. one that you can call your own.
another week, another venture. started off with an early morning, lots of readings, and new ideas. I'm slowly learning to set goals that also allow me to spend time with the people I love the most.
readings completed
course work completed
visual project started
house cleaned
meal plan sorted
reading done
notes re-written
currently listening // Endless Love by DVRST, OBLXKQ
Les rêves qui mènent à la maison, une maison que l'on peut appeler la sienne.
Une autre semaine, une autre aventure. J'ai commencé tôt le matin, avec beaucoup de lectures et de nouvelles idées. J'apprends lentement à me fixer des objectifs qui me permettent également de passer du temps avec les personnes que j'aime le plus.
lectures terminées
travail de cours terminé
projet visuel commencé
maison nettoyée
plan de repas réalisé
lectures effectuées
notes réécrites
chanson // Endless Love par DVRST, OBLXKQ
#100 days of productivity#day 59#100dop#100 jours de productivité#jour 59#100jdp#studyblr#study motivation#studyspo#study aesthetic#study blog#bookish#gradblr
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Pourtant, tôt le matin et tard le soir, Hessie cousait…
Hessie 1970s
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Salut Julien, depuis combien de temps es-tu là ?
Oh! nous sommes arrivés tôt ce matin ! Owen a une maison ici et nous résidons actuellement jusqu'à ce que les choses soient mises en place.
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Bonjour tout le monde!🌥 Il semble que tôt le matin soit une occasion parfaite pour se réconforter, pour respirer avant que le reste du monde ne se réveille. Les matins sont avant tout une question de rituels et non d'horaires. Bon dimanche chers amis
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I was sitting in this psych ward waiting to go into the canteen and this 60 or 70 something year old woman started talking to me and after a while said « vous connaissez le funiculaire de Montmartre ? » and I said yes and she said « Je vais jamais oublier ça, mais un jour j’étais en bas et j’appuyait le bouton pour monter. Il y avait une dame en bas allongé et elle me demande pour des pièces. Je l’ai dit ‘Va te faire foutre, si tu veux de l’argent il faut se lever tôt le matin comme moi et travailler’. Après, elle a pointé le doigt vers moi et elle m’a dit ‘Jamais dans la vie vous trouverez l’amour’ » After a while she looked at me and was like « Et, c’était vrai. » and I didn’t know what to say at all except try to write it down.
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Là Pour Toi - Emily Prentiss
Masterlist
Résumé : Emily affirme qu'elle va bien après tout ce qu'elle a traversé, mais tu connais la vérité et tu fais tout pour être là pour elle.
Warnings : basé sur le 7x12, mention de Doyle et de la mort d'Emily, Emily qui ne va pas bien, angst, hurt/comfort.
Nombre de mots : 1.3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Let Me par Jade LeMac
Confortablement dans les bras de Morphée, tu te tournes dans le lit et inconsciemment, tu cherches ceux d’Emily sans succès. Avec difficulté, tu entrouves un œil, tu découvres une place vide à côté de toi, légèrement illuminée par la lumière du couloir. Ignorant où est ta petite amie, tu te lèves rapidement. Depuis qu’elle est revenue d’entre les morts, Emily est différente ce qui est compréhensible, mais ça veut aussi dire que tu n’arrives plus à la cerner aussi bien qu’avant. Emily était déjà secrète, maintenant, c’est pire. N’arrivant plus à la décoder, tu crains toujours le pire. Tu trottines en suivant la lumière et retrouves Emily dans la cuisine dos à toi. Tu l’entends renifler alors que tu appelles son prénom.
-Désolée, je ne voulais pas te réveiller, dit Emily en feignant un sourire.
-Tout va bien ?
-Oui, j’avais juste besoin de boire un verre d’eau.
-Tu as fait un autre cauchemar ? demandes-tu avec inquiétude.
-Non, je n’en fais plus depuis environ deux semaines comme tu le sais.
-Tu sais, il n’y a pas de honte à en avoir encore, surtout après ce que tu as vécu.
-Ne commence pas s’il te plait, réplique-t-elle, froidement, je vois déjà ma thérapeute demain, c’est suffisant… Pardon, je ne voulais pas être sèche, reprend-elle sur un ton plus doux.
-Ce n’est pas grave.
-J’avais juste soif, affirme Emily en posant le verre dans l’évier, mais tu vois clair dans son jeu. Je vais bien, je te le promets. Viens, on va se coucher.
Sans répondre, tu prends la main qu’elle te tend et vous retournez dans votre chambre. Alors que tu t’allonges sur le dos, Emily se colle un peu plus à toi et pose sa tête sur ta poitrine. C’est une habitude qu’elle a depuis qu’elle est revenue. Emily a besoin d’entendre tes battements de cœur pour s’assurer qu’elle n’est pas seule. Les muscles d’Emily se détendent un peu plus quand tu commences à passer ta main dans ses cheveux. Quand la tête d’Emily se fait de plus en plus lourde, tu t’autorises enfin à t’endormir, la tenant fort contre toi comme si elle pouvait disparaître la seconde suivante.
Pourtant, c’est bien ce qui se produit le lendemain matin. Emily est partie plus tôt à cause de sa séance de thérapie qu’elle a avant de partir pour une enquête. Tu soupires en remarquant son absence bien que tu sais que c’est pour le mieux. Tu es rassurée de savoir qu’Emily a parlé à un professionnel après tout ce qui s’est passé, tu aurais juste aimé qu’elle te dise au revoir avant.
Tu essayes de reprendre le dessus sur tes émotions le temps du travail. Tu dois t’occuper d’une classe de trente élèves de sept ans, tu dois être concentrée. Cependant, ça ne veut pas dire qu’à la moindre occasion tu ne regardes pas ton téléphone en espérant un message d’Emily.
Finalement, c’est en fin de journée, après que tu aies fini de dîner que ta petite amie t’appelle enfin et sans perdre une seconde, tu décroches le téléphone.
-Hey, Em’, comment tu vas ? L’enquête n’est pas trop compliquée ?
-Toujours un peu au début, mais on a déjà des pistes. Et toi, ta journée ?
-Oh, tu sais, j’ai dû expliquer quinze fois la même chose, un enfant a éternué sur mon pull et une autre m’a dit que j’étais belle, même si j’étais vieille. La routine, dis-tu sur un ton léger alors qu’Emily rigole.
-Encore une journée bien mouvementée.
-Comment ça s’est passé avec ta psy ?
-Elle a déclaré que tout va bien, que je suis apte à reprendre le travail, t’informe-t-elle après avoir pris une inspiration.
-Tant mieux. Enfin, si c’est la vérité, ajoutes-tu et tu peux voir Emily rouler des yeux mentalement. Je te connais, Em’, je vois bien déjà comment tu as dû mal à m’avouer quand tu as un cauchemar alors, j’imagine que ça doit être encore plus compliqué avec ta psy.
-Ça n’affecte pas mon travail, même Hotch me l’a dit.
-Je ne dis pas le contraire…, commences-tu, prudemment. Écoute, je sais que je ne pourrais jamais comprendre ce que tu as vécu, mais je sais qu’on ne s’en remet pas aussi vite. Tu as le droit de ne pas aller bien, d’avoir du mal à t’en remettre.
-Je suis en train de reprendre ma vie en main, rétorque-t-elle.
-Je le sais et je ne le nie pas, mais Emily, tu ne fais que de t’inquiéter pour Derek, Pénélope, Spencer et tout le reste depuis ton retour, mais tu ne t’inquiètes pas de la personne la plus importante. Toi. Et je suis là pour toi, pour te soutenir. Je ne dis pas que j’aurai toujours le bon mot, mais je ferai de mon mieux. Tu peux venir me parler quand tu ne vas pas bien.
-Je vais bien, répète Emily d’un ton neutre.
-Ta psy te croit peut-être quand tu le dis, mais je connais la vérité. Emily, arrête de repousser ceux qui t’aiment. Arrête de me repousser. Tu n’as pas à affronter ça toute seule, surtout quand tu n’arrives plus à ignorer ce qui s’est passé. Laisse-moi être là pour toi.
Emily reste silencieuse, seule sa respiration comble le blanc. Tu entends une autre voix indescriptible en fond puis Emily se racle la gorge.
-Je dois y aller. Je t’aime.
-Je t’aime aussi.
Emily raccroche et tu pousses un soupir, les larmes aux yeux. Tu ignores si ce que tu as dit a fait réagir Emily, tu espères que c’est le cas. Tu n’arrives plus à supporter cette situation. Tu sais qu’elle a besoin de plus de soutien, mais comment le faire quand elle ne le demande pas ? Tu n’aimes pas ce sentiment d’impuissance. Tu aimerais prendre toutes ses cicatrices pour qu’elle puisse enfin vivre librement.
Tout le reste de l’enquête, Emily reste assez distante. Elle t’envoie au moins un message par jour pour te dire qu’elle t’aime, habitude que vous avez depuis le début de votre relation. Étant donnée son métier dangereux, vous ne restez jamais une journée sans vous le dire, surtout depuis qu’il y a eu Doyle. Toutefois, quand tu réponds à son message et que tu essayes de créer une conversation, elle y coupe vite court.
Plus les jours passent et plus tu te fais un sang d’encre pour Emily. Quelque chose ne va pas, tu en es persuadée. Tu aimerais t’en assurer, mais tu as peur d’être trop oppressante. À force d’insister, tu risques de faire l’inverse de ce que tu veux en créant une atmosphère anxiogène pour Emily. Alors, tu essayes de rester à bonne distance, assez près d’elle pour la soutenir, mais assez éloignée pour ne pas qu’elle te repousse.
Afin de te distraire, tu mets toute ton énergie dans ton travail, retravaillant tes cours, corrigeant les exercices. Ça marche seulement un temps, ton esprit trouve vite un moyen pour te faire penser à Emily.
Un soir, après un peu plus d’une semaine après qu’Emily soit partie, tu es sur la table de la cuisine en train de travailler tout en mangeant quand tu entends la porte s’ouvrir et un sac se poser lourdement par terre. Sans attendre, tu poses ta fourchette et te diriges vers l’entrée avec hâte. Là, tu découvres une Emily avec un regard triste. Tu t’apprêtes à parler, mais elle te devance.
-Je ne vais pas bien, avoue-t-elle d’une voix tremblante.
Et en une fraction de seconde, elle fond en larmes. Tu accours dans ses bras et la serre contre toi en tentant de l’apaiser. En sentant que ses jambes ne supportent plus son poids, tu invites Emily à s'asseoir à même le sol tout en la gardant contre toi. Tu caresses tendrement ses cheveux en lui chuchotant des mots réconfortants. Les larmes d’Emily coulent de plus en plus sur ses joues alors qu’instinctivement, elle colle son oreille contre ta poitrine et écoute les battements de ton cœur. Dans tes bras, Emily s’autorise enfin à déverser toutes ses émotions et à confronter toute la douleur qu’elle a traversée. Vous savez toutes les deux qu’il faudra du temps à Emily pour guérir, mais tu comptes bien être là et la soutenir à chaque étape.
Masterlist
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Actuellement le karma s'acharne. Après le mail de mon maître de stage atterri dans mes spams et me faisant passer pour une sombre conne. Nous avons ma pote de la fac. En effet, ce matin elle m'envoie "tu vas à la bu aujourd'hui ?". Et moi, faut savoir que la bu c'est seul, sauf travaux de groupes. Un peu comme les chiottes, c'est seul mais en boîte ou pour certaines occasions, ok on peut y aller à plusieurs. Donc j'avais zéro envie d'aller à la bu avec elle aujourd'hui. Aujourd'hui c'est aussi le jour où je suis rentrée à nice car j'ai partiel demain. Je comptais bel et bien aller à la bu mais seule. Donc jlui dis non et je rajoute -ca a été mon erreur-, "en plus je rentre que ce soir". En fait j'ai dit ça pour m'assurer qu'elle ne trouverait pas un moyen qu'on y aille ensemble (je connais sa force de persuasion). Elle me dit tant pis et que du coup elle a la flemme d'y aller. Bon du coup, de mon côté, j'arrive vraiment à nice. Je mange. Et je me rends à la bu. Une heure après, je vais fumer une clope et je sens une main qui se pose sur mon épaule. Je me retourne c'était qui ? Elle évidemment. J'ai bégayé plus que de raison. Elle était furieuse. Donc j'ai dû mentir et dire que j'étais rentrée plus tôt, que je venais à peine d'arriver à la bu et que j'allais justement lui envoyer un message. Alalala. Ptn.
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Un souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
Une autre soirée fut aussi tout autant une étape importante dans mon chemin vers le Candaulisme...
Une soirée étudiante ou presque d’Ana ma petite amie de l’époque.
Etudiante brillante et consciencieuse, elle avait voulu participer au fait que je lui avais ouvert mon appartement totalement et spontanément pour l’aider à réaliser ses études dès le premier jour de notre rencontre...
Quelques conflits récurrents avec ses parents lui pesaient.
Elle me les avait confiés le soir même de notre rencontre et je m’en étais aussi ému...
J’étais aussi pleinement amoureux...
Aussi, nous habitions ensemble depuis quelques mois sans que jamais je ne lui demande rien en retour.
Elle en était consciente et voulait-elle aussi participer.
Mener de front études et travail est un défi et un challenge où l’organisation et le rythme imposé sont parfois peu compatibles avec l’amour, les résultats et la fatigue...Elle le savait mais indirectement elle pensait me devoir tant sans pour autant ne lui avoir jamais rien réclamé en retour, ce qu’elle appréciait aussi beaucoup.
Elle avait quelques fois abordé le sujet mais je ne lui répondais toujours que d’un sourire, lui disant de vivre, de profiter, d’aimer, de travailler et d’être la plus heureuse possible...
Je crois, et je sais maintenant, que tout cela est aussi une racine profonde du Candaulisme...
Néanmoins, et c’est assez paradoxal, ce furent ses études qui lui permirent un jour de prétendre à un travail...
Il s’agissait en début d’année étudiante, sa deuxième année, d’être présente à la sortie des amphis et d’inviter et de sensibiliser ses jeunes collègues étudiants de première année à lire et surtout à s’abonner à des magazines divers et variés leur permettant d’élargir leurs connaissances dans des domaines voisins et importants de leurs sujets d’étude...
Aussi, se rendait elle en équipe pendant les quatre ou cinq premières semaines de la rentrée dans les amphis, de tôt le matin jusqu’à parfois tard le soir, agrémenté de virées nocturnes dans les bars à étudiants de la ville.
Il le fallait selon les recommandations du responsable des ventes pour souder les équipes et faire connaissance de plus de monde encore au travers les premières soirées estudiantines organisées pour la cohésion des futures promotions...
Aussi, après des débuts enjoués et prometteurs sur le plan financier (chaque abonnement certifié faisait l’objet d’une ristourne de l’éditeur et comme il s’agissait d’abonnements annuels, les émoluments pouvaient parfois être réellement intéressants...) une certaine fatigue et quelques désagréments brisant notre agréable routine de jeune couple virent le jour.
Un rythme de travail assez effréné était demandé ainsi qu’une grande disponibilité pour « écumer » les facs de la grande ville où nous habitions...
Nous ne nous voyons plus beaucoup et mon appartement servait surtout de base arrière pour les présentoirs et les exemplaires des magazines et autres quotidiens en vente.
La fatigue se faisait réellement sentir et moi je devenais surtout celui qui l’hébergeait, lui faisait à manger (repas qu’elle prenait en fait rarement car son équipe très dynamique et pour tout dire « fêtarde » allait très souvent « célébrer » les résultats des uns et des autres dans un bar pour encore et toujours souder les équipes commerciales et profiter des contacts étudiants qui pouvaient s’y faire encore plus aisément autour d’un verre...
Aussi, sur le plan sentimental et sexuel, c’était plutôt la disette...
Dur, dur pour moi alors que d’ordinaire, nous étions rarement plusieurs heures sans nous câliner et sûrement pas et encore moins un jour......
Un petit « cérémonial » s’était néanmoins instauré car je crois qu’elle m’aimait sincèrement, pâtissait aussi de cette situation et s’en sentait un peu coupable même si la fierté de ramener de l’argent dans notre couple la motivait et la recompensait.
Ainsi, chaque soir (plutôt en milieu de nuit du coup...) où elle rentrait, juste après s’être douchée et alors que j’étais bien souvent endormi, elle venait me câliner, me prendre en main sexuellement parlant (elle aimait depuis nos premiers jours mon sexe, sa forme, sa douceur...)
Bref elle aimait ma bite, jouer avec pour me faire bander...
Chose qu’elle obtenait très rapidement au vu de sa dextérité et de ses envies manifestes...
En trentenaire ardent et vaillant, qui aurait pu s’en plaindre... ?
Elle me prenait alors rapidement en bouche pour me sucer (elle raffolait des fellations... !) et me taillait une pipe experte, souvent rapide en ces circonstances mais toujours appréciée, appréciable, adroite et victorieuse...
J’en appréciais totalement le bonheur tout en devant souvent rester sur ma faim et sur « la béquille » tandis que, quasiment à chaque fois, elle s’endormait en me gratifiant d’un « Bonne nuit mon amour », la bouche pleine et comblée de l’expression de mes désirs et de mon plaisir...
Elle aimait le gout de ma semence, l’avalait depuis toujours et l’appréciait...
Jamais elle ne m’avait sucé sans déguster le fruit de ses audaces et expertises.
Parfois même, elle me déposait un baiser légèrement gluant et chaud sur les lèvres...
Au début de notre relation j’en avais été surpris mais m’étais habitué et trouvais cela touchant en termes de partages et d’audace...
Ce rituel effectué, elle se tournait rapidement puis s’endormait profondément tout aussitôt...
Profondément était le terme : j’avais une ou deux fois, dans un état érectile indécent et difficile à calmer, n’arrivant réellement pas à m’endormir, voulu la prendre mais devant son corps si tendrement abandonné, j’avais résisté à l’envie de le faire sans son consentement express, même si rien ne pouvait me faire douter de ses désirs une seconde, pour la pénétrer sauvagement...
Elle ne m’en aurait pas voulu...
Non, j’en étais pleinement assuré et je pense même qu’elle aurait pu percevoir cela comme tout à fait légitime, voire même coquin...
Mais pour moi sans conscience et sans consentement il n’en était pas question...
Question de principe, de respect, d’honneur et tout autant de bonheur du partage.
S’en serait-elle même aperçue... ?
Du coup, pour quel plaisir... ?
Si je ne pouvais partager, je trouvais assez absurde de ne satisfaire que moi...
Oui, elle dormait très profondément !
Pour autant, souvent pris par les désirs et la beauté de son corps alangui qu’elle abandonnait parfaitement et naturellement à ma vue, (elle ne dormait que nue et y tenait), je la caressais tendrement, bandant là encore comme un fou, et la couvrais de baisers ...
Le spectacle de son corps abandonné et offert sans défense enchantait et régalait au plus haut point mes yeux... Et pas que...
Ce n’était rien qu’en cela et déjà un réel bonheur...
Je dois confesser que parfois, il m’arrivait même de me masturber en la regardant, si belle, innocente, ...
Je m’autorisais aussi de mes lèvres et de ma langue à la humer, la titiller sans la réveiller, la couvrir de baisers et notamment sur son sexe...
Quelques gémissements parfaits attestaient qu’elle ressentait sûrement mes attouchements sans pour autant en être réveillée... C’était réellement délicieux...
Oui, je me satisfaisais et même me régalais de tout cela à défaut de pouvoir lui faire l’amour comme j’en avais envie et l’honorer pleinement comme à nos habitudes...
Cependant, un soir, elle rentra un peu plus tard et vint directement se coucher...
Elle ne manqua pas pour autant à nos nouvelles habitudes et me suça talentueusement, avec même une gourmandise et une ardeur qui me rappelaient les pipes interminables dont elle était experte et adorait me gratifier avant d’incorporer cette équipe commerciale et qui j’en étais sûr ne tarderaient pas à reprendre une fois cette parenthèse économique terminée...
Je fus bien entendu ravi de sa prestation et lorsqu’elle vint m’embrasser à pleine bouche avec délectation et gourmandises, je perçus un goût légèrement différent du mien et de l’ordinaire...
Je n’en fis pas un problème et mis cette différence sur le compte de l’alcool et de la soirée festive qu’elle venait manifestement de passer...
Je la laissais s’endormir et poursuivis seul mon cérémonial...
Non douchée et manifestement très fatiguée, certainement assez ivre, elle ne s’était pas couchée nue comme d’habitude à mon grand étonnement mais avait conservé sa robe légère de soirée ainsi que son string que je pouvais deviner alors qu’elle se lovait sur le côté remontant ses jambes et redressant du coup sa courte robe sur le galbe de ses sublimes fesses...
Comme d’habitude, je ne résistais pas au plaisir de la couvrir de baisers et de caresses me sentant même encore plus entrain de la voir m’être revenue guillerette et heureuse, encore plus que d’ordinaire de sa soirée...J’aimais la voir heureuse et satisfaite...
Poursuivant mes « voyages », je relevais d’avantage sa robe sur son cul...
Je baisais de mes lèvres entreprenantes ses fesses et m’approchais de sa fente...
J’avais pris l’habitude, quoiqu’il arrive d’y déposer tous les soirs un baiser et même parfois d’oser y introduire légèrement la pointe de ma langue afin de gouter aux douces saveurs de sa chatte aux effluves pour moi si envoutantes...Elles berçaient, enchantaient et embaumaient ainsi quoiqu’il arrive mes nuits d’une telle douceur...
J’entrepris alors de mes doigts agiles de déplacer légèrement son string, sans la réveiller, car la ficelle fermait partiellement l’accès à sa délicieuse fente...
Je fis glisser le trait d’étoffe de mes doigts et qu’elle ne fut pas ma surprise de constater qu’il était complétement trempé et même qu’une sorte de méat un peu gluant semblait y être déposé...
Une jouissance... ? Du sperme... ?
L’ire et ma jalousie prirent immédiatement le contrôle de mon cerveau et de mes émotions
J’en restais, mentalement et physiquement sur le cul...Le sang affluant et bouillonnant dans mon esprit et mon corps...
Elle avait baisé... !
Elle avait dû baiser avec un autre... !
Un autre que moi dans cette putain de soirée...Et dans ce con qui était censé n’être qu’à moi... !
Je me sentais dans une telle rage, une telle colère...
Que faire... ?
Assis sur mes genoux, la regardant avec des yeux totalement différents de l’habitude...
Son string encore là...tout souillé du sperme d’un autre...j’en étais sûr...!
Instinctivement j’approchais mon visage et mon nez jusqu’ à y porter mes narines puis ma langue...
Oui, oui, c’était ce même goût que j’avais identifié dans le baiser donné avant qu’elle ne s’endorme...
La salope ! Elle m’avait trompé cette chienne..., c’était sûr...
Cette salope, ma salope... !
Ma chienne alors qu’on s’était toujours promis d’être complice quelque fut notre ou nos envies... !
Néanmoins, je ne parvenais pas à décoller mon regard de son cul et de son sexe encore gonflé et emplit d’un autre...Non je n’y parvenais pas, et même en moi j’arrivais à trouver des ressources et un calme doux qui maintenant m’envahissait…
J’avais bien des « papillons » dans le ventre..., un vertige dans la tête...
Mais étonnamment, pas ou plus de colère... !
A tel point que je me suis de nouveau penché...
De nouveau j’ai humé ce méat que je ne pouvais même plus détester... !
Son string était tellement imprégné de la mouille et de son odeur qu’il en devenait agréable, tant à la vue qu’à l’imaginaire...Oh oui elle avait du réellement jouir...
Je ne pus m’empêcher de retourner le sentir, le toucher, le « tester » même de mes narines...
Plusieurs fois...
Le goûter même...
Puis d’instants en instants jusqu’à la lécher consciencieusement, minutieusement avec, je devais me l’avouer, un plaisir grandissant, subjuguant et effaçant de manière incroyable toute colère ...
J’en profitais abondamment...J’aimais... !
J’en étais stupéfait mais j’aimais... !
J’aimais surtout à m’imaginer la saillie qu’elle avait subi, la saillie de son con et le plaisir qu’elle, qu’ils avaient dû connaitre...Je n’étais même pas jaloux de ne pas y avoir été...
Un peu vexé...j’aurais préféré que pour une première, même si je lui avais déjà confié ce fantasme du mari trompé avec son plein acquiescement mais présent...Elle était allée plus loin...
Plus vite même que je n’avais secrètement jamais imaginé ou désiré...
Pour autant c’est un rêve secret dont je lui avais fait la confidence et que par bravade je l’avais assurée que je ne serais pas jaloux...
En fait, si un peu, mais pas si fortement que cela ...
Assurément déçu qu’on n’ait pas partagé cette première et de ne pas avoir l’histoire de cette incartade ni d’avoir pu y assister...
Lorsqu’on en avait parlé et évoqué elle ne m’avait pas caché la possibilité que cela puisse arriver tant elle aimait le sexe, attirait les hommes et avait conscience de ses désirs et de ses faiblesses...
De plus, en lui ayant fait la confidence de ce Candaulisme naissant que je sentais déjà vivre en moi, je ne pouvais rien lui reprocher...
Elle avait seulement anticipé mes désirs et peut-être plaisirs...
Je ne les avais pas imaginés de la sorte et s’imposer aussi brutalement à moi...
Pour autant, qu’en restait-il pour moi... ?
Je venais de le constater...Je le constatais en direct...
Du plaisir, de la cérébralité, de l’amour pour le sexe, de l’amour pour elle, des envies...
Encore plus d’envies ...
Encore plus de désirs et d’amour pour elle comme je l’avais imaginé et quelque part voulu et demandé...Alors... ?
Plus encore quand je me rendis compte que je bandais comme un taureau et ne débandais pas alors que de longues minutes s’étaient déjà passées a regarder, que dis-je, admiré et fantasmé sur sa chatte épanouie, belle et manifestement comblée et heureuse...
Je n’avais ainsi, à cet instant, que l’irrésistible envie de la baiser comme la chienne qu’elle était, celle que j’avais souhaité qu’elle soit...
Oui, je bandais comme un fou et contrairement à ma réserve et mes principes des soirs auparavant, je l’ai prise sauvagement, bestialement, jusqu’à la faire jouir comme peut-être jamais, ni elle ni moi-même n’avions jouis comme cela depuis longtemps et sommes partis dans un orgasme fulgurant et absolu qui me faisait de nouveau encore plus encore bander, devenir fou d’elle, fou de son corps, fou de son con, fou de ses jus...
Elle s’était réveillée...Jouissait ...hurlait...m’en demandait encore et encore... !
C’était incroyable... ! Irréel... !
Nous avons fait cinq ou six fois l’amour cette nuit-là sans jamais nous lasser et nous nous sommes endormis tendrement l’un dans les bras de l’autre...
Au petit matin, elle est venue sensuellement me réveiller, me remercier de cette folle nuit et de la liberté que j’avais pu lui accorder, me disant qu’elle avait tant rêvé dans ses fantasmes les plus insensés de ce genre de nuit...
Elle me dit que toute cette intensité et ces besoins sexuels lui avaient manqués depuis un certain temps et son incorporation dans cette team de vente...Nous n’avions quasi plus le temps de faire l’amour... !
Que cette nuit un homme plus âgé mais beau lui avait fait du rentre dedans, l’avait fait boire, l’avait séduite et convaincue de passer à l’acte sans même me prévenir (elle était bien consciente de ce manque mais m’ayant informé que cela pouvait arriver et moi lui ayant tant parlé de ce fantasme du mari trompé consciemment... elle s’était dit avant de s’abandonner totalement à lui dans les toilettes du bar que cela ne changerait rien aux choses et que si notre amour était bien réel et celui qu’elle m’avait décrit et toujours imaginé était bien présent, alors cela ne poserai pas de problème...)
Oui elle s’en voulait de ne pas avoir pu le vivre avec moi en direct live...
Oui elle s’en voulait de ne pas me l’avoir dit directement en rentrant...
Elle ne voulait pas m’inquiéter et me priver de notre petit rituel jouissif et s’était endormie si ravie, heureuse et comblée surtout quand elle avait osé ce baiser fou dont elle avait si souvent rêvé, mêlant le sperme de cet amant de passage au mien dont elle appréciait tant la saveur...
Oui, bien évidemment elle l’avait sucé, avant, et surtout après qu’il l’ai prise sur un lavabo des toilettes communes du bar et alors qu’il s’essuyait le dard encore gorgé de semence sur son string qu’il avait adroitement écarté pour la pénétrer sauvagement, elle l’avait de nouveau sucé ... !
Accompagnés d’un autre couple se livrant aux mêmes exploits sexuels qu’eux, elle avait indirectement fait une compétition avec l’autre fille qui était par ailleurs sa chalengeuse pour obtenir une prime supplémentaire en raison du nombre de magazines vendus tout au long de leur journée de labeur...
La compétition faisait rage et n’avait pas de limite...
La fille s’était tournée vers la glace surmontant le lavabo pour se refaire une discrète beauté...
Ana avait ressaisi le sexe de son partenaire et l’avait embouché pour le nettoyer scrupuleusement...
Oui ; elle craquerait sûrement sur d’autres, en d’autres lieux, en d’autres soirées, avec moi, sans moi, Elle aimait trop ça... !
Elle m’aimait à la folie... !
Tout comme elle aimait plus que tout sa liberté.
Elle m’assurait qu’elle saurait me récompenser au-delà de mes attentes si je lui procurais tout à la fois la sécurité et la folie de cette impensable liberté...
Dans les vapeurs de la nuit, j’acquiesçais à tout ce qu’elle disait...
Ses aveux étaient si authentiques, touchants et somme toute correspondant tellement à mes aspirations les plus secrètes que je lui pardonnais instantanément et pour toujours...
Elle parti comme d’ordinaire et nous n’avons plus jamais eut à parler de ces instants.
D’autres similaires se reproduiraient...
Beaucoup d’autres à mon et notre plus grand bonheur... !
Je savais qu’elle pourrait de nouveau me tromper...
Sans moi,...Avec moi...Peu importerait pourvu qu'elle me revienne et me conte ses exploits...
Elle savait qu’elle pourrait me tromper...
Nous savions l’un et l’autre ...mais nous le savions maintenant...
Et surtout nous en jouissions si intensément que nous n’en avons jamais eu à en reparler.
Je savais que j’étais réellement Candauliste...
Elle savait qu’elle était une terrible baiseuse, une amante hors-pair et là, maintenant devenue une Hot-Wife comme les nomment les anglo-saxons...
Pour le plaisir de tout le monde, le sien d’abord, le mien, celui de ses futurs amants celui d’avoir une vie sexuelle, libre, riche, épanouie et épanouissante...
Nous en avons réellement profité toutes ces années de fac...
Un jour elle partit étudier définitivement à l’étranger...
Cela ne changea rien...
Ni pour elle, devenue près d’un de ses professeurs de Fac américaine et beaucoup plus âgé qu’elle, la Hot-Wife respectable et respectée qu’elle avait toujours voulu être, la lady américaine classe et parfaite le jour et aux désirs "naughty" de chaque instant...Un des paradoxes de l'Amérique...
Moi, je lui dois d'être devenu pour toujours Candauliste...
Je me souviens tant et avec tant d’émotions, parfois même érectiles, de ces instants où j’ai découvert son string imbibé de sperme, admiré, vu et goûté sa chatte gonflée de plaisir, partagé tant et tant de fois avec elle ces plaisirs et d’autres ensemble, cette philosophie et ce style de vie...
J’ai parfois eu des nouvelles et surtout j’ai toujours eu depuis ses confidences érotiques écrites par mail sur un site dédié à ces pratiques outre-Atlantique, ses délires et ses escapades sexuelles...
Elle s’en était fait un principe de me les dire, comme un légitime devoir envers moi.
Je ne lui demandais rien mais forte et fière de cette liberté que j’avais su lui donner, elle m’informait toujours, parfois même avant son mari, de ses rencontres et péripéties sexuelles variées et nombreuses...
C’est encore aujourd’hui le cas et c’est si bon et intense...
Elle est même devenue BBC, je n'en fus pas surpris connaissant les descriptions des Blacks qu'elle pouvait parfois rencontrer à la Fac et qui à chaque fois qu'elle m'en faisait la confidence la mettait dans des états torrides dont je profitais allègrement...
Moi, j’étais devenu et serais Candauliste pour la vie...
Merci à elle....Merci Ana...Je t’ai enseigné la liberté...Tu es bonne élève, tu as dépassé et il en est fier et heureux, le « maitre »...
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Nos petits rituels du dimanche matin...
Depuis quelques années nous avions notre rituel bien établi du câlin du dimanche matin. C'était pratique pour nous deux car nos parents étaient des lève tôt et nous restions seuls à l'étage.😉🙂 Nos câlins étaient devenus de vrais rituels sensuels et érotiques, toutefois sans cunnilingus, ni pipe ni rapport avec pénétration 😇😇. Nous étions en général nus et couchés sur le côté face à face. Ma sœur adorait se blottir contre moi puis elle me laissait lentement descendre ma bouche sur sa jolie poitrine pour que je lui caresse ses petits tétons de ma langue. En général cela lui déclenchait une envie intense de se masturber souvent en se frottant sur ma cuisse ou en prenant ma main et se laissant caresser quelquefois fois en autorisant un ou deux de mes doigts s'aventurer dans l'entrée de son vagin. J'adorais lui donner du plaisir et la sentir vibrer sous mes caresses. Et ma main était parfumée hummmm 😍🥰🥲 Après qu'Elisabeth ai bien joui, c'était à mon tour. Nous faisons toujours comme ça car son plaisir était plus 'propre', ce que je jalousais un peu car elle était plus discrète. Elle pouvait se donner du plaisir pratiquement partout et tout le temps sans laisser de traces, à part au fond de sa culotte💦 Lorsque c'était mon tour, elle aimait jouer avec les couilles, elle les pétrissait, les faisait rouler dans sa main, les pressait doucement pendant un bon moment. Vous pouvez imaginer dans quel état d'excitation était ma bite après ces caresses ajoutées à la séance érotique de sa masturbation. J'étais au bord de l'explosion. Bien souvent, il ne fallait que quelques va et viens de sa douce main pour me faire décharger. Il me fallait quelquefois nos deux culottes ou une grosse serviette périodique pour absorber tout mon sperme 💦💦💦💦
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Our little Sunday morning rituals…
For a few years now we had our well-established Sunday morning cuddle ritual. It was convenient for both of us because our parents were early risers and we stayed alone upstairs. 😉🙂 Our cuddles had become real sensual and erotic rituals, however without cunnilingus, blowjob or penetrative sex 😇😇. We were usually naked and lying on our sides facing each other. My sister loved to snuggle up to me and then she would let me slowly lower my mouth to her pretty chest so that I could caress her little nipples with my tongue. This usually triggered an intense desire for her to masturbate often by rubbing herself on my thigh or taking my hand and letting herself caress sometimes by allowing one or two of my fingers to venture into the entrance of her vagina. I loved giving her pleasure and feeling her vibrate under my caresses. And my hand was perfumed hummmm 😍🥰🥲 After Elisabeth had enjoyed herself, it was my turn. We always do it like that because her pleasure was 'cleaner', which I was a little jealous of because she was more discreet. She could give herself pleasure almost anywhere and all the time without leaving any traces, except at the bottom of her panties💦 When it was my turn, she liked to play with my balls, she kneaded them, rolled them in her hand, squeezed them gently for a long time. You can imagine how excited my cock was after these caresses added to the erotic session of her masturbation. I was on the verge of exploding. Very often, it only took a few back and forths of her soft hand to make me unload. Sometimes I needed both of our panties or a big sanitary towel to absorb all my sperm 💦💦💦💦
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