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Sourcier - Daroca Mikael
Besoin de guérissage Esprit de demande Distance de Source Le haut magnétisme. Une force Intérieure Intention est focalisée Modifie la Conscience Cellulaires événements. Rôle du son. Écoute les chants Vibrations bercent Guident un esprit Inconnue demande. Sauvages énergies Du Corps intégral Monde émotionnel Fortune se répare. Vague. Long nerf vague Avale les relations Gestion des actes Maîtrise les alliés. Le chef d ’ orchestre Du Corps au Cerveau Un habile parcours Des vagues de face. Read the full article
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Ruben Rabinovitch, psychologue et psychanalyste, a reçu dans son cabinet des jeunes qui allaient passer en jugement ou qui sortaient de prison (pour braquage, violence, viol…). Il tente de percer à jour, avec les outils de la psychologie, les ressorts de la violence.
Le manteau de destructions et de pillages qui a recouvert la France ces dernières semaines a produit un effet de sidération sur la société et l’a laissée en état de choc. Le choc est un état provoqué par la surprise, mais à combien de reprises peut-on être successivement surpris par le même phénomène ? Le traumatisme actuel réside plutôt dans l’impossibilité de continuer à ignorer ce que l’on savait déjà.
Chacun cherche alors des explications comme naguère les sourciers l’eau souterraine à l’aide de leur baguette : la précarité, le manque d’autorité, le racisme, l’absence des pères, les violences policières, l’échec de l’intégration, le capitalisme, le gauchisme, etc. De bonnes causes bien grasses et bien empaquetées qui doivent permettre de prolonger le déni encore un peu.
DEUX YEUX : UN D’AMOUR ET UN DE HAINE
« Pour voir une chose entièrement, écrivait Nietzsche dans Humain, trop humain, il faut avoir deux yeux : un d’amour et un de haine. » La jouissance de détruire n’a pas de cause, mais des occasions dont elle profite. Les êtres humains sont tous frères, certes. Mais ils ne le sont pas moins par la fraternité que par le fratricide.
Ce que j’ai pu apprendre du fonctionnement psychique de ces meutes ultra-violentes, de leurs caves et de leurs clans, de leur jouissance et sa destructivité, de leur organisation familiale et de leurs fantasmes inconscients, je le dois à ma rencontre avec ces individus eux-mêmes, à leurs enfants, aux mères de leurs enfants, et à certaines de leurs sœurs qui les ont fuis comme elles l’ont pu, quand elles l’ont pu, dès qu’elles l’ont pu.
Durant mes premières années d’exercice, je recevais à mon cabinet de psychanalyste des jeunes gens qui allaient passer en jugement ou qui sortaient de prison (braqueurs, tabasseurs, violeurs). Ils ne venaient pas faire une analyse, ils n’en avaient ni l’envie ni les capacités psychiques. Ils venaient récupérer un courrier tamponné de ma main attestant de leur suivi psychologique exigé par le juge comme preuve de leur bonne volonté à se réinsérer. Contre ce précieux sésame, il leur fallait bien me parler un peu. J’ai également reçu, cette fois à leur propre initiative, des réchappées, exclusivement des femmes. Elles avaient grandi auprès d’eux et malgré eux, s’étaient débrouillées pour obtenir les diplômes qu’elles pouvaient et, dès leurs premiers salaires, avaient cessé d’espérer et quitté les « quartiers » pour pouvoir commencer à vivre.
L'ABSENCE DES PÈRES ?
J’ai reçu enfin, adressés par un généraliste d’Aubervilliers, des enfants, des femmes et des ex-femmes des membres de ces groupes ultra-violents. Le premier petit garçon que j’ai reçu devait avoir sept ans. La mère avait amené son fils parce qu’au retour d’un moment avec son père, l’enfant s’était mis à flamber d’hallucinations plus terribles encore qu’à l’habitude. Il faut dire que le père, parti des années auparavant et qui n’en continuait pas moins à terroriser la mère, avait emmené son fils le week-end précédent chez un imam de cave d’immeuble qui avait pratiqué sur l’enfant un effrayant rituel d’exorcisme. Car au risque de gâcher l’enthousiasme actuel, l’absence des pères dans les « quartiers » est souvent moins délétère que leur présence.
Voici, en vrac, quelques constatations que j’ai pu faire depuis le poste d’observation qui est le mien.
La première chose que je puis dire c’est que penser que la pauvreté engendre la violence est une considération de bourgeois. La bourgeoisie se flatte en supposant chez ceux qui ne bénéficient pas des mêmes conditions matérielles qu’elle une détresse qui pousserait légitimement à tous les crimes. La pauvreté aggrave bien des situations, à n’en pas douter, mais elle n’en est pas à l’origine, jamais. Les enjeux de la violence sont plus complexes, plus profonds, plus inquiétants aussi. Rappelons au passage ce que Baldassare Castiglione, écrivain et diplomate italien de la Renaissance, avait consigné dans son Livre du courtisan : « En pardonnant trop à qui a failli, on fait injustice à qui n’a pas failli. ��
VIOLENCE
La seconde chose est que les enfants que j’ai pu voir n’étaient pas nécessairement tous battus mais que tous étaient des enfants qui avaient vu leur mère prendre des coups. La violence envers les femmes est pour ainsi dire consubstantielle à la mentalité de ces meutes ultra-violentes. C’est même une condition d’appartenance et de reconnaissance entre pairs. Précisons tout de même que par violence, on ne désigne pas ici celle des « stéréotypes de genre » mais bien celle des insultes, des menaces et des coups. Des menaces qui en restent rarement au stade de la menace et des coups qui sont parfois mortels.
Les pères ensuite, venons-y donc. Ils ne sont pas si absents qu’on veut bien le dire. Les enjeux sont autres. Les pères n’ont souvent pas souhaité l'être. Ils voulaient des relations sexuelles et refusaient de mettre des préservatifs parce que leur plaisir doit toujours l’emporter sur toute autre conséquence. Il leur arrive certes d’être absents, mais il leur arrive plus souvent encore de faire de leurs enfants les complices de leurs activités illégales. Un certain nombre ne s’identifie pas psychiquement comme des pères pour leur fils mais perversement comme les grands frères caïds de leurs petits frères apprentis caïds. Je me souviens d’un autre petit garçon dont le père avait volé devant lui à d’autres enfants leurs jouets pour les lui offrir. Le petit garçon lui avait répondu interdit : « Mais c’est à mon copain ? » En l’insultant, le père lui avait répondu que ce n’était plus à son copain puisqu’il venait de le lui prendre et avait cassé le jouet devant son fils pour ne pas avoir pris immédiatement part à son association de malfaiteurs.
Le petit garçon avait bien reçu le message : à l’avenir, il aurait le choix entre être le complice ou la victime de son père. Les pères ne désirent pas que leurs fils s’en sortent et dévient du chemin de la brutalité et du gangstérisme qui est le leur. À l’inverse, toute émancipation de leur progéniture serait vécue comme un désaveu personnel et une offense faite au groupe auquel ils appartiennent. Ce n’est pas que « l’ascenseur républicain » soit « en panne » mais que l’école, méprisée et haïe, n’est pas un lieu par lequel leurs enfants pourraient s’émanciper, mais l’enclave insupportable d’un clan rival sur leur territoire : le clan de l’État. L’organisation familiale de ceux dont l’impulsivité n’a aucune barrière est montée psychiquement sur le modèle du clan et non sur celui de la famille nucléaire (papa, maman et les bambins). Ne pas prendre la mesure de la différence entre ces univers mentaux serait jeter la discipline anthropologique et le legs de Maurice Godelier aux ordures.
LE GHETTO ET LE CLAN
Ces meutes ne sont pas composées de communautés rassemblant des individus mais de clans dont les membres forment un même corps, un même organisme. Le clan est travaillé par des fantasmes de fusion. Dès lors, comme l’a lumineusement décrit le psychiatre Maurice Berger, ceux qui en font partie ne sont pas libres de s’éloigner physiquement, géographiquement ou intellectuellement. Toute séparation serait vécue pour le membre comme pour le clan lui-même comme une amputation intolérable et une trahison insupportable. J’ai entendu une patiente raconter comment, dans « sa » cité, un jeune homme avait été laissé pour mort par un gang d’une autre cité parce qu’il entretenait une liaison avec une fille de chez eux, une fille à eux. De cela, il faut bien en déduire qu’il ne s’agit pas de « ghettoïsation », mais de séquestration. Dans un ghetto, on est enfermé de l’extérieur. Dans un clan, on est séquestré de l’intérieur.
Cela permet de rendre un peu plus lisible les phénomènes auxquels nous avons récemment assisté. Tout détruire et nuire aveuglément à ceux qui n’ont pas commis de crime ne peut être considéré comme une faute morale que si chaque individu est tenu pour l’unique responsable de ses actes. Puisqu’il n’y a pas d’individus dans la mentalité de ces meutes, ce qui est fait au membre d’un clan est fait à l’ensemble du clan. Réciproquement, ce qui est fait par le membre d’un autre clan (gang rival d’une autre cité, forces de l’ordre, État) l’autre clan en est tout entier responsable, sans discrimination. La haine de la police est une haine a priori et non une haine a posteriori. Ajoutons à cela que la perte d’un de leurs membres n’est pas vécu sous la modalité du deuil, du chagrin et de la tristesse mais sous la modalité de la haine, de la colère et de la vengeance. Ces clans ne sont pas structurés autour de la culpabilité, mais autour de l’honneur et de l’humiliation.
On dit de ces destructions et de ces pillages qu’ils ne sont pas politiques, parce qu’on n’y voit pas de banderoles peinturlurées de revendications sociales. Ces émeutes sont pourtant éminemment politiques. Les gangs ultra-violents savent très bien ce qu’est la République, son modèle d’organisation sociale, son projet et sa substance. Sans doute même mieux que le camp républicain lui-même, empêtré dans sa tétanie, sa lâcheté et son hébétude. Ils ont d’ailleurs très bien su identifier tous les symboles et les postes avancés de la République puisqu’ils ont brûlé ceux qui se trouvaient sur leur territoire à eux. L’école, le commissariat, le centre des impôts, la mairie, les policiers et la famille du maire : tout cela est ou appartient au clan d’en face qui a tué un des leurs.
Les « solutions », comme on dit, sont aussi simples qu’irreprésentables actuellement. Car ces gangs ne sont pas forts, ils sont seulement ultra-violents. Ils n’ont de puissance que celle qui leur est concédée et de pouvoir de nuisance que celui que la République jouit d’essuyer. Ces gangs ne sont pas la cause mais le symptôme de la désintégration républicaine. Pourtant, le pessimisme est un luxe que nous ne pouvons pas nous offrir. Le philosophe russe Nicolas Berdiaev écrivait dans un article paru en 1936 : « La liberté n’est pas un droit, c’est un devoir. »
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L'histoire méconnue de la Libye : liée à l'eau
Des moyens simples pour trouver l'eau primaire : les baguettes de sourcier
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Il est une heure du matin. Je ne sais plus qui je suis. C'est la nuit que cela se passe. C'est la nuit que cela survient. C'est comme si je devenais un amalgame de tout ce que j'ai été, de tout ce que j'aurais pu être.
Je me sens souvent ainsi. A la croisée de tant de chemins. J'ai souvent l'impression d'être un sourcier du destin. C'en est presque mystique.
Je ne suis pas tout à fait sérieux mais tout de même. Le cerveau dans le ventre, le "gut feeling" ça a toujours été très fort chez moi.
L'impression de percevoir des choses mais de ne pas les comprendre ou en tout cas de ne pas les verbaliser, ne pas les rationaliser immédiatement. J'ai pris des décisions totalement inattendues en suivant de telles impressions.
C'est comme si j'étais connecté à un monde intangible. Même s'il ne s'agit que d'une perception fine et de modes de pensées liés à la neurodivergence, l'idée d'effleurer du doigt d'autres niveaux de réalité nourrit mon imagination.
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Les grèves font escale - Cécile Ossant
Dans ma mémoireles grèves font escalesur tant de chosesque le sourcier s’est endormireste dans des poches d’eaule talent du fleuveque l’enfant portera dans son seau
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En lisant : p39
Le sourcier face a la science : comment decouvrir l’Eau souterraine d’Yves Hubert
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I know it’s old af but can I use your Zancrow idea and design with him joining crime sourciere? With credits of course
Sure!
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Un groupe s’est rassemblé il attend les rayons du soleil qui font les plus longues ombres pour se compter, un projet est lié au nombre qu’ils seront, sa permission. Pas assez il faudra renoncer. La couleur est grise les rayons se mesurent avec un pendule de sourcier je me réveille pour comprendre les tempes et les dents serrées à moins de vouloir mordre la première main qui se tend, je ne veux pas aller où va cette image je ne veux pas je me lève pour la chasser.
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Yves Tanguy’s “Les Sourciers (The Water-Seekers),” 1945
Credit…Estate of Yves Tanguy/Artists Rights Society (ARS), New York; via Di Donna Galleries
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Magnétiseur, l'art de capter les énergies de l'univers
Magnétiseur, Jacques Bonneau, exerce en tant que radiesthésiste, barreur de feu, sourcier au village. Ces compétences sont souvent assimilées à des dons naturels voir à du charlatanisme par le public. Jacques est un scientifique de formation, (Il a dirigé un cabinet d’architecte) et a à cœur d’expliquer les lois physiques qui expliquent le fonctionnement et les effets bénéfiques du magnétisme. Magnétiseur : une école pratique Naturellement très curieux, Jacques a été dès l’âge de 12 ans attiré part l’ésotérisme et par l’infiniment petit. À 18 ans il s’inscrit dans un club de parapsychologie, découvre le magnétisme en rencontrant d’autres magnétiseurs. Il se perfectionne en lisant beaucoup de livres sur ce sujet, dont les 2 volumes, Théories et Procédés du Magnétisme, cours professés à l’École pratique du magnétisme. Jacques le rappelle « Chacun de nous a la capacité de soigner son prochain, par le magnétisme que nous avons reçu à la naissance, et par l’apposition de nos mains sur la partie du corps en souffrance de l’autre. Le don de magnétiseur se travaille et s’améliore comme le chant, le dessin ». Le monde animal, le monde végétal, le corps humain sont composés d’atomes animés par une énergie vitale, une énergie vibratoire. C’est par son énergie vibratoire et par la pensée que le magnétiseur va pouvoir se connecter à une tierce personne. Jacques a ainsi pu barrer le feu par téléphone à une personne au Brésil. Ce résultat suppose la double volonté du praticien de se mettre en lien par la pensée avec son patient et la volonté du patient d’être soigné par magnétisme Jacques travaille également pour atténuer les effets de brûlures ressenties par les malades de cancer lors de séances lourdes de radiothérapie. Certains hôpitaux, notamment les services de soins aux grands brûlés font intervenir des magnétiseurs pour stopper la douleur des patients. Ce recours par la médecine moderne aux magnétiseurs confirme leur efficacité. Jacques résume la réalité du magnétisme par ses mots « l’univers baigne dans un océan d’énergies, c’est par l’utilisation de ces énergies que le magnétiseur intervient dans son action. » Invité par l’association Loisirs culturels et sportifs, Jacques Bonneau présentera ce vendredi 15 mars à 20 heures à la salle des fêtes de Saint-Désirat une conférence intitulée Magnétiseur, Radiesthésiste comment ça marche ? Libre participation aux frais. Contacts Renseignements sur la conférence. Tel. 06 79 77 33 08. Jacques Bonneau, magnétiseur, radiesthésiste, barreur de feu. Cet Article est apparu d'abord sur https://news.google.com/rss/articles/CBMiamh0dHBzOi8vbGUtcmV2ZWlsLXZpdmFyYWlzLmZyL3NhaW50LWV0aWVubmUtZGUtdmFsb3V4L21hZ25ldGlzZXVyLWxhcnQtZGUtY2FwdGVyLWxlcy1lbmVyZ2llcy1kZS1sdW5pdmVycy_SAQA?oc=5&hl=en-US&gl=US&ceid=US:en Lire ici la suite de l'Article Original Read the full article
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Dans le livre de Hubert Yves « le sourcier face à la science » comment découvrir L’eau souterraine - preuves et methodes
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TÊTU TE TUE ! 😒
Être têtu te mène sur le chemin de la mort spirituelle. Tu es amené à écouter la Parole de Dieu, si tu veux éviter de te mettre sous un mauvais joug. Quand tu t’entêtes dans tes propres raisonnements humains pour ne pas faire selon les Écritures Saintes, tu prends le chemin périlleux de la perdition. Ne te perds pas dans tes faux raisonnements. Écouter et obéir vaut mieux que t’entêter et dépérir, car l’obéissance et la connaissance de Dieu vaut mieux que les sacrifices pour chercher à se faire pardonner. Si le Saint-Esprit te reprend ne te méprends pas, sois prudent de ne pas L’attrister. Le Seigneur désire te délivrer de tes mauvaises voies : impudicité, relation hors mariage, concubinage, recherche de la sensualité, consultation de magnétiseurs, films d’horreur, horoscope, jeux d’argent, sourcier, prières pour les morts, cartomancie, racisme, haine, médisance, excès de table… N’endurcie pas ton cœur, ne sois plus têtu ! 👊😊🌈
AMEN 🙏🔥🕊GLOIRE À DIEU 🙏🔥🕊
« Il est heureux, celui qui a toujours peur de mal faire. Mais quelqu’un de têtu connaîtra le malheur. » Prov 28 : 14 « Vous ne mangerez rien avec du sang. Vous n’observerez ni les serpents ni les nuages pour en tirer des pronostics. Vous ne ferez point d’incisions dans votre chair pour un mort, et vous n’imprimerez point de figures sur vous. Je suis l’Éternel. Ne vous tournez point vers ceux qui évoquent les esprits, ni vers les devins ; ne les recherchez point, de peur de vous souiller avec eux. Je suis l’Éternel, votre Dieu. Tu te lèveras devant les cheveux blancs, et tu honoreras la personne du vieillard. Tu craindras ton Dieu. Je suis l’Éternel. Vous traiterez l’étranger en séjour parmi vous comme un indigène du milieu de vous ; vous l’aimerez comme vous-mêmes, car vous avez été étrangers dans le pays d’Égypte. Je suis l’Éternel, votre Dieu. » Lév 19 : 26, 28, 31-32, 34 « Que le méchant abandonne sa voie, Et l’homme d’iniquité ses pensées ; Qu’il retourne à l’Éternel, qui aura pitié de lui, A notre Dieu, qui ne se lasse pas de pardonner. » Ésaïe 55 : 7 « Car j’aime la piété et non les sacrifices, Et la connaissance de Dieu plus que les holocaustes. » Osée 6 : 6 « Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement, » Héb 9 : 27
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Est-ce qu'un sourcier est fiable pour trouver de l'eau ?
Sourciers : une profession controversée, mais de plus en plus recherchée pour résoudre la crise de l'eau. Entre héritage ancien et pouvoirs mystiques, explorez leur univers fascinant. ... Read the full article
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Je me suis inventé une sacoche pour ranger mes baguettes de sourcier avec pochettes pour pouvoir y ranger également mon pendule ! J'ai trouvé ce matin de beaux boutons assortis, il ne me reste plus qu'à créer une bandoulière pour pouvoir la porter sur l'épaule... 7/02/2024
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youtube
#israel#gaza#being against israel is not antisemitism#being for the civilians of palestine is not antisemitism#the very fact that i have to put this disclaimer is so infuriating and sad#because it should be obvious but everyone just loves to buy the propaganda#of the occupying forces#Youtube#palestine
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