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#soulager la hanche
coachantidouleur · 3 months
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Comment soulager soi-même les douleurs de la hanche ?
Le choix du traitement pour les pathologies de la hanche dépend de la nature et de la gravité de la maladie et du handicap que la douleur ou le problème provoque dans la vie quotidienne. Les traitements conservateurs comme la thérapie SEREQUI sont souvent suffisants et permettent de retrouver mobilité et force. Malgré tout, dans certains cas très rares, une intervention chirurgicale peut être…
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idereahellyeah · 2 years
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J'ai vu les post de @plaidetchocolatchaud et je me suis rendue compte que j'ai été plutôt sage sur les retraites. Alors que bon.
Je m'appelle A., j'ai 33 ans, je suis infirmière depuis 10 ans et j'ai déjà deux accidents du travail reconnu qui m'handicaperont toute ma vie.
Je travaille dans un service privilégié où on a beaucoup de matériel pour nous aider, pourtant chaque jour je vois des collègues mettre leurs mains sur leurs hanches pour soulager leurs dos ou s'étirer la nuque dans l'espoir d'un craquement libérateur.
Je travaille avec une équipe jeune pourtant beaucoup portent les traumas de voir la douleur, la mort, la souffrance de vie de leurs patients. Nombreux sont ceux également qui avec l'alternance jour/nuit ne peuvent dormir sans prendre un traitement et je ne compte plus ceux qui en sortant du boulot vont systématiquement boire un coup pour ne pas ramener le boulot à la maison.
J'ai aussi la chance d'être entourée de mentor, quelques rares dinosaures qui travaillent depuis plusieurs décennies dans le service. L'expérience fait qu'ils refusent de faire certains gestes, comme les compressions thoraciques, afin de se préserver car ils savent qu'ils ne peuvent plus. Même remonter les patients dans les lits leur est difficile avec l'arthrose qui déforme leurs doigts et la fin de journée est difficile malgré les bas de contentions.
Encore une fois, j'ai de la chance, pas comme les 3/4 des services où toutes les conditions sont dégradés. Chez moi on nous demande de travailler plus avec moins, chez eux on leur demande de faire plus avec rien.
Les soignants n'arrivent pas à vieillir à l'hôpital, peu dépassent l'âge de 60 ans et les gens arrivent plus tard dans le milieu.
Et le gouvernement veut instaurer 64 ans de départ à la retraite et 43 ans de cotisation? Mais on va où sérieux?
L'hôpital va mal, ce n'est pas un secret de polichinelle, et on demande encore à ceux qui le font tenir de faire plus. C'est épuisant.
La pénibilité n'est pas reconnue pourtant, pour rappel, les femmes qui travaillent de nuit sont celles qui ont le plus de risque de développer des cancers et des maladies cardio vasculaires. Dans le discours du gouvernement on parle des aides soignants mais, outre les infirmiers, pourquoi juste eux? Les ASH qui manipulent des produits chimiques toute la journée n'ont pas un boulot pénible? Les manipulateurs radios qui se bouffent malgré tout des rayons toute la journée n'ont pas un boulot pénible? Et les médecins qui commencent à travailler officiellement à partir de l'internat, on les fait bosser jusqu'à 90 ans sous prétexte qu'ils "gagnent bien" leur vie? Sans déconner.
Hier j'étais dans la rue car je ne travaillais pas mais je pensais fort à mes collègues qui ont été réquisitionnés et qui portaient un bout de scotch sur leurs tenues marqué "En Grève".
Je pensais fort également à tous ceux qui hors de l'hôpital sont comme nous concernés, soit beaucoup trop de monde.
Force à nous tous !
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loup-venant · 2 months
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La porte de la salle de bain est grande ouverte sur le couloir. Mathieu en sort de moitié et tend l'oreille. Habillé uniquement d'une serviette lâchement placée sur ses hanches et prête à tout dévoiler, il se penche légèrement en avant sur la pointe des pieds et se tient d'une main au chambranle de la porte pour maintenir l'équilibre.
Rien.
Il est pourtant certain d'avoir entendu du bruit en bas.
"T'as déjà mangé ?" La voix de Lucie précède son arrivée dans le couloir et le surprend.
Immédiatement, Mathieu se retourne et se dirige vers la cabine de douche. Son agitation détourne son attention de sa serviette qui, avec le mouvement, tombe au sol. Il s'arrête et fait un pas en arrière pour la récupérer.
Dans l'embrasure de la porte, il aperçois Lucie qui passe d'un coté à l'autre du couloir. Juste avant d'atteindre l'autre coté, elle s'arrête net. et tourne son visage vers lui.
Mathieux se fige, comme un lièvre surpris par les phares d'une voiture dans la nuit. Elle, elle affiche un sourire gourmand, des pommettes rouges et rondes et des yeux pleins d'appétit. Autant de signaux auxquels Mathieu reste aveugle. Toute son attention dérobée par sa tenue, sa serviette. Est-elle bien placée ? Suis-je couvert ?
"Alors, t'as mangé ?" reprend Lucie. "Pas encore. Je voulais d'abord me doucher." Sa question semble l'avoir redémarré. Comme un robot, il s'exécute, et rentre dans la cabine sans demander son reste. Il ferme la porte, le loquet et puis inspire. A l'expire, sa tête est vide. Il accroche sa serviette sur le coté et a à peine le temps d'ouvrir l'arrivée d'eau que la porte de la cabine s'ouvre derrière lui.
"Je prendrais bien une douche aussi" annonce Lucie en souriant, complètement nue. "Quoi ?" semble-t-elle demander du regard, d'un air sincère. "Ah ! Le verrou est cassé depuis que j'habite ici" déclare-t-elle d'un air satisfait. Mathieu reste muet, dépassé par la situation. "Tu veux que je m'en aille ?" demande Lucie.
Mathieu l'avait déjà vu en pyjama, en maillot de bain, en robe de soirée sans jamais vraiment y prêter attention, mais nue, c'est une première. Il naviguait du regard s'en vraiment s'en rendre compte entres ses seins, ses cuisses, ses yeux, ses mains, et ne pouvait concevoir de soulagement que dans l'idée d'y poser les siennes.
"Non. Reste."
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Faites l'expérience d'une vie sans douleurs articulaires grâce à une arthroplastie totale de la hanche en Inde. Offrant des soins de classe mondiale et des techniques chirurgicales avancées, l'Inde est une destination de choix pour les patients internationaux en quête de soulagement et de mobilité. Nos chirurgiens orthopédistes experts se consacrent à restaurer votre qualité de vie grâce à des procédures sûres et efficaces. Faites le premier pas vers un avenir sans douleur.
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hondrolifeprice · 3 months
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SPRAY HONDROLIFE : REMETTEZ-VOUS SUR PIEDS AVEC UN SOULAGEMENT NATUREL DES DOULEURS À LA HANCHE ET AU GENOU
Pour les personnes à la recherche d'une solution décente, HondroLife est un nouveau produit qui apporte un soulagement naturel et aide à soulager les douleurs nerveuses. De nombreuses personnes à travers le monde souffrent de douleurs nerveuses. Il est donc essentiel de développer des stratégies efficaces pour améliorer la santé générale et la vie quotidienne. Dans cet article, nous examinons les spécificités de HondroLife, y compris ses composants, son fonctionnement et ses avantages possibles.
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Prêt à essayer HondroLife ? Commandez maintenant sur le site officiel
Les ingrédients de HondroLife : Quels sont-ils ?
Fabriqué à partir d'ingrédients naturels, HondroLife est un supplément destiné à la santé nerveuse. Décortiquons les éléments de cette formule :
Riche en antioxydants, en fibres et en vitamines, le fruit de la passion est un fruit tropical. Extrait de plantes Des études montrent qu'en contrôlant les chutes de sucre et les fringales, il peut contribuer à réduire les problèmes liés au diabète. Il pourrait également aider à soulager les douleurs neuropathiques. La poudre de racine de guimauve, une plante à la longue histoire médicale, est bien connue pour ses effets relaxants. La recherche indique qu'elle peut favoriser le métabolisme et la digestion, aider à réparer les terminaisons nerveuses irritées et améliorer l'état de la peau et des cheveux. Historiquement, la plante Corydalis a été utilisée pour traiter les dépressions mineures, les maladies mentales et les lésions nerveuses. Ses qualités calmantes expliquent son action analgésique. En outre, la corydale possède des qualités antibactériennes et antifongiques et pourrait aider à contrôler le rythme cardiaque et la pression artérielle. Cactus comestible, la figue de Barbarie est riche en nutriments, en vitamines et en fibres. Des études montrent qu'elle peut être bénéfique pour le contrôle du poids, la santé de la peau et des cheveux et la gestion du taux de sucre dans le sang, réduisant ainsi les problèmes liés au diabète. Dérivées de plantes en fleurs originaires d'Amérique du Nord, les graines de pavot de Californie ont des propriétés calmantes et réductrices de l'anxiété. Des études indiquent que, surtout lorsqu'elles sont prises avec de l'extrait de valériane, elles peuvent contribuer à améliorer la qualité du sommeil.
Avantages de HondroLife
Le supplément HondroLife pour la neuropathie est composé d'éléments d'origine naturelle qui présentent plusieurs avantages pour la santé. Voici les principaux avantages de l'utilisation des comprimés HondroLife Spray.
aide à résoudre les problèmes de stress et d'anxiété.
La recette fait appel à un mélange spécial de composants testés cliniquement pour soutenir la fonction nerveuse. Passiflora Incarnata est l'un des composants de HondroLife dont les propriétés apaisantes sur le stress et l'anxiété ont été prouvées. Les analgésiques améliorent le système nerveux et réduisent l'anxiété, l'insomnie et les douleurs extrêmes.
Favoriser un meilleur sommeil.
Le manque de sommeil peut induire des douleurs neuropathiques et des lésions nerveuses. La bonne proportion de graines de pavot de Californie contribue à améliorer la qualité du sommeil et à préserver la communication entre les nerfs. Des recherches sur les anti-inflammatoires contenus dans le composant révèlent qu'ils aident à réduire la neuropathie et les symptômes qui y sont liés.
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Stimulez votre attention.
Les gélules HondroLife contribuent à améliorer la santé du cerveau en plus d'assurer le bon fonctionnement des nerfs. Chaque composant de la formule aide à maintenir une meilleure concentration et à aiguiser votre cerveau ; il vous permet également de vous détendre.
renforce le système immunitaire.
Chaque gélule de HondroLife contient les bienfaits d'ingrédients naturels de première qualité. Les ingrédients tels que la racine de guimauve, la figue de Barbarie et le corydalis Yanhusuo améliorent votre état de santé général et renforcent le système immunitaire. Les nutriments et les substances antioxydantes contenus dans les composants permettent à votre corps d'être plus fort et vous protègent contre les inflammations et les douleurs nerveuses extrêmes.
Effets secondaires de HondroLife
HondroLife est créé à partir de matériaux naturels de première qualité, sans impact négatif sur votre santé. Cependant, un dosage trop élevé de cette vitamine peut avoir des effets indésirables. Les femmes enceintes, les jeunes filles de moins de 18 ans et les femmes qui allaitent ne doivent utiliser ce complément que sur les conseils de leur médecin. Les personnes souffrant de maladies chroniques doivent également consulter leur médecin avant d'utiliser ce supplément ou tout autre supplément, car il peut se combiner avec d'autres médicaments et avoir des effets négatifs.
Selon le fabricant, le supplément nutritionnel HondroLife est produit dans une installation pouvant manipuler du lait, du blé, des œufs, des arachides, du poisson, des crustacés et des fruits à coque. Les personnes allergiques à ces composants doivent consulter leur médecin avant de commencer à prendre le complément.
Recommandations de dosage HondroLife
Selon l'étiquette du supplément, chaque bouteille de HondroLife contient 60 gélules, ce qui correspond à un approvisionnement de 30 jours. Le dosage conseillé est de deux gélules HondroLife par jour avec de l'eau. Le fabricant du supplément vous conseille de respecter le dosage conseillé.
Si vous dépassez la dose conseillée, vous risquez de subir des effets indésirables légers. Une quantité insuffisante de gélules HondroLife entraîne des retards dans l'obtention des effets escomptés. Si vous envisagez d'utiliser HondroLife, suivez le dosage optimal recommandé par le fabricant.
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Informations sur le prix de HondroLife
Discutons des spécificités du prix de HondroLife dans cette partie. Étant donné que ce supplément est composé de composants naturels rares et difficiles à obtenir, son prix pourrait sembler un peu élevé. Cependant, le producteur fournit maintenant HondroLife à des prix raisonnables afin que tout le monde puisse tester le supplément sans avoir à dépenser beaucoup d'argent sur elle.
Voici les différentes formules et les prix proposés :
Une bouteille de 30 jours coûte 69 $ et les frais de port sont gratuits. Trois flacons (90 jours) - 59 $ pour chaque flacon et livraison gratuite. Six flacons pour un approvisionnement de 180 jours : 49 $ par flacon avec livraison gratuite.
Disponibilité de Honduras Life Spray
HondroLife ne peut actuellement être acheté que sur son propre site web. Le producteur affirme que le produit n'est disponible ni dans les points de vente, ni sur les sites Internet extérieurs. HondroLife étant très recherché sur le marché, il existe des copies sur plusieurs sites de commerce électronique. Acheter le véritable supplément directement auprès de la source officielle peut vous aider à échapper à ce piège. Vous devez visiter le site officiel pour passer votre commande ; la procédure est vraiment simple.HondroLife Programme de remboursement
Chaque produit HondroLife est assorti d'une garantie de remboursement de 60 jours. Si vous n'êtes pas satisfait des résultats ou pour une autre raison, vous pouvez envoyer un courriel à l'équipe de soutien à la clientèle ; le fabricant vous remboursera la totalité du coût dans les 60 jours de la transaction. En outre, gardez à l'esprit que la politique de remboursement ne s'applique que si vous achetez HondroLife sur le site officiel.
Tout ce que vous avez à faire est de renvoyer les bouteilles de supplément à l'adresse spécifiée sur le site Web après avoir rempli le formulaire de retour et de remboursement que vous avez reçu lors de votre transaction. L'achat du complément sur une autre plateforme de commerce électronique telle qu'Amazon ne donnera pas lieu à un remboursement.
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Commentaire final de HondroLife
Compte tenu de tous les éléments couverts dans cette revue, on pourrait conclure que le supplément semble être une véritable formule de neuropathie. Le supplément est entièrement composé de composants organiques bénéfiques pour soutenir le fonctionnement normal des nerfs.
Le mélange spécial d'éléments favorise le bon fonctionnement des nerfs et permet aux cellules blessées de se réparer. La plupart des évaluations de HondroLife sont favorables, ce qui indique la puissance du supplément.
Chaque composant du supplément HondroLife Neuropathy est testé par une tierce partie après avoir été développé dans des installations de haute qualité selon les règles GMP. Si vous n'êtes pas satisfait de HondroLife, le fabricant vous offre une garantie de remboursement de 60 jours. Sur la base de toutes ces informations, HondroLife semble être une formule qui vaut la peine d'être essayée.
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soulagerdos · 6 months
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Soulagement Dorsal: Guide des Exercices pour Mal de Dos Pour Renforcer et Prévenir l'Inconfort
Avez-vous déjà ressenti des douleurs dorsales qui vous limitent dans vos activités quotidiennes ? Le mal de dos, également connu sous le terme "exercice pour mal de dos", est une plainte courante qui touche de nombreuses personnes à un moment donné de leur vie. Que ce soit causé par une mauvaise posture, un mode de vie sédentaire ou des blessures, il peut considérablement affecter notre qualité de vie. Heureusement, il existe des solutions simples et efficaces pour soulager et prévenir le mal de dos. Dans cet article, nous explorerons différents exercices pour mal de dos qui peuvent aider à renforcer les muscles, améliorer la flexibilité et réduire l'inconfort.
Étirement du dos L'étirement du dos est un exercice fondamental pour soulager les tensions et améliorer la flexibilité de la colonne vertébrale. Pour ce faire, allongez-vous sur le dos, pliez les genoux et maintenez les pieds au sol. Ensuite, ramenez doucement les genoux vers la poitrine en utilisant vos mains pour tirer légèrement. Maintenez cette position pendant 15 à 30 secondes, puis relâchez lentement. Répétez plusieurs fois pour un soulagement optimal.
Le pont est un exercice efficace pour renforcer les muscles du bas du dos, des fesses et des jambes. Allongez-vous sur le dos, pliez les genoux et placez les pieds à plat sur le sol, à la largeur des hanches. Ensuite, soulevez lentement les hanches vers le plafond en contractant les muscles fessiers et abdominaux. Maintenez cette position pendant quelques secondes, puis abaissez lentement les hanches. Répétez plusieurs fois pour renforcer les muscles dorsaux et réduire les douleurs.
Planche latérale La planche latérale est un exercice efficace pour renforcer les muscles abdominaux et stabiliser la colonne vertébrale. Allongez-vous sur le côté, en appuyant sur l'avant-bras et le côté du pied. Soulevez lentement votre corps pour former une ligne droite de la tête aux pieds. Maintenez cette position pendant 20 à 30 secondes, puis changez de côté. Répétez plusieurs fois pour renforcer les muscles stabilisateurs du dos et prévenir les blessures.
Élévation des jambes L'élévation des jambes est un exercice simple mais efficace pour renforcer les muscles abdominaux inférieurs et soulager la tension dans le bas du dos. Allongez-vous sur le dos, les mains sous les fesses pour soutenir le bas du dos. Ensuite, levez lentement les jambes vers le plafond en gardant les genoux légèrement pliés. Maintenez cette position pendant quelques secondes, puis abaissez lentement les jambes. Répétez plusieurs fois pour renforcer les muscles abdominaux et réduire les douleurs dorsales.
Les exercices pour mal de dos peuvent jouer un rôle important dans la gestion et la prévention des douleurs dorsales. En incorporant régulièrement ces exercices dans votre routine, vous pouvez renforcer les muscles, améliorer la flexibilité et réduire l'inconfort, vous permettant ainsi de mener une vie active et sans douleur. N'oubliez pas de consulter un professionnel de la santé avant de commencer tout programme d'exercice, surtout si vous souffrez de douleurs chroniques ou de blessures préexistantes.
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lumbagosoigner · 6 months
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Les Meilleurs Traitements pour Soulager et Soigner un Lumbago en Quelques Jours
Le lumbago, également connu sous le nom de mal de dos aigu, peut être extrêmement douloureux et invalidant, limitant les mouvements et affectant la qualité de vie. Cependant, avec les bons traitements et une approche appropriée, il est possible de soulager et de lumbago soigner un en quelques jours seulement. Dans cet article, nous explorerons les meilleurs traitements pour soulager la douleur et favoriser la guérison rapide du lumbago, vous permettant ainsi de retrouver votre mobilité et votre confort en un rien de temps.
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Lumbago Soigner : Les Meilleurs Traitements à Adopter
Repos et Évitement des Activités Stressantes : Lorsqu'un lumbago survient, il est essentiel de permettre au dos de se reposer et de récupérer. Évitez les activités qui sollicitent excessivement le dos et provoquent une douleur accrue. Adoptez une position confortable et soutenue pendant le repos, en utilisant éventuellement un oreiller sous les genoux pour soulager la pression sur le bas du dos.
Application de Chaud ou de Froid : L'application de compresses chaudes ou froides peut aider à soulager la douleur et à réduire l'inflammation associée au lumbago. Utilisez une bouillotte chaude ou un sac de glace enveloppé dans une serviette et appliquez-le sur la zone douloureuse pendant 15 à 20 minutes plusieurs fois par jour.
Médicaments Anti-inflammatoires : Les médicaments anti-inflammatoires tels que l'ibuprofène ou le paracétamol peuvent aider à soulager la douleur et l'inflammation associées au lumbago. Consultez un professionnel de la santé pour obtenir des recommandations sur la posologie appropriée et la durée du traitement.
Exercices de Stretching et de Renforcement : Pratiquer des exercices de stretching et de renforcement musculaire peut aider à détendre les muscles tendus et à renforcer les muscles de soutien du dos, ce qui peut contribuer à réduire la douleur et à prévenir les rechutes. Concentrez-vous sur les étirements du dos, des hanches et des jambes, ainsi que sur les exercices de renforcement des abdominaux et des muscles du dos.
Consultation d'un Professionnel de la Santé : Si la douleur persiste malgré les traitements à domicile, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé. Un médecin, un chiropraticien ou un physiothérapeute pourra évaluer votre condition, recommander des traitements supplémentaires et fournir des conseils sur la prévention des rechutes.
En suivant ces meilleurs traitements, il est possible de soulager et de soigner un lumbago en quelques jours seulement. N'oubliez pas d'être patient et cohérent dans votre approche, et consultez un professionnel de la santé si vous avez des préoccupations spécifiques concernant votre condition. Avec une approche appropriée, vous pouvez retrouver votre bien-être et votre mobilité rapidement.
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leblogdejennifer-fr · 9 months
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Thérapie par auto-massage gratuite
Prendre soin de soi est productif.
Bonne soirée,
J’espère que l’année commence du bon pied jusqu’à présent. Pourtant, le long hiver canadien, avec tout ce qu’il implique, peut être éprouvant pour nos corps et nos niveaux de stress. Par conséquent, j’aimerais vous suggérer quelques vidéos que vous pouvez suivre pour aider à soulager ce stress et ces douleurs musculaires. Sachez qu’il est tout à fait normal de ressentir de temps en temps de petites inconforts dans votre corps et rappelez-vous que vous êtes humain.
Pour des étirements et massages pour l’ensemble du haut du corps (en anglais):
youtube
Pour un massage spécifique du bas du dos et des hanches:
youtube
Passez la plus belle des soirées!
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0nalia · 1 year
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Liberté {Eustass Kidd x Reader} Parti 6
— — — POV Reader — — —
continuant de retiré les mauvaise herbes, je profite de retiré les tomate prête à être dégusté, pensant déjà a tout les petits plats possible de préparé avec.
Elles sont bien rouge ! j'ai eu raison de choisir ces engrais au magasin. je souris le posant dans un petit panier a coter.
tu aime le rouge ? il pose cette question d'un air curieux et fier.
je tourne ma tête vers le petit escargot avec une belle tomate dans les mains. étant accroupie je lui souris.
Oui, se qui est rouge à toujours l'air délicieusement succulant. je tourne mon regard vers la tomate l'effleurant de mes pouces.
j'entend l'escargot déglutie une fois se qui me fit sourire sachant très bien que cela lui faisait quelque chose. je viens doucement venir croquet la tomate faisant un bruit de satisfaction la mains sur la joue
vraiment délicieuse~ avec tellement de jus~ elle est parfaite ~ un coulis de jus tombe sur ma poitrine s'enfouissant entre mes seins.
un silence était présent le temps que je déguste cette tomate. je viens cassé se silence quelque instant après, essuyant le coulis avec mon doigt venant ensuite le léché.
Le rouge est ma de mes couleur préféré avant le bleu. je souris.
je pouvais sentir son égos grandir de l'autre coter de l'appareil.
et toi ? tu as une couleur préféré ? je ramasse quelque dernière tomate
les couleurs m'importe peu. il grogne.
Oh allez~ Capitaine ~ pas avec moi. j'ai répondu a ta question alors à toi de répondre à la mienne~
il grommelle, le rouge. j'aime voire le sang de mes ennemie repeindre les murs et les sol. dit-il bourru.
une réponse joyeuse dit donc ! je redresse mon dos et m'étire un peut les bras au dessus de la tête lâchant un soupire de soulagement.
et donc.. tu vie seul et tu cultive toi-même ta nourriture ? tu sais faire quoi d'autre ? questionne Kidd.
hm. et bien comme je l'es dit au début je sais danser, je peu aussi chanté même si c'est pas grand chose mais j'aime sa.
tout se qui et du combat tu ne sais rien faire alors.
hm. au combat non enfin je ne sais pas je me suis jamais battue sauf une fois dans un bar.
j'entend un bruit de chaise venant de l'appareil.
dans un bar ? et tu as gagné ?
j'entend sa curiosité depuis l'autre bout du fil, se qui me fit un peu sourire.
si on doit compté le fait que la fille a terminé a l'hôpital avec 17point de suture au niveau du bras.. Oui ? après je ne sais pas trop comment sa ces passé j'était assez ivre. tout se que je sais c'est que le lendemain j'avais quelque hématome par-ci par-là. pointant du doigt ma hanche et mon estomac.
donc tu n'as juste eu jamais eu l'occasion d'essayer.
et bien j'ai une hypothèse sur sa mais c'est assez banal. on dit souvent que le combat peut aussi être vue comme une dance ? alors peut-être que je pourrait m'entrainer sur se point là. je penche la tête pensive.
Killer pourra t'aidez a exploré tes hypothèse. il et assez souple en combat. dit-il un peu fier et dégouté d'un bord.
je rie a sa réaction, pourquoi pas. je pourrais faire plus ample connaissance avec lui en même temps. dit-je d'un air narquois me relevant avec le panier de tomate
il grogne de l'autre coter de l'appareil. Ouais tu pourra faire aussi "ample connaissance" avec tout les autres membres.
hm ? je penche la tête, pourquoi ne pas simplement me montré aux autres ? puisque tu me voie maintenant.
JAMAIS ! il tousse bruyamment, je veux dire.. pas dans ton état actuel.
je gonfle mes joues et me dirige vers le petit escargot sur la clôture de bois. sympas, dit tout de suite que je suis l'aide. pff pff~
Hah?! il s'énerve d'un coup.
je plaisante ! je rigole un peu et viens pour prendre l'appareil, mais avant même d'avoir pus mètre la mains dessus une ombre noir et passé l'emportant dans le ciel avec lui. quoi..? QUOI ? je fouette ma tête vers le ciel et voie un corbeau noir partir avec en direction du bois.
— — — POV Eustass Kidd — — —
Je plaisante ..~
je rougis de sa mauvaise blague et prend note de me venger plus tard. d'un coup je voie les image défilé a toute vitesse et entend un crie
ESPECE DE CORBEAU DE MERDE REND-LE MOI ENFOIRER !!
je suis bouche bée devant ces mots, secouant la tête l'escargot regarde le corbeau.
sale bête... je grogne se qui surpris le corbeau et l'achat l'escargot en plaine air. BORDEL NON ! je frappe mes point sur le bureau se qui fit presque trembler les objets sur les étagère.
une fois les image fix j'en conclus qu'il n'as pas était brisé on dirais qu'il as atterrie dans un buisson après une chute vertigineuse.
Oi. l'escargot. si tu m'entend bouge. je voie les image légèrement bougé, il doit être un peu sonné. Merde.. je grommelle de frustrassions et sert le point.
à se moment là quelqu'un frappe a la porte du bureau et entre.
Capitaine ? est-ce que tout va bien ?
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clemjolichose · 1 year
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and i know i've kissed you before
Fandom : Vilebrequin
Pairing : Gaytipla (Sylvain Levy x Pierre Chabrier)
Nombre de mots : 3 155 mots
Avertissement : Aucun
Résumé : Leurs nuits blanches ne sont pas blanches, à peine claires, semées d'étoiles…
Quand les insomnies frappent, quand le sommeil ne vient pas et que la nuit tient leurs pensées entre ses griffes, il reste deux solutions : se torturer jusqu'au petit matin et tout oublier, ou bien agir, quitte ou double…
Note d’auteurice : Vous pouvez aussi lire ce texte sur Wattpad ou AO3 <3
Partie : 3/3
Partie 1 | Partie 2
Chanson : Pink in the night de Mitski
L'attente était longue, pour Sylvain. Il fixait le téléphone à côté de lui et plus les minutes passaient, plus ils voulaient s'en saisir, envoyer un nouveau message, le supplier, s'excuser, tirer une réaction de l'autre. Il se retenait, parce qu'au fond il avait peur.
Alors il attendit. Dix minutes, vingt minutes, trente, trente-cinq... Son esprit était vide, sauf d'une chose : Pierre. Il se dit qu’il était effectivement en train de dormir, qu’il était vain d’espérer quoique ce soit, qu’il ferait mieux d’essayer de dormir aussi même s’il savait que le sommeil ne viendrait pas à lui.
Il lâcha son téléphone et se rallongea dans le lit. Il en avait mal. Il voulait en pleurer. C’était idiot, il se sentait terriblement idiot, mais il y avait des nuits où la solitude et le désir étaient plus tenaces que d’autres.
Des coups résonnèrent dans son appartement, contre la porte. Sylvain sursauta, son cœur accélérant immédiatement. Il espérait tellement que ce soit Pierre… Ni une ni deux, il bondit sur ses pieds et courut à moitié pour aller ouvrir. Il ouvrit la porte d’un geste brusque, le souffle court, provoquant un mouvement de recul de la part de son ami, qui se trouvait effectivement devant la porte.
“Bordel, Pierre, t’es là…”
Il poussa un profond soupir de soulagement, portant sa main à sa poitrine. Le susnommé leva un sourcil en le considérant, avec un petit sourire en coin.
“Eh beh, je me faisais attendre dis donc !
-Je savais pas si t’avais vu mon message, expliqua Sylvain. J’ai été pris de court quand t’es arrivé. Rentre, attends, reste pas sur le pallier !”
Il s’écarta pour laisser la place à son invité, refermant la porte derrière lui.
“Ouais, je sais, pardon, s’excusa Pierre. J’ai oublié de te répondre et je suis parti direct…”
L’hôte émit un rire, à peine discret, juste un soufflement de nez. Il suivit Pierre dans le séjour, mais aucun des deux ne fit un geste pour s’asseoir. Ils restèrent debout, l’un en face de l’autre, au milieu de la pièce. Ils se fixaient, sans savoir quoi dire, comment parler, quand commencer.
Il y avait une fin à tout ça, à cette entrevue nocturne, les deux hommes le savaient. C’était d’ailleurs la raison de cette tension entre eux, à peine perceptible, stimulée par l’hésitation et l’appréhension. Il savait sans parler où ils finiraient. Pourtant, personne ne bougeait.
Pierre s’était adossé au mur, les mains dans les poches avant de son pantalon de pyjama. Il observait Sylvain qui, à quelques mètres de lui, s’était à moitié assis sur l’accoudoir de son canapé, les mains dans le dos. Il avait la tête baissée, comme coupable.
Finalement, il parla, d’une petite voix fatiguée, relevant à peine le regard :
“Désolé pour le message. J’arrivais juste pas… je sais pas, je voulais pas rester seul.
-Moi non plus, avoua Pierre en retour. Du coup, ça m’arrange bien, t’excuse pas.”
Il se redressa et s’approcha de l’autre homme, lentement, jouant avec lui. Ils s’observaient l’un l’autre, Pierre avec amusement, Sylvain avec timidité. Il avait du mal à mettre des mots sur ce qui était en train de se passer, en résultait une grande confusion pour sa part, vite essuyée par les mains de son ami sur ses bras.
Doucement, Pierre tira pour que les mains de Sylvain se lâchent et tombent le long de ses hanches. Il voulait les tenir, alors il les prit dans les siennes, envahissant l’espace personnel du pauvre insomniaque. Ce dernier ne disait rien, ça ne lui déplaisait pas, bien au contraire. Un petit sourire se dessina sur son visage, peu assuré.
Il n’avait jamais touché un homme. Pas intimement du moins. Ce contact lui semblait déjà si intime, Pierre jouant avec ses mains, les contemplant avec un tel intérêt que l’autre en était gêné. Mais il le laissa faire, il en avait envie, avec lui. Il voulait que Pierre soit le premier et, si possible, le dernier qu’il touchât jamais. Il le voulait ce soir.
La surprise le secoua légèrement quand l’homme qui tenait ses mains les porta à ses lèvres pour les embrasser, son regard planté dans le sien. Surprise vite remplacée par une chaleur qui s’étendait de son estomac vers sa poitrine. Il ouvrit la bouche pour parler, les mots restaient suspendus. Il la ferma, ils voulurent sortir. Et ce ballet, qui faisait bien rire Pierre, s’acheva par ces mots de Sylvain :
“Qu’est-ce qu’on fout…”
Ce n’était pas une question, pas même une affirmation, à peine un doute… ça ne voulait rien dire, en fait. Il ferma les yeux un instant, juste le temps que l’autre homme l’enlace, le tienne par la taille, il sentit son odeur…
“Qu’est-ce qu’on fout, répéta-t-il avec plus de vigueur. Pierre.”
Il repoussa le susnommé, levant les yeux vers lui, incertain. L’autre sourit, calme et tranquille, comme s’il savait ce qu’il faisait. Son meilleur ami ne savait même pas si c’était vrai. Il pouvait bien cacher son jeu, parfois. Ses émotions, aussi. Lui était un livre ouvert, ses yeux brillants transmettaient toute la peur et le désir qu’il ressentait. Peut-être était-ce de là que venait l’assurance de Pierre. Peut-être qu’il connaissait son charme.
Il fallait avouer qu’il avait des allures de gentleman, derrière les grossièretés. Des traits de romantisme. Il ne les montrait pas toujours, mais quand c’était le cas, Sylvain ne pouvait pas s’empêcher d’être charmé, lui qui était si souvent un connard. Il se demandait parfois comment l’autre le supportait, avec toute sa mauvaise foi et cet énorme ego qui le rendait vulgaire. Non pas que Pierre était un prince charmant, pas plus que Sylvain ne l’était, mais quand même… il était sacrément beau quand il se mouvait, quand il parlait.
Là, Pierre ne faisait ni l’un ni l’autre, mais malgré tout, son ami le trouvait particulièrement agréable à regarder. Alors ils continuaient de s’observer, avec des sourires discrets, des yeux baissés parfois, des caresses qui dérangeaient à peine l’air autour d’eux.
“On fait rien de mal, répliqua Pierre avec un haussement d’épaule. On s’en fout.”
Et en plus d’être beau, il avait les mots. Bordel, Sylvain était en train de craquer. De tous les jeux auxquels ils avaient joué ensemble, c’était probablement le premier qu’il perdait. Mais comme l’autre avait dit, il s’en foutait. Il panserait son ego blessé le lendemain, quand il serait conscient. Là, il rêvait et voulait se laisser transporter.
Pierre le serra à nouveau, brièvement, pour lui susurrer à l’oreille :
“On pourrait s’installer dans ton lit et voir où s’en foutre nous mène.”
Sa barbe frotta contre la peau de Sylvain, qui ferma encore les yeux, écoutant à peine. Il acquiesça quand même, contre l’autre.
Celui-ci le tira donc vers la chambre avec un grand sourire, il ouvrit la porte, fit asseoir son ami qui semblait tout perdu… Alors il releva son visage d’un doigt glissé sous son menton, soucieux.
“Ça va ? demanda-t-il doucement.”
Sylvain sortit de ses pensées et lui sourit.
“Ouais, pardon, j’ai… j’ai pas l’habitude.”
Pierre fronça les sourcils et ne put s’empêcher de blaguer :
“Ça fait si longtemps que ça que t’as pas ramené une fille chez toi ?
-Tu saoules, soupira Sylvain sans le penser, souriant.
-T’adores ça, se défendit son interlocuteur. C’est pour ça que tu m’as envoyé un message.”
Et l’autre homme ne répondit pas, acceptant une nouvelle défaite.
A la place, il tendit la main et attrapa le poignet de son ami, celui autour duquel quelques bracelets se trouvaient. Et il tira, tombant en arrière sur le matelas tandis que Pierre se trouvait au-dessus de lui.
“Ah, tu prends enfin les devants, remarqua celui-ci avec un sourire.”
Sylvain l’enlaça et roula sur le côté avec lui, le faisant rire.
“Je veux juste des câlins, murmura-t-il.
-Je vois ça, répliqua Pierre, un brin moqueur.”
Son ami l’insulta en retour, mais il n’en fut pas blessé, il l’avait plutôt cherché et ça le faisait marrer. Il se tut finalement et enlaça Sylvain en retour, comme ce dernier semblait le vouloir. Un soupir appréciateur le lui confirma.
Petit à petit, à force de légers mouvements, pour se réajuster ou pour se caresser, les deux hommes s’installèrent confortablement sans se quitter, toujours étendus sur leurs flancs.
“Il fait chaud chez toi, se plaignit Pierre, qui portait un pull.
-J’ai froid. Enlève ton pull, toi.”
L’autre homme se mordit la lèvre, avouant avec un rire parce qu’il trouvait la situation fort cocasse :
“J’ai rien en dessous.
-Enlève-le, insista Sylvain avec un sourire en coin.”
Ils éclatèrent de rire tous les deux, alors que Sylvain flirtait ouvertement. Il mettrait ça sur la fatigue - ou pas…
Pierre abdiqua et se détacha de son compagnon d’insomnie pour s’asseoir sur le bord du lit. Là, il se trouvait dos à lui, retirant son vêtement avec un soupir de soulagement. Sylvain, lui, avait ses yeux fixés sur lui, sur son dos. La pilosité de ses épaules qui roulaient avec le mouvement de ses bras se faisait plus rare vers le milieu de son dos, pour reprendre tout en bas. Il était fasciné par le dos de Pierre, tout à coup, le détaillant autant qu’il le pouvait. Les muscles qui se tendaient et se détendaient sous sa peau, sa taille masculine, sa carrure frêle, les quelques grains de beauté qui couraient ci et là, la beauté de sa silhouette, il aimait tout. Pierre n’avait pas particulièrement de grâce, mais il avait indéniablement le charme.
Quand il se rallongea près de Sylvain, celui-ci se blottit immédiatement contre lui, passant sous son bras pour cela. Il arborait un petit sourire d’enfant satisfait après un caprice, qui attendrissait Pierre.
“T’es mieux comme ça ? demanda-t-il en ayant déjà la réponse.”
Sylvain hocha la tête contre sa poitrine nue, posant une main au niveau de son ventre. Il se contracta sous le contact et la chaleur qu’il produisit, et eut du mal à se relâcher à cause des douces caresses que l’autre y appliquait de son pouce. C’était incroyablement doux, les deux hommes étaient sur un nuage, ne voulant pas redescendre.
Oui, il fallait que la nuit s’étire, s’allonge, devienne éternelle. Là, à l’heure où tout le monde dormait sauf eux, ils étaient seuls face au monde. Seuls dans leur idylle. Aucun compte à rendre, aucune responsabilité, à part celle d’aimer l’autre. Ils n’avaient même pas besoin de mots pour se le dire, et pourtant ils les utilisaient quand même, faisaient l’effort en plus des gestes attentionnés. Ils se l’étaient toujours dit, au fond, sous une forme moins officielle. Depuis leur rencontre, ils n’avaient cessé de graviter l’un près de l’autre sans pouvoir se séparer très longtemps.
Il y avait des câlins, des caresses, des baisers sur la joue, souvent, des compliments, des surnoms, des regards, des gestes avortés, des inquiétudes, des rires, des colères, des blagues, des envies réprimées à coup d’amitié, des désirs inavoués consommés dans le secret de la nuit et d’une chambre, des peurs, de la tendresse, et des conneries, beaucoup de conneries.
Les baisers, s’ils en avaient échangés, ressemblaient plutôt à des bises. Sur la joue, là où il était convenable de s’embrasser pour deux hommes. Mais ce soir n’avait rien de convenable, après leurs tristesses mutuelles et leurs embrassades intimes, ils avaient envoyé valser ce qu’il restait de convenable entre eux, pour une nuit au moins. Peut-être plus.
“Pourquoi tu dormais pas ? questionna Sylvain par curiosité.”
Il se redressa, posant sa tête contre l’épaule de l’autre, et leva les yeux vers lui. Son interlocuteur ne l’imita pas, mais il était bien conscient du regard posé sur lui.
“Je vais pas te dire que je sais pas, parce que je sais très bien, répondit-il honnêtement. Je pensais à toi. Vraiment, ton message, c’était comme le Messie.”
Sylvain rit et ne put s’empêcher de blaguer :
“C’est pour ça que tu as même pas pris la peine de me répondre avant de prendre la route ?
-Ouais, c’est vrai en plus, rigole pas ! Je me suis vraiment dépêché. Je sais pas, je déprimais et j’avais aussi très envie de te voir.”
Il risqua un regard en coin vers lui et vit la moquerie dans les yeux de l’autre homme. Il le repoussa.
“Arrête de me regarder comme ça, râla-t-il, c’est toi qui m’a envoyé un message désespéré !
-Oh, il était pas si désespéré que ça, se défendit Sylvain. Si ?
-Je vais pas te jeter la pierre, en vrai. Enfin, seulement si tu me la jettes pas non plus.”
Pierre tira à nouveau son homologue contre lui, passant son bras autour de ses épaules.
Doucement, Sylvain poursuivit le mouvement pour grimper sur Pierre, s’asseyant sur son ventre. Comme ça, il le surplombait et semblait très fier, faisant sourire celui en-dessous. Aucun commentaire ne passa les lèvres de ce dernier, cependant.
Pierre plia ses bras derrière son crâne en observant l’autre faire, parce qu’il ne savait pas trop où il voulait en venir. Il s’apprêtait à l’arrêter s’il tentait quelque chose sous la ceinture, mais il doutait que ça soit son intention. Et il avait raison : Sylvain se pencha seulement sur lui, lentement, fixant son visage. Trop souvent, son regard faisait des allers-retours entre ses yeux et ses lèvres. Il planta ses bras de part et d’autre du corps étendu, l’enserrant entre, se penchant de plus en plus en avant…
L’autre homme se sentait de moins en moins à l’aise, mais il le laissa faire. La proximité de leurs corps, dans cette position, n’était pas prévue et il paniquait, au fond. Des années à imaginer cette situation pour que le jour J, ses émotions ne le supportent pas. Il paniquait parce qu’une dizaine d’années à côtoyer le lit d’hommes ne l’avait pas préparé à côtoyer celui de cet homme, parce que son homosexualité, ses sentiments, ses émotions le rendaient faible face à lui. Ce n’était pas une position agréable, pour lui. Mais il laissa couler, impatient, inquiet, il avait hâte de voir ce qu’ils foutaient, là, il voulait s’en foutre. Il n’y arrivait pas, son cœur allait se décrocher de sa poitrine.
Le visage de Sylvain n’était plus qu’à quelques centimètres du sien. Celui-ci ne fixait plus ses lèvres mais bien ses yeux, l’air assuré, comme un chasseur ayant senti la peur de sa proie. Tout à coup, les rôles qu’ils avaient endossé tout à l’heure, dans le salon, étaient inversés. Sylvain chassait l’adrénaline et les réactions de Pierre, Pierre se battait contre des années de répression et une joie trop immense qui ne savait pas comment sortir.
C’était enivrant. Leurs souffles, tandis qu’ils ouvraient la bouche pour laisser passer leurs souffles déjà lourds, se mélangeaient entre eux. Oui, ils respiraient déjà fortement, à cause de la tension. Cela ressemblait drôlement à un moment fatidique de leur relation, un tournant, comment faire machine arrière après ça ? Mais qui des deux voulait ça ? Aucun. Personne. Ils voulaient faire mieux, avoir mieux que ce qu’ils n’avaient jamais eu avec l’autre, c’était à la fois très compliqué vu combien ils s’étaient donné dans leur amitié, et très simple, vu tout l’amour qu’il leur restait à partager.
Le souffle de Pierre se bloqua dans sa gorge. Sylvain s’était mis à sourire, il ne savait pas pourquoi, il redoutait la réponse. Enfin, non, il ne redoutait plus rien, son corps s’abandonnait au contact à venir, mais il appréhendait ce moment si longtemps attendu. C’était puissant, plus qu’il ne l’aurait imaginé, peut-être à cause de la fatigue.
Sans prévenir, Sylvain retira les lunettes de son homologue, replia les branches et les laissa sur la table de chevet, avant de faire l’inimaginable avant ce soir : il posa ses lèvres sur celles de son ami/amant. On lui avait dit de s’en foutre, il avait pris l’ordre au pied de la lettre, pour son plus grand bonheur, et avait lâché toute sa réserve. Il embrassait Pierre doucement, une de ses mains se posant sur sa joue, puis la deuxième, il tomba sur l’autre mais voilà ce qui était bien : il s’en foutait. Celui-ci ne laissa échapper qu’un soupir en sentant la masse s’affaisser sur lui, mais il ne broncha pas. Ses bras quittèrent leur place derrière sa nuque pour enlacer Sylvain, son amant.
Son amant.
Le mot sonnait terriblement bien à côté de son nom. “Sylvain mon amant”, celui qu’il aimait et qui l’aimait en retour. Il voulait pleurer mais se retenait, se concentrant sur les mains de l’autre sur son visage, sur son corps sur le sien, sur sa bouche aventureuse. Il avait stoppé le baiser, qui avait été trop court selon Pierre pourtant, pour embrasser ses joues, sa mâchoire, son cou…
Il y avait une certaine urgence dans ses gestes, et plus il embrassait sa peau, plus cette urgence était forte. Pierre en eut marre, il voulait l’avoir bouche-contre-bouche. Il le poussa sur le côté pour échanger leur position. Sans attendre, il se mit à l’embrasser, lentement, profondément, presque avec méthode. Il était moins nerveux, plus appliqué, Sylvain accepta de se soumettre à son rythme en répondant au baiser.
Et puis tout se tut, tout à coup. Les baisers cessèrent peu à peu, leurs cœurs et leurs corps ralentirent. Ils se séparèrent, essoufflés, et Pierre tomba à côté de son compagnon. Ils se traînèrent dans le lit pour retrouver leur précédente position : Sylvain dans les bras de son petit-ami. Un doute le prit, même s’il avait bien lu la situation :
“Tu veux… ?”
Il n’osait pas finir sa phrase. Coupé dans son élan, sa timidité était revenue. Pierre sourit en lui jetant un regard et embrassa sa tempe, parce qu’il lisait en lui comme dans un livre ouvert.
“Je veux quoi ? reprit-il, le poussant à finir sa question.
-Je me sens trop con, c’est une phrase de collégien, se plaignit Sylvain, laissant l’autre homme dans le flou.
-Mais dis-la ! s’impatienta-t-il.
-Tu veux sortir avec moi, du coup ? acheva-t-il enfin d’une petite voix.”
Et son interlocuteur ne put s’en empêcher, il pencha la tête en arrière pour éclater de rire, serrant l’autre homme plus fort. La question lui semblait rhétorique. Ça allait de soi, maintenant. Mais il y répondit quand même, avec une certaine tendresse :
“Faut que j’entoure la réponse sur un bout de papier ? Oui, évidemment, idiot.”
Et il embrassa à nouveau sa tempe, puis sa joue, puis son nez, ses lèvres enfin.
Le moment était tendre, incroyablement doux entre eux, après la ferveur du premier baiser. Pierre avait fermé les yeux et, bercé par son propre mouvement répétitif sur l’épaule de son amant, s’était endormi. L’autre homme n’y arrivait pas, pour l’instant, alors il s’amusait à le contempler.
Son visage était un peu différent sans ses lunettes. Ses cernes étaient plus visibles, même s’ils n’avaient rien à envier aux siens. Sa tête penchait sur le côté, à cause des muscles de sa nuque qui s’étaient relâchés. Il était toujours torse nu, alors le regard de Sylvain poursuivit son observation. Ce moment n’appartenait qu’à lui, l’autre homme n’en saurait rien, il pouvait bien se le permettre…
Mais la fatigue arrivait, peu à peu. Pierre n’aidait pas, comme il dormait déjà, avec son souffle régulier et sa présence aimante, apaisante… Sylvain éteignit la lampe de chevet qui avait été allumée par l’autre homme en entrant dans la pièce, qu’il n’avait pas eu le temps d’étendre. Puis il rabattit le drap sur leur embrassade, se calant contre le chaud pour s’endormir à son tour, marquant la fin de leur insomnie et de ce rêve éveillé.
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meilleurmatelas · 2 years
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Qu'est-ce qu'un Matelas Original Emma
Le matelas Emma original est un matelas en mousse fabriqué avec un mélange exclusif de mousse. Il comporte trois couches de mousse conçues pour soutenir le corps du dormeur et soulager les points de pression.
La couche supérieure est en polyuréthane, la deuxième en polyester et la troisième en polyester. Le matelas a une épaisseur de 10 pouces et il est doux au toucher. L'épaisseur du matelas le rend parfait pour les personnes qui veulent plus de soutien que ce qu'un plateau-coussin standard fournit, mais moins que ce qu'un lit à ressorts fournit.
Cet article explorera certains des avantages de ce matelas emma original ainsi que certains inconvénients pour vous aider à prendre une décision éclairée quant à savoir si ce produit vous convient ou non.
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Qu'est-ce qu'un Matelas Original Emma ?
Le matelas Emma Original est un matelas en mousse qui vise à offrir la meilleure expérience de sommeil à ses utilisateurs. Il est fait de mousse de haute qualité et a un prix abordable pour la plupart des gens.
Il a été conçu pour être un matelas moyennement ferme, mais il peut également s'adapter à différents niveaux de fermeté à l'aide de la pompe à main ou de la télécommande. Le matelas a également une housse personnalisable et il est livré avec une garantie de 10 ans.
Pourquoi le matelas original Emma est un excellent choix pour la plupart des consommateurs
Le matelas Original Emma est un excellent choix pour la plupart des consommateurs. C'est l'un des matelas les plus vendus sur Amazon car il offre une expérience de sommeil agréable et confortable.
Il a plus de 2 000 avis et 4,5 étoiles sur 5. Cela signifie que la plupart des clients sont satisfaits du produit et le recommandent à d'autres.
Le matelas Original Emma est composé de trois couches de mousse : deux pouces de mousse à mémoire de forme, un pouce de mousse haute densité et un pouce de mousse de support de base. La mousse à mémoire de forme épouse la forme de votre corps tandis que la mousse haute densité soulage la pression sur vos hanches, vos épaules et votre dos.
Qu'est-ce qui fait de l'Original Emma le meilleur choix parmi les matelas en mousse et à mémoire de forme ?
Le matelas Emma est le meilleur choix car il est fabriqué à partir de matériaux de haute qualité et bénéficie d'une excellente garantie.
L'Original Emma a une conception brevetée qui offre un équilibre parfait entre soutien et confort pour votre corps. La couche supérieure du matelas est fabriquée à partir de mousse à mémoire de forme de haute qualité, ce qui signifie que vous ne subirez aucune rétention de chaleur ni aucun transfert de mouvement. La couche inférieure est fabriquée à partir de mousse haute densité qui offre un soutien et une durabilité au matelas.
Comment l'Emma originale peut aider avec 3 préoccupations inhabituelles des dormeurs
L'Original Emma est un matelas en mousse. Il a une couche de mousse à mémoire de forme, qui assure le confort, et une couche de latex, qui assure le soutien. Ce matelas est disponible en deux niveaux de fermeté différents : doux et moyen. L'Original Emma a également une housse antimicrobienne et hypoallergénique avec une fermeture éclair pour un retrait facile.
L'Original Emma peut aider avec 3 problèmes de sommeil inhabituels : les maux de dos, les allergies et la préférence de position de sommeil.
Mal de dos : Si vous avez mal au dos en dormant sur votre ancien matelas ou en raison d'une blessure survenue récemment, vous devriez vous procurer ce matelas car il vous soulagera de votre inconfort.
Allergies : la housse de l'Original Emma est faite de fibres de polyester résistantes aux acariens et autres allergènes, donc si vous avez des allergies, cela peut être le meilleur choix pour vous car il gardera vos allergies à distance. .
Préférence de position de sommeil : L'Original Emma dispose d'un système de ressorts de 18 pouces qui est stratégiquement placé pour offrir un maximum de confort et de soutien dans la position de sommeil souhaitée. Le matelas en mousse Emma épousera la forme de votre corps afin que vous puissiez dormir sans ressentir le besoin de changer de position tout au long de la nuit car il ne glissera pas ou ne glissera pas hors de sa place. C'est une fonctionnalité intéressante pour les personnes souffrant d'insomnie et celles qui ont reçu un diagnostic d'apnée du sommeil, car cela les aidera à se reposer davantage.
Conclusion et recommendation
Il est important de noter que le meilleur matelas pour les maux de dos dépendra de vos besoins spécifiques. C'est une bonne idée de consulter votre médecin avant d'acheter un nouveau matelas. Votre médecin pourra vous dire quel type de lit vous convient le mieux et quelle taille de lit serait la plus appropriée.
Le matelas emma original a l'une des meilleures critiques sur le marché, ce qui en fait l'un des matelas les plus populaires disponibles aujourd'hui. Le matelas Emma original a été conçu dans un souci de confort et peut aider à soulager la douleur dans le dos et les hanches pendant que vous dormez.
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manniecrit · 2 years
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La fête des morts
Les douze coups de minuit vont bientôt retentir. Cela fait plusieurs jours que je me prépare, je ne peux plus attendre, je suis bien trop impatient. J'enfile ma plus belle veste, celle que mon voisin m'a prêtée. Il ne veut pas y aller, il m'a dit qu'il était condamné. Je noue mes lacets et claque la porte derrière moi. Je me faufile à travers les rues sombres et emprunte plusieurs raccourcis dont je connais désormais tous les secrets. Me voilà sur l'allée principale, enfin. Il y a foule, comme je m'y attendais. Chacun veut arriver le premier. Ça commence à se bousculer. J'inspire l'air vide, comme si celui-ci pouvait soulager mon anxiété. Je ne ressens rien. J'entends un homme qui hurle à quelques mètres devant moi. Un autre lui répond. Ça s'insulte, ça dit « Arrête de pousser ou je t'en mets une ! ». Il peut toujours lui en mettre une mais ça ne risque pas de lui faire grand mal, peut-être qu'au contraire, lui, y perdra un doigt. Mon voisin m'a dit, l'autre jour, qu'un de ses amis avait perdu une main, un matin, en se réveillant. Elle s'était simplement décrochée. Il avait eu beau la chercher, il ne l'avait jamais retrouvée. Elle s'était volatilisée.
L'alarme retentit. La foule s'exclame. C'est l'heure. Les yeux vides s'illuminent, les cordes vocales usées expriment leur joie. Les haut-parleurs millénaires en forme de crâne commencent à crépiter :
"Le Monde des Morts vous souhaite à tous une bonne fête ! Profitez de vos familles et de vos amis et, n'oubliez pas, revenez avant le lever du soleil !"
Les morts autour de moi applaudissent. C'est la première fois que j'entends ce bruit si étrange des os s'entrechoquant. Je regarde mes mains, elles sont encore bien charnues, j'ai le temps.
Le portail s'ouvre. Il est grand, majestueux, autoritaire, infranchissable excepté en ce jour si précieux. Les premiers s'engouffrent entre les grilles. Derrière, on s'exclame :
"Dépêchez-vous, bon sang !"
Après de longues secondes qui m'ont paru interminables, j'y suis, c'est mon tour. Je cours, le plus vite possible. L'avantage d'être mort, c'est qu'on ne ressent aucune faiblesse. Je dépasse des familles, toutes se tiennent par la main. Au loin, je vois le tunnel sombre dont mon voisin m'a tant parlé. Une chose me trouble : les personnes devant moi disparaissent dans la pénombre telle un trou noir qui les emporte. Je ne les vois plus. Où sont-elles passées ? Lorsque j'atteins l'obscurité, j'en comprends la raison. Un trou, puis une chute. Une chute de plusieurs mètres, de beaucoup de mètres, de trop de mètres, de kilomètres ? J'y suis. Je m'écrase au sol de façon peut élégante. J'essaye de me redresser. Ma hanche fait des siennes. Je la remets en place vite fait, bien fait. Lorsque je relève les yeux, des milliers de bougies orangées sont allumées. Des fleurs et des cadeaux ornent les tombes. Des personnes, vivantes, m'encerclent. Elles ne me voient pas. Derrière moi, une femme dit :
"Tu as vu comme elle a grandi ? Elle doit avoir au moins... neuf ou dix ans, non ? Le temps passe si vite !"
Mon instinct me dit d'aller vers la gauche. Je l'écoute. Je parcours les allées de pierres tombales. Elles ont toutes été décorées pour ce jour de fête. Une étrange végétation a envahi les sentiers étroits. Les visiteurs la traversent péniblement, font de grandes enjambées, grincent des dents lorsque cette plante mystérieuse touche leur peau. Je dépasse ces malheureux, incapable de ressentir la moindre douleur. Je trouve ma tombe, recluse dans un coin perdu et broussailleux du cimetière. Je découvre mon nom gravé sur une pierre tombale pour la première fois. Un sentiment inexplicable envahi mon être. Je ne me sens pas triste mais plutôt comme un ange déchu, perdu dans un monde qui n'est plus le mien. Les statuettes des saints sont tombées au sol, cassées en mille morceaux. Il n'y a pas que seulement ma tombe qui est en pagaille, les autres aussi. La tempête du mois dernier a fait de gros dégâts. Je m'assois sur le marbre, attendant ma seule et unique visite.
Après avoir observé les passants et joué au golf avec des cailloux et une de mes jambes en guise de club de golf, je la vois enfin. Ma grand-mère arrive, clopin-clopante, sa canne à la main. En un an, elle n'a pas pris une ride et est toujours la même.
"Bonsoir, mon p'tit" dit-elle simplement en sortant de son sac à main une boîte à gâteaux. "Je t'ai fait tes cookies préférés, je sais que tu en raffoles."
Elle pose le tupperware sur ma tombe. Les gâteaux de Mémé sont tellement bons ! J'en ramènerai à mon voisin, je sais qu'il les adorera aussi.
Pendant de longues heures, jusqu'aux dernières minutes avant le lever du soleil, ma grand-mère me raconte les dernières nouvelles du village et polémique sur le changement de façade de la maison d'en face. A dire vrai, je ne l'écoute que d'une oreille. Ce qu'elle raconte ne m'intéresse guère mais, je reste là, pour elle et pour sa voix. Pour sa voix dont j'ai du mal à me souvenir depuis que je suis mort. J'essaye de retenir son accent et ses intonations qui lui sont propres. Elle me manque.
"Il faut que j'y aille, Mémé. Le jour va bientôt se lever."
Comme si elle m'avait entendu, elle se lève, se tenant fermement à sa canne. Avant de partir, elle déplie énergiquement un sac plastique, enfile des gants et, avec un couteau, commence à arracher la végétation. Elle en récupère un gros sac, rempli à ras-bord.
"Et c'est qui qui va manger une bonne soupe d'orties ce soir ? C'est Mémé ! Allez, à l'année prochaine, mon p'tit !"
Mémé touche le marbre du bout des doigts et reprend le chemin par lequel elle est arrivée. Quelque chose la retient. Elle s'arrête, le dos à moi, immobile.
"Oh, et, tu m'manques."
Elle reprend sa route, clopin-clopante, son sac d'orties à la main.
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Clinique Chiropratique Sillery / Chiro à Ste-Foy, Québec - Le mal des coureurs : comprendre et soulager la périostite tibiale
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Le mal des coureurs : comprendre et soulager la périostite tibiale
La course à pied est sans aucun doute l’un des sports ayant connu la hausse de popularité la plus élevée au cours des dernières années. Facile d’accès et à pratiquer, elle rejoint une foule de sportifs, des débutants aux marathoniens. Pratiquée de façon répétée ou avec une technique mal adaptée, elle peut toutefois entraîner l’apparition de plusieurs douleurs. La périostite tibiale est l’une des conditions fréquentes touchant les coureurs, et cet article vous permettra d’en connaître davantage sur le sujet tout en vous donnant des trucs à mettre en pratique si vous en êtes atteint.
Commençons par la base
Puisque cet article se veut éducatif, abordons d’abord le diagnostic lui-même afin de mieux le comprendre.
Le périoste fait partie de l’os. De façon imagée, c’est une membrane fibreuse qui enveloppe les os plats et longs du corps, à l’exception de la zone de l’os qui se trouve à l’intérieur de l’articulation.
La fonction du périoste est d’assurer la croissance des os et le bon fonctionnement des échanges sanguins pour l’os.
Le périoste a également un rôle de protection de l’os puisqu’il a la capacité de transmettre les informations de douleurs, comme dans le cas de fracture de l’os ou de tout état douloureux.
Le périoste joue également un rôle dans la consolidation et la réparation de l’os en cas de fracture, par exemple.
Les termes se terminant par “ite” font référence à un état inflammatoire. Une inflammation du périoste se définit donc comme étant une périostite.
Vous aurez compris que lorsqu’il est question de périostite tibiale, on considère que c’est le périoste du tibia qui est inflammé.
Lorsque le tibia s’enflamme chez le coureur
Le mécanisme de blessure associé à la périostite tibiale est relativement simple. La cause peut se diviser en 2 :
La répétition d’impacts
Les microtraumatismes
Lors du mouvement de la course, les contractions répétées des muscles impliqués dans le mouvement du pied créent une traction et une irritation au niveau de l’insertion de ces muscles sur le périoste.
Les symptômes associés à la périostite tibiale sont ceux-ci :
Douleur/brûlure ciblant le tibia, sur sa partie antérieure et externe
Douleur/brûlure ciblant le tibia, sur sa partie postérieure et interne
Douleur au mouvement (impact surtout)
Douleur au repos parfois
Douleur à la palpation de la région impliquée
Parfois, un oedème peut être aperçu sur le tibia, au niveau de l’inflammation
La périostite tibiale est fréquente chez le coureur, mais peut se présenter chez certains autres types de clientèles :
Marcheurs
Sprinteurs
Danseurs
Des conditions peuvent également prédisposer à la périostite tibiale. Une arche plantaire affaissée, qui amène le pied en pronation, peut altérer la biomécanique du pied et avoir un impact sur le mouvement normal du membre inférieur lors de la marche ou la pratique d’un sport.
Votre chiropraticien et la périostite tibiale
Évidemment, l’objectif #1 est de diminuer la douleur associée à la périostite tibiale. Votre chiropraticien étant un professionnel formé dans l’évaluation, le diagnostic chiropratique et le traitement des conditions neuromusculosquelettiques, pourrait grandement être une personne-clé dans l’atteinte de vos objectifs de santé. Sommairement, une visite chez votre chiropraticien pourra vous permettre d’en savoir plus sur votre condition en passant par différentes étapes :
Période de questionnement quant à votre douleur (survenue, localisation, durée, intensité, fréquence)
Examen physique complet (colonne vertébrale, hanche, genou, cheville et pied) a. Structures osseuses b. Tissus mous c. Structures articulaires (ligaments, bourses, capsules)
Traitement chiropratique envisagé, en fonction de chaque professionnel a. Ajustements vertébraux et articulaires selon le besoin (hanche, genou, cheville et pied) b. Travail de tissus mous c. Kinesiotaping d. Ultrasons e. TENS (courant interférentiel)
Autres recommandations possibles telles que : a. Repos partiel ou total, selon l’activité et la gravité de la condition b. Application de glace afin de diminuer l’inflammation c. Exercices d’étirement ou de renforcement selon le cas
Suite à cette phase où l’accent est mis sur le soulagement, la reprise du sport est généralement envisagée selon les recommandations de votre chiropraticien.
Qu’est-ce que je peux faire, docteur?
Outre de suivre les recommandations émises par votre chiropraticien, l’un des exercices les plus recommandés pour aider à la périostite tibiale en est un d’étirement. Voici comment le faire :
Assoyez-vous sur une chaise et placez le dessus du pied au sol de façon à ce que les orteils pointent vers l’arrière (votre genou sera en position fléchie).
Lentement, avancez vers le bout de la chaise afin de sentir un étirement au niveau de la partie antérieure de la jambe.
Allez au maximum de votre capacité, sans entrer dans la douleur (restez dans une sensation d’étirement).
Maintenez la position pendant 30-40 secondes. Répétez 2 fois. Faire cette séquence entre 2 à 3 fois par jour.
VARIANTE : Vous pouvez faire cet exercice en position debout en pointant le pied vers l’arrière, en appuyant les orteils au sol et en vous stabilisant au mur. Assurez-vous que l’autre jambe soit légèrement plus à l’avant. En maintenant les orteils en position, pliez le genou de la jambe avant afin de venir créer un étirement à la jambe dont les orteils touchent le sol.
N’oubliez pas : la clé de l’étirement ne réside pas dans un mouvement de grande amplitude qui engendre une douleur. Si tel est le cas, c’est que l’exercice est mal fait ou que le mouvement va trop loin. En conséquence, le risque de blessure est davantage présent que les bienfaits escomptés. Soyez avisés!
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miung-dreamer · 2 years
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Un moment pour se détendre
Voici un petit fluff pour @ironist-lady (c'est son anniv mais je suis à la bourre, je crois 😅).
J'espère que cela plaira. C'est vraiment tout simple...
*************
"Regardez moi."
Arthur se tenait sa tête dans les mains. Son esprit tourbillonnait entre les discussions sans fin avec Karadoc et Perceval, les réunions de guerre interminables avec Leodagan et Bohort, sans oubli un repas diplomatique avec Horsa et cette jeune femme qui le suit partout. Comment elle s'appelle déjà ?
Non son cerveau n'en pouvait plus. Écouter des inepties, les revendications de chacun, leurs complaintes. Être patient encore et toujours. Prendre sur soi plutôt que de les envoyer tous chier.
Le roi se sentait aspiré dans un gouffre sombre, fait de lassitude et d'impuissance. Un brouhaha informe qui ne laissait aucune place à la quiétude. Il soupira longuement.
Six mois. Déjà six mois. Seulement six mois depuis son retour et l'ombre de sa dépression se rapprochait dangeureusement. Elle avait été discrète durant ses années chez Damiens le Sassanide. Mais là elle revenait, traîtresse, comme un boomerang. Il ne devait pas la laisser faire. Tant dépendait de ses actes et ses choix. Il avait laissé tomber la Bretagne une fois, alors il devait se racheter modestement sans baisser les bras.
"Arthur. Regardez-moi."
Cette voix, qui l'avait jadis agacé, sonnait aujourd'hui comme une délicate musique. Un chant de tendresse. Particulièrement quand elle murmurait son prénom.
Il releva sa tête et vit Guenièvre vêtue d'une simple robe mauve se tenant face à lui.
Une ride d'inquiétude ornait son beau visage entre ses yeux noisette. Elle ne disait mot tant elle fixait son mari. Elle doit probablement se demander si je ne vais pas me foutre en rogne si elle ouvre la bouche, songea Arthur.
- Qu'est ce qui se passe ?, osa timidement la Reine.
- Bof, lâcha son époux après un moment. Rien. Tout. Enfin la routine quoi.
- Je suppose que vous n'avez pas envie de m'en parler ?
Arthur la dévisagea car il comprenait tout ce que cette simple question sous-entendait.
Voilà, juste je me disais. On n'est pas forcément obligé de parler.
Il fallait qu'il lui dise qu'il ne la repoussait pas. Pas comme avant. C'est juste qu'il ne voulait pas l'embêter avec toutes ses histoires. Elle aussi avait souffert et reprendre sa place lui demandait des efforts. Retrouver des habitudes perdues n'était pas aussi naturel que ça, tout compte fait.
Arthur n'était pas un doué quand il s'agissait de confidences alors il laissa son corps agir.
Il posa délicatement ses deux mains sur les hanches de Guenievre et la rapprocha de lui, pour finalement la placer entre ses jambes écartées. Il la regarda longuement et essayait de lui montrer toute son affection dans son regard. Les mots étaient bloqués dans sa gorge mais il espérait que son épouse trouverait dans ses yeux sombres la réponse.
La Reine sembla perdue par ce geste. Son mari n'était pas très tactile habituellement alors cette nouveauté la désarçonna. Sa poitrine battait à tout rompre, la chaleur de ces mains provoquait des sensations qu'elle ne comprenait pas. Pas désagréable, ceci dit. Mais si différent...
- Vous préférez ne pas y penser, c'est ça ? Je comprends. Mais j'aimerais juste vous aider un petit peu.
Arthur serra légèrement sa poigne sur les hanches. Puis posa tristement son front sur le ventre de son épouse. Même lui n'arrive pas à la protéger. Il n'y a rien à faire.
Le corps de Guenievre était réconfortant, Arthur voulait se noyer dans son parfum. Dans ses bras, les ombres perfides reculaient et les voix lancinantes se calmaient.
- Vous faites déjà beaucoup, confessa finalement Arthur d'une voix étouffée.
- Vous dites ? Je ne fais rien du tout. Je vois bien que vous êtes exténué par vos journées de travail. Mais j'ignore comment vous soulager un peu.
- Être là.
- Oui d'accord mais c'est tout ?, ironisa Guenievre. Vous n'irez pas loin avec ça...
- Je vous assure que si.
- Et je vous dis que non.
Le roi soupira longuement. Sa femme n'avait rien perdu de sa tête de mule, pour sûr. Cet entêtement prenait naissance dans son souci pour lui. Il fallait faire quelque chose pour qu'elle oublie tout ça. Mais quoi ? Il avait à peine la force de réfléchir ce soir.
- Il serait peut être temps de recruter de nouvelles maîtresses, non? Je me souviens que Demetra était très efficace pour vous détendre.
- Non mais ça va pas !, s'indigna Arthur, les yeux ronds. Et puis quoi encore ?
- Bah quoi ?
- Noooooon non ! Vous aller oublier ça et fissa. Les maîtresses, c'est ter-mi-né.
Le roi reposa sa tête sur le corps de Guenièvre et resserra son étreinte comme s'il craignait qu'elle se dérobe à lui. Sa femme qui suggère des maîtresses, pffff quelle idée !?!
Il avait passé l'âge d'être entouré de gonzesses et il n'y en avait qu'une qui l'intéressait. Vraiment elle n'avait pas compris ? Arthur allait être obligé d'être plus direct mais c'était si dur de parler de sentiments. Ça n'avait jamais été son fort, alors à quarante ans passés...
- Ou alors, je peux m'en occuper ?, tenta la reine timidement.
Arthur leva d'un coup son visage incrédule. Il avait bien entendu là ? Guenièvre le regardait furtivement tout en se mordillant la lèvre. Avait-elle idée à quel point elle paraissait adorable ce soir ? Avec ses longs cheveux caressant la robe mauve qu'elle affectionnait tant. Un vrai trésor. Le sien et il se demandait comment cela était possible après toutes ces années.
- Vous saurez faire ?, demanda un Arthur joueur avec un petit sourire en coin.
Guenièvre rougit mais ne se démonta pas :
- À vous de me dire.
La Reine ne laissa pas le temps à son époux de réagir : elle se saisit de son visage puis l'embrassa longuement avec désir. Le roi était désarçonné, agréablement même et il ne voulait pas que cela s'arrête.
- Alors?, lança Guenievre, détachant soudainement ses lèvres, un sourcil relevé et l'air confiante. J'ai passé le test ?
- Euh..., balbutia Arthur, le souffle coupé. Euh... Bah... Je crois bien que j'ai besoin de vérifier. Oui, c'est ça... Besoin de vérifier encore.
Et cette nuit-là, Arthur allait s'assurer méticuleusement que sa femme avait bien toutes les aptitudes pour le détendre...
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L'homme qui voulait sa femme (Guenièvre qui ne croit pas qu'Arthur la désire…)
Les mains de la reine (👀 )
Entre le marteau et l'enclume ( je suis curieuse de ce titre)
Les mots sales ( dirty talk avec une Guenièvre innocente qui ne comprend rien…)
Pour "Entre le marteau et l'enclume" je crois que j'avais deja posté un extrait il y a un moment, j'ai toujorus pas avancé depuis 👉👈
Je vais d'abord parler de "Les mains de la reine" et "Les mots sales" parce qu'elles font partis de ses fics auquels j'ai réfléchit mais j'ai jamais vraiment fais de notes donc qui sont un peu perdus dans un recoin de ma tête. Pas d'extrait pour ses deux là dsl ...
Les mains de la reine
C'est Guenièvre post KV1 qui qui a été toute sa vie privée de touchers privilégiés. Qui a passé sa vie sans l'amour de son mari puis plus tard sans contact tout court avec une autre personne dans sa tour pendant plusieurs années avant Nessa.
Alors quand Arthur l'embrasse à la tour puis plus tard lui fait découvrir les choses de l'amour, elle devient accro et très tactile avec tout le monde.
Alors quand il s'agit d’Arthur ou de ses parents (même si ça leur fait quand même bizarre de recevoir des câlins de leur fille) ca va parce que c’est la famille, mais quand il s'agit de chevalier et de chef de clan, c’est déjà beaucoup plus tendu. Bien évidemment il n’y a aucune arrière pensé aux geste de Guenièvre, elle est juste heureuse de pouvoir toucher des gens de nouveau et d’avoir découvert un moyen de communication.
Et Arthur qui lui explique qu'elle ne peut pas toucher les autres, comme ça. Elle qui ne comprend pas "mais je vous prend juste la main/touche le bras" et lui qui rame pour lui expliquer la notion d'intimité sans céder à la jalousie et éviter la catastrophe diplomatique.
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Les mots sales
Là aussi pas d'extrait :x
Mais je me souviens que je voulais que ça soit plutôt drôle et décalé avec des dialogue dans le genre
“J’ai envie de vous faire crier.”
“Mais on avait dit qu’on essayait de moins se disputer…”
“Non, je veux vous faire crier mon nom.”
“Mais vous êtes déjà à côté de moi et si je veux vous faire appeler je ne vais pas me mettre à crier quand même, soyons raisonnable."
“Ce soir je veux que vous preniez le contrôle."
“Le contrôle ?”
“Oui. Je veux que vous dirigiez et moi je vous suivrais. Je serais un bon garcon, j'ecouterais tout ce que vous dites.”
“Hm … Je ne crois pas que ça va être possible. Deja je ne pense pas que les chefs de clans vont ecouter une femme et puis que vont dire vos chevalier ? Vous y avez pensé ?”
“Je ne peux pas me contrôler quand je suis avec vous, je suis si dure …”
“C’est moi le problème ? Je ne veux pas que vous changiez votre façon de gouverner à cause de moi ! Si c’est si dur pour vous de m’avoir près de vous, je préfère partir.”
Bon après je sais pas trop, quand je les relis c'est un peu cringe xD
--
Entre le marteau et l'enclume
(...)
"C'est ça que vous voulez ? Que je vous prenne contre le mur comme une vulgaire putain ? Que je vous fasse mal, que je vous abuse dans le couloir, que je vous humilie où n'importe qui pourrait passer et vous voir ? C'est ça que vous voulez que je vous fasse ?"
Elle ne sait si c'est sa main qui a glissé sur le haut de sa cuisses, si c'est son torse qui comprime ses seins, si ce sont ses yeux plein de colère et de passion ou si ce sont ses mots crus pourtant destinés à la découragé et à la dégoûté mais elle sent un désir irrépressible monter en elle en vague brûlante. C'est avec un effort presque surhumain qu'elle immobilise ses hanches, qu'elle s'empêche de se frotter à sa jambe pour soulager un peu le feu entre ses cuisses.
Les muscles de son bas ventre se contractent de manière incontrôlable, son cœur bat dans sa poitrine comme un tambour fou, plus rien n'existe à part leurs corps brûlant entremêlés contre la pierre froide.
C'est d'un souffle tremblant qu'elle répond. Ce n'est qu'un mot, une confession, un aveu.
Oui
La chaleur monte jusqu'à ses oreilles, c'est un mélange de désir et de honte qui lui est étrangé et qui lui fait peur mais qui liquéfie ses entrailles.
Quand ses yeux croisent les siens, ils débordent de détermination. Quand elle lui répond, sa voix est ferme et décidée.
"Oui. Si ça peut vous aider. Si ça peut vous rendre heureux. Je vous ai privé de tant de choses, je sais que je ne serais jamais suffisante, mais en attendant, utilisez moi, ruinez moi si il le faut, mais ne partez pas."
Elle cligne des yeux, les mots se déversent comme un torrent.
(...)
--
(...)
"Les choses que vous savez dites dans le couloir, est-ce que vous me les ferez un jour ?"
Elle a l'impression que ses yeux la transperce et sonde son âme. Est-ce qu'il la juge pour vouloir ce genre de chose ? Est-ce qu'elle a le droit de vouloir ? Est-ce que lui demander la rend grossière et vulgaire ? Est-ce qu'elle a le droit de demander ?
Le poids de son regard devient trop lourd. Elle rougit et détourne le visage, prête à s'excuser d'avoir parlé aussi salement, d'avoir était aussi direct.
(...)
TBC --
L'homme qui voulait sa femme
Guenièvre le touche beaucoup plus qu'avant, une main sur le bras, ses doigts qui le cherchent et qui le frôlent plus souvent, une caresse dans ses cheveux, une tête sur son épaule, son corps entier qui se rapproche au sien la nuit. C'est lui qui initie leur baisers et leur caresses. Il sent bien qu'elle est gênée quand il reste un peu trop longtemps focalisé sur elle pendant qu'il l'embrasse, que c'est elle qui rompt le contact, qu'elle rougit et qu'elle sourit mais qu'elle est gênée. Dans ces moments-là elle lui murmure un petit 'merci' les yeux baissés et il a du mal à comprendre pourquoi.
Il fait du rentre dedans un matin pendant un câlin, il entend ses gémissements et il sent à comment son corps ondule contre le sien dans son demi sommeil qu'elle aime beaucoup ce qu'il lui fait. Malgré tout, quand elle se réveille assez pour comprendre que ce n'est pas un rêve, elle rattrape les mains baladeuses qui veulent glisser sur ses cuisses, arrête les lèvres chaudes qui menacent de goûter à cette peau tendre qui se cache sous sa chemise et l'empêche d'aller plus loin.
"Vous n'êtes pas obligé vous savez, on est au delà de ça vous et moi."
Il la regarde enfiler une robe et quitter la chambre en quatrième vitesse avant de laisser sa tête retomber lourdement sur un coussin.
"Quel abruti."
Son soupire résonne dans la pièce vide. Ça avait pourtant si bien commencé, à quel moment est-ce qu'il avait merdé ? Il sait qu'il devrait se retenir, ne pas aller trop vite pour ne pas lui faire peur, lui laisser du temps. Mais il ne peut pas se passer d'elle. Quand elle est près de lui, il peut sentir son sang bouillir dans ses veines. Son odeur, ses doigts sur la peau de son avant bras, un sourire, un regard, un rien suffit pour qu'il s'embrase, ça en devient presque embarrassant.
Il soupire encore et jette son bras sur son visage pour bloquer la lumière du jour qui commence à percer avant de se laisser retomber dans un demi-sommeil remplie des rires crystalins et des sourires lumineux de sa femme. Ce sont les bruits de quelqu'un qui frappe à la porte avec détermination qui le réveillent quelques minutes plus tard.
"Ça va, pas besoin de détruire la porte, entrez !"
Une servante, jeune, plutôt jolie avec de long cheveux clair fait irruption au milieu de la chambre.
"C'est la Reine qui m'envoie."
Il se relève et s'adosse dans son lit.
"Ah, très bien..."
Elle s'approche du lit d'un pas décidé.
"Attendez, si vous voulez changer les draps vous pourriez attendre que je sois lev… "
La jeune fille se penche et pose ses mains sur les jambes d'Arthur qui bondit hors du lit.
"Hey ! Mais vous êtes cintrée ma parole ! Qu'est-ce qui vous prend ?!"
Elle fait le tour du lit pour se retrouver face à lui, le piégeant entre le bois du sommier et la pierre du mur.
"C'est la Reine qui m'envoie."
"Oui, vous l'avez déjà dit ça. Qu'est-ce que vous m'voulez au juste ?"
"Elle m'envoie pour que je m'occupe de vous."
Elle s'avance encore et il est obligé de lever ses bras pour la tenir à distance.
"Quoi ? Comment ça 'vous occuper de moi' ? Je suis assez grand pour m'habiller tout seul merci bien."
La jeune servante se met à rire comme si il avait fait une bonne blague mais s'arrête vite devant le regard sombre de son souverain.
(...)
(Il la repousse plus sévèrement, la servante lui explique ce que la reine attend d’elle et de lui et pourquoi, Arthur la renvois et s’habille en 2 2 et part chercher Guenièvre)
--
Il repousse la jeune femme et sort de la chambre fou de rage. Il dévale les escaliers quatre à quatre et manque de se tuer en glissant sur une pierre lisse mais il ne ralentit pas sa course, la colère et l'incompréhension lui donne des ailes. Il la trouve au détour d'un couloir, en train de faire les cents pas devant une fenêtre. Son air sombre et inquiète l'arrête sans son élan et il se demande pendant une minute si tout ça n'est pas juste une vaste blague. Elle l'aperçoit et le regarde avec un air étonné.
"Vous avez déjà fini ?"
Il s'approche lentement et la vois laisser tomber ses bras le long de son corps en signe de défaite. Elle doit lire quelque chose dans sa grimace renfrognée puisqu'elle continue.
"Elle vous plait pas la p'tite c'est ça ? Je suis désolé j'ai essayé d'en trouver une brune mais elles étaient pas assez jolies. Je me suis dit que vous préfériez une jeune."
Il essaye vraiment de comprendre mais plus elle parle moins ce qu'elle dit n'a de sens pour lui, elle prend son silence pour une autorisation de continuer sa tirade. Elle s'approche et lui prend le bras, sa voix est rapide et il sent qu'elle commence à réfléchir à un problème épineux.
"Je vais vous en trouver une autre, ne vous en faites pas ! Brune cette fois, c'est promis. Et jeune. À moins que vous vouliez une moins jeune ? Ça risque d'être plus compliqué, beaucoup on fuit à cause de Lancelot. Peut-être une qui ne parle pas la langue ? Vous pourriez demander à Venec de vous dépanner le temps que je vous en trouve une qui vous plaît ? Je…"
Se sont ses lèvres chaudes contre les siennes qui l'empêchent de finir son monologue. Les mains d'Arthur se sont glissées de part et d'autre de son visage et il la tient immobile contre le mur entre les pierres fraîches et dure et le cuire de son plastron noir. Quand ils sont à bout de souffle, il pose son front sur le sien.
"Je vous en prie, taisez-vous."
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"J'ai passé 10 ans dans le désert sans rien faire. Ce n'est pas n'importe quelle femme qui me fait cet effet, c'est vous."
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(“Je sais que je n'ai pas toujours été le meilleur des maris pendant ses années mais vous m'avez toujours fait confiance non ?
Elle hoche la tête.
“Alors je vous demande de me faire confiance un fois de plus.Vous pensez que vous pouvez faire ça ?"
(...)
“Je ne vous ferai jamais rien que vous ne voulez pas faire.”
(...)
Ses doigts sont en train de découvrir le corps de sa femme et il est sur quil ne pourra jamais se lasser des gémissements et des soupirs quelle fait. Il se cache dans son cou, lèche sa peau, mordille sa chair.
“Vous êtes magnifique. Si vous saviez à quel point j’ai pensé à vous …”)
TBC
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Voilà c'est tout pour l'instant 💖
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fousrires · 3 years
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Un joli souvenir en 1985, j'ai posé dans le magnifique hammam rue des rosiers (qui n'existe malheureusement plus) pour un sujet de beauté dans un magazine qui s'appelait 100 idées ou je bossais à l'époque, je suis au milieu avec la serviette bleue autour des hanches. Le photographe était Jérome Tisné. On avait fait ces prises de vues vers 5 heures du matin, le hammam rien que pour nous. Je n'étais pas trop ronde j'avais fait un régime débile à cette époque pour inévitablement tout reprendre quelques mois après! J'ai perdu deux fois beaucoup de poids, à 28 ans et après la naissance de mon fils. Et je ne me sentais pas mieux... ça peut paraître étrange mais j'étais affamée en permanence et je n'aimais pas particulièrement mon corps plus mince... Alors quand un jour j'ai décidé que ce combat contre les kilos était fini, quel soulagement! J'ai repris du poids au fil des années, mais je n'ai plus cette envie de maigrir en permanence que j'avais quand j'étais jeune, pression sociale, pression familiale, pression tout le temps pour une quête perdue d'avance...
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