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Icône du cinéma français, Alain Delon s’est éteint ce dimanche 18 août, à 88 ans. De sa révélation sur le grand écran au début des années 1960 à son César du meilleur acteur, retour sur sa carrière en sept films emblématiques qui ont campé son style.
Il était l’un des acteurs qui a enregistré le plus d’entrées en France, totalisant plus de 136 millions de spectateurs avec l’ensemble des films qui l’ont mis en scène. Alain Delon est mort ce dimanche 18 août 2024, à l’âge de 88 ans, ont annoncé ses enfants. La star du grand écran a marqué le cinéma français de son empreinte avec 90 longs-métrages, qui ont façonné sa réputation de légende et son style caractéristique. En voici sept particulièrement marquants.
« Christine » (1958) : sa rencontre avec Romy Schneider Alain Delon n’a que 23 ans et a fait ses premiers pas au cinéma un an plus tôt, dans Quand la femme s’en mêle d’Yves Allégret, lorsque l’actrice allemande Romy Schneider le choisit sur photo pour tourner avec elle dans Christine, de Pierre-Gaspard Huit. Il y incarne le lieutenant Franz Lobheiner, amant d’une riche baronne autrichienne dont il veut rompre, qui tombe follement amoureux de la charmante Christine Weiring, jouée par la jeune star du cinéma qui n’a alors que 20 ans. La première rencontre entre les deux acteurs, à la descente de l’avion, deux mois plus tôt, n’était pourtant pas des plus concluantes. La barrière de la langue les sépare et le duo ne s’entend absolument pas. Ils finiront pourtant par tomber amoureux et former un couple connu comme « les plus beaux fiancés d’Europe ».
« Plein soleil » (1960) : la révélation d’un « jeune premier » Deux ans plus tard, Alain Delon est choisi par le réalisateur René Clément pour jouer dans une adaptation du roman Monsieur Ripley, de Patricia Highsmith. Alors qu’il devait jouer le deuxième rôle masculin, il parvient à convaincre l’équipe de réalisation qu’il serait plus adapté dans le costume du personnage principal, Tom Ripley, qui colle plus à son caractère un peu « voyou ». Avec ce rôle, Alain Delon se révèle sur le grand écran et pose les jalons de ce qui deviendra son style, charismatique et un peu rebelle. « Personne ne savait qui j’étais. Le film qui a fait le tour du monde, a été la base de ma carrière », avait d’ailleurs reconnu l’acteur.
« Le Guépard » (1963) : la palme d’or à Cannes Alain Delon y incarne Tancrède Falconeri, le neveu du prince Fabrice de Salina (Burt Lancaster) qui se lie d’amour avec une bourgeoise, Angelica Sedara (Claudia Cardinale), dans une Italie du milieu du XIXe siècle marquée par le déclin de l’aristocratie traditionnelle. Adapté du roman éponyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, cette fresque obtient la Palme d’or au Festival de Cannes en 1963 et devient un succès commercial et critique dès sa sortie. Alain Delon, au sommet de son élégance (moustache fine et raie sur le côté), y est l’incarnation de la noblesse. Le couple qu’il forme avec Claudia Cardinale entre dans l’histoire du cinéma. Le film comporte notamment une scène de bal devenue iconique, qui marque la victoire de la bourgeoisie sur la noblesse et où les trajectoires du trio principal trouvent leur aboutissement.
« Le Samouraï » (1967) : la consécration du « genre » Delon Cette première collaboration avec Jean-Pierre Melville donne l’un des chefs-d’œuvre de la filmographie de Delon, qui incarne le tueur solitaire Jef Costello. Fantomatique, inexpressif (son personnage n’a quasiment aucune réplique), obsédé par la maîtrise, avec son regard bleu froid, son imper et son chapeau : ce personnage est à la base du mythe Delon. L’esthétique de ce polar glacial influencera nombre d’autres cinéastes, dont John Woo ou Quentin Tarantino. La collaboration Delon-Melville accouchera d’un autre chef-d’œuvre, Le Cercle rouge (1970, avec Bourvil), avant Un flic (1972).
« La Piscine » (1969) : les retrouvailles avec Romy Schneider Mi-drame, mi-polar, ce film de Jacques Deray marque les retrouvailles entre Alain Delon et Romy Schneider, avec qui il a formé un couple mythique du cinéma français. Il n’y aura pas de retour de flamme entre eux mais la carrière de l’actrice allemande, alors en demi-teinte, redécolle. Plus de 3 millions de spectateurs plongent dans la piscine au-dessus de Saint-Tropez, fréquentée par le couple mais aussi par Maurice Ronet et Jane Birkin. Delon dira plus tard : « Ce film, je ne peux plus le regarder. Trop douloureux de revoir Romy et Maurice (morts en 1982 et 1983, N.D.L.R) rire aux éclats. »
« Borsalino » (1970) : son duo iconique avec Belmondo C’est encore grâce à Jacques Deray qu’Alain Delon connaît un vrai succès populaire avec Borsalino, où il forme un tandem iconique avec Jean-Paul Belmondo. Le film, histoire de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise, marque le point d’orgue du duo entre Delon et son rival, mais aussi ami. « Heureusement qu’il était là. Ni l’un ni l’autre n’aurait fait la même carrière sans l’autre. Il y avait une compétition mais aussi une sorte de stimulation entre nous. Ça m’aurait vraiment emmerdé qu’il ne soit pas là. Qu’est-ce que j’aurais foutu sans lui pendant cinquante ans ? » Le succès est au rendez-vous : le long métrage enregistre plus de 4,7 millions d’entrées et une suite, Borsalino and Co, sort au cinéma quatre ans plus tard.
« Notre histoire » (1984) : son seul César du meilleur acteur Malgré son immense carrière, Alain Delon n’a décroché qu’une seule fois le César du meilleur acteur obtenu en 1985 pour son rôle dans Notre histoire, de Bertrand Blier, sorti l’année précédente. Cette comédie dramatique, parfois absurde, parle de solitude et d’amour, autour de la rencontre dans un train, entre Robert, la quarantaine fatiguée, et une jeune femme désabusée, incarnée par Nathalie Baye. Le public ne suivra pas, mais la critique a majoritairement aimé ce film dans lequel Delon a pris des risques pour camper un personnage fragile, un ivrogne, bien loin de celui qu’il interprétait dans le Samouraï.
Alain Delon, qui avait commencé sa carrière à la fin des années 1950, était l’un des derniers monstres sacrés du cinéma français.
Né le 8 novembre 1935 à Sceaux (Hauts-de-Seine), Alain Delon fait ses débuts sur le grand écran à la fin des années 1950, dans Quand la femme s’en mêle, d’Yves Allégret.
Ces premiers pas au cinéma, il les doit à un « scout » qui les repère, lui et son charisme, lors d’un casting sauvage réalisé en marge du Festival de Cannes, à une époque où le jeune Alain Delon enchaîne les petits boulots. Quelques mois plus tôt, il était revenu d’Indochine, où il a servi dans la Marine, avant d’être renvoyé pour avoir, selon la légende, « emprunté » une jeep pour aller faire la fête. Un beau gosse un rien rebelle. Tout Delon est là, déjà.
Ce personnage de voyou magnifique, auquel sa nature semble le prédestiner, Alain Delon va l’étrenner, le perfectionner durant une bonne partie de sa carrière.
Très rapidement, on le verra ainsi incarner un tueur à gages dans Le Samouraï (1967), dans l’une de ses nombreuses collaborations avec Jean-Pierre Melville. Puis, dans Borsalino (1970), où il partage l’affiche avec son meilleur ennemi, Jean-Paul Belmondo, il prend les traits d’un éminent membre de la pègre marseillaise.
Toujours en 1970, dans Le Cercle rouge, il joue un autre bandit de classe, traqué par un Bourvil à contre-emploi. Mais, plus tard, les Français le verront passer de l’autre côté de l’insigne, dans Parole de flic ou Pour la peau d’un flic, film qu’il produira, comme une trentaine d’autres.
La rubrique des faits divers, celui qui ne cachera jamais ses attaches à droite la côtoiera également dans le civil. À la fin des années 1960, alors qu’il est au faîte de sa gloire, il sera ainsi entendu dans le cadre de la médiatique affaire Markovic, du nom de son ancien homme à tout faire yougoslave, retrouvé assassiné. La procédure, dans laquelle un ami d’Alain Delon, François Marcantoni, était le principal suspect, avait débouché sur un non-lieu pour preuves insuffisantes. Elle aura néanmoins perturbé le tournage du Clan des Siciliens, dans lequel il partage l’affiche Jean Gabin et Lino Ventura. Rien que ça.
Puis, au tournant des années 2023 et 2024, il sera l’objet d’une brouille entre ses enfants, Anouckha, Alain-Fabien et Anthony, sur fond d’héritage et de présence d’une « dame de compagnie », Hiromi Rollin. La découverte, quelques semaines plus tard, des dizaines d’armes que possède l’acteur dans sa résidence de Douchy (Loiret), finira d’alimenter une chronique qui aura quelque peu terni l’image de l’acteur.
Mais, entre-temps, Alain Delon aura peaufiné son autre facette, celle du séducteur à la gueule d’ange. Celle-ci crève l’écran dès 1960, dans Plein Soleil de René Clément et dans Rocco et ses frères, où Delon donne la réplique à Claudia Cardinale, sous les ordres de l’un de ses mentors, Luchino Visconti.
Ce séducteur patenté, les spectateurs le retrouveront régulièrement par la suite. Dans Le Guépard (1963), film-fleuve issu de l’œuvre de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, par exemple. Mais aussi, et peut-être surtout, dans La Piscine (1970), film sensuel dans lequel Delon donne la réplique à Romy Schneider, son ex-compagne.
Plus que ceux qu’il forma avec Nathalie Delon, Mireille Darc ou, un temps, avec Dalida, le couple mythique qu’Alain Delon forma avec l’interprète de Sissi, contribuera à le faire entrer dans la légende du cinéma français, celle à laquelle, diront ses détracteurs, il était si conscient d’appartenir. Difficile toutefois, en regardant dans le rétroviseur, de le contredire sur ce point.
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MYLÈNE FARMER ET LA CULTURE DE LA DIFFÉRENCE
‘’La force est féminine’’ écrivait et chantait-elle dans sa chanson Méfie-toi, datant de 1999 et issue de son cinquième album, Innamoramento. Elle avait bien raison, et n’a eu cesse de le prouver. Bientôt quarante ans après sa première chanson (Maman a tort - 1984) qui posait déjà toutes les bases de son univers si particulier, elle est l’artiste de tous les records : record du nombre de disque de diamants pour une chanteuse (elle est d’ailleurs la seule artiste à en avoir obtenu un pendant quatre décennies), unique artiste féminine à avoir classé un album au top de ventes sur cinq décennies différentes, seule artiste française à avoir rempli deux fois le Stade de France, … La liste est longue, bien trop pour la faire ici.
Quand on demande à Mylène, dans les rares interviews qu’elle accorde, les raisons, la recette de son succès, bien souvent, elle répond qu’elle ne saurait pas l’expliquer. On entend très régulièrement que ce qui marche, avec elle, ce serait la culture qu’elle fait du mystère. Généralement, ce sont des gens qui n’y connaissent pas grand-chose.
La seule chose qu’elle a pu cultiver, au fil de sa carrière, c’est la différence. Différence dans sa manière de créer ses spectacles, différence dans sa manière d’aborder les clips musicaux, différence dans sa musique, mais surtout, différence dans les thématiques qu’elle aborde, et qui reviennent de manière récurrente dans ses textes.
S’inspirant régulièrement d’autres formes d’art, comme le cinéma, allant de Stanley Kubrick à Ridley Scott, travaillant avec des cinéastes de renom, comme Luc Besson, Abel Ferrara, ou Pascal Laugier, la littérature, surtout, puisant aussi bien dans les écrits du Marquis de Sade que dans ceux de Zweig, Baudelaire, Allan Poe, Pierre Reverdy, Arthur Rimbaud, Guillaume Apollinaire, la peinture et la sculpture, évoquant Egon Schiele, Paul Gauguin ou bien encore Auguste Rodin, elle laisse une place de choix aux femmes dans l’univers audiovisuel qu’elle choisit de nous présenter.
Ainsi, elle fait référence à Sylvia Plath, Virginia Woolf, Emily Dickinson, Etty Hillesum, Marie de Hennezel, Greta Garbo, et tire son pseudonyme d’une actrice des années 1930, Frances Farmer.
Cette longue aventure commence en 1984 : sa première chanson, Maman a tort, est un succès, mais il a failli être de courte durée, puisque son deuxième titre, On est tous des imbéciles, qui livre une critique plutôt acerbe du show-business, est un échec. Puis arrive Libertine en 1986, une chanson sulfureuse, pour la promo de laquelle Mylène se teint en rousse, couleur iconique aujourd’hui dont elle ne se départira plus, et pour laquelle, avec son compositeur et ami, Laurent Boutonnat, elle décide de réaliser un clip digne d’un court-métrage, dans lequel Mylène elle-même n’hésite pas à se montrer nue : le premier d’une longue série. Il dure 10 minutes, pour un budget étonnamment bas de 76 000€, et surtout, fait scandale à sa sortie. Encore une fois, le premier d’une longue série. Mais peu importe : le succès est immense, et la carrière de Mylène décolle vraiment.
Car s’il y a bien une chose pour laquelle Mylène affirme sa différence, allant même jusqu’à la provocation quelques fois, c’est pour les thématiques qu’elle aborde de manière régulière dans ses chansons. Que ce soit la peur de vieillir et de mourir, la solitude, la perte d’être chers, du suicide, de l’amour et de ses chagrins, de l’emprise, ou bien de la sexualité, elle brise allègrement un à un tous ces tabous, ces choses que beaucoup de gens peuvent connaître, mais sans jamais oser trop les verbaliser. Autour de cela se crée une véritable communauté de fans, qui se sentent différents, eux aussi, et qui ont enfin trouvé quelqu’un pour dire tout haut ce qu’ils pensent tout bas.
Pour ces fans, Mylène est une artiste à part dans les coeurs, quelqu’un qui se dévoile si intimement dans ses chansons qu’on a la sensation de la connaître personnellement, qu’elle n’est pas qu’une célébrité éloignée, mais quelqu’un de proche, quelqu’un qui est là pour tenir la main dans les moments de solitude en faisant se sentir compris, quelqu’un en qui on peut se reconnaître, et qui peut nous aider à grandir, qui que l’on soit.
Et puisque sur ce site, on a à coeur de mettre en avant les femmes, et les personnalités queers ou en faveur des queers, voici une petite sélection de ses chansons queers et féministes :
La première : Maman a tort - 1984
Mylene Farmer - Maman A Tort (1984) HD 720
Dans cette chanson aux allures de comptine saphique, Mylène chante l’amour d’une petite fille hospitalisée pour son infirmière. Si ce titre ne figure pas parmi les plus connus à ce jour, il a été un véritable succès à sa sortie, et posait déjà toutes les bases de l'univers de Mylène : une chanson aux allures presque innocentes, des paroles qui le sont nettement moins, et une bonne dose de provocation avec Mylène qui fixe la caméra en disant qu'elle "aime l'infirmière, Maman".
La duologie : Libertine & Pourvu qu'elles soient douces - 1986 & 1988
Mylène Farmer - Libertine
Mylène Farmer - Pourvu Qu'Elles Soient Douces
Si ces deux chansons ne sont pas ouvertement queers ou féministes, la première parle d'une prostituée, que Mylène revendique fièrement être, et la deuxième parle de sodomie : des pratiques quasiment jamais évoquées dans des chansons à cette époque, encore moins chantées par une femme, et encore moins destinées à un grand public. Les clips, inspirés notamment de Barry Lyndon de Stanley Kubrick, montrent Mylène tour à tour nue et revêtant des habits masculins de l'époque, arborant un look androgyne et se battant, pour une durée totale de 27 minutes en cumulant les deux. Du jamais vu en France, surtout qu’à l’époque, les clips étaient faits pour passer à la télévision !
L'iconique : Sans Contrefaçon - 1987
Mylène Farmer - Sans Contrefaçon Une chanson en particulier attire à Mylène les faveurs de la communauté LGBT+. Sans Contrefaçon sort en 1987, et parle de transexualité : quelque chose d’assez inédit, pour l’époque, et qui dérange, encore une fois. Mais peu importe. Mylène aime la communauté LGBT+, le dit et le répète à plusieurs reprises, n’hésitant pas à poser “en garçon” pour la couverture du magazine Têtu en 2008, et répondant quand on l’interroge sur la question des mariages homosexuels et des adoptions d’enfants par des couples homosexuels “C’est un sujet de société que certains voudraient traiter sous l’angle moral… Pour moi cela pose la question de l’égalité des droits. Au 21è siècle, il serait temps de traiter le sujet !”, et refaisant la une pour les 25 ans du même magazine, maintenant ses propos.
“J’ai le sentiment d’être privilégiée. Le public gay est un public sensible, pointu et avant-gardiste. Nous nous suivons depuis de nombreuses années, c’est important pour moi. Je pense aussi que je partage avec le public gay, comme avec d’autres publics d’ailleurs, le sentiment d’être « différent », sensation qui provoque des difficultés de vivre dans ce monde.”
Le pied de nez : Fuck them all - 2005
Mylène Farmer - Fuck them all (Clip Officiel)
Rarement la plume de Mylène aura été aussi acérée. Dans Fuck them all, elle rappelle avec verve les siècles de domination de l’homme sur la femme, quitte à passer pour de la provocation gratuite aux yeux de certains. Mais ce qui rend cette chanson encore plus crue reste le contexte de la sortie de ce single. Alors vainqueure aux “Victoires des Victoires de la Musique” dans la catégorie “Meilleure artiste féminine des vingt dernières années”, qui récompensent, pour la 20ème édition, des lauréats d’éditions précédentes, Mylène ne se présente pas pour venir chercher son prix. En effet, elle boude cette cérémonie depuis sa victoire dans la catégorie “Meilleure artiste féminine” en 1988, récompense pour laquelle elle ne remerciera d’ailleurs que son public, alors que le prix est décerné par des professionnels. Elle dira : "J'ai passé des heures en coulisses pour les répétitions de cette soirée télévisée. Tout le gratin du show-business était là et ces gens m'ont écoeurée. Ils se détestent tous. J'étais triste d'avoir été récompensée et reconnue par ces gens-là. Ce sont les Victoires de l'hypocrisie ! J'ai failli m'enfuir, mais je suis restée pour faire plaisir aux gens qui regardaient l'émission. Ils n'auraient pas compris..". Mylène ne se présentera plus aux remises de prix décernés par des professionnels, et demandera même à ce qu’ils arrêtent de la nommer, et ne se déplacera que pour les remises de prix décernés par le public. Après sa victoire en 2005, elle aurait envoyé un message à Nagui (qui lui avait, en outre, déjà tenu des propos insultants), alors hôte de la cérémonie des Victoires le message suivant: "Merci. N'oubliez pas que mon dernier single s'appelle Fuck them all."
La méconnue : Elle a dit - 2012
Mylène Farmer Elle A Dit Live 2013
Parue dans l'album Monkey Me en 2012, Elle a dit a fait beaucoup moins de bruit que les quatre chansons citées précédemment. Et pourtant ! Vraisemblablement inspirée de la bande dessinée Le bleu est une couleur chaude de Jul' Maroh, qui raconte l'histoire d'amour entre Clémentine et Emma, Elle a dit parle d'une fille hospitalisée qui va mourir ayant du mal à comprendre qu'elle aime une autre fille. "Pour le plus petit mot qui a guéri, sauver une âme, c'est si fragile."
Et si cet article vous a donné envie d’en découvrir plus, voici une liste avec les chansons que vous connaissez peut-être par album, et les chansons qui gagneraient à être plus connues
Sources :
♦ mylene.net
♦ innamoramento.net♦ Diverses interviews, notamment celle de Têtu le 20 août 2008
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Lee Miller, reporter de guerre | France Inter
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Festival de Cannes 2024 – Critique Les Graines du figuier sauvage : chef-d’œuvre de rage et d’espoir
Nicolas Diolez 25 mai 2024
Il n’est plus nécessaire de faire les louanges du cinéma iranien indépendant. Avec des cinéastes tels que Jafar Panahi ou Asghar Farhadi, celui-ci a acquis ses lettres de noblesse à travers un cinéma social critique de sa propre société. De ce fait, à l’annonce de la présentation en compétition officielle au Festival de Cannes 2024 des Graines du figuier sauvage de Mohammad Rasoulof, on était curieux de voir ce qu’il avait encore à dire.
Un peu de contexte pour commencer : le cinéaste Mohammad Rasoulof a été contraint à l’exil du fait de la réalisation de ce film, Les Graines du figuier sauvage. Menacé de huit ans de prison ferme, le réalisateur a rejoint la longue liste de compatriotes artistes qui ont fui le régime théocratique dictatorial iranien (qui n’apprécie pas qu’on le critique ouvertement).
Allégorie de la société iranienne
Cette dernière, il l’instaure à l’échelle la plus réduite possible, c’est-à-dire une famille comme il en existe tant d’autres. Le père est strict et très secret sur son métier, car il travaille pour la justice ; la mère, soumise au dictat de son mari, s’occupe de la maison et de ses deux filles, sacrifiant inconsciemment sa propre existence au profit du patriarcat ; enfin les deux filles, connectées au monde par les réseaux sociaux, dynamiques et non formatées par le monde qui les entoure. Chaque membre de la famille incarne une certaine idée de la société iranienne. Tout pourrait aller dans le meilleur des mondes, sauf que la révolte des femmes en 2022 suite au décès d’une jeune femme battue à mort pour soi-disant avoir mal porté le voile, va faire basculer tout l’équilibre familial dans le chaos, le mensonge et la haine.
Redoutable récit politique
Néanmoins, Rasoulof démontre qu’il ne sait pas juste écrire, il maîtrise également la réalisation. Les plans sont sobres, mais rigoureux, tandis que le montage est précis, laissant une place prépondérante à la dynamique impitoyable des dialogues. Ces derniers sont ciselés, féroces, écrits avec la rage au ventre. Rasoulof n’est pas un réalisateur de film, il est comme un boxeur qui monte sur le ring pour déchainer toute sa haine contre le pouvoir iranien. Une haine tristement justifiée.
Bref, vous l’aurez compris, Les Graines du figuier sauvage est une œuvre colossale, écrite avec férocité, réalisée avec le plus grand soin du monde, incarnée avec le plus beau des panaches. C’est plus qu’un film, c’est un testament politique pour une société plus juste qui ne traite pas les femmes comme des objets. Pour ce film, rien que le fait d’exister est un miracle. Ce geste de cinéaste, d’artiste, de citoyen, d’homme du monde, mérite tout simplement le respect.
Les Graines du figuier sauvage n’a pour le moment pas de date de sortie en France. Retrouvez toutes nos critiques du Festival de Cannes 2024 ici.
#société iranienne#iran#Festival de Cannes 2024#cannes 24#Graines du figuier sauvage#Jafar Panahi#Asghar Farhadi#Mohammad Rasoulof
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Le Roi et l'Oiseau
« Le Roi et l'Oiseau est un film d'animation français créé par Paul Grimault sur des textes de Jacques Prévert, d'après La Bergère et le Ramoneur de Hans Christian Andersen. Sorti en 1980, sa préparation a commencé dès 1946.
Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, les ambitions sont grandes pour le studio d'animation des Gémeaux : il se veut le premier du genre en Europe grâce au projet confié à Grimault qui doit aboutir au premier long métrage d'animation français. À la fin de la décennie, des désaccords financiers vont cependant mener l'équipe d'animation à sa perte : une partie est congédiée par les producteurs tandis que les membres restants se pressent d'achever ce qui est déjà accompli : Le Roi et l'Oiseau sort ainsi une première fois en mai 1953 dans une version intitulée La Bergère et le Ramoneur mais désavouée par Grimault et Prévert. Les « restes » de celle-ci sont néanmoins jugés impressionnants et le film remporte un prix au Festival de Venise ainsi que l'admiration de nombreux techniciens du monde de l'animation, dont les futurs fondateurs du Studio Ghibli.
Des années plus tard, les droits du producteur du film sont rachetés par Grimault, qui se remet au travail malgré la dissolution entre-temps de l'équipe originale et la mort en 1977 de Prévert survenue lors des derniers préparatifs pour la mise en chantier de la nouvelle version. Définitive et intitulée Le Roi et l'Oiseau, celle-ci sort finalement au cinéma en mars 1980 où elle reçoit un accueil critique très favorable et de nombreuses récompenses — c'est notamment la première fois que le prix Louis-Delluc récompense un film d'animation. Le film est également ressorti en version remasterisée en 2003.
Le Roi et l'Oiseau constitue un jalon dans l'histoire du dessin animé : premier long-métrage d'animation mis en chantier en France, il s'éloigne des canons du style de Walt Disney et veut proposer au-delà du public d'enfants et d'adolescents traditionnel des réflexions philosophiques grâce à une fable politique et sociale. Il est d'autre part une aventure humaine, le fruit de la collaboration étroite de très nombreux techniciens du monde de l'animation, formés en même temps que chaque version progresse. Le Roi et l'Oiseau est enfin le symbole d'une profonde complicité créative entre Grimault et Prévert, qui ne cesse qu'au décès du poète, alors que tous deux travaillent encore sur le film. »
Analyse
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Sur les thèmes de la modernité, du fascisme, de l'opposition entre élite-raison et peuple-passion, voir aussi : Metropolis (1927)
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Hollywood : industrie visionnaire ou fabrique d’opinion ?
Photo et prologue
Sidney Poitier, le premier grand acteur noir d’Hollywood, tient la main de son codétenu Tony Curtis (de son vrai nom Bernard Schwarz, fils d’immigrés juifs hongrois et homosexuel notoire), dans un film où tous deux sont persécutés par le pouvoir blanc, forcément injuste et un peu nazi sur les bords.
Le réalisateur et producteur de La Chaîne (The Defiant Ones), sorti en 1958, Stanley Kramer, est un juif libéral, qui a travaillé sur les sujet sociétaux, le racisme et le fascisme. Il a forcé l’admiration de Steven Spielberg, qui le considère comme un « visionnaire incroyablement talentueux ».
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***
À l’occasion de la sortie annoncée du divertissement sur la NASA et son alunissage bidon en mondovision, nous nous sommes intéressés à l’aspect visionnaire de l’industrie américaine du cinéma.
En effet, si Hollywood, de par sa dépravation ancestrale et naturelle, a pu apparaître comme étant un moteur de réforme ou d’avancée des mœurs, notamment le féminisme avec Quand l’intelligence vient aux femmes et l’homosexualité avec le film préféré de Brigitte, Certains l’aiment chaud, il a aussi été utilisé par le pouvoir profond, c’est-à-dire non élu et non visible, pour préparer l’opinion à des changements pas forcément positifs.
On pense aux films anti-Indiens chroniques (avant la découverte de leurs « droits ») ou anti-communistes, commandés ou contrôlés par le pouvoir militaire. On sait que l’US Army ne prête ses matériels pour des tournages que si le scénario est au préalable visé et validé par son service de communication, ou de propagande.
Certes, Hollywood a starisé Sidney Poitier quand l’Amérique était encore profondément raciste, mais c’était aussi le moyen par lequel les producteurs majoritairement juifs des studios voulaient culpabiliser l’Américain moyen blanc, c’est-à-dire chrétien. Il y a toujours une deuxième ou une troisième lecture avec les films bien-pensants. Dans la série Netflix baptisée Hollywood, il est question d’homosexualité et de racisme dans les années 40-50. La patronne du plus grand studio embrasse le jeune scénariste noir sur la bouche.
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Il y a 1 000 exemples de films américains en avance sur les mœurs, ce qui n’était pas difficile, vu qu’Hollywood était un nid de débauche et que la population était en majorité puritaine !
Alors soit Hollywood a senti et accompagné le mouvement (par exemple celui des droits civiques), soit il l’a organisé et orienté, grâce à la puissance d’évocation de l’image animée, qui s’imprime directement au fond de l’esprit, sans passer par les mots et la raison.
À l’arrivée, on obtient une société sorossisée, où, comme en France actuellement, la liberté des mœurs est presque totale, quand les autres libertés sont limitées, et parfois interdites (opinion, expression, déplacement), sinon punies socialement.
Mais dans les deux hypothèses, Hollywood est une entreprise de contrôle mental et d’orientation politique.
Hollywood a-t-il cédé devant les RS ?
Pour en revenir au film du moment, Fly Me to the Moon, qui reprend le titre d’une chanson célèbre de Sinatra, nous verrons s’il s’agit d’une première marche vers la reconnaissance officielle d’un montage conjoint des studios et de la Nasa en 1969. Le film, qui sortira en juillet 2024, serait alors le moyen – dédramatisé – de céder sans l’avouer à la pression des réseaux sociaux, ce qui démontre la puissance de ce lobby, non organisé mais terriblement efficace.
Avant, c’étaient les panels de spectateurs qui définissaient et assuraient le lissage de films jugés impropres à la sortie. Aujourd’hui, le panel est extérieur et n’est plus contrôlable par les magnats du cinéma, qui ont perdu leur pouvoir précurseur. Hollywood a trouvé son maître.
E&R
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Français : Il y a 46 ans, Les Aventures de Bernard et Bianca était sorti au cinéma en France.
Pour cet anniversaire, j'ai réalisé quatre dessins sur Krita. Pour les trois premiers, j'ai redessiné les illustration du premier livre Bernard et Bianca de Disney pour se rapprocher du film.
English : 46 years ago, The Rescuers was released in cinemas in France.
For this anniversary, I made four drawings on Krita. For the first three, I redesigned the illustrations from the first Disney's The Rescuers book to be closer to the film.
#The Rescuers#Bernard et Bianca#Bernard and Bianca#Bernard#Miss Bianca#Bianca#Disney#Les Aventures de Bernard et Bianca
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Monica Bellucci
Née dans la ville de Città di Castello dans la famille de Pasquale Bellucci et Brunella Briganti, elle a vécu dans le village de Lama, dans le district de San Giustino, jusqu'à ce qu'elle s'installe en France. Elle a travaillé comme mannequin afin de pouvoir payer ses études à la faculté de droit de l'Université de Pérouse, mais a ensuite abandonné ses études et s'est consacrée à une carrière de mannequin. En 1990, elle fait ses débuts dans la série télévisée Adult Children (réalisée par Dino Risi). Et déjà l'année suivante, elle obtient le rôle du personnage principal dans le film Abuse (La riffa) de Francesco Laudadio. En 1992, elle a joué pour la première fois le rôle de l'une des trois servantes du comte Dracula dans le film en anglais Dracula de Bram Stoker. Puis il retourne en Italie pour tourner dans la comédie Snowball (I mitici - Colpo gobbo a Milano). Mais sa popularité s'est propagée en 2000 après la sortie du film Malèna. Ainsi, Monica Bellucci obtient le statut de "Vierge" et devient connue et appréciée d'abord en Europe puis en Amérique. En 2003, elle est invitée d'honneur au Festival de Cannes. Joue Perséphone dans The Matrix Reboot et The Matrix Revolutions, puis Marie-Madeleine dans La Passion du Christ de Mel Gibson. Après avoir acquis une expérience à l'étranger, il rentre en Italie en 2003 et obtient l'un des rôles principaux dans le film Ricordati di me de Gabriel Muccino. Grâce à ce rôle, il est nominé pour le prix national du cinéma italien David di Donatello et remporte un ruban d'argent.
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Accès au cinéma invisible vous donne rendez-vous, ce mercredi 18 octobre à 20h 11 rue des Olivettes (Nantes), pour découvrir la plus belle adaptation au cinéma de l'écrivain Julien Gracq, Rendez-vous à Bray, sorti au cinéma en 1971.
L’auteur florentais est réputé difficile à transcrire sur grand écran : grande densité narrative, paysages flous et sensibilité à fleur de peau.
C’est André Delvaux, réalisateur belge adepte du surréalisme et développant un style de mise en scène qualifié de réalisme magique, qui va se lancer dans cette adaptation.
Delvaux est un féru de littérature, ayant à ce moment déjà adapté plusieurs fois au cinéma Johan Daisne (Un homme, un train avec Yves Montand en 1968), il continuera en 1983 avec Suzanne Lilar (Benvenuta avec Fanny Ardant) puis Marguerite Yourcenar en 1988 (L’Œuvre au noir avec Sami Frey).
En adaptant la courte nouvelle Le roi Cophueta tiré du recueil La presqu’île (Éditions Corti, 1970), Delvaux s'empare à la fois de l'univers restitué par Gracq, mais aussi de sa sensibilité. Il transpose son goût pour le cinéma à une œuvre pleinement littéraire. Avec le jeu d’Anna Karina et Matthieu Carrière, il réussit alors à transmettre aux spectatrices et spectateurs le mystère dont Gracq avait le secret.
En cela, Rendez-vous à Bray est autant un hommage au pouvoir de la littérature qu'à celui du cinéma. Le film fait la jonction entre ces deux pratiques pour devenir une œuvre à part entière encore trop méconnue en France, récompensée du prestigieux prix Louis-Delluc à sa sortie en 1971.
Projection gratuite à Pol-n, 11 rue des Olivettes (Nantes), à 20h le 18 octobre 2023.
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Un amour de Slam Dunk sur grand écran
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Si vous êtes un grand fan de Slam Dunk de Takehiko Inoue, ce film est à voir absolument.
Même si à la réalisation de The First Slam Dunk, le mangaka Takehiko Inoue prend quelques largueurs par rapport à l’histoire originelle, le film est une véritable pépite. Le manga Slam Dunk, sorti en 31 tomes entre 1990 (numéro 42 du magazine Weekly Shonen) et 1996 et dès le départ le succès est au rendez-vous (basketteur ou pas). La série s’est vendue à plus de 170 millions d’exemplaires dont 120 millions sur le marché japonais .
Le manga est édité en France depuis 1999 aux éditions Kana et même si c’est un succès les chiffres de vente ne sont pas aussi faramineux qu’au pays du Soleil Levant.
Certains fans regretteront peut être la fin de son histoire même si c’est bien à l’auteur que le choix appartient et non au lecteur. Dans tous les cas, Slam Dunk est devenue une véritable référence pour les mangas traitant le sport.
La version papier du manga met en scène Hanamichi Sakuragi, du lycée Shohoku, qui décide d’incorporer l’équipe de Basket uniquement pour séduire Haruko Akagi. Il est vrai que jusqu’ici, il s’était fait éconduire par une cinquantaine de jeunes filles. C’est le début d’une vocation avec ses compagnons de jeu que sont Takenori Akagi, Kaede Rukawa, Mitsui Hisashi et Ryota Miyagi. Ils ont un objectif ultime : décrocher le titre national…
Avant cette sortie en salle de The First Slam Dunk au cinéma en cet été 2023, l’œuvre internationale, a déjà eu le droit à quatre films d’animation entre 1994 et 1995 ainsi qu’une série de 101 épisodes sortie entre 1993 et 1996,... et surtout, il a incité de nombreux jeunes japonais(e) à se tourner vers ce sport.
Dans cette version, nous suivons le meneur de jeu Ryota Miyagi. En effet, on vit le passé tragique du jeune garçon qui a perdu son frère Sota lors d’une virée en mer 8 ans auparavant. Ce drame est également le moteur qui guide Ryota à se surpasser pour devenir encore meilleur dans cette discipline. En effet, il a souvent été comparé à son aîné. Promesse tenue : l’émotion est au rendez-vous… Il ne faut pas oublier qu’au-delà de la balle orange, Slam Dunk est également une belle et grande histoire d’amour.
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Dans cette chronique adamantesque : de l’orgue, des morceaux de cinéma, une question sémantique, un extrait de Fantazio et les Turbulents de chez La Belle Brute, un magnifique poème, des bouts de 33t (ou 45t?), du cinéma encore, Pierrot le Fou (ou Pierrot le Passager…) en chanson, des infos pratiques, Kiosque en fête, Ray Bradbury et un peu de Japon. Vous pourrez entendre un extrait de cette chronique sur les ondes de France Culture, ce samedi, dans l’émission Plan Large, de 14H à 15H en compagnie de Nicolas Philibert à l’occasion de la sortie en salle du film Sur l’Adamant. Un grand merci à Antoine Guillot et à tous ceux qui ont participé!
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Un enfant doué de NYC
Christopher George Latore Wallace connu sous le nom de BIGGIE SMALLS était un new-yorkais de la plus pure tradition. Un de ceux qui grandirent dans l'admiration de la culture de rue de cette côte Est créative des années 1960-1980: ville de naissance de Sylvia Robinson, la toute première productrice à avoir vu et compris le potentiel du RAP (acronyme pour Rhythms And Poetry) en lançant le classique Rapper's Delight en 1979...Quand on voit qu'aujourd'hui, les femmes noires sont méprisées dans le milieu du RAP...Bref!
Biggie Smalls est considéré comme un parolier du RAP avec un talent exceptionnel, parti à 25 ans, fusillé comme TUPAC juste après la sortie de son premier double album consacré au RAP -1997- (le 1er pour NYC, ville native de ce genre muscial) et le second après ALL EYEZ ON ME (celui de Tupac sorti plutôt en 1996).
Connu pour son franc-parler, Biggie Smalls admirait par dessus tout l'élégance et la générosité d'une certaine pègre historique de NYC (celle dépeinte dans le film le plus oscarisé de l'histoire du cinéma "Le Parrain") sorti en 1972, l'année de naissance de Christopher.
Dans plusieurs de ses textes, il relate comment les "grands" du milieu "souterrain" leur permettaient à eux adolescents new yorkais et fauchés d'accéder à des clubs prestigieux en leur offrant des tables , des entrées et en règlant la note de fin de soirée...
Christopher fut le premier rapper à publiquement chanter la culture mercantile et l'idolâtrie de l'argent typique à la ville de NY. Ceci lui valu de féroces reproches. Il fut aussi pionnier dans la réalisation de vidéo clips de "flamb" où l'argent pleuvait, les filles dansaient au ralenti et le récit de la vie "avant et après" la notoriété était conté sans tabou!!!
Enfin, Notorious B.I.G (son autre surnom) comme Prince et Michael Jackson à la décennie précédente, s'associait souvent avec d'autres rappers made in NYC afin de sampler des classiques du funk des années 1970-1980 qui avait été exploités par les majeurs en limitant l'accès aux droits d'auteurs des artistes performeurs...
Prince fut le premier à gagner une bataille juridique de 19 ans contre Warner Bros...Il mourut à peine quelques mois plus tard mais son message aujourd'hui est finalement compris par des gens tels que Taylor Swift qui par exemple en 2020, a totalement ré-enregistré ses premiers albums afin de récolter quelques royalties qui lui avaient été sucrées 10 ans plus tôt par ses producteurs initiaux.
Oui, BIGGIE se faisait un plaisir d'inviter sur ses sons, des artistes funk en mal de visibilité pour leur permettre de ré-enregistrer leurs tubes sur du R.A.P afin de pouvoir se partager les droits d'auteur et en vivre dignement.
Ici, un de mes favoris du genre (qui ne se fait plus depuis 2000...Et oui, le R.A.P avait plusieurs "genres"), un rap à paroles perçantes, vécues et véridiques sur un des beats les plus mémorables du funk...BIGGIE, Jay-Z (quand ce dernier montrait encore sa culture musicale immense) et l'incroyable Angela Winbush qui joua tous les instruments de la version originale de sa propre oeuvre!
Reposes-Toi en Prose!
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SYNOPSIS
La super-héroïne, qui a conquis le cœur de millions de fans à travers le monde, débarque pour la première fois au cinéma ! Ladybug va devoir unir ses forces avec Chat Noir, le charismatique justicier masqué qui n’a pas sa langue dans sa poche, pour affronter le Papillon et sa horde de super-vilains, alors que ceux-ci menacent de détruire Paris. Mais, alors que les deux héros se rapprochent, Marinette ignore que derrière son mystérieux complice se cache Adrien, le camarade de classe dont elle est amoureuse…
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The Poughkeepsie Tapes
John Erick Dowdle
U.S (2007) 86min : Horror, Found Footage, Body Horror
J'ai revu The Poughkeepsie Tapes récemment, à l'occasion de sa sortie 'officielle' en Blu-ray ... Dommage pour la version bootleg originale de 2007 qui donnait au film une certaine saveur de dégueulis presque réelle. Ce n'est que du cinéma. Gare aux snobs ... Haters gonna Hate.
Après avoir vu Broadcast signal Intrusion de Jacob Gentry, je n’ai pu m’empecher de jeter à nouveau un œil au terrifiant Poughkeepsie Tapes. Dans le genre c’est probablement avec le récent Sorgoï Prakov l’un des films le plus réaliste et malsain du genre. A vous de juger …
Un tueur en série laisse derrière lui une cache de cassettes vidéo relatant ses meurtres et la subjugation d’une de ses victimes. Un documentaire mettant en vedette des experts et des profileurs criminels les analyse et tente de percer le mystère du « boucher de la rue de l’eau ».
On ne peut nier la sursaturation des images d’horreur trouvées. Depuis la sortie de The Blair Witch Project, et plus récemment la série VHS, il y a eu une interminable cavalcade d’imitations, certains efforts étant complètement banals. C’est une tendance qui est devenue caduque et fondée sur des formules, avec très peu d’innovation à faire. Pour être franc, bon nombre de ces titres coûtent une dizaine de sous et parfois, c’est trop cher. Cependant, s’il y en a un qui a réussi à briser le moule et à utiliser la technique à son plein avantage, c’est The Poughkeepsie Tapes. Les efforts de John Erick Dowdle en 2007 sont non seulement très efficaces dans leur exécution, mais aussi un regard poignant sur le monde dans lequel nous vivons, un regard qui aborde un sujet dont beaucoup continuent de s’imprégner.
La fascination du public pour le tueur en série a été bien établie grâce à de nombreuses formes de divertissement. Il y a quelque chose chez ces gens qui ont un appétit insatiable de tuer qui nous repousse jusqu’à notre noyau, mais qui propulse notre curiosité vers eux. Nos livres, nos films et nos documentaires débordent de sociopathes et de monstres bien réels. Ce sont des exemples vivants de loups vêtus de moutons, se déplaçant parmi les masses sans méfiance attendant le moment parfait pour frapper.
On ne peut pas regarder cette fascination morbide sans contempler l’existence d’un véritable film de tabac à priser, un film, dans lequel le vrai meurtre est représenté. Dans Henry : Portrait of a Serial Killer, cela a été exploré sous la forme d’un meurtrier filmant ses propres crimes pour se délecter du plaisir voyeuriste et revivre l’expérience. Dowdle prend ce concept simple, et en fait la base pour un film entier. Les bandes de Poughkeepsie est beaucoup plus qu’un film de tabac dramatisé cependant, car il présente le matériel d’une manière intelligente, racontée dans les limites d’un pseudo-documentaire.
La plus grande force du film se trouve dans sa présentation. Bien que plusieurs tentatives d’enregistrement aient tenté d’imiter le style documentaire, beaucoup ne réussissent pas et ont du mal à ressembler à quelque chose de légitime. Les bandes Poughkeepsie démontre une capacité à avoir un air de validité, tout en étant minutieux avec plusieurs détails de la détection du crime. L’analyse approfondie contenue dans le film donne l’impression au spectateur qu’il regarde une véritable étude de cas et pas seulement des acteurs qui jouent des rôles. Beaucoup d’attention est accordée aux motifs et aux techniques comme la détection judiciaire et le profilage criminel.
Coïncidant avec la partie documentaire du film est la vidéo trouvée composée des bandes laissées par le tueur. Leur composition et leur apparence générale est remarquablement bien faite. Il est extrêmement sombre, troublant et contient certaines des images les plus troublantes qu’on puisse trouver. Tout en ayant beaucoup de la même texture et de la même qualité que l’on pourrait trouver avec un vieux caméscope VHS, il permet au public d’être placé dans l’état d’esprit du boucher de la rue de l’eau. La séquence commence progressivement à progresser à mesure que l’agresseur devient plus habile à exécuter ses crimes et à les enregistrer en même temps. Le développement global du tueur est choquant et fascinant à mesure que les événements se développent. Un sous-lot primaire avec les images en ce qui concerne sa subjugation et manipulation d’une de ses victimes, une jeune femme nommée Cheryl Dempsey.
L’histoire de Cheryl n’est pas seulement celle d’une personne kidnappée et torturée, mais aussi l’un des effets à long terme de la violence sexuelle, physique et mentale. Le film aurait pu opter pour une série de meurtres avec un enregistreur VHS granuleux. Elle aurait aussi pu être exploitée en y ajoutant une analyse occasionnelle pour donner l’impression d’être plus éclairée. Ce que nous donne Cheryl Dempsey est un parfait exemple du syndrome de Stockholm. Le film exprime de grands sentiments d’impuissance face à la situation de son personnage. En tant que public, nous sommes forcés de la regarder subir une transformation induite par la souffrance de sa captivité. C’est ce qui élève The Poughkeepsie Tapes au-dessus de tant d’autres dans le sous-genre ; il contient une forme profondément efficace d’horreur psychosociale.
Même si ce n’est peut-être pas acceptable pour tout le monde, The Poughkeepsie Tapes est certainement un film qui mérite d’être visionné et qui mérite d’être salué pour avoir abordé un sujet pertinent pour la société dans laquelle nous vivons. L’un des plus célèbres tueurs en série, Ted Bundy, a déjà fait remarquer que les tueurs en série sont « partout… nous sommes vos maris et vos fils, et d’autres de vos enfants mourront demain. » Dowdle non seulement comprend ce sentiment, mais le transmet d’une manière qui est trop réelle.
Écrit et réalisé par John Erick Dowdle (Quarantaine), The Poughkeepsie Tapes joue dès le début avec les attentes du public. Les bandes sont taquinées avant qu’une séquence ne soit montrée et dépeignent des crimes si odieux qu’ils hantent ceux qui les ont vus. Dowdle a coédité le film avec Elliot Greenberg, et le calendrier du tueur en série est présenté en grande partie dans l’ordre chronologique. La police est capable de relier les points sur beaucoup de cas non résolus et d’utiliser les enregistrements pour garder une trace du changement de mode opératoire de leur tueur. Dowdle n’a jamais insisté pour que son histoire soit vraie, mais la présentation travaille dur pour convaincre le public qu’elle l’est. À première vue, cela ressemble à un simple documentaire, mais il y a beaucoup de « révélations » si vous prenez du recul et prêtez attention. Les victimes et leurs familles s’en tirent le mieux, tandis que certaines figures d’autorité sont peu convaincantes dans leurs performances. En passant, les fédéraux sont assez rapides pour révéler toutes les preuves qu’ils ont dans une enquête en cours.
Dowdle fait un bon travail en créant un cauchemar atmosphérique via les images du tueur et garde l’homme dangereux qu’il torture une victime ou qu’il parle à des enfants innocents. L’actrice Stacy Chbosky est aussi puissante que Cheryl Dempsey, la longue victime enlevée. Elle est mise en enfer et ses moments les plus puissants viennent dans sa scène finale. La représentation d’Ed par Ben Messmer est plus convaincante lorsqu’il parle avec désinvolture à des cibles potentielles dans la rue que lorsqu’il les crie dans son sous-sol. Ces deux acteurs effectuent un travail impressionnant de porter cette image et je n’aurais pas eu peur de voir plus de leurs allers-retours.
Les bandes de Poughkeepsie a son lot de défauts, mais je n’ai jamais été assez distrait pour perdre l’intérêt pour l’image. Le film est surtout connu des fans de genre par son acte de disparition. Initialement prévu pour une sortie MGM en 2007, le studio a retiré le titre de son calendrier deux semaines avant la première. Le timing coïncidait avec une misérable projection au Texas, mais ce n’est peut-être qu’une coïncidence. Le film est resté sur l’étagère pendant les sept années qui ont suivi avant de se retrouver brièvement sur un service de streaming en 2014. Encore une fois, le titre a été rapidement retiré et mis de côté jusqu’à maintenant, avec cette sortie Blu-ray de Scream Factory. Bien que ce ne soit pas un film d’horreur parfait (peu le sont), il y a suffisamment de moments qui fonctionnent pour que le film mérite une meilleure réception et une bonne chance de répondre aux attentes du public.
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« On pouvait peut-être voir aussi l’effondrement d’une esthétique en fait ; de ce que j’appelle une esthétique, donc un régime de la sensibilité, comment on perçoit collectivement le monde… puisque l’esthétique, je ne parle pas là uniquement de l’art mais plutôt du régime du sensible.
Du coup, j’ai senti à un moment donné quand il y a eu l’incendie de Notre-Dame qu’effectivement il y avait cette esthétique —que j’appelle petro-sexo-raciale. Qui dans les modes de production fonctionne par les énergies fossiles et dans les modes de reproduction fonctionne par les binarismes homme/femme, héterosexuel/homosexuel, mais aussi par une taxonomie raciale hierarchisée.
(…) Etait en train quelque part de brûler et de s’effondrer et donc c’est vrai que pour moi c’était presque comique voir la folie que ça a suscité (l’incendie en lui même) et aussi la manière dont les autorités puliques ont voulu tout de suite la reconstruire à l’identique. Alors que justement il y avait dans cet effondrement, dans cette forme de destruction peut-être l’invention d’une nouvelle esthétique qui était plus juste, plus en accord avec notre temps disjoncté.
(…)
Face à cette fragmentation, à l’explosion des formes de connaissance de la modernité, la philosophie ne suffit pas.
En tout cas la philosophie telle qu’on la connaît. Il y a là aussi une débinarisation, c’est à dire une rupture de cette différence traditionnelle entre la théorie/la pratique, le corps/l’esprit, la philosophie et la poésie etc… donc du coup la philosophie devient poésie la poésie devient cinéma le cinéma devient peut-être musique, vous voyez, c’est aussi peut-être comme ça que les artistes contemporains travaillent aujourd’hui. »
Paul B. Preciado — interview sur France Inter à l’occasion de la sortie de Dysphoria Mundi, novembre 2022
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J’écris encore des mots sur ça mais au final c’est le plus simple. Comme dirais Ilyes vie de merde
Enfance parfaite et tranquille on part en vacance avec papy et mamy à Dax, une maison des chiens tout est à merveille. Jusqu’à mes 10 ans en cm2 on me rejette de mon groupe d’ami je me retrouve tout seul, puis viens le collège et là harcèlement je suis tjrs tous seul, on m’insulte me tape me baisse mon pantalon au milieu de l’école. En plus mes parents se sépare .. ma mère vie dans notre maison avec notre beau père et en plusa eu deux jumeau avec lui. Mon père accepte pas il n’es presque plus là et quand il es là il est saoul et violent il s’en prend à mon grand frère …
Mais tout ça est fini on déménage on va dans une ville, mais au final c’est encore pire on es dans un quartier avec que des racailles, mon école encore pire. Je me fais frapper et insulter tout le temps à l’école encore pire je suis comme un pestiféré. Je fini à l’hôpital car on m’a lancer un sac dans la figure. Et entre temps mon beau père est jamais là il part travailler dans le sud. J’ai 13 ans je me retrouve à m’occuper de mes petits frères car ma mère a lâcher prise. La maison est une poubelle ambulante et j’emmène les petits à l’école et vas les rechercher le soir, je leurs fais à manger les laves, fais faire les devoirs au petit.
On va pas se mentir je commence à déprimer.
Je vie comme ça pendant deux ans et voilà un nouveau beau père ma mère c’est séparer de l’autre. Il a l’air gentil au premier abord il m’achète des cadeaux s’occupe de moi … mais c’était une façade au bout d’un mois j’ai mes premiers attouchements. Il est violent envers Thimo il le frappe et le met à la douche habiller. Merde ou j’ai atterri. Ma mère est enceinte de lui … au bout de 5 mois de grossesse il disparaît. Je me retrouve à devoir m’occuper de 4 enfants (Thimo est partie en foyer entre temps).
Ici c’est un bordel monstre le ménage est jamais fais et je m’en sors plus être mes études, m’occuper d’eux et le reste en plus on m’harcele encore plus même a me menacer de mort avec un couteau.
Javier est placer chez son père mais les petits non. J’ai fini le collège on m’envoie en internat j’avais 14 ans. Bon ça ce passe
Mieux la bas je me fais des amis j’ai plus de harcèlement. Mais je m’en veut les petits sont à la dérive la mère ne gère pas. 3 ans d’internat sont passer les petits grandisse et Javier est revenue chez la mère.
Encore deux ans d’étude et j’aurais tout fini, mais première année mon meilleur amie meurs d’un accident de voiture étant en plein déménagement j’avais pas de connexion je l’ai appris que le dimanche soir alors que c’est arriver le vendredi 27 janvier.
Les petits font n’importe quoi il cassent tout la mère les laisses faire.
J’ai 18 ans et il me reste un an d’étude. Je rencontre une fille en mai, en juillet je vie chez elle a l’autre bout de la France ,je m’en veut encore d’avoir abandonner les petits. Entre temps Thimo c’est la merde il est dans un foyer spécialisé pour enfant difficile mais c’est encore pire il a mis le feu à son école. Et vas plusieurs fois en garde à vue merde je l’ai pas assez aidée ?
Je découvre la vie la bas je sors. Piscine, patinoire, cinéma, je découvre tout ce que je n’ai jamais pus faire auparavant simplement vivre.
On ce sépare, et je fini en dépression, je retourne vivre chez mon grand père je fini mon examen et je sombre dans l’alcool, une bouteille de vodka par jours. Entre temps ma mère je gère plus les enfants, elle a essayer de tuer Mellina … sa propre fille. Les enfants sont placer (ça fais 5 ans maintenant) et moi je les vois plus… l’enfer pour moi j’ai tout donner pour eux même si je m’en veut d’être partie si je l’aurais pas fais il aurais pas été placer. Je fini en hp après deux tentative de suicide. J’y reste 4 mois.
Entre temps j’ai tout donner pour avoir des droit avec les petits et j’ai couper les ponts avec ma mère.
Je rencontre Apo et les droits évolue avec les petits. Je les vois plus et en sortie mais ça conviens pas à la mère et elle arrive à me faire sauter mes droits. Entre temps elle est en couple mais le gars est bizarre. Elle récupère les petits les week end et Thimo fais le gentil avec pour avoir des droits mais ce qu’on c’est pas c’est que le gars est violent insultant et fais des attouchements. Ma mère ne s’occupe pas d’eux ils sont là chez elle mais regarde des série interdit au moins de 18 ans et ne font que jouer au téléphone ou as la console.
Puis le juge est au courant du comportement de la mère et du gars elle perd ses droits. Elle se sépare du gars et bizarrement elle s’occupe de ses gosses. Entre temps je récupère des droits.
Thimo est compliqué il a fais tellement de bêtise. Mais la mère perdant les droits il a perdu les siens aussi, au vue de son casier il a pas le droit d’être en contact avec les petits à ce jour il a plus eu de contact même téléphonique avec les petits ça fais 2 ans bientôt.
La mère récupère des droits et ce remet en couple et rebelote elle ne s’occupe plus des petits et ils l’ont compris. Elle ne les vois qu’une fois semaine en lieu médiatiser et ça la gêne pas elle s’en fou d’eux.
Entre temps je me retrouve à m’occuper d’eux comme à l’époque. Je leurs paye leurs téléphone, des vêtements, je les aides pour l’école, et mentalement voilà 5 ans qu’ils sont en foyer.
En arrivant au foyer Ilyes à protéger Swann et Mellina mais ils ont compris qu’ils resteront au foyer. Ilyes a plus besoin de les protégées mais il commence à relâcher toute la pression de ça et deviens méchant et fais des bêtises au foyer. Le seul qui peut le calmer c’est moi. Mais à chaque fois ça reviens.
Au final en famille proche il me reste papy et les trois petits.
Christophe vie chez son père mais je lui parle plus
Ma mère je lui parle plus
Mon père je lui parle de temps en temps mais que par messages et c’est tout les 6 mois pour des nouvelles
Thimo actuellement je lui parle plus je lui en veut d’avoir lâcher les petits et il fais encore que des bêtises
Javier partie assez loin à Metz
Le reste de la famille habite loin donc il me reste que les trois petits et mon papy. Et ils sont toutes ma vie je les protègerais tjrs coûte que coûte.
Mais avec tout le passée et tout ce que j’ai subit j’en suis souvent fatigué mais je prend sur moi comme tout jusqu’à présent. J’ai attraper une phobie des médecins et hôpitaux. Il est impossible pour moi d’en parler à un psy sans avoir peur de retourner en hp
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