Tumgik
#soldats ukrainiens
Link
"Elle raconte ainsi comment des soldats ukrainiens d’une unité appelée « Anges blancs » (qui rappelle méchamment le nom de l’organisation terroriste pseudo-humanitaire des « Casques blancs » en Syrie) ont emmené de force une enfant de quatre ans, sous les yeux de ses parents qui n’ont rien pu faire face aux armes pointées sur eux. Ces mêmes soldats ukrainiens ont tenté d’enlever Milania à ses grand-parents à plusieurs reprises, allant même jusqu’à prétendre que la mère de la petite avait été tuée par la Russie, alors qu’elle était bien vivante dans une autre ville du Donbass ! Mais comprenant qu’il s’agissait d’un mensonge, les grand-parents et les habitants du quartier ont caché Milania afin de lui éviter de subir le même sort que l’enfant enlevé devant les yeux de ses parents... Au lieu d’accuser Vladimir Poutine de déporter des enfants ukrainiens, la CPI ferait mieux de se pencher sur le vol pur et simple d’enfants du Donbass par les soldats ukrainiens à Bakhmout (et sûrement ailleurs près de la ligne de front), et sur les éventuels trafics dont ils sont les victimes !"
0 notes
randomnameless · 4 months
Text
Encore un autre exemple de "ce que je pense dans le fandom ne reflète pas ce que je pense dans la vraie vie", si dans le fandom en général je préfère les dirigeants qui écoutent leur peuple, dans la vraie vie?
Ben, encore une fois, on a une démonstration que le français est con.
"Vote pour les européennes ok?"
"macron démission"
"Oui mais les européennes?"
"immigration caca. Je donne un coup de pied au derche de tous ces technocrates! Et au fait, Macron démission."
:/
Et c'est marrant de voir tous les députés actuels, nupesiens ou autres, être en pls (sauf pour ceux de la Marine) et a demi-mots critiquer le président parce qu'il organise de nouvelles législatives - ok ils vont perdre leur siège gagné par un lancé de dé particulièrement habile, mais surtout ce qui revient en masse, c'est la peur d'avoir une AN bleu marine
"c'est un pari risqué, les français peuvent être assez cons pour voter pour une assemblée d'extrême droite!"
Certes, on laisse parler le peuple, mais ça me fait penser aux gilets jaunes qui beuglaient pour "abolir le Sénat", gros, c'est justement pour éviter que des abrutis fassent n'importe quoi et élisent de la merde qu'il existe un système bicaméral, au cas où la représentation démocratique "directe" se foire.
D'un côté, ça me fait quand même penser que pour toute aussi décriée qu'elle soit, la 5ème et je pense, les démocraties/constitutions occidentales post 45 ont quand même pensé à ne pas laisser trop de place à la démocratie "directe". C'est sûr qu'on ne laisse pas le français décider et s'exprimer sur tout, mais bon, quand on regarde ce qu'il fait de son expression démocratique, est-ce que c'est fondamentalement une mauvaise chose?
Je mise un kebab sur un taux d'abstention élevée pour le premier tour des législatives, à la fois parce qu'il y aura un match de l'euro de foot, et parce que, ben, c'est le dimanche.
Pareil pour le second tour, sauf qu'il n'y aura peut être plus de foot - mais avec un taux d'abstention bas, on va quand même avoir des abrutis défiler en manif-razzia pour beugler qu'on ne les écoute jamais ou qu'on ne leur donne jamais la parole.
Pour tout aussi, euh, controversée qu'ait été l'émission les Guignols de l'Info, ce qui me manque le plus chez eux, c'était cette franchise à faire passer le français "moyen" pour un con.
5 notes · View notes
cinemajoeposts · 1 year
Video
youtube
UKRAINE le massacre continue
0 notes
Text
Retour sur l'année 2023
Des tremblements de terre meurtriers, une guerre qui s'enlise et une autre qui éclate, le mercure qui s'emballe. Les grands événements de cette année sont pour moi:
1. Émeutes pro-Bolsonaro au Brésil
Tumblr media
8 janvier 2023, des centaines de partisans de l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro ont envahi le Congrès, le palais présidentiel et la Cour suprême à Brasilia, une semaine après l'investiture du président de gauche Lula, dont ils rejettent l'élection.
2. Séisme meurtrier en Turquie et en Syrie
Tumblr media
6 février 2023, un séisme de magnitude 7,8 a fait plus de 50'000 morts en Turquie et en Syrie. Ici la ville de Kahramanmaras, au sud de la Turquie, proche de l'épicentre.
3. Ukraine, une guerre qui s'enlise
Tumblr media
8 mars 2023, un soldat ukrainien s'abrite dans une tranchée près de la ville de Bakhmout lors d'un bombardement. Plus d'un an après le lancement de l'"opération militaire" russe en Ukraine, le conflit s'enlise.
4. La grande peur de la montagne
Tumblr media
4 avril 2023, vue sur le village de Brienz-Brinzauls (GR), menacé par un éboulement. Quelques jours plus tard, les autorités annoncent aux habitants qu'ils doivent se préparer à devoir évacuer.
5. Au Soudan, les habitants fuient le chaos
Tumblr media
1er mai 2023, des réfugiés soudanais entrent au Tchad près de Koufroun. Les combats meurtriers qui ont éclaté mi-avril au Soudan entre l'armée régulière et des paramilitaires ont poussé des centaines de milliers de personnes hors du pays. Plus de 7 millions de personnes ont été déplacées dans le pays depuis le début du conflit, a annoncé l'ONU fin décembre.
6. Canada, une saison en enfer
Tumblr media
10 juin 2023, vue d'une forêt ravagée dans la province du Québec, au Canada. Cette année, le pays a dû affronter la pire saison des feux de forêt de son histoire. La fumée s'est propagée jusqu'à New-York.
7. Températures excessives en été, 37 degrés en juillet
Tumblr media
8. A Hawaï, une ville rasée par les flammes
Tumblr media
11 août 2023, un homme marche entre les carcasses de voitures à Lahaina, Hawaï. De violents incendies ont quasiment rasé toute la ville touristique le 8 août et fait près de 100 morts.
9. Deuil national au Maroc après un séisme
Tumblr media
9 septembre 2023, une femme devant sa maison à Marrakech détruite par un puissant séisme la veille. Le catastrophe qui a frappé le Maroc le 8 septembre a coûté la vie à près de 3000 personnes, selon un bilan officiel publié fin septembre.
10. A Gaza, la guerre est déclarée
Tumblr media
8 octobre 2023, Israël déclare l'état de guerre après une attaque sanglante du Hamas, la veille, qui a fait environ 1140 morts. A Gaza, 21'110 personnes, dont une majorité de civils, ont été tuées par les opérations militaires israéliennes
11. Exode massif des Afghans du Pakistan le Pakistan a donné jusqu'au 1er novembre aux sans-papiers afghans pour quitter le pays volontairement. Ils sont 1,7 million à vivre sur sol pakistanais, estiment les autorités. Beaucoup ont peur de rentrer en Afghanistan, où le gouvernement taliban a imposé son interprétation rigoriste de l'islam, interdisant par exemple aux filles l'accès à l'éducation après l'école primaire
12. ChatGPT a pris le monde d’assaut il y a un an et il est facile de comprendre pourquoi. Le chatbot révolutionnaire d’OpenAI peut effectuer une quantité surprenante de tâches, de la tenue d’une conversation plausible à la rédaction d’un document correctement ponctué
13 notes · View notes
lepartidelamort · 4 months
Text
L’armée française finalise son déploiement en Ukraine
Tumblr media
Nous l’avons hurlé sur tous les toits pendant deux ans, à présent nous y sommes.
Hélas, maintenant que c’est officiel, il ne se produit rien. La plèbe française marche à l’abîme comme un somnambule.
RFI :
Les lignes bougent vite en Ukraine et les dernières réticences occidentales tombent les unes après les autres. Après l’autorisation de frapper le territoire russe avec des armes occidentales, la seconde ligne rouge qui pourrait prochainement voler en éclat concerne l’envoi de soldats occidentaux sur le sol Ukrainien. Emmanuel Macron pourrait en faire l’annonce le 6 juin, à l’occasion des cérémonies du débarquement et en présence du président ukrainien Volodymyr Zelensky. L’idée fait son chemin et semble même très avancée. Le 20 mai, le général Thierry Burkhard, chef d’état-major des armées françaises, était à Kiev. Une semaine plus tard, le commandant en chef des forces armées ukrainiennes Alexandre Syrski a possiblement vendu la mèche en annonçant avoir déjà signé les documents qui permettront aux militaires français de visiter les centres de formations ukrainiens. « La formation sur le sol ukrainien fait partie des chantiers discutés », se contente de dire le ministère des Armées à Paris. Mais l’hypothèse d’instructeurs français en Ukraine prend corps, analyse Elie Tenenbaum, directeur de recherche à l’Institut français des relations internationales : « Il ne s’agit pas pour l’instant, dans ce qui circule, de troupes de combat. Il ne s’agit pas d’opérations de combat à mener en Ukraine. Il s’agit de personnels militaires qui prolongeraient la formation qui est donnée aux soldats ukrainiens. Et il s’agirait ici, de prolonger, du côté ukrainien de la frontière, cette formation. Sachant que ça permettrait aux Ukrainiens de gagner du temps, le temps de déplacement, de s’approprier les enjeux immédiats du terrain, et cetera. »
Tumblr media
Elie Tenenbaum aime la guerre, il est également juif, comme Zelensky
Reste à définir le cadre permettant ce déploiement, car là encore tout le monde n’est pas sur la même longueur d’onde, rappelle Elie Tenenbaum : « On imagine plus difficilement un déploiement sous un format Eumam [La mission d’assistance militaire de l’Union européenne en soutien à l’Ukraine, est une opération de l’Union européenne décidée dans le cadre de la politique étrangère et de sécurité commune, NDLR] de l’Union européenne par exemple, parce qu’on sait qu’il y a certains pays pour lesquels cette option n’est pas acceptable, dont l’Allemagne. Donc un format ad hoc avec une coalition de pays volontaires dont la France. Mais on sait qu’il en existe d’autres, la République tchèque, la Pologne, sans doute plusieurs pays baltes, au moins l’Estonie. On pourrait imaginer un cadre strictement ad hoc avec une nation cadre coordinatrice de l’effort mis en place. » La France pourrait prendre la tête de cette coalition d’Instructeurs pour l’Ukraine et pourrait l’annoncer dès la semaine prochaine lors du D-day, pensent certains. Il y aurait d’abord une mission d’évaluation, disent des diplomates français cités par le journal Le Monde, avant d’envoyer plusieurs centaines d’instructeurs, essentiellement pour des missions de maintenance des matériels fournis à l’Ukraine, pointe le spécialiste de l’armement Léo Péria-Peigné, chercheur à l’Ifri : « L’intérêt d’envoyer des formateurs en Ukraine, il est limité. Déjà, on les mettra sur un pan restreint du territoire parce qu’on ne peut pas les approcher trop près du front. On ne pourra pas leur faire organiser de grandes opérations d’entraînement à ciel ouvert parce qu’il faut quand même éviter de prendre une munition russe. Donc, c’est assez contraint. Il y aura probablement du déminage, des opérations de maintenance, de l’apprentissage du commandement, autant d’éléments qui peuvent se faire en intérieur. Maintenant, ce qui va être intéressant, c’est voir ça comme un premier pas, est-ce que ça peut dériver sur autre chose, une fois qu’on aura le pied là-bas. » Et une question reste en suspens, rappelle Elie Tenenbaum, quelle serait la réaction de Moscou à l’arrivée en Ukraine d’instructeurs occidentaux ? « Tout est possible. La Russie pourrait décider de laisser passer, comme elle a laissé passer, le soutien en matériel jusqu’à présent, en sachant que c’est une démonstration de la solidarité vis-à-vis de l’Ukraine. Et ça n’aurait pas forcément un impact immédiat sur le terrain et sur le rapport de force entre la Russie et l’Ukraine. La Russie pourrait finalement décider de l’accepter. Elle pourrait aussi décider de marquer le coup avec des actions hostiles et des frappes, avec des tentatives de déstabilisation. Et là, bien évidemment, il faudrait voir quelles sont les réponses qui peuvent être envisagées. Je pense qu’on y travaille d’ores et déjà avec nos alliés et avec nos partenaires ukrainiens. » La présence de soldats occidentaux sur le sol ukrainien pourrait-elle être interprétée comme une cobelligérance ? L’Estonie, favorable à l’initiative, assure qu’il n’y a dans cette démarche, rien d’escalatoire.
Tout est soigneusement mis en place et ce n’est même pas un secret. Ces quelques centaines « d’instructeurs » sont un appât, aussi bien pour la Russie que pour l’opinion publique française. Le but est d’en faire tuer un certain nombre par les Russes pour justifier l’intervention ultérieure des troupes de l’OTAN.
Au premier soldat français tué, le système saturera l’espace médiatique d’appels patriotards et menacera d’arrêter quiconque fait mine de ne pas soutenir l’entrée en guerre.
L’infrastructure de contrôle mise en place lors du Covid va être utilisée pour surveiller tout le territoire, faire appliquer un couvre-feu, restreindre les activités de la population, surtout politiques, et procéder à des arrestations administratives d’opposants.
L’autre avantage, c’est que Macron pourra se maintenir au pouvoir indéfiniment. Il suffit de regarder l’état de la dette française pour comprendre que la guerre est le moyen pour Macron et la caste dirigeante qu’il représente de se maintenir au pouvoir.
Les juifs de BlackRock n’ont pas investi pour rien en Ukraine. Il n’y a pas de retour en arrière possible.
youtube
Démocratie Participative
6 notes · View notes
aurevoirmonty · 7 months
Text
Tumblr media
« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française.
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
Tumblr media
Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
Tumblr media
Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’été.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
Tumblr media
De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
📌 CYBER – Des nouvelles cyberattaque pro-russes contre la France Avec @emiliebrouss, @ericbrunet et @cyberguerre C’est en ce moment sur #LCI #La26 ⤵️ pic.twitter.com/anUTXNa6wZ — LCI (@LCI) March 11, 2024
Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
Démocratie Participative
6 notes · View notes
jloisse · 1 month
Text
Gros malaise sur LCI. Un soldat ukrainien porte le casque teuton avec le sigle SS. La journaliste: "Ce sont des nazis qui sont dans l'armée ukrainienne. Ce serait bien qu'ils enlèvent le casque."
2 notes · View notes
lemoucheur · 4 months
Video
youtube
SOLDATS UKRAINIENS : "ON N'A PAS ENCORE INVENTÉ DES CLONES COMME DANS ST...
2 notes · View notes
claudehenrion · 7 months
Text
Retour sur images
Ah ! Il s'en passe, des choses dans notre république sourde, aveugle, et liberticide et dans notre démocratie redéfinie (l'ancienne ''volonté du peuple'' y a été remplacée par ''ce qui est décidé-- on ne sait par qui-- comme étant le bien'' !). Pendant les vacances qui se terminent, de panthéonisations inexpliquées (Macron doit adorer se promener rue Soufflot !) en promesses faites pour ne pas être tenues, et de dépenses folles sans''retour sur investissement'' en discours sans contenu... on a ouvert la boite du désespoir des braves gens.
Mises à part des dépenses insensées dans des conflits qui ne nous regardent absolument pas et où nous n'avons rien à gagner, mais tout à perdre et des coups à prendre... un bel exemple de trucs à ne pas faire et à ne pas dire est lié à la gestion déplorable de l'Etat et de ses finances. Profitant des vacances scolaires, notre étincelant Sinistre des finances, le fringant Bruno Le Maire, a arboré son regard de merlan frit et pris une voix jugée ''de circonstance'' par ses cons-seillers en ''Comm'' pour nous annoncer le grand virage, attendu depuis bientôt sept trop longues années : on va se serrer la ceinture. Enfin... un peu ! Faut pas exagérer, quand même !
Et là, la France (''La France outragée ! La France brisée ! La France martyrisée ! Mais la France pas du tout libérée'' –pour paraphraser De Gaulle !) a eu droit au bonheur masochiste de discours surréalistes, où chaque mot valait son pesant de cacahuètes. O français, mes frères, nos dirigeants (ça doit être vrai : c'est eux qui le disent !) ont compris le message qu'on hurle depuis 7 ans : ''Assez de gabegie, assez de dépenses inconsidérées, assez de ''pognon dingue'' (ça, c'est Macron qui le dit) jeté par les fenêtres. L'Etat vit très au dessus de ses moyens ? On va en tirer les conséquences, et vous allez voir ce que vous allez voir...''.
D'abord, on va faire 10 milliards d'économies ''sans que les citoyens ne soient impactés'' (NB : 'faudra m'expliquer comment c'est possible, et pourquoi ne pas l'avoir fait plus tôt ?). Et pour un pauvre français condamné à vivre avec le peu que l'Etat le plus ''con-Fisc-ateur'' du monde lui laisse en fin de mois, le chiffre paraît digne de ''Aouaaah !'' d'admiration. En fait, il s'agit de à peine 0,4 du PIB et 0,8 des dépenses de l'Etat... soit l'épaisseur du trait en bas de l'addition : à peine visible ! Nous sommes loin de la révolution annoncée : c'est juste un petit ''coup de rabot'', comme nos gouvernants nous ont habitués à les entendre les évoquer : des effets d'annonce, mais rien de bien significatif. Et en plus, ces soi-disant ''10 milliards d'économies'' ont déjà été bouffés et bien au delà, par les générosités insensées de Macron envers l'Ukraine --en attendant le sang de nos soldats, qu'il vient de promettre, follement : le montant soi-disant promis est 13 milliards, dont 3 nouveaux, sortis hier du chapeau du mystificateur.... C'est se foutre de la g... des gens : pas une seule des subventions à des trucs néfastes n'est touchée, et les paysans peuvent crever : les ukrainiens d'abord... C'est une honte !
Avec le fléchissement de la croissance qu'il subit sans l'avoir vu arriver (comme tout le reste !), l'Etat nous prépare à un ''jeûne intermittent'' –comme chaque fois qu'un ''Standard and Poors'' quelconque menace de nous dégrader... Mais plus question d'une diminution du nombre des ''ponctionnaires'', ni de la privatisation partielle d'une partie des 52 milliards d'€uros de ces participations que l'Etat gère si mal, ni des aides indues à des pays et des organismes qui nous haïssent, ni... ni... ni... . Il faudra nous contenter de patauger sans solution dans notre ''cinquième année consécutive de déficit extrême'' --dixit Thomas Cazenave, le nouvel inconnu en charge du ministère du Budget, qui précise même : ''les dépenses de l'Etat s'élevaient à 320 milliards d'€uros en 2019 et à plus de 400 milliards fin 2023''. L'ancien DG d'une très grosse boite que j'ai été aurait dû déposer son bilan pour bien moins que ça !
Mais notre Etat, à la fois obèse et famélique (ce qui est un comble !), semble se vautrer dans les faux délices de Capoue-Bruxelles : il passe à côté de 100% des vrais problèmes qui se posent à lui pour se con-centrer (faute d'orthographe encore plus volontaire que les autres !) sur des absurdités qui ne peuvent être de son ressort en aucun cas : 'il se met à s'occuper, à grands frais et à grands coups d'usines-à-gaz injustifiées, de la réparation de nos presse-jus et de nos robots Thermomix ou, pire encore, du ressemelage de nos chaussures... en même temps qu'il veut empêcher Poutine de faire ce qu'il a déjà fait : gagner ! L'expression ''se foutre de la gueule des gens'' est trop faible pour décrire le ridicule dans lequel une bande de pantins inexistants et prétentieux nous condamne à plonger...
C'est tout un mode de raisonnement –celui qui a prévalu en 1945-- qui est à revoir de fond en comble. Nos références sont périmées, nos systèmes ne peuvent mener qu'à des catastrophes en série, et notre logiciel ne peut plus s'adapter aux anciens softwares sur lesquels on persiste à vouloir le faire fonctionner. La mode est donc de raconter n'importe quoi, sans plus le moindre rapport avec quelque réalité que ce soit. Et notre personnel politique semble être le dernier groupe humain à comprendre ce qui se passe... dont il est pourtant coresponsable.
La seule condition pour que les populations retrouvent équilibre, santé et joie de vivre, serait que nos nuls, dont l'entêtement à se tromper systématiquement sur tout frôle le crime, abandonnent enfin (mais définitivement) les trois ''principes'' sur lesquels repose leur anti-système mortel : leur stupide mondialisation (qui ne peut pas marcher, jamais, et c'est tant mieux), leur soi-disant Europe anthropophage (qui est tout aussi létale) et leur maudite ''transition écologique'' (qui ne correspond à aucun besoin réel, tels qu'ils la rêvent). Mais... autant demander à Macron de se couper un bras... ou les deux, et la tête, en plus ! Nous en reparlons demain, c'est promis.
Comme c'est depuis hier le cas pour l'Ukraine, l'aveuglement présidentiel risque de nous entraîner dans des tourmentes inconnues. Et un risque que nul n'a vu venir se profile à l'horizon  : en prétendant voir dans le Rassemblement National le seul danger pour ''la démocratie'' --Rappel : qui ne désigne désormais qu'une conformité avec les (mauvaises) idées à la mode du jour... au lieu d'être un régime politique dans lequel tous les citoyens participent aux décisions-- , ils sont en train de s'inventer une fausse légitimité à s'opposer, fut-ce par la force, à tout résultat des urnes qui leur serait défavorable : ''l'arc républicain'' qui exclut le RN est une menace terrible, cousue de fil blanc. Mais il ne faut pas compter sur la Presse ''main stream'' pour nous en parler !
Leur argumentation est claire : ''Dans le cas (NB -très probable, à ce jour) d'une victoire non conforme à leur pensée dite correcte, il faut être prêt à sauver le peuple en s'opposant ''quoi qu'il en coûte'' à une décision prise dans les urnes par des citoyens ''désinformés –sic'', le tout au nom de leur fausse démocratie idéologique. Certains vont penser que je me prends pour un ''complotiste'' ? Peut-être, si cela veut dire ''voir un obstacle avant qu'il ne vous frappe''... A moins d'un changement radical, ce dispositif se met en place subrepticement, et ils nous referont le coup du ''On ne savait pas'' !
Ces vacances ont permis une jolie moisson de vilenies ! Et ce soir, si notre ''le plus jeune ceci et cela'' mène sa guéguerre à lui, contre Poutine, avec ses 25 000 combattants sous-équipés (on a fait cadeau de tout notre ''matos'' aux ukrainiens !), tout seul comme un grand... qu'il ne sera décidément jamais (Il faut voir la tête des adultes devant qui il a énoncé cette incongruité), et alors qu'il ne se peut pas qu'il n'y ait déjà bon nombre de militaires de l'Otan sur le sol ukrainien (dont les durs à cuire de notre ''Service Action''!), on est en droit de se demander à quoi pense notre Président, quand il profère de telles énormités ?
H-Cl.
2 notes · View notes
carbone14 · 2 years
Photo
Tumblr media
Des prisonniers de guerre soviétiques sont utilisés par les nazis pour recouvrir le charnier de Babi Yar - Ukraine - 1er octobre 1941
Photographe : Johannes Hähle
Dans le cadre de l'Opération Barbarossa, Kiev est conquise par la Wehrmacht le 19 septembre 1941. La ville est piégée de plus d'une dizaine de milliers de charges explosives et de mines actionnées par un commando du NKVD resté sur place. Le déluge de feu du 24 septembre fit des milliers de morts parmi les troupes allemandes.
Les juifs sont tenus pour responsables du chaos et le 28 septembre, un communiqué de l'administration nazie ordonne à tous les Juifs de Kiev et des environs (environ 120.000) de se présenter le lendemain, jour de Yom Kippour, munis de leurs papiers d’identité, d’argent, de leurs objets de valeurs, ainsi que de vêtements chauds, de linge, etc...
Le 29 septembre ils furent conduits au ravin de Babi Yar près de Kiev. Le ravin fait 150 mètres de longueur, 30 mètres de largeur et 15 mètres de profondeur. Les juifs traversent un corridor d'environ 1,5 mètre de large formé de soldats au coude à coude et de chiens, roués de coups de matraque et de bâton, puis forcés à se déshabiller et conduits au bord du ravin pour y être exécutés par les membres des Einsatzgruppen et des Ukrainiens nationalistes.
Environ 22.000 personnes sont tuées dès le premier jour, plus de 11.000 le deuxième jour. Les corps sont ensuite recouverts de terre par des prisonniers de guerre soviétiques. Jamais les nazis n'ont exterminés autant de monde en si peu de temps même dans les camps de concentration. Le massacre de Babi Yar est la plus grande extermination de juifs par balles : c'est la Shoah ukrainienne par balles.
Durant les deux années qui suivirent, près de 140.000 juifs, polonais, tsiganes, opposants aux nazis, malades mentaux, prisonniers de guerre, furent exécutés à la mitrailleuse ou enterrés vivants.
En août et septembre 1943, devant l'avancée des troupes russes, Paul Blobel à la tête du Kommando 1005 fait exhumer les corps pour les brûler et les faire ainsi disparaître.
Les autorités soviétiques ont effacé cette tragédie. La souffrance juive ne devait pas occulter la souffrance du peuple soviétique et le récit de la grande guerre patriotique. Le site a été remblayé dans les années 60 et accueille désormais un quartier résidentiel.
9 notes · View notes
teritelnirbenothing · 2 years
Link
0 notes
malevolat · 1 year
Text
le conflit ukrainien irrore la toile de vidéos froides de soldats abattant d’autres soldats rien de comparable en horreur gratuite de ce que l’on voyait sur le théâtre syrien. cette guerre recèle d’exactions mais rien de barbares, contredisez moi, je n’ai pas vu d’enfants traînés sur des kilomètres à l’arrière de voiture, ni d’hommes aux os disloqués afin d’être transporté ( dans quel but ? ) par pure cruauté. Guerre fratricide contre guerre ethnique en Orient.
2 notes · View notes
oanthore · 1 year
Text
youtube
Yarmak - Ragnarok
Difficile de savoir à cette heure ce qu'il se passe vraiment sur le front en Ukraine. Une chose est certaine : les soldats ukrainiens ont commencés à avancer sur les lignes moscovites.
C'est la fleur de la jeunesse ukrainienne qui s'expose ainsi. Beaucoup vont mourir et ils le savent.
Mais ils savent ce que veut dire la défaite : Marioupol, Butcha et Irpin leur ont appris.
Et ils savent que seuls ceux qui se rendent ont déjà perdu.
Слава Україні!
2 notes · View notes
Text
Tumblr media
En Ukraine, une guerre terne
Par Israël Shamir
La guerre a été principalement terne, avec peu de mouvement. Une guerre de tranchées comme lors de la première guerre mondiale. La grande erreur a été commise au début, lorsque la Russie a essayé de s’emparer d’un pays de 40 millions d’habitants avec quelques soldats à peine. Le chef des services de renseignement russes, M. Naryshkin, a récemment admis que la Russie ne disposait d’aucun renseignement fiable sur l’Ukraine. Pendant de nombreuses années, depuis 1991, les services de renseignement russes n’avaient pas suivi l’évolution de la situation en Ukraine. La Russie est donc entrée en guerre, en espérant que les Ukrainiens accueilleraient leurs soldats avec des fleurs. Cela s’est terminé par une grande retraite des troupes russes. Poutine pensait pouvoir passer un accord avec Kiev, mais il s’avère que l’Ukraine signe des accords un jour et les renie le lendemain. Les choses ont donc continué ainsi, jusqu’à ce que, six mois plus tard, l’armée russe commence à mobiliser ses réserves.
Il n’y a pas eu que du ratage : La Russie a connu de bons et de mauvais moments dans son combat contre l’Ukraine. La prise de Marioupol, sur la côte de la mer d’Azov, a été un bon moment. Un mauvais moment, en revanche, a été la retraite de Kharkov. L’accord sur les céréales et le retrait de l’île des Serpents ont été des moments de stupidité. Les moments de trouble grave ont été l’explosion des gazoducs réalisé par les marines américains et britanniques et l’assassinat de Daria Douguine. Nous vivons un moment de vérité, avec la critique des chefs militaires, qui comporte des appels au suicide du ministre de la défense. Les gens sont mécontents de la façon dont l’armée russe agit. L’explosion sur le pont de Crimée a exacerbé ce sentiment.
Et c’est à ce moment-là que Poutine a appelé le général Sourovikien à prendre en charge la guerre en Ukraine. Sourovikine est un général populaire qui a commandé l’opération syrienne et il a été surnommé “Général Armageddon” pour des raisons évidentes. Et le général Armageddon a fait ce que le peuple voulait : il a lancé des dizaines de missiles de croisière sur les villes ukrainiennes. Kiev a été attaquée pour la première fois ; l’électricité a été coupée dans de nombreux endroits, y compris à Kharkov. Jusqu’à présent, Poutine prenait soin de l’infrastructure ukrainienne comme si c’était son bien. Aujourd’hui, cela a changé. Une chose se maintient : les Russes essaient de préserver les civils, par opposition aux militaires ukrainiens qui ne se gênent pas pour les massacrer.
La guerre a commencé parce que depuis le coup d’État de 2014, les Ukrainiens bombardaient régulièrement le Donbass, une région à majorité russe située au sud-est du pays. Poutine a tenté de résoudre le conflit par l’accord de Minsk, qui promettait un Donbass autonome au sein de l’Ukraine fédérale. Les Ukrainiens ont signé l’accord de Minsk mais n’avaient aucune intention d’en respecter les articles. Ils ont tué des milliers d’habitants du Donbass, principalement en bombardant leurs magasins, leurs écoles et même leurs rues. Les nationalistes du bataillon Azov étaient particulièrement féroces envers les habitants du Donbass. Lorsque les troupes russes sont venues aider le Donbass en février de cette année, les combattants d’Azov se sont retirés dans les vastes galeries souterraines de l’aciérie de Marioupol.
Ils se sont toutefois rendus assez rapidement : être enfermé dans des cavernes n’est pas très réjouissant, même s’ils avaient de la nourriture et de l’eau. Quelque deux mille combattants sont partis en captivité. Les habitants du Donbass voulaient les envoyer devant un tribunal avec des mercenaires étrangers. Mais Moscou a passé outre et ils ont été échangés contre des prisonniers de guerre russes et, chose bien ennuyeuse, contre un politicien de l’opposition. Certains prisonniers de guerre d’Azov ont été tués par le bombardement du camp de prisonniers par Kiev : ils avaient apparemment commencé à révéler des vérités dérangeantes sur leurs actions. Les combattants d’Azov échangés ont été transportés par un oligarque, le juif russe Roman Abramovitch, dans son jet privé vers les Émirats arabes unis. Cela a également contrarié la population, qui aurait largement préféré qu’ils soient jugés.
Les Russes patriotes étaient assez mécontents de la façon dont la guerre était menée. Ils estimaient que les commandants russes étaient trop tendres avec l’Ukraine alors que les Ukrainiens continuaient à bombarder le Donbass. Les écrivains et les artistes russes ont souvent soutenu l’Ukraine. À Moscou, on collectait de l’argent pour l’Ukraine, pas pour l’armée russe. Aujourd’hui, le blitz du général Armageddon a changé ce sentiment, mais l’Ukraine a toujours de nombreux partisans en Russie dans les milieux pro-occidentaux. Cela ne devrait pas changer de sitôt : 30 ans de politique pro-occidentale ne peuvent être défaits en un instant. La frustration est grande, car le Donbass toujours bombardé tandis que Kiev restait intacte.
Il semble que Poutine mette la pédale douce dans sa campagne: il espère encore des changements positifs après les élections américaines de mi-mandat, et garder le tiers-monde de son côté. Le temps nous dira si cet espoir est raisonnable. Les grands médias occidentaux battent le rappel pour l’Ukraine. Les Russes tués sont présentés comme des victimes du nettoyage ethnique russe, comme à Boucha et Izium. L’accord sur les céréales avait été conclu uniquement parce que les médias vociféraient sur la famine en Afrique. Ce fut un flop : seuls 2 % du blé sont allés aux pays pauvres, le reste allant à l’UE. Les Russes ont également cédé l’île des Serpents, qui aurait été une base parfaite pour lancer une opération de débarquement à Odessa.
L’élite ukrainienne reçoit beaucoup d’argent, ainsi que des contacts de haut niveau et des encouragements. Mme Zelensky a été invitée à boire et à manger par SAR la Princesse de Galles. Ces gens-là ne vont pas aimer la paix et se voir relégués dans l’obscurité. Les désirs de Poutine n’ont plus rien à voir avec la situation actuelle, car le gros client de l’Ukraine, ce sont les États-Unis et le Royaume-Uni, et la guerre leur profite. La guerre est payée par l’Europe, et ce sont les États-Unis qui en tirent des bénéfices. Aujourd’hui, les États-Unis vendent du gaz liquéfié quatre fois plus cher que le prix russe, et ce sont les Européens qui paient.
Bien sûr, le peuple ukrainien en fait les frais ; ils souffrent sous les missiles russes. Mais les États-Unis s’en moquent. Pour eux, c’est rentable. Les industries allemandes vont probablement disparaître : c’est encore mieux pour les États-Unis. Ils espèrent qu’elles se délocaliseront aux États-Unis.
Il ne fait aucun doute que les gazoducs russes ont été sectionnés par un sabotage américano-britannique. Des sources russes désignent même le responsable (le lieutenant Chris Bianchi). Nous apprenons maintenant que l’OTAN avait essayé de bombarder les gazoducs en 2015 une première fois, mais ils avaient été appréhendés. Ce n’est que maintenant que cela se sait. Hélas, la Suède ne veut pas permettre à la Russie d’accéder au site de l’explosion ; elle ne veut pas non plus partager les résultats de son enquête. Les terroristes ont salopé le boulot : ils ont laissé un pipeline intact, de sorte que les Russes et les Allemands peuvent recommencer à pomper du gaz immédiatement, à condition qu’il y ait une volonté politique en ce sens. Mais il n’est pas certain que les Allemands aient une volonté politique autre que celle de se conformer aux souhaits des États-Unis.
Le parti de la guerre des États-Unis est très fort et les Russes n’ont aucune chance de le vaincre. Mais cela ne signifie pas qu’une guerre nucléaire soit inévitable. Ni le président américain ni celui de la Fédération de Russie ne la souhaitent. Il est probable que la guerre conventionnelle se poursuivra sans franchir le seuil nucléaire. L’accord de paix ne répondra probablement pas aux attentes des deux parties, mais les Russes ne sont pas disposés à conclure un autre accord de Minsk juste pour se faire rouler dans la farine par Kiev.
La Russie et les sanctions
Les principales armes des États-Unis et de l’Union européenne contre la Russie sont les sanctions et le rideau de fer. Si les sanctions n’ont que peu entamé le tissu de la société russe, ce n’est pas le cas du rideau de fer. C’est douloureux et pesant. Au cours des 30 dernières années, les Russes se sont habitués à voyager en Europe. Maintenant, ils doivent changer leurs habitudes. Certes, les Russes peuvent aller en Turquie et en Israël, en Inde et en Amérique latine, mais l’Europe était toute proche et amicale. Aujourd’hui, il est difficile de s’y rendre : en général, ils peuvent le faire en prenant un vol pour Istanbul, mais pour un prix beaucoup plus élevé. C’est particulièrement pénible pour les Russes aisés : ils avaient l’habitude d’aller passer leurs week-ends à Paris et à Londres ; c’est bien fini…
Les sanctions sont probablement dérangeantes pour les hommes d’affaires, mais les gens ordinaires en pâtissent moins en Russie qu’en Europe. La viande est bonne et abondante ; le gaz est bon marché ; le théâtre est bon et peu coûteux. On peut écouter l’intégralité de l’Anneau des Nibelungen (quatre opéras extra-longs) pour cent dollars.
L’inflation existe en Russie, comme partout ailleurs. Mais il n’y a pas de folie verte, ni de délire du genre. Il n’y a pas d’enseignement ou de chants patriotiques. La Russie est assez progressiste, mais pas trop. Les églises sont ouvertes et pleines de fidèles. En fait, la vie est normale. Peut-être trop normale pour un pays dont la ligne de front vient de s’effondrer par manque de soldats.
La mobilisation est venue corriger cette carence. Pour la première fois en 80 ans, les Russes se mobilisent, et cela ne s’est pas bien passé. Les volontaires sont refusés, tandis que des malades et des personnes âgées sont enrôlés. Beaucoup de pro-occidentaux relativement jeunes se sont enfuis en Géorgie et en Israël, où il n’y a pas besoin de visas. Mais malgré tout, le nombre nécessaire de personnes a été enrôlé. Dans deux mois, l’armée russe aura assez de soldats pour tenir la ligne de front.
En attendant, elle doit faire face au terrorisme. L’explosion du pont de Crimée a fait l’objet d’une enquête. Il s’est avéré que les explosifs ont été envoyés hors d’Ukraine par un bateau ostensiblement chargé de blé, conformément à l’accord sur le blé. La cargaison mortelle est passée par la Bulgarie et la Géorgie pour rejoindre la Russie. Les services de sécurité russes viennent d’arrêter les Ukrainiens qui avaient fait passer en fraude deux missiles anti-aériens Igla avec leurs lanceurs via l’Estonie. Ils prévoyaient d’abattre des avions civils en Russie. L’Estonie a été impliquée dans le meurtre de Daria, la jeune russe fille du philosophe Alexander Douguine, dans les environs de Moscou. Le ministre estonien a félicité l’Ukraine pour l’attentat terroriste sur le pont de Crimée. La Lituanie a tenté d’empêcher l’accès des Russes à son enclave en Prusse orientale. Bref, l’Ukraine n’est pas seule, et la Russie a beaucoup de sympathisants neutres, mais peu d’alliés.
Bref, la guerre continue…
7 notes · View notes
Text
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est arrivé lundi soir 10 juin 2024 à Berlin, où il rencontrera le chancelier Olaf Scholz. I arrived in Germany to participate in the Ukraine Recovery Conference and to hold talks with Federal Chancellor Olaf Scholz. Will bring together governments, ten of them at the level of prime ministers, as well as companies and organizations, to help Ukraine.
Tumblr media
Zelensky doit en outre participer mardi et mercredi à Berlin à une Conférence pour la reconstruction de l'Ukraine, qui réunit les représentants des gouvernements et du secteur privé, dont dix Premiers ministres. Des solutions urgentes pour le secteur ukrainien de l'énergie seront notre première priorité, a affirmé le président ukrainien. Je rencontrerai également le président fédéral Frank-Walter Steinmeier et le président du Bundestag Bärbel Bas, et je visiterai une base militaire où nos soldats s'entraînent
2 notes · View notes
lepartidelamort · 7 months
Text
« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française
Tumblr media
Mourir sous les ordres d’une fiotte, ça donne le vertige
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
Tumblr media
Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
Tumblr media
Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’été.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
Tumblr media
Stupides goyim !
De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
Tumblr media
Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
2 notes · View notes