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#soeurs grises
if-you-fan-a-fire · 1 year
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"AU CONGRES DES AVEUGLES CANADIENS FRANÇAIS," La Presse. July 11, 1933. Page 12. ---- Groupe de dignitaires de l'Association canadienne-française des aveugles photographiés, hier, à l'asile Nazareth, où avait lieu le premier grand congrès des aveugles depuis que l'institution est établie dans son nouveau local, chemin de la Reine-Marie, non loin de l'oratoire Saint-Joseph. Ce congrès, qui réunit deux cents anciens élèves, précédé d'une retraite fermée préchée par le R. P. Lucien Teasdale, S.J., s'est terminé par la fondation d'ane amicale. On voit ici, ler rang, de gauche à droite, Mile Albertine Roussel, fondatrice de l'Ecole modèle de musique: M. l'abbé Georges-Henri Dugal, aumônier de l'Association canadienne-française des avengles; M. Joseph Beaubien, maire d'Ou fremont, président général et doyen des anciens élèves: M. Joseph Lamoureux, président; Mile Elisabeth Vallée, 79 ans, doyenne d'age: Mile Margaret McCarthy, 77 ans doyenne des anciennes élèves; en arrière, MM. Philippe Mercier, professeur d'ar cordeurs; Louis-Philippe Lainesse, avocat: Edmond Sabourin, de Mont-Laurier; Wilfrid Brazeau, J.-W. Allard, président du conseil; J.-A. Globensky, trésorier: Etienne Guillet, organiste de Saint-Jean, P.Q. Armand Pellerin, organiste de Sainte-Cécile: Miles Héloise et Basiline Cusson, MM. Hervé Cloutier, organiste du Gesu: Gabriel Cusson, compositeur du nouvel oratorio "Jonathan": Charles Naegelé, courtier en assurance, secrétaire-archiviste: Paul Doyon, organiste à Notre-Dame de Grace. (Cliche In "Presse".)
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lonesomemao · 2 months
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ON VEUT TUER MA SOEUR ANNE
Un parti républicain
Américain
Après 1945
Se met en zone grise
Sudiste il se fascise
Dos Passos en idéologue opérant
Un trotskysme se grise
Empire rouge schizo bureaucratique
Obsédé par le Front Unique Ouvrier
Le stalinisme faisant tout pour l'ignorer
De grands écrivains anglo-saxons
Permettent de visionner par la science-fiction
Des empires galactiques
L'ennemi en définitive
Un trop technologique
L'homme asservi à la machine
Mai non une IA
Mai une intelligence féminine
Qui à partir d'un parti communiste cybernétique
Androgyne de lumière
Sécurise un trotskysme Américain révolutionnaire
Mardi 6 août 2024
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christophe76460 · 9 months
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LE TRICOT"2024
La vie, c'est comme un tricot.
Dieu te donne la laine et les aiguilles
et Il te dit:
"Tricote de ton mieux, une maille à la fois!"
Une maille, c'est une journée sur l'aiguille du temps.
Tu montes 30 ou 31 mailles.
Après douze rangs de tricot,
tu as 365 mailles
Quelques-unes sont tricotées à l'endroit,
d'autres à l'envers
Il y a aussi des mailles échappées
mais tu peux les reprendre.
Tu as peut-être déjà plus de
1500 mailles et 500 rangs de tricotés!
Mais Dieu seul sait,
quelle sera la longueur de ta vie!
La laine que le Seigneur te donne
pour tricoter ta vie,
est de toutes les couleurs:
Rose comme tes joies,
Noire comme tes peines,
Grise comme tes doutes,
Verte comme tes espérances,
Rouge comme tes amours et tes amitiés,
Bleue comme tes désirs,
Blanche comme ton don total
au Dieu que tu aimes!
Père, donne-moi le courage de
terminer mon "tricot"
afin qu'un jour, devant mes
frères et soeurs,
je te l'offre avec toute ma joie.
Bonne Année 2024
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my--wonderland · 1 year
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Une soirée mondaine.
Le manoir Ceasy se dressait sur une petite colline, encerclée d'une petite forêt à gauche, et d'un lac à droite. Il était protégé d'un portail imposant, d'un métal noir rehaussé de doré aux extrémités, taillées en pointes, orné du blason et de la devise de la famille, qui scellaient les deux battants. La bâtisse en elle-même était majestueuse. Sa couleur grise, à l'image de la couleur d'iris que privilégiaient les Ceasy, se fondait presque dans l'obscurité nocturne. Les étoiles s'allumaient une par une dans le ciel, de même que les lumières aux fenêtres du manoir. Depuis une semaine, il était en effervescence : les hôtes se préparaient à recevoir, lors d'un bal, en plus de l'aristocratie anglaise, les Samos, une famille grecque de Sang-Pur très puissante et influente. Les parents respectifs de Marcus Ceasy et Laurane Samos préparaient leur union. Ce bal serait l'occasion pour eux de se rencontrer et de se fiancer, en une seule soirée. Bien sûr, il n'avaient pas le choix.
Les Samos arrivèrent à dix-neuf heures tapantes. Après un dîner entre Samos et Ceasy, le reste des invités arriva pour le bal. Bientôt, dans l'immense salle de réception, décorée au millimètre près dans la pure tradition anglaise sorcière, commença la soirée. Un piano ensorcelé jouait des valses, sur lesquelles des couples dansaient de manière parfaitement synchronisés. D'autres préféraient s'intéresser au buffet, et un groupe d'hommes jouait au poker autour d'une table. Parmi eux, Philippe Ceasy, le petit frère de Marcus.
Marcus Ceasy, justement, était en train de danser avec sa promise. Depuis leur rencontre, au dîner, ils échangeaient peu, mais toujours de manière polie, distante et distinguée. Marcus était un parfait aristocrate : charmant, éloquent, élégant, intelligent, mais également d'accord avec les idées extrémistes de ses parents, qu'il cherchait à rendre fier à n'importe quel prix - même épouser une inconnue. Brun aux yeux gris métallique, il avait la posture d'un dandy et portait un costume sur mesure, de teintes noir et bleu nuit. Une main posée sur la taille fine de Laurane, l'autre enlaçant les doigts de sa fiancée, il esquissait les pas de danse à la perfection, mais sans âme, s'efforçant de faire la conversation.
Laurane Samos était une jolie jeune femme, aux cheveux bruns ondulés attachés en un chignon banane, d'où s'échappaient quelques mèches, aux yeux bruns perçants et à la peau hâlée par le soleil grec. Elle répondait à la conversation ennuyeuse de son fiancé avec aisance. Elle rayonnait en société, ayant toujours quelque chose d'intéressant à dire, pouvant aussi bien blaguer que soutenir une joute verbale ou participer à un débat politique. Impossible de la prendre pour juste la fille d'un père, juste la soeur d'un frère ou juste la future épouse d'un mari. Laurane était bien plus que cela. Mais, malgré sa répartie, son ennui faisait qu'elle rebondissait de moins en moins aux propos de Marcus. Son regard s'attardait sur la table où les six hommes jouaient au poker. Elle prétexta avoir chaud et être fatiguée pour cesser la danse, et de devoir se rafraîchir pour échapper à Marcus, qu'elle abandonna entre les griffes de ses parents.
Laurane observa les joueurs jusqu'à ce qu'ils finissent leur partie. Puis, l'un d'eux se leva pour aller chercher sa pipe, et elle prit sa place, toisant élégamment, avec un petit sourire canaille, les cinq hommes présents. Quatre d'entre eux ricanèrent dans leur barbe, n'osant croire qu'une femme, la future potiche d'un Ceasy qui plus est, ait l'audace de demander à jouer avec eux. Philippe, lui, ne pensait rien de tel. Ce fut lui qui l'invita à jouer. Le croupier distribua les cartes, et la partie commença. Au bout d'une dizaine de minutes seulement, Marcus aperçut sa femme et vint la voir, troublé et vexé.
- Que faites-vous ici, Laurane ?
- Assise à une table de poker ? J'imagine que la réponse est évidente.
- Ne soyez pas ridicule, levez-vous. Revenez danser.
- Obéissez à votre mari, miss Samos, glissa un vieil homme en lissant sa moustache.
- Premièrement, mister Ceasy n'est pas encore mon mari. Deuxièmement, même lorsque ce sera le cas, je serais sa femme et non sa marionnette. Il ferait bien de s'en souvenir, de même que vous tous, messieurs.
Outré, Marcus s'apprêta à répliquer, mais Laurane proposa :
- Quant à vous, pourquoi ne pas vous joindre à nous ?
- Non, merci, coupa sèchement le jeune homme, avant de s'éclipser.
Le jeu dura plusieurs heures. Aucun des six joueurs ne menait véritablement la partie, alternant les victoires et les défaites. Ce n'est que vers la fin que Philippe parvint à remporter la majorité des jetons de ses adversaires. Sûr de lui, il fit tapis au coup suivant, obligeant quatre de ses adversaires à le suivre - et deux se couchèrent. Au moment de montrer les cartes, ce fut avec un délicieux sourire d'ange que Laurane dévoila son carré de rois. Un hoquet collectif saisit le groupe d'hommes, qu'envahirent la colère et le dépit. La jeune femme avait gagné la partie. Alors que tous désertaient sans lui adresser la parole, excepté Philippe, Laurane commença à ranger tous les jetons dans sa valise, avec un air satisfait que le jeune homme compara à celui qu'arboraient les Serpentard qu'il avait côtoyés à Poudlard.
Il l'aborda, et ils discutèrent tout le reste de la soirée. Du monde, de la société, de l'éducation, de leurs pays respectifs, des Moldus. Leur conversation était animée, profonde, et les arguments pertinents fusaient. L'ennui des deux personnes disparut. Le temps s'arrêta. Le temps d'une soirée, Philippe n'était plus le petit frère dans l'ombre de ses aînés. Le temps d'une soirée, Laurane n'était plus la future femme de Marcus Ceasy. Ils étaient eux-mêmes, jeune homme indécis, intelligent et secret, jeune femme rusée, vive et forte. Et ils n'imaginaient pas à quel point cette soirée marquerait un tournant décisif dans leurs vies...
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mxpatchwork · 1 year
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Les Soeurs Grises de Montréal
pic by me hihi :)
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pascalcabart · 2 years
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Bistro Brasserie Les Soeurs Grises – Ein guter Ort für ein romantisches Abendessen? Es gibt viele Orte in Montreal, an denen man ein romantisches Abendessen geniessen kann. Einer davon ist das Bistro Brasserie Les Soeurs Grises. Wenn Sie also auf der Suche nach einem guten Ort für ein romantisches Essen sind, haben Sie hier eine […]
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ochoislas · 2 years
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PASEO A LA ALBERCA
La paz de hondos jardines se idealiza. La iglesia anuncia el alma de la tarde: escucha la hora que angeliza el cielo.
Viendo el azur de este místico lago: ¿no se dijera, hermana, que un gran pecho sus raudales de amor vertió allá arriba?
Lenta la sombra anegó el vago valle. La esquila calló lejos, nota a nota, llevando el alma feble de una santa.
La hora es nuestra; con cada instante —mira—, sobre el misterio malva de la selva, tiende la soledad su capa vasta.
Bajo parda enramada riza plata la alberca, como pena que se emboza, y sueña en la salida de la luna...
Quiero, envuelto en caricia de tus ojos, recoger entre trémulos juncales la flor gris de los pálidos crepúsculos.
Quiero a orillas del agua absorta —amada—, en tu labio, que amor y sombra aroman, beber parte de tu alma, al sol oculta.
Sedoso paramento son las sombras, y departen mejor los corazones enmudecidos de amoroso hechizo.
Como un saludo a la primera estrella, nuestra reserva, por los oquedales, la sombra asciende igual que puro rezo.
Y beso carne de ángel en tus párpados.
*
PROMENADE A L'ÉTANG
Le calme des jardins profonds s'idéalise. L'âme du soir s'annonce à la tour de l'église; Écoute, l'heure est bleue et le ciel s'angélise.
A voir ce lac mystique où l'azur s'est fondu, Dirait-on pas, ma soeur, qu'un grand coeur éperdu En longs ruisseaux d'amour, là-haut, s'est répandu?
L'ombre lente a noyé la vallée indistincte. La cloche, au loin, note par note, s'est éteinte, Emportant comme l'âme frêle d'une sainte.
L'heure est à nous; voici que, d'instant en instant, Sur les bois violets au mystère invitant Le grand manteau de la Solitude s'étend.
L'étang moiré d'argent, sous la ramure brune, Comme un coeur affligé que le jour importune, Rêve à l'ascension suave de la lune...
Je veux, enveloppé de tes yeux caressants, Je veux cueillir, parmi les roseaux frémissants, La grise fleur des crépuscules pâlissants.
Je veux au bord de l'eau pensive, ô bien-aimée, A ta lèvre d'amour et d'ombre parfumée Boire un peu de ton âme, à tout soleil fermée.
Les ténèbres sont comme un lourd tapis soyeux, Et nos deux coeurs, l'un près de l'autre, parlent mieux Dans un enchantement d'amour silencieux.
Comme pour saluer les étoiles premières, Nos voix de confidence, au calme des clairières, Montent, pures dans l'ombre, ainsi que des prières.
Et je baise ta chair angélique aux paupières.
Albert Samain
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SORTIES DU PRINTEMPS 2019 (23 avril 2019) Par Bernard Bujold Ulysse est tout excité depuis l'arrivée du printemps 2019 et il veut toujours sortir. Pour sa plus récente promenade, Ulysse en a profité pour aller visiter le vieux couvent du quartier. Un peu plus et les bonnes et gentilles Soeurs Grises lui offraient à déjeuner... Bonnes promenade et surtout: Bon printemps 2019! VOIR PHOTOS https://www.facebook.com/bernard.bujold/media_set?set=a.10161675433645541&type=3 GOING OUT SPRING 2019 (April 23, 2019) By Bernard Bujold Ulysses has been very excited since the arrival of spring 2019 and he always wants to go out. For his most recent walk, Ulysses took the opportunity to visit the old convent of the neighborhood. A little more and the good and kind Grey Nuns offered him a morning lunch... Have a nice walk and above all: Have a good spring 2019! SEE PHOTOS https://www.facebook.com/bernard.bujold/media_set?set=a.10161675433645541&type=3
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capitainecorbeau · 2 years
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L’air de la Misère/The Tune of Misery
Fantine’s first solo, that was scrapped in the adaptation and replaced with the song she sings on her deathbed, which isn’t a solo anymore, and is about something completely different, but at least it’s the same melody, so, yay… ?
Though before we start, I’d like to 1)thank people leaving nice comments in the tag, I’m really glad you’re enjoying those translations/sorta analyses ! And 2) specify that no, I don’t hate the adaptation, I’m just rather disappointed that it dropped important themes and defanged the original. I’ve been pretty critical, but that’s just how I interact with stuff I’m really interested in !
Anyway ! Let’s dive in !
J’avais de si jolis défauts/I had such pretty faults J’étais rêveuse, j’étais coquette/I was a dreamer, I was coquettish Un peu naïve, mais pas trop/A bit naïve, but not to much Pour ne jamais perdre la tête/So I would never lose my head Et je me faisais fête/And I would make a party D’un chant d’oiseau, d’un jour nouveau/Of a bird song, of a new day
The song starts gently and rather lightly, but that’s not gonna last. ‘Se faire fête de’ (litt ‘to make a party of’) usually mean to eagerly wait for, to anticipate something, but in this context it didn’t feel right. It sounds more like she’s enjoying the little things in life, but y’know, translation always has a degree of subjectivity and inaccuracy, so !
‘Coquet/te’ refers to someone who puts quite a bit of care and thought into their appearence (and is more often used for women than men because of course it is), often as a mean to attract attention. Can be used somewhat interchangeably as a noun or an adjective, but only somewhat, because as a noun it can mean a woman who’s a vain seductress, because of course it does. When applied to objects or decor, it means stylish, in good taste, pretty/beautiful, and can also mean ‘important’ or ‘big’ in a more abstract context. ‘Une coquette somme’ → ‘A pretty sum’.
Also Victor Hugo is kinda obsessed with with women’s ‘coquetterie’ in the novel. Very grating. Je n’ai plus qu’une robe grise/All I have left is a grey dress Qui sert aussi de couverture/That I also use as a blanket Quand le vent glacé de l’hiver/When the icy winter wind Tourne la nuit dans ma masure/Blows aroundin my hovel at night Et plus beaucoup d’honneur/And not much honor left De dignité au fond du coeur/Or dignity, deep in my heart
And there we go. Poor Fantine. The dress bit is directly taken from the book, where Fantine’s descent into abject poverty is described, where we’re told she learned how you only really need one dress, that you can also use as bed covers. ‘Tourner’ means ‘to turn’, or to go round something (and in the context pf food, it means ‘to go bad’). La misère n’est mère de personne/Misery is the mother of no one La misère est pourtant soeur des hommes/And still misery is the sister of men Mais personne sur terre n’en veut pour fille/But no one on earth wants her as a daughter Comme bâtarde née dans un cachot de la Bastille/Asa bastard born in a cell of la Bastille
Alright si, I’ll admit I’m a little lost concerning the metaphores of this paragraph. I have some interpretations, but they feel lacking, so if anyone has any suggestions !
My idea is that misery is no one’s mother because it doesn’t nurture or raise, it only destroys, wears down, and kills ? You could argue some mother are indeed like that, but I think it’s used in reference to what is usually associated with motherhood, rather than in the strict biological sence because in the parapgraph misery does give birth to something.
It’s men’s (men as in people, not just men the gender) sister because it accompanies them all their life ? I dunno, I’m rather confused by all these family metaphors, but I might just be missing something ¯\_(ツ)_/¯
The ‘bastard born in a Bastille cell’ is the part that baffles me most (here of course it’s ‘illegitimate child’ bastard not ‘asshole’ bastard). The Bastille was seen as a symbol of of the king’s unjust power, as he could send people there without judgement, and that’s partly why it was taken during the Revolution, the other part being they wanted weapons and munitions because a garrison was stationed there. But it wasn’t exactly a symbol of extreme poverty or extreme social distress, so, I’m really not sure what it’s doing here. A callback to the revolution ? A reminder of the monarchy’s responsability in the people’s distress ? Something very obvious that I’m completely missing ? I dunno !
La misère enfante la détresse/Misery gives birth to distress Bien des vices et toutes les faiblesses/Many vices, and every weakness La misère lâche la bête en l’homme/Misery releases the beast within man Et la mésange alors en chienne errante se transforme/ And the chickadee then turns into a stray dog
Oh boy was I relieved to learn there is another name for ‘mésange’ than ‘tit’. What is it with english and birds having boob names or vice versa. Anyway, this part is more clear (to me at last, again, I might just be dumb), and again refers back to some stuff in the book ! Victor Hugo talks at length about how misery and social distress creates a lot of society’s ugliness and you can’t fix the latter without adressing the former, either directly, in one of his many, many rants/essays, or slightly less so. Like when explaining how the bagne (forced labor) thoroughly traumatized and embittered Valjean, who got out of there hating everything and everyone and wanting to get back at something, someone, anyone for how much he suffered there.
‘Chienne’ is a female dog, but it’s not vulgar, nor used as popularly as an insult (or punctuation) than ‘bitch’. Like it can an insult leveled at women with roughly the same meaning, but it’s more rare, and seen as more old-fashioned. Il faut qu’on se sente survivre/One has to feel themselves survive Dans un enfant qu’on a fait vivre/In a child onegave life to Et qu’en sa source d’innocence/And in this source of innocence On noie notre désespérance/One drowns one’s despair Pour ne pas mettre fin/So as not to put an end À cette vie sans lendemain/This life without without a tomorrow/future
So, Fantine used ‘on’here, which is an impersonal third person pronoun. Usually used like a general you, but also just as a colloquial ‘we’. So it’s kinda disguised as a general statement, and it can be taken as one, but she’s mostly talking about herself.
‘Lendemain’ means ‘tomorrow’ (though more specifically it’d be ‘the following day’, or ‘the next day’, as it’s a noun. ‘Demain’ is the adverb), but is often used more broadly to mean ‘future’.
And there we go ! It’s a shame this song got scrapped, as it fits very well with the themes of the novel it’s adapted from imo ! But also I’m not surprised, the original is a story about social distress and people’s struggle, whether wmall scale and personal, or bigger, against the state. Jean Valjean is a main character, but his story doesn not take center stage. The adaptation, however, is Jean Valjean’s story, with the aforementioned themes still being present, but having more of a background rôle.
Just look at how the respective productions start ! The original one opens on the plight of factory workers, and focuses on Fantine for most of the beginning, as character who falls victim to poverty due to both personal, and societal cruelty.
The adaptation opens with Valjean, his origin story, his relationship with Javert. And while it does show the bagne as hellish, and also the stigma against Valjean as a former convict, there are steps of his journey, and not touched upon again later. So yeah, both version, while similar at a glance, are actually very different stories.
(Though I will say, Marius reprising this song later because he’s sad that he can’t be with Cosette does undermine the original theme and feels very disrespectful lol.)
Anyway ! Thanks for reading through, and next time I’ll tackle Fantine’s arrest and Javert’s introduction ! I’d like to cover the song ‘La nuit’, which became ‘Lovely ladies’, but sadly it’s not on the concept album so I can’t find the lyrics, and as most parts are sung by the ensemble I have a very hard time making out what they’re saying. If anyone has the lyrics or knows where to find them, I’d appreciate it !
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Les couleurs de ma vie
Ma vie n’a pas toujours été teintée de noir. Je crois qu’étant enfant, elle était colorée. Très colorée. Colorée car j’étais toujours entourée, par mon frère, ma soeur, mes parents, mes animaux, mes camarades de classe, d’autres enfants, ma famille... Je n’étais jamais seule. Je ne savais pas que la vie n’était pas colorée pour tout le monde. Je ne savais pas pourquoi j’avais hâte d’être “plus grande” pour comprendre les sous-entendus de mon entourage. Je ne savais pas que vivre, c’était douloureux. Je ne sais pas si ça a commencé avant le collège ou à mon entrée dans celui-ci, mais ma vie s’est rapidement teintée de couleurs sombres. Tout était devenu terne, et je ne me sentais bien qu’à la maison. Jusqu’à ce qu’un jour, tout soit grisé, noir. Je ne voyais plus avec mes yeux d’enfant, les humiliations, les moqueries et le harcèlement, entre autres, eurent raison de ma joie d’antan. Alors ce n’est pas si étonnant, j’imagine, si à la fin du lycée, ma vie s’est également teintée de rouge. Couleur écarlate et sanguinolante. Puis il y a eu les montagnes russes. Lorsque je rejoignais le sommet du manège, mes yeux voyaient à nouveau toutes ces couleurs, encore plus belles qu’auparavant. Elles étaient accompagnée des rayons du soleil, et d’une légère brise de vent. Puis au sommet, je commençais à me demander quand tout allait se ternir de nouveau, car maintenant que j’avais connu le pire et le meilleur, je savais que le bonheur était quelque chose qui devait être suffisamment travaillé pour être durable. Alors, je descendais brutalement de l’attraction, comme si le chariot quittait même le manège et allait s’écraser dans un champ. Les descentes font très mal. Notamment parce que, lorsque l’on tombe, on ignore si on parviendra à se relever. Si on aura la capacité de se remettre debout, et de décider de chasser tout ce qui s’était terni, parce qu’on ressent alors le besoin de repeindre de mille et une couleurs sa vie. Mais ainsi va la vie, et c’est comme ça que se déroule la mienne, jusqu’ici. Alors cette fois, je tenterai les choses différemment. Je ne chercherai pas toutes les couleurs vives, pastels et tout ce qui accompagnent celles-ci en une seule fois. Je vais entreprendre de conquérir chaque couleur, une à une, même si ça dure plus longtemps. Car cette fois, si je chute de nouveau, je ne veux pas retomber aussi bas. Je tomberai, c’est sûr. Mais je ne m’écroulerai pas. Je ne verrais plus jamais tout en gris, rouge et noir. J’ai laissé ces couleurs derrière moi, et même si elles tentent de s’accaparer toute la place en ce moment, je ne leur laisse plus libre passage. Parce que moi, j’adore le violet, le bleu, le orange, le jaune et le rose. Mon prénom n’est pas synonyme de joie, puisqu���il incarne tout bonnement ce maître mot. Je veux que ma vie soit régie par mes propres couleurs. Je veux être le soleil que j’ai longtemps cherché à voir, durant ces nuits beaucoup trop longues et bien trop noires. Mais je dois dire aussi que j’ai accepté la lune et sa beauté, car si je pense au fin fond de moi être solaire, je sais que mon coeur est lié à l’astre le plus brillant du ciel, lorsque le soleil disparait. Je n’ai pas à fuir la nuit, à l’éviter. Je l’incarne en m’associant à elle. Je m’imprègne de ses couleurs, et je tente d’y ajouter les miennes. Je comprends désormais qu’il n’y a pas de lumière sans obscurité, et pour être heureux, il faut malheureusement être passé par ces nuits sombres où aucune lumière n’était allumée. Mais je crois en moi, et je crois qu’on peut voir toutes les couleurs que l’on souhaite si au lieu de chercher à éclairer celles-ci, on illumine nous-même notre chemin et notre vie. J’ai longtemps cru que ma vie était noire, grise et rouge. Mais maintenant, je sais qu’elle est ce que je parviens à en faire. Alors je crois que jamais plus je n’éteindrai la lumière.
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lonesomemao · 3 months
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ON VEUT TUER MA SOEUR ANNE
Fourmis grises
Fourmis rouges
Claire Lambert
Elle se met en jambes
Des fourmis dans les Jambes
La Cigale et la Fourmi
Vendredi 5 juillet 2024
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histoireettralala · 4 years
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Michel Ney & Aglaé Auguié (2/2)
“L’ascension de Ney, sa prodigieuse renommée de bravoure militaire ne restèrent pas sans effet sur le caractère de sa femme. Elle en conçut une vanité dont les manifestations purent quelquefois faire douter de la réelle bonté de son coeur. Une sorte de manie ostentatoire l’avait prise; elle croyait sincèrement que l’étalage d’un luxe tapageur était une obligation pour une personne de son rang. En voyage, elle emmenait, assure-t-on, une maison entière à sa suite, avec son lit, ses meubles, son argenterie, tout un train de voitures et une foule de domestiques.
Chose bizarre, elle n’éprouvait pas beaucoup de reconnaissance pour l’Empereur qui était la cause véritable de cette fortune étonnante. Ses voeux secrets allaient à la maison de Bourbon dont elle salua le retour avec joie; les contemporains pensèrent qu’elle était l’instigatrice du prompt ralliement de Ney à la Restauration. Sa surprise et son désappointement n’en furent que plus grands lorsqu’elle comprit que la nouvelle Cour ne reconnaissait pas sa grandeur récente et qu’elle restait pour les émigrés rentrés la fille d’une simple femme de chambre de la reine. En vain se dépensa-t-elle en réceptions, en soirées somptueuses; on lui fit grise mine. Aux Tuileries, la duchesse d’Angoulême, qui l’avait connue enfant, l’appela tout de go par son petit nom d’Aglaé, et cela peina profondément Mme la princesse de la Moskowa, qui se tenait cependant pour très honorée d’être tutoyée par la reine Hortense à qui elle donnait elle-même de la Majesté comme si elles n’avaient pas usé leurs robes sur les bancs de la même école.
Il arriva que Ney ramenât sa femme en larmes après une cérémonie à la Cour où l’on semblait lui avoir manqué d’égards. Le maréchal avait le sang chaud, et il aimait Eglé. Le dépit causé par de futiles incidents ne fut peut-être pas étranger à sa seconde volte-face, lors du retour de l’île d’Elbe. A l’annonce du débarquement de l’Empereur, la maréchale fut saisie d’un sinistre pressentiment; elle redouta dès l’abord, sans en prévoir toute l’étendue, les malheurs que cette folle entreprise allait entraîner.
Après l’arrestation de Ney, pendant son procès et jusqu’au matin même de l’exécution, la princesse multiplia les efforts pour le sauver. Elle ne put arriver jusqu’à Louis XVIII, et la duchesse d’Angoulême, mal informée, refusa d’intervenir. Aux Tuileries même, pendant qu’elle implorait une dernière fois l’aumône d’une audience, un message lui apprit que sa démarche n’avait plus d’objet. Elle tomba évanouie dans les bras de sa soeur. Peu après, ayant réglé ses affaires et pris ses dispositions pour l’éducation de ses quatre fils, elle se retira à Montenero, en Italie, où elle retrouva son amie Hortense, en proie à de nouvelles difficultés avec son incommode époux. Ces deux femmes tombées de si haut s’aidèrent mutuellement à consoler leurs chagrins.”
Louis Chardigny, Les Maréchaux de Napoléon, Bibliothèque Napoléonienne, P. 214-215.
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Napoléon Joseph, Michel Louis Félix “Aloys”, & Eugène Ney, by Marie-Eléonore Godefroid, 1810
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Napoléon Joseph “Léon” Ney
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Edgar Ney
“Ney's rise, his prodigious renown for military bravery, had an impact on his wife's character. She conceived a vanity whose manifestations could sometimes make one doubt the real goodness of her heart. A sort of ostentatious mania had taken her; she sincerely believed that the display of a flashy wealth was an obligation for a person of her rank. On the road, she took, it is said, an entire house in her wake, with her bed, her furniture, her silverware, a whole series of carriages and a crowd of servants.
Oddly enough, she did not have much gratitude for the Emperor who was the real cause of this amazing fortune. Her secret wishes went to the House of Bourbon, whose return she greeted with joy; contemporaries believed that she was the instigator of Ney’s quick rallying to the Restoration. Her surprise and disappointment were only greater when she realized that the new Court did not recognize her recent greatness and that for the returned Emigrés she was the daughter of a simple chambermaid to the queen. In vain did she exert herself on receptions, on sumptuous parties; she was given the cold shoulder. At the Tuileries, the Duchess of Angoulême, who had known her as a child, immediately called her by her little name of Aglaé, and that deeply pained Madame the princess of Moskowa, who nevertheless considered herself very honored to be tutoyée by Queen Hortense, whom she herself called Majesty as if they had not worn their dresses out on the benches of the same school.
Ney sometimes brought his wife back home in tears after a court ceremony in which she felt she had been disregarded. The marshal was warm-blooded, and he loved Eglé. The chagrin caused by futile incidents may have been a part of his second about-turn, at the return from Elba. At the announcement of the Emperor's landing, the Maréchale was seized with a grim foreboding; she instantly feared, without foreseeing its full extent, the misfortunes that this mad enterprise was going to bring about.
After Ney's arrest, during his trial and until the morning of the execution, the princess went to great lengths to save him. She could not reach Louis XVIII, and the Duchess of Angoulême, ill-informed, refused to intervene. Even in the Tuileries, while she was begging for the last time the favor of an audience, a message told her that her quest had no more purpose. She fainted in her sister's arms. Shortly after, having settled her affairs and arranged for the education of her four sons, she retired to Montenero, Italy, where she found her friend Hortense, experiencing new problems with her difficult husband. These two women who had fallen from so high helped each other to console their sorrows. ”
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fulang1 · 5 years
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Ma vie au temps du coronavirus
25/02/2020
Soeur Anne ne voit toujours rien venir, même pas le soleil qui rougeoit aujourd’hui alors que Pékin est plongé dans une brume grise qui n’augure rien de bon. Je ne regarde plus les taux de pollution, un parce que je ne sors pas, deux parce que j’ai suffisamment de motifs de dépression et je n’ai pas besoin d’en rajouter. L’absence de soleil rend l’appartement déjà assez triste.
Hier soir nous avons regardé un assez mauvais film britannique “V for Vendetta” mais qui avait entre autres, l’apparition d’un virus mortel... Décidément cela devient obsessionnel. 
Le cours de Français que j’ai trouvé pour Xianle me semble assez bien fait. Nous n’en sommes qu’au début mais quand je compare avec le cours d’anglais que nous suivons en parallèle, c’est nettement mieux fait. Cocorico!!! 
Ces deux langues sont quand même bien tordues, ayant hérité toutes deux de générations de Trissotin qui ont compliqué la tâche des apprenants à plaisir, soit disant au nom d’un héritage du passé. Les Italiens qui ont le même passé gréco-latin ne se sont pas encombrés l’esprit et écrivent plus ou moins comme cela se prononce ce qui ne les a pas empêché d’apprendre les langues anciennes.
Hier j’ai été en contact avec un  ami de ma soeur Ch., qui est enseignant au lycée français de Shanghai. Comme un cas de contamination a été trouvé dans son immeuble, lui et sa famille sont assignés à résidence. Il dépose ses poubelles devant sa porte et le service d’hygiène vient les chercher, une fois qu’il a bien refermé sa porte. De même il commande sa nourriture et on la lui dépose devant sa porte. Son bébé de quelques mois devrait aller chez le pédiatre mais il est hors de question de sortir. En plus son VPN ne fonctionne plus donc il n’a pas accès aux sites d’informations étrangers. Le lycée est fermé et il fait ses cours par vidéo-conférence. 
Finalement je m’en sors assez bien.
Mon amie Judith, qui est décédée à 101ans m’avait toujours dit que pour bien vivre et bien vieillir il fallait apprendre à renoncer. C’est une leçon qui s’est bien gravée dans ma tête. Jouir des instants présents, écouter les oiseaux , de plus en plus nombreux avec le retour du printemps, regarder les nuages, eux aussi de plus en plus nombreux, rêver... Elle savait de quoi elle parlait, elle qui a eu une vie si difficile, orpheline à l’âge de quatre ans, rejetée par les Français goys car juive et russe, rejetée par les Juifs car athée, se cachant pendant la 2ème guerre pour échapper à Auschwitz etc C’était la joie de vivre même.
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Myriam - Préquel 3
Deuxième préquel se centrant sur le personnage de Myriam & son contexte familial. Il se déroule durant le mois de mai de l’année de seconde. A l’époque, dans le contexte de sa famille, elle se fait appeler Joséphine. 
(si vous avez un doute sur quoi que ce soit, n’hésitez surtout pas à aller regarder dans les pages Personnages & Relations qui sont là pour ça).
youtube
Joséphine avait pris sa décision. Ça avait été long et compliqué et elle savait qu'elle allait le regretter. Il y avait son frère et sa sœur qui allait lui manquer. Ses parents, aussi quelque part. Elle se disait que c'était con de faire ça, et qu'elle allait mettre sa tante dans une situation délicate pour rien. Mais après tout, c'était elle qui l'avait proposé, non ? Et puis, là, elle ne tenait plus. Elle ne risquait rien, c'était juste bêtement politique, mais là ça faisait trop pour elle. Elle entassait des vêtements et des affaires de manière maladroite dans une valise, un peu au hasard, en ne réalisant pas ce qu'elle faisait. Il ne valait mieux pas, elle risquait de regretter dès maintenant, de changer d'avis, de s'écraser. Pas cette fois. Elle pris son sac en bandoulière, d'un gris douteux, que sa mère avait toujours trouvé de mauvais goût et y fourra son ordinateur portable et son casque, tous deux biens plus chers qu'elle n'aurait voulu se l'admettre. Elle attrapa quelques livres dont pas mal de Ray Bradbury, ses clopes, un ou deux foulards et la boite de barrettes offertes par sa soeur et entassa ces derniers trésors dans son sac. Elle était prête. Elle appela sa tante rapidement, qui lui assura qu'elle serait dans l'entrée d'ici 10 minutes. Joséphine inspira. Elle ne devait pas pleurer. C'était elle qui l'avait choisit, et elle avait encore un toit après ça, elle avait trop de chances pour craquer. C'aurait été injuste. Elle attrapa sa valise, mis son sac sur son épaule, et descendit. Elle passa devant la chambre de sa sœur qui lui demanda doucement "Tu vas où avec ta valise ?". Joséphine ne sachant pas trop quoi répondre bafouilla un bref "Je vais chez une amie pour dormir, c'est tout. Et toi, tu devrais pas dormir à cette heure ?". La gamine haussa les épaules et lui sourit, et Joséphine se contint encore une fois de rebrousser chemin. Elle descendit les escaliers maladroitement, avec sa trop grosse valise, et passa devant le grand salon, où ses parents regardaient un documentaire, son petit frère sur les genoux. Sa mère lui demanda en passant "Tu vas où, Joséphine ?". Joséphine inspira, puis se décida à répondre "Je m'en vais. Je vais chez Anne. Elle m'attends dehors. Je supporte plus votre connerie de bourgs méprisants et égocentriques. Alors; voilà, c'est fini.". Son père acquiesça et lui répondit qu'elle n'avait qu'à y aller, qu'elle était grande après tout. Joséphine savait que son ton monocorde n'était là que pour la faire douter, elle qui marchait si bien à la provocation. Et que son indifférence n'était là que parce qu'il pensait que cette fois, elle n'étais pas sérieuse. Sa valise, elle l'avait fait au moins une bonne dizaine de fois, ses menaces étaient tellement nombreuses et quotidiennes qu'elle ne comptaient plus, et si elle était déjà allée chez Anne plusieurs fois, elle n'était restée que quelques jours. Mais cette fois, elle savait que c'était différent. C'est ce qui la fit hésiter. Dans sa tête, il n'y avait plus de retour en arrière possible. Elle tremblait en franchissant le pas de la porte, car c'était la dernière fois, ou du moins avant un bon moment qu'elle serait là. Le perron passé, elle s'étonnait elle même que ce soit si facile, mais c'était fait. Tout était derrière elle. Cette fois était la bonne, elle le savait. Elle vit les phares de sa tante, s'approcha et mit sa valise dans le coffre. Elle s'engouffra dans la chaleur de la voiture, et bredouilla un merci à sa tante, avant de s’effondrer en larmes. Anne regarda Joséphine avec un sourire triste et lui souffla "Tu peux encore changer d'avis tu sais ? Rentre si ça te fais trop mal...". Joséphine la fixa, s'essuya un peu les yeux et  en fit non de la tête. Anne tourna la clef, le moteur se ralluma dans un bruit sourd, et la petite voiture grise démarra avant de s'éloigner de la belle maison. 
"Tu sais, Jo, rien n'est définitif, d'accord ?"
Joséphine aquiesca avant de demander d'une petite voix : "Anne, tu penses que tu peux m'appeller Myriam, maintenant ?". La femme sourit. "Si tu veux, Myriam."
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pascalcabart · 2 years
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Was ist Bistro Brasserie Les Soeurs Grises? Ein Restaurant in Montréal, Kanada Der Name Bistro Brasserie Les Soeurs Grises ist zugleich Programm und eine einladende Verheißung jener insbesondere in Montréal bekannten Restaurantkette. Les Soeurs Grises, oder „die Grauen Schwestern“, ist eine ursprünglich von den Sisters of Charity of Montreal gegründete kleine Restaurantkette und hatte ihren […]
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kiuntisss · 5 years
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taguée par @merrilyenspensieve  (merci :) ):
Si tu avais un super-pouvoir ce serait lequel ?
J’hésite entre lire dans les pensées ou la psychokinèse. Lire dans les pensées me servirait beaucoup et m’aiderait au quotidien, mais je serais plus utile avec la psychokinésie, donc à choisir, j’opterai plus pour ça. 
Racontes un souvenir d’enfant ?
J’ai déjà très peu de souvenirs de mon enfance, mais là j’ai rien qui vient... 
Café ou thé ?
Thé!
Qu’est-ce qui te fait le plus rire ?
beaucoup de choses, mais si quelqu’un rit, j’ai tendance à rire aussi... (et macfly & carlito)
À quoi penses-tu, le soir en te couchant ?
Pourquoi cette question ??? Je pense à tellement de choses en même temps le soir! J’élabore mes théories sur la vie, sur l’art et la psycho, je ressasse des choses, parfois douloureuses, je chasse l’angoisse, je pense à mon ex, au futur, à mes études, mes problèmes, puis à ce que je crée, continuant d’élaborer mon univers, à mes futurs dessins ou mots qui raconteront une histoire...
Quelle est la première chose à laquelle tu penses en te réveillant ?
On va pas se mentir, je pense aux toilettes. Je pèse le pour et le contre de savoir si j’y vais maintenant, si potentiellement je vais croiser un autre humain sur mon passage, ou si je me rendors pour aller pisser tranquillou plus tard        ( #charme )
Que dis-tu le plus souvent dans la vie: oui ou non?
Arf, dur dur... je crois que j’opterai pour “oui” mais “non” est pas loin de l’emporter non plus...
Crois-tu aux âmes sœurs?
Ahah la question piège, c’est parce que je peux pas m’empêcher de me lamenter en pleurnichant mon ex et en pensant à l’idée que c’était potentiellement l’homme de ma vie? RATE! J’y crois pas! L’amour est un sentiment très complexe, et il y a une grande part chimique à ça. L’idée d’âme soeur enferme une personne dans l’idée qu’une seule personne lui convient sur cette planète. L’angoisse quoi! Peut être que vous rencontrerez jamais cette personne. peut être que cette personne ne vivra pas en même temps que vous. c’est atroce hein? Tout ce bonheur si intense qu’on ne pourrait connaitre sauf si on tombe sur LA bonne personne (une sorte de st graal qu’on obtient après une longue quête, seulement si t’as pas enfreins tes péchés capitaux). Non, heureusement on aime à plusieurs reprises dans une vie, et LA bonne personne n’existe pas, faut arrêter de croire que le partenaire idéal existe, il aura des défauts, on voudra juste pas les voir.
(Après si quelqu’un me prouve le contraire, je suis prête à l’écouter)
Quelle est la meilleure chose que tu aies reçue de tes parents ?
j’ai envie de dire “la vie”, mais je crois que l’idée qu’on est jamais mieux servit que par soi même est pas mal non plus.
De quoi ne peux-tu pas te passer ?
Techniquement, de mon propre corps et de ses composant ainsi que de quoi subvenir à mes besoins essentiels comme respirer manger et boire. Après j’aurais beaucoup de mal à me passer de chocolat, d’échanges quel qu’il soit, de mon chat et de mon cocon. 
Ton signe astrologique ?
Verseau
Si tu devais changer quelque chose dans ta vie, qu'est-ce que ce serait ?
Ma situation financière.
Qu’est-ce qu’un week-end idéal pour toi ?
Un weekend en Bretagne, pas loin de la mer, avec quelqu’un dont je serai amoureuse et réciproquement, au calme, avec une météo changeante, sans de grosses chaleurs, sans objectif précis, juste faire les choses comme elles viennent. 
Est-ce-que quelqu'un te manque en ce moment ?
... Si je réponds “mon ex”, je suis dans l’abus ou pas?
S’il te restait une journée à vivre, que ferais-tu ?
Woaw, je viens de finir de lire 10 jours avant la fin du monde et je me demandais qu’est-ce que je ferais dans la situation des héros. Mais du coup, n’étant pour le moment pas apte à accepter l’idée de ma propre mort, je crois qu’en plus d’aller dire à mon ex (oui, encore lui) que je l’aime toujours, d’aller foutre le bazar dans les écoles qui m’ont refusé, de révéler toutes les infos compromettantes que j’ai sur certaines personnes publiquement, de retourner dans mon endroit préféré sur cette planète, je chercherais en parallèle une solution pour vivre plus longtemps. 
Qu'est-ce qui est rédhibitoire dans une relation pour toi ?
La violence? (sous n’importe quelle forme).
Si tu pouvais voyager dans le temps, à quelle époque vivrais-tu et pourquoi ?
Ah... genre y’a pas moyen d’y aller quelques temps et de revenir? J’aurais dit les années folles, parce que j’adore la musique et la danse de l’époque, l’art (Mucha est encore vivant à cette époque!!) et l’architecture qui s’y développe, ainsi que la mode, la croissance économique et le développement de l’époque. Mais question médecine, technologie, confort de vie ect, mon époque me convient trèèèèèès bien.
Tu peux inviter n'importe quelle personne dans le monde à dîner : qui choisis-tu ?
De vivant, je me tâte entre Julian Assange et Alain Bauer, de mort, et qu’est-ce que j’aimerais discuter avec lui, l’agent spécial John E. Douglas (dans l’idée qu’il parle français :’) )
Que faut-il faire pour te séduire ?
AHAHAHAHAHAHAHAH
Alors en vrai je sais pas vraiment, mais je vais avancer des hypothèses qui pourraient marcher. Avoir de l’humour, même si je comprends pas tout, j’aime rire. Etre indépendant, ne pas attendre mon accord, savoir me dire non, me tenir tête voir même m’envoyer chier quand il le faut. Etre cultivé(e) et ouvert d’esprit. (Etre gentil, doux, câlin, respectueux et pas violent?) Bon puis je suis pas fermée à l’idée d’être séduite par une personne qui n’a pas de sexualité, mais chez moi ça reste un truc qui compte un peu beaucoup, surtout quand c’est bien fait. 
Comment tes amis te décriraient-ils ?
j’ai posé la question:
Tumblr media
<3
Si un génie t’accordait 3 vœux en ce moment, que souhaiterais-tu?
Vivre éternellement, qu’aucune fin du monde qu’importe soit elle, n’arrive jamais (genre pas de soleil qui explose et qui, même si je serais morte d’ici là, me fait faire des crises d’angoisse dans mon lit.) et Savoir être heureuse quand je le veux.
A quoi ressemble ta journée idéale ?
Me lever d’une bonne nuit de sommeil, aller faire pipi sans que personne ne vienne interagir dans mon champ de vision à part mon chat, boire du thé à la pêche, que la météo soit grise, voir même qu’il pleuve ou qu’il y ai un orage (ou de la neige, au choix) qu’il fasse frais. Pourquoi pas faire l’amour dès le matin, avoir quelques petits objectifs dans la journée et les réaliser, surtout si il s’agit d’expression artistique. Faire un tour dehors, dans un parc ou en présence de verdure et ou d’eau, arriver à gérer mes émotions aussi. Eventuellement avoir quelques amis à l’apéro, et me foutre au lit avec un bon film ou livre ainsi que du chocolat, mon chat et une tasse de thé. 
Quel livre t’a le plus marqué et pourquoi ?
La saga millénium, mais surtout “les hommes qui n’aimaient pas les femmes”. Je l’ai volé à ma mère (alors qu’elle m’interdisait de lire les livres de sa bibliothèque) et lu vers mes 12-13 ans, dans une périodes où j’étais très en colère, où je ne comprenais ni ma différence, ni le reste du monde. Le personnage de Lisbeth Salander m’a fait beaucoup de bien parce que je me suis beaucoup reconnue en elle, et de voir toute sa force et sa ténacité m’a aider dans ma propre vie. 
Quelle est la personne qui te connaît le mieux au monde ?
Ca se joue entre ma meilleure pote (clémi) et “le frère jumeau que je n’ai pas” (je me lasserais pas de cette phrase!!!), à savoir @abinaire
Crois-tu aux secondes chances ?
Ouais?!
Que fais-tu pour te défouler ?
J’ai encore du mal à m’exprimer et donc à me défouler, mais l’art ( plastique ) me permet de me défouler et de canaliser mes ressentis sur quelques chose sans que ça parte dans tous les sens.  Quand j’y arrive c’est bien :)
Que préfères-tu le plus chez votre meilleur(e) ami(e)?
Je sais pas, tout?!
Salé ou sucré ?
Les deux en même temps!
Quelle est la chose la plus incroyable qui te soit arrivée ?
Avoir eu mon bac.
Quand te sens-tu le plus confiant ?
Quand je sais que je maitrise plus ou moins la situation
À quand remonte la dernière fois que tu as pleuré ?
Hier soir.
Crois-tu au coup de foudre ?
Voui
Quelle activité pourrait t'occuper des heures sans que tu voies le temps passer ?
Le dessin.
Te considères-tu comme extraverti ou introverti ?
Introvertie
Si tu pouvais garder uniquement cinq choses, quelles seraient-elles et pourquoi ?
Chose définit un objet, je pars donc du principe que je n’ai pas besoin de cité des être vivant car ils ne sont pas chose mais être, ainsi que quelque chose de physique et palpable.
 1) mon ordinateur et ou Ipadpro  (apple pencil compris hein!), parce que j’ai beaucoup de choses stockés dessus, et clairement ça me ferait bien chier de tout perdre. 2) Mes chargeurs, parce que sans eux mon ordi et mon téléphone ne sont pas utiles 3) mon portable parce qu’il me permet de communiquer et d’avoir google maps 4) de quoi dessiner parce que sinon je vais péter un plomb rapidement 5) de l’argent car malheureusement dans ce monde on en a besoin pour vivre.
Quelle est ta plus belle rencontre ?
Je sais pas... Pourquoi pas ma psy.
Sur quelle mémoire fonctionnes-tu : visuelle, auditive ou kinesthésique ?
Je sais pas comment fonctionne mon esprit, alors ma mémoire... faudrait déjà que j’arrête de tout oublier.
Quel est l’endroit où tu te sens le mieux ?
Mon lit.
Quelles sont les vacances idéales ?
En Bretagne, pas loin de la mer, (avec pourquoi pas quelqu’un dont je serai amoureuse et réciproquement), au calme, avec une météo changeante, sans de grosses chaleurs, sans objectif précis, juste faire les choses comme elles viennent. 
Quelle est la meilleure leçon de vie que tu aies apprise ?
Qu’il faut s’écouter!
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