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The 3,000 seat ancient theater at Cherré, the archeological excavation site in Aubigné-Racan, Sarthe, which started in 1977. The Gallo-Roman complex developed between the 1st and the 3rd centuries on top of Bronze Age megaliths. Megaliths can be seen on the lower right corner of the watercolor. Watercolor, August 2021 #aubignéracan #aubigneracan #sitearcheologique #archaeologicalsite #galloromain #galloroman #cherré #theatregalloromain #sarthetourisme #valleeduloir #loirvalley #watercolor #aquarelle #fredericlere (at Site Archéologique d'Aubigné-Racan) https://www.instagram.com/p/CSg08B-DSKg/?utm_medium=tumblr
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𝕃𝕖 𝕞𝕦𝕤é𝕖 𝕒 é𝕥é 𝕔𝕠𝕟𝕤𝕥𝕣𝕦𝕚𝕥 𝕤𝕦𝕣 𝕝𝕒 𝕡𝕣𝕖𝕤𝕢𝕦'î𝕝𝕖 𝕠ù 𝕤𝕖 𝕥𝕣𝕠𝕦𝕧𝕒𝕚𝕥 𝕝'𝕒𝕟𝕔𝕚𝕖𝕟 𝕔𝕚𝕣𝕢𝕦𝕖 𝕣𝕠𝕞𝕒𝕚𝕟 𝕒𝕗𝕚𝕟 𝕕'𝕪 𝕒𝕓𝕣𝕚𝕥𝕖𝕣 𝕝𝕖𝕤 𝕥𝕣è𝕤 𝕣𝕚𝕔𝕙𝕖𝕤 𝕔𝕠𝕝𝕝𝕖𝕔𝕥𝕚𝕠𝕟𝕤 𝕒𝕣𝕔𝕙é𝕠𝕝𝕠𝕘𝕚𝕢𝕦𝕖𝕤 𝕕𝕖 𝕝𝕒 𝕧𝕚𝕝𝕝𝕖. #arles #musee #vestiges #vestigesromains #archeologie #patrimoine #sitearcheologique #vieillespierres #vieillesvilles #sud #vacances #vacancesenprovence #bouchesdurhône #tourisme #instatourisme #travel #beautiful #instaphoto #discoverprovence #instamuseum #museum (à Musée départemental Arles Antique) https://www.instagram.com/p/CDv796BCm1a/?igshid=zvx30d4tdlde
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#Tulum è una di quelle località che, pur essendo diventata molto turistica negli anni, non ha perso il proprio fascino. C’è qualcosa qui che colpisce chiunque vi giunga. Saranno le sue romantiche rovine maya a picco sul mare? #ioviaggioconmaracaibo #maracaiboviaggievacanze #maracaiboviaggipiacenza #maracaiboviaggi #mayanruins #tulum #photography #travel #traveler #travelblogger #yucatanpeninsula #maya #ig_mexico_ #archeology #sitearcheologique #rivieramaya #ruines (presso Tulum, Quintana Roo) https://www.instagram.com/p/BnbX3LiAzqp/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1pzo7b9waw3sy
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Temple of Zeus in Olympia. #olympia #olympie #templeofzeus #templedezeus #archeologie #archeologicsite #sitearchéologique #sitearcheologique #greec #greek #grece #grec #voyage #traveling #travel #roadtrip #vacation #holidays #vacances #greek (à Archaeological Museum of Olympia)
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Sébastien Gondet: “C’est sur le site néolithique de Pendimoun que j’ai attrapé le virus de l’archéologie.” (1/3)
Temps de lecture estimé: 6 min.
Dans cette première partie de l'interview de Sébastien Gondet, nous vous présentons la naissance sur un chantier de fouille de sa passion pour l’archéologie. Dans la seconde partie, vous en découvrirez davantage sur ses missions en Iran et dans la dernière partie, vous en saurez plus sur sa collaboration avec Iconem !
Pourriez-vous brièvement vous présenter ?
Sébastien Gondet, 37 ans, Chercheur au CNRS, archéologue spécialiste des...
..méthodes de prospection, plus particulièrement les méthodes géophysiques, thème de recherche principal : archéologie de l’Empire achéménide (550-330 avt. J.-C.).
Pouvez-vous nous parler brièvement de l’objet de vos recherches ?
Depuis ma thèse sur Persépolis, la grande capitale de la province de Perse, je me concentre sur la thématique de la ville, thématique que je continue d’explorer désormais à Pasargades. Les Perses ne sont pas considérés comme de grands urbanistes, ils ont pourtant fondé ou remodelé un grand nombre de villes. Par les moyens de la prospection, donc la cartographie à large échelle des vestiges archéologiques, j’essaie de restituer les vastes paysages urbains qu’ils ont conçus. Il s’agit de paysages très ouverts où les parcs et les jardins occupaient une place prédominante.
En tant qu’archéologue, l’une de vos missions vous a-t-elle particulièrement marqué ? Pourriez-vous nous la raconter ?
Je dirais que c’est ma première participation à un chantier de fouille, il y a plus de 15 ans. Venant d’un parcours plutôt « sciences dures » je souhaitais découvrir l’archéologie, discipline des sciences humaines qui intègre une grande variété d’approches scientifiques. On m’avait dit de fouiller, ce que j’ai fait. Il s’agissait de l’abri Pendimoun au-dessus de Menton, un site néolithique. Et c’est donc à cet endroit que j’ai attrapé le virus de l’archéologie. Aussi, je m’en rends compte rétrospectivement, ce chantier reste pour moi un modèle de démarche archéologique. Il reste aussi gravé dans ma mémoire pour les bons moments passés avec ses participants. Ce fut aussi pour moi la chance de faire la rencontre de Didier Binder, le directeur du chantier, j’avoue avoir été complètement fasciné par son engagement dans l’enquête archéologique et les cheminements de sa réflexion. Une de mes grandes émotions sur ce chantier c’est d’avoir fouillé une section de colonne vertébrale d’un chien du néolithique. Ça peut paraître assez insignifiant mais je touchais du doigt, pour la première fois, un être vivant du passé… Pour conclure je dois aussi évoquer ma première mission en Iran et ma rencontre avec Rémy Boucharlat, ça a été la seconde grande étape de ma petite carrière.
De quel site archéologique ou monument historique conseilleriez-vous vivement la visite à nos lecteurs ?
Le site de Behistoun, les grandes inscriptions rupestres de Darius gravées sur de hautes falaises, près de la ville de Kermanshah, à l’ouest de l’Iran, qui elle-même abrite l’exceptionnel site sassanide de Takht-e Bostan, avec de très beaux bas-reliefs...
Dans l'image: l'inscription de Behistun, sculptée dans une falaise, donne le même texte en trois langues, racontant l'histoire des conquêtes du roi Darius. Il est illustré par des images sculptées de taille réelle du roi Darius avec d'autres figures présentes. (Source: Wikimedia)
Il y a dans cette région un concentré du très riche art rupestre iranien. Plus près de nous, et de vos lecteurs, je conseillerai vivement d’aller visiter le musée archéologique départemental de Grenoble, une vraie réussite ! Disons que parmi tout ce que j’ai pu voir dernièrement, avec la reconstitution de la grotte Chauvet en Ardèche, c’est une des muséographies les plus originale et intelligente qui m’ait été donné de voir. Ils ont réussi à faire passer de manière tout à fait intelligente et même spectaculaire ce que peut être l’archéologie, sa démarche et ses méthodes, et surtout ce qu’elle apporte à l’histoire.
Dans la seconde partie de l’interview, vous en découvrirez plus sur les missions de Sébastien Gondet en Iran, sur le site fascinant de Pasargades.
> lien vers la seconde partie
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Je viens d'ajouter une épingle sur la board Grèce Voyage: GRECE : Top 5 des sites archéologiques et monuments anciens à voir Dans cet article, je vous parle des lieux incontournables à voir en Grèce si vous aimez l'histoire. | #Grece #Voyage #Travel #SiteArcheologique #Histoire #Ancien #Crete #Olympie #Athenes #Acropole http://bit.ly/2XtgtT5
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Above the road to the Pic de Nore, in the Montagne Noire, a spectacular passerelle has been extended between Saint-Sauveur Church and Hautpoul Castle. Resulting controversy: was an archeological site compromised where the passerelle is anchored? Watercolor, May 2019 #mazamet #passerelle #hautpoul #tarn #occitanie #pontsuspendu #passerelledemazamet #archeologicalsite #picdenore #sitearcheologique #tourismetarn #montagnenoire #suspendedbridge #aquarelle #watercolors #fredericlere (at La passerelle de Mazamet) https://www.instagram.com/p/ByIgHjKnM6a/?igshid=122foq8f8my4j
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Journées du Patrimoine : Clos de la Lombarde Initiation à la mosaïque romaine / Roman period mosaic style lesson 😊👍 #narbonne #closdelalombarde #sitearcheologique #journeesdupatrimoine #mosaiques #mosaic
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Sébastien Gondet: “Quand on cherche on trouve dit-on souvent. C’est le cas à Pasargades et ce n’est certainement pas fini.” (2/3)
Temps de lecture estimé: 6 min.
Voici la deuxième partie de notre interview à S. Gondet, archéologue et chercheur au CNRS . Vous en découvrirez plus sur ses missions en Iran, sur le site fascinant de Pasargades. Et dans la dernière partie, vous découvrirez comment Iconem a collaboré à cette mission ! ( Cliquez ici si vous souhaitez lire la première partie ).
Vos missions se déroulent-elles dans un contexte éprouvant ? (Pour des raisons climatiques, politiques ou autre…) Pourriez-vous nous en parler ? Quelles précautions prenez-vous pour vous protéger ?
Les missions en Iran ne représentent aucun danger pour les personnes, bien au contraire c’est un pays où il est très agréable de travailler. Le niveau de formation des archéologues iraniens est très bon. Il reste que...
..nous sommes dépendants des évolutions géopolitiques internationales. La récente victoire de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis nous plonge par exemple dans l’incertitude quant aux respects des accords signés concernant le nucléaire et la levée progressive des sanctions qui pèsent sur l’Iran. Il est certain que l’évolution des coopérations scientifiques internationales avec l’Iran dépendra en partie du devenir de ces accords.
Quelles sont les raisons qui vous ont poussées à axer vos recherches sur le patrimoine archéologique iranien ?
C’est avant tout ma rencontre avec Rémy Boucharlat, un des grands spécialistes de l’Iran ancien et par ailleurs mon ex-directeur de thèse, qui m’a poussée à concentrer mes recherches sur l’archéologie de l’Iran. Ma première mission avec lui remonte à 2003, à Pasargades déjà. C’est lui qui m’a d’abord initié à l’Iran, mes expériences et mes rencontres avec des iraniens faisant le reste. Ensuite, outre la beauté de Pasargades et de Persépolis, de leurs paysages, c’est vraiment l’énigme archéologique qu’ils représentaient et l’enquête qu’elle impliquait qui expliquent mon engagement dans l’étude de ces sites. Il y avait là des dossiers à reprendre complètement, des défis à relever qui devaient et pouvaient trouver des solutions.
S. Gondet et un collègue près de la tombe de Cyrus II de Perse.
Quelles sont les spécificités de la recherche archéologique en Iran (conditions, relations avec les autorités, etc) ?
Les missions de coopération archéologiques en Iran sont des missions conjointes, c’est-à-dire que je partage la direction de notre projet à Pasargades avec Kourosh Mohammadkhani qui est maître de conférences en archéologie à l’Université de Shahid Beheshti à Téhéran. C’est un mode de fonctionnement très efficace et tout à fait bénéfique pour les deux parties qui s’enrichissent mutuellement. Cela permet également aux missions étrangères en Iran de ne pas être « hors-sol » et d’avoir un ancrage dans un monde académique iranien très vivant. Les autorités du patrimoine demandent de plus en plus à ce que les missions accueillent des étudiants pour parfaire leur formation aux méthodes de terrain. En 2016, nous avons accueilli près d’une dizaine d’étudiants en master, en majorité des jeunes filles très motivées et impliquées pleinement dans nos travaux de recherches à Pasargades.
Quelles sont/ont été vos attributions en tant que codirecteur la mission Irano-Française « Shiraz » ?
Avec Kourosh nous mettons au point tous les deux le programme scientifique de la mission que nous soumettons aux autorités du patrimoine iranien. Nous sommes ensuite en charge de mener à bien ce programme. Je m’occupe donc de trouver les fonds nécessaires, côté français, pour ce faire. Nous recevons l’aide précieuse du Ministères de Affaires Etrangères via la Commission de fouilles françaises à l’étranger. Nous venons aussi d’obtenir un financement de l’Agence Nationale pour la Recherche. Il s’agit aussi de réunir et de piloter une équipe en France et sur le terrain en Iran. Kourosh assure les mêmes fonctions côté iranien. Ensuite il faut rendre les rapports, publier les articles, etc. Mener à bien le travail de chercheur en somme !
Une vue du palais privé de Cyrus the Great à Pasargadae, Iran.
La mission « Shiraz » a-t-elle procédé à des découvertes archéologiques sur le site de Pasargades ?
Oui beaucoup !! Quand on cherche on trouve dit-on souvent. C’est le cas à Pasargades et ce n’est certainement pas fini. Le site faisant potentiellement 6 km², il reste de nombreux éléments de la ville à mettre au jour et à comprendre. La liste des apports de nos recherches à la connaissance de ce site est longue. Je retiendrai ici la mise en évidence, en 2008 alors que Rémy dirigeait la mission, d’un très vaste bassin, un plan d’eau artificiel, au sud-est du jardin royal de Pasargades. Ce bassin mesure tout de même presque 1,5 ha !! Il modifie notre vision du jardin, connu par ailleurs grâce aux restes de canaux en pierre qui le parcourait, la place de l’eau était donc prépondérante dans le parc de Pasargades. Dans un milieu montagnard assez aride, Pasargades témoignait de la capacité des grands souverains achéménides à remodeler le paysage et à dominer les éléments. Cette découverte démontre aussi la grande maîtrise des perses en ingénierie hydraulique.
Dans la troisième partie de l’interview, vous en saurez plus sur l'importance de la photogrammétrie aérienne pour l'archéologie et découvrirez que les imprévus, parfois, peuvent apporter des avantages dans les missions sur le terrain!
> lien vers la troisième partie
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Journées du patrimoine : Clos de la Lombarde #narbonne #journeesdupatrimoine #sitearcheologique #fouillesarcheologique #closdelalombarde
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