#signes extérieurs de richesse
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"Autrefois, entre la mer de Corail et l'océan Indien, mais sur le chemin de nulle part, s'étendait un district du nom de... Oh, disons Inglewell."
Ces lignes m'apaisent immédiatement.
Voilà quelques semaines que je me bats contre un livre, et le mot n'est pas trop fort. J'avais commencé une lecture à propos d'un tueur en série. J'aime beaucoup. La trame est sympa, avec une analyse psychologique assez précise du tueur depuis l'enfance. Un premier chapitre agréable à lire. L'homme s'échappe de l'hôpital psychiatrique, on est dans son esprit fou mais d'une intelligence incroyable, plusieurs coups d'avance sur tout ce qui pourrait lui arriver et la promesse de ne pas être en cavale une fois évadé de l'hôpital. Et puis il tue, encore et encore. C'est sanglant, motivé, horrible mais c'est un thriller, je ne m'attendais pas à moins.
Et puis, le contexte. Tous les hommes ont des postes importants. Toutes les femmes, absolument toutes les femmes de l'histoire sont dépeintes comme sans cervelle mais calculatrices, vicieuses, appâtées par la beauté d'un homme , sa jeunesse et ses signes extérieurs de richesse, pendues à leurs envies libidineuses. Et que si elles se font tuer, elles l'ont bien cherché. Tous les hommes de l'histoire sont des prédateurs, à commencer par le tueur, mais également les journalistes, policiers et les hommes politiques qui chacun à leur tour alourdissent des passages de l'histoire avec ce qu'ils pensent des seins de leur secrétaire, ce qu'ils imaginent devant les corps dénudés et abimés des victimes (uniquement des femmes bien sûr sinon ce n'est pas drôle), ce qu'ils feront subir à leur maîtresse alors qu'ils ont été titillés (private joke inside) par la vue des formes de telle ou telle femme. Je me sens oppressée et entourée de pervers dès que j'ouvre ce bouquin alors décision a été prise de le refermer et de l'oublier quelque part, au moins un moment.
Et donc quand je commence "L'envol" de Kathleen Jennings, je ressens déjà un peu de bien-être et d'air frais, je me sens un peu apaisée sur le chemin de nulle part, entre la mer de Corail et l'océan Indien. Il semble que l'ambiance s'assombrit d'ici peu car il s'agit d'un mélange de fantasy urbaine et d'horreur gothique mais je n'ai aucune idée de ce que ça signifie et ça ne sera de toutes façons pas pire que mon overdose de pervers.
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La rencontre, une philosophie, Charles Pépin
"La rencontre exige cette disponibilité-là : être capable de prendre son temps, de le perdre aussi, de s'arracher à la dictature des choses à faire, à la pression de l'urgence [...] Le temps est devenu une valeur. Nous surchargeons nos agendas pour donner l'impression d'une vie bien remplie, d'une réussite sociale, professionnelle; être débordé est devenu signe extérieur de richesse. Celui qui a du temps fait figure d'oisif, de paresseux, voire de loser... Nous en venons à détruire la possibilité même de notre disponibilité."
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Signe extérieur de richesse…
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Johnny Hallyday - Signes extérieurs de richesse
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Laver le monde
« Le Voyage de Chihiro, en japonais Sen to Chihiro no kamikakushi (littéralement « Kidnapping par les dieux de Sen et Chihiro ») est un film d'animation japonais écrit et réalisé par Hayao Miyazaki et produit par le studio Ghibli, sorti en 2001.
Le film raconte l'histoire de Chihiro, une fillette de dix ans qui, alors qu'elle se rend en famille vers sa nouvelle maison, entre dans le monde des esprits. Après la transformation de ses parents en porcs par la sorcière Yubaba, Chihiro prend un emploi dans l'établissement de bains de la sorcière pour retrouver ses parents et regagner le monde des humains.
Miyazaki écrit le scénario en s'inspirant librement d'un roman de Sachiko Kashiwaba (La Cité des brumes oubliées) ainsi que de la fille de son producteur associé, Seiji Okuda, qui vient lui rendre visite chaque été. Il y développe plusieurs thèmes qui lui sont chers, dont l'intégration par le travail collectif, le voyage initiatique, le renouement avec les valeurs ancestrales et le danger de la société moderne pour la nature et les traditions. »
« Au début du film craintive et apathique, Chihiro saura grandir et gagner confiance en elle afin d'affronter différentes péripéties dans le monde des esprits où elle est précipitée. Elle parvient ainsi à purifier l'esprit puant, à humaniser le Sans-Visage sans céder à ses tentatives de corruption, et à porter secours à son ami Haku et à ses parents. Lorsque Chihiro signe son contrat, Yubaba lui vole son nom et elle devient Sen, employé des bains ce qui traduit alors la perte de son individualité. Dans la première partie du film, le scénario et le dessin de Masashi Andō révèlent le doute chez Chihiro, sentiment que les personnages de Miyazaki expriment habituellement peu. La seconde moitié du film, où Chihiro est devenue courageuse, marque un rapprochement avec les héroïnes des films passés de Miyazaki comme Nausicaä et San. »
« Sans-Visage (Kaonashi) est un personnage mystérieux et masqué, il peut disparaître à sa convenance. Au départ, il n'est pas doté de parole mais, en subjuguant des employés du bain avec des richesses, il parvient à exprimer son insatiable appétit, car en les « dévorant » il peut absorber leur voix et leur personnalité. Seule Chihiro refuse ses cadeaux, ce qui le frustre et finira par lui faire perdre raison.
C'est son apparition sur un dessin a inspiré Miyazaki pour la création de ce personnage sans identité. Le personnage n'est donc pas inspiré du folklore japonais contrairement aux autres esprits; il porte toutefois un masque de nô qui symbolise dans cette forme de théâtre traditionnel la dissimulation de soi et la confusion des identités. »
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« Kegare (« impureté, souillure ») est le terme japonais pour désigner un état de pollution et de souillure, important en particulier comme terme religieux dans le shinto. Les causes typiques de kegare sont le contact avec toute forme de mort, l'accouchement (pour les parents), la maladie et la menstruation. Dans le shinto, le kegare est une forme de tsumi, (violation de tabou), qui doit être en quelque sorte compensé par la personne responsable. Il peut être remédié à cette situation par des rites de purification appelés misogi et harae. Le kegare peut avoir un impact négatif non seulement sur la personne directement concernée, mais aussi sur la communauté à laquelle il ou elle appartient.
Le kegare n'est pas une forme de jugement moral, mais plutôt une réaction spontanée aux forces naturelles amorales. Que la souillure soit causée par un acte délibéré, comme dans le cas d'un crime ou d'un événement extérieur comme la maladie ou la mort, est secondaire. Ce n'est donc pas l'équivalent d'un péché. »
« Chihiro Ogino, dix ans, boude à l’arrière de la voiture de ses parents ; ces derniers ont décidé de déménager à la campagne, et la petite fille regrette son ancienne école. En cherchant à rejoindre leur nouvelle maison, ils se perdent au bout d’une route tortueuse et arrivent devant un tunnel. Le traversant, malgré la réticence de Chihiro effrayée, ils arrivent dans ce qu’ils pensent être un parc à thèmes abandonné. Sentant une odeur de nourriture, ils rejoignent une échoppe vide regorgeant de victuailles, et les parents de la fillette s’installent ; prévoyant de payer en partant, ils commencent à manger goulûment. Agacée par leur comportement, Chihiro part explorer le village abandonné et se retrouve à l’entrée d’un pont menant à un palais des bains. Là, un jeune garçon l’avertit de partir vite avant le coucher du soleil. »
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Démystifier l’affiliation : Les Vérités Qui Dérangent, Emma dit tout
Lors d’une invitation pour une interview, on m'a demandé si je serais d'accord pour dévoiler le montant total des commissions gagnées depuis que je me suis lancée dans l'affiliation...
Et là, je me suis rendue compte que je ne m'étais jamais posé la question
Alors j'ai pris un thé, une calculette et je me suis mise à éplucher tous les comptes affiliés chez mes différents partenaires
C'est ainsi que je me suis aperçue que je venais de dépasser les 50 000€ de commissions en 3 ans
2 ans plus tard, j'ai même dépassé les 100 000€ de commissions.
Rien que sur 2 plateformes, voici ce que ça donne :
Le reste est dispersé sur plein de petits comptes affiliés,
mais rien que ces chiffres te permettent de visualiser le potentiel de l'affiliation.
Alors pourquoi je te raconte tout ça ?
Pas pour me faire mousser, au contraire je suis plutôt de nature discrète, dans la "vraie vie" tu ne me verras jamais brandir mes chiffres ou autre signe extérieur de "richesse".
Mais premièrement, il me semble normal de montrer que ce que j'enseigne fonctionne.
Combien de personnes proposent des formations sans avoir l'expérience, les résultats et les compétences requises ?
D'ailleurs récemment on me demandait si je continuais à faire de l'affiliation, ou si je vendais seulement ma formation ?
Car effectivement, beaucoup de formateurs ne pratiquent plus ce qu'ils enseignent et gagnent uniquement leur vie avec la vente de leur formation, ce qui peut mettre le doute sur la réelle opportunité de leur méthode
(même si en soi ce n'est pas quelque chose qui me choque personnellement,
un boulanger peut très bien vendre sa boulangerie et devenir prof sans un centre de formation,
cela ne remet en cause ni ses compétences, ni l'avenir du métier.
Mais sur internet, avec toutes les arnaques qui circulent, je comprends que certaines personnes se posent la question)
Pour ma part, il me semblait important de te rappeler que je pratique toujours l'affiliation et que mes résultats ne cessent d'augmenter.
Et comme j'ai mis en place des process bien rodés, j'y passe de moins en moins de temps.
Travailler moins, pour gagner plus... je dois bien reconnaître que c'est agréable.
Et ça me permet de me consacrer à de nouveaux projets, avec toujours cette soupape de sécurité pour mes revenus.
C'est justement tout ce que j'enseigne dans ma formation Les Reines de l'Affiliation.
Je donne l'intégralité du process que j'ai mis en place depuis mes débuts, jusqu'à aujourd'hui.
Pour toi c'est un gain de temps énorme, cela t'évitera de tomber dans certains pièges que j'ai pu rencontrer, et de mettre tout de suite les bonnes actions en place.
La 2ème raison pour laquelle je tenais à te partager mes résultats, c'est pour te montrer que partir de zéro, ne pas se montrer, ne sont pas des freins à ta réussite.
Quand j'ai commencé l'affiliation :
j'étais maman au foyer,
je ne connaissais rien au business en ligne,
allergique à la technique
et je n'avais même pas de compte Instagram.
Bref, quand je dis que je suis partie de zéro ce n'est pas pour faire genre, j'étais vraiment madame tout le monde.
Et en plus de ça, j'ai pris le parti de ne JAMAIS me montrer, ni mes enfants ou ma famille d'ailleurs (pas même mon chat),
je ne montre pas non plus mon intérieur ou autre éléments de ma vie privée.
On m'avait dit qu'il serait impossible de décoller dans ces conditions, que les gens ne me feraient pas confiance.
Et bien en te montrant mes chiffres aujourd'hui j'espère bien te prouver que c'est faux et que si toi aussi tu n'as pas envie de te montrer, alors ne le fais pas.
Quoi que tu fasses, sois toujours en accord avec tes valeurs, tes envies.
Sois toi-même, sans chercher à rentrer dans un moule.
Je suis fière et heureuse de pouvoir montrer par l'exemple que c'est possible,
ainsi j'espère que si tu as envie de te lancer mais que tu bloques en te disant que tu as peur de te montrer,
alors tu sais désormais que ce n'est pas un passage obligé.
Et tout ce que j'enseigne dans ma formation Les Reines de l'Affiliation est applicable :
que tu souhaites te montrer ou non
que tu sois expérimentée ou que le monde du web te soit encore totalement inconnu.
D'ailleurs, il ne reste plus que quelques jours pour nous rejoindre avant l'augmentation du prix.
Ensuite ce sera trop tard...
Si tu n'es pas disponible pour suivre la formation actuellement, sache que tu as accès à vie à la formation.
Tu peux donc profiter du prix actuel pour y revenir plus tard sans problème.
Pour découvrir l'intégralité du programme de formation et réserver ta place, il suffit de��cliquer ici
Si tu as la moindre question, il te suffit de nous adresser un message, nous te répondrons sous 24h.
Belle journée et à bientôt
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Fiche El Khorba
La ksar revivifié El Khorbat (région d’Errachidia)
« C’est grâce à lui que la vie continue dans le ksar »
Site
Situé dans la région comprise entre Ouarzazate, Zagora ,Midelt et Errachidia, autrefois dénommée le triangle d'or, à50 Km à l'est de Tinghir dans la basse vallée du Todra, El Khorbat, qui signifie « les ruines », est un ancien ksar, c’est à dire un village fortifié bâti en terre crue au XIXe siècle et récemment restauré. Il est situé dans l’oasis de Frekla et regroupe 152 habitations en pisé.
« La particularité du ksar El Khorbat d’avoir été de tout temps un lieu anodin, éloigné des pouvoirs politiques et militaires, différent des grands ksars et casbahs du Tafilalet ou d’ailleurs. Cette simplicité, illustrée dans son architecture et l’absence des signes extérieurs de richesse, a conduit la population à se méfier des considérations politiques et à toujours se débrouiller entre eux. »
• D’un point de vue bio-géographique,
• D’un point de vue socio-économique, la région est essentiellement agricole
• D’un point de vue culturel, on assiste dans la région à une perte totale du patrimoine qui est soit vendu aux antiquités, soit jeté,soit détérioré par le temps
Le ksar lui-même est habité à moitié. 11 ans de travaux ont été nécessaires pour le restaurer.
Fondements
L’objectif est d’utiliser l'écotourisme et les nouvelles formes de tourisme responsable et un certain mode de vie traditionnellede convivialité, démocratie et solidarité sociales, pour sauvegarder un patrimoine historique et artistique d’une valeur incalculable, les kasbahs en terre crue, en luttant contre un exode rural de pauvreté.
Démarche
D’une idée germée en 1998, le projet réellement a été initié en 2002 par trois partenaires : Ahmed Ben Amar, Joan Castellana et Roger Mimó en partenariat avec l'Association El Khorbat pour le Patrimoine et le Développement Durable pour améliorer les conditions de vie des habitants et pour le développement économique de l'oasis.
Les principes qui fondent le projet sont un souci certain de l'intérêt collectif, la rigueur et le souci du détail, le respect des lois sur le travail, le sérieux à ne pas gaspiller l’eau et l’électricité et à bien gérer les déchets, la réalisation d’actions uniquement si elles peuvent être financées totalement sans inconvénient et une patience constante.
La démarche a suivi la logique suivante :
Dans un premier temps, stopper l’exode rural et la dévitalisation du ksar en effectuant l’assainissement nécessaire, premier Problème pour la vie quotidienne
Dans un deuxième temps, créer une activité touristique capable de générer des recettes redistribuables
Dans un troisième temps, grâce à ce financement, crée de l’emploi et soutenir la production de biens et produits, y compris artistiques, issus du savoir-faire régional.
Elle a été concertée du début à la fin, en expliquant et en obtenant l’accord de tous. La méthode employée est souple, progressive (« petit à petit »), non autoritaire.
Actions
Economie
• Le réceptif :
Construction d'une maison d'hôtes.
Réalisation d’un restaurant
4 chambres dans un premier temps, 10 aujourd'hui (36 lits). Ouverte en 2002, la maison d’hôte occupe un ensemble de maisons restaurées et reliées entre elles, à l'intérieur du ksar.La superficie couverte est de 18600m², répartie sur trois niveaux.
• Embauche locale : 18 personnes (gabarit 36 lits)
Détail :
Emplois directs – salariés permanents :
18 - 13 femmes et 5 hommes. Il s’agit des « premières employées de la région à bénéficier de la couverture sociale de la CNSS » (Caisse Nationale de Sécurité Sociale)
9 artisanes
Emplois indirects transformés en équivalents emplois directs - plein temps :
1animateur-guide
1 jardinier
2 potiers (ateliers de poterie)
1 boucher (même fournisseur pour des raisons de qualité de viande)
1 volailler
1 boulanger (une association, 900 DHM/mois eq 1 emploi)
1 maraîcher
1 détaillant articles divers
2 personnes entretien
Emplois saisonniers ou temporaires :
3 personnes pour une durée de 4 à 5 mois
Emplois temporaires (construction)
25 personnes pour une durée de 15 mois
Ratio : environ 1 emploi créé par lit.
Social
• Conditions d’emploi : *** à compléter
• Formation : à compléter
Environnement
• Suivi des consommations d’eau et d’électricité
à compléter
Patrimoine culturel
• Réalisation d’un « Musée des oasis » présentant la culture oasienne.
Le musée n’est pas « un bazar déguisé » mais développe une approche didactique qui « permet de mieux cerner la façon de vivre des peuples nomades, certains objets uniques apportant un éclairage incomparable sur un mode de vie écologique. »
3720 visiteurs de janvier 2012 à *** (quelle année ?)
49 photos explicatives
33 photos historiques
17 plans et croquis
14 maquettes et reproductions
6 cartes à thèmes
4 tableaux explicatifs peints par l'artiste local Rachid Bouskri
22 salles, chacune traitant d'une thématique de la vie dans les oasis du sud du Haut Atlas.
Relation au territoire local, l’ensemble villageois Ksar
Création d’une association de développement qui permet de réaliser des actions dans l’espace public.
Grâce aux bénéfices de l’activité d’hébergement et des visites au musée :
• Remise en état des rues intérieures
• Réhabilitation de une ou plusieurs maisons chaque année pour freiner la détérioration de l’ouvrage commun, fragile.
• Aménagement et ouverture d’un local communautaire
• Création d’un centre de santé
• Création d’une crèche (enfants de moins de 15 ans)
• Création d’une école pré-scolaire(env. 40 enfants)
• Création et fonctionnement d’un atelier de poterie
• Création d’un salon de artisanat local détail ?
• Soutien à une coopérative féminine (articles en tissus brodés) par le salariat et l’organisation d’un point de vente aux touristes sans intermédiaires
• Création d’un centre cultureldétail ?
Relations au territoire non local
Partenariat notamment avec :
• L’école d’architecture de Barcelone pour la réalisation des canaux d’assainissement
Effets
Conservation du patrimoine matériel
• Revitalisation du ksar : 54 habitations en fonction en *** (quelle est l’année ?), 86 en *** (année ?).
• Revalorisation des habitations, avec une valeur en hausse d’un facteur 10 en moyenne. Contrairement aux ksours voisins, il y a une forte demande pour acheter des habitations dans le ksar El Khorbat.
• Projet d’implantation de résidences secondaires pour des familles marocaines de la ville, dans un mouvement de retour à la campagne.
Confiance
• Pour les habitants, un nouveau sentiment de confiance « dans un meilleur avenir et la possibilité de rester sur place et gagner sa vie ».
• Les habitants du ksar ont confié des objets appartenant à leurs familles depuis des dizaines d’années,dans l'objectif de les conserver et de les mettre en valeur grâce au musée.
Fierté
• Les personnes embauchées pour les visites et l'entretien, mais aussi lacommunauté locale dans sa globalité affiche, à travers le projet, affichent une fierté de leur culture, trop souvent passéesous silence.
• Il y a également la fierté de vivre dans un ksar alors que partout ailleurs c’est mal vécu, avec des connotations négatives de pauvreté,de honte.
Compréhension interculturelle
Les visiteurs repartent du ksar El Khorbat avec le sentiment d'avoir appris sur la vie dans les oasis, sensiblesaux questions d’environnement. Après avoir vu de nombreux ksour sur leur route,le projet montre qu’une autre voie est possible. Il apporte aux voyageurs et aux résidents un complément d'information et il permet aux visiteurs de se projeter dans une période plus ancienne mais complétement bouleversée par le mode de vie contemporain.
Menaces et difficultés
• En termes de patrimoine, la difficulté est de conserver certaines pièces qui peuvent se détériorer avec le temps (notamment les khettaras) et rechercher de. Il faut remarquer que la recherche de nouveaux objets illustrant la richesse et la diversité de la nature oasienne bénéficie de la prise de conscience des habitants, qui confientcertains objets qu'ils ne souhaitent pas voir disparaitre.
• Essayer de dupliquer la démarche, qui est de revaloriser une culture matérielle mais aussi immatérielle (un mode de vie), sous forme d’un circuit associant des personnes partageant la même volonté et offrant des prestations complémentaires mais homogènes par catégories : c’est difficile mais pas impossible.
• Comment redonner force auxprincipes du système tribal (un responsable « chef de tribu » et un « parlement » regroupant les représentants des fractions du ksar), qui, en privilégiant l’intérêt collectif du ksar d’une manière radicale, est certainement plus efficace qu’une gestion administrative et politique des problèmes ?
Conclusion sur notre philosophie de travaille
elkhorbat est un Hébergements de caractère, qui privilégie le contact humain dans un cadre traditionnel et de charme. Ce type de l'hébergement en chambre d’hôtes est un excellent moyen pour découvrir un ksar de manière naturelle et en douceur, de rencontrer ses habitants, de comprendre ses us et coutumes et un autre mode de vie, de goûter aux parfums de la cuisine oasien. Vous découvrez un véritable cadre de vie, confortable et spacieux, respectant l’architecture traditionnelle. Vous êtes reçus par l’hôte, le propriétaire et son équipe, qui vous ouvre les portes de sa demeure comme pour sa propre famille. - En séjournant dans une chambre d’hôtes, vous contribuez à la sauvegarde du patrimoine et à la restauration d’anciennes maisons, souvent en ruines ou destinée à la démolition. - Vous participez au développement économique d'une zone dépourvues d’activités économiques. - Une occasion de discuter avec les hôtes de passage, et de se faire de nouveaux amis. Un thé de bienvenue est offert à chaque client lors de son arrivée. Si l’hôte est présent, celui-ci le recevra et lui fera les honneurs de sa maison. Afin que le client se sente comme chez lui, une visite des lieux
À 50 km à l'est de Tinghir dans la basse vallée du Todra, El Khorbat est un ancien ksar, un village fortifié bâti en terre crue au XIXe siècle et récemment restauré grâce à la coopération internationale. Ce petit îlot de paix a reçu le prix Maroc tourisme responsable. Visite guidée avec le maître des lieux, Hmad Ben Amar. ADVERTISING Petite perle du sud logée non loin de Tinghir dans la région d’Er-Rachidia, le Ksar El Khorbat se voit revivifié car c’était une bâtisse abandonnée, que l’on a réaménagée et auquel Hmad Ben Amar a su donner un nouveau souffle de vie. L’idée était de garder l’authenticité de ce haut lieu de la culture du sud intacte. 11 ans de travaux ont donc été nécessaires pour permettre à 86 familles d’y vivre et de créer un musée dont le rôle est de rappeler l’histoire de la région. «Ce projet est née d’une idée très simple, redonner vie au ksar où j’ai passé mon enfance. Ma passion pour les choses dites «authentiques», m’a poussée à «chasser la mort» de ce monument et lui redonner ses couleurs et traits d’antan», confie Hmad Ben Amar, maître des lieux. «Dans un premier temps, l’idée était de revitaliser notre ksar, en offrant un musée aux touristes qui n’ét
SOUK EQUITABLE L’organisation depuis 2013 la « semaine du souk équitable de: le tourisme équitable, levier de développement de la femme oasienne». Ce Souk à caractère de manifestation culturelle est porté par l’Association El Khorbat pour le Patrimoine et le Développement Durable, .Il vise en premier lieu à promouvoir les produits du terroir des oasis du Tafilalet à travers l’écotourisme et dans une perspective de commerce équitable. Il vient également et ouvrir de nouveaux horizons pour le développement d’un tourisme solidaire au niveau local, qui implique le visiteur des oasis dans la préservation du patrimoine oasien et la contribution au développement des activités génératrices de revenus des artisans et des agriculteurs locaux, en particulier les femmes. Objectifs du Souk Valoriser le patrimoine culturel des oasis du Tafilalet, en particulier les produits du terroir et de l’artisanat Créer un circuit gastronomique au sein du territoire de ferkla Capitaliser la démarche du gite elkhorbat dans les projets territoriaux à caractère environnemental à travers la Charte Comme la cuisine locale est un espace parfait pour promouvoir les échanges entre voyageur et population locale.
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Thaïlande. Une tarentule comme animal de compagnie, une nouvelle façon d’en mettre plein la vue
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
En Thaïlande, posséder un animal rare est un signe extérieur de richesse. Une tendance qui inquiète les protecteurs de la biodiversité, raconte l
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Le blazer, signe extérieur de richesse intérieure
Frank Bou-Hassira : http://dlvr.it/SvVVg9
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Thank you for the tag! <3
Last Song: May I, Trading Yesterday
Favorite Color: Pink and turquoise
Last Movie/TV Show: Signes extérieurs de richesse (Outward signs of Wealth, a French comedy)
Sweet/Spicy/Savory: Savory!
Relationship Status: Single, happy with my cat, family and friends^^
Last Thing I Googled: Palais des thés (a site that sells tea, I need to resupply!)
Current Obsession: My Candy Love and Hazbin Hotel, help me.....
Last Book: a French comic called "Les Artilleuses" :)
Looking Forward To: my vacations ;_;
Tagging: @notmoreflippingelves ; @chonaku-things ; @twinklecupcake ; @chlogummy and whoever wants to do it^^
Tagged by @modocanis, thanks <3
Last Song: Puppeeter, from Epic the Musical
Favorite Color: yellow
Last Movie/TV Show: Malcolm in the Middle, currently rewatching s6
Sweet/Spicy/Savory: Sweet I guess?
Relationship Status: I have a cat that act like she's both my child and my husband
Last Thing I Googled: "potato sack" because of this post
Current Obsession: Star Wars, most of all the relationship between my sweet poncho boy and his disaster murderbot dad
Last Book: currently reading The Apothecary Diaries manga, I need to read book 11
Looking Forward To: The Underworld Saga from Epic the Musical
Tagging: @naehja, @saemi-the-dreamer, @istadris, @wilwywaylan, and whoever wants to do it
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Souvenirs cinématographiques mariellissimes (2)
#movie poster#jean pierre marielle#plus ça va moins ça va...#sex shop#que la fête commence...#Pétrole ! Pétrole !#signes extérieurs de richesse#les mois d'avril sont meutriers#quelques jours avec moi#Max & Jérémie#Max et Jérémie#tous les matins du monde#micmacs à tire larigot
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#à la tienne#jean-pierre marielle#les galettes de pont-aven#coup de torchon#le pistonné#signes extérieurs de richesse
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Kim Ho-joong, tank-like strength plus vocal Signes extérieurs de richesse
Source: k-star-holic.blogspot.com
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Johnny Hallyday - Signes extérieurs de richesse
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#ToutSaufMacron
Je ne pensais quand même pas devoir assister en rage, au nouveau déploiement du grand barnum destiné à animer l’entre deux tours de la présidentielle. « La grande quinzaine antifasciste à nouveau dans votre ville ! » Je me trompais, ils sont tous là, les petits marquis, les profiteurs, les obligés, les corrompus, les « artistes » subventionnés, les sportifs ingrats, les faux intellectuels, ceux qui veulent aller à la soupe, ceux qui veulent la garder, les comiques officiels, les journalistes sans morale, les fonctionnaires dévoyés, tous ceux qui portent leur « antifascisme » à la boutonnière, comme un signe extérieur de richesse. Toutes les tribunes leur sont ouvertes, car notre oligarchie devenue ploutocratie a ses méthodes : le rouleau compresseur de ses médias, les pressions et l’intimidation pour les récalcitrants, on ne veut voir qu’une tête et l’entendre clamer tout unanimement : « no pasaran ! »
Lionel Jospin, quand même idéalement placé, leur a pourtant dit en d’autres temps que c’était « du théâtre ». Et la plupart savent parfaitement qu’il n’y a aucun danger fasciste dans notre pays, mais ils font semblant. Parce qu’ils pensent que c’est le moyen de conserver leurs avantages de classe, aussi maigres soient-ils pour certains et que le sort de ce pays, leur patrie leur est indifférent. Le laisser à la merci du fondé de pouvoir du Capital néolibéral et à celle de la bureaucratie bruxelloise dirigée par l’Allemagne ne leur pose aucun problème. Alors on insulte la moitié du peuple français, qui nous disent les sondages s’apprête à faire le choix de Marine Le Pen. Les premiers de corvée, ceux qui travaillent dur, produisent, ceux qui se lèvent tôt, ceux qui sont au chômage, ceux dont le porte-monnaie est vide le 15 du mois, ceux qui voient disparaître les services publics, ceux qui s’inquiètent pour leur pays parce qu’ils l’aiment, et s’angoissent pour l’avenir de leurs enfants, eh bien tous ceux-là, ce sont des fascistes voire des nazis, nous disent les belles âmes. Faux prétexte, évidemment pour tenter de maintenir à tout prix Emmanuel Macron à l’Élysée, et qui est finalement un message clair pour la France d’en bas : « qu’ils crèvent ! »
Pierre Desproges disait souvent : « parlons de moi, il n’y a que ça qui m’intéresse », et je crois nécessaire d’en passer par là pour expliciter un choix qui pourrait paraître à certains contradictoire avec ce que furent les engagements d’une vie.
Antoine de Saint-Exupéry disait qu’on était « de son enfance, comme d’un pays ». Pendant celle-ci, dans l’éducation que j’ai reçue, on m’a appris la maxime suivante : « avantage de la particule, on n’aime pas la bourgeoisie, avec le peuple on peut s’arranger. En commençant par le respecter. » Le meilleur moyen étant de le connaître, ce fut l’école publique, le sport collectif obligatoire, et les vacances scolaires étant considérées comme trop longues, le travail d’abord agricole dans les fermes, puis en usine, histoire d’apprendre à vivre. La confrontation avec la condition ouvrière à la fin des années 60 fut un choc qui eut trois conséquences. D’abord, de prendre au sérieux les études qui permettaient de l’éviter, ensuite d’appréhender physiquement ce qu’était l’exploitation, et enfin la naissance d’une solidarité avec le monde du travail toujours présente 50 ans plus tard. Les étapes qui conduisirent à l’engagement communiste furent vite franchies grâce au mai 68 ouvrier, à la lecture de Marx et de quelques autres, et à l’entrée dans la vie active dans un métier où précisément l’engagement politique était possible. J’ai donc espéré l’émancipation humaine et j’ai partagé ce qui fut finalement la grande passion du XXe siècle. Le Parti communiste français était sûrement plein de défauts, mais il était l’expression politique de la classe ouvrière et l’outil d’intégration de celle-ci à la Nation. Et la CGT, incontestable « courroie de transmission » la défenseuse indispensable de ses intérêts. Il n’était pas toujours confortable d’être communiste, car cela pouvait impliquer des sacrifices familiaux, sociaux ou matériels. Puis il a fallu se confronter à l’échec du projet qui fut parfois terrible et sanglant, voir l’espérance s’évanouir et porter son deuil. En pensant à ces camarades de combat, « tous formidables, mais ça n’a pas marché ».
Mais on finit toujours par se dire que peut-être, qui sait, l’espoir de l’émancipation n’est pas éteint. Et en constatant que les ressorts du choix sont intacts, la solidarité avec les gens d’en bas toujours présente, penser que si nous avions perdu, ce fut ensemble et que s’il y a quelque chose à reconstruire, ce sera avec eux. Les invisibles, ceux de la France périphérique, expulsés de la vie publique, dont la parole n’est jamais prise en compte, à qui on applique des lois discutées et adoptés par des institutions où il n’y a pas un ouvrier ou un salarié d’exécution des services. Que l’on matraque, éborgne, ampute, emprisonne s’ils ont le malheur de se mettre en colère ou de vouloir protester. Eh bien, ceux-là aujourd’hui, ils font confiance à Marine Le Pen et veulent la porter à la présidence de la république. Pour mettre fin à l’emprise quarantenaire sur la Nation du bloc élitaire néolibéral mis en place par François Mitterrand. Pour s’entendre traiter de fascistes par les profiteurs, les corrompus, les petits calculateurs, les arrivistes, et les imbéciles. Ravie la bourgeoisie qui ne pense qu’à son portefeuille, se frotte les mains et leur laisse faire le sale boulot. Jusqu’aux organisations politiques et syndicales « de gauche » qui ont tout raté et n’ont rien empêché, appelant aujourd’hui à voter pour un système liberticide autoritaire dont elles savent très bien qu’il va poursuivre sans frein le démantèlement de notre État social, et la transformation de la France en république bananière.
Parce qu’il faut être clair, que veut dire voter pour Emmanuel Macron ? C’est d’abord approuver son bilan, la destruction du droit du travail, la poursuite de celle du système de santé, entériner l’affaiblissement drastique des institutions avec la disparition de la séparation des pouvoirs, la violence contre les mouvements sociaux et en particulier la répression jamais vue depuis la guerre d’Algérie du mouvement des gilets jaunes, s’accommoder des multiples lois liberticides, de la mise en place d’un système ultra autoritaire où la liberté d’expression et de manifestation sont tous les jours malmenée, ne voir aucun inconvénient aux privatisations réservées aux copains, à la poursuite du dépeçage de l’outil industriel français, à la corruption géante du sommet de l’appareil d’État… On s’en tiendra là, mais la liste est encore longue.
Voter pour Emmanuel Macron c’est ensuite lui donner carte blanche pour un mandat non renouvelable, dans un contexte où il n’y aura aucune élection intermédiaire avant quatre ans. Alors, on connaît cet homme, on sait quels sont ses projets et quels intérêts il défend, ce sera donc « all inclusive et open bar ». La sécurité sociale et le système des retraites seront démantelés au profit des fonds de pension. Les amis de chezMcKinsey seront chargés à grands frais de la mise en place, et ceux de Blackrock raflerons la mise. Ce qui reste du tissu industriel français sera vendu à l’encan pour la grande joie des banques d’affaires qui se serviront au passage, notre souveraineté finira d’être démantelée au profit d’une UE dominée par l’Allemagne, à qui nous permettrons de partager notre siège au conseil de sécurité de l’ONU et de disposer de notre force de dissuasion nucléaire. Le tout bien sûr au nom d’une « souveraineté européenne » qui n’existe pas. Et puis il ne faut pas oublier, la disponibilité personnelle d’Emmanuel Macron pour toutes les dérives sociétales. Les bourgeois catholiques qui ont abandonné Valérie Pécresse pour protéger leur portefeuille, boiront le calice jusqu’à la lie. Au bout de ces cinq nouvelles années, la France sera méconnaissable et ce sera irréversible.
Alors quand on entend les antifascistes de pacotille venir nous dire qu’il faut voter Macron pour ensuite mener les luttes au Parlement et dans la rue, on reste interdit devant tant de cynisme ou d’aveuglement. Pendant les mandats présidentiels Hollande et Macron, aucune grève, aucune mobilisation, aucune activité parlementaire n’a permis de s’opposer à l’agenda néolibéral.
Par conséquent, même si c’est difficile de glisser dans l’urne un bulletin portant le nom de Le Pen, il faut s’y résoudre, en refoulant les états d’âme. Malgré le souvenir de ce que le Front National et son chef avaient de détestable, et de ce scrutin de 2002 où pour la seule fois de sa vie on a voté à droite pour le battre à plate couture. Voter Marine Le Pen, c’est bien sûr d’abord voter contre Macron et son système. Mais c’est aussi regarder la réalité en face et ce bloc populaire qui se structure autour d’elle. Et ces ouvriers, ces employés, ces paysans qui disent désormais massivement qu’il faudra de nouveau compter avec eux, leur rendre la place qui est la leur, il est nécessaire à ce moment précis d’être de leur côté. Et pour ma part de leur être fidèle.
Élire Marine Le Pen est bien sûr un pari, mais il est beaucoup moins risqué que de choisir Macron. L’effet de rupture produira des possibles, ce coup d’arrêt provoquera des recompositions politiques, et la dirigeante du Rassemblement National ne pourra pas gouverner seule. Et là, la lutte politique reprendra tout son sens.
Pour conclure, nouveau petit détour par Pierre Desproges. Cette prise de position que je pense être de l’intérêt de mon pays, me vaudra, de la part des tenants de la république bananière autoritaire et des gauchistes imbéciles, mises en cause et insultes, l’accusation d’être un « rouge-brun », et d’avoir renié mes idéaux de jeunesse. Je répondrais qu’ils sont intacts et qu’en matière d’antifascisme je n’ai de leçon à recevoir de personne, avec une vie qui en répond.
Mais de toute façon ça n’a guère d’importance, Jorge Luis Borges disait : « le destin d’un homme aussi long et compliqué soit-il se résume en fait au jour où il sait définitivement qui il est ». Pour ce qui me concerne, il y a longtemps que c’est fait. Trop tard pour changer.
J’espérerai toujours l’émancipation humaine, même si elle prend décidément des chemins bien tortueux.
#tout sauf macron#on vaut mieux que ça#gilets jaunes#politique#antifascisme#le fascisme est ici et c'est à lui qu'il faut barrer la route
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Pendant que les seides du Discours Capitaliste blablatent sur "l’extrême-droite", "l’extrême-gauche", le "complotisme" en confondant "la science" avec le marketing et les simulations informatiques avec la rigueur mathématique, une femme a quelque chose à nous dire.
Certains se souviennent peut-être de Christine Deviers-Joncour, qui fut la maîtresse de Roland Dumas, de longues années ministre des affaires étrangères de François Mitterrand. En son temps, elle sortit un livre de révélations intitulé «La putain de la République»…
Son nom a beaucoup circulé dans des histoires de corruption impliquant les plus hauts personnages de l'État.
Autant dire qu'elle a vu de ses yeux l'envers du décor, la face obscure du monde politique. Elle parle d’expérience.
Devant les horreurs du fascisme à prétexte sanitaire dont la clef de voûte est la vaccination imposée à tous, elle s’est décidée à reprendre la parole :
J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie.
La fête a assez duré !
Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer.
Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient.
Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau «monarque».
Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués.
J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici.
Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque.
Je les ai vus et j'ai payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail …
J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, retro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.
J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, des guerres fomentées pour piller les richesses de ceux qui n’en verront jamais la couleur et verseront leur sang sans même savoir pourquoi.
Des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants.
Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses.
Un monde aux mains de la Finance Internationale vorace, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM etc, pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant devant les écrans et en les dépravant en inversant les vraies valeurs !
Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun.
Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable.
Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres.
C’est à croire que les deux grandes guerres, ne furent pour eux qu’un coup d’essai, Les millions de morts n’étaient qu’un premier test préparant l’extermination de toute l’humanité.!
Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives...
Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent ?
Comment peuvent-ils contraindre le peuple à se serrer la ceinture en période de crise quand eux-mêmes s’allouent des gratifications et salaires insolents sous les lambris confortables de la République ?
Alors que des milliards d’êtres humains souffrent de la faim, des épidémies, et qu’un enfant meurt toutes les minutes sur notre planète, il suffit que la Bourse s’enrhume pour qu’il soit possible de trouver en quelques heures les milliards de dollars et d’euros, jusqu’ici impossibles à débloquer pour soulager la souffrance de ceux qui meurent de faim !
Quand l’homme cesse d’être déterminé par son propre esprit qui est l’esprit de la vie, il se transforme en robot. Cet insupportable mépris pousse à la violence ceux qui n’ont pas ou plus d’espoir.
Dans notre pays des «Droits de l’Homme» il est devenu ordinaire de bafouer le principe d’égalité. La richesse, le luxe et l’apparence étalés sans vergogne sont devenus signes de réussite tandis que les plus faibles vivent leurs souffrances sans trop faire de bruit.
Pour payer cette dette, ce monstre de papier, illégitime et abracadabrantesque, numérique et ubuesque, il nous faudra tout vendre. Jusqu’à nos dents on or et notre peau pour faire des abat-jours dans le bureau d’un maître du monde avec vue sur le Rockefeller Center.
C’est pour quand la découpe façon abattoir ? Le couteau du boucher, c’est la dette, un bout pour Bibi, un bout pour la Finance, un bout pour la mafia, un bout pour les bling-bling accros aux putes de luxe et pour les pédophiles. Un bout pour les ventrus de l’industrie militaire, les labos pharmaceutiques et les Gafam, Pillage à grande échelle !
Et pourtant il suffirait d’un trait de plume, d’un clic sur le clavier pour l’effacer cette dette, sans que personne ne souffre.
Mais cette société serait-elle encore humaine ?
Depuis très et trop longtemps on a laissé les loups entrer dans la bergerie. Ils accroissent le chômage, vendent le pays en pièces détachées et initient des dettes impossibles à rembourser. Ils nous mentent, nous volent, nous musellent et maintenant tentent de nous supprimer à travers une fausse pandémie et des vaccins meurtriers !
Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis qu’un fameux agent d’influence suggère que les peuples doivent se contenter de regarder passer les milliards sans broncher, comme on voit passer les cigognes sans s’interroger sur leurs nids bâtis avec nos plumes.
Nos dirigeants et les médias complices seraient-ils réduits qu’à n’être que d’infâmes valets du capitalisme mondialisé et le laboratoire de l’asservissement du monde par la dictature financière conçue par des milliardaires fous, des illuminés ?
La démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.
La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette «plandémie covid» en créant la PEUR !
Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance.
Leurs "plandémies" et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier, croyez-moi !
Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir.
Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau.
Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.
Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leurs pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux.
Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés.
Aussi, il faut s’unir en laissant de côté nos différences que les dirigeants actuels n’ont cessé d’amplifier afin de nous diviser pour mieux régner.
Il y a urgence car nous marchons vers l’abime !
Et si le monde devient chaotique, cela signifie aussi que ce qui a manqué, c'est la spiritualité individuelle.
Il n'y a pas de compromis avec les éléments extérieurs du monde en action et la conscience se révèle encore inactive face à ce monde chaotique.
Au contraire, la conscience peut se reconnecter en tout temps et en toute situation avec la spiritualité comme une ascension.
Restons positifs car le chant général des poitrines opprimées commence à se faire entendre.
Il est mondial ce chant ! Il est encore cacophonie, il va devenir symphonie. De tous ces pays qu’Ils enchaînent il y a ces voix partout qui se lèvent...
Là, il me revient en mémoire cette phrase de Brecht : «Lorsqu’un homme assiste sans broncher à une injustice, les étoiles déraillent»…
Alors, vite, protégeons les étoiles et tournons la page sur ces temps décomposés.
Levons-nous !
(Christine Deviers-Joncour
Via La Convergence universelle)
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