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jpbjazz · 4 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
JYMIE MERRITT, UN GÉANT MÉCONNU
“People like Miles Davis wanted him to be in his band. Art Blakey or Max Roach or Sonny Rollins or Dizzy Gillespie, whoever he was working with — the musicians knew who he was. But to the general public he was a sideman, because he never recorded anything under his own name as a leader.” 
- Mike Merritt
Né le 3 mai 1926 à Philadelphie, en Pennsylvanie, James Raleigh Merritt était le fils de  Raleigh Howard "RH" Merritt, un homme d’affaires, ministre du culte et écrivain, et d’Agnes Robinson, une institutrice qui était également directrice de chorale et professeure de piano et de chant.
Le père de Merritt s’était installé à Philadelphie quelques années avant sa naissance. James Raleigh Merritt avait étudié au Tuskegee Institute, où il avait eu comme camarade de classe le célèbre botaniste et agronome George Washington Carver. À Philadelphie, le père de Merritt avait travaillé dans le secteur immobilier. Il avait aussi participé à la fondation de la Vine Memorial Baptist Church.
Saxophoniste ténor à l’origine, Merritt était passé à la contrebasse au début de la vingtaine après avoir entendu un enregistrement de Jimmy Blanton avec l’orchestre de Duke Ellington. Il avait aussi joué brièvement de la clarinette.
Mobilisé durant la Seconde Guerre mondiale, Merritt avait servi en Afrique du Nord. Il avait aussi participé à la célèbre bataille d’Anzio en Italie. Après sa démobilisation, Merritt avait travaillé brièvement dans l’entreprise immobilière de son père. Sous l’encouragement de sa mère, Merritt avait décidé d’étudier sérieusement la contrebasse en prenant des cours avec Carl Torello, le contrebassiste du Philadelphia Orchestra. Il avait étudié par la suite à la Ornstein School of Music de Philadelphie.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Merritt avait amorcé sa carrière professionnelle aux côtés de John Coltrane, Benny Golson et Philly Joe Jones en 1949. La même année, Merritt s’était joint au groupe de rhythm & blues de Bull Moose Jackson. C’est dans le cadre de sa collaboration avec le groupe que Merritt était devenu un des pionniers de la basse électrique . Merritt avait d’ailleurs été un des premiers contrebassistes à adopter la basse Ampeg, une sorte de combinaison entre la basse électrique et la contrebasse acoustique. Au cours d’une entrevue, Merritt avait expliqué comment il avait fait l’acquisation de sa première basse Fender à l’automne 1951:
"Now all this time, I had been playing electric bass, from about the first year of service with the Bull Moose band. We were out in Oklahoma somewhere, when Benny Golson saw this Western band, what you call a hillbilly band, with a fellow playing what looked like a guitar and sounded like a bass. Benny got me over to hear this and we later saw one in a music store. Benny went in for some reeds or something, so I tried a Fender electric bass and that night I took it to work. The owner let me take it and I tried it out working and nobody raised any objection. I had been having trouble with my own bass, one of the assembly line types, so I was in the market for a new bass. Anyway, I got curious and bought the thing and played it for the next seven years or so. I guess at the time I was the only one in jazz playing an electric bass. Certainly, I’m pretty sure Monk Montgomery wasn’t playing one because we used to see him in Minneapolis and he was always interested to see the instrument."
Au début des années 1950, Merritt avait fait la tournée des clubs de jazz, de blues et de R & B dans la région de New York et de Philadelphie. Il avait aussi voyagé avec  le batteur de rock expérimental Chris Powell. Merritt avait également fait partie du groupe de B.B. King de 1955 à 1957.
En 1957, Merritt s’était installé à Manhattan et s’était joint aux  Jazz Messengers d’Art Blakey, qui comprenait à l’époque le saxophoniste Benny Golson ainsi que le pianiste Bobby Timmons et le trompettiste Lee Morgan avec qui il avait collaboré activement par la suite. Merritt avait continué de voyager avec le groupe jusqu’à ce qu’une maladie non identifiée l’oblige à abandonner les tournées en 1962. On peut notamment entendre Merritt sur les albums  Moanin’ (1958), At the Jazz Corner of the World (1959), A Night in Tunisia (1960), Mosaic (1962) et Buhaina’s Delight (1963). Un album inédit de Timmons avec les Jazz Messengers, et mettant en vedette Blakey, Timmons, Hank Mobley et Morgan a également été publié en avril 2020 sous le titre de Just Coolin’. Dans le cadre de sa collaboration avec le groupe, Merritt avait collaboré activement à la création de classiques comme “Moanin’”, “Along Came Betty”, “Blues March” et plusieurs autres.
Après s’être rétabli, Merritt s’était joint en 1964 au groupe du trompettiste Chet Baker avec qui il avait enregistré un album au titre pompeux intitulé The Most Important Jazz Album of 1964-65. Merritt est d’ailleurs longuement mentionné dans l’autobiographie inachevée de Baker intitulée  As Though I Had Wings: The Lost Memoir. 
De 1965 à 1968, Merritt avait travaillé avec le batteur Max Roach, non seulement comme contrebassiste, mais également comme compositeur. Enregistrée sur l’album de Roach, Drums Unlimited (1966), la composition de Merritt "Nommo" lui avait valu une nomination comme meilleur compositeur de jazz dans le cadre du sondage des critiques du magazine Down Beat. Le titre de la pièce "Nommo" était dérivé d’un mot d’Afrique de l’Ouest désignant “the power of the spoken word.’’ Devenue le symbole des compositions de Merritt, la pièce "Nommo" combinait des éléments de hard bop et de jazz modal.
Merritt avait quitté Roach à la fin des années 1960 pour participer à une tournée avec Dizzy Gillespie. Merritt avait aussi fait une apparition avec le groupe de Gillespie dans le cadre du Dick Cavett Show.
Par la suite, Merritt avait renoué avec son ancien confrère des Jazz Messengers, le trompettiste Lee Morgan, notamment dans le cadre de l’album double Live at the Light House (1970), qui avait été enregistré à Hermosa Beach, en Californie, et qui comprenait des versions prolongées de ses propres compositions, dont ‘’Absolution’’, qui avait été enregistrée précédemment par Max Roach.
Les disques Blue Note ont d’ailleurs publié un coffret des enregistrements des concerts d’Hermosa Beach dans lequel on entend le fils de Merritt, le contrebassiste Mike Merritt, interviewer son illustre père. Comme Mike Merritt l’avait expliqué plus tard: “He was very positively affected by hearing that music again after all these years. He really felt good about where that band was going, had Lee not met an early death [Morgan a été abattu  par sa compagne Helen Moore dans un club de New York en 1972], and the ground that band was breaking.”
À partir de 1970, Merritt avait dirigé le groupe Forerunners. Le groupe tirait son nom d’une coopérative de musiciens que Merritt avait fondé avec d’autres artistes en 1962. Explorant le système d’accord et d’harmonies et l’approche unique de la composition de Merritt, le groupe avait publié plus tard un lexique dans lequel il avait exposé ses conceptions de la musique. Cette approche était particulièrement en évidence dans la longue composition de Merritt intitulée "Visions of the Ghost Dance".
Parmi les membres originaux du groupe, on retrouvait des vétérans de Philadelphie comme le saxophoniste Odean Pope, le guitariste Kenny Lowe, le batteur Donald Bailey, et la chanteuse September Wrice. Durant ses cinq premières années d’existence, le groupe s’était produit régulièrement dans la région de Philadelphie jusqu’à ce que Merritt et Pope se joignent au groupe de Roach. Le groupe avait refait surface périodiquement par la suite, dépendamment de la disponibilité de Merritt et de l’évolution de son état de santé. Le saxophoniste Bobby Zankel avait fait partie de la seconde édition du groupe lorsqu’il s’était joint à la formation en 1982. Parmi les autres membres du groupe à cette époque, on remarquait les saxophonistes Odean Pope et Julian Pressley, le pianiste Colmore Duncan, le percussionniste Warren McLendon et le batteur Alan Nelson. Principalement connu comme saxophoniste alto, Zankel jouait du saxophone baryton avec le groupe.
Le groupe, qui était devenu avec le temps une sorte de laboratoire, avait contribué à faire connaître les compositions de Merritt, même si les problèmes de santé du contrebassiste l’avaient souvent empêché de faire des tournées. Expliquant son désir de pousser sa musique plus loin avec le groupe, Merritt avait déclaré au cours d’une entrevue accordée au Daily News: “People like Lester Young, Count Basie, Charlie Parker, and Dizzy Gillespie left an enormous trail of ideas that we were following. For me, there were a lot of threads to be pulled together from all over the place to increase the vocabulary that we used.” Merritt avait continué de se produire avec le groupe jusqu’à l’âge avancé de quatre-vingt-dix ans.
Diagnostiqué pour la première fois d’un cancer dans les années 1970, Jymie Merritt est mort d’un cancer du foie à Philadelphie le 10 avril 2020, trois semaines avant son quatre-vingt-quatorzième anniversaire de naissance. Merritt laissait dans le deuil son épouse Dorothy (Ave) Viola Small, son frère LeRoy, ses fils Marlon et Marvon, et ses filles Mharlyn et Jamie Reese. Merritt avait un autre fils, Martyn, mais il était décédé en 1989. C’est le fils de Merritt, Michael, qui avait annoncé la mort de son père sur la page Facebook de Leo Gadson. On pouvait lire dans ce communiqué:
“It is with great sadness that I share with you the news that my father, Jymie Merritt, one of the greatest musicians who ever lived, who was active during an era when jazz reached it’s most fertile peak in the mid-20th century, passed away at age 93, on the evening of Friday, April 10th at his home in Philadelphia, PA after a long illness. His death was not related to the COVID-19 pandemic. Our family will release more information within the next few days.”
Plusieurs des enfants de Merritt avaient suivi les traces de leur père et avaient poursuivi une carrière musicale. Chanteuse et autrice, Mharlyn Merritt avait obtenu une bourse de la National Endowment for the Arts en 1988. Guitariste reconnu, Marlon avait combattu lors de la guerre en Irak. Malheureusement décédé, Martyn avait fait carrière comme pianiste classique et avait étudié avec le légendaire Leon Bates. Marvon était percussionniste et batteur. Quant à Mike, c’était un bassiste réputé qui avait joué avec plusieurs grands noms de la musique comme Levon Helm, Phoebe Snow, Johnny Copeland et BB King. Mieux connu comme membre du groupe du Basic Cable Band du talk-show de Conan O'Brien sur le réseau TBS, Mike avait co-produit en 2005 avec sa soeur Mharlyn un CD indépendant intitulé "Alone Together" mettant en vedette son frère Marlon à la guitare, Uri Caine, Al Kooper, Lew Soloff et les Vivino Brothers.
Commentant la mort de son ancien collègue, le saxophoniste Odean Pope, qui avait joué pour la première fois avec Merritt en 1959, avait déclaré: “Jymie Merritt, that’s a great loss. I’m very grateful that I lived during his time. In addition to him being an extraordinary bass player, he had his own sound. He had his own concept. He was just so fluent in what he was doing. To me, playing his music was like going to the highest university in the whole world.”
En 2016, l’émission Jazz Night in America avait consacré un épisode d’une heure à Merritt et à son groupe les Forerunners, dans le cadre d’un concert présenté au World Cafe Live de Philadelphie. Dans le cadre de l’émission, Merritt avait défini sa conception du rythme en ces termes:  “Rhythm is very complex, because it’s the basis on which the entire universe is constructed. All life has a pattern, and once you can tap into that pattern, you tap into all aspects of life.”
Lauréat de plusieurs prix, Merritt avait notamment remporté en juin 2008 un Don Redman Heritage Award. Le prix avait été remis à Merritt dans le cadre d’une cérémonie organisée par la Harpers Ferry Historical Association et la division de la NAACP à Jefferson County. L’événement était organisé en collaboration avec la Don Redman Heritage Society de Piedmont, en Virginie occidentale. En 2009, Merritt s’était également vu décerner un Jazz Heritage Award. Le prix avait été attribué à Merritt conjointement par l’Université de Philadelphie et le Jazz Heritage Project. Le prix avait été remis à Merritt dans le cadre de la Philadelphia Jazz Fair organisée par le professeur et musicien Don Glanden. L’organiste Trudy Pitts était l’autre récipiendaire du prix cette année-là. C’est un autre grand contrebassiste de Philadelphie, le regretté Charles Fambrough, qui avait remis son prix à Merritt. En novembre 2013, Merritt avait aussi remporté, en même temps que son collègue contrebassiste et ami Reggie Workman, le Clef Club of Philadelphia's Living Legend, Jazz Award.
Malgré tout son talent de contrebassiste et de compositeur, Merritt était demeuré largement méconnu du grand public, probablement parce qu’il n’avait jamais enregistré sous son propre nom. Comme l’avait expliqué son fils Mike: “People like Miles Davis wanted him to be in his band. Art Blakey or Max Roach or Sonny Rollins or Dizzy Gillespie, whoever he was working with — the musicians knew who he was. But to the general public he was a sideman, because he never recorded anything under his own name as a leader.” Qualifiant Merritt de véritable géant, le contrebassiste Christian McBride avait commenté: “Phrases like musical genius and unsung are so casually and recklessly thrown out there describing just about anyone these days. Jymie Merritt is not only one of the great bassists of his era, but also one of the great composers.”
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
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swedesinstockholm · 8 months ago
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14 avril
rebel wilson l'actrice australienne a perdu sa virginité à 35 ans, je l'ai vu dans mes suggestions youtube rebel wilson talks losing virginity at 35, clickbait suprême s'il en est, je me suis jetée dessus en espérant que ce soit pas une blague ou un coup de marketing. elle l'a révélé dans le cadre de la sortie de son autobiographie. elle a juste mis beaucoup de temps à se rendre compte qu'elle était lesbienne en fait. c'est toujours la même histoire. aujourd'hui elle a 44 ans elle est fiancée et elle a un bébé qu'elle a eu via une mère porteuse. moi je suis à deux ans d'avoir 35 ans et je pleure dans mon lit parce que r. vient de me dire qu'il était attiré par adrianne lenker et que je serai jamais cool et androgyne comme adrianne lenker. il a dit en plus elle est habillée comme moi et j'ai dit t'es attiré par les filles qui s'habillent comme toi? et il a dit eh bien je remarque que oui et j'ai failli lui dire alors je sais comment je vais m'habiller la prochaine fois qu'on se voit mais heureusement je me suis retenue.
après m'avoir dit bonne nuit j'ai vu un moucheron sur ma jambe et j'avais envie qu'il me mange. qu'il fasse un trou dans ma cuisse et me dévore petit à petit jusqu'à ce que j'existe plus. je peux même plus écouter adrianne lenker maintenant. elle est en couple avec une fille en plus, elle est censée être là pour me réconforter. peut être que je ressemble tout simplement pas assez à une lesbienne pour que r. tombe amoureux de moi. j'arrive pas à croire qu'on est attirés par le même type de filles. il manquerait plus qu'il soit attiré par les garçons qui lui ressemblent. et là je peux encore moins concourir. je suis courte sur pattes et dodue j'ai des gros seins et je suis moche avec les cheveux courts.
il va la voir en concert en mai juste après son propre concert, il connait sa violoniste elle lui a filé une place gratuite, j'ai dit ohlala la soirée de rêve et il m'a dit viens!!! mais c'est la veille du mariage de s. et adrianne lenker c'est complet depuis longtemps et surtout SURTOUT hors de question de faire la potiche-groupie amoureuse toute seule dans le public à son concert. et lui il va probablement pas faire comme moi à la maison poème et sacrifier sa vie sociale pour rester discuter avec moi dans un coin. non mais le culot. jamais de la vie j'aurais osé l'embarquer dans une conversation sur les traumas de mon enfance, en pleine gloire de post-représentation, non mais c'est pas vrai. j'en ai marre que notre relation soit déséquilibrée. il représente trop pour moi. pour lui je suis une parmi. pour moi il est le.
cet après-midi je suis partie me promener toute seule le long des champs et à un moment j'étais un peu en hauteur à la croisée de deux chemins et le vent faisait voler mes cheveux au soleil et je me suis rappelé d'un moment de dimanche dernier, juste après la fin des lectures quand je nous ai servi des verres d'eau sur un coin de la scène pendant qu'on se congratulait mutuellement et puis je me suis retournée et j'ai vu r. assis tout seul dans les gradins presque vides et je lui ai souri en lui faisant un pouce en l'air et il m'a répondu en faisant je sais plus quoi et puis il faisait semblant de jouer le solo de guitare qui était en train de passer et je le regardais en souriant, c'était comme si on bouclait la boucle, ou qu'on recommençait depuis le début, mais cette fois tu tombes amoureux de moi ok?
à chaque fois que je croisais des gens pendant ma ballade cet après-midi j'étais l'amoureuse. quand je me promène dehors j'endosse toujours une occupation, selon mes préoccupations du moment. parfois je suis l'écrivaine, parfois je suis la serpillère, parfois je suis la winneuse parfois je suis la loseuse, parfois je suis la paumée, etc. aujourd'hui j'étais l'amoureuse. si mon crâne était transparent les gens que j'ai croisés n'auraient vu que r.
15 avril
j'ai accompagné maman et m. au centre commercial pour me changer les idées cet après-midi mais bof j'étais assise sur un fauteuil mauve avec le regard perdu dans le vide à me demander si je devais arrêter de porter des robes pendant que maman essayait des doudounes fines à petits bourrelés et que m. la conseillait. dans le supermarché j'arrivais tellement plus à me porter que je me suis appuyée contre un bout de rayon en semi catatonie. à chaque fois j'oublie que les centres commerciaux m'aspirent l'âme. en passant devant la librairie j'ai vu deux de mes anciennes collègues. j'ai oublié leurs noms parce que je les mentionne pas dans mon texte. ça m'a rappelé dimanche dernier et ça m'a un peu remonté le moral. quand j'y travaillais je me demandais ce que je pourrais en tirer, artistiquement, je voulais en faire un film, un court-métrage, mais finalement j'en ai fait un poème. mon ancien responsable serait fier de moi.
aujourd'hui je me suis dit que peut être que je devrais arrêter d'écrire. j'ai déjà perdu le raisonnement qui m'a menée à cette conclusion, c'est plutôt que j'ai réalisé que je pouvais pas me contenter d'avoir juste l'écriture dans ma vie. je suis pas comme laura vazquez par exemple. au bout d'un moment ça me monte trop à la tête et je vois plus que des mots et des phrases et des choses qu'on dit et qu'on redit comme ça ou comme ça mais c'est toujours la même chose. au bout d'un moment je sature et tout me semble ridicule. donc il me faut autre chose. pour contrebalancer. qu'est-ce que je ferais si j'arrêtais complètement d'écrire? par quoi je me définirais? il faudrait bien que je me trouve une autre destinée. j'ai envie d'arrêter rien que pour voir ce que je ferais, même si je ferais très probablement rien du tout.
ce matin par exemple j'étais allongée sur mon lit au soleil avec la fenêtre grande ouverte à lire mon journal de 2004 en écoutant le premier album de muse pour me mettre dans le contexte et j'interrompais régulièrement ma lecture pour chanter avec matthew bellamy et aussi avec sa guitare en me tortillant sur mon lit, c'était cathartique, c'était mieux qu'une séance de psy ou n'importe quoi vraiment, peut être que je devrais faire ça tous les matins, pour purifier mon âme. bon mais je lisais mon journal en vue de l'écriture d'un texte sur l'été 2004, donc ça reste une occupation liée à l'écriture.
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poumtchak · 28 days ago
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REQUIEM DE LA RUINE I LES MUSICIENS DE RUE MÉRITENT-ILS NOTRE EMPATHIE ?
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Si, comme le prétendent les connards qui vivent sûrement pas dans mon quartier, “la musique adoucit les moeurs”, je dois avouer que moi elle m’a rendu complètement barjo. Je pensais pas pourtant… mais il m’a pas fallu 3 mois pour commencer à avoir des idées tordues, le genre de trucs qui tombent sous le coup de la loi. Bien sûr, si je pars comme ça, vous allez pas piper un mot à l’histoire, faut remettre les choses dans le contexte.
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Après avoir eu la brillanté idée d’emménager en colloc avec trois “potes” “zicos”, alors je mets “potes” entre guillemets parce qu’après 1 an et demi de cohabitation aux limites du supportable (je vous épargne les montagnes de poils de culs dans la baignoire et les étrons biéreux collés aux parois des chiottes, à répétition), on va pas se le cacher, si on écoutait ses bas-instincts, qu’est-ce qu’on ferait ? Bah c’est simple, on se lèverait en pleine nuit pour s’introduire dans leur chambre et aller les étouffer un par un dans leur sommeil avec leurs coussins jusqu’à ce qu’ils deviennent violets avec des yeux de poiscaille… et “zikos”, entre guillemets aussi, parce que faut pas déconner non plus, une PastaBox 4 minutes au micro-ondes, à côté, c’est les Pink Floyd à Pompéi. À un moment faut savoir dire stop.
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Les mecs faisaient du “Spunk”, un genre de nuisance sonore mélangeant ska, punk et indigence totale. Quelque part, j’ai tout dit en disant ça… Qu’est-ce que tu veux faire franchement ? Ils ont 30 balais les mecs et ils s’entêtent à faire une zik qui fait kiffer 3/4 chiffons de 17 piges dans la région… Ti-gi-dop Ti-gi-dop Ti-gi-dop Léga Léga-lisa-sionne … ça c’est bien un truc de fumeur de roulée de merde… bref, un matin, alors qu’ils se faisaient une énième petite répé à la maison, guitare/basse/batterie/clavier/trompette et mon calbute dans ta gorge, pour préparer un énième concert pourave dans un rade moisi d’un bled tout merdique en Mayenne ou j’sais pas où, devant 4 pochards, 3 roots ravagés et une vieille chaudasse de 59 ans complètement rincée… ce matin-là, alors que Freddie braillait dans son vieux SM-58 à moitié rouillé par la bave ” LE BRUIT DU MONDE !!! BRUIT DU MONDE !!! LE BRUIT DU MONDE !!!“. Là je suis sorti de ma piaule avec un regard de mec à cran, je me suis dirigé vers mon Freddie et je lui ai mis un casse-cuisse bien sec dans sa jambe, comme ça, sans réfléchir.
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Tout de suite, je vous cache pas que ça a mis un certain froid mais qu’on le veuille ou non, le constat est simple et lapidaire, la violence résout bien souvent les choses. Pour être sincère, c’est la seule chose que j’ai trouvé à dire pour qu’il arrête de gueuler dans son micro.Quand on n’a pas d’arguments-massue à opposer, reste toujours une bonne béquille bien virile. Quoiqu’il en soit, cet incident a marqué la fin de ce calvaire nommé “colocation”.
Mon besoin de solitude, conjugué à des moyens financiers dérisoires et l’urgence de trouver un appart rapidos, m’ont poussé à accepter le 1er studio venu, un truc plutôt cosy dans l’artère la plus fréquentée du centre-ville.
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À Guantanamo, les ricains torturaient les détenus avec de la musique. Oui oui, vous avez bien entendu, de la zik comme instrument de torture… Contrairement à ce qu’on serait tenté de penser, ils ne leur mettaient pas un Live de Yannick Noah ou l’intégrale de Raphael dans les oreilles pour les faire craquer, mais des chansons pour enfants accélérées à 110 décibels pendant 8 heures, ce qui est plutôt con quand on sait qu’un esprit normalement constitué ne tient pas 1 minute 30 avant de vouloir taillader des passants au cutter rouillé si on lui passe plus de 2 chansons de n’importe quel skeud des Enfoirés…
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Mais à Guantanamo, il y avait aussi la technique dite de “privation de sommeil”. Tout ça pour dire quoi au final ? Que dans cette ratière qui m’a servi d’appartement pendant 1 an, de la première torture a naturellement découlé la seconde. Tout ceci a été le fruit d’un lent processus que je vais m’efforcer de vous raconter maintenant.
Quand vous habitez ce genre de rue d’hyper-centre sans être muni de double-vitrage, le programme sonore d’une journée lambda (sachant que les jeudi, vendredi, samedi sont les points culminants du non-respect de la dignité humaine) ressemblent à peu de choses près à ça :
9h30 – 18h : Clameur et zikos de rue (on y reviendra…)
18h – 19h : Happy Hour, début d’apéro et zikos de rue.
19h – 1h30 : Bordel d’avinés, brouhaha de clopeurs amassés en terrasse, hipsters têtes-à-coude un peu partout, zikos de rue.
1h30 – 3h30 : Viande saoule errante et gueularde jusqu’à la fermeture des bars de nuit. Djembés, Darbukas, chansons paillardes etc…
3h30 – 5h30 : Bastons, piaillements aigus d’hystériques déboîtées à la liche, troupeaux de cailleras aigries en sortie de boîtes.
5h30 – 6h00 : gyrophares, interpellations. Cris de femelles imbibées, relents de gerbe.
6h – 6h10 : Repos. Si on a la fibre marine, on peut se permettre une sieste de skipper pendant ce court créneau.
6h15 – 7h : Éboueurs et camions poubelles.
Au bout de 3 mois, comment dire, le manque de sommeil combiné à un crin-crin permanent peut vous donner des idées à faire passer Patrice Alègre, Guy-Georges, Tony Meilhon, Michel Fourniret et Francis Heaulmes pour le Club des 5. Des mots comme “génocide”, “équarrissage” et “peloton d’exécution” se mettent alors à sonner beaucoup plus doux, c’est bizarre hein ?
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Bah pas tant que ça figurez-vous… La faute à qui ? Au zikos de rue bien évidemment !
Entre la fanfare de serpillières à dreadlocks qui joue tout le temps les mêmes conneries, le rom édenté qui joue du violon comme si c’était un cageot de poireaux ou un chat éventré, la petite connasse à voix stridente et ses reprises de Rihanna à la mords-moi-le-zob, l’accordéoniste cul-de-jatte qui se fait couper des membres tous les mois pour susciter chaque fois un peu plus ta pitié, le gratteux dépressif qui te chante “il est libre Max” et “les murs de poussières” à longueur de journée comme s’il comprenait pas le sens des mots “Représailles” “Uraken” ou “Strangulation”, les brésiliens bodybuildés qui se la pètent à faire des galipettes et des saltos torse-nu en plein mois de Novembre au son des Batucada et autres tam-tam assourdissants (généralement tenus par des Guillaume et des Jean-Baptiste à jambes de hérons), le petit enculé des Beaux-Arts qui fait le malin avec sa scie musicale au pied de ton immeuble et à qui tu voudrais plutôt scier la tête pour lui chier dans le cou, le teuffeur mi-loque mi-clodo qui fabrique des cendars à la con avec des cannettes de 8.6 et qui pose des slams sur l’intelligence des rats d’égouts et la menace fasciste en Aveyron, les 2 beatboxers qui se croient dignes de considération à faire des “poum poum tchak poupoum poum tchak” alors que la seule chose que t’aurais envie de leur donner, c’est un bon plat de la main droit dans la glotte… sans compter le guignol à cheveux gras qui joue de la guimbarde en pensant que les gens sont assez cons pour se dire “au moins il fait quelque chose lui, ça mérite bien une petite pièce” ou celle qui a pris 3 cours de chant dans sa life et qui se croit habilitée à venir polluer ton cerveau avec sa voix de fourchette qui grince dans une assiette juste parce qu’elle met un décolleté et un poum-poum short de pute mondaine… donc parmi tous ces exemples, et la liste est encore longue, combien de raisons valables de finir sa vie en QHS ? Beaucoup trop hélas. Sachant que le point culminant de ce travail de sape reste, et restera (jusqu’à l’émasculation de Jack Lang en place publique tout du moins), la Défaite de la Musique.
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“Allez viens, ça va être sympa… y’aura du monde, des p’tits groupes un peu partout… j’ai vu qu’il y avait un gars qui fait de la scie musicale, ça peut être cool nan…?”
Ce jour-là, j’ai préféré rester à la maison pour voir les schleus galérer face au Ghana. Un bon match de foot quoi… Et bah devinez quoi ? Ma box a planté, plus aucune chaîne de dispo exceptée France 2.
Au programme ce soir-là, “La fête de la musique, du soleil et des tubes ” dont voici la description de programmeTV.net:
“Depuis la place de la Comédie, à Montpellier. L’été arrive en grandes pompes avec la Fête de la musique, célébrée avec des invités de choix : Christophe Maé, Collectif métissé, Patrick Fiori, Tal, François Valéry, Indila, Yannick Noah, Baptiste Giabiconi, Alizée, Chico et les Gypsies, La Fouine, Gérard Lenorman, Magic System, Nolwenn Leroy, Hervé Vilard, John Mamann, Kika, Joyce Jonathan, Julie Zenatti, Elisa Tovati…”
Donc, si on résume, dans la rue on a le droit à une succession de petits connards mélomanes positionnés tous les 30 mètres pour s’époumoner à coups de guitares saturées, entre lesquels s’intercalent des DJ postés devant leurs bars d’attaches et qui ont visiblement pour projet de te faire perdre toute notion d’empathie envers le genre humain, le tout formant un conglomérat d’abrutis sûrs de leur bon droit à te casser légalement les couilles toute la nuit durant. Personne ne s’écoute, tous les bruits se chevauchent les uns les autres, pour le plus grand plaisir des tox et autres sacs à vins de moins de 20 piges, le tout donnant plus l’impression de passer une soirée à Damas en pleine intervention de l’Otan que celle de célébrer l’amour universel de la musique... et à la maison, on a le droit à des anciens tennismen qui chantent pieds nus en duo avec des seconds rôles de téléfilms FR3 et des has-been de classe mondiale, le tout animé par Stéphane Bern...
J'ai préféré sortir de chez moi. Je suis sorti dans la cohue et me suis dirigé tant bien que mal vers la pharmacie de garde pour m’acheter 5 boîtes de Stillnox. De retour à la maison, j’ai écrit un courier manuscrit pour résilier ce putain de bail, me suis enfilé une demi-boîte de cachetons, ai mis les choeurs de l’Armée rouge à fond les boomers, sachant que je ne me réveillerais pas avant 17h le lendemain, ce qui, vengeance oblige, m’assurait que tout ce beau monde alentour ne l’emporterait pas au paradis. Puis je me suis endormi comme un bébé, bercé par le bruit des bottes.
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Da Svidania motherfuckers !
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sparklyrascallawyerpalace · 2 months ago
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mercredi 16 octobre 2024
Ils étaient trois gars, ils écoutaient les ondes radio de la police. Ils mettaient les femmes enceintes pis après ça ils les faisaient payer pour les avorter. J’ai eu connaissance qu’il a pris une course pour jeter l’embryon dans les toilettes. Ils déménageaient tout le temps et ils mettaient les femmes enceintes dans le voisinage. Oh tes cris de jouissances.
J’ai racheté du stock. Cette fois-ci je suis allé en succursale. Ils m’ont bien conseillé. J’en ai fumé hier et je n’ai pas eu mal à la gorge et ce matin je ne suis pas magané plus qu’il ne faut.
Elle a téléphoné à Maude Bergeron au CLSC et Maude Bergeron a téléphoné à mon frère Alan, ensuite elle a téléphoné à Linda Gervais et Linda Gervais a téléphoné à mon frère Alan, tout dans mon dos. Ensuite elle a téléphoné à la police, aux pompiers et à l’armée. Elle dit qu’elle m’a sacré une claque dans la face pis que ça m’a insulté.
Je pense que je ne suis pas habitué à avoir les coudées franches de même.
Mais les gens prennent pour moi. Je prends l’autobus pour aller à la succursale de la SQDC à 7h30 du soir. Je prenais l’autobus à Vancouver. Je rentre et il y a deux filles qui sont assises ensemble. Elles n’ont pas de tête. Ce sont les deux filles qui parlaient toujours ensemble quand je prenais l’autobus. Que dois-je penser des gens dans l’autobus à Québec? Vous comprenez, ce n’est pas mon imagination.
J’ai répondu à Amazone au téléphone. C’est juste une commande qu’il faut que j’annule. C’est en anglais, je n’étais pas sûr si c’était le 1 ou le 2 pour annuler. Je n’ai pas pris de chances. Ils vont retéléphoner. Il faut que je fasse attention pour ne pas me tromper, c’est $700.00. Je vais pouvoir répondre au téléphone et prendre les longs distances à nouveau.
J’ai parlé à un gars qui en fumait et qui fumait la cigarette. S’il faut que la police et leurs officiers arrivent pendant que je me suis étouffé et qu’ils me demandent si ça va bien où est Brizilia, vous imaginez la comédie. J’ai rêvé que mon intervenant du CLSC, Denis Tremblay, me prenait par les épaules pour sortir mon cadavre du 206. Et je le sentais.
J’ai vraiment été très bien servi. Tu viens vraiment stone c’est épeurant et ça dure longtemps. Ça fait assez longtemps de ça qu’ils m’ont téléphoné et je n’ai toujours pas l’impression que c’est mon imagination. Mon ordinateur m’a parlé et j’ai été atteint par un rayon désintégrateur des extraterrestres. Je risque de passer pour fou ou qu’on ne s’occupe pas de moi. Le pot est bien meilleur que le haschisch à la SQDC et c’est moins cher. Dans la rue c’était le contraire, j’aimais mieux le haschisch que le pot. Les gens pensent que je ne joue pas assez bien de la guitare pour jouer en public. Si je suis capable de jouer du drum en public.
Ce sont des flashs ça, et Marie sait qu’elle me les a envoyés quand on est réveillé. Quand Marie a remonté sa jupe courte et m’a montré la transition de ses bas-culottes à culotte de maintien par exemple. Ou quand elle a relevé une partie de sa jupe longue sur le côté et qu’elle m’a montré la ceinture de ses bas-culottes modernes, ils n’avaient pas de culottes de maintien et ils n’étaient jamais complètement noirs même si elle est noire comme un corbeau.
Tiens, en voilà un que je n’utilise pas. Brizilia qui croise mes jambes quand je m’étends. Je la vois à mes pieds et elle les croise et je sais que c’est elle qui fait ça. C’est ce que j’appelle un flash, comme une image devant les yeux, elle n’apparaissait pas, c’était juste son image. Je restais au 1845 Sir Adolphe/Chapleau. Il n’y a pas une grande différence entre un flash et ce que je vois en rêve quand je dors.
Je n’avais pas l’impression que c’était moi qui bougeais, ils entravaient tout de suite mes mouvements quand je partais pour faire quelque chose. Odette pensait vraiment qu’elle était dans son droit. J’ai pris ma photo à la pharmacie pour ma passe d’autobus. Il y avait une couple de personnes qui toussaient dans l’autobus comme moi. J’ai fumé en revenant. Le vendeur m’a donné de bons conseils, on ne prend pas une grande respiration qu’on retient, on fume le pot de la SQDC pareil comme si on fumait une cigarette, et on expire, et en effet, c’est bien moins dur pour les poumons et ça fait autant effet. Je n’ai qu’à ne pas l’envoyer pour qu’elle reste.
Samedi, 19 octobre, 3h57
C’est un vœu. Gabriel a deviné ce que je souhaitais. Le Vatican ne serait-il pas supposé ouvrir une enquête si c’est un cas d’exorcisme? McCartney commence à avoir une voix chevrotante, il est rendu à 84 ans. Ils vont probablement attendre que je sois mort. Et quand je serai mort ils ne trouveront plus rien. C’est John qui serait rendu à 84, Paul a 82.
Il faut que je note ce que je sens quand j’ai fumé. Ça faisait longtemps que je voulais avoir mal au cœur.
dimanche 20 octobre 2024 2:16 a.m.
Je ne sais pas ce que c’est, je les sens très fort. Ce sont les mêmes qu’avant que je ne les expulse et qu’ils cessent de me contrôler. Ce sont les officiers du roi d’Assur chargés de m’enlever l’onction. C’était impossible que je me trouve une job, mais qu’est-ce que je fais-là, n’importe quel patient dans un hôpital psychiatrique en dira autant. Odette ne me donne plus de poussée quand je viens pour mettre de la crème dans mon café. Elle n’est presque plus là depuis qu’elle a fait oh, oh, et qu’elle est sortie. Le docteur Boissonneault m’a coupé la parole. Comme Paul Ouellet qui disait que j’avais arrêté de prendre mes médicaments. Je n’ai jamais admis que j’avais arrêté de prendre mes médicaments, vous sautez aux conclusions. J’avais une tale de boutons dans le dos entre les deux omoplates depuis quinze ans, pour vous dire comment ça ne leur faisait rien.
Oracle contre Steve Marin.
Steve Marin devine ce que je vais dire avant moi. Même si c’est marqué dans la bible il devine avant moi ce que je vais dire. C’est à mon âme qu’il en veut, pis après ça il dit que c’est lui qui a fait ça, ce que j’ai marqué, alors je ne devrais pas le dire même si c’est marqué. Pas de danger qu’il ne lise jamais la bible, il ne pense même pas à toi, c’est le fils du diable. Il se fourre le nez dans la plotte des femmes à la télévision, j’ai été traumatisé, il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans sa tête, je devrais porter plainte au CRTC. Steve Marin c’est Radio-Canada, ils en veulent à notre âme, c’est mon voisin de chambre au CHUL, monsieur Parent, j’ai vu ses lunettes, il pense encore qu’il va pogner avec les lunette de Buddy Holly, c’est un parfait imbécile, une tête de linotte, il chiait dans son lit, ça prenait un préposé pour le torcher le matin, il est autant aux hommes qu’aux femmes, il ne voulait plus partir de l’hôpital, il avait son fauteuil dans le salon, il aurait resté à l’hôpital indéfiniment (t’as comprends-tu, il invoque l’Éternel, mais lorsque Pierre oublia que le nom du Très-Haut est l’Éternel, ça aussi il me l’a piqué), il écoutait la télévision à journée longue, pour voir s’il ne s’y verrait pas, croyant que c’est un dieu, vu qu’il y avait passé. Tu finiras comme un sale chien, détesté par tous tes fans. Car depuis longtemps est préparé le feu en dessour de la rue Sainte-Catherine et de la rue St-Jean, (il est aussi pour Steve Marin) le gaz propane et l’air comprimée n’y manquent pas.
Les curés m’ont interdit de parler du Père. Ils essaient de me faire accroire que je ne suis qu’un simple fidèle parmi tant d’autres, alors que je suis un apôtre comme Pierre et Paul, ils essaient de me faire passer pour un pécheur. Ils aiment mieux les prophètes que j’ai rencontrés à Vancouver qui vendent du stock le long des colonnes de place Saint-Pierre.
Steve Marin aurait tiré si j’étais allé le voir en spectacle à Québec, mais mon heure n'était pas venue, même Lucie m’a demandé si j’étais allé le voir, elle pensait qu’il était meilleur que moi, il était armé.
L’Évangile ne tient pas debout, j’ai fait de plus grands miracles que Notre Seigneur Jésus-Christ à cause de l’époque où nous vivons où nous regardons des images. C’est bien fait pareil, les évangélistes se sont forcés, comme des chroniqueurs. Les évangélistes ce sont des chroniqueurs, alors lisez les Chroniques. Si les curés réfléchissaient ils verraient que ça ne se peut pas, mais ils se dénoncent l’un l’autre, alors ils disent qu’ils ont la foi, mais ils n’ont pas la foi aux miracles que Dieu a accompli sous nos yeux à Québec avec les moyens que l’on a. J’ai attendu longtemps avec les cent piastres que Lucie m’a données pour m’acheter un chevalet. J’ai peinturé longtemps.
Les extraterrestres ont tremblé, peut-être que c’est Dieu qui a fait ça, que ce n’est pas nous qui avons fait cela, ils ne veulent pas être damnés, c’est bien connu qu’ils craignent la malédiction comme la peste. Je rêve souvent que je suis avec Nathalie et qu’elle m’attache. Vous savez que j’aime être attaché. Alan est moins pire depuis quelque temps, il est à la veille de prendre sa retraite, dans environ un an il cessera de travailler. On va peut-être se promener en Cadillac. Vous voyez, tout n’est pas noir. J’en parle-t-y des guérisons que j’ai faites? Odette ne m’a-t-elle pas demandé de guérir sa sœur Colette et ne m’a-t-elle pas battu? Doutez-vous encore que j’ai fait des guérisons? Je ne leur dis pas qu’ils vont guérir, Odette ne veut pas, mais j’y vois clair moi, je l’ai vue Colette à Hauterive, elle était guérie. Et qu’est-ce que Roger m’a dit, continue ton chemin man. Odette m’arrive et me dit que Roger l’a attachée chez lui. Il était chauffeur d’autobus. Il lui a dit qu’il était fini. Je pense qu’il était alcoolique. Qu’est-ce que vous vouliez que je fasse, c’était tout le temps de même avec Odette. Et je n’arrivais pas à m’en débarrasser. Vous pensez que c’était moi qui courrais après. Détrompez-vous. C’est impossible de se débarrasser de ces filles-là à moins de perdre tout ce qu’on a, ce sont les frères du Moyen-âge qui me l’ont dit, ça fait longtemps que tout le monde sait ça. 43 ans sur le BS, mais elle était dans mon lit comme Marie nous l’a expliqué. Je viens de l’expulser. Je sens beaucoup de protection à travers mon ordinateur et les services qui me sont offerts.
J’hésite à aller me faire attacher à Montréal, ça ne coûte pas tellement cher, vous comprenez pourquoi, ça ne veut pas dire que c’est moi qui vais se faire attacher, je l’ai vue attachée deux fois. S’ils m’avaient attaché dans le temps que j’étais au 105 sur le BS, ils m’auraient estropié, c’était presque fait, ils sont apparus dans la chambre, j’en ai eu connaissance, tous mes liens sur Internet menaient à vos bondage services sur le web.
Quand Ronald Reagan était président, j’avais peur de le regarder sur ses photos dans le journal pour ne pas qu’il se fasse tuer, est-ce que c’est assez fort?
Je ne peux même pas dire, il faut que je dise qu’elle avait les bras attachés ensemble pour ne pas la tenter. On pense à Marie. On n’y pensait pas avant, on ne la connaissait pas. Elle aime ça plus que moi se faire attacher. Écoutez, j’ai goûté au demrol, je sais que c’est le fun être gelé. Désirais-je d’autre chose, comme de l’argent, un char, une blonde?
J’ai vu Karine bien faite, c’est une voisine, ça ne fait pas longtemps qu’elle reste ici, on est sûrs de se revoir et elle me parle, elle est adorable, une femme intelligente ne peut venir que du seigneur, c’est la seule qui m’intéresse, mais il y en a une, parce qu’il y a plusieurs femmes, mais elles sont pour la plupart lourdement handicapées, elle avait maigri et elle n’était plus handicapée, en plus elle était en robe. Je ne vais quand même pas lui promettre le paradis à la fin de tes jours, je ne suis pas Dieu.
Vous êtes conviés à une conférence de monsieur Steve Gauthier contribuant à vous exposer son point de vue sur la maladie mentale.
Écoutez, je sais que ça ne vous laisse pas indifférents, j’ai tout perdu mes jobs parce que mes employeurs piquaient des crises de nerfs, je sais l’effet que je provoque.
Ça nous intéresse, autant que possible des membres du personnel médical concernés. Pas d’Annie Paquet, elle est folle pis elle m’haïe, ça passé à la tévé, cf les sorcières de Salem, elle est apparue et elle est rentrée dans le local de la Coterie, pas de Martine Paquet, pas de Myriam Bouchard, elle est apparue et elle m’a dit que j’étais allé trop loin, pas de Francine Belley qui dit que je suis dangereux alors que je suis un agneau, n’en déplaise à Pierre-René Côté, ni aucun employé de la Coterie qui m’ont tant humilié sur la job. Ils sont tous meilleurs que moi, plus instruits, ils ont tous un bac, avec plus d’expérience, et ils sont arrivés avant moi. Les filles qui font le trottoir sur la rue Saint-Laurent en ont un aussi un baccalauréat en arts plastiques.
Je suis muet, alors faites attention pour ne pas me couper la parole, je perdrais le fil de ma pensée.
Ils ont tous tués les rats de laboratoire du centre de recherche.
J’ai assez écrit pour tout de suite, je passe à l’iPad Pro.
Je ne sais pas si vous avez senti un changement dans votre vie, une nouvelle liberté de mouvement, depuis le 9 juillet. Qui croirais-je qui me le dira? Vous voyez, ce n’est pas sûr, les officiers du roi d’Assur et les esclaves diraient que non, alors je n’en parle pas, et je ne dis pas que vous l’avez senti vous aussi.
Quand mon ordinateur m’a parlé, je me suis levé et je suis allé aux toilettes sans en faire de cas, parce que je voulais lui montrer que ce n’était pas la première fois que ça m’arrivait. Mais peut-être qu’il voulait parler de ça. J’avais vu Brizilia au 211 Latourelle en 1990, savait-il, était-ce de cela qu’il voulait parler, ton amie, je ne sais pas mais je commence à penser que ça se peut?
Et j’attends une lettre d’excuses du Ciusss qui m’a envoyé une lettre qui dit que je parle de haine sur mon site. Ce n’est même pas de leurs affaires. Pourquoi t’haïe la sainte vierge Annie Paquet?
Écoutez, Danielle Létourneau savait que j’avais vu Ézéchias et le prophète Isaïe, je leur avais dit, une aide-domestique des Portes de l’Enfer dans la réserve des Laurentides, tout le monde le savait dans la réserve des Laurentides, et mon ordinateur ne le saurait pas. Il ne lui manque plus que la royauté, à lui, Steve Marin, et à Robert-Giffard, (Odette n’a-t-elle pas dit sinon on va t’envoyer à Saint-Michel), il ne lui manque plus qu’une chose pour m’enlever l’onction, c’est ce qu’il veut, il veut m’enlever ma femme, Marie et Sunshine.
Il est évident, pour me demander si mon ordinateur veut que je fasse du mal tout fort au Ciusss, qu’ils ne croient pas qu’il m’ait parlé, je n’ai pas à me justifier. Aussi bien dire que la sainte vierge me veut du mal, vous connaissez les psychiatres. Ils savent que j’ai refusé un contrat à Montréal, ils savent qu’ils ont fait du mal, ils savent que Johnson leur a donné un bon coup de main, ils savent qu’il connaissait Odette, ils veulent faire pareil.
D’où il vient ce gaz propane, d’où elle vient cet air comprimé? Mais je sais d’où viennent leurs barreaux, si tu ne vas pas les voir, ils ne peuvent pas venir te voir. Carlos va être le premier à rentrer dans la chambre quand je vais mourir.
lundi 21 octobre 2024 3:44 a.m.
Une belle journée est une journée où tu n’as rien fait, à part peut-être écrire un peu.
Vous enverrez mes affaires à la maison à Alan, mes guitares, mes ordinateurs et mes peintures, cela va sans dire.
Vous êtes sûrs! Il faut que je passe un examen psychiatrique avec un psychiatre à Saint-Michel-Archange et que j’ai une intervenante du CLSC basse-ville, en plus de mes injections de InVega à tous les mois, parce que je dis que je les ai expulsés.
Oui mais les athlètes disent qu’ils sont bien meilleurs que ça.
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nnjzz · 3 months ago
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ALAN COURTIS + RAVI SHARDJA + MUSHROOMS MAKE MUSIC + EAU DE SOURCE
SAMEDI LE 05.10
ALAN COURTIS ar RAVI SHARDJA fr MUSHROOMS MAKE MUSIC fr EAU DE SOURCE fr
OLYMPIC CAFÉ 20 rue Léon  75018 M° Château Rouge
20:00 portes
20:45 ACTION!
P.A.F. 6€
ALAN COURTIS arCompositeur / improvisateur / instrumentiste / bidouilleur de sons et d'instruments / dispositifs sonores / éducateur-psychothérapeute sonore / chaman à ses heures.
A étudié la guitare classique, le piano, la composition et les sciences de la communication.   
Membre co-fondateur des mythiques Reynols, membre permanent de 'L'Autopsie A Révélé Que La Mort Était Due À L'Autopsie, il a publié des dizaines ( centaines ? ) d’albums et joué avec une multitude quasi infinie de musiciens.ne.s et non-musicien.nes plus illustres les un.e.s que les autres  ( Pauline  Oliveros, Lee Ranaldo, The Nihilist Spasm Band, Damo Suzuki,  Makoto Kawabata, Eddie Prevost, Mats Gustafsson, KK Null, Richard Bishop, Yoshimi P-Wee, Masonna, Günter Müller, Jason Kahn, Toshimaru Nakamura, Solid Eye, Thomas Dimuzio, Rudolf Eb.Er, Kouhei Matsunaga, MSBR, Yoshida Tatsuya, Tetuzi Akiyama, Lasse Marhaug, Ashtray Navigations, Michael Snow, Birchville Cat Motel, Stilluppsteypa, The New Blockaders, Avarus, Kemialliset Ystävät, etc,  etc, etc (etc).
Sa musique s'articule autour de manipulations in situ de sons préparés, d’interventions sur cassettes / bandes, de traitements de field recordings, concoction de bourdonnement ( drones ) plus ou moins cosmiques, de soli de guitare (ou autre instrument à cordes) électriques ou pas, de détournements d’objets divers, cymbales, synthétiseurs ou outils informatiques, mélangeant l'acoustique à l'électronique, le pataphysique et le banal. NB / Son expérience avec Reynols - groupe formé autour de Miguel, jeune percussionniste-vocaliste atteint du syndrôme de Down - lui a servi d'inspiration, en lui permettant de développer sa propre méthode pour la suite de ses activités dont une bonne partie consiste à créer de la musique avec des personnes atteintes d'un handicap mental. Cf. ses multiples concerts et projets ponctuels comme Mumbling Wolves (UK), Les Harry’s de l’H��pital de jour d’Antony (FR), DNA? AND? (NO), Club Théo Van Gogh (BE), Institut René Thône (BE), Ampliflied Elephants (AU), Electroability Stavanger (Norway), Daddy Antogna y los de Helio (AR), etc. https://anlacourtis.bandcamp.com/album/tape-works
youtube
RAVI SHARDJA fr "Maître Ravi Shardja est un être rare. Sa parole musicale cryptique, tripante et profonde est tout aussi bien inspirée par les expériences de Christoph Heemann période HNAS, Cabaret Voltaire première manière, le kraut le plus obscur que par les musiques carnatiques d'Inde du Sud. Il faut donc éprouver cette offrande pour ce qu'elle est : un pur délire mescalinien à faire passer Enter the void pour un téléfilm M6. "  Si c'est Félix Gatier, le honcho du label L'Eau des Fleurs, qui dit ça : il doit y avoir quelque chose ! 
Le dernier album de RS " Quatre soliloques " est sorti sur ledit label tout juste avant l'été.
" Le schéma est simple et déterminant : un dispositif électronique similaire pour un instrument joué à chacun des soliloques pour une musique directe et introspective, au gré de mes états psychiques. En l'occurrence, une lap steel guitar, une sanza électrique et une guitare basse. Trois instruments pour quatre soliloques, car ici il n'y a pas de logique numérique. La guitare basse parle seule deux fois sur la face S, et c'est ainsi. La parole est bannie. « Quatre soliloques » sans voix ni mots : le titre peut paraître paradoxal, j'en conviens. Toutefois, il aura fallu pas moins de quatre tentatives instrumentalisées pour essayer de traduire le fil de mes émotions et de mon intellect. "
" ( ... ) "le soliloque des pouces " , une très belle plage sonore mélodique clôturant l'une des deux faces, et qui aurait trouvé sa place, aux côtés de la musique expérimentale de Stanley Levine, au milieu de "We Can't Go Home Again", le film expérimental de Nicholas Ray... " 
( Philippe Robert / merzbo_derek ) 
Un live pour " lapsteel guitar / basse/  électroniques." dans l'esprit de l'album donc en perspective.
RS - qui est aussi dans une vie parallèle et sous son vrai ( ? ) nom civil, compositeur de musiques de films -  pratique en solo une forme de musique décalée / mutante / déviante " et plus ou moins free et il lui arrive aussi de faire de même ou pas du tout pareil au sein de différentes formations dont il est un éminent membre telles que GOL, Couloir Gang, Art & Technique, ou, plus récent, WolfLand. Il joua notamment avec Tony Allen, Jello Biafra, Charlemagne Palestine, Charles Hayward, Iancu Dumitrescu, Ghédalia Tazartès, Brunhild Ferrari, Günther Schickert, Vincent Epplay... .. 
https://www.youtube.com/watch?v=lOV_s4pVIUo
https://www.youtube.com/watch?v=6Ch3TsrZe2w
MUSHROOMS MAKE MUSIC fr " Les champignons ne se contentent pas de pousser silencieusement sous nos pieds ; ils tissent des connexions, des flux d’énergie que nous pouvons traduire en sons. Ces sons, eux-mêmes, sont comme des récits, à la fois intimes et collectifs, émergeant du sol pour nous rappeler notre interdépendance avec des formes de vie que, souvent, nous ignorons. Dans ces réseaux souterrains où les filaments s’étendent, où la matière vivante communique en secret, il y a une dynamique subtile qui touche à nos propres structures humaines : des systèmes de pouvoir, des hiérarchies écologiques, des dialogues impossibles. MMM propose une musique improvisée à la croisée de la science et de l’art, ne se limitant pas à une exploration d’impulsions sonores, le quatuor interroge notre propre existence au sein d'un écosystème plus vaste, où chaque être joue un rôle, même ceux que l'on ne voit pas. MMM invite à regarder de plus près nos interactions avec la nature, à questionner ce que signifie vivre en réseau avec d'autres formes de vie, et à réévaluer nos interactions dans les systèmes complexes. "
Nouvelle formation composée de : Sig Valax - Persephone + ��lectronique Christian Delecluze - Field Recordings + Électronique David Lara - Senza, Bol Tibetain + FX Olivier Lasson - Électronique (Enner ou Pulsar23), Petits objets
EAU DE SOURCE fr
Meryll Hardt (alias Eau de source) a fabriqué son propre proto-instrument de musique, lors d'une recherche-création dédiée à la voix et l’ensemble vocal artificiels. À la manière d’un thérémine polyphonique, il met en jeu un dispositif de hand tracking et Max msp. En direct et en différé, sans claviers et sans boutons, les sons de la voix, mais aussi d’autres sons  (de l’oscillateur à la bagarre de chats) sont manipulés dans l’éther, par les doigts de la main.
Artiste pluridisciplinaire (performance/installation, cinéma et musique), Meryll est passée récemment par un Master en Création Musicale et Arts Sonores (Univ. Gustave Eiffel et Ina GRM). https://www.instagram.com/meryll_hardt/
Fly - Jo L'Indien
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kyokiiro · 9 months ago
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Hi, for the request, can I please have Serval dating gn introvert reader headcanon?
Rockstar's Moon
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Synopsis - Serval dating an introverted gn!reader
Warnings/content - gn!reader(pronouns aren't mentioned), fluff, ooc Serval?, headcanons, physical affection, use of petnames, possible grammar mistakes, not proofread
A/N: This might be the shortest fic i've written so far, but i hope you enjoy it!!^^ This also seems a but rushed, so i apologize in advance if it is.
Tags: none yet
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People are still confused how you two got together. You guys are literal polar opposites. You're the more introverted, quiet and not that sociable. While Serval is extraverted, loud and very sociable
Tho the both of you don't care what others think of your guys' relationship. You both love eachother dearly and that's the only thing that matters
Serval compares your introvertness to a cat and jokingly calls you kitty, just to annoy you<33
Serval is in general an outgoing person. She enjoys going to events like parties, music concerts, etc. While you prefer more peaceful and quiet activities
Most of you guys' dates exist out of café or picnic dates. But sometimes you guys go to a concert. Serval does bring you earbuds to silence the rowdyness. If it gets to overwhelming for you. Serval is quick to take action. She takes you away to a more secluded area and asks if you wanna go home or not
If you answer yes, Serval will immediately take your hand and go home
If you say no, Serval would be a bit reluctant, but doesn't question futher. Tho she will hold your hand and squeeze it a few times to try calming you down and it usually works
When both of you want a more peaceful and quiet date. You guys always go stargazing. It's something you both love
Serval has no problems with you being introverted. Sure she's a very extraverted person, but she loves to spend time with you more
Serval is a very touchy person. So expect handholding, kisses, hugs, etc. She will also often hold you by the waist. If you aren't a fan of affection and/or PDA. She will limit it, but handholding will 100% be a thing, tho she will always ask before doing so(but who are you to decline). It doesn't matter if it's in public or in private. There will be physical contact in some way
Serval is usually the one who talks. You're more of a listener and don't enjoy public speaking. You only speak if it's needed, tho that rarely happens
Serval definitely uses petnames. She mostly uses: "My moon", "baby/babe" and "Starfly"!
You usually just call her by her name or sometimes "love/my love" in public, but in private you use: "Serv/Servy", "Hun/Hon/Honey" and "Sunshine/My Sunshine"
Whenever you guys cuddle it's mostly quiet, but sometimes Serval talks about her day and stuff. You guys would either be spooning or you would be laying on Serval's while shes playing with your hair and sometimes giving a kiss on either your forehead or the nape of your neck. Depending in which position yall are cuddling
When you want your personal space. Serval respects that and leaves you be.
Serval loves to play guitar for you. If you ever ask her to teach you how to play guitar she would be over the moon. She would act like a enthusiastic puppy and ask when you wanna start learning
Even tho you guys are opposites, you both make the relationship work. Serval and you are in a happy relationship and that's what matters<33
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Reblogs are appreciated!!
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davanlo · 2 years ago
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Le chariot de feu... et ses accessoires
Parmi mes pièces d’équipement préférées, il y a mon chariot Rock’n’roller. Que ce soit pour les Contes & Guitare ou pour mes concerts solo, il aura transporté sans rechigner des kilos de matos de la voiture à la scène. Acheté en 2012, il ne m’a jamais fait défaut. Aussi maniable sur l’asphalte, que sur les pavés ou le gravier, ses grosses roues passent partout. Il m’a servi de plateforme…
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funky8corners · 2 years ago
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Micky Milan - C'Est Une Bombe (1982 - Milan)
Quand on pense aux clubs mythiques qui ont fait les belles nuits des années 70/80 en France, on pense immédiatement au Palace ou aux Bains-Douches. Et c'était pourtant un autre club, passé dans l'oubli, qui régnait sur les ventes de maxi disco funk: L'Echappatoire, usine à danser située à Clichy-sous-Bois ambiancée par son DJ fétiche, Milan Zdravkovic dit Micky Milan. Selon la légende que Micky s'est écrite lui-même, un tube sur la piste de l'Echappatoire permettait d'exploser les ventes le lendemain à Champs Disques.
Comme beaucoup de DJ, Micky a très vite était tenté par le démon de la production. Il a donc réunit une bande de potes qui peut faire peur en première approche (François Feldman, The Gibson Brothers, Carol Fredericks) quelques jours au studio Davout pour se mettre au service de sa vision: mettre en boîte des bombinettes boogie en faisant aussi bien que les Américains. Contrat pleinement réussit: C'Est Une Bombe (Cette Super Fille La), Quand Tu Danses (Y'a Tout Qui Bouge, Qui Balance), Les Vacances (On S'Eclate On S'Evade) donneront envie d'user les semelles de ses baskets en dansant au plus rigoriste des moines trappistes. Qu'importe que Micky ne sache pas chanter et que ses textes soient à chier, tout le reste y est: basses rondes qui tuent, cocottes de guitare funk, envolées de claviers , mélodies qui collent au cerveau, choeurs féminins, breaks qui tuent, rythmique 4/4 bien lourde, bongos. D'ailleurs Salsoul ne s'y trompa pas en distribuant le maxi de Quand Tu Danses.
Gros avantage de l'album, ces tubes irrésistibles sont servis en plusieurs versions (remix dub de Quand Tu Danses, Intrumental de C'Est Une Bombe). Vous pourrez par contre faire l'impasse sur les quelques ballades (C'Est Pas La Peine, Tu M'As Usé), cette dernière portant bien son titre en étant particulièrement usante.
Si vous hésitez entre le vinyl ou le CD, la réédition CD sortie par Boogie Times en 2010 se trouve encore facilement et a l'avantage d'offrir quelques morceaux bonus dont l'excellente version brésilienne de Quand Tu Danses, Quando Tu Dancas.
#mickymilan #cestunebombe #salsoul #boogie #frenchboogie #funk #léchappatoire
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emissionlabandeoriginale · 2 years ago
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// CHRONIQUE ALBUM //
Black Box Revelation - Poetic Rivals
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Le blues rock avait indéniablement le vent en poupe au début des années 2000, toute une audience un peu las de cette vague indie rock créative certes mais un peu teenage et manquant de crasse sous les doigts et de sang sur les cordes, retrouvant dans le blues rock un mélange du punk, du stoner et le côté sexy de la soul chanté par des barbus aux cheveux longs transpirants et cette mouvance était incarnée par deux groupes vitrines du genre ou devrais-je dire deux duo ; les Black keys de Dan Auerbach et Patrick Carney et les White Stripes de Jack et Meg White.
Nombreuses étaient les formations de l'époque à proner la même recette en moins marquant, la plupart nous venant du pays de l'oncle Sam mais un troisième duo celui-ci complètement européen et même très proche de nous avait particulièrement attiré notre attention, les belges de Black Box Revelation. On a encore en tête et dans les oreilles la déflagration que l'on s'etait prise avec "Silver Treats" sorti en 2010 servie par ces deux gus, j'ai nommé le chanteur et guitariste Jan Paternoster et son batteur Dries Van Dijck qui 5 ans après leur dernier long format "Tattooed smiles" sortent "Poetic Rivals" le 31 mars.
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On avait déja entraperçu la direction plus pop des belges dans leurs compo et leurs melodies et c'est d'autant plus marqué sur celui-ci ouvrant d'entrée avec la guitare calibrée et la batterie (trop) propre de "Wrecking Bed Posts" mais surtout sur des balades comme "Losing a Friend" ou "poetic rivals" justement ou carrement le très teenage "Coastline" qui laisseront un peu sur leur faim ceux comme nous qui ont encore en tête et au coeur ce blues rock fievreux et sale qui sentait bon la transpi et la bière au fond des salles de club bas de plafond mais BBR confirment qu'ils en ont encore sous le pied pour servir ce genre d'ambiance comme sur "heads or tails", "Silver Lining", le très frontal et simpliste "alcohol" ou le meilleur morceau de cet album "Mr Big Mouth" qui brille par sa basse lourde et le chant difficilement dissociable d'un certain Liam Gallagher, il se dit d'ailleurs que le morceau serait adressé à cette grande gueule de liam à qui Jan est souvent comparé.
Reste qu'en toute objectivité et si on fait abstraction de ce à quoi les deux belges nous avaient habitué à leurs débuts,  "Poetic Rivals" est un bon album de rock où l'on retrouvera ce côté plaisir coupable, simple et régressif du genre mais dans lequel les afficionados de la première heure qui regrette déjà le tournant pop des Black Keys ne trouveront pas forcément leur bonheur.
Poppy
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beatlesonline-blog · 2 years ago
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adin-guitarservice · 4 years ago
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Live Streming on youtu.be/f4NWFOatJ2A
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affairesasuivre · 4 years ago
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Freddie Gibbs & The Alchemist “from “Alfredo”, 2020)
Après deux projets avec Madlib, Freddie Gibbs retrouve cette fois-ci une autre référence à la production, The Alchemist, deux ans après Fetti. Une nouvelle sortie pour le rappeur de l’Indiana qui vient consolider un peu plus encore sa domination dans le rap game.
Il y a 10 ans, Freddie Gibbs avait annoncé peut-être un peu trop rapidement la sortie à venir d’un projet en commun avec le producteur The Alchemist. Un EP censé s’intituler The Devil’s Palace qui ne verra finalement jamais le jour, sans trop que l’on sache vraiment pourquoi… Une décennie plus tard, la deuxième tentative sera la bonne avec cette fois-ci une annonce au bon moment, seulement quelques jours avant la date de sortie officielle. Après un plan à trois avec Curren$y en 2018 sur Fetti, le rappeur de l’Indiana et le beatmaker originaire de Californie se retrouvent donc enfin en tête à tête sur un projet très attendu.
Al & Fredo
Le titre de l’album, Alfredo, et la pochette regorgent de références et de significations particulières. La première est d’ordre alimentaire avec cette représentation d’un plat de fettuccine alfredo, très populaire aux Etats-Unis dans les soi-disant restaurants italiens… En effet, cette recette n’a aucune origine italienne avec un ajout en grande quantité de beurre qui est une nouvelle fois une réinterprétation typiquement américaine. Un plat de la discorde qui a même réussi à s’exporter finalement en Italie dans des restaurants attrape-touristes qu’il faut donc mieux éviter !
Pour revenir à nos deux artistes, leurs diminutifs se cachent également dans le titre de ce projet avec « Al » et « Fredo ». Une association aux accents italiens plutôt bien trouvée qui nous amène à cette dernière référence cinématographique qui se déroule également en Italie. Comment ne pas penser à l’affiche du Parrain avec cette main de marionnettiste qui se retrouve au-dessus de ce plat de pâtes… Une représentation iconique gravée à jamais dans nos mémoires, comme les trois parties de cette saga qui le sont tout autant (et dont les différents noms des personnages auront servi de pseudos à un nombre incalculable de rappeurs).
Comme une impression de déjà-vu
On ne se lance pas dans ce projet en se demandant où est-ce que tout cela va nous mener. On a, en effet, entendu assez de morceaux entre ces deux artistes ces dernières années pour savoir exactement à quoi s’attendre. On a encore en mémoire la performance dantesque de Freddie Gibbs sur le morceau « Scottie Pippen » tiré de l’album en commun Covert Coup de Curren$y & The Alchemist (2011). Une déflagration de 80 secondes qui donnait déjà envie de voir celui qui se faisait appeler à l’époque « Baby Face Killa » aux côtés du producteur légendaire sur un projet complet. Pour autant, la première écoute d’Alfredo n’est pas gâchée par cette impression de déjà-vu. C’est bien l’envie qui prend le dessus au moment de découvrir cet opus.
Le morceau d’ouverture, « 1985 », est porté par des riffs de guitare typiques de l’évolution des prods d’ALC lors de la dernière décennie: à la fois très simple et efficace, comme la philosophie générale de ce projet qui ne s’écartera pas de ce que les deux protagonistes savent si bien faire. Dans ce titre, les punchlines de Gibbs nous rappellent notre confinement devant Netflix à regarder les documentaires événements qu’ont été The Last Dance ou Tiger King (« Michael Jordan, 1985, bitch, I travel with a cocaine circus », « You niggas is sweeter than Joe Exotic »). Une réussite à tous les niveaux qui a été choisi intelligemment comme premier single avec un clip à la clé.
Les deux autres featurings de ce projet ne se contentent pas non plus de faire de la figuration. Tyler the Creator, dont la proposition de collaboration s’est faite apparemment lors d’une rencontre fortuite dans un fast food de Los Angeles, nous livre l’un de ses couplets les plus inspirés. Une prestation sur ce « Something to Rap About » qui nous rappelle ses débuts sur BASTARD et GOBLIN il y a maintenant 10 ans… Du très très bon Tyler! De son côté, Rick Ross répond aussi présent avec une sortie dont il a le secret. Qui d’autre que le patron du label Maybach Music pour s’immiscer aussi bien sur cette production d’ALC?
The revolution is the genocide, my execution might be televised
Sur cette collaboration, « Scottie Beam », le couplet de Gangsta Gibbs est rattrapé par l’actualité récente aux États-Unis avec la mort tragique de George Floyd lors d’une arrestation. Un constat triste et véridique (« The revolution is the genocide ») qui sera repris pas moins de quatre fois par Freddie comme fil rouge de ce titre. L’un des morceaux les plus marquants de ce projet à la portée toute symbolique au vu du contexte actuel.
Le show Gangsta Gibbs
Si les featurings sont des apports intéressants, Freddie Gibbs n’a pas vraiment besoin d’être entouré pour briller. « God Is Perfect » et « Baby $hit » sont d’une justesse incroyable, aussi bien pour la partie rap que celle réservée au beatmaker. Mais c’est bien le rappeur qui occupe la place principale sur ces 10 morceaux, comme le confie ALC dans une récente interview : « Freddie est clairement la star de ce projet ». Depuis sa sortie de prison en 2016, Gibbs affiche une assurance à toute épreuve et cela ne s’est jamais autant ressenti dans son flow. Tous les morceaux coulent de source et se laissent porter par sa présence charismatique, quitte parfois à tomber dans des structures qui peinent peut-être à se renouveler.
L’association ALC/Gibbs demeure une réussite sans que cela soit pour autant une véritable surprise. Les deux derniers morceaux de ce projet, « Skinny Suge » et « All Glass », viennent compléter un projet cohérent où la prise de risque et la nouveauté n’ont pas forcément été mis à l’ordre du jour. Après quelques écoutes, c’est le principal reproche que l’on pourrait faire à cet opus en comparaison avec Bandana de Gibbs et Madlib. Une comparaison malheureusement inévitable à laquelle on ne peut échapper, le souvenir encore frais d’un grand album sorti l’an dernier. Alfredo n’est cependant pas à classer parmi ces projets qu’on oubliera vite cette année, bien au contraire !
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matthias-songbook · 5 years ago
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Enter The Voidz : rencontre avec Julian Casablancas
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Il est en train de revenir avec son groupe culte The Strokes. Entre temps, Julian Casablancas avait un peu tout envoyé balader pour retrouver le goût du risque avec The Voidz, un groupe de slackers californiens tout droit venus d’un film de genre fauché des années 80. Nous les avions rencontrés en novembre dernier lors de leur passage au festival parisien Pitchfork
Il n’y a rien de pire qu’idolâtrer quelqu’un. D’autant plus en tant que journaliste, lorsqu’on s’octroie la responsabilité d’avoir le recul (les ignares diront “l’objectivité”) fondamental et nécessaire à la profession. Néanmoins il peut arriver que même le plus aguerri d’entre eux se retrouve face à l’équation insoluble, qui consiste à superposer son métier et sa mission d’information, à ses propres goûts, ses passions immatures et déraisonnées. C’est ce qui s’est semble-t-il passé lorsque l’auteur de ces lignes est allé à la rencontre de Julian Casablancas – une rencontre loin du tête-à-tête, le chanteur étant présent sur Paris en compagnie des Voidz, son “autre” groupe en forme de cadavre exquis de culture punk, de sonorités metal et de visions apocalyptiques. Entouré de ses cinq musiciens, ce pape du rock indé des années 2000 (ce vrai-faux genre musical qui a arrangé bon nombre d’apprentis-journalistes), décharné et exténué par un succès d’estime qui a failli lui coûter les amis d’enfance qui constituent le groupe en question (les Strokes, pour ceux qui ne suivent pas), a fait sa révolution façon John Lennon et s’est découvert une conscience politique – un comble lorsqu’on se souvient du degré aigu de je-m’en-foutisme de sa bande d’origine, pour la plupart golden boys new-yorkais à qui le confort leur avait fait développer, par chance, un goût plus prononcé pour les guitares que pour les accès de bêtise.
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À l’occasion de la venue des Voidz dans le cadre du Pitchfork Festival en novembre dernier, Rolling Stone a eu la chance de discuter avec un des esprits les plus bouillonnants de la scène rock américaine, qui a semble-t-il trouvé un nouvel équilibre aux frontières de la marginalité, entouré de Jeramy ‘Beardo’ Gritter (guitare), Jacob Bercovici (basse, claviers), Alex Carapetis (batterie), Jeff Kite (claviers) et Amir Yaghmai (guitare), individus tout aussi passionnants, peut-être plus aventureux dans leur propos que ne l’étaient les Strokes – dont on devrait entendre parler à nouveau très prochainement...
Comment s’est passé le concert ?
Julian : Extra ! Celui de John Maus était cool aussi, très spécial.
Votre dernier album, Virtue, sonne un peu plus “pop” que le précédent, tout en conservant un message très fort, très politique – comment êtes-vous parvenus à changer le flacon en préservant l’ivresse ?
(long silence)
Jeramy : Je ne crois pas qu’on ait essayé de sonner plus “pop”. Mais je ne sais pas… Je crois surtout qu’on a tenté autre chose… On s’est servis de nouvelles peintures, de nouvelles couleurs – ce qui est vrai aussi, c’est qu’on venait de se former quand on a commencé à bosser sur Tyranny (le premier album des Voidz, ndlr). On apprenait encore à se connaître. De nouveaux trucs se sont produits sur ce deuxième album, qui n’ont tout simplement pas eu lieu sur le premier – une meilleure communication entre nous, déjà. Je crois aussi que nos influences ont fini par converger, à force de se connaître et de se fréquenter. Pour être tout-à-fait honnête, le processus est toujours aussi chaotique, on ne sait jamais vraiment ce qui va en sortir jusqu’aux toutes dernières semaines.
Jacob : Jeramy a raison quand il parle de nouvelles palettes de couleur. Tyranny avait ses couleurs très hétéroclites – c’est un peu notre album “New York de nuit”. Le dernier a été majoritairement enregistré sur la côte ouest, à Los Angeles, chez Amir.
Le disque témoigne encore de vos goûts très éclectiques pour plein d’autres genres que le rock’n’roll. Est-ce que c’est quelque chose que vous amenez chacun de manière individuelle ?
Jacob : C’est plutôt un melting pot. Bien sûr, on a chacun nos trucs, mais on est surtout inspirés par notre alchimie, par ce qui se passe concrètement quand on se retrouve tous ensemble. On est un trou noir : on va au bout de nos idées, et on essaye de les regrouper quelque part au centre.
Jeramy : On déconne beaucoup aussi. On a du mal à s’arrêter, à la fermer parfois – moi en particulier ! On déverse nos idées, quelles qu’elles soient, bonnes ou à chier. On apporte tous notre pierre à l’édifice, on n’est pas juste en mode “Je suis le guitariste, voilà les chansons que j’ai écrites” avec les riffs, etc. Aucun rôle n’est figé. Julian par exemple – mais ce n’est que mon avis – a ce don pour retenir un passage que moi, Alex ou Amir allons trouver sans intérêt, et nous le ressortir plus tard, en mode “Hey, tu te rappelles de ce truc que tu jouais tout à l’heure ?” alors que ça nous avait complètement échappé… On a chacun nos compétences spécifiques.
Le processus est toujours aussi chaotique, on ne sait jamais vraiment ce qui va en sortir (Jeramy Gritter)
Jeff et Alex, vous étiez déjà là à l’époque de Phrazes for the Young, le premier album solo de Julian. Depuis cette époque, qu’est-ce qui a le plus changé pour vous ?
Jeff : Nous avions été “engagés” à l’époque. C’était un disque solo, Julian avait écrit et enregistré de son côté, avec un producteur. Nous n’étions “que” ses musiciens de scène. C’est là qu’on est devenus amis, et qu’on a commencé à jouer et à écrire des morceaux tous ensemble. Petit à petit le groupe s’est formé sur les deux ou trois années suivantes… Tyranny et Virtue, c’est vraiment ce qu’on a fait tous les six, alors que Phrazes est authentiquement solo.
Julian : Dès qu’on s’est mis à répéter ensemble, j’ai réalisé que c’était ce que je recherchais en jouant au sein d’un groupe. Auparavant, on pouvait galérer à trouver le bon tempo, la bonne durée. Et plus les mois passaient, plus on créait des liens via notre musique… Je crois que c’est là que j’ai vraiment commencé à m’intéresser aux personnes que je rencontrais via le prisme de la musique. À cette époque, j’ignorais complètement ce qui allait se passer par la suite. Dès que je les ai rencontrés, ça a été magique. Il y avait un morceau dont la rythmique avait été faite sur une drum machine. On répétait depuis quelques jours, et les batteurs qui étaient venus n’y arrivaient pas, quelque chose clochait. Je lui ai juste chanté le truc (à Alex, ndlr), en trois secondes il le faisait mieux que la drum machine elle-même !
Alex : Je me rappelle avoir commencé à jammer quand on est partis en Australie.
Julian : Absolument. Et la connexion avec Jeff s’est également faite très vite. Ses accords sont très réfléchis. On est toujours très ouverts, très attentifs les uns aux autres. Ça me fait penser à Dave Grohl : son jeu améliore le tout, même le chant. La plupart des musiciens ne se soucient que de ce qu’il font eux, individuellement. Ça me semble très rare de tomber sur des gens qui se soucient de l’ensemble, des mélodies, tout en assurant leurs parties respectives. Bref, tout ça pour dire qu’on a notre petite cuisine interne, et qu’elle tourne très bien jusque là. Chaque ajout améliore l’ensemble, personne n’arrive pour tout péter... C’est rare, et c’est vraiment cool.
Jeramy : Ne pas oublier qu’on est là pour la thune, et qu’on va la dépenser le plus vite possible ! (rires)
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Vous êtes très populaires en Amérique du Sud. Qu’est-ce que l’élection de Bolsonaro à la tête du Brésil représente pour vous (l’interview date de début novembre, quelques jours après le scrutin, ndlr) ?
Jeff : Il y a vraiment un courant nauséabond de tarés qui se font élire un peu partout dans le monde.
Jeramy : Il vient juste de gagner, c’est ça ? C’est un mec odieux, particulièrement envers les femmes. Je ne veux pas dire de bêtises, mais je crois qu’il a des idées vraiment folles, genre armer tout le monde. Pour lui c’est la solution pour lutter contre le crime – ce qui est totalement absurde.
Julian : De toute façon il n’y a pas de démocratie au Brésil.
Tu penses que son élection ne va rien changer ?
Julian : Je crois que les grandes entreprises ont trouvé le moyen d’obtenir ce qu’elles veulent. Elles détiennent les médias, le processus électoral... Il n’y a plus vraiment de démocraties dans le monde, hormis quelques endroits comme le Vénézuela, l’Équateur, où elle est attaquée… Tout pays qui n’a pas encore intégré l’agenda mondialiste subit un véritable enfer de la part du reste du monde.
Jacob : On leur souhaite le meilleur malgré tout. Peut-être qu’il a été élu pour d’autres bonnes raisons, qu’il en fera un meilleur pays. Il faut l’espérer.
Amir : Ouais, on verra avec le leader suivant je pense !
Jacob : Chez nous, Donald Trump, ça a été un vrai cheval de Troie. Sauf qu’au lieu de se révéler en disant “En fait je suis démocrate, j’ai juste fait tout ça pour gagner !”, tu comprends que c’est surtout un cheval de Troie pour les grandes entreprises. Et on l’a laissé rentrer…
Julian : On a fait rentrer le loup dans la bergerie !
Jeff : Le plus terrible dans tout ça, c’est le double discours des gens. Si un pote à toi te disait le quart de la moitié de ce que raconte ce mec, tu le dégagerais de ta vie dans la seconde. On parle souvent de donner l’exemple à la jeunesse, et ce qu’on est en train de leur montrer, c’est que tu peux raconter littéralement de la merde en toute impunité.
Jeramy : Quand ton président s’amuse à scander “Enfermez-la”, tu sens que c’est mal barré.
On parle souvent de donner l’exemple à la jeunesse, et ce qu’on est en train de leur montrer, c’est que tu peux raconter littéralement de la merde en toute impunité. (Jeff Kite)
Le vrai paradoxe, c’est le fait que ces deux dirigeants aient l’air si peu populaires...
Jeramy : Trump est apprécié en France ?
Pas vraiment, non...
Jeramy : Je serais curieux de savoir. S’il le faut Trump est aimé partout ailleurs dans le monde…
Alex : Il l’est même pas aux États-Unis !
Jeramy : Je sais, mais je trouve ça intéressant. Imagine que des extra-terrestres arrivent, comment on leur explique qui dirige ou pas ?
Jeff : Absolument !
Jeramy : Qu’est-ce qu’on va faire de l’intelligence artificielle ? comment lui faire comprendre tout ça ? On va lui balancer des mots-clés, “flingue”, “avortement”, et elle calculera en temps réel les coûts et les enjeux économiques de chacune de ses thématiques, comme ça ?
Jacob : Ce qui a le plus changé je trouve, c’est que les gens ne se reconnaissent plus dans des valeurs éthiques ou morales. Plus besoin de montrer l’exemple, ou de se battre pour la justice, on est en train d’élire des menteurs. Il y a encore des gens à gauche qui pensent que porter ces valeurs, c’est être dans le vrai. Alors que d’autres pensent que simplement gagner, c’est être dans le vrai. Tu mens, tu triches, tu piétines les autres – “si je suis là, c’est que j’ai raison”, non ?
Jeramy : Il y a tellement d’injustice dans le monde. La démocratie était censée montrer la voie, mais on l’a laissée se faire pervertir par le mécanisme capitaliste.
Jacob : Et les réseaux sociaux ont un rôle là-dedans. Aujourd’hui, l’information est devenue une monnaie. Elle se déverse dans la vie des gens, quitte à n’avoir aucun lien avec la réalité.
Julian : Le pire dans tout ça, c’est qu’absolument tout est motivé par l’argent. À l’origine, notre culture était basée sur une vraie valeur morale, sur ce qu’on estimait être juste. Aujourd’hui, il s’agit avant tout de gagner de l’argent. On ne peut plus se rattacher à de grands principes, à des vérités immuables, on est revenus à un système médiéval où quand tu as assez d’argent, tout va bien pour toi.
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Vous avez un point de vue assez sombre sur la démocratie...
Julian : Je crois que la démocratie était une belle idée. C’est juste que les grandes firmes ont été malines et ont su se positionner. Tu peux acheter un journal qui appartient à l’une d’entre elles, et lire des mensonges – elles ont le droit ! T’encaisses, tu dis ce que tu veux… Qu’est-ce qui peut empêcher ces personnes de faire ce qu’elles veulent ? Pas grand chose.
Jacob : Je veux pas dire de conneries, mais il y a ce représentant politique qui un jour a dit un truc du genre : “Toute société socialiste devrait tendre vers le capitalisme, et toute société capitaliste devrait tendre vers le socialisme.”
Julian : Point final ! (rires) Plus sérieusement, tout le problème réside dans le fait que notre système capitaliste soit déréglé, en roue libre. C’est le marché qui a engendré l’esclavage, le travail des enfants. Il y a du bon dans le capitalisme, mais il ne faut pas fermer les yeux sur les forces maléfiques qui sont en œuvre. Certaines choses devraient être considérées comme littéralement illégales, mais elles ne le sont pas.
Alex : Je crois qu’ils le savent très bien. Ils se disent surtout qu’en faisant en sorte qu’une grande majorité reste plus ou moins heureuse, tout va bien – et il semblerait qu’on soit d’accord avec ça. On se dit que les choses pourraient être pires, qu’on pourrait crever la dalle, etc. Ces gens-là s’occupent de nous, et ils ramassent la grosse part du gâteau, pensant qu’ils la méritent. Et ils ne veulent pas que ça change. Franchement, en l’état, je ne vois pas comment ça pourrait arriver...
Julian : Il faut une révolution spirituelle… Ce sera en couverture de Rolling Stone, ça ? (rires)
Qu’est-ce qui peut empêcher ces personnes de faire ce qu’elles veulent ? Pas grand chose. (Julian Casablancas)
Pour finir, Julian, je voulais revenir avec toi sur une interview que tu avais organisée avec Rolling Stone US. Tu discutais avec l’écrivain Henri Giroux, et les thématiques abordées (sociales, politiques, économiques) semblaient très subsersives. Est-ce difficile d’évoquer ces sujets aux États-Unis, où le fantôme du communisme semble planer sur toute idée considérée un peu trop “à gauche” ?
Julian : C’est très à contre-courant du pouvoir en place, en effet. Mais s’ils se sentaient vraiment menacés, je pense qu’ils s’en soucieraient plus que ça. Ils peuvent se sentir menacés par Bernie Sanders par exemple, alors que moi, ils s’en branlent ! Son propre parti lui a mis des bâtons dans les roues. Ça a mené à la victoire de Trump. Je pense que dans un vrai système démocratique, il aurait gagné. Mais c’est amusant : pendant les élections, tous les sites indépendants – sans espaces pub vendus à des grandes enseignes, donc – ont évoqué de lourds soupçons de corruption sur les primaires démocrates. Mais c’était comme crier dans le Grand Canyon : tout le monde s’en tapait. Les médias de masse n’ont évoqué ces histoires que lorsque Hillary a gagné. Depuis, ces sites et ces stations, qui disaient la vérité depuis le début, sont en train d’être fermés via ces campagnes “anti-fake news”. C’est le monde à l’envers : tous ces médias soumis aux multi-nationales font pressions sur les organes indépendants, en les faisant passer pour l’ennemi. C’est tellement sinistre.
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chandrabuwono-blog · 4 years ago
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Walkon Guitar Custom & Art
Walkon Guitar Custom & Art adalah usaha yang bergerak dibidang pembuatan alat musik yang terletak di Gang Walikonang No.16 Wonoyoso, Desa Bumirejo Kec. Kebumen Kab. Kebumen. Awal mula berdirinya usaha ini yaitu ketika owner Walkon (Ery) menginginkan sebuah gitar yang kemudian ia memesannya kepada pengrajin gitar. Singkat cerita setelah gitar pesanan jadi, ia merasa gitar tersebut kurang nyaman dipakai. Alhasil ia pun dengan nekad membongkar gitar itu sendiri dan mereparasinya. Setelah selesai reparasi, gitar yang dibongkar itu menjadi lebih nyaman. Dari situlah ia mencoba membuat gitar sendiri untuk pribadi pada tahun 2000.
Singkat cerita, setelah sukses membuat gitar sendiri, di tahun 2003 dengan bekal ilmu yang ia pelajari, kemudian ia membuat untuk dijual kepada teman kuliahnya saat itu. Setelah berhasil, ia pun mencoba menjual beli kan gitar dan bass bekas dengan cara membelinya, kemudian di reparasi ulang dan di setting ulang baru setelah itu dijual. Setelah berhasil dengan membuat gitar sampai jual beli gitar dan bass bekas, ia pun membuka jasa servis gitar dan bass. Sembari membuka bengkel gitar, pesanan gitar dan bass tetap ia terima. Terhitung tahun aktif usaha ini dimulai tahun 2003 – sekarang.
Adapun harga tergolong relatif, hal ini dikarenakan terkait dengan pemilihan bahan. Mulai dari kayu, sparepart, dan jenis pengecatan. Untuk build quality Walkon Guitar Custom & Art memperlakukannya adil. Dalam artian gitar murah atau mahal pasti dibuat dengan penuh ketelitian dan kesabaran, hal ini sangat berpengaruh kepada kepuasan pelanggan. Karena owner tidak ingin pelanggan kecewa dengan produknya.
More Info :
Whatsapp : +62 813-9367-5500
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ts2-uglacy · 5 years ago
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Semaine 17 : Vacances à la montagne ! (Partie 1)
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Lorsque j’ai commencé à jouer ce nouveau chapitre, mon jeu a crashé et bien évidemment, je n’avais pas sauvegardé depuis longtemps parce-que J’ÉTAIS SUR UN TERRAIN COMMUNAUTAIRE DEPUIS DES PLOMBES ! J’ai donc perdu toute la progression et pour me changer les idées, j’ai décidé de jouer une Simette qui venait d’emménager à l’Université (puisque ça m’arrive de jouer un peu les autres familles de temps en temps). Et c’est là que la magie a opéré. A peine la partie chargée, que constate-je ?
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Il s’agit d’une autre lesbienne qui VEUT d’elle-même devenir l’amie de Becky ! C’est le genre de truc rêvé pour faciliter l’accès à l’humeur de platine pour notre monstresse préférée puisque rappelons-le, il ne lui reste qu’une seule conquête à avoir pour satisfaire son désir à long terme.
Notre chère Corinne s’emballe un peu (ou plutôt, JE m’emballe un peu) et appelle Becky pour lui proposer un Rendez-Vous.
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Et là, c’est le drame. Que t’arrive t-il, petite Becky ? Je ne te reconnais plus !
Qu’à cela ne tienne ! Le truc à faire, c’est d’améliorer leur relation avant de réessayer, alors Corinne décide d’aller faire un tour sur un terrain communautaire en espérant croiser Becky... pas si facile vu le nombre d’étudiants que contient l’université.
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Et pourtant, ça marche ! Becky est là, et Corinne fond comme neige au soleil en l’apercevant.
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“J’sais pas si tu savais mais Trucmuche s’est pissé dessus dans l’amphi”
Les ragots, ça ne te fera pas bien voir par les autres ma chère Corinne, mais c’est une technique tout à fait valable pour entamer une conversation avec une personne aussi odieuse que ta cible.
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Becky commence à voir le truc venir et joue finalement le jeu. Elle enchaine banalités sur banalités pour faire la conversation et jauger son interlocutrice.
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Le rapprochement se fait très très vite et les banalités laissent place au flirt, ce que Becky maitrise à la perfection.
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Il faut croire que Corinne s’y prend bien puisque notre petite Becky commence à craquer pour elle !
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Et vas-y que j’te chatouille.
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Puis que je t’enlace.
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Céleste passait par là et son cœur se brise.
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Elle donnera quelques claques à Becky avant de partir, furibonde. L’ambiance à la coloc risque d’être tendue désormais... Becky ne t’avait pourtant rien promis ! Quand vas-tu le comprendre ?
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Vient le moment fatidique du baiser, le tout premier de Corinne !
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La rencontre se termine là-dessus puisque Becky, malade comme un chien, décide de partir. Mais un peu plus tard, Corinne lui propose un Rendez-Vous chez elle, et cette fois-ci, Becky accepte !
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Et une galoche de plus, une !
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Les choses sérieuses commencent immédiatement et voilà deux Simettes aux tenues affriolantes qui s’installent sur le lit.
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Pour être tout à fait honnête, je les trouve tellement sexy et bien assorties que je garde Corinne en tête si un jour Becky souhaite se mettre en couple monogame. Regardez-moi comme elles sont belles, même leurs tatouages sont les même !
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Tadaaam ! Voilà qui est fait !
Bon, normalement, lorsqu’un Sim se fait tromper par celui/celle qu’il aime, il est en colère après son amoureux/euse, mais n’en tient pas rigueur à celui avec qui l’autre la trompé.
Sauf aujourd’hui.
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“Toi ! Espèce de racleuse de fosse septique, si tu crois que je ne te tiens pas à l’œil !”
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“Moi ? Mais quoi ? Oulala ! recule, tu me veux quoi, la timbrée ?”
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Et alors que je pensais tranquillement simplement tester ma rénovation de La Plaza (où d’ailleurs il faut un peu plus de poubelles), Corinne se prend une paire de claque.
Jamais vu Céleste voir aussi rouge. Ça promet pour la suite !
Quoi qu’il en soit, maintenant, retour à la maison familiale, ou Bucky, Charlotte et Junior passent le temps comme ils peuvent depuis que les enfants sont partis.
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Malgré son âge avancé, Charlotte continue de vouloir apprendre de nouvelles choses. Peut-être est-ce à cause des histoires sans lendemain de sa fille, peut-être est-ce juste parce-qu’elle est profondément gentille. Quoi qu’il en soit...
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... elle apprend ! Avec son mari et son robot qui passent leur temps au travail, elle a beaucoup de temps à tuer toute seule.
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De son côté, Junior a de nouveaux point d’aspiration à dépenser. Il peut désormais convoquer les extra-terrestres !
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La famille avait une grande terrasse bien vide, qui ne comportait qu’un télescope. Avec une vue pareille, autant installer une table et un barbecue pour profiter de la beauté du paysage lors de repas entre famille ou amis !
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Ah tiens, Bucky voudrait devenir une sorcière. Pas un sorcier, non, une sorcière ! ;-)
Et bien, allons-y ! Contrairement à sa fille, Bucky ne connait que trop peu les sorcières pour leur demander directement, alors il va falloir qu’il devienne ami avec l’une d’entre elles. Direction un terrain communautaire en espérant que l’une d’elles se montre !
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Ça, c’est juste parce-que je trouve le devant de la maison joli...
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Bucky part donc avec le petit Balot pendant que Charlotte passera le nez dans son bouquin.
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Alors, durant cette longue pause où je n’ai rien posté, j’ai beaucoup joué avec les autres familles et j’ai détruit pas mal de terrains pour en construire d’autres. Et voici... la gare ! Je ne sais pas si c’est le meilleur endroit pour qu’une sorcière se montre mais j’avais envie de tester un peu le terrain.
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Et comme à chaque fois, Bucky souhaite prendre une photo. Cette fois-ci il sera seul dessus, ce qui devrait satisfaire son côté égocentrique.
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Résultat : des photos rigolotes qui trouveront probablement place dans la maison !
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En attendant qu’une sorcière se pointe, Bucky va acheter quelques consoles portables, lecteurs MP3 et téléphones, puisque ni lui, ni Charlotte, ni Junior n’en possèdent.
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Et alors que le temps passe sans aucune sorcière à l’horizon, Bucky se voit salué par Rayanne, une citoyenne d’Ugly-Ville.
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“Il fait froid non ?”
Si tu étais un peu plus couverte ça irait probablement mieux... Mais je dis ça...
La conversation durera un certain temps, sans grand intérêt, et toujours pas de sorcière à l’horizon. Bucky va donc changer de terrain communautaire pour se rendre dans un café-concert, lui aussi construit de mes petites mains.
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Pour passer le temps, Bucky essaiera d’attirer du monde en jouant un air rock...
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... et il sera rapidement rejoint par d’autres Sims pour un concert amical !
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“Est-ce que j’ai reçu du flouze ?”
Vérifions combien Bucky a gagné en mendiant de l’argent avec cette guitare...
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Bucky a l’air super content et pour cause, c’est 700$ qu’il encaisse ! Dire que certaines carrières rapportent moins que ça en plusieurs heures de travail supplémentaire, voici donc une astuce sympa pour arrondir les fins de mois !
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Mais le temps passe et toujours aucune sorcière à l’horizon... Bucky et Balot (qui fait sa vie sans qu’on s’en préoccupe, pauvre petit chien), vont donc tenter leur chance au centre-ville, cette fois.
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Et voici donc un bowling-restaurant encore une fois construit de A à Z par mes petites mains.
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Le bowling au rez-de-chaussée, le restaurant à l’étage, et comme on peut le voir, il manque du papier peint à certains endroits... ma faute, j’ai depuis supprimé certains papiers peints du jeu en faisant le ménage dans mes téléchargements et voilà le résultat... faudra que je remédie à ça plus tard.
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Quoi qu’il en soit, Bucky a passé la journée dehors et commence à avoir faim. Apparemment, il a envie de manger... un truc que je ne parviens pas à identifier.
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*tousse* *tousse encore* *crache ses poumons*
La grippe est contagieuse et Bucky l’a attrapée !
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A peine a t-on servi le repas de Bucky que cette Simette vient le lui prendre sous le nez pour aller le déposer dans la cuisine du restaurant. Mais POURQUOI ? Rend-nous cette assiette espèce de vile voleuse !
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Au moins j’ai réussi à lui commander ce qu’il voulait manger... mais je ne sais déjà plus quel est le nom de ce plat.
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Qu’à cela ne tienne, Bucky lui aussi rentre en cuisine et va récupérer sa bouffe !
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Et pendant ce temps... le petit Balot meurt de faim.
Il faudrait un mod qui permette de donner la fin de son assiette à un animal lorsqu’on est au restaurant, surtout que Bucky n’a pas terminé son assiette...
On n’aura croisé aucune sorcière aujourd’hui, tant pis. Bucky et Balot rentrent donc à la maison en espérant que le chien aille directement à sa gamelle pour se nourrir et que la fourrière ne vienne pas nous l’enlever pour mauvais traitements.
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Pendant ce temps, à la maison, Charlotte a compris comment aider les couples en détresse.
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Et désormais, elle souhaite éduquer son petit dernier. Puisque c’est ça... invitons-le à la maison !
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AH ! Évidemment ! J’ai déménagé tous les SIms des deux universités qui ne me serviront plus dans la boîte à famille et j’ai oublié de les faire réemménager. Un petit tour à l’université s’impose donc pour réinstaller tout le monde dans une résidence universitaire histoire qu’ils soient au moins joignables...
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Ahhh voilà qui est mieux.
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“Mon grand et beau garçon...”
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Et après cette étreinte, Boris s’installe par terre pour lire et Charlotte entame une conversation avec un voisin.
MAIS PARLEZ-VOUS BON SANG !
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“Mais maman, je suis trop vieux pour que tu m’encourages à être ceci ou cela ! Je suis déjà adulte tu sais, tu ne me changeras plus !”
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Et alors qu’ils dégustent les hamburgers préparés par Charlotte...
“Tu sais, j’ai découvert un nouveau groupe de musique, je suis sûre que tu aimerais !”
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“Mais maman, ta musique c’est de la musique de vieux ! Non merci !”
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Et alors que Charlotte commence à réaliser que ses enfants sont désormais des individus indépendants et pas des plus reconnaissants, Junior ramène une collègue de boulot à la maison !
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Sa vie sociale était tellement dans le rouge que son ami imaginaire est venu l'encourager alors qu’il entame la conversation avec sa collègue.
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Rapidement, Junior a droit à un câlin de sa nouvelle amie, mais hop hop hop, tu as des tâches ménagères à faire petit robot domestique !
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Voilà qui est mieux.
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“Félicitations pour vos bonnes notes à l’Université Monsieur”
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“Félicitations pour votre maîtrise des sept compétences, Madame”
Ce robot, toujours un mot sympa.
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En parlant de maîtriser des compétences, il y en a une que Boris ne maîtrise pas encore, c’est le Nettoyage ! Charlotte lui propose donc un petit cours particulier pour le reste de la journée, sous la lumière disco du sous-sol. Meilleur endroit au monde pour apprendre quelque chose.
Rentrent alors de leur balade Bucky et Balot...
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Merci, on avait remarqué.
Le chien avait tellement sommeil qu’il se couchait sur place sans manger, puis se réveillait tiraillé par la faim sans avoir récupéré de sommeil, puis était toujours trop fatigué pour manger donc se recouchait, etc... Un cercle vicieux, en somme.
J’ai bien cru que j’allais perdre le chien de faim mais l’interaction “donner une friandise” a fonctionné et a un peu rempli l’estomac de Balot qui a pu s’endormir tranquillement.
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Et le petit Balot fait des rêves prenants !
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Tant mieux pour toi Junior. C’est pas comme si y’en avait déjà plein la maison.
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Le lendemain, Bucky décide d’aller au boulot en sous-vêtements.
Il faudrait qu’il prenne sa retraite, il perd complètement la tête !
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De son côté, Charlotte veut partir en vacances ! Très bien, au retour de Bucky, vous réserverez donc un vol pour une destination quelconque.
J’ai très peu joué avec l’extension Bon Voyage, je ne sais donc pas trop ce qui m’y attend mais j’ai hâte d’y être !
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Pour passer la journée, un peu de yoga en bord de mer ne fera pas de mal à Charlotte...
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... qui termine avec un nouveau coup de soleil !
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C’est moi ou il y a toujours un air triste sur son visage ?
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“Voyons voir, Bali... Baleine... Ah ! Balot ! C’est bon, Monsieur le chien, vous êtes bien sur ma liste !”
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“Attrapez donc ce bâton spectral et vous irez au paradis des chiens !”
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Et c’est ainsi que se termine la vie de Balot, dont la tombe a été placée sous les cocotiers.
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Viens l’heure d’organiser le voyage. Toute la famille (sauf Junior qui va garder la maison) part en vacances ! Et tant qu’à faire, on prend de lonnngues vacances, soit sept jours loin de la maison.
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La famille vivant en bord de mer, je me suis dit que partir à la montagne serait une bonne idée. On prend évidemment l’hôtel le plus cher de la liste (parce-qu’on est RICHES) et voilàààà !
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Notre petit couple a fait ses valises et les enfants les rejoindront à l’aéroport !
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Les chambres sont rapidement choisies par Charlotte qui signe le registre...
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... alors que Becky a l’air de détester l’endroit.
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“Un vacancier accompli”. Je ne sais pas vraiment ce que ça signifie mais d’accord !
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Charlotte commence immédiatement à désirer tout un tas de trucs que je n’avais jamais vus avant. Nous allons essayer de réaliser tout ça en commençant par une excursion !
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“Alors bonjour, euh, on est cinq, et euh, on voudrait faire une excursion, qu’il y a t-il de bien dans le coin ?”
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Oui ok mais là on s’en fiche un peu Madame la guide touristique !
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OUIIIII
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Je vois très mal Charlotte prendre des risques alors passons par la terre !
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OHHH zut !
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Bucky est à peine rentré qu’il souffle ! On dirait que la vie trépidante d’un touriste en excursion ne lui convient pas très bien.
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Toute la famille se gratte et...
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... Becky adore ! Rien que pour voir tout le monde chercher à se gratter des zones inaccessibles dans le dos elle est finalement contente d’être venue !
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Alors que la famille se rend sur un terrain communautaire, Becky nous fait une fois de plus part de son plaisir d’être là. Comme quoi, les apparences sont parfois trompeuses.
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La famille teste tout un tas de choses. Bucky, lui, commence avec les bains chauds.
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“Tu pues mon fils. Viens dans les bains chauds avec moi, ça effacera probablement cette odeur nauséabonde.”
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Betty, elle, teste le sauna.
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Becky et Charlotte se moquent du reste de la famille.
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La sortie en groupe se termine et tadaaam ! Becky apprend quelques astuces à son père pour avoir l’air charismatique !
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Le lendemain, le charlatan local suit la famille sur un autre terrain communautaire...
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Charlotte et ses 10 points de physique maîtrisent à la perfection l’art de marcher sur les bûches !
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Alors que la soirée avance, le charlatan tente de dépouiller Charlotte qui ne se fait pas avoir ! Je suis tellement fière d’elle, moi qui la voyait naïve, elle est parfois plus maligne qu’elle n’en a l’air !
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...
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Charlotte semble vraiment très douée...
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... puisqu’elle enchaine trois haches en plein centre de la cible !
Deux jours viennent de se passer en vacances et j’ai comme l’impression qu’il manque un truc parce-que c’est bien moins fun que je ne l’imaginais...
Je cherche un peu pour comprendre puis me vient l’illumination : l’endroit n’est pas peuplé !
J’utilise des templates vides et le mod notownieregen vu que sur mes autres parties, je préfère n’avoir aucun Sim Maxis et créer chaque habitant du monde moi-m��me me plaît davantage. Et j’avais complètement oublié que ça générait aussi des destinations de vacances complètement vides ! Du coup, pas d’habitants locaux, pas de touristes, rien...
Bon, ne me reste plus qu’à créer moi-même quelques personnages et à les ajouter au monde. En espérant que ça rende plus amusantes les vacances, parce-que j’ai l’impression d’avoir fait le tour des activités en moins de deux journées et j’ai peur que ça devienne rébarbatif.
*travaille sur des locaux pendant deux jours*
Et voilà, après avoir créé une douzaine de locaux pour les destinations à la montagne, j’ai également changé deux-trois trucs dans mes mods. Puisque pour l’instant je ne joue que ce quartier, j’ai provisoirement retiré le mod notownieregen pour voir si ça allait créer des touristes tout seul, et puisqu’on joue un Uglacy, j’ai aussi supprimé tous mes face templates pour revenir à ceux tout moches de Maxis (sans oublier le mod qui corrige les bugs de deux d’entre eux). Ne reste plus qu’à retourner auprès de la famille Bucket pour voir ce qu’il en est !
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Et alors que la famille croise les nouveaux locaux, Betty s’en prend à l’une d’entre elles.
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Le début de la haine.
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“Si tu crois pouvoir me détrôner ma belle tu te mets le doigt dans l’œil jusqu’à l’estomac ! La seule véritable gothique ici, c’est moi ! C’est pas avec ton col Claudine, ton jean à trou et ton rouge à lèvre sombre que tu me feras de l’ombre !”
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“Mais tu m’emmerdes sale touriste de mes deux ! dégage !”
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“Si tu veux te frotter à moi faudra assumer ensuite !”
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Pendant ce temps, un punk local félicite Charlotte pour ses aptitudes au lancer de hache.
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Mais les deux nouvelles ennemies sortent dehors pour se battre.
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Claques après claques, la haine monte.
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Boris, lui, ne s’en mêle pas préfère s’éloigner.
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Après cette escapade nocturne, tout le monde rentre à l’hôtel, et Charlotte va se reposer un peu sous l’œil malaisant de Betty.
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“Si je voulais te tuer dans ton sommeil, ça serait le moment parfait.”
Chose étrange, je vois que les invités du voyage, à savoir, les enfants (que je ne peux pas contrôler lors de ces vacances), n’ont jamais été une seule fois au lit, et pourtant leur barre d’énergie n’est jamais dans le rouge, sans que je ne sache pourquoi. Finalement, seuls Bucky et Charlotte dorment, et c’est comme si je payais les autres chambres pour RIEN ! Un mystère est donc à résoudre ici.
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“Je ne suis pas sûre d’avoir choisi la bonne spécialisation, papa. C’est comme si j’avais envie de toutes les tester mais que je ne pourrais jamais le faire !”
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“Mais ma chérie, peu importe ta spécialisation, tu sais. Tu as la chance d’être notre héritière, tu auras donc une grande maison déjà meublée, qui produit assez d’énergie pour tout un foyer et même plus ! Tu gagneras avec ça de l’argent sans avoir besoin de travailler...”
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“Tu pourrais en profiter et faire le tour du monde !”
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“Le tour du monde ? Mais tu penses un peu à la pollution que ça engendre ?”
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“Non, je crois pas ! T’y penses même pas ! Nous sommes des sales petits riches pollueurs qui prenons l’avion pour voir des trucs qu’on n’a même pas besoin de voir, ça me met dans une colère, tu sais !”
Becky, jamais contente. Ou alors c’est juste pour embêter son père.
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Charlotte, elle, s’est réveillée et est allée prendre un bain bien chaud. Voilà enfin, comme rarement, un air décontracté sur son visage !
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“Alors, ma chérie, il te plaît ce voyage ?”
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“Ouais !”
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Betty continue d’imaginer des plans diaboliques qu’elle ne mettra jamais en place...
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“J’aimerais avoir un super boulot plus tard ! Dans un grand bureau avec des meubles en acajou massif et un fauteuil de bureau rembourré.”
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“Peut-être même vivre en centre-ville !”
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“Euh, sœurette, désolé de détruire tes rêves, mais la maison dont tu vas hériter n’est pas en centre-ville...”
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“Et puis avec une voiture, le centre-ville n’est jamais loin”
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“Et puis le centre-ville c’est...”
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“... GRAND !”
Merci Charlotte pour cette évidence.
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Becky hausse les épaules. Tout le monde semble contre elle, alors à quoi bon ?
Nous en sommes désormais à environ la moitié des vacances, plus la moitié de la vie quotidienne normale à Ungly-Ville, ça fait donc une semaine entière qui vient de s’écouler. La suite de ces drôles de vacances à la montagne au prochain billet !
En attendant, on est en droit de se demander si Becky, au nom de la famille, abandonnera ses rêves d’un boulot bien placé et d’une vie en centre-ville, ou si elle finira par déménager sans vergogne, quitte à revendre la maison en troquant une plage avec une vue superbe pour un décor bétonné.
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omgmykpopfictionsandstuff · 5 years ago
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The Insomnia Saga (pt 6)
Minho observait Elrick assis dans son petit studio à la maison et détaillait son dieu de haut en bas. Ses cheveux blonds doré parsemés de mèches blondes plus claires et dont les pointes étaient bien décolorées par le soleil. Si Minho le regardait maintenant avec un regard beaucoup trop amoureux, il savait qu’il ne se lasserait jamais de lui. Il l’avait dans sa vie depuis si longtemps, Elrick était son port d’attache, son indestructible montagne. Il balayait les critiques, il faisait face au monde fier et droit. Minho soupira un peu quand Elrick posa sa guitare et leva ses grands yeux verts pomme sur lui.
 « Quoi ? » Elrick s’approcha de lui et le fixa droit dans les yeux
« Je t’aime… » Murmura Minho en souriant
« Moi aussi. » Elrick fronça les sourcils « Tu me matais ? » demanda-t-il amusé
« Oui. » Minho glissa ses mains sur les hanches d’Elrick. « Je mates mon mari. »
« Oh ouais c’est vrai… » Elrick caresse la joue de Minho « On est légalement marier. »
« Et quel homme chanceux… » Minho caresse doucement les hanches et l’amène plus proche contre lui.
« Tu n’as pas que des idées platoniques toi. » Elrick embrasse doucement le cou de Minho
« Tout autant que toi. » Les mains de Minho se glissaient sur la ceinture du pantalon pour se poser sur ses fesses.
« Mhmh » Elrick remonta ses baisers et fixa Minho « Chambre ? » fit-il doucement
« Chambre. » confirma Minho en le soulevant
 Elrick noua ses jambes autour des hanches de Minho en riant. Parfois Minho aimait juste montrer qu’il était fort. Il caressait avec douceur les cheveux du coréen et se laissa emporter avec un sourire. Passant dans le couloir ou leurs photos placardait les murs. Entre leurs récompenses et les photos de leur mariage, il y avait une ligne rouge, comme un fil rouge qui réunissait tout et Elrick sourit quand Minho ouvrit la porte du pied. Elrick se laissa poser et déshabiller alors que Minho lui offrit un sublime strip-tease.
 « Tu parles de chances, mais c’est moi le plus chanceux. » dit Elrick en se redressant
« Arrêtes. » Minho monta dans le lit et embrassa Elrick avec passion
« Je suis sérieux » Elrick répondit au baiser
 Minho décida que laisser parler Elrick était devenu gênant alors il décida qu’il valait mieux qu’il se taise, l’embrasser, l’embrasser jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un Elrick rouge et haletant, l’embrasser à lui rompre le souffle. Ses mains se frayant un chemin sur sa peau, ses mains se plaquant contre ses fesses. La friction entre leurs virilités arracha au blond un gémissement et quand Minho doucement écarter les jambes d’Elrick, ce dernier vint lever son bassin. Ils ne firent qu’un très peu de temps après pour s’aimer jusqu’au petit matin, ou Elrick s’extripa à contre cœur du lit au son de son téléphone hurlant.
 « Choi. » marmonna Elrick
« On a un problème. » fit la voix calme néanmoins froide d’Ewan
« C’quoi c’te merde ? » grogna Elrick « C’quoi l’soucis ? »
« Diana et Lucie. » nota la voix calme d’Ewan
« Quoi Lucie et Diana… ? » grogna Elrick
« Elles sont entrain de se hurler dessus et Samael n’arrive pas à les calmer. Tu es donc mon dernier recours. » Dit Ewan blasé
« J’arrive… » Soupira Elrick en se redressant.
 Il se pencha et embrassa Minho avec tendresse, avant de s’habiller et de sortir chez lui. Tout habiller de cuir. Il enfila son casque et enfourcha sa moto et partit vers le bâtiment. Il arriva dans le parking pour y trouver Lily assise sur le toit de sa voiture et enleva son casque. Il tendit les bras et cette dernière descendit du toit en soupirant.
 « Elles me fatiguent… » soupira Lily « Tu sais… que j’ai même quitter Hoseok a cause d’elles ? »
« Pourtant tu l’aimes ? » Elrick haussa un sourcil enlaçant la jeune fille
« Et parce que je l’aime je préfère qu’il soit loin de ma famille. » Lily soupira « Et puis de toute façon c’était voué à l’échec… même si on s’entend très bien… » Elle haussa les épaules «  Il ne veut pas faire face à la presse. »
« Je peux comprendre pourquoi ça te contrarie. » Il soupira un peu « J’espère que tu trouveras quelqu’un qui aura le courage de faire face au monde avec toi. » dit-il « Bon, t’es prête ? »
« A la guerre comme à la guerre. » Lily se glissa derrière Elrick qui ouvrit la porte de la salle d’entraînement d’où les hurlements sortaient
« TU TE FOUS DE MA GUEULE VRAIMENT ?!!! » Hurla Diana
« PARCE QUE MAINTENANT C’EST MOI QUI ME FOUT DE TA GUEULE ALORS QUE JE T’AI SURPRISE AVEC MON PUTAIN DE MEC DANS MON PUTAIN DE LIT ALORS QUE T’AS UN MEC BIEN ?!!! » hurla Lucie « C’EST TOI QUI TE FOU DE MA GUEULE ?!!! »
« T’AVAIS QU’A LE SATISFAIRE CONVENABLEMENT IL SERAIT PAS VENU A MOI ! » hurla Diana
« VOUS ALLEZ TOUTES LES DEUX VOUS CALMER » hurla Elrick «  Je ne veux plus entendre un seul mot. » siffla-t-il en fixant les deux blondes « Assez. »
« C’est elle qui a commencé. » marmonna Diana
« Ta gueule. » siffla Elrick « Vous me cassez les couilles a un point tel que j’en ai juste marre. » soupira-t-il « Vous cassez les couilles à tout le monde, vous brisez la vie de votre petite sœur et vous avez toujours pas compris ? » Il soupira longuement « Et en plus je dois sortir de chez moi un dimanche matin alors que j’ai mon mari à moi que pour le weekend parce qu’il retourne à l’armée demain. » Il grogna « Diana t’arrêtes de casser les couilles a Lucie, parce qu’elle a eu les rôles que tu voulais. Lucie, trouves toi un mec qui ne partira pas parce que Diana est plus open que toi. Cassez plus les couilles ou je vous renvoie à New-York et à Paris par le premier avion. Ai-je été putain de clair ? » Siffla Elrick
« Oui Elrick… » Murmura Lucie
« Oui Elrick. » grogna Diana
 -
 Lily était assise dans un couloir éloigné de tout, les genoux remontés contre son torse, les larmes coulant sur ses joues. Oh oui elle avait su mentir à Elrick, oh oui elle avait décidé de terminer cette relation mais si seulement Elrick savait la véritable raison… Elle soupira et soudain elle sentit une veste se poser sur ses épaules puis deux bras musclés vinrent l’entouré doucement.
 « On va s’en sortir … » murmura-t-il doucement
« J’ai tellement peur Siwon… » Dit-elle en levant la tête
 L’idol caressa doucement la joue de la jeune française et essuya ses larmes, le cœur au bord des lèvres. Il avait fallu d’une nuit d’écart, une seule pour arriver à cette petite vie qui grandissait dans son ventre. Quand les bras doux et solides de Siwon l’amenaient contre son torse... Il était rassurant. Si rassurant. Si doux, si tendre… et quand elle leva ses grands yeux d’or sur lui elle avala de travers. Siwon était un cadeau du ciel et au fond très au fond de son cœur elle savait que cette erreur lui avait certainement évité de faire une grosse erreur.
 « Siwon… » Elle renifla
« Je serais là je veillerais sur toi je sais que tu-.. »
 Elle s’était redresser pour l’embrasser avec douceur et Siwon répondit au baiser avec la m��me tendresse. Oh il prendrait soin d’elle, tout simplement parce qu’il était amoureux de cette jeune demoiselle qui avait volé son cœur en valsant dans sa vie. Elle avait incarnée sa moitié dans un drama historique très poignant et depuis elle avait toujours régner dans son cœur.
 -
 Lucie regardait Junmyeon les larmes aux yeux et fit demi-tour bousculant Diana au passage, sortant de la salle. Elle avait besoin de respirer et se heurta de plein fouet a Jinki qui tituba un peu avant de se rétablir et de soudain s’inquieter pour elle. Lucie fondit en larmes, tombant à genoux devant lui. Le leader de Shinee s’accroupit et l’aida à se lever avant de l’emmener vers un petit studio. Il ferma la porte et prit la blonde dans ses bras pour la laisser pleurer.
 -
 Sofia regardait Taeyeon, puis le joyeux bordel et haussa les épaules en venant enlacer sa femme. Sören était désormais entrain d’essayer de comprendre comment danser et Yoona se pendait a son cou à chaque pas réussit. Elle était bien heureuse de ça.
 -
 Diana fixait Johnny qui regardait ailleurs, il était blessé. Il avait mal et elle ne semblait même pas s’en vouloir.
 « Je ne t’ai rien promis à ce que je sache. » fit Diana simplement
« Just. Shut. Up. » grogna Johnny en sortant de la salle
« J’espère que tu es fière. » soupira Jolene
« Tout le monde n’est pas une sainte comme toi Jolene. » grogna Diana
« Mais tout le monde n’agit pas comme une pute. » dit Faust simplement adossé au mur
« Faust. » Jolene se tourna vers lui
« Je ne dis que la vérité. » il offrit un sourire suffisant a Diana « Bouffe toi les doigts parce que tes deux mecs vont jamais revenir vers toi. Junmyeon tu t’es servis de lui pour blesser Lucie et Johnny tu l’as blessé en voulant blesser ta sœur. Moi, j’appelle ça être une pute. » Faust s’étira « Mais ce n’est que mon avis. »
« Je suis du même avis que lui. » balança Samael « Grandis un peu. » soupira-t-il « T’as 36 ans, il serait temps. »
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