#semaine à 1000
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explocreatrice · 2 months ago
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Se lancer dans une semaine à 1000: pourquoi ?
Bonsoir ! Même si je suis la première à dire que la lecture est personnelle (mais qu’est-ce que je fous là? me direz vous) et surtout pas une course de vitesse, il faut bien reconnaître que les semaines ou week-end (bandes de tarés) à 1000 ont aussi leur côté pratique (surtout quand on bosse en médiathèque, le piège le plus pur!). Je ne vais pas vous faire l’affront de vous sortir une liste de…
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jeannes-world · 6 months ago
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Je sors de la séance y a juste 1 heure. J'ai besoin de le revoir. J'ai besoin de le revoir. J'AI BESOIN DE LE REVOIR.
J'AI BESOIN DE REVOIR LE COMTE DE MONTE-CRISTO SUR GRAND ÉCRAN.
je dois revoir le comte de monte cristo c'est une question de vie ou de mort genre
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ernestinee · 1 month ago
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C'est difficile le boulot en ce moment. Pour l'instant, beaucoup de situations dépassent la simple rééducation du langage.
Grande demoiselle de 12 ans qui arrive épuisée un mercredi soir. La raison : on fête Saint Nicolas dans son école, et tout le monde sera obligé de s'asseoir sur ses genoux pour la photo. Elle trigger de devoir s'asseoir sur les genoux de ce gars costumé, elle n'en dort pas depuis le début de la semaine. Au lieu de faire de la compréhension à la lecture, on s'est entraînées à dire des phrases avec la voix franche et déterminée, pour refuser qu'on lui impose ce contact physique.
Je trouve ça dingue que des adultes en charge d'enfants et de jeunes adolescents soient si peu attentifs à leur consentement. A la fin de l'heure, elle était en mode warrior et comptait bien défendre sa position et celle des autres.
Petit bonhomme de 8 ans, très très sensible, très très tdah, subit du harcèlement depuis des semaines, refuse d'aller à l'école, notes en chute libre. Réponse de son instit : c'est des enfants, ils s'amusent. Du coup j'étais énervée. Soutenue par la directrice de l'école, du coup j'étais surénervée. Elles refusent également une partie des aménagements demandés parce que "c'est dans le programme". Du coup j'étais à un niveau d'énervement vreuuumeeeent
Bon du coup j'ai profité de cet énervement assez high level pour dire ma façon de penser et préciser aux gamins que si j'apprends encore qu'ils ennuient mon petit poulet, c'est moi qui viendrai décider de la sanction. On verra si ça change quelque chose mais cet enfant a besoin d'avoir des adultes de son côté.
Petite maman de deux enfants tdah de 4 et 8 ans. Le papa vient de faire un AVC, il a une hémiplégie et est hospitalisé depuis qqs semaines. Les beaux-parents donnent un coup de main et se mêlent de tout. Son boulot est difficile et a des horaires instables puisqu'elle est garde d'enfants malades. Le quotidien est un cauchemar à gérer. Le petit réagit très mal à ce changement de vie, le grand gère pas trop mal mais les difficultés scolaires s'intensifient notamment parce que les devoirs sont faits avec les grands parents, c'est moins cadrant. L'instit s'inquiète, appelle le psycho-medico-social lié à l'école, c'est une ergo qui vient voir au lieu de l'assistante sociale. Elle décide en l'ayant vu 30 minutes que le gamin serait mieux sur tablette et sans concertation avec l'équipe, elle lance les démarches. La maman se retrouve avec une vague supplémentaire de démarches administratives à faire pour officialiser l'utilisation d'une tablette à l'école, obtenir une aide financière et avancer les 1000 euros nécessaires. Elle se retrouve aussi avec l'obligation d'apprendre à son gamin l'utilisation de la tablette et donc mettre en route une prise en charge chez une ergothérapeute parce que quand c'est dans le cadre scolaire, tout doit être officialisé vu que ça entrera en compte dans la passation des épreuves certificatives. Le tout en moins d'une semaine parce que l'école insiste sur l'urgence de tout ça.
Coup de fil bien énervé au directeur de l'école pour lui demander des comptes et lui dire que prendre des décisions pour mon patient sans m'en parler, c'est non et ajouter une telle charge mentale sur cette maman, c'est non aussi. L'école n'est pas l'urgence en ce moment. L'école n'est jamais l'urgence, il faut dédramatiser les résultats scolaires et prioriser le bien-être, si la maman lâche maintenant c'est tout le bateau qui coule.
Petit loulou de 11 ans, famille séparée. La copine du papa est psy et dit que le gamin est autiste. Il n'est pas autiste, il a subi le décès de son papy, qui était une personne très importante pour lui, alors qu'il était en pleine émergence du langage, vers ses 2/3 ans. Je le sais bien, j'y étais. Il a développé un mutisme sélectif, on a réglé ça petit à petit et c'est devenu un moulin à paroles mais son non-langage de quelques années l'a rendu plutôt contemplatif, très attentif aux details et très capable de lire dans le non-verbal des gens. C'est suffisant pour que madame neuneu le prenne pour un autiste (d'autant qu'il a décidé de ne pas lui adresser la parole) et mette ses copines sur le coup pour affirmer son diagnostic qui ne tient à rien. En plus d'être dangereux pour sa santé mentale, c'est totalement anti-déontologique. Il n'est pas autiste, il n'a même pas un début de symptôme d'autisme. Du coup on est 8 ans plus tard et je vais faire passer un testing à mon petit poussin devenu grand pour prouver au monde entier et surtout à lui-même qu'il n'y a rien qui cloche chez lui.
Petite choupinette de 6 ans avec une agénésie du corps calleux, elle est passée par toutes les hypothèses depuis ses 3 ans. TSA d'abord, vite mis de côté grâce à la courbe de progression qu'elle a montrée lors des séances (elle est passée de jargonophasie à un langage normal en moins de 2 ans), tdah ensuite, mais je n'y crois pas une seule seconde. Puis dysphasie pragmatique. La pragmatique c'est cette branche du langage qui est suffisamment floue pour que beaucoup de professionnels lui tombent dessus. Ça fait 3 ans que je travaille avec, en collaboration avec sa psy. Elle a un profil HP et une angoisse liée à ce profil, c'est ce qui induit les comportements parfois bizarres qu'elle peut avoir, dans sa gestion propre de sa sensibilité et de ce qu'elle comprend du monde et des gens du haut de ses 6 ans. Mais des personnes qui la voient 20 minutes ont administrativement + de poids sur son diagnostic que sa psy et moi, qui la voyons depuis 3 ans.
Du coup on entame le parcours du combattant qui dit "Désolée madame la neuropediatre hyper reconnue, mais votre diagnostic n'est pas le bon"
Voilà voilà. Sinon ça va hein. Faut juste bien s'accrocher.
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chifourmi · 3 months ago
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Comment se profile ta semaine? Intense? Chill? La vie à l'air d'être belle par contre!
Cette semaine je fais un max de baby-sittings pour récupérer un peu l'argent que j'ai dépensé en voyageant cet été. D'ailleurs c'était le meilleur été de ma vie! J'ai beaucoup bougé et ça m'a fait teeellement de bien. En plus de tout ça, j'ai enfin cette chance de connaître l'amour sain et qu'est ce que c'est beau et léger??
Du coup oui la vie est belle pour moi mais à côté je ne peux pas m'empêcher d'être mal pour tout ce qui se passe dans le monde. Ça va tellement mal de tous les côtés. Et oui y a toujours eu des problèmes mais j'ai l'impression qu'on s'enfonce toujours plus. Par exemple le procès de Mazan qui est absolument affolant à tous les niveaux. Et c'est tellement désespérant parce que j'ai l'impression qu'il n'y a pas de solution. Le féminisme est tellement nécessaire mais la plupart des hommes se braquent face au mouvement et du coup on avance pas du tout. Ou la montée de l'extrême droite un peu partout. Ou le conflit Israëlo Palestinien. Ou le climat qui part en couilles. Et encore 1000 autres sujets. Et je me sens tellement impuissante face à tout ça et ça me rend folle.
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icariebzh · 1 year ago
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Voilà une semaine que le monde agricole exprime sa colère au grand jour et en acte : celui d'un métier devenu quasiment impraticable, croulant sous la brutalité des dérèglements écologiques qui s'annoncent et sous des contraintes économiques, normatives, administratives et technologiques asphyxiantes. 
Alors que les blocages se poursuivent un peu partout, nous soumettons quelques mises au point sur la situation depuis le mouvement des Soulèvements de la terre.
Nous sommes un mouvement, d'habitant·es des villes et des campagnes, d'écologistes et de paysan·nes, installé·es ou en installation. Nous refusons la polarisation que certains essaient de susciter entre ces mondes. Nous avons fait de la défense de la terre et de l'eau notre point d'entrée et d'ancrage. Ce sont les outils de travail des paysans et des milieux nourriciers. Nous nous mobilisons depuis des années contre les grands projets d'artificialisation qui les ravagent, les complexes industriels qui les empoisonnent et les accaparent. Soyons clair·es, le mouvement actuel dans son hétérogénéité même, a été cette fois initié et largement porté par d'autres forces que les notres. Avec des objectifs affichés parfois différents, et d'autres dans lesquels nous nous retrouvons absolument. Quoi qu'il en soit, lorsque que les premiers blocages ont commencé, nous avons, depuis différents comités locaux, rejoint certains barrages et certaines actions. Nous sommes allé·es à la rencontre de paysan.nes et d'agriculteurs.rices mobilisé·es. Nous avons échangé avec nos camarades de différentes organisations paysannes pour comprendre leurs analyses de la situation. Nous nous sommes retrouvé·es nous-mêmes dans la digne colère de celles et ceux qui refusent de se résigner à leur extinction.
    Nous ne pouvons que nous réjouir que la majorité des agriculteurs.rices bloquent le pays aujourd'hui. Qu'ils et elles soient représenté·es par la FNSEA et des patrons de l'agrobusiness dans les instances de négociation avec le gouvernement est consternant, à l'heure où les cadres du syndicat majoritaire sont copieusement sifflé·es sur certains blocages et où ce dernier ne peut plus retenir ses bases. De nombreuses personnes sur les barrages ne sont pas syndiquées et ne se sentent pas représentées par la FNSEA. 
"Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs" - Michel Debatisse, secrétaire général de la FNSEA, 1968
    Fondé après guerre, ce syndicat hégémonique a accompagné le développement du système agro-industriel depuis des décennies, en co-gestion avec l'État. C'est ce système qui met la corde au cou des paysan·nes, qui les exploitent pour nourrir ses profits et qui finalement les poussent à s'endetter pour s'agrandir afin de rester compétitif·ves ou disparaître. En 1968, Michel Debatisse, alors secrétaire général de la FNSEA avant d'en devenir le président, déclarait [1] : "Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs". Mission plus que réussie : le nombre de paysan.nes et de salarié.es agricoles est passé de 6,3 millions en 1946, à 750 000 au dernier recensement de 2020. Tandis que le nombre de tracteurs dans nos campagnes augmentait d'environ 1000%, le nombre de fermes chutait lui de 70% et celui des actifs agricoles de 82% : autrement dit, ce sont plus de 4 actifs sur 5 qui ont quitté le travail agricole en seulement quatre décennies, entre 1954 et 1997. Et la lente hémorragie se poursuit aujourd'hui...
    Alors que la taille moyenne d'une exploitation en France en 2020 est de 69 hectares, celle d'Arnaud Rousseau, actuel dirigeant de la FNSEA, ancien courtier et négociant tout droit sorti d'une business school, s'élève à 700 hectares et il est à la tête d'une quinzaine d’entreprises, de holdings et de fermes, président du conseil d'administration du groupe industriel et financier Avril (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.), directeur général de Biogaz du Multien, une entreprise de méthanisation, administrateur de Saipol, leader français de la transformation de graines en huile, président du conseil d'administration de Sofiprotéol... 
    Les cadres de la FNSEA tout comme les dirigeants des plus grosses coopératives agricoles - abondamment représentés par la "Fédé" et ses satellites - se gavent [1] : le revenu moyen mensuel des dix personnes les mieux payées en 2020 au sein de la coopérative Eureden est de 11 500 €. 
       Les revenus moyens des agriculteurs brandis sur les plateaux et le mythe de l'unité organique du monde agricole masquent une disparité de revenus effarante et de violentes inégalités socio-économiques qui ne passent plus : les marges des petits producteurs ne cessent de s'éroder tandis que les bénéfices du complexe agro-industriel explosent. 
    Dans le monde, le pourcentage du prix de vente qui revient aux agriculteurs est passé de 40 % en 1910 à 7 % en 1997, selon l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO). De 2001 à 2022, les distributeurs et les entreprises agroalimentaires de la filière lait ont vu leur marge brute s'envoler de respectivement 188% et 64%, alors même que celle des producteurs stagne quand elle n'est pas simplement négative. 
    Une des raisons qui poussent le monde agricole à bloquer les autoroutes, à ouvrir des bouteilles de lait à Carrefour (Epinal-Jeuxey) ou à bloquer les usines Lactalis (Domfront, Saint-Florent-le-Vieil, etc.), à labourer un parking (Clermont-l'Hérault), à bloquer le port de la Rochelle, à vider des camions venus de l'étranger, à asperger de lisier une préfecture (Agen), à retourner un Macdo (Agens), à osrtir c'est que les industriels  intermédiaires de l'amont (fournisseurs, vendeurs d'agroéquipements, semenciers industriels, vendeurs d'intrants et d'aliments) et de l'aval des filières (les coopératives de collecte-distribution comme Lactalis, les industriels de la grande distribution et de l'agroalimentaire comme Leclerc) qui structurent le complexe agroindustriel les dépossèdent des produits de leur travail.
    C'est ce pillage de la valeur ajoutée organisé par les filières qui explique, aujourd'hui, que sans les subventions qui jouent un rôle pervers de béquilles du système (en plus de profiter essentiellement aux plus gros) 50% des exploitant·es auraient un résultat courant avant impôts négatif : en bovins lait, la marge hors subvention qui était de 396€/ha en moyenne entre 1993 et 1997 est devenue négative à la fin des années 2010 (-16€/ha en moyenne), tandis que le nombre de paysans pris en compte par le Réseau d'information comptable agricole dans cette filière passe sur cette période de 134 000 à 74 000 [2]...  
    Les accords de libre échange internationaux (que dénoncent et la Confédération paysanne, et la Coordination rurale) mettent en concurrence les paysanneries du monde entier et ont accéléré ces déprédations économiques. Nous savons bien que, aujourd'hui, lorsque l'on parle de "libéralisation", de "gains de compétivité", de "modernisation" des structures, c'est que des fermes vont disparaître, que la polyculture élevage va régresser (elle ne représente plus que 11% des exploitations actuellement), ne laissant plus qu'un désert vert de monocultures industrielles menées par des exploitant-es à la tête de structures toujours plus endettées de moins en moins maîtres d'un outil de travail et d'un compte en banque qui finit par n'appartenir plus qu'à ses créanciers.
    Le constat est sans appel : moins il y a de paysan·nes, moins ils et elles peuvent gagner leur vie, sauf à agrandir toujours et encore leur surface d'exploitation, en dévorant au passage les voisin·es. Dans ces conditions, 'devenir chef d'entreprise' comme le promet la FNSEA, c'est en réalité se trouver dans la même situation qu'un chauffeur Uber qui s'est endetté jusqu'au cou pour acheter son véhicule alors qu'il dépend d'un donneur d'ordres unique pour réaliser son activité... Ajoutons à cela la brutalité du changement climatique (évènements climatiques extrêmes, sécheresses, incendies, inondations...) et les dérèglements écologiques entraînant dans leur sillage la multiplication de maladies émergentes et autres épizooties, et le métier devient presque impossible, invivable, tant l'instabilité est grande.
    Si nous nous soulevons, c'est en grande partie contre les ravages de ce complexe agro-industriel, avec le vif souvenir des fermes de nos familles que nous avons vu disparaître et la conscience aiguë des abîmes de difficultés que nous rencontrons dans nos propres parcours d'installation. Ce sont ces industries et les méga-sociétés cumulardes qui les accompagnent, avalant les terres et les fermes autour d'elles, accélérant le devenir firme de la production agricole, et qui ainsi tuent à bas bruit le monde paysan. Ce sont ces industries que nous ciblons dans nos actions depuis le début de notre mouvement - et non la classe paysanne. 
    Si nous clamons que la liquidation sociale et économique de la paysannerie et la destruction des milieux de vie sont étroitement corrélées - les fermes disparaissant au même rythme que les oiseaux des champs et le complexe agro-industriel resserrant son emprise tandis que le réchauffement climatique s'accélère - nous ne sommes pas dupes des effet délétères d'une certaine écologie industrielle, gestionnaire et technocratique. La gestion par les normes environnementales-sanitaires de l'agriculture est à ce titre absolument ambigüe. À défaut de réellement protéger la santé des populations et des milieux de vie, elle a, derrière de belles intentions, surtout constitué un nouveau vecteur d'industrialisation des exploitations. Les investissements colossaux exigés par les mises aux normes depuis des années ont accéléré, partout, la concentration des structures, leur bureaucratisation sous contrôles permanents et la perte du sens du métier.
    Nous refusons de séparer la question écologique de la question sociale, ou d'en faire une affaire de consom'acteurs citoyens responsables, de changement de pratiques individuelles ou de "transitions personnelles" : il est impossible de réclamer d'un éleveur piégé dans une filière hyperintégré qu'il bifurque et sorte d'un mode de production industriel, comme il est honteux d'exiger que des millions de personnes qui dépendent structurellement de l'aide alimentaire se mettent à "consommer bio et local". Pas plus que nous ne voulons réduire la nécessaire écologisation du travail de la terre à une question de "réglementations" ou de "jeu de normes" : le salut ne viendra pas en renforçant l'emprise des bureaucraties sur les pratiques paysannes. Aucun changement structurel n'adviendra tant que nous ne déserrerons pas l'étau des contraintes économiques et technocratiques qui pèsent sur nos vies : et nous ne pourrons nous en libérer que par la lutte. 
    Si nous n'avons pas de leçons à donner aux agriculteur·rices ni de fausses promesses à leur adresser, l'expérience de nos combats aux côtés des paysan·nes - que ce soit contre des grands projets inutiles et imposés, contre les méga-bassines, ou pour se réapproprier les fruits de l'accaparement des terres - nous a offert quelques certitudes, qui guident nos paris stratégiques. 
    L'écologie sera paysanne et populaire ou ne sera pas. La paysannerie disparaîtra en même temps que la sécurité alimentaire des populations et nos dernières marges d'autonomie face aux complexes industriels si ne se lève pas un vaste mouvement social de reprise des terres face à leur accaparement et leur destruction. Si nous ne faisons pas sauter les verrous (traités de libre-échange, dérégulation des prix, emprise monopolistique de l'agro-alimentaire et des hypermarchés sur la consommation des ménages) qui scellent l'emprise du marché sur nos vies et l'agriculture. Si n'est pas bloquée la fuite en avant techno-solutionniste (le tryptique biotechnologies génétiques - robotisation - numérisation). Si ne sont pas neutralisés les méga-projets clés de la restructuration du modèle agro-industriel. Si nous ne trouvons pas les leviers adéquats de socialisation de l'alimentation qui permettent de sécuriser les revenus des producteurs et de garantir le droit universel à l'alimentation.
    Nous croyons aussi à la fécondité et à la puissance des alliances impromptues. A l'heure où la FNSEA cherche à reprendre la main sur le mouvement - notamment en chassant de certains des points de blocage qu'elle contrôle tout ce qui ne ressemble pas à un agriculteur "syndiqué fédé" - nous croyons que le basculement peut venir de la rencontre entre les agriculteur·ices mobilisé·es et les autres franges du mouvement social et écologique qui se sont élevées ces dernières années contre les politiques économiques prédatrices du gouvernement. Le "corporatisme" a toujours fait le lit de l'impuissance paysanne. Comme la séparation d'avec les moyens de subsistance agricoles a souvent scellé la défaite des travailleur-ses.
Peut-être est-il temps de faire céder quelques murs. En continuant à renforcer certains points de blocage. En allant à la rencontre du mouvement pour celles et ceux qui n'y ont pas encore mis les pieds. En poursuivant ces prochains mois les combats communs entre habitant·es des territoires et travailleur·euses de la terre.
Les Soulèvements de la Terre  - le 30 janvier 2024  source
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kelthoumrambles · 4 months ago
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Je repense à la fois, ça devait être début mai, (j'étais vraiment en pleine addiction active depuis au moins 3 ans, suite à une rechute) [=une bonne petite popote de coke, speed, hallucinogènes en veux-tu en voilà, K and k-holes et de l'alcool tous les jours, bcp d'alcool, des trous de mémoire plusieurs fois par semaine, des afters, des paranoias, des états tellement pathétiques (et psychotiques), un sentiment de honte extrême et de dégoût persistant, des insomnies, 3 accidents de la route en moins d'un an etc. Honnêtement, ça me rend triste d'écrire tout ça. La loose, ou devrais-je plutôt dire, la souffrance maximale], je m'étais retrouvée à une after après une rave. Sans faire exprès, je me suis enfermée dehors, dans la rue. Je sonnais à la porte mais personne n'ouvrait. J'ai donc décidé d'appeler mon "pote" qui, je le savais, était à l'intérieur. Il était déjà 7h du mat' passé voire plus, mais voilà, tu veux pas que la fête s'arrête. Il ne m'a pas répondu alors je lui ai laissé un message vocal (un message vocal d'une personne extrêmement défoncée qui était en train de se droguer et de faire la fête depuis plus de 24h++ alright). Il y avait un gars dehors avec moi, il était dans la même situation. Il avait l'air sympa et mignon (tout le monde a l'air sympa et mignon quand t'es defoncey....). On est rentré chez moi ensemble. Au fond, ca m'arrangeait car j'étais dans un état déplorable. Je ne voyais plus grand chose et j'avais du mal à marcher. (....). Bref. Il y a quelques semaines, je suis allée au musée un dimanche de bonne heure et j'y ai croisé mon ancien avocat (une autre longue histoire). J'avais tellement pas envie de le voir, j'ai même essayé de l'éviter mais évidemment on a fait un face à face. Il m'a dit "très drôle en tout cas le message vocal que tu (oui, il me tutoie le mec) m'as laissé l'autre jour!" Wow. Vous auriez dû voir ma tronche. J'avais pas réalisé que mon pote et mon avocat avait le même prénom. Trop la gêne..... Cette anecdote est à la limite (à la limite einh) légère, risible mais en fait non. Je ne veux plus être un clown, je ne veux plus qu'on prenne avantage de moi, je ne veux plus dépendre de rien, ni de personne. J'ai au moins 1000 anecdotes comme celle-ci, des versions plus dangereuse, plus triste, plus gênante, plus horrible. Je ne veux plus vivre tout ça, c'est fini. C'est fini. C'est tout. La sobriété, c'est avoir les idées plus claires mais c'est surtout un vrai travail d'introspection, laborieux et lourd, pénible et épuisant. C'est se souvenir de plein de choses, des choses parfois si profondes et ancrées dans le subconscient que je me dis "ah ouais... je comprends pourquoi j'avais besoin d'étouffer tout ça, ma pauvre" , et je me dis ça avec beaucoup d'empathie et d'amour (du moins, j'essaye)
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regimepure · 6 months ago
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Le Régime Scarsdale 14 jours : Menu et Guide Complet
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Le Régime Scarsdale est l'un des régimes les plus populaires pour ceux qui cherchent à perdre du poids rapidement. Ce programme de 14 jours promet une perte de poids significative en suivant un menu spécifique, faible en calories et en glucides. Dans cet article, nous allons explorer en détail le menu de ce régime, ses avantages, ses inconvénients et comment le suivre correctement pour obtenir les meilleurs résultats.
Qu'est-ce que le Régime Scarsdale ?
Le Régime Scarsdale a été développé par le Dr Herman Tarnower dans les années 1970. Il se base sur une alimentation riche en protéines, modérée en lipides et faible en glucides. Ce régime de 14 jours est divisé en deux phases : la phase d'attaque et la phase de stabilisation.
Phase d'attaque (14 jours)
Pendant cette phase, vous devez suivre un menu strict qui limite les apports caloriques à environ 1000 calories par jour. Le régime se concentre sur des aliments riches en protéines tels que la viande maigre, le poisson, les œufs, les légumes à faible teneur en glucides et les fruits sélectionnés.
Phase de stabilisation
Après les 14 jours initiaux, il est recommandé de passer à une phase de stabilisation où vous pouvez augmenter légèrement votre apport calorique tout en maintenant un régime équilibré et sain pour éviter de reprendre le poids perdu.
Si vous souhaitez en savoir plus sur le Régime Scarsdale 14 jours menu, visitez → Régime Scarsdale 14 jours menu : Guide complet
Les Principes du Régime Scarsdale
1. Répartition des Macronutriments
Le Régime Scarsdale se base sur une répartition spécifique des macronutriments :
43% de protéines
22,5% de lipides
34,5% de glucides
2. Aliments Autorisés et Interdits
Aliments autorisés :
Viandes maigres (poulet, dinde, bœuf maigre)
Poisson et fruits de mer
Œufs
Légumes à faible teneur en glucides (épinards, brocoli, chou-fleur)
Fruits sélectionnés (pamplemousse, baies)
Aliments interdits :
Pain et produits céréaliers
Sucreries et desserts
Alcool
Aliments frits
Menu Typique du Régime Scarsdale
Jour 1
Petit-déjeuner :
1/2 pamplemousse ou un fruit de saison
1 tranche de pain protéiné
Café ou thé sans sucre
Déjeuner :
Assortiment de charcuteries maigres
Salade de légumes verts avec vinaigrette faible en calories
1 tranche de pain protéiné
Dîner :
Poisson grillé
Légumes vapeur
Salade mixte
Jour 2
Petit-déjeuner :
1/2 pamplemousse ou un fruit de saison
1 tranche de pain protéiné
Café ou thé sans sucre
Déjeuner :
Salade de thon avec citron et vinaigrette légère
1 tranche de pain protéiné
Dîner :
Poulet rôti sans peau
Légumes vapeur
Salade mixte
Jour 3
Petit-déjeuner :
1/2 pamplemousse ou un fruit de saison
1 tranche de pain protéiné
Café ou thé sans sucre
Déjeuner :
Fromage blanc 0% avec une salade de fruits frais
Dîner :
Steak maigre grillé
Tomates à la provençale
Légumes verts
Jour 4 à 7
Le menu se répète avec des variations mineures pour éviter la monotonie. Vous pouvez alterner les types de viandes maigres et les méthodes de cuisson pour diversifier les repas.
Deuxième Semaine
La deuxième semaine suit les mêmes principes que la première avec quelques ajustements possibles pour s'adapter aux préférences personnelles, tout en respectant les restrictions du régime.
Avantages et Inconvénients du Régime Scarsdale
Avantages :
Perte de poids rapide : Le régime promet une perte de poids rapide, souvent visible dès la première semaine.
Structure claire : Le plan de repas détaillé aide à suivre le régime sans ambiguïté.
Simplicité : Peu de calculs ou de suivi des calories nécessaires.
Inconvénients :
Risque de carences : La restriction sévère en glucides et en certaines catégories d'aliments peut entraîner des carences nutritionnelles.
Difficulté de maintien : La nature restrictive du régime peut rendre difficile son maintien sur le long terme.
Effet yo-yo : Il y a un risque de reprendre le poids perdu après l'arrêt du régime si de saines habitudes alimentaires ne sont pas maintenues.
Conseils pour Maximiser les Résultats
Hydratation
Buvez au moins 2 litres d'eau par jour pour aider à éliminer les toxines et favoriser la perte de poids.
Exercice Physique
Incorporez une activité physique modérée, comme la marche rapide ou le yoga, pour améliorer votre métabolisme et maintenir la masse musculaire.
Suivi et Ajustement
Tenez un journal alimentaire pour suivre vos progrès et ajuster le régime en fonction de vos besoins spécifiques.
Conclusion
Le Régime Scarsdale peut être une solution efficace pour ceux qui cherchent à perdre du poids rapidement sur une courte période. Toutefois, il est essentiel de suivre le régime avec prudence et de consulter un professionnel de la santé avant de commencer. En combinant ce régime avec un mode de vie sain et équilibré, vous pouvez maximiser vos résultats et maintenir votre poids sur le long terme.
Si vous souhaitez en savoir plus sur le Régime Scarsdale 14 jours menu, visitez → Régime Scarsdale 14 jours menu : Guide complet
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judieccfinds · 7 months ago
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--100 ghost challenge--
✦ REGLES DE BASE
- Vous incarnerez un sim humain seul, sans animal.
- Votre sim aura le trait de caractère "solitaire"
- Le monde et le terrain sur lequel vous vivrez n'a aucune influence sur les règles à suivre
A vous de choisir lequel vous inspirera le plus pour ce challenge.
- Cependant, votre terrain devra avoir le trait "Domicile privé", les autres traits sont libres.
- Vous mettrez le défi de terrains suivant : Effrayant.
- Le terrain sur lequel vous vivrez sera vide à votre arrivée.
- Vous débuterez avec 5000 simflouz. Vous pourrez donc déjà commencer à meubler la zone.
- Le seul métier autorisé est enquêteur paranormal, mais vous ne ferez qu'un contrat par semaine. (c'est une carrière freelance)
✦ LES SIMS Quelques précisions au niveau des sims que vous tuerez.
- Les mods sont autorisés si vous le souhaitez
- Vous avez le droit (c'est même conseillé) d'ajouter vos victimes à votre foyer lorsque vous deciderez de les executer. (Vous pouvez le faire via gérer les mondes, ou en cliquant sur le sim en question avec shift enfoncée). Vous avez plusieurs possibilités une fois le sim de votre choix tué.
Vous pouvez :
- garder sa tombe sur votre terrain
- la disposer sur un autre qui vous servira de "cimetière de victimes"
- la mettre dans un coffre
- Vous pouvez également en intégrer quelques uns à différents foyer et les installer sur des terrains à proximité du votre, histoire d'avoir des voisins fantômes.
Pour se faire : Tuez le sim sur votre terrain, faites un clic droit avec shift enfoncé sur la tombe, et sélectionner l'option "ajouter un fantôme au foyer", (à côté de réinitialiser et définir comme tête), allez dans gérer les mondes, et installer votre fantôme dans un nouveau foyer.
✦ LES SIMFLOUZ La manière de générer de l'argent dans votre foyer est assez peu commune et peut paraître déstabilisante, c'est pour cela que je dédie une catégorie spécifique pour cette partie.
En effet, il vous est interdit de gagner de l'argent en vendant quoique ce soit.
Vous avez seulement deux façons de parvenir à renflouer vos caisses:
- Avec la carrière enquêteur paranormal.
Sachez que cette règle a également sa propre contrainte
: Vous ne pourrez effectuer qu'une mission par semaine (c'est une carrière freelance).
- En tuant des sims. Oui.. En tuant des sims.
En effet, j'ai décidé que chaque sims que vous tuerez apportera des simflouz.
Un sim tué = 600 simflouz.
Après avoir atteint le pallier des 50 sims tués, leur décès vous apportera cette fois-ci 1000 simflouz.
✦ L'EVOLUTION DE VOTRE TERRAIN/MAISON
Vous l'auriez compris, plus vous tuez de sims, plus vous serez riches, plus vous pourrez développer votre maison. Votre maison et son terrain représenteront donc le nombres de sims que vous aurez déjà tués.. Plutôt glauque, pas vrai ?
➤ Questions : La mort utilisée a-t-elle une importance ? Non. N'importe quelle mort est valable.
Peut-on utiliser la même mort plusieurs fois ? Oui.
Est-ce qu'un pack est nécessaire pour faire ce challenge ?
Non. Le but est qu'il soit accessible à tous, d'ou le fait que vous ne soyez pas obligés de vivre à Selvadorada.
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claudehenrion · 1 year ago
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''Comprendre... aujourd'hui ?''
Votre courrier, chers Amis-lecteurs, est une source, pour moi. Au milieu de plein de remarques intéressantes, vous me demandez, depuis 3 semaines : ''Où va la guerre entre Israël et les palestiniens –ou le monde arabe ? Quelles solutions ?'' et vous me dites : ''Pourquoi affirmez-vous, contre la totalité des médias et des politiciens, que l'islam est non-miscible avec tout système autre que lui-même ?''. Essayons une ébauche de réponse... déjà faite, ici, souvent, et que je vous ai promise, dans l'éditorial d'hier.
Un mot d'explication, en avant-propos : je partage avec mes amis d'enfance le privilège d'avoir été élevé au Maroc, pays d'islam incontesté –la famille royale marocaine, avec laquelle j'ai eu la chance d'être très intime, revendique une descendance ''alide'' du Prophète. Dans ce pays, une très importante communauté juive vivait –sauf rares exceptions-- en harmonie avec les institutions, les habitants, et la Puissance ''protectrice''... Tout petit, déjà, j'étais sensible à cette ''confrontation pacifique'' et je vous en ai souvent parlé. Sur ordre paternel, j'ai lu le Coran, comme mes 5 frères et sœurs, dès nos 15 ans (et souvent, depuis, partiellement), et j'ai suivi plus tard les cours du Grand Rabin Sitruk sur ''la foi d'Israël''. Ce sujet m'a donc passionné toute ma vie... d'où que, arabophone de surcroît, j'aie l'audace d'en parler.
1– La guerre au Moyen-Orient : cette appellation est mensongère, car elle ratatine une conflagration planétaire à des considérations géographiques locales... Mais il est très difficile, pour un esprit ''occidental'' du XXI ème siècle, d'admettre que le sentiment religieux puisse avoir, sur celui qui l'a reçu en partage, un pouvoir mobilisateur 10, 100 ou 1000 fois supérieur à ce que ne peut pas produire un attachement intellectuel à des idées creuses, fabriquées de toutes pièces (même si, comme la ''tolérance'' ou la ''laïcité'', elles ont parfois l'air nobles et belles : n'ayant pas de fondements au plus profond de notre être, elles peuvent parler à la raison, mais pas au cœur de l'Homme qui, ne l'oublions pas, est ''un animal religieux'', disait Mark Twain dans ''Cette maudite race humaine''.
Petit rappel : A partir du XIX ème siècle, dans la droite ligne des idées des soi-disant ''Lumières'' (à ceci près que Voltaire, qui n'était pas du tout athée, lui, récusait ce mot : ''Nous ne sommes pas des lumières''), un mouvement d'idées destructrices, sous couvert de ''progrès'' contre les abus de l'Eglise du temps, a attaqué tout ce qui pouvait véhiculer l'idée de religion en Europe, culminant à la fin de ce siècle avec la citation tronquée de Nietzsche ''Dieu est mort'' (1882) dont Durkheim disait, avec prémonition : ''Dans le sillage de cette mort de Dieu, Nietzsche annonce la fin de son meurtrier ; c'est l'éclatement du visage de l'homme dans le rire, c'est le retour des masques, c'est la dispersion du temps (...) et l'absolue disparition de l'homme''... (NB : nous y sommes, hélas !).Soutenues par les budgets monstrueux que le communisme alors triomphant consacrait à la ''Propaganda'', ces affreuses idées sont devenues dominantes dans tout l'Occident... et sans doute faut-il trouver là la principale cause de l'effondrement moral puis, plus récemment, politique de notre civilisation. Mais c'est un autre sujet).
Jusqu'au brutal effondrement en cours, les idées portées par notre civilisation judéo-chrétienne ont connu un énorme succès, un peu partout, et nous avons donc cru que notre ''point de vue'' sur toute chose était devenu le seul qui présente de l'intérêt, le seul digne d'être pris en considération et, à la limite, ''le seul vrai'', voire ''le seul, tout court''... ce qui rend presque compréhensible la myopie d'un Francis Fukuyama sur ''la fin de l'Histoire'' (1992) : le monde entier, pensions-nous, a soif et faim de notre Liberté, de notre Egalité, de notre Fraternité (un peu moins, car personne ne l'a jamais vue nulle part, à ce jour), de notre Démocratie (pourtant réduite à son ombre, en France) et de notre Laïcité (une ''ex-belle idée'' déformée à en mourir, remplacée pour son et pour notre malheur, par un affreux Laïcisme de combat, intolérant comme personne, au nom (?) d'une fausse tolérance intégriste).
Au moment où une nouvelle religion débarque sous nos latitudes, conquérante, expansionniste, intolérante, violente et agressive dans sa version ''2, revisitée'', nous n'avons à lui opposer que la vacuité eschatologique de concepts verbeux et irréalistes.Le mal est tel que nous n'arrivons même plus à comprendre qu'Israël, qui n'appartient à notre ''camp'' que pour ''tout ce qui n'a pas ou peu d'importance humaine –c'est-à-dire l'économie, devenue prépondérante à nos yeux décadents'', qui a compris, lui, qu'il s'agissait d'un combat ''à mort'' (même si les mots pour le dire dépassent la pensée, pour le moment. Après... je ne sais pas) entre deux gladiateurs qui ne peuvent s'échapper de l'arène. Simplement... devinez qui doit logiquement sortir vainqueur d'un combat entre ''Quelque chose de fort'', ici... et ''Des concepts creux'', là ?
Quelles solutions ? La réponse, en quelque sorte, vient d'être donnée : un combat de ce format ne peut se conclure que par la victoire totale de l'un des protagonistes, et on peut déduire des ''attendus'' ci-dessus que toute solution du type ''Deux Etats'', ce rêve utopiste partagé par 100 % des gens ''intelligents'' du jour, ne serait, au mieux, qu'un nouveau délai avant une reprise des combats, l'un des protagonistes n'envisageant aucune autre solution que la disparition totale de l'autre... qui est dès lors contraint de s'aligner. D'ailleurs tous les leaders du monde musulman se retrouvent sur ce point : ''Peu importe une victoire temporaire d'Israël, le temps et la démographie jouent en notre faveur'' ! Et ils ajoutent, apparemment sûrs de leur coup : ''Israël ne fêtera pas son centenaire, en tant qu'Etat''. Ce n'est pas rassurant ? Mais seul notre angélisme béat des 50 dernières années a pu nous faire croire que l'Histoire pouvait être autre chose que dramatique !
2- L'islam... et les autres : même les plus ''bouffe-curés'' d'entre nous ont pris l'habitude de voir le monde à travers les mots, les idées et les concepts de la chrétienté vidés de leur sens, les plus incultes allant jusqu'à re-baptiser ''valeurs de la République'' toutes les vertus inventées et proposées par la révélation christique (on appelle cette ''fidélité involontaire'' la religion culturelle. Elle frappe même ceux qui ne la pratiquent pas). Notre rêve... en était un, et le réveil est pénible : l'islam vient nous rappeler que d'autres critères existent, et que notre individualisme est détesté par l'exigence de ''soumission'' inconditionnelle des musulmans. Rien de ce que nous croyons, faisons, aimons, vivons, désirons... n'a de sens à leurs yeux, et rien de ce qu'ils considèrent ''fondamental'' ne correspond à ce dont nous rêvons : l'islam se trouve, de par ses choix culturels et cultuels, dans cette position ''conflictogène'' avec toutes les civilisations existantes...
Conclusion : qui de sensé pourrait croire une seconde que l'huile, par la seule intervention de théories, de gauche et en ''--isme'', puisse se mêler durablement à l'eau ? Ce sujet est si vaste que nous y reviendrons très bientôt. Mais on nous permettra, en attendant, de nous inscrire en ''contre'' sur toutes les proclamations insensées de ceux –même s'ils sont très majoritaires en ce moment-- qui pontifient sans savoir de quoi ils parlent, et affirment, sans savoir pourquoi, des contre-vérités depuis longtemps démontrées impossibles (Le ''Deux pays'' est une fausse solution en trompe l’œil, inventée par des occidentaux pour des occidentaux (tout comme l'islamisme, d'ailleurs !), et tout-à-fait insoutenable pour un musulman ''pur jus'').
NDLR : Pour vivre en harmonie avec le reste de l'humanité et toutes les autres civilisations, l'Islam devrait abandonner des pans entiers de sa pratique (comme ont réussi à le faire les juifs et les chrétiens). Pour le moment... ce n'est pas à l'ordre du jour ! Mais alors... pas du tout !
Pour conclure, une information que peu de commentateurs pourront vous donner, et qui sonne comme un clin d’œil dramatiquement ironique : le tristement célèbre ''Hopital al-Shifa'' porte un nom prometteur, le mot arabe Shifa voulant dire guérison ! On peut toujours rêver...
H-Cl.
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plantwithoutplot · 1 year ago
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Ok alors je viens de finir de lire Speak up, Boys ! Je l'ai bien saigné au passage, c'était tellement quali je pouvais plus m'arreter de lire 😭 Et je me rend compte que tu es FR ?!? Je sais pas qui tu es mais sache que dans mon cœur tu es à présent un trésor national 😭😭😭😭 Je kiffe ton style d'écriture, c'est tellement smooth à lire, un vrai plaisir. En plus j'ai capté après que les fanarts qui m'avait fait découvrir ta fic, bah en faite c'était pas des fanarts mais tes dessins à toi. Donc non seulement t'écris mais en PLUS tu dessine ?!? Faut laisser un peu de talent au autre hein 😭😭😭 Bref, merci du travail quali. J'ai hâte de lire la suite (mais pas de pression, surtout prend ton temps :D).
AAAAAAAH JE SAIS MEME PAS PAR OÙ COMMENCER TU ES BEAUCOUP TROP MIMS XBDNDBZKSH 😭😭🙏❤❤❤
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Merci merci merciiiiiiii pour ton message 🥹🥹🥹🫶🩷
Je suis vraiment heureuse ― que dis-je, c o m b l é e ― si lire Speak Up, Boys! a pu t'apporter un peu de joie aussi!!! (*´▽`*)❀
Pourquoi s'en tenir à écrire quand on peut tenter de dessiner aussi? 👀 (après je te dis ca comme si j'avais pas 2 projets d'animatics de prévus également) Mais sinon AAAAH merci encore 🥺🥺 vraiment c'est un bonheur de pouvoir essayer d'illustrer la fic en plus de l'écrire, et c'est incroyable si c'est ce qui t'as donné envie de venir lire 😭😭🙏🙏🙏
Promis je suis en train de travailler sur la suite!! 💪 Il s'est passé 8272901 trucs depuis que j'ai posté le chapitre 10, mais j'ai enfin pu reprendre l'écriture les weekends et j'aurais bientôt finis le premier draft du chapitre 11!
Et sinon mais mdrrr c'est incroyable de trouver d'autres FR accidentellement dans un fandom 🤣🤣
EN TOUT CAS MERCI 1000 FOIS POUR TON MESSAGE C'EST QUE DU PUR BONHEUR POUR DEMARRER LA SEMAINE, ET BON COURAGE À TOI AUSSI 🫶🫶🫶🩷🩷🩷🩷
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penseescafeinees · 1 year ago
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Dans ma tête le samedi 16 décembre 2023
Cette semaine est compliquée. Je me sens épuisée. J'ai commencée une thérapie de groupe la semaine avec mon psychiatre et une psy. Et je sens que ça me fait du bien. Mais c'est pas encore le top.
Lundi, j'ai été voir Arph'. ça faisait 1 mois qu'on s'était pas vu. Et j'ai été contente de le revoir. ♥ Et lui aussi. J'ai été en train par facilité. Mais aussi pour me challenger et ne pas laisser mon agoraphobie récente me bouffer. Mais une fois sur le chemin du retour, je me suis vraiment sentie mal... :( Je suis passée au Starbuck pour me faire un plaisir. (Moi qui avait dit je n'irais plus...) Mais j'avais vraiment besoin d'une boisson chaude et réconfortante. Je me suis donc achetée un muffin au chocolat et une cacao chaud. ça m'a un peu réconfortée sur le retour. Mais le train approchant de la gare, j'étais seule dans le wagon. J'ai commencé à pleurer. Et je n'arrivais même pas à savoir pourquoi. :( C'est très frustrant.
Mercredi, j'ai été chez mon psychiatre qui m'a prolongée jusqu'à fin janvier. Car je ne me vois pas travailler avec mes crises d'angoisses et mon agoraphobie. Mes collègues et ma cheffe sont super compréhensives. J'ai vraiment de la chance. Il m'a dit que je devais continuer de sortir dans les petits commerces à proximité de chez moi. Et que je pouvais tenter de plus grande surface accompagnée.
Jeudi soir, j'ai été à ma thérapie de groupe. ça m'a faite du bien.
Rien avoir, truc chiant, Erwan tousse de nouveau... :( J'en ai parlé avec les dames de l'école. Et beaucoup de gosses font des bronchites / rhume à répétition...
Ce samedi, je devais aller chez ma marraine. Mais cette nuit, j'ai très mal dormi. Mon fils nous a réveillé avec des petits cauchemars. Et je ne sais pas pourquoi. J'ai commencé à angoissée fortement. Et je pensais à tout ce que mon géniteur m'a fait. Et je me suis foutue à pleurer à chaudes larmes. Et je me suis rendue compte qu'émotionnellement, ça serait compliqué d'aller chez ma marraine. Elle a 90 ans. Et j'aimerais encore pouvoir profiter d'elle. Et une frustration intense est montée. Et j'ai pleurer encore plus... :( J'ai du me réveiller vers 4h... Et je me suis rendormie au petit matin... Soit... J'ai pas assez dormi. J'ai le morale dans les chaussettes. Et les interactions sociales me fatigue puissance 1000.
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Djokovic, ses records 2023. Vainqueur des Masters ATP pour la septième fois dimanche 19 novembre 2023, il a ajouté un énième record à son palmarès pour cimenter son statut d'un point de vue statistique de meilleur joueur de l'histoire.
7 sacres aux Masters ATP le «tournoi des Maîtres» après 2008, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2022. Il devance désormais Roger Fededer, sacré six fois. Le Suisse détient encore le record de participations (17, contre 16 à Djokovic) et de finales jouées (10, contre 9 à Djokovic). 24 titres du Grand Chelem en remportant l'US Open 2023, il a égalé le record absolu détenu par l'Australienne Margaret Court depuis l'US Open 1973. Il était devenu seul détenteur du record masculin (23) grâce à son troisième sacre à Roland-Garros en juin, avec une longueur d'avance sur Nadal et trois sur Federer. 8ème année terminée à la première place mondiale 2011, 2012, 2014, 2015, 2018, 2020, 2021 et 2023), le Serbe a terminé l'année avec le statut de meilleur joueur de la planète. Il avait dépassé le record, alors détenu par l'Américain Pete Sampras 6ème en 2021. Federer en est resté à cinq, tout comme Rafael Nadal. 10 titres à Melbourne en janvier 2023, il a remporté l'Open d'Australie pour la dixième fois après 2008, 2011, 2012, 2013, 2015, 2016, 2019, 2020 et 2021, soit quatre fois de plus que Federer et l'Australien Roy Emerson. 36 finales de Grand Chelem jouées avec quatre finales disputées en 2023, il est désormais nettement devant Federer (31) et Nadal (30) chez les hommes, mais également devant Chris Evert (34) chez les femmes. 40 titres en Masters 1000 vainqueur du Masters 1000 de Paris début novembre, Djokovic est le joueur le plus titré dans cette catégorie de tournois, les plus importants et mieux dotés après ceux du Grand Chelem. Il est en outre le seul joueur à avoir remporté les neuf tournois de cette catégorie, qui plus est à plusieurs reprises. 400 semaines passées à la place de n° 1 mondial lundi 20 novembre 2023 sa place au classement ATP, un chiffre jamais encore atteint. Son premier poursuivant dans ce classement ne peut pas le rattraper, puisqu'il s'agit de Federer, retraité depuis 2022, avec 310 semaines. Parmi les joueurs en activité, Nadal occupe la 6e place de ce classement avec 209 semaines
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lesgenouxdanslegif · 2 years ago
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IMBATTABLE. INJOUABLE.
Courtney Dauwalter, c’est France 98 puissance 1000. Nouvelle démonstration de Courtney à la Hardrock 3 semaines après avoir fait des miettes avec le record de la Western States. Ajoutons que ce sont deux formats très différents, un roulant qu’elle gagne à plus de 10 de moyenne et l’autre pas du tout roulant qui nécessite 10 heures de plus. Bref, un grand écart façon JCVD entre deux camions. Il y a cette statistique terrifiante : quand elle termine un ultra depuis 2018, c’est 100% de victoires. Courir contre Courtney, c’est le jeu du bonneteau : t’as le sourire au début mais tu perds à chaque fois.
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Photo Alexis Berg
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kenovele · 2 years ago
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Bog’s blog 25
Salut la compagnie, 

Je vais remonter un peu plus loin que le début de la semaine parce qu’on a passé pas mal de temps à se croiser avec Kate donc je suis certain que mon point de vue sur ces deux dernières semaines est pertinent. 

Donc, lundi 1er  et mardi 2ième de mai, j’avais des petits boulots à la tiny. Je pense avoir installé le gaz, construit la seconde terrasse en bois devant la tiny, mis une deuxième couche de solvant pour préparer pour l’époxy et d’autres brols dans le genre. On était censé commencer une boulot de construction avec Jamie mais il s’était pas bien organisé. ça a ainsi été repoussé à mercredi.  Mardi, il allait chez le tatoueur toute la journée pour avoir son bras et son pectoral gauche recouvert par un dragon style japonais. Il a fait l’esquisse et il doit retourner la semaine prochaine pour faire les ombres. Il a un peu d’infection, j’espère que ça ne repoussera pas son départ parce que c’est une des choses qu’il doit finir avant de partir. Son tatouage est vraiment chouette. Au total ça va lui couter 1000 euro. Ça fait un peu mal aux fesses si tu ne considères pas ça comme une priorité mais il semble en tirer pas mal de plaisir donc pourquoi pas. 

Mercredi on a enclenché la seconde vitesse après un départ raté début de semaine et on est allé en ville faire notre boulot avec Jamie. On a littéralement mit le seconde pour tout le trajet sur l’autoroute. Le trafic à Auckland le matin est constamment exécrable. On a fait un arrêt chez le « métal man » (ou marchant de vieux fer) où on a échangé une demi tonne de vieille ferraille contre 30$. On a également du faire deux magasins de matériaux pour obtenir le nécessaire à notre travail. Pourtant Jamie avait appelé la veille pour s’assurer que tout y était mais il est tombé sur une employée médiocre au téléphone. On a directement reconnu sa voix monocorde le lendemain quand on l’a vue. En la voyant j’ai eu un indice sur la raison pour laquelle elle ne s’était pas déplacée pour vérifier si il y avait du stock. Heureusement, le deuxième magasin on est tombée sur une dame charmante qui nous a donné à chacun un thermo et un t-shirt pour se faire pardonner. Je pense qu’elle a surtout vu en nous deux un potentiel de partenariat (et donc de profit) immense. C’est donc à midi (même si on avait démarré à 7h30) que l’équipe de Floyd’s construction LTD est finalement arrivé sur site. Le chantier se trouvait être en face d’un magasin de matériaux. Jamie le savait parce qu’il s’était rendu sur place la semaine d’avant mais avait apparemment momentanément effacé cette info de sa mémoire. Avant de le traiter de jeune entrepreneur inexpérimenté, n’oublions pas que grâce à lui on a reçu des trucs gratuits. J’ai d’ailleurs utilisé mon thermo pas plus tard que ce matin. Le t-shirt que j’ai reçu a été utilisé le jour même parce que j’étais dégoulinant de sueur après avoir monté 50 planches de 3m dans une cage d’escalier en colimaçon.
Mais avant toutes ces péripéties, le début du travail a dû être repousser encore un peu car Il était déjà l’heure de la première pause. On s’est acheté des tartes steak-fromage et viande hachée fromage (deux chacun). Certain aurait pu argumenté qu’il était également déjà l’heure de la première sieste après ce repas bien costaud mais surtout pas moi. J’étais bien décidé à flex mes muscles et impressionner mon boss. La première technique qu’on a adopté pour monter le bois au troisième étage était de le faire passer à la vertical dans la cage d’escalier. Jamie me passait le bois au premier puis il courrait dans les escalier pour le réceptionner au second pendant que je hissais rapidement en serrant en pince successivement ma main droite puis la gauche. La première tentative d’ascension, j’étais concentré sur le fait d’éviter les lampes et tout obstacle au-dessus de ma tête. Je suis arrivé à court de planche sans m’en rendre compte. J’ai attrapé le vide avec ma main droite pendant que ma main gauche serrait 3x3m de planches à la vertical. J’ai poussé un petit gémissement de surprise, serré très fort mes abdos et mes fesses et rattrapé le tout. Après avoir monté la moitié du pack, on commençait à avoir les avant-bras explosés. Si je n’étais pas un grimpeur, habitué à constamment faire confiance en mes avant-bras et endurant dans le domaine, j’aurais vraiment eu les boules donc chapeau à Jamie. Il a également pousser un gémissement quand les planches ont voulues se réhorizontaliser entre deux étages. Après suffisamment d’expérience presque traumatisante, on a décidé de simplement monter les escaliers avec deux planches chacun. On a mis en jeu une boite de bière pour celui qui faisait le moins de « BONG » dans l’escalier et l’appart. Il m’a battu à plat de couture. 7 touches contre 13 je pense.
Mercredi a été uniquement consacré à la préparation/démolition. Je vous donne un peu de background sur le job: 
 On refaisait une terrasse en bois pour un client tétraplégique dont la copine est une amie de la famille d’une ex de Jamie. La mutuelle lui a payé l’aménagement/adaptation de son appart pour qu’il soit vivable. La terrasse en pavé se trouve 20 cm en contrebas de la porte. Il en a donc fait construire une en bois sur des plots en plastique pour qu’elle soit à niveau. Le gars qui a fait le job pendant qu’il était à l’hôpital a fait un boulot médiocre (mais fonctionnel). On était donc là pour démolir et remplacer le bois pour rendre la chose plus présentable. On a souffert d’une météo particulièrement exécrable. Le kwila qu’on utilisait est recouvert d’un liquide brun qui rend le métal noir et tache absolument tout quand il est mouillé. J’ai également découvert les plaisirs de travailler dans un espace restreint en ville chez quelqu’un. Par exemple, la gestion des copeaux de bois/poussière devient un problème. On a amené que le strict nécessaire donc tout se faisait à même le sol toute la journée et notre dos rouspétait pas mal à la fin de la journée. Heureusement on est allé quelques fois chez Jojo et Nico après le travail pour attendre attendre que le traffic s’améliore et ils ont une chaise de massage. Un vrai plaisir. 
Après 4 jours de ronchonnage avec le sourire, on était plutôt content du résultat. On a fêté la fin du chantier avec une* bière lundi soir chez Jo et Nico. Kate était à Te aroha pour le travail avec sa maman et Mark était à la maison avec Sparrow. Le weekend avait été 100% consacré à l’époxy et sa préparation comme Kate l’a expliqué dans le blog de la semaine précédente.

Mardi, mercredi, j’ai passé donc 2x6heures avec la ponceuse dans les mains à bosser pour m’assurer que ce projet de plan de travail couteux en temps et matériaux soit finit avec minutie. On adore le résultat final. Ça donne un look vraiment unique à la maison. Il y a beaucoup de bois exposé et pas mal de paternes dans la tiny mais jusqu’à maintenant on pense que c’est réussi. Le vrai test sera quand on emménagera. Mais maintenant qu’on a une bonne compréhension de ce qui constitue notre maison, on peut facilement adapter les choses qui ont été mal conceptualisée. 

Jeudi et vendredi ont été des jours un peu frustrant. Jeudi ça n’avançait pas assez vite à mon goût quand j’installais l’évier et la cuisinière à gaz. Vendredi j’ai entrepris de faire des gaufres pour me préparer pour la fête des mères où j’avais proposer de faire des gaufres des Liège pour le déjeuner. Mais j’ai raté ma première tentative ça m’a mis de mauvaise humeur. Je déteste gaspiller de la nourriture. J’ai passé la fin d’aprem et la soirée à l’atelier de Jamie a enlever des clous de planches de bois. C’était une chouette activité pour sortir l’excès d’énergie. Je ne sais pas si je vous ai dit mais on a récupéré plein de palettes du travail de Mark. Je me suis atteler à la fastidieuse tâche de les mettre en morceaux pour pouvoir facilement stocker les composants dont on a pas besoin. Les planches qui en sortent sont absolument recouvertes de clous. Une fois nue, On en a notamment utilisé ce weekend pour faire une protection contre les moutons tout autour de la terrasse. Un peu comme on a fait autour de la maison. ça donne très bien. Il y a une autre tâche que je fais le soir. J’essaie d’émietter des morceaux de polystyrène qu’on reçoit dans les emballages de nos achats pour qu’il puisse servir comme remplissage pour le Fatboy. C’est une tâche titanesque. Ça prend des plombes donc il faut que je fasse un peu chaque jour. J’ai une petite boite dans le salon avec un blog de polystyrène dessus toujours prêt à être concassé. Je vous donnerais des nouvelles de l’avancement. A dans 6 mois .... 

Samedi soir Jamie faisait sa grosse soirée avant son départ. Une grosse vingtaine de personne étaient de la partie. On a bu, dancé, fait visiter la tiny et surtout bien rigolé. Lauren Wilcox était là (ma dernière sœur d’accueil). On est tous secrètement un peu amoureux d’elle (aussi bien les belges qui l’ont vu passé à Liège il y a quelques années que les Robinson). J’ai déjà parlée d’elle dans un blog précédent donc je vais abréger. Il s’avère qu’elle a un copain (on l’a pas encore révélé à Jamie). Mais il habite à 2h de route donc on a un peu parlé de l’amour longue distance. C’était chouette d’être un peu social pour une soirée. Notre vie sociale se résume à la famille et Cathy en ce moment donc c’était rafraichissant de voir de nouvelles têtes. 

Dimanche c’était la fête des mères. Joyeuse fête maman, Mumu et Nanie!! (plus les autres qui me lisent). J’ai donc fait des gaufres et elles étaient autrement plus réussies que celles de vendredi. J’étais vraiment satisfait du résultat, ce qui arrive rarement avec mes gaufres. Même quand je les faisais en Belgique, j’étais fort critique. Mais là, c’était un beau niveau. Sally a même dit qu’elle voudrait bien ça chaque dimanche matin. Kate les a garnies avec du, bacon du sirop d’érable et des mûres ce qui était divin. On avait également acheté 150 sticks de chocolat Garnier pour l’occasion. On s’est fait une gaufre fourrée comme dessert ce qui a également rencontré un franc succès. Je pense vraiment que je vais essayer d’aller faire des gaufres sur le marcher le samedi matin à Pukekohe. Si je suis consistant dans la qualité que j’ai pu délivrer dimanche, je suis convaincu qu’elles partiront comme des petits pains. J’ai calculé que ça coûtait 70 cent de NZ$/gaufre. Si je vends une gaufre 5NZ$ et au chocolat entre 6$ et 7$. En quelques gaufres ça serait rentable d’être là. Ce qui est un peu plus chiant, c’est de passer son samedi matin à faire ça ! 


Bref, je pense avoir bien assez parlé pour cette semaine. Si vous avez lu jusqu’au bout vous pouvez vous faire une petite tape sur l’épaule de ma part. Vous l’avez mérité parce que après tout, vous vivez au 21ième siècle où la capacité attentionnelle est de l’ordre de la seconde. N’ayez crainte, je vais vous mettre des photos en description pour assouvir vos pulsions scrollatrice. 


Hasta la vista amigos. *une = plusieurs
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mollymooon · 16 days ago
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notre polycule est très socialiste et on pratique des notions socialistes comme l’aide mutuelle, genre si quelqu’un d’entre nous a besoin d’aide, on l’aide. nous avons un salon « mutual aid » dans notre discord pour ça. le seule problème c’est que mon crush est très instable financièrement et il poste là-bas chaque semaine (et il est la seule personne qui poste!). genre est-ce que quelqu’un peut me virer 20 balles pour l’essence/de la nourriture etc. et nous lui donnons de l’argent (j’espère que c’est pas toujours la même personne qui donne). une fois en juillet il a demandé 1000 balles pour payer son loyer!!! et mon copain lui a donné 1000 balles!!!! juste comme ça!!! j’étais choquée. mon copain travaille chez Meta donc il gagne le plus d’entre nous, mais je pense qu’il n’a pas dû donner autant d’argent. particulièrement quand j’ai soupçonné qu’il va être bientôt virer car il me disait qu’il fout rien toute la journée et ils ne lui donnent pas de tâches à faire. je savais 100% qu’il serait bientôt au chômage (encore une fois) et qu’il aura besoin de ces 1000 balles. mais non, il est trop généreux. et voilà, il était viré en novembre
mon crush est dj et fait le son pour des événements mais ils ne lui donnent pas assez d’heures, donc il galère. et il promène les chiens des gens. mais ça fait au moins 6 mois que j’ai l’impression qu’il gagne quasiment rien vu la quantité de demandes d’aide. et je comprends pas pourquoi il ne va pas au pire travailler à mcdo?! il y a des affiches help wanted partout. le pire c’est que je l’aime et je veux qu’il va bien mais je veux pas lui donner mon argent. une fois (just une fois!) je lui ai viré 20 balles et il m’a même pas remercié ! peut-être il n’a pas reconnu mon nom sur venmo car c’est anastasia et pas ana, mais j’ai mon photo sur mon profil. donc je sais pas
et le pire c’est qu’il vient de demander de l’argent mensuel pour son fils de 4 ans ! il est divorcé mais il doit payer une quantité fixe chaque mois (il a dit qu’il n’est pas légalement obligé mais qu’il juste veut payer mais j’ai pas trop compris). c’est hors question que je paye pour son fils mais je sais que d’autres membres dans notre groupe vont payer (volontairement) et je suis choquée
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saut3relle · 1 month ago
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Mardi 03.12.24, 8h09
J'ai encore consulté une autre voyante, qui m'a confirmé que ça ne marcherait pas avec Mickaël. Qu'il reviendrait probablement m'écrire mais qu'en amitié, qu'il n'était pas prêt à s'engager dans une relation amoureuse, que ce soit avec moi ou bien une autre. A deux-trois ans plus tard elle ne le voyait toujours pas. C'est à ce moment-là je crois que j'ai compris qu'il fallait que je le lâche complètement. La semaine dernière j'ai été en arrêt trois jours, incapable de me sortir du lit, j'ai pu avancer mon rdv chez ma neuropsy, parce qu'entre cette mauvaise nouvelle et mon ex qui semblait avoir trouvé quelqu'un (il s'est avéré que c'était une arnaque finalement et il s'est fait avoir, mais il n'était pas amoureux encore), j'ai pété un plomb dans ma tête. Ca été trop, j'ai cru mourir quand je me suis imaginée une nana entrer dans les murs de mon ancienne maison, vivre à ma place, dans mes meubles que j'avais choisi, dans cette luxure, ces biens acquis avec Mess heureux alors que moi je suis au fond du trou. J'ai mangé samedi soir chez mon ex et je me suis effondrée, lui ai tout avoué. Il a été très compréhensif, a avoué s'être fait avoir, mais il restait positif et gai. Il m'a prise dans ses bras, embrassée, je crois qu'il m'aime toujours. Moi je me suis sentie mieux à ce moment-là. Il m'a proposé de venir une semaine chez lui dès dimanche, histoire de m'aider à me retaper. J'ai finalement craqué et accepté. Donc depuis dimanche je suis à nouveau avec lui dans mon ancienne maison. Et le malaise physique, et mes angoisses ne se dissipent pas malgré tout. L'impression de ne pas savoir si j'ai pris une bonne ou une mauvaise décision, l'angoisse de ne pas savoir si je l'aime encore ou si c'est un retour par dépit, par peur de l'abandon. Il se plie en 1000 pour moi, et hier soir nous avons refait l'amour mais je n'ai rien pu ressentir. Je ne sais pas ce que je fais, je ne sais plus, je continue d'être perdue, de ne pas avoir les idées claire, je pense vraiment être en dépression. Je ne retrouve pas le goût de vivre, l'envie et le plaisir de faire des choses. Même que je suis avec lui, que j'ai une présence depuis le début de la semaine, je reste angoissée, apeurée de mon avenir. Un mal s'est installé en moi et ne me quitte plus. Est-ce le deuil de Mickaël que je dois faire et qui ne passe pas, est-ce la sensation de faire marche arrière avec mon ex et l'impression de vivre cette séparation comme un échec ? Je me pose 1000 questions, j'ai peur de rentrer chez moi dimanche et de ne pas réussir à revivre seule dans mon appartement. Les fêtes de fin d'année me pèsent énormément. Je crois bien que je suis tombée en dépression quand même. Je ne me réjouis de rien, rien ne parvient à m'atteindre et me redonner l'envie de vivre et de prendre du plaisir. Même voir mon amie me coûte, je dois faire un effort pour tout. Le matin je n'ai plus envie de sortir du lit et de vivre la journée. J'ai rdv chez la thérapeute ce soir, j'espère qu'elle va me soulager un peu les maux de mon âme et de mon corps. Je redoute que mon ex m'abandonne maintenant. Je ne veux pas jouer avec lui, mais je suis trop perdue dans ma tête.
Je ne sais plus quoi faire en fait, je ne vois pour le moment aucune issue à cette souffrance. Je voudrais m'enfermer et ne plus sortir, ne plus voir personne, me couper de mes émotions et ne plus rien ressentir. Cet homme est entré dans ma vie et je l'ai détruite à cause de lui, je n'ai pas encore trouvé de sens à tout ça. J'ai perdu le sens de ma vie. Je n'ai plus de projets, plus de rêves, je n'aspire à plus rien. Je vis comme un robot, absente de ma propre vie.
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