#sauf si vous avez le pass
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Y a le nouveau chef de rayon il était pas la quand j'ai fais ma colo vue que c'est un alternant et la il ma vue et le boug ma toucher les cheveux??? En disant que c'est jolie (certes il a raison) mais esh qui t'as cru être pour me toucher?? IL MA PAT PAT! J'ai envie de vomir-
#les gens tactile calmez vous#si vous avez pas mon passe me toucher pas#le regard que je lui ai lancer#le pire cest que je pense quil a quanf meme pas capter que ca mavait mis mal a laise??#j'ai aussi un client regulier qui maintenant veut que ce soit particulièrement moi qui le conseil#gentil en soit hein#SAUF QUE LE BOUG IL FAIS TROP DE CONTACT#vasy qu'il s'appuie sur mon avant bras ou mon epaule??#une fois il a meme rigoler et en rigolant il cest appuyer limite sa tete sur mon epaule#ENVIE DE CREVER#ME TOUCHER PAS PUTAIN#sauf si vous avez le pass#y a que Daphné qui a le supra pass#sinon 4 personne ont le pass Ok +#3 ont le pass moyen#et 3 ont le pass mais ça ferais chelou car eux comme moi on aime pas ça#LE RESTE VOUS DÉGAGER OK ME TOUCHER PAS#kenshi's life
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The Article Anon was talking about.
Plus vue en France depuis mai dernier, Gabby Williams (1,80 m, 27 ans) vient d'effectuer un retour tonitruant sur les parquets après trois mois sur le flanc (fracture de fatigue au pied) : flamboyante dimanche dernier contre Basket Landes (27 points, 4 rebonds, 5 passes), puis décisive lors de la première victoire de l'Asvel en Euroligue face à Lublin mercredi (73-72). Avant d'affronter Villeneuve-d'Ascq, leader invaincu du Championnat (7 victoires), l'ailière internationale, plus vue en équipe de France depuis un an (forfait pour l'Eurobasket), a confié à L'Équipe sa volonté - et la nécessité - de monter en puissance. Tant en club que chez les Bleues - désormais affranchies de l'affaire Johannès - afin de viser haut aux JO de Paris.
« Après trois mois sans jouer, votre retour a coïncidé avec deux victoires importantes pour l'Asvel. La saison est enfin lancée ?
J'étais un peu surprise que ça se passe aussi bien. Pendant mon absence, j'avais fait en sorte de travailler pour être tout de suite prête à rejouer. Je le devais à mes coéquipières. Je pense que je ne me suis jamais sentie autant en forme.
C'est plutôt une bonne nouvelle pour votre club, qui jusque-là a souffert des absences et pourrait le payer dans ses objectifs ?
Cette équipe est plus forte que l'année dernière. Elle est capable d'assumer ses ambitions et toutes les filles sont obnubilées par la victoire et mettent les ego de côté. On sait qu'il va nous falloir être quasi parfaites chaque soir. À moi de continuer à montrer la voie et de transmettre à la fois le goût de la victoire et la haine de la défaite. Quelque chose de très américain peut-être, ou en tout cas pas assez cultivé en France.
Un état d'esprit que vous allez, sauf surprise, ramener en équipe de France en février prochain ?
C'est au programme, oui ! J'ai vraiment envie de retrouver la sélection. C'est même une nécessité, il n'y aura pas d'autre rendez-vous avant la préparation des Jeux. Reprendre mes marques avec le groupe est primordial.
Les frustrations de la fin de saison dernière et de l'Eurobasket, que vous avez manqués, sont loin derrière ?
C'était tellement déprimant ! Et mentalement si dur à vivre. Il faut se rendre compte de tout ce qu'on donne en cours de saison pour pouvoir vivre ces moments de gloire. Je n'ai pas pu fêter le titre avec Lyon. Puis je me suis retrouvée toute seule pendant six semaines afin de me soigner. Quand on m'a annoncé le temps de convalescence, j'ai compté les jours jusqu'à l'Euro. Et quand j'ai compris que j'allais le manquer, j'en ai pleuré. Retrouver mes proches à Seattle (en WNBA) cet été m'a fait beaucoup de bien.
« Il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner »
Vous reviendrez chez les Bleues avec Marine Johannès, dont l'affaire de son absence de l'Euro semble digérée ?
Il fallait que chacun assume ses choix, ses décisions. C'est du passé, oui. La suite arrive vite et on a tous le même objectif : gagner à Paris. A priori, personne ne souhaite nous voir échouer aux Jeux. Donc mettons tout ça de côté ou derrière et allons de l'avant.
Le mois dernier, sur les réseaux sociaux, vous aviez pourtant publié un message, fort, de soutien à votre coéquipière...
(Elle coupe.) C'était dans la foulée de sa défaite en finale WNBA avec New York. Aucun rapport avec les Bleues ou la Fédération. Je l'admirais avant même de la côtoyer. Quand je l'ai vue pour la première fois je me suis dit : il n'y a aucune autre fille comme elle dans le monde. Je le répète souvent, j'ai l'impression qu'on ne se rend pas assez compte de toute ce qu'elle apporte au basket français, tout comme du niveau d'exposition auquel elle est confrontée. Pour en revenir au message, j'étais simplement déçue pour elle. Ce n'est un secret pour personne que nous sommes très proches. J'ai donc vu ce que les gens ne voient pas en coulisses, l'abnégation dont elle a fait preuve pendant ces mois difficiles. Vous avez vu son émotion après le titre en Ligue féminine non ? Mais ce message, j'aurais pu l'écrire pour n'importe laquelle de mes coéquipières.
Avez-vous regardé l'Euro ? Va-t-il falloir rattraper le temps perdu en vue des Jeux ?
Je n'étais pas dans le groupe, donc je n'ai pas à juger. On s'est beaucoup focalisé sur ce qui manquait à cette équipe plutôt que ce dont elle disposait. Nous avions tout ce qu'il fallait. Pour la deuxième question, c'est en partie vrai. Personne ne veut aller à l'autre bout du monde en février (pour le TQO en Chine), on préférerait se reposer. Mais c'est indispensable car il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner. Je veux gagner une médaille avec la France. Mais c'est trop facile pour les joueuses ou la Fédération de dire qu'on veut gagner ou qu'on vise l'or. Tout le monde voudrait l'or, non ? Il reviendra à ceux qui auront tout mis en oeuvre pour y arriver. »
thank you so much, everyone is going to be able to read it now 💛
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Ce N'est Pas Ton Rôle - Steve Harrington
Stranger Things Masterlist
Résumé : Tu sombres de plus en plus dans une spirale infernale, espérant que tes parents te remarquent, mais seulement ton frère, Steve, semble s'inquiéter pour toi, comme d'habitude
Warnings : Y/N a 15 ans, Steve en a 17, consommation d'alcool par un mineur (ne buvez pas d'alcool si vous n'avez pas l'âge !), mention de drogue, mauvais parents, sentiments de ne pas être vue, sentiment de mal-être (parlez à quelqu'un si vous n'allez pas bien ! Mes messages privés sont ouverts, si besoin), suivre des inconnus (ne suivez pas des inconnus, faites attention à vous !), situation scolaire compliquée, angst, fin fluffy, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
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- Maman, il faut absolument que tu signes nos relevés de notes, tu entends ton frère, Steve dire, te sortant de ton programme télé.
- Déjà ? C'est vrai que le semestre s'est fini il y a un mois. Où est-ce qu'ils sont ?
- On les a accrochés au frigo, pour que papa et toi puissiez les trouver facilement.
- Je ne les avais pas vus, déclare ta mère en rigolant légèrement.
Regardant l'interaction au loin, tu lèves les yeux au ciel. Bien évidemment, elle n'avait pas vu les relevés de notes sur le frigo alors qu'elle passe devant depuis trois jours. Elle ne voit rien. Elle ne vous voit pas. Votre mère comme votre père est là sans être là. Tu sais que leur absence est due à leur travail. Ils font tout pour vous donner une bonne vie, mais tu aimerais que dans leur définition de "bonne vie", il y ait une partie "être un bon parent".
Ta mère se munit de son stylo du boulot pour signer les papiers, sans y jeter un coup d'œil.
- Bravo, mes chéris. Vous avez bien bossé ! affirme-t-elle avec un grand sourire.
Pour toi, c'est la phrase de trop. Comment peut-elle dire que tu as bien bossé quand tes notes ont seulement dégringolé au dernier semestre ? Même tes professeurs s'inquiètent pour ton avenir. Ta mère, elle, n'a pas fait attention. Comme d'habitude.
Ne supportant plus son hypocrisie, tu te lèves du canapé et monte dans ta chambre, sans regarder Steve et ta mère, toujours présents dans la cuisine.
Quand tu arrives dans la classe de Madame Click, tu lui tends ton relevé de notes, tout juste signé. Elle te remercie avant de s'apprêter à commencer sa leçon. Tu te diriges à ta place et prétends écouter le cours.
Depuis le mois dernier, ton attention au lycée a chuté. Comme tes notes. Tu ne suis plus tes cours comme il faut et tu sèches de plus en plus. Tu l'avais déjà fait, mais seulement deux fois. C'était des cas exceptionnels, tu t'étais trouvée des bonnes excuses pour ne pas culpabiliser. Maintenant, tu le fais sans réfléchir. Tu ne paniques plus comme avant. Après tout, si le lycée essayait de prévenir tes parents, ils ne répondraient pas et si c'était le cas, tu n'aurais qu'à mentir en disant que tu ne te sentais pas bien et ils préviendraient le lycée. Ils ne peuvent pas vérifier tes propos comme ils sont à l'autre bout du pays, voire dans un autre continent.
Steve a remarqué ton changement d'attitude, mais ne t'a rien dit. Il suppose que c'est seulement une mauvaise phase. Si tu n'allais vraiment pas bien, il sait que tu viendrais le voir. Il a passé ta vie à te rappeler qu'il était toujours là pour toi. Il sait parfaitement bien s'occuper de toi. Même trop bien, si on te demandait ton avis.
Deux jours plus tard, c'est à ton père de rentrer de son voyage d'affaire. Il est pire que ta mère. Il ne vous parle que si c'est nécessaire, alors que ta mère, elle, fait au moins semblant de s'inquiéter.
Agacée par la pseudo-présence de tes parents, tu te réfugies dans ta chambre. La musique à fond, tes yeux plongés dans ton magazine, tu fais tout pour te perdre. Pour oublier que tu es dans ta maison qui est tout sauf un cocon familial.
Alors que tu tournes la page, ta musique diminue drastiquement. Tu relèves les yeux ne comprenant pas. Ton père est devant ton poste de radio, un air irrité sur le visage.
- Mais qu'est-ce que tu fais ?! J'écoutais ma musique ! T'énerves-tu.
Tu te lèves de ton lit et commences à marcher jusqu'à ton poste de radio, mais ton père se met devant.
- Moi, j'essaye de bosser. Ta pseudo-musique m'en empêche, rétorque-t-il séchèment.
- J'ai besoin de ma musique pour me concentrer.
- Tu lis un stupide magazine, réplique ton père, en levant les yeux.
- Je fais ce que je veux, c'est ma chambre !
- C'est peut-être ta chambre, mais tu es sous mon toit. Tu fais ce que je te dis ! Donc tu coupes cette stupide musique, t'ordonne-t-il. Si tu veux tellement te détruire les oreilles avec, tu n'as qu'à utiliser ton walkman. Tu sais, celui qui nous a coûté un bras et que tu voulais tant.
Tu pousses un soupir de frustration pendant que ton père claque la porte. Tu retournes dans ton lit et cries dans ton oreiller. Ta colère est montée en une seconde en moins d'une minute d'interaction avec ton père. Interaction qui était la première depuis son arrivée, soit dit en passant. Ne voulant pas avoir affaire à ton père à nouveau, tu récupères ton walkman, qu'il t'a si "gentiment" offert, et mets ta cassette. Ton casque sur ta tête, tu mets le son à fond, essayant d'évacuer toutes tes émotions.
Quand tu te rends dans la cuisine pour prendre ton petit déjeuner, le lendemain, tu trouves une note sur le frigo. Tu reconnais tout de suite l'écriture de ta mère. Tu n'as pas besoin de la lire pour savoir le contenu. Elle est repartie en voyage d'affaires. Elle est restée une semaine à la maison. C'est presque un record. Tu écrases le papier avant de le jeter sur la table. N'ayant plus l'appétit, tu retournes dans ta chambre pour finir de te préparer pour les cours.
En arrivant au lycée avec Steve, tu fais tout pour cacher ton mal être. Il a essayé de te questionner, mais tu as prétendu que tout allait bien. Tu ne veux pas qu'il s'inquiète pour toi. Et puis, tu ne sais pas vraiment ce que tu ressens toi-même. Il y a tellement d'émotions qui te traversent. Tu ne sais plus où donner de la tête. Tu espères juste que tes cours serviront d'une bonne distraction.
Pendant celui de Madame Click, elle vous rend vos contrôles de la semaine passée. En te tendant ta copie, elle t'informe qu'elle veut te voir après les cours. Tu acquiesces avant de regarder rapidement ta note. Un D-. C'est déjà mieux qu'un F...
Le reste de l'heure, tu appréhendes la conversation avec ta professeure. Quand le moment arrive, tu fais tout pour cacher ta nervosité :
- Vous vouliez me parler, Madame ?
- Oui, Y/N. J'aimerais qu'on parle de tes notes. Tu as, certes, un peu remontée, mais ça reste catastrophique. Je connais tes capacités. Tu es une bonne élève. Peux-tu me dire ce qu'il se passe ? demande-t-elle, inquiète.
- Je... Je suis juste un peu fatiguée, en ce moment, mens-tu. Je vais me rattraper. Je vous le promets.
- Je suis sûre que tu le peux, mais ça n'a pas l'air d'être le cas. Ecoute, j'aimerais parler avec tes parents. Je sais que c'est compliqué pour eux, mais la situation ne peut pas rester ainsi.
- Ma mère est partie aujourd'hui et mon père est occupé et va sûrement bien repartir aussi.
- Je sais, mais n'y aurait-il pas une solution pour les voir ? insiste-t-elle et tu deviens gênée.
- Je crois que vous aurez plus de chance avec ma mère, mais si vous voulez lui parler maintenant, ça sera par téléphone.
- C'est déjà mieux que rien. Peux-tu me donner son numéro, s'il te plait ? dit-elle, en se saisissant d'un stylo.
- Je n'ai pas encore le numéro de son hôtel. Je l'aurai sûrement au téléphone ce soir. Je vous le communiquerai dans la semaine. Mais je ne peux pas vous promettre que vous l'aurez au téléphone tout de suite.
- Ce n'est pas grave, je te tenterai ma chance quand même. Merci.
- Au revoir, Madame, finis-tu, en commençant à partir, mais elle te retient.
- Y/N, tu sais, si besoin, tu peux venir me parler. Si tu n'arrives vraiment plus à suivre les cours, je serais ravie de t'aider.
- Merci.
Tu lui fais un petit sourire avant de quitter la salle de classe, embarrassée. Tu as l'impression que Madame Click t'a prise en pitié et tu détestes ça. Bien évidemment, ça partait d'une bonne intention, mais tu ne veux pas donner l'impression que tu ne peux pas te gérer toute seule. Tu sais le faire. Tu sais le faire depuis l'enfance. Tes parents ne t'ont pas laissé d'autres choix.
Même si c'est la pause déjeuner, tu ne te rends pas à la cafétéria. Tu n'aurais pas assez de temps pour te poser comme il faut alors autant ne pas manger. A la place, tu sors du bâtiment et te rends vers la forêt à côté du lycée. Tu marches avec prudence, ne voulant pas être repérée quand tu arrives enfin vers la petite table de pique-nique.
- La petite Harrington. Que me vaut ce plaisir ? Sourit Eddie "Le Taré" Munson quand il te voit.
- Tu sais que je ne suis pas que la sœur de Steve, hein ?
- Je le sais. Que puis-je faire pour toi ?
- Qu'est-ce que je peux avoir pour cinquante balles ? demandes-tu, le surprenant.
- Pardon ?
- Pour cinquante dollars, tu peux me vendre quoi ?
- Rien, affirme-t-il, sans attendre.
- Quoi, c'est plus cher ? Je peux déjà te donner les cinquante et le reste demain.
- Non, je crois que tu ne m'as pas compris, petite Harrington, je ne te vendrai rien, précise Eddie et c'est ton tour d'être surprise.
- Pourquoi ?
- Tu as quatorze ans.
- J'en ai quinze ! corriges-tu, agacée.
- Excusez-moi, Madame, déclare-t-il, dramatiquement. Je ne vends pas aux mineures.
- Quoi, t'es devenu un saint maintenant ? demandes-tu et il hausse seulement les épaules. Tu vends de la drogue dans un lycée, tu t'attendais à quoi, franchement ?
- Bon disons que je ne vends pas au moins de dix-sept ans. Dans tous les cas, tu rentres dans aucune des catégories.
- Tu es un con, déclares-tu avec un faux sourire.
- Merci, petite Harrington, plaisante-t-il alors que tu tournes les talons. C'était un plaisir de ne pas faire affaires avec toi !
Suite à son commentaire sarcastique, tu lui fais un doigt d'honneur, toujours en marchant en direction du lycée. Parmi toutes les personnes de cet endroit, tu ne pensais pas qu'Eddie Munson serait celui qui jouerai le rôle du Bon Samaritain. Malgré toi, tu retournes en cours, souffrant en silence.
Quand ton père quitte Hawkins pour son travail deux semaines plus tard, tu as l'impression que c'est la goutte de trop. Tu te sens mal. Ton estomac est noué. Tu ne peux pas manger. Tu as l'impression que tu pourrais être malade à n'importe quel moment. Steve l'a bien remarqué sur le trajet. Il ne t'a pas posé de questions pendant qu'il roulait, voulant te laisser te reposer. Peut-être as-tu juste besoin de quelques minutes de sommeil en plus ? Pourtant, quand vous arrivez devant le lycée, son instinct fraternel revient au galop :
- Tout va bien, Y/N ? T'as l'air malade.
- Ouais, j'ai un peu mal au ventre. Ça devrait passer. T'inquiète pas.
- T'es sûre ? On a encore le temps. On peut retourner à la maison. J'appellerai le lycée pour expliquer, t'assure-t-il et tu tentes de lui faire un sourire.
- Steve, je vais bien. Ça va passer dans une heure, grand max.
- Si besoin, n'hésite pas à aller voir l'infirmière et dis-lui de me prévenir si tu rentres à la maison.
Tu hoches la tête avant de quitter la voiture. Tu laisses Steve rejoindre ses amis pendant que tu te rends vers ta salle.
Ton mal être est toujours aussi présent et ne passe pas, même après une heure. Ne supportant plus d'être au lycée, tu décides de sécher le reste de la journée. Tu traines dans Hawkins quelques heures avant de rentrer chez toi.
Tu es en pleine lecture, allongée sur le canapé quand Steve rentre, paniqué. Le soulagement prend vite place sur son visage quand il te trouve :
- Mon Dieu, Y/N, tu m'as fait peur ! Je te voyais plus dans les couloirs et j'ai essayé d'appeler à la maison, sans réponse !
- Désolée, Steve. Je me sentais vraiment pas bien et l'infirmière m'a dit de rentrer. J'ai complètement zappé de lui dire de te prévenir. Et quand je suis rentrée, j'ai dormi directement. J'étais tellement fatiguée que j'ai pas entendu le téléphone, mens-tu.
- Je comprends, mais rappelle-toi de me le dire la prochaine fois. J'ai vraiment eu peur.
- Désolée.
- Tu te sens mieux ? demande-t-il, inquiet en posant ta main sur ton front.
- Je vais mieux, oui. Et puis, je n'avais pas de fièvre, Steve.
- On sait jamais. Peut-être que tu as attrapé quelque chose.
- Ce n'est rien de grave. Je vais bien.
- D'accord, mais dis-moi si ça recommence !
- Promis.
Steve monte dans sa chambre pendant que tu le regardes, un air reconnaissant sur le visage. Tu te sens chanceuse d'avoir un frère qui s'inquiète autant pour toi, qui fait autant attention à toi. Il fait un meilleur job que tes parents. Tu ne te rappelles plus la dernière fois où l'un de tes parents a posé sa main sur ton front pour vérifier ta température. Le sentiment de reconnaissance laisse alors vite place un sentiment de tristesse quand tu réalises à quel point Steve sacrifie tout pour toi. A quel point il a sacrifié sa vie pour faire le travail de tes parents. Il ne devrait pas à avoir à s'inquiéter autant...
Tu essayes de rappeler ta mère pour la cinquième fois. Madame Click se fait de plus en plus insistante. Elle t'a informée qu'elle n'arrive pas à joindre ta mère, malgré ses tentatives. Tu lui as promis de l'appeler pour la prévenir. Tu n'es pas étonnée de voir que ta mère agit de cette façon. Tu lui as pourtant dit que ta professeure voulait lui parler de tes notes. Pendant une seconde, tu pensais qu'elle comprendrait que quelque chose n'allait pas, qu'elle s'inquièterait enfin. Il faut croire que non. Quand ta mère ne décroche toujours pas, tu reposes le téléphone avec agressivité. A quoi bon faire des efforts si elle n'en fait pas ?
Cette situation avec tes parents commence à devenir de plus en plus insoutenable. Tu veux en parler avec Steve, mais tu as peur qu'il prenne le côté de tes parents. Après tout, s'ils ne sont pas là, c'est pour vous sécuriser un bon avenir. Ils s'y prennent mal, mais ils veulent bien faire, non ? C'est égoïste de ta part de demander à avoir leur attention tout le temps. Mais ils pourraient au moins faire attention à votre situation scolaire, quand même ! Si un professeur veut parler avec tes parents, c'est qu'il y a un probl��me. Ils devraient le remarquer, alors pourquoi ce n'est pas le cas ?! Tout un tas de contradictions se bousculent dans ta tête. Si seulement tu avais pu avoir des parents avec un travail normal, tout serait plus simple.
Ces contradictions continuent à te polluer la tête pendant plusieurs jours, accentuant ton mal être. Tu te renfermes de plus en plus sur toi et tu sèches toujours autant. Steve fait tout pour avoir la vérité, mais tu restes silencieuse. Il a déjà tellement de choses à gérer, il n'a pas besoin d'un autre problème.
Aujourd'hui, tu veux faire l'effort de faire une journée complète au lycée, mais à peine la sonnerie retentit que ton mal de ventre revient. Tu sais à présent que la seule solution c'est quitter le lycée et juste t'enfermer dans ta bulle, éloignée de tous. Tu as l'impression d'aller mieux quand tu le fais. Alors tu attends que les couloirs soient vides pour quitter l'établissement discrètement.
Dehors, tu parcours la ville. Tu fais quelques boutiques, même si tu n'achètes rien, tu manges ton sandwich prévu pour la journée, tu marches un peu plus. Tu erres comme un fantôme, comme l'ombre de toi-même. Quand vient la fin de la journée, tu n'as pas la force de rentrer chez toi. Tu veux encore rester dans ta bulle. Mais être dans ta bulle sobre ne suffit plus.
Tu te diriges vers une supérette et attend un adulte pour lui demander de t'acheter une bouteille d'alcool. Quand un jeune d'environ vingt ans accepte de le faire, tu le remercies. Quand il revient en te donnant l'alcool, tu lui es encore plus reconnaissant. Tu commences à partir quand il t'interpelle :
- Tu sais, ce n'est pas forcément bien de boire toute seule. Tu veux venir avec mes amis et moi ? On va dans un bar à côté. Ils ne sont pas regardant sur l'âge.
Tu hésite un instant. Ton regard passant du gars à sa voiture où deux femmes et un autre homme sont assis. Tu réfléchis un peu plus avant de déclarer :
- Pourquoi pas.
- Yes ! Viens, on va s'amuser ! s'écrie une des femmes en t'ouvrant la portière arrière.
Tu montes dans la voiture, suivant ces inconnus dans ce fameux bar, vidant ta bouteille entièrement pendant le trajet. Comme prévu, à aucun moment on te demande ta carte d'identité. Tu peux commander autant de verres que tu le souhaites. Tu décides de gouter un peu à tout. Tu as toujours été raisonnable. Tu veux que ça change ce soir. Tes nouveaux amis t'encouragent en te précisant les différents alcools présents devant toi. Tu continues de faire des shoots et de boire de plus grands verres jusqu'à ce que tu aies la tête qui tourne. Tu t'agrippes au comptoir avant de sentir un haut-le-cœur. Tu cours vers les toilettes, réussissant par miracle à te retenir jusqu'à ce que tu sois face au W.C. Nichole, une des femmes du groupe, t'a suivi et te tient les cheveux pendant que tu vides le contenu de ton estomac.
- Merci.
- Je crois que tu en as assez eu pour la soirée, non ? rigole-t-elle.
- Je crois aussi.
- Allez, viens. On va dire aux autres de te ramener chez toi.
- Est-ce que je dois vraiment rentrer chez moi ? questionne-tu avant de te nettoyer la bouche.
- Tes parents sont pas là, non ? C'est ce que tu as dit tout à l'heure. Tu risques rien.
- C'est vrai, t'as raison ! Et puis, même s'ils étaient là, ils s'en fichent de moi. Ils remarqueraient même pas que je suis bourrée, ajoutes-tu avec un élan de confiance.
- Allez, la rebelle. C'est l'heure de rentrer.
Nichole te soutient pour t'aider à sortir des toilettes. En retournant vers les autres, tu n'es pas assez lucide pour dire que tu as besoin de rentrer donc c'est ta nouvelle amie qui les informe. Ils acquiescent en rigolant face à ton état.
Pendant le trajet, Pete, celui qui t'a acheté l'alcool, fait attention à rouler doucement. Pas parce qu'il a aussi bu de l'alcool et qu'il veut agir de manière responsable, non, mais parce qu'il ne veut pas que tu vomisses dans sa voiture.
Miraculeusement, tu arrives à destination sans recracher ton estomac. Tu salues tes nouveaux amis avant de marcher jusqu'à la porte. Tu sors tes clés de ton sac de cours et ouvre la porte. Tu as à peine le temps de poser tes affaires que la lumière t'aveugle soudainement et Steve te rejoint, totalement angoissé.
- C'est à cette heure-ci que tu rentres ?! Putain, Y/N, c'est une heure du matin, j'étais mort d'inquiétude ! Je croyais qu'il t'était arrivé quelque chose de grave ! J'ai même appelé les flics.
- C'est bon, je suis pas morte, Steve, murmures-tu en roulant des yeux.
- T'es... Est-ce que tu as bu ? questionne-t-il en se rapprochant de toi.
- Non.
- Y/N, insiste-t-il, sur un ton plus autoritaire.
- D'accord, peut-être un verre.
- T'as fait comment, t'as quinze ans ?
- J'ai demandé à Pete.
- C'est qui ce Pete ?
- Le mec que j'ai rencontré tout à l'heure. C'est lui qui m'a ramenée, informes-tu en souriant.
- Tu es vraiment en train de me dire que tu as accepté l'alcool d'un inconnu et que tu es aussi monté dans la voiture de ce même inconnu ? Tu te rends comptes à quel point c'est dangereux ?! Il aurait pu te faire du mal ! rétorque-t-il, sous le choc.
- Ça va, il y avait Nichole, Tessa et George aussi.
- Et c'est censé me rassurer ?! T'es complètement bourrée, c'est une heure du matin, t'as disparu depuis ce matin, tu as trainé avec je ne sais qui. Tu imagines à quel point j'étais mal ?!
- C'est...
- N'ose même pas dire "c'est bon", Y/N, t'interrompt-il en devinant ta phrase. Je suis responsable de toi quand les parents sont pas là. J'ai eu super peur ! Et pas que ce soir d'ailleurs. Je m'inquiète pour toi depuis deux mois, avoue-t-il et tu fronces les sourcils en apprenant qu'il avait compris. Ouais, ils ont peut-être pas vu, mais j'ai remarqué tes mauvaises notes depuis le début. Je sais aussi que t'as pas arrêté de sécher. Et je sais aussi que t'as essayé d'acheter de la drogue.
- Comment tu... ?
- Munson me l'a dit.
- Ce connard ! chuchotes-tu, te sentant trahie.
- Heureusement qu'il me l'a dit ! Il m'a bien confirmé que mes inquiétudes étaient fondées. Enfin, Y/N, qu'est-ce qui t'arrive ? Pourquoi tu te renfermes comme ça ? Tu sais que je suis là alors pourquoi t'agis comme ça ? Je peux t'aider. Je te sens juste disparaitre à petits feux et j'ai peur pour toi.
- Oh mon dieu, tu peux arrêter ?! cries-tu, en colère.
- Arrêter quoi ? De m'inquiéter ? Je suis bien obligé. Tu es en train de foutre ta vie en l'air, rétorque Steve.
- Arrêter d'agir comme un parent, ce n'est pas ton rôle, putain ! Tu te rends compte que ton discours, ça devrait être maman ou papa qui devrait me le faire ? Pas toi. Oui, tu pourrais être inquiet, mais tu es mon frère. Tu devrais te moquer de moi parce que je me fais engueuler ou alors me faire du chantage pour pas que tu dévoiles mes notes aux parents. C'est ça ton rôle. Tu n'es pas un parent ! Tu n'es pas censé être responsable de moi.
- Ils travaillent dur pour...
- Nous offrir un bel avenir, je sais, le coupes-tu, irritée. Mais à quel prix ? Steve, je t'ai vu plus agir comme un parent que comme un adolescent. Et tu as dix-sept ans. J'en ai marre de voir que tu sacrifies ta vie pour moi parce que deux adultes sont pas capables de faire leur job. Regarde, la preuve encore ce soir. Tu étais terrifié, tu as appelé la police parce que j'ai disparu toute la journée, continues-tu, les larmes aux yeux. Les parents sont censés faire ça, pas toi. Tu l'as dit toi-même, ça fait deux moi que tu as remarqué que je n'allais pas bien. Maman n'a même pas vu que mes notes avaient chuté, alors qu'elle a signé le bulletin ! Ça m'énerve parce que même quand je fais tout pour essayer d'attirer leur attention, c'est toi qui t'inquiètes. Comme toujours. Je veux juste qu'ils remarquent pour une fois qu'ils ont échoué en tant que parents. Je veux juste qu'ils nous voient. Pour une fois. Mais, ça ne marche pas. Je vois pas ce que je peux faire de plus et j'en ai marre. J'en peux plus, Steve.
Fondant complètement en larmes, Steve ne te répond pas et te serre fort dans ses bras. Il savait que la situation familiale t'affectait, tout comme elle l'affecte, mais il n'imaginait pas que tu en souffrais à ce point. Il te caresse la tête, voulant calmer tes pleurs tout en murmurant des phrases rassurantes. Tu ne pensais pas t'effondrer ce soir, mais c'est bien le cas. Tu as dit tout ce que tu avais sur le cœur et tu ne retiens plus tes larmes. Tu continues à vider ton saoul pendant plusieurs minutes avant de te calmer. Quand Steve sent que tes épaules ne bougent plus, il se sépare un peu de toi pour regarder ton visage, pour regarder le visage de sa petite sœur, complètement détruite.
- Y/N, je suis désolé de pas avoir compris plus tôt pourquoi ça n'allait pas. J'aurais dû plus insister quand je te demandais si ça allait, dit-il, se sentant coupable.
- Je t'aurais menti.
- J'aurais quand même dû faire plus.
- Ce n'est pas ton rôle, répètes-tu, en chuchotant.
- Ça ne devrait pas, mais ça l'est. Même si c'est compliqué d'avoir toutes ces responsabilités, je suis content de pouvoir être là pour toi donc, viens me parler quand tu ne vas pas bien. Je n'aurais peut-être pas toutes les réponses, mais je ferais mon maximum, t'assure ton grand frère.
- Merci, souris-tu.
- Si tu veux, on peut essayer dans parler aux parents ? propose-t-il.
- Ils ne nous écouteront même pas.
- On peut toujours essayer.
- Ouais, acquiesces-tu, peu convaincue.
- Tu devrais aller te reposer, d'accord ? te conseille Steve et tu hoches la tête.
- Tu peux rester avec moi cette nuit ? Comme quand j'avais un cauchemar quand j'étais petite ? demandes-tu, d'une petite voix.
- Bien sûr. Je vais juste appeler la police avant pour leur dire que t'es rentrée. Je vais aussi te préparer un verre d'eau et un médicament parce que tu vas avoir un sacré mal de tête, dit-il en rigolant légèrement et en pointant ton crâne.
- J'imagine, ajoutes-tu en lâchant un rire.
Steve t'embrasse le front avant de t'inviter à monter dans ta chambre. Tu lui fais un petit sourire avant de commencer à grimper les marches. Il commence à se diriger vers le téléphone du salon quand tu t'arrêtes et l'interpelles. Steve se retourne et te questionne du regard.
- Je suis désolée, commences-tu avant de te racler la gorge. Pour t'avoir inquiété ces deux derniers mois, mais surtout pour ce soir. Certes, je voulais inquiéter les parents, mais la dernière chose que je voulais c'était t'angoisser, toi. Tu fais tellement pour moi depuis qu'on est gosses. Je suis vraiment reconnaissante de t'avoir comme grand frère, avoues-tu en baissant les yeux pendant une seconde. J'espère que tu le sais.
- Je suis content de t'avoir comme petite sœur.
- Encore désolée pour ce soir. Je ne le referai plus, je te le promets.
Stranger Things Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
#marie swriting in french#stranger things x reader#stranger things imagine#stranger things one shot#stranger things#steve harrington x sister!reader#stranger things x y/n#steve harrington#steve harrington x sister reader#sister!reader#tumblr français
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🔴 ❌🦠 CORONACIRCUS - Avez-vous seulement souvenir des restrictions Covid ? Devoir de mémoire…
🔸 17 mars 2020: Début du confinement national en France. 🔸 11 mai 2020: Début de la levée progressive du confinement. Les écoles ont rouvert et les Français ont été autorisés à sortir sans autorisation, mais des restrictions sont toujours en place pour les rassemblements publics et les déplacements internationaux. 🔸 30 octobre 2020: Début du deuxième confinement national en France, avec des règles plus strictes qu'au printemps (par exemple, les magasins non essentiels ont été fermés). 🔸 15 décembre 2020: Fin du deuxième confinement et début d'un couvre-feu national de 20h à 6h. 🔸 16 janvier 2021: mise en place d'un couvre-feu avancé à 18h sur tout le territoire 🔸 30 janvier 2021: Les frontières avec les pays hors de l'Union européenne sont fermées, sauf dans des cas exceptionnels. 🔸 3 avril 2021: Le troisième confinement national en France a commencé, avec des règles plus légères que pendant le deuxième confinement. Les écoles sont restées ouvertes, mais les déplacements ont été limités à 10 km de chez soi. 🔸 19 mai 2021: Début de la levée progressive des restrictions. 🔸 9 juin 2021: Début de la phase finale de la levée des restrictions, avec la réouverture des restaurants, des cinémas et des salles de sport, ainsi que l'introduction des pass sanitaires pour les événements de grande envergure et les lieux de loisirs. 🔸 20 juin 2021: Le couvre-feu national en France a été levé.
🔸 Les écoles ont rouvert en mai 2021 avec des mesures de distanciation sociale en place et des protocoles de nettoyage renforcés. 🔸 Les travailleurs sont encouragés à travailler à distance si possible. 🔸 Les pass sanitaires ont été introduits le 9 juin 2021 pour les événements rassemblant plus de 1 000 personnes et les discothèques. Cela implique la présentation d'un certificat de vaccination, d'un test Covid négatif récent ou d'un certificat de rétablissement après une infection au Covid-19. 🔸 À partir du 21 juillet 2021, le pass sanitaire est également obligatoire pour les lieux de 50 personnes. 🔸 Les vaccins contre le Covid-19 sont disponibles gratuitement pour tous les résidents français de plus de 12 ans, et la vaccination est fortement encouragée.
Et comme si ça ne suffisait pas…
🔹 Le port du masque est obligatoire dans tous les lieux publics clos, y compris les magasins, les transports en commun et les bureaux 🔹 Les rassemblements de plus de 10 personnes sont interdits dans les lieux publics, mais les événements organisés dans des espaces privés peuvent accueillir jusqu'à 50 personnes. 🔹 Les restaurants et les bars doivent respecter des règles de distanciation sociale et de capacité réduite. 🔹 Interdiction de consommer debout et danser dans les bars et cafés (déc. 2021) 🔹 Les voyageurs doivent présenter un test Covid négatif récent ou une preuve de vaccination complète. Des restrictions de quarantaine sont également en place pour les voyageurs en provenance de certains pays. 🔹 Le rayon jouet, habits (non essentiels) fermés dans les supermarchés
Les restrictions dans les écoles :
🔸 Port du masque obligatoire pour tous les élèves et le personnel. 🔸 Lavage fréquent des mains et utilisation de désinfectants pour les mains. 🔸 Distanciation sociale imposée dans les salles de classe et les espaces communs. 🔸 Ventilation des salles de classe régulièrement ou installation de systèmes de ventilation spéciaux. 🔸 Limitation des rassemblements ou des événements en personne, ou organisation de ceux-ci en ligne ou sur une base virtuelle. 🔸 Isolement immédiat des élèves ou du personnel présentant des symptômes de Covid-19. 🔸 Mise en place d'un système de traçage des contacts pour identifier les personnes qui ont été en contact avec des cas positifs de Covid-19. 🔸 Chaque école peut adopter différents protocoles en fonction de ses besoins et des directives de santé publique locales.
Et il en manque probablement… 👻
NI OUBLI NI PARDON
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2023年08月26日 Un Monopoly pour les enfants
Hier soir, nous avons joué en famille au Monopoly. Cela parait anodin, mais je pense que c'est la première fois que j'ai joué au véritable Monopoly...
En effet, quand j'étais petit je jouais chez mes grand-parents à une version simplifiée du jeu qui s'appelait le Monopoly Junior. Des années après avoir joué à celui-ci, je vous propose d'observer les différences entre les deux ! Il semble il y avoir plusieurs versions du Monopoly Junior, celle sur laquelle je jouais se passait dans une fête foraine.
Avant de commencer, voyons voir si vous avez lu les posts précédents !
Le sondage reste ouvert pendant une semaine, on verra ce qui se passe quand il sera fini !
La première chose que l'on remarque, c'est le changement d'esthétique. Les pions ne sont plus des objets en miniature, mais des voitures en plastique chacune d'une couleur différente, ce qui est plus facile à identifier (même si on pourrait confondre la couleur des pions avec la couleur des cases). Les billets sont aussi plus colorés, tandis que le plateau possède beaucoup plus d'illustrations, notamment en utilisant la mascotte du jeu. Il est assez rectangulaire comparé à la plupart des Monopoly et se plie en deux. Enfin, comme le jeu se déroule dans une fête foraine, les rues sont devenues des attractions ! La case garage est devenue une case café et la prison a bien évidemment disparu pour laisser place à une case fortune qui permet de ramasser les billets placés sur celle-ci par les joueurs ayant payés pour voir un feu d'artifice ou un ballet de dauphins.
L'objectif du jeu est toujours le même (le capitalisme s'apprend aussi aux enfants...) cependant la valeur des billets a été revue à la baisse afin que les enfants fassent des additions plus simples: au lieu des billets de 1, 5, 10, 20, 50, 100 et 500 Mono, ici les billets vont de 1 à 5 et sont en euros afin de faire le lien avec l'argent dans la vraie vie pour la partie apprentissage (et puis ça fait argent de poche). Après tout, le Monopoly a été créé à l'origine par Elizabeth Magie pour représenter la nature antisociale du monopole sur le sol, il y a donc toujours quelque chose à apprendre...
De nombreux ajustements sont faits pour raccourcir les parties: on note désormais que toutes les couleurs ne possèdent que deux terrains contrairement aux trois terrains (sauf pour les cases bleues foncées et violettes) du jeu original. Cependant, il est impossible de faire payer plus cher en mettant plusieurs stands sur une même attraction ! Ainsi, le seul avantage à avoir deux attractions de la même couleur est de faire payer le double si un joueur passe sur une des deux cases. Il y a bien évidemment moins de cases que sur le plateau original, cependant le jeu n'utilise qu'un seul dé au lieu de deux. Le plateau prendrait donc plus de temps à parcourir que l'original, sauf si nous prenons en compte le changement fait aux gares !
En effet, celles-ci agissent normalement comme les terrains de couleur à la différence que les cases sont éparpillées aux quatre coins du plateau et que leur somme pour plusieurs gares cumulées n'est pas énorme. Mais dans ce Monopoly Junior, on n'achète pas la gare, on prend le train ! Ce qui signifie qu'on ne fait que relancer le dé.
Les cartes chances sont toujours de la partie, et certaines permettent carrément d'obtenir des stands gratuitement. Pour finir, il ne faut pas attendre qu'il n'y ait qu'un seul joueur avec de l'argent mais plutôt qu'un des joueurs n'ait plus d'argent pour terminer la partie. Les mécaniques d'enchères et d'échange à l'origine de stratégie et de parties de durée infinie ont tout simplement été supprimées, créant un jeu plus rapide mais également davantage soumis à l'aléatoire.
Après avoir joué (et gagné) hier soir au Monopoly, la simplification du jeu sur cette version junior devient plus qu'apparente !
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Ils appellent ça “le vivre ensemble”…
Il ne se passe pas un jour sans que des menteurs subventionnés ne désignent à la vindicte publique des coupables inventés, accusés, sans raison, de racisme, ce péché mortel d'une néo-pseudo-religion mortifère : ‘’l'immigrationnisme comme solution à tous les problèmes’’. Oser dire qu'il y aurait quelque lien possible entre délinquance et immigration, ou démontrer l’incompatibilité ontologique de l’islam (-isme, ou pas) avec les “valeurs de la République” est un crime. L’Histoire jugera notre bêtise et notre aveuglement comme coupables de la fin de notre civilisation.
Les “crimes-contre-l'humanité” de la France coloniale (tels, en tout cas, que les imagine Macron dans son immense inculture ‘’énarchique’’, c’est-à-dire sélective, partielle, orientée et contraire à la vérité), ou encore le chômage et les conditions de vie dans les quartiers sensibles (dont l'homme blanc, de droite, “hétéro” et catho serait le seul responsable, comme il l'est de la misère et de la corruption en Afrique après 60 ans d'indépendance... ou de la pollution de la planète...) justifieraient que soient passées sous silence les origines des auteurs-fauteurs ''d’incivilités'' (c’est le nouveau nom de certains crimes, racistes, mais anti-blancs). Quelles peuvent être les motivations qui poussent à une telle volonté de nier l'évidence et les faits, et qui trainent devant les tribunaux tout intellectuel, politicien... ou clampin qui dit la vérité sur les dangers menaçants mais niés par la ''doxa'' : tout ''sonneur de tocsin'' est interdit sur les antennes officielles, qui préfèrent les subventions à leur honneur.
Au delà de cette “vérité officielle” qui n'est que mensonges partisans, quelle est la situation, aujourd'hui ? Sauf si vous avez passé les 5 dernières années à militer au siège d'un parti de gauche, vous savez que les crimes et les délits explosent en France, et vous les avez peut-être même subi, soit directement, soit par un parent, un ami, un voisin interposé : la “violence gratuite”, (i.e. sans mobile crapuleux) fait près de mille victimes par jour, officiellement (donc, leur nombre réel fait frémir ! Deux, trois... cinq fois plus ?). En clair, il y a des milliers de français agressés, blessés et parfois tués, au nom d’un soi-disant “vivre ensemble” qui n’a jamais existé. On se demande qui peut bien être l'homme de Gauche, perdu dans ses mauvaises idées et son référentiel ''hors sol'', qui a fabriqué un tel mot pour un tel mensonge : Cazeneuve ? Castaner ? Darmanin ? Borne ? Macron lui-même ?
Un autre concept, tout aussi faux, est peut-être plus dangereux, encore : c'est une pseudo- “islamophobie” inventée de toutes pièces, immense bobard dont les conséquences s’ajoutent à la longue liste de ces ''vérités interdites'' dont le seul énoncé risque d'expédier en hôpital psychiatrique celui qui ose appeler “chat” un chat. Par exemple, c'est en invoquant cette soi-disant islamophobie qu'il est interdit de s'étonner qu’un chrétien devienne musulman, alors que la conversion inverse est de facto interdite chez nous, comme en terre d’islam, où elle est punie de mort.
Mais en France –un des seuls pays au monde à pratiquer l’indignité consistant à caricaturer, critiquer et moquer le pape, ridiculiser les bonnes sœurs (parce qu'elles sont “bonnes’‘, ou parce qu'elles sont nos sœurs ?) le fait de singer des parodies de crucifixions fait partie du fonds de commerce de ceux qui, en se prétendant drôles, racontent qu'ils sont ’'tolérants” (l'un des mots pervertis du baragouin gaucho-bobo), tandis que pas un seul de ces profs de morale à deux balles n'oserait un mot, une critique, un doute, une question contre le prophète musulman ou son Livre saint... C'est ce “deux poids/ deux mesures” en défaveur des seuls catholiques qui se nomme, chez les cuistres, ''de l'islamophobie’' ! Qu'elle est donc moche, leur myopie sélective ! Vivre ensemble... ou mentir et se mentir, en le sachant ?
On sait que l’utilisation médiatique, gouvernementale et bobo-gaucho du mot ’'racisme” ne vise que la laideur supposée des seuls “Blancs” par rapport aux autres races… alors que ce qui marque notre époque, c'est la violence du racisme anti-Blanc et un anti-catholicisme de système, dans une impunité garantie : les attaques contre ce qui est “chrétien” sont une activité à plein temps pour tous les extrémistes de l'athéisme, les faux-tolérants de la laïcité en guerre, pour les soi-disant belles âmes de la gauche qui se croient laïques parce qu'elles ''conchient'' l'Eglise, et qui se disent bien pensantes parce qu'elles sont tyranniques... sauf pour les islamistes ennemis du genre humain, pour ces grandes consciences sans science qui rêvent d'établir une pensée “univers-sale” favorable à ce lobby mal pensant dit “LBGT”, dont la seule vraie spécialité est la médiatisation de sa haine contre toute forme de vie en société et contre les 50% masculins de l’humanité...
Nos génies du ''à qui perd, perd'', n'ont trouvé qu'une ''Loi sur la laïcité'' (vidée de sa substance au profit d'un extrémisme laïciste aussi obtus et détourné de son sens que militant --et donc voué à l'échec, à terme, comme tout ce qui est excessif) pour éviter de devoir reconnaître que le seul vrai problème à régler se nomme 'l'islam''. Et qu'on le travestisse avec des ''--iste'' ou des '’--isme'' n'y changera rien du tout : ''l'islam-religion'' est en train de se transformer en profondeur, sous nos yeux tout grands fermés, en une machine de guerre contre l'Occident. Et ce n'est pas le fait qu'il a pu exister un bel islam --dont je chante les mérites, car à la différence de ceux qui blatèrent leurs idioties, je l'ai connu, moi, et étudié, et vécu, et aimé... et j'ai appris la langue arabe (réputé ''la langue d'Allah'') qui doit oblitérer notre regard.
Mais l'expérience de ''ceux-qui-savent'' ne présente pas le moindre intérêt pour nos ''Lumières'' (décidément définitivement éteintes, à jamais : c'est sans espoir), puisqu'il pourrait en surgir des solutions, de bonnes idées, d'autres problématiques, un vocabulaire plus ''vrai'' ! Alors... quand j'entends le (très) lamentable Darmanin, pourtant Gérald Moussa Darmanin de son vrai nom enfiler les colliers de perles contre-productifs que lui dictent ceux qui, eux, ignorent tout de tout... j'hésite entre la colère et le pessimisme le plus noir... NDLR - d'origine maltaise et algérienne, il devrait, théoriquement, être, même un peu, arabophone --l’idiome ‘’malti’’, que je baragouine en tant qu'arabophone, est issu de l'arabe pour >50%. Et grâce à ses ancêtres Ouakid, kabyles et berbérophones, il devrait disposer de tout le bagage nécessaire pour éviter les dérapages incontrôlés dont il nous régale ad nauseam.
Ce qui ne peut faire aucun doute --et qui est donc nié sans cesse par la bande d'incapables que nous avons stupidement portés au pouvoir (on touche-là les limites du système démocratique tel que nous l'avons laissé se renier lui-même), c'est que l'impossibilité absolue dans laquelle se trouvent nos lamentables cuistres multi-diplômés de trouver quelque terrain d'entente que ce soit avec l'islam. Tout, absolument tout, était annoncé, prévu, inévitable : ils ont été prévenus 100 fois, ont reçu 100 avertissements, 1000 appels à l'aide. Rien n'y a fait : c'est l'intelligence qui leur fait défaut. Incapables d'analyser ou de comprendre, ils récitent des chapitres écrits par ''presque plus pervers qu'eux'' ! Quel énorme gâchis, quand on y pense !
H-Cl.
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Quand tu seras, petit(e) !
Autant l’admettre tout de suite : je ne suis pas encore conçu ou conçue. Ce qui implique que je suis encore loin d’être né ou née. Il faudra pour cela que mes parents se rencontrent. Par pur hasard, bien sûr, qui fait si bien les choses. J’imagine qu’ils se seront aperçus une première fois dans une librairie. Elle aura vu qu’il s’intéressait au Procès de Kafka, livre qu’elle a lu et apprécié elle aussi. « Beau gosse avec ça ! » a-t-elle pensé en se dirigeant vers un autre présentoir. Or quelques jours plus tard la scène se répète dans la rue. Sauf que c’est lui cette fois qui l’a vue arriver de loin. « Très jolie ! » s’est-il dit, mais comment l’aborder ? Son cœur est peut-être déjà pris ? Une idée pourtant : faire semblant d’être perdu. Lui demander le chemin. Comment ça, elle sourit ? Elle me demande même comment j’ai trouvé Kafka ? Elle m’a vu dans le librairie l’autre jour ? Ça alors ! Et si on allait boire un café ensemble pour discuter du Procès ? Dans cette taverne là-bas, d’accord ?
Ils se sont donc plu. Ils se sont revus. D’abord parfois, puis souvent. Et à chaque rendez-vous ils se sont « plu de plus en plus ». Ils ont fini par se tutoyer. Ils ont parlé de Kafka, mais pas seulement. Ils ont voulu savoir ce que l’un et l’autre « faisaient dans la vie ». Quels étaient leurs études, leurs goûts, leurs passe-temps, sinon leurs craintes et phobies. Et la réaction de l’autre fut souvent : « Moi aussi ! » Or quand on se plaît à ce point, pourquoi ne pas rester ensemble ? D’abord toute une journée, puis toute une nuit. Soi-disant pour « dormir ensemble », sauf qu’ils ont très peu dormi.
Et c’est là que c’est bien parti pour que moi j’existe un jour. Car sur les dix millions de spermatozoïdes de « mon père » – je peux désormais l’appeler ainsi – c’est le mien qui l’a emporté. En adresse, en vitesse, en stratégie de survie. L’emporter sur dix millions, vous imaginez le travail ! Or l’idéal d’un spermatozoïde, c’est de rencontrer un ovule. En l’occurrence, c’est « mon » spermatozoïde (entendez celui de mon père) qui a trouvé « mon » ovule (entendez celui de ma mère), la fusion des deux faisant un futur humain, la promesse d’un organisme qui sera peut-être moi, si la grossesse de « ma mère » – je peux désormais l’appeler ainsi – se passe normalement.
En attendant, je ne suis qu’un embryon, un organisme vivant certes, mais pas plus vivant que la graine en terre qui deviendra blé, puis pain, biscuit ou gâteau. D’ailleurs, à ce stade-là, suis-je conçu ou conçue ? Réponse : on ne le saura que dans sept semaines. Comme tous les embryons humains, je développe bien sûr un système reproducteur, avec des organes appelés « gonades », mais qui restent sexuellement neutres pendant environ cinquante jours. Pendant ce temps, qui est plus long qu’un carême, j’aurai encore le choix du sexe, autrement dit, je peux encore devenir une fille ou un garçon. En nageant dans le liquide amniotique, bien nourri par le cordon ombilical, j’aurai tout le loisir de soupeser le pour et le contre de chaque genre. Pour parler comme le toubib, je serai doté d’ovaires ou de testicules, d’un vagin ou d’un pénis.
Mais tout ça, c’est de l’anatomie que j’apprendrai au lycée. En attendant, ce qui m’intéresse, c’est ce cocon moelleux, ce petit monde clos dans lequel je baigne. Car désormais je ne suis plus un embryon mais un fœtus. Mon cœur a commencé à battre, j’ai une grosse tête avec des trous d’yeux, de narines et d’oreilles. Et vous avez vu ces moignons, qui annoncent déjà mes bras et mes jambes, puis mes mains et mes pieds ? Mais il me faudra encore sept mois pour devenir un vrai bébé, un qui entend et qui parle, qui gigote ou donne des coups de pied dans le ventre de sa mère.
Or c’est au bout de ce laps de gestation, alors que je suis bien habitué à mon petit nid – qui est d’ailleurs devenu de moins en moins petit tout au long des mois – qu’un branle-bas se déclenche. Ça vibre et secoue, ça tremble et tressaille. C’est comme si quelqu’un criait : « Allez hop, mauvaises troupes ! Assez fainéanté ! Sors de là, et plus vite que ça ! » Sortir, moi je veux bien, mais par où ? Il n’y a qu’un seul chemin, une voie étroite d’ailleurs, mais j’inventerais n’importe quel prétexte pour pouvoir rester. Car on sait ce qu’on a, mais on ignore ce qu’on aura ! Dehors ils appellent ça la vie. C’est l’air libre, on est bien d’accord, mais aussi des courants d’air, des maladies, des accidents, peut-être la guerre. Et c’est pour ça qu’avec mes organes phonatoires désormais opérationnels, je lancerai dans ce nouvel espace acoustique un grand cri, mon cri primal en quelque sorte, qui fera sourire ma mère et l’accoucheur. Mais qui ressemble à celui de Joseph K. à la fin du Procès. Peut-être parce qu’on ne comprend pas plus pourquoi on est condamné à vie que condamné à mort ?
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"Vous trouvez pas qu'on étouffe ici non
Alors ça vient de moi
On dirait qu'il fait 100 degrés
Mais vous avez raison
Ça se peut même pas
C'est la faute aux pensées qui montent
Et à mon petit cœur qui suit pas
Il me fout la honte à battre la samba
Ça me prend comme ça paf
Putain crise d'angoisse
Le sismographe en panique
12 litres de sueur qui poisse
Sauf si ça non plus ça se peut même pas
Malaise vagal mental
Je trimbale dans ma poche
Partout et par tous les temps
Un xanax anti-pétoche
Rose et rassurant
Je croque dedans tac
Discrétos dans les dents
J'attends que son goût dégueulasse
Fasse l'effet que j'en attends
Quand je peux plus faire face
Quand je sais plus ce qui se passe
A la ramasse
À la fois brûlant et tout blanc
Un petit tour de chimie
Un petit tour de magie
Des molécules se battent à notre place
Comment ils faisaient avant
Ben quoi les gars
On va quand même pas se priver de la science non?
Flippé ok mais pas trop con
Passer du néolithique aux anxiolytiques
On fait plus la chasse non
Mais on prend des cachetons
Et j'me dis que je m'inquiète pour rien
Et je gobe 20 milligrammes
Tous les matins
Et j'me dis que je m'inquiète pour rien
Dans mon immeuble
À faire pareil on est combien
Qu'est ce que la crainte de la misère
Sinon la misère elle même
Voilà une saine pensée comme le les aime
Mais moi j'ai pas la sagesse de Khalil Gibran
Je stresse
J'ai ce putain de petit vélo dans le crâne
Rien à faire quand t'es dans cet état
T'es en enfer
Et je me ramasse tous les matins
À la petite cuillère les gars
J'ai plus de nerfs et moins d'appétit qu'un barracuda
Vas-y Bouddha, essaye de n'avoir pas souffert
Des nœuds dans le cerveau
La tête entre les coudes
J'porte le monde sur mes épaules
Comme dans "Hey Jude"
On klaxonne je sursaute
Allez démarrage en côte
Qu'est ce qu'on va faire de moi
Quand tout sera devenu ma faute
Y'en a ça se voit
Je vous jure ils ont même pas peur
Mon Dieu je donnerai une couille
Pour être des leurs
Débouler dans la vie
Tel un kéké sur un jet ski
Badaboum
Peu d'abus pas d'habits
Tout dans le regard
Je me vois d'ici
Moi si jamais on me dit qu'on m'aime
Pourquoi tout ce que j'entends
C'est t'es qu'une merde
Mais j'avance en séance avec mon psy
J'suis pas tout seul à être tout seul
Je l'ai enfin compris
Et j'me dis que je m'inquiète pour rien
Et je gobe 20 milligrammes
Tous les matins
Et j'me dis que je m'inquiète pour rien
Dans mon immeuble
À faire pareil on est combien
Si y'avait moins de connards
Si y'avait moins d'horreur
J'suis tout bouffé de complexes
Mais le contexte m'écœure
Je vis dans un téléphone
Plus intelligent que moi
Quand il est sur vibreur
Je suis sur marteau piqueur
J'essaye de mettre des baignes à mon désespoir
J'démêle le vrai du faux
Même le contradictoire
J'ai ma vie cognitive
Ma psychanalyse
Tenez bon
Lâchez prise
J'aime bien qu'on me le dise
Docteur grosse prime si on me bute ma déprime
Si on me la renvoie bim au fond des Abymes
Je veux plus retrouver un cheveu de cette pute sur mes fûtes
Jusqu'ici j'ai préféré être un enfant qu'un adulte
C'était bien plus fastoche, les mains sur mon bicross
Je le vois maintenant que j'avance dans la crasse à coups de pioche
Maintenant que l'angoisse a pénétré mes méninges
Oui tout à fait un peu comme Ariel au cœur du linge
Je déteste qu'on me demande : "Ouh là ça va toi ?"
Et je déteste qu'on s'inquiète pour moi
Qui qu'a tout bousillé mon plexus solaire?
À faire pareil on est combien"
Qui qu'a mis "peut mieux faire" sur mes bulletins scolaires
Et j'me dis que je m'inquiète pour rien
Et je gobe 20 milligrammes
Tous les matins
Et j'me dis que je m'inquiète pour rien
Dans mon immeuble"
*****
Benoît Doremus 🎵
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Critique - Les Annales du Disque-Monde: Le Faucheur
Bonjour à tous.
Étant un grand fan de fantasy, je me suis récemment intéressé aux Annales du Disque-Monde, de Terry Pratchett. Et… je ne m'attendais pas à ça il faut dire. J'ai commencé par Le Faucheur (sans savoir qu'il s'agissait du 11e tome, mais bon…). Alors de quoi s'agit-il ?
Et bien comme dit précédemment, Les Annales du Disque-Monde est une série de romans de fantasy écrits par Terry Pratchett et dont Le Faucheur en est le 11e tome. Il est publié pour la première fois en 1991 et sort chez nous en 1998. Le traducteur, Patrick Couton, en obtiendra même le Grand Prix de l'Imaginaire la même année.
L'histoire raconte qu'un jour, la mort découvre qu'il a été mit à la retraite et qu'il est donc maintenant mortel. Il va donc profiter du temps qu'il possède à présent pour vivre comme un mortel en attendant la Nouvelle Mort. Il va alors vivre à la ferme de Mme Trottemenu sous le nom de Pierre Porte en tant que moissonneur (pour 6 sous à la semaine).
Pendant ce temps, Vindelle Pounze, le plus vieux des mages, s'apprête à mourir sous les yeux de ses collègues de l'Université de l'Invisible. Et lorsque vint le moment fatidique, rien, il reste vivant. Il va donc tenter de trouver un moyen de mourir avant de rejoindre le Club du Nouveau Départ où d'autres morts-vivants partagent la même expérience.
Et les membres de l'Université, dépassés par les événements, tenteront de comprendre ce qu'il se passe.
Tout d'abord, comme je l'ai dit auparavant, ce fut pour moi une introduction à l'univers du Disque-Monde, et je ne fut pas déçu du tout. J'ai directement accroché à ce monde et son humour absurde, car oui, il y a énormément d'humour dans cette histoire.
Pour en revenir à l'univers en question, je ne savais rien avant de lire, mais il m'a fournit suffisamment de détails pour que je comprenne où j'étais et ce qu'il s'y passe, sans pour autant me vomir un lore indigeste pendant 3 chapitres comme le font beaucoup trop de livres. Et même si j'ai effectivement commencé par le 11e tome, je n'ai pas ressenti le besoin de lire les tomes précédents pour comprendre le Disque-Monde (bien que je vais quand même le faire).
Les personnages de l'histoire sont tous attachants. Mais celui qui m'a le plus touché est la Mort, qui arrive dans un monde totalement inconnu pour lui, alors qu'il l'a vu durant des millénaires, et qui le découvre sous un nouvel angle. En lisant son histoire, je voulais qu'il puisse vivre heureux à la ferme de Mme Trottemenu, même si son destin était déjà scellé. Sinon, on peut également citer Modo le jardinier, qui semble s'en foutre complètement de tout les événements improbables qui se passent actuellement, ou encore de Mlle Cake et son don de prémonition qui lui fait répondre une phrase avant qu'on ne lui pose la question (ce qui est un vrai mindfuck). Même si pour la plupart des personnages, je voulais simplement savoir quelle genre de situations invraisemblable pouvait leur arriver. Ce qui m'a fait le plus rire est le combat qu'on dut mener les mages de l'Université contre un tas de fumier mort-vivant (oui vous avez bien lu).
Le rythme de l'histoire est rapide sans pour autant l'être trop, nous laissant suivre les histoires de chacun sans nous perdre, alors qu'on suit quand même trois points de vue différents, ce qui peut facilement rendre fou quand c'est mal écrit (ce qui n'est pas le cas ici). Pas de chapitre, pas d'acte, juste un changement de position à chaque événement pour laisser chacun vivre sa petite histoire.
Les « entités supérieures » (elles n'ont pas de noms exact, sauf si je me trompe) ont toutes une manière spéciale de s'exprimer. Par exemple, Pierre Porte parle en petites capitales, les anges (ou du moins ce qui est présenté en tant que tel) s'expriment via le narrateur et Azraël prend littéralement une page entière pour dire un seul mot. De plus, lorsqu'ils sont là, on ressent une telle prestance de leur part qu'on comprend tout de suite leur puissance, et qu'ils sont pas là pour déconner. Mention spéciale à la Faux de la Mort qui est si puissante qu'elle peut même trancher du texte.
Mon seul problème avec ce livre, c'est sa problématique (c'est un comble vous allez me dire) car le fait que personne ne meure ne semble poser problème qu'aux personnages principaux, alors que le phénomène est décrit comme général. J'aurais bien aimé que Vindelle ou même directement Pierre Porte tombe sur d'autres touchés par l'impossibilité de mourir, mais les seuls autres morts-vivants qu'on rencontre sont ceux du Club du Nouveau Départ. Mais c'est le seul point noir que j'ai relevé.
En clair, c'est un excellent livre que je conseille à tout ceux qui ne l'ont pas encore lu, et j'encourage tout ceux qui n'ont pas encore découvert Les Annales du Disque-Monde à prendre d'assaut leur librairie préférée pour en obtenir la collection.
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TCF Canada- Expression Orale- Partie 2 (Dialogue)- Inscription à la Bibliothèque
Situation : Je travaille dans une bibliothèque. Vous aimeriez vous inscrire. Vous m’interrogez sur le fonctionnement de la bibliothèque (conditions d’inscription, programmation culturelle, horaires, etc.)
SAMPLE DIALOGUE :
Hugo : Bonjour ! Je suis très intéressé par l'inscription à votre bibliothèque, mais je ne sais pas exactement comment cela se passe. Pourriez-vous m'expliquer les étapes à suivre ?
Bibliothécaire : Bonjour ! Vous devez remplir un formulaire, fournir une pièce d'identité et un justificatif de domicile. C'est tout à fait gratuit.
Hugo : Je vois. Donc, il n'y a pas de frais d'inscription. Est-ce qu'il y a des conditions spécifiques à respecter, comme un âge minimum ou des critères particuliers ?
Bibliothécaire : Non, pas de conditions spécifiques, sauf les documents requis. Les enfants doivent être accompagnés d'un adulte pour leur première inscription.
Hugo : Très bien, c’est clair. J'ai entendu parler de votre programmation culturelle. Pourriez-vous me donner un aperçu des types d'événements que vous organisez ? Je suis particulièrement intéressé par les conférences et les ateliers.
Bibliothécaire : Nous organisons des conférences, des ateliers, des projections de films et des lectures publiques. Vous pouvez voir le programme détaillé sur notre site web.
Hugo : Super ! Est-ce que ces événements sont généralement gratuits ? Et y a-t-il des frais pour les ateliers ?
Bibliothécaire : La plupart des événements sont gratuits. Certains ateliers peuvent nécessiter une petite contribution pour couvrir les frais.
Hugo : D'accord, je comprends mieux. Maintenant, j'aimerais savoir quels sont vos horaires d'ouverture. Est-ce que vous avez des horaires spéciaux pour certaines périodes de l'année, comme les vacances scolaires ?
Bibliothécaire : Nous sommes ouverts du lundi au vendredi de 9h à 18h, et le samedi de 10h à 17h. Nous sommes fermés le dimanche. Pendant les vacances scolaires, les horaires peuvent changer, donc vérifiez notre site web.
Hugo : Merci pour cette précision. En ce qui concerne les prêts de livres, est-ce qu'il y a des restrictions sur le nombre de livres que l'on peut emprunter ou sur la durée des prêts ?
Bibliothécaire : Vous pouvez emprunter jusqu’à 10 livres à la fois pour une période de 3 semaines. Vous pouvez prolonger la durée si personne d'autre n'a réservé le livre.
Hugo : Parfait, tout semble très bien organisé. Merci beaucoup pour toutes ces informations !
Bibliothécaire : Avec plaisir ! N’hésitez pas à revenir si vous avez d’autres questions. À bientôt !
Hugo : À bientôt, merci encore !
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1. Le monde avant 6h du matin: le chant des oiseaux, le doux lever du soleil, la nuit et les étoiles, le silence... Comme une parenthèse pour moi-même.
2. Mon Monsieur: son odeur de biscuit à son réveil, ses câlins, son rire...et quand il danse, woaw. Y a trop à dire.
3. Lire: depuis que je sais lire, c'est un peu un cocon.
4. La pluie: je suis une fille de l'automne, j'adore son bruit, son odeur, sa lumière, je passe ma vie les fenêtres ouvertes à la regarder et à la sentir.
5. Chanter: je le fais presque plus, ça me manque tellement, et c'est mon seul talent. Sauf que si je sais qu'on peut m'entendre, j'ose plus.
6. Bon je triche un peu, mais je peux pas parler de ce qui me rend heureuse sans parler de musique classique: j'en écoute tout le temps, j'en ai chanté pendant 10ans, et j'ai un amour fou pour Henry Purcell, Hayden, Beethoven mais aussi Max Richter, Hans Zimmer, Howard Shore, Joe Hisaishi... Sandrine n'est pas Sandrine sans musique classique (et de films, séries, jeux vidéos....) bref vous avez compris.
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Jésus Christ… il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a pas non plus d’autre nom sous le ciel, qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés. Actes 4. 10, 12
[Nous avons] une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints par le sang de Jésus. Hébreux 10. 19
✅ Pass salutaire
Nous avons peut-être été confrontés à l’interdiction d’entrer dans un lieu public parce que nous n’étions pas en mesure de présenter notre “pass sanitaire”. Quelle déception ! Que ce soit par oubli ou volontairement, ne pas avoir de pass m’interdisait de franchir la porte.
Faisons un parall��le avec un sujet très sérieux : il n’est pas possible d’entrer dans la présence de Dieu sans la foi en Jésus Christ. La Bible dit que c’est en lui seul que se trouve ce droit d’entrée. “À tous ceux qui l’ont reçu, il leur a donné le droit d’être enfants de Dieu, c’est-à-dire à ceux qui croient en son nom” (Jean 1. 12). Jésus seul nous lave de nos péchés qui nous interdisent l’accès à Dieu. Par le sacrifice de son Fils à la croix, Dieu accorde son pardon et ouvre le chemin vers lui. La démarche à suivre est claire : je crois en Jésus, mort et ressuscité pour moi, et je possède ce “pass” si précieux ; par contre, si je néglige ce moyen, je n’en ai pas…
Peut-être trouvez-vous cette affirmation trop tranchée… sauf que ce “pass”, cette lettre de grâce, attribuée à tous ceux qui l’acceptent, a nécessité les souffrances expiatoires du Fils de Dieu et sa mort. Marques d’un amour infini de la part de Dieu et de son Fils.
Lisez la Bible, en demandant à Dieu qu’il vous éclaire. Son message de grâce est pour moi, comme pour vous. Vous y trouverez ce texte de l’apôtre Jean : “Tout cela, je vous l’ai écrit afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu” (1 Jean 5. 13).
⦁ Lundi 8 juillet 2024
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Sonde-moi, ô Dieu ! et connais mon cœur ; éprouve-moi et connais mes pensées. Regarde s’il y a en moi quelque voie de malheur, et conduis-moi dans la voie éternelle. Psaume 139. 23, 24
✅ Fuite d’eau
Notre maison était ancienne et des taches apparaissaient sur un mur du salon. Suivant les conseils de nos amis, j’avais repeint le mur avec différentes peintures de bonne qualité. Mais les taches revenaient toujours. Alors que j’envisageais de démolir une partie du mur pour identifier le problème, certains de mes amis essayèrent de me dissuader, préférant critiquer la peinture, ou ma manière de l’appliquer ! Finalement, je m’attaquai au mur : une partie du plâtre s’effrita. Puis je découvris une canalisation défectueuse au niveau du plafond, et en essayant de l’atteindre, j’abimai un fil électrique. Maintenant il me fallait refaire une partie du circuit électrique et réparer le plafond. Ces travaux, a priori simples, ont pris du temps, avec des coûts imprévus… mais les taches avaient disparu !
Est-ce que cela n’illustre pas nos vies parfois ? Une mauvaise habitude, une addiction, une faute qui se répète souvent : nous prenons de bonnes résolutions, nous faisons toutes sortes d’efforts, mais rien ne change… parce que nous passons légèrement dessus, sans aller en profondeur. Reconnaissons sincèrement devant Dieu nos erreurs, nos faiblesses, nos lâchetés, n’essayons pas d’être celui ou celle que nous ne sommes pas. Demandons à Dieu de nous montrer les causes profondes de nos écarts. Ce sera peut-être douloureux sur le moment, mais il y aura ensuite des résultats très positifs pour notre vie chrétienne.
⦁ Mardi 9 juillet 2024
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Lundi 8 juillet 2024
Jésus Christ… il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a pas non plus d’autre nom sous le ciel, qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés.
Actes 4. 10, 12
[Nous avons] une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints par le sang de Jésus.
Hébreux 10. 19
Pass salutaire
Nous avons peut-être été confrontés à l’interdiction d’entrer dans un lieu public parce que nous n’étions pas en mesure de présenter notre “pass sanitaire”. Quelle déception ! Que ce soit par oubli ou volontairement, ne pas avoir de pass m’interdisait de franchir la porte.
Faisons un parallèle avec un sujet très sérieux : il n’est pas possible d’entrer dans la présence de Dieu sans la foi en Jésus Christ. La Bible dit que c’est en lui seul que se trouve ce droit d’entrée. “À tous ceux qui l’ont reçu, il leur a donné le droit d’être enfants de Dieu, c’est-à-dire à ceux qui croient en son nom” (Jean 1. 12). Jésus seul nous lave de nos péchés qui nous interdisent l’accès à Dieu. Par le sacrifice de son Fils à la croix, Dieu accorde son pardon et ouvre le chemin vers lui. La démarche à suivre est claire : je crois en Jésus, mort et ressuscité pour moi, et je possède ce “pass” si précieux ; par contre, si je néglige ce moyen, je n’en ai pas…
Peut-être trouvez-vous cette affirmation trop tranchée… sauf que ce “pass”, cette lettre de grâce, attribuée à tous ceux qui l’acceptent, a nécessité les souffrances expiatoires du Fils de Dieu et sa mort. Marques d’un amour infini de la part de Dieu et de son Fils.
Lisez la Bible, en demandant à Dieu qu’il vous éclaire. Son message de grâce est pour moi, comme pour vous. Vous y trouverez ce texte de l’apôtre Jean : “Tout cela, je vous l’ai écrit afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu” (1 Jean 5. 13).
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La Bible
[Quelle meilleure méthode, pour se forcer à la lire en entier, que de la réécrire patiemment ? Cette tâche s'interrompra d'elle-même quand elle devra cesser, si et seulement s'il le faut vraiment. Entreprise amusante et instructive. Quentin Cavellier.] - Les frères de Joseph (suite) Jacob, se résignant à voir partir l'ensemble des fils qu'il lui restait, s'en remit à l’Éternel, espérant que ses enfants lui reviendraient sains et saufs, acceptant l'éventualité de les perdre tous. En Égypte, les fils affamés de Jacob se présentèrent devant Joseph qui, satisfait de voir Benjamin parmi eux, donna des instructions à son intendant : - Hâte-toi de tuer des bêtes et de les cuisiner en plats délicieux, car ces hommes qui viennent d'arriver sont mes invités. Ils vont festoyer à mes côtés, dans ma maison. Les fils de Jacob, qui étaient simplement venus acheter du blé, prirent peur en se voyant soudain conduits au domicile de Joseph sur ordre de ce dernier : - C'est à cause de l'argent que nous avons retrouvé dans nos sac de voyage lorsque nous sommes venus la première fois, ces sommes qui devaient servir à payer notre nourriture et qui nous ont été rendues par erreur ! supposèrent-ils. Sans doute nous soupçonne-t-on d'avoir été malhonnêtes en remportant avec nous le prix du blé que nous étions venus acheter. En représailles, on va sûrement se jeter sur nous, nous priver de nos ânes, et faire de nous des esclaves ! Sur le seuil de la maison de Joseph, tout à leurs craintes, torturés par leur imagination, se croyant perdus, ces hommes apeurés s'adressèrent à l'intendant qui les escortait, désireux qu'ils étaient de lui prouver leur honnêteté sans que rien de tel ne leur ait été demandé : - Lors de notre précédente venue en pays d’Égypte, nous avons trouvé, dans nos sacs de voyage, tout l'argent qui nous avait servi à acheter du blé sans que nous sachions par quel tour de passe-passe il a pu nous être restitué. Nous sommes prêts à rendre cet argent, bien sûr ! Et nous avons apporté de quoi payer d'autres sacs de blé ! - N'ayez aucune crainte, répondit l'intendant. La dernière fois, votre argent m'est bien parvenu, en paiement des sacs de blé. L'argent que vous avez retrouvé dans vos bagage est sans nul doute un cadeau que vous a fait votre Dieu, celui que votre père honore. Et sur ces mots, l'intendant alla chercher Siméon qui croupissait en prison. Ainsi, tous les frères de Joseph pénétrèrent ensemble dans sa belle demeure égyptienne. Ils y reçurent de l'eau pour faire leurs ablutions et leurs ânes furent servis en fourrage. Comme il leur avait été annoncé que Joseph les rejoindrait à midi, afin de partager un grand repas avec eux, ils apprêtèrent le cadeau que leur père leur avait ordonné de lui offrir, un bel ensemble de victuailles de myrrhe et de baume du pays de Canaan.
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L'interminable cauchemar du covid, hyper-scandale d'Etat (suite)
On me dit que certains pourraient s'étonner de mon édito de pub' pour ''Les Apprentis sorciers'' signé par ma fille –qui caracole en tête du hit parade, devant Musso, Lévy, Zemmour, etc... (source : La FNAC, ''5 sur 5'', ce matin : le mieux noté et le plus vendu.). Désolé (pas vraiment!) pour les rétrogrades : une page se tourne, la leur. Vive la vérité... et la justice immanente. Cela dit, je ne trouve pas ''choquant'' qu'un père parle de sa fille... mais je vais me racheter tout de même : avez-vous lu ''Covid 19 – Ce que révèlent les chiffres officiels'', de Pierre Chaillot ? Si ''non'', allez vite l'acheter : c’est le complément utile à ''Les Apprentis sorciers'' !
Cette complémentarité a une explication : Alexandra Henrion-Caude a consacré 25 années à étudier l'ARN-messager, et elle n'a écrit ce livre que pour expliquer à tous les faux gourous-de-plateau, urologues ou oto-rhinos sans patientèle (qui sont donc hyper-compétents en génétique !) les risques que courrait l'humanité si les choses tournaient dans un mauvais sens... Pierre Chaillot est compétent dans un autre domaine : la statistique... et il a aussi été entraîné par l'obligation de rétablir des vérités déformées par des donneurs de leçons peu scrupuleux. L'une explique la teneur du mensonge et l'autre la manière de l'imposer. Ils ont en commun que le système n'a à leur opposer qu'insultes, ostracisme, boycott et exclusion....
Qui n'a pas vu, sur les chaînes du ''Sévice Public'', Michel Cymès et Laurent Alexandre le visage déformé par la haine, ne peut pas comprendre ! Comme Alain Fischer dans le Figaro, ou Rohart sur Télématin, ils hurlent ''je ne parle pas à des gens qui ne pensent pas comme moi''. L'autodafé n'est pas loin : déjà, ils en sont à ''il faut priver les déviants de parole !'', au nom de la Science et de la Démocratie. Faut-il qu'ils n'aient rien à dire pour n’être que véhéments, bêtes et méchants ! Ces gens-là sont une énigme : le temps qui passe et tout ce qu’on apprend est sans effet sur eux. En fait, le reproche de ''complotiste'' n'est qu'une autre forme du ''c'est çui qui l'dit... qui l'est'' des cours d'école maternelle. Comme Macron, ils sont sourds. Résultat : les français, surpris par cette violence injustifiée et ce déni du réel, les écoutent... et se précipitent pour acheter le livre... qui bat ainsi tous les records du genre, grâce à eux. Merci, les nuls ! Continuez surtout : ça fait avancer la vérité ! Contre vous. Et c'est très bien comme ça !
Revenons à nos moutons : personne n'a oublié cette pub (stupide et sans doute coûteuse !) : ''On peut discuter de tout, sauf des chiffres'' –bobard XXL s'il en est : les chiffres ont peu d'autre utilité que d'être discutés, comparés, expliqués, interrogés... Par exemple, si Pierre Chaillot dénonce le récit officiel cataclysmique, c'est ''chiffres et graphiques à l'appui''. Et s'il écrit ''Mortalité, tests, vaccins, essais cliniques, saturation des hôpitaux... les autorités ont tout utilisé pour jouer sur nos peurs et nous soumettre à l'inacceptable'', nous découvrons, stupéfaits, que ''Sitôt la pandémie déclarée, le 20 février 2020, le gouvernement a appliqué le plan Orsan REB qui habilitait 38 hôpitaux (sur 1500) à recevoir des patients étiquetés ‘’Covid''.
Nous avons donc été saoulés d'images d'hôpitaux noyés sous les cas de covid... pendant que l'activité des autres, jamais montrés aux JT, baissait --parfois de 50 %... ce qui explique (1)- pourquoi on continuait à supprimer des lits, ailleurs, (2)- pourquoi il fallait transférer les malades à l'autre bout du pays, à grands frais, alors qu'il y avait, à un ou deux jets de pierre, tous les équipements privés ou publics nécessaires et (3)- pourquoi il n’y avait que ...38 ''Experts-du-20-heures'' qui venaient pleurnicher sur nos écrans, en espérant un vaccin, leur seul espoir de mettre la tête hors de l'eau... Les médias ont été ridiculisés et nous, pris pour des pommes pendant 3 ans (à ce jour), à ceci près que eux n'ont toujours pas compris !
Autre monstruosité : ''Les consignes officielles étaient très claires : ''En cas de maladie avérée, prenez de la Doliprane et restez chez vous. Si votre état empire, appelez le 15''. On a interdit aux médecins de ville de soigner... et ''les malades arrivaient à l'hôpital dans un état lamentable... tandis que les patients victimes de crises cardiaques, terrorisés, restaient chez eux et y mouraient...''. Plus horrible encore : ''le 23 mars 2020 a été signé le criminel ''décret Rivotril'' qui intimait aux médecins l'ordre d'injecter ce produit à toute personne âgée qui présentait des difficultés respiratoires, ‘’sans même en prévenir les proches’’... alors que la notice du ''Vidal'' précise que ce produit ne doit jamais être prescrit en cas d'insuffisance respiratoire, le risque étant mortel''. (NB : qui a crié ‘’tout ��a n’est pas vrai‘’ ?)
Un seul et ultime argument reste disponible aux ''patho-vax'' : une ''protection des cas graves''. (NDLR – ''Patho-vax'' est un mot que j'ai inventé : pourquoi ne pas les qualifier de ce qu'ils sont, eux, alors qu'ils ont affublé d'un ''anti-vax'' mensonger des gens qui ne sont anti-rien ?). Mais ce ''les cas graves'' est faux, comme tout le reste : ''aucun des essais cliniques reportés par Pfizer et Moderna n'a porté sur la protection des ''formes graves'', et nous avons tous connu des tri- ou des quadri-vaccinés qui sont morts de covid grave. Mais les labos, eux, ''ne cherchaient qu'à protéger d'un test positif'' (sic !). Donc...''on testait très peu les vaccinés et beaucoup les non-vaccinés... ce qui a fabriqué la légende du ''il y a plus de morts chez les non-vaccinés'', les chiffres actuels disant au contraire qu’il y aurait un peu plus de morts chez les vaccinés –chez Pfizer, en tout cas.
Leur absurde ''pass-sanitaire'', tellement infantilisant, humiliant, liberticide et inconstitutionnel (voir Fabius, habillé pour l'hiver, ci-après) a considérablement aggravé cette situation : ''les vaccinés n'avaient plus besoin de rien, mais les non-vaccinés avaient besoin d'un test pour boire un café, aller aux toilettes ou traverser la rue'', et il y avait donc, arithmétiquement, plus de positifs chez les non-vaccinés. Au seul souvenir de la psychose qui avait été inoculée de force à tous les braves gens et des tsunamis de contre-vérités déversés ''H 24'', on ne doit plus jamais croire un seul mot proféré par un seul de ces ''serial-menteurs'' devenus, par la loi des nombres, des assassins... Et Chaillot de conclure : ''la seule chose dont ce vaccin protège, c'est de faire un test''. Bravo, les mecs ! Ca, c’est du costaud !
Mais la terreur imposée et les menaces brandies étaient si violentes qu'il a fallu 2 ans pour qu'on ose commencer à dire ce qui était évident –car ceux qui ont ''ouvert leur gueule'' l'ont payé d'une ''mort sociale''... Pierre Chaillot confirme que le Conseil constitutionnel a validé la constitutionnalité de lois parfaitement liberticides (tout en rappelant que le job du fils de Fabius chez McKinsey ne serait pas étranger à cet autre scandale...)... ce qui fait aussitôt penser aux scandaleux ''feux verts'' du pseudo comité d'éthique (?), qui déclarait ''conforme'' tout ce qui venait d'en haut, fut-ce totalement amoral... et aussi au récent rachat de PornHub, le 1er site porno au monde, par le fonds d’investissement canadien Ethical Capital Partners, qui investit ‘’dans les secteurs exigeant des principes éthiques" (sic, dans ces 3 cas !).
La vérité, c'est qu'il n'y a pas eu de surmortalité et aucune des hécatombes annoncées en 2020, en 2021, si ce n'est, ''des hausses de mortalité suspectes, tombant pile au moment des campagnes de vaccination, dans tous les pays et pour toutes les tranches d'âge...'' ce qui est à l'exact opposé de tout le discours officiel des Philippulus qui prêchent l'apocalypse, aujourd'hui encore ! ''Le seul constat indiscutable, c'est que les courbes de mortalité et de vaccination se suivent''... dit Chaillot, ce qui est en faveur de l'abandon de toute vaccination. On n’en est pas là !
Mais ''il reste interdit de critiquer la vaccination : l’omertà est totale’’.. Dire une chose à contre-courant du discours officiel sur le covid vous étiquette ''complotiste'' et fait de vous un gibier pour l'engeance néfaste, inutile et mortifère des soi-disant ''fact-checkers''. (NB - ces gens-là sont des ignares absolus sur tout sujet, ce qui les autoriserait (?) à raconter n'importe quoi : leur méthode consiste à sélectionner un seul ''fait'' (un bruit de caniveau fera l'affaire, s'il va dans leur bon sens), à l'ériger en ''vérité incritiquable'', et à imposer cette vision réductrice, contre des gens qui ont passé toute leur vie à étudier les mille facettes, nuances et complexités de la chose en question. Mais comme ils ne sont pas complètement fous, il n'existe, dans leur univers pourri, ni droit de réponse, ni discussion, ni références. C'est la vengeance des nuls sur ''ceux qui savent vraiment''. Il y en a une, hier, qui expliquait doctement (?) que Sarkozy aurait menti devant le Sénat ! On en revient, toujours, à Michel Audiard : ''Les cons, ça ose tout... et c'est même à ça qu'on les reconnaît !''.
Et ce n’est pas les lecteurs de l’Express qui vont ne pas reconnaître leur magazine dans cette jolie citation, cette semaine... encore que ses journalistes, totalement dépassés par ce qui se passe aux Etats-Unis, où la vérité éclate plus vite qu’en France (liberté oblige !) soient plutôt des adeptes du ‘’Quand on veut noyer son chien, on dit qu’il a la rage’’. Les chiens aboient, la caravane passe... Pauvres petits journaleux français qui n’ont pas vu que le confinement était terminé... Pour un Gérald Kierzec (Directeur médical de Doctissimo) combien de ces défenseurs d’époques révolues où la science se soumettait aux idioties du pouvoir politique ?
Résumé : aux Etats-Unis la vérité éclabousse peu à peu les mensonges et les peurs fabriquées de ces trois longues années, et on découvre... qu'il suffisait de ne rien faire de tout ce qui a été perpétré ! Il reste une question : a qui profitent ces crimes ? En France, on en est encore aux mensonges, aux interdits, et aux insultes ! Une chose est certaine : ‘’c’est pas demain’’... que vont changer les discours et les pratiques... pour notre plus grand malheur ! Pauvre France !
H-Cl.
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Comment prévenir contre les attaques de hackers contre les centres hospitaliers en 2024 Les hôpitaux français cible des hackers Russes La cybersécurité des centres hospitaliers est d'une importance vitale, étant donné que les systèmes de santé stockent des informations médicales sensibles et critiques pour la vie des patients. Voici quelques mesures clés pour prévenir les cyberattaques dans les centres hospitaliers : cyberattaque la meilleure défense c'est: Sensibilisation et formation du personnel : Former le personnel aux meilleures pratiques en matière de cybersécurité est essentiel. Cela inclut l'identification des tentatives de phishing, l'utilisation sûre des mots de passe, et la reconnaissance des menaces potentielles. Mises à jour et patchs : S'assurer que tous les systèmes informatiques, logiciels et dispositifs médicaux sont régulièrement mis à jour avec les derniers correctifs de sécurité pour combler les vulnérabilités connues. Segmentation du réseau : Diviser le réseau informatique en segments distincts et restreindre l'accès en fonction des besoins. Cela limite la propagation des attaques en cas de compromission d'un segment. Surveillance et détection des menaces : Mettre en place des systèmes de surveillance des réseaux pour détecter les activités suspectes ou les tentatives d'intrusion. L'utilisation de solutions de détection d'intrusion et de gestion des événements de sécurité (SIEM) peut aider à repérer les comportements anormaux. Cryptage des données : Chiffrer les données sensibles stockées sur les serveurs, les appareils médicaux et les supports de stockage pour empêcher l'accès non autorisé. Gestion des accès : Mettre en œuvre des politiques strictes de gestion des accès pour limiter l'accès aux informations médicales uniquement aux personnes autorisées. Utiliser l'authentification à deux facteurs lorsque cela est possible. Sauvegarde et reprise après sinistre : Effectuer régulièrement des sauvegardes de données et élaborer des plans de reprise après sinistre pour garantir la disponibilité et l'intégrité des données en cas d'attaque ou de catastrophe. Partenariat avec des experts en cybersécurité : Collaborer avec des entreprises spécialisées en cybersécurité pour évaluer régulièrement les risques, conseiller sur les meilleures pratiques et fournir une réponse rapide en cas d'incident de sécurité. hackers contre les centres hospitaliers en 2024, ça va être terrible En appliquant ces mesures de manière proactive, les centres hospitaliers peuvent renforcer leur posture de cybersécurité et protéger efficacement les données médicales sensibles de leurs patients. Prix d'un Audit de sécurité de site Internet, Exemple de prix de Mises aux Normes de sécurité Web, Prix de d'une réparation suite à des attaques de site Web. Pour votre compréhension, quand vous allez chez un garagiste pour votre véhicule qui est en panne, vous avez besoin de savoir si c’est possible de faire les réparations ? le prix des réparations ? quand c’est possibles de les effectuer ? Avoir des contrôles techniques permanent ou ponctuel, par des Audit de Sécurité? un entretien régulier combien ça coute ? Nous sommes dans les mêmes besoins sauf que les spécialistes sont plus rares et que leurs niveaux d’études sont beaucoup plus importants. Parfois, il y a peu de chose à réaliser donc les prix sont moindre, d’où une demande de devis. Si vous effectuez les travaux chez nous, nous prendront en considération l’Audit de Sécurité à auteur de 50% de sa valeur en déduction sur votre facture. Voir pour des développements spécifique
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