#sauf si vous avez le pass
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Y a le nouveau chef de rayon il était pas la quand j'ai fais ma colo vue que c'est un alternant et la il ma vue et le boug ma toucher les cheveux??? En disant que c'est jolie (certes il a raison) mais esh qui t'as cru être pour me toucher?? IL MA PAT PAT! J'ai envie de vomir-
#les gens tactile calmez vous#si vous avez pas mon passe me toucher pas#le regard que je lui ai lancer#le pire cest que je pense quil a quanf meme pas capter que ca mavait mis mal a laise??#j'ai aussi un client regulier qui maintenant veut que ce soit particulièrement moi qui le conseil#gentil en soit hein#SAUF QUE LE BOUG IL FAIS TROP DE CONTACT#vasy qu'il s'appuie sur mon avant bras ou mon epaule??#une fois il a meme rigoler et en rigolant il cest appuyer limite sa tete sur mon epaule#ENVIE DE CREVER#ME TOUCHER PAS PUTAIN#sauf si vous avez le pass#y a que Daphné qui a le supra pass#sinon 4 personne ont le pass Ok +#3 ont le pass moyen#et 3 ont le pass mais ça ferais chelou car eux comme moi on aime pas ça#LE RESTE VOUS DÉGAGER OK ME TOUCHER PAS#kenshi's life
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The Article Anon was talking about.
Plus vue en France depuis mai dernier, Gabby Williams (1,80 m, 27 ans) vient d'effectuer un retour tonitruant sur les parquets après trois mois sur le flanc (fracture de fatigue au pied) : flamboyante dimanche dernier contre Basket Landes (27 points, 4 rebonds, 5 passes), puis décisive lors de la première victoire de l'Asvel en Euroligue face à Lublin mercredi (73-72). Avant d'affronter Villeneuve-d'Ascq, leader invaincu du Championnat (7 victoires), l'ailière internationale, plus vue en équipe de France depuis un an (forfait pour l'Eurobasket), a confié à L'Équipe sa volonté - et la nécessité - de monter en puissance. Tant en club que chez les Bleues - désormais affranchies de l'affaire Johannès - afin de viser haut aux JO de Paris.
« Après trois mois sans jouer, votre retour a coïncidé avec deux victoires importantes pour l'Asvel. La saison est enfin lancée ?
J'étais un peu surprise que ça se passe aussi bien. Pendant mon absence, j'avais fait en sorte de travailler pour être tout de suite prête à rejouer. Je le devais à mes coéquipières. Je pense que je ne me suis jamais sentie autant en forme.
C'est plutôt une bonne nouvelle pour votre club, qui jusque-là a souffert des absences et pourrait le payer dans ses objectifs ?
Cette équipe est plus forte que l'année dernière. Elle est capable d'assumer ses ambitions et toutes les filles sont obnubilées par la victoire et mettent les ego de côté. On sait qu'il va nous falloir être quasi parfaites chaque soir. À moi de continuer à montrer la voie et de transmettre à la fois le goût de la victoire et la haine de la défaite. Quelque chose de très américain peut-être, ou en tout cas pas assez cultivé en France.
Un état d'esprit que vous allez, sauf surprise, ramener en équipe de France en février prochain ?
C'est au programme, oui ! J'ai vraiment envie de retrouver la sélection. C'est même une nécessité, il n'y aura pas d'autre rendez-vous avant la préparation des Jeux. Reprendre mes marques avec le groupe est primordial.
Les frustrations de la fin de saison dernière et de l'Eurobasket, que vous avez manqués, sont loin derrière ?
C'était tellement déprimant ! Et mentalement si dur à vivre. Il faut se rendre compte de tout ce qu'on donne en cours de saison pour pouvoir vivre ces moments de gloire. Je n'ai pas pu fêter le titre avec Lyon. Puis je me suis retrouvée toute seule pendant six semaines afin de me soigner. Quand on m'a annoncé le temps de convalescence, j'ai compté les jours jusqu'à l'Euro. Et quand j'ai compris que j'allais le manquer, j'en ai pleuré. Retrouver mes proches à Seattle (en WNBA) cet été m'a fait beaucoup de bien.
« Il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner »
Vous reviendrez chez les Bleues avec Marine Johannès, dont l'affaire de son absence de l'Euro semble digérée ?
Il fallait que chacun assume ses choix, ses décisions. C'est du passé, oui. La suite arrive vite et on a tous le même objectif : gagner à Paris. A priori, personne ne souhaite nous voir échouer aux Jeux. Donc mettons tout ça de côté ou derrière et allons de l'avant.
Le mois dernier, sur les réseaux sociaux, vous aviez pourtant publié un message, fort, de soutien à votre coéquipière...
(Elle coupe.) C'était dans la foulée de sa défaite en finale WNBA avec New York. Aucun rapport avec les Bleues ou la Fédération. Je l'admirais avant même de la côtoyer. Quand je l'ai vue pour la première fois je me suis dit : il n'y a aucune autre fille comme elle dans le monde. Je le répète souvent, j'ai l'impression qu'on ne se rend pas assez compte de toute ce qu'elle apporte au basket français, tout comme du niveau d'exposition auquel elle est confrontée. Pour en revenir au message, j'étais simplement déçue pour elle. Ce n'est un secret pour personne que nous sommes très proches. J'ai donc vu ce que les gens ne voient pas en coulisses, l'abnégation dont elle a fait preuve pendant ces mois difficiles. Vous avez vu son émotion après le titre en Ligue féminine non ? Mais ce message, j'aurais pu l'écrire pour n'importe laquelle de mes coéquipières.
Avez-vous regardé l'Euro ? Va-t-il falloir rattraper le temps perdu en vue des Jeux ?
Je n'étais pas dans le groupe, donc je n'ai pas à juger. On s'est beaucoup focalisé sur ce qui manquait à cette équipe plutôt que ce dont elle disposait. Nous avions tout ce qu'il fallait. Pour la deuxième question, c'est en partie vrai. Personne ne veut aller à l'autre bout du monde en février (pour le TQO en Chine), on préférerait se reposer. Mais c'est indispensable car il faut cultiver cette envie de tout jouer et de tout gagner. Je veux gagner une médaille avec la France. Mais c'est trop facile pour les joueuses ou la Fédération de dire qu'on veut gagner ou qu'on vise l'or. Tout le monde voudrait l'or, non ? Il reviendra à ceux qui auront tout mis en oeuvre pour y arriver. »
thank you so much, everyone is going to be able to read it now 💛
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🔴 ❌🦠 CORONACIRCUS - Avez-vous seulement souvenir des restrictions Covid ? Devoir de mémoire…
🔸 17 mars 2020: Début du confinement national en France. 🔸 11 mai 2020: Début de la levée progressive du confinement. Les écoles ont rouvert et les Français ont été autorisés à sortir sans autorisation, mais des restrictions sont toujours en place pour les rassemblements publics et les déplacements internationaux. 🔸 30 octobre 2020: Début du deuxième confinement national en France, avec des règles plus strictes qu'au printemps (par exemple, les magasins non essentiels ont été fermés). 🔸 15 décembre 2020: Fin du deuxième confinement et début d'un couvre-feu national de 20h à 6h. 🔸 16 janvier 2021: mise en place d'un couvre-feu avancé à 18h sur tout le territoire 🔸 30 janvier 2021: Les frontières avec les pays hors de l'Union européenne sont fermées, sauf dans des cas exceptionnels. 🔸 3 avril 2021: Le troisième confinement national en France a commencé, avec des règles plus légères que pendant le deuxième confinement. Les écoles sont restées ouvertes, mais les déplacements ont été limités à 10 km de chez soi. 🔸 19 mai 2021: Début de la levée progressive des restrictions. 🔸 9 juin 2021: Début de la phase finale de la levée des restrictions, avec la réouverture des restaurants, des cinémas et des salles de sport, ainsi que l'introduction des pass sanitaires pour les événements de grande envergure et les lieux de loisirs. 🔸 20 juin 2021: Le couvre-feu national en France a été levé.
🔸 Les écoles ont rouvert en mai 2021 avec des mesures de distanciation sociale en place et des protocoles de nettoyage renforcés. 🔸 Les travailleurs sont encouragés à travailler à distance si possible. 🔸 Les pass sanitaires ont été introduits le 9 juin 2021 pour les événements rassemblant plus de 1 000 personnes et les discothèques. Cela implique la présentation d'un certificat de vaccination, d'un test Covid négatif récent ou d'un certificat de rétablissement après une infection au Covid-19. 🔸 À partir du 21 juillet 2021, le pass sanitaire est également obligatoire pour les lieux de 50 personnes. 🔸 Les vaccins contre le Covid-19 sont disponibles gratuitement pour tous les résidents français de plus de 12 ans, et la vaccination est fortement encouragée.
Et comme si ça ne suffisait pas…
🔹 Le port du masque est obligatoire dans tous les lieux publics clos, y compris les magasins, les transports en commun et les bureaux 🔹 Les rassemblements de plus de 10 personnes sont interdits dans les lieux publics, mais les événements organisés dans des espaces privés peuvent accueillir jusqu'à 50 personnes. 🔹 Les restaurants et les bars doivent respecter des règles de distanciation sociale et de capacité réduite. 🔹 Interdiction de consommer debout et danser dans les bars et cafés (déc. 2021) 🔹 Les voyageurs doivent présenter un test Covid négatif récent ou une preuve de vaccination complète. Des restrictions de quarantaine sont également en place pour les voyageurs en provenance de certains pays. 🔹 Le rayon jouet, habits (non essentiels) fermés dans les supermarchés
Les restrictions dans les écoles :
🔸 Port du masque obligatoire pour tous les élèves et le personnel. 🔸 Lavage fréquent des mains et utilisation de désinfectants pour les mains. 🔸 Distanciation sociale imposée dans les salles de classe et les espaces communs. 🔸 Ventilation des salles de classe régulièrement ou installation de systèmes de ventilation spéciaux. 🔸 Limitation des rassemblements ou des événements en personne, ou organisation de ceux-ci en ligne ou sur une base virtuelle. 🔸 Isolement immédiat des élèves ou du personnel présentant des symptômes de Covid-19. 🔸 Mise en place d'un système de traçage des contacts pour identifier les personnes qui ont été en contact avec des cas positifs de Covid-19. 🔸 Chaque école peut adopter différents protocoles en fonction de ses besoins et des directives de santé publique locales.
Et il en manque probablement… 👻
NI OUBLI NI PARDON
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2023年08月26日 Un Monopoly pour les enfants
Hier soir, nous avons joué en famille au Monopoly. Cela parait anodin, mais je pense que c'est la première fois que j'ai joué au véritable Monopoly...
En effet, quand j'étais petit je jouais chez mes grand-parents à une version simplifiée du jeu qui s'appelait le Monopoly Junior. Des années après avoir joué à celui-ci, je vous propose d'observer les différences entre les deux ! Il semble il y avoir plusieurs versions du Monopoly Junior, celle sur laquelle je jouais se passait dans une fête foraine.
Avant de commencer, voyons voir si vous avez lu les posts précédents !
Le sondage reste ouvert pendant une semaine, on verra ce qui se passe quand il sera fini !
La première chose que l'on remarque, c'est le changement d'esthétique. Les pions ne sont plus des objets en miniature, mais des voitures en plastique chacune d'une couleur différente, ce qui est plus facile à identifier (même si on pourrait confondre la couleur des pions avec la couleur des cases). Les billets sont aussi plus colorés, tandis que le plateau possède beaucoup plus d'illustrations, notamment en utilisant la mascotte du jeu. Il est assez rectangulaire comparé à la plupart des Monopoly et se plie en deux. Enfin, comme le jeu se déroule dans une fête foraine, les rues sont devenues des attractions ! La case garage est devenue une case café et la prison a bien évidemment disparu pour laisser place à une case fortune qui permet de ramasser les billets placés sur celle-ci par les joueurs ayant payés pour voir un feu d'artifice ou un ballet de dauphins.
L'objectif du jeu est toujours le même (le capitalisme s'apprend aussi aux enfants...) cependant la valeur des billets a été revue à la baisse afin que les enfants fassent des additions plus simples: au lieu des billets de 1, 5, 10, 20, 50, 100 et 500 Mono, ici les billets vont de 1 à 5 et sont en euros afin de faire le lien avec l'argent dans la vraie vie pour la partie apprentissage (et puis ça fait argent de poche). Après tout, le Monopoly a été créé à l'origine par Elizabeth Magie pour représenter la nature antisociale du monopole sur le sol, il y a donc toujours quelque chose à apprendre...
De nombreux ajustements sont faits pour raccourcir les parties: on note désormais que toutes les couleurs ne possèdent que deux terrains contrairement aux trois terrains (sauf pour les cases bleues foncées et violettes) du jeu original. Cependant, il est impossible de faire payer plus cher en mettant plusieurs stands sur une même attraction ! Ainsi, le seul avantage à avoir deux attractions de la même couleur est de faire payer le double si un joueur passe sur une des deux cases. Il y a bien évidemment moins de cases que sur le plateau original, cependant le jeu n'utilise qu'un seul dé au lieu de deux. Le plateau prendrait donc plus de temps à parcourir que l'original, sauf si nous prenons en compte le changement fait aux gares !
En effet, celles-ci agissent normalement comme les terrains de couleur à la différence que les cases sont éparpillées aux quatre coins du plateau et que leur somme pour plusieurs gares cumulées n'est pas énorme. Mais dans ce Monopoly Junior, on n'achète pas la gare, on prend le train ! Ce qui signifie qu'on ne fait que relancer le dé.
Les cartes chances sont toujours de la partie, et certaines permettent carrément d'obtenir des stands gratuitement. Pour finir, il ne faut pas attendre qu'il n'y ait qu'un seul joueur avec de l'argent mais plutôt qu'un des joueurs n'ait plus d'argent pour terminer la partie. Les mécaniques d'enchères et d'échange à l'origine de stratégie et de parties de durée infinie ont tout simplement été supprimées, créant un jeu plus rapide mais également davantage soumis à l'aléatoire.
Après avoir joué (et gagné) hier soir au Monopoly, la simplification du jeu sur cette version junior devient plus qu'apparente !
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Ils appellent ça “le vivre ensemble”…
Il ne se passe pas un jour sans que des menteurs subventionnés ne désignent à la vindicte publique des coupables inventés, accusés, sans raison, de racisme, ce péché mortel d'une néo-pseudo-religion mortifère : ‘’l'immigrationnisme comme solution à tous les problèmes’’. Oser dire qu'il y aurait quelque lien possible entre délinquance et immigration, ou démontrer l’incompatibilité ontologique de l’islam (-isme, ou pas) avec les “valeurs de la République” est un crime. L’Histoire jugera notre bêtise et notre aveuglement comme coupables de la fin de notre civilisation.
Les “crimes-contre-l'humanité” de la France coloniale (tels, en tout cas, que les imagine Macron dans son immense inculture ‘’énarchique’’, c’est-à-dire sélective, partielle, orientée et contraire à la vérité), ou encore le chômage et les conditions de vie dans les quartiers sensibles (dont l'homme blanc, de droite, “hétéro” et catho serait le seul responsable, comme il l'est de la misère et de la corruption en Afrique après 60 ans d'indépendance... ou de la pollution de la planète...) justifieraient que soient passées sous silence les origines des auteurs-fauteurs ''d’incivilités'' (c’est le nouveau nom de certains crimes, racistes, mais anti-blancs). Quelles peuvent être les motivations qui poussent à une telle volonté de nier l'évidence et les faits, et qui trainent devant les tribunaux tout intellectuel, politicien... ou clampin qui dit la vérité sur les dangers menaçants mais niés par la ''doxa'' : tout ''sonneur de tocsin'' est interdit sur les antennes officielles, qui préfèrent les subventions à leur honneur.
Au delà de cette “vérité officielle” qui n'est que mensonges partisans, quelle est la situation, aujourd'hui ? Sauf si vous avez passé les 5 dernières années à militer au siège d'un parti de gauche, vous savez que les crimes et les délits explosent en France, et vous les avez peut-être même subi, soit directement, soit par un parent, un ami, un voisin interposé : la “violence gratuite”, (i.e. sans mobile crapuleux) fait près de mille victimes par jour, officiellement (donc, leur nombre réel fait frémir ! Deux, trois... cinq fois plus ?). En clair, il y a des milliers de français agressés, blessés et parfois tués, au nom d’un soi-disant “vivre ensemble” qui n’a jamais existé. On se demande qui peut bien être l'homme de Gauche, perdu dans ses mauvaises idées et son référentiel ''hors sol'', qui a fabriqué un tel mot pour un tel mensonge : Cazeneuve ? Castaner ? Darmanin ? Borne ? Macron lui-même ?
Un autre concept, tout aussi faux, est peut-être plus dangereux, encore : c'est une pseudo- “islamophobie” inventée de toutes pièces, immense bobard dont les conséquences s’ajoutent à la longue liste de ces ''vérités interdites'' dont le seul énoncé risque d'expédier en hôpital psychiatrique celui qui ose appeler “chat” un chat. Par exemple, c'est en invoquant cette soi-disant islamophobie qu'il est interdit de s'étonner qu’un chrétien devienne musulman, alors que la conversion inverse est de facto interdite chez nous, comme en terre d’islam, où elle est punie de mort.
Mais en France –un des seuls pays au monde à pratiquer l’indignité consistant à caricaturer, critiquer et moquer le pape, ridiculiser les bonnes sœurs (parce qu'elles sont “bonnes’‘, ou parce qu'elles sont nos sœurs ?) le fait de singer des parodies de crucifixions fait partie du fonds de commerce de ceux qui, en se prétendant drôles, racontent qu'ils sont ’'tolérants” (l'un des mots pervertis du baragouin gaucho-bobo), tandis que pas un seul de ces profs de morale à deux balles n'oserait un mot, une critique, un doute, une question contre le prophète musulman ou son Livre saint... C'est ce “deux poids/ deux mesures” en défaveur des seuls catholiques qui se nomme, chez les cuistres, ''de l'islamophobie’' ! Qu'elle est donc moche, leur myopie sélective ! Vivre ensemble... ou mentir et se mentir, en le sachant ?
On sait que l’utilisation médiatique, gouvernementale et bobo-gaucho du mot ’'racisme” ne vise que la laideur supposée des seuls “Blancs” par rapport aux autres races… alors que ce qui marque notre époque, c'est la violence du racisme anti-Blanc et un anti-catholicisme de système, dans une impunité garantie : les attaques contre ce qui est “chrétien” sont une activité à plein temps pour tous les extrémistes de l'athéisme, les faux-tolérants de la laïcité en guerre, pour les soi-disant belles âmes de la gauche qui se croient laïques parce qu'elles ''conchient'' l'Eglise, et qui se disent bien pensantes parce qu'elles sont tyranniques... sauf pour les islamistes ennemis du genre humain, pour ces grandes consciences sans science qui rêvent d'établir une pensée “univers-sale” favorable à ce lobby mal pensant dit “LBGT”, dont la seule vraie spécialité est la médiatisation de sa haine contre toute forme de vie en société et contre les 50% masculins de l’humanité...
Nos génies du ''à qui perd, perd'', n'ont trouvé qu'une ''Loi sur la laïcité'' (vidée de sa substance au profit d'un extrémisme laïciste aussi obtus et détourné de son sens que militant --et donc voué à l'échec, à terme, comme tout ce qui est excessif) pour éviter de devoir reconnaître que le seul vrai problème à régler se nomme 'l'islam''. Et qu'on le travestisse avec des ''--iste'' ou des '’--isme'' n'y changera rien du tout : ''l'islam-religion'' est en train de se transformer en profondeur, sous nos yeux tout grands fermés, en une machine de guerre contre l'Occident. Et ce n'est pas le fait qu'il a pu exister un bel islam --dont je chante les mérites, car à la différence de ceux qui blatèrent leurs idioties, je l'ai connu, moi, et étudié, et vécu, et aimé... et j'ai appris la langue arabe (réputé ''la langue d'Allah'') qui doit oblitérer notre regard.
Mais l'expérience de ''ceux-qui-savent'' ne présente pas le moindre intérêt pour nos ''Lumières'' (décidément définitivement éteintes, à jamais : c'est sans espoir), puisqu'il pourrait en surgir des solutions, de bonnes idées, d'autres problématiques, un vocabulaire plus ''vrai'' ! Alors... quand j'entends le (très) lamentable Darmanin, pourtant Gérald Moussa Darmanin de son vrai nom enfiler les colliers de perles contre-productifs que lui dictent ceux qui, eux, ignorent tout de tout... j'hésite entre la colère et le pessimisme le plus noir... NDLR - d'origine maltaise et algérienne, il devrait, théoriquement, être, même un peu, arabophone --l’idiome ‘’malti’’, que je baragouine en tant qu'arabophone, est issu de l'arabe pour >50%. Et grâce à ses ancêtres Ouakid, kabyles et berbérophones, il devrait disposer de tout le bagage nécessaire pour éviter les dérapages incontrôlés dont il nous régale ad nauseam.
Ce qui ne peut faire aucun doute --et qui est donc nié sans cesse par la bande d'incapables que nous avons stupidement portés au pouvoir (on touche-là les limites du système démocratique tel que nous l'avons laissé se renier lui-même), c'est que l'impossibilité absolue dans laquelle se trouvent nos lamentables cuistres multi-diplômés de trouver quelque terrain d'entente que ce soit avec l'islam. Tout, absolument tout, était annoncé, prévu, inévitable : ils ont été prévenus 100 fois, ont reçu 100 avertissements, 1000 appels à l'aide. Rien n'y a fait : c'est l'intelligence qui leur fait défaut. Incapables d'analyser ou de comprendre, ils récitent des chapitres écrits par ''presque plus pervers qu'eux'' ! Quel énorme gâchis, quand on y pense !
H-Cl.
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Quand tu seras, petit(e) !
Autant l’admettre tout de suite : je ne suis pas encore conçu ou conçue. Ce qui implique que je suis encore loin d’être né ou née. Il faudra pour cela que mes parents se rencontrent. Par pur hasard, bien sûr, qui fait si bien les choses. J’imagine qu’ils se seront aperçus une première fois dans une librairie. Elle aura vu qu’il s’intéressait au Procès de Kafka, livre qu’elle a lu et apprécié elle aussi. « Beau gosse avec ça ! » a-t-elle pensé en se dirigeant vers un autre présentoir. Or quelques jours plus tard la scène se répète dans la rue. Sauf que c’est lui cette fois qui l’a vue arriver de loin. « Très jolie ! » s’est-il dit, mais comment l’aborder ? Son cœur est peut-être déjà pris ? Une idée pourtant : faire semblant d’être perdu. Lui demander le chemin. Comment ça, elle sourit ? Elle me demande même comment j’ai trouvé Kafka ? Elle m’a vu dans le librairie l’autre jour ? Ça alors ! Et si on allait boire un café ensemble pour discuter du Procès ? Dans cette taverne là-bas, d’accord ?
Ils se sont donc plu. Ils se sont revus. D’abord parfois, puis souvent. Et à chaque rendez-vous ils se sont « plu de plus en plus ». Ils ont fini par se tutoyer. Ils ont parlé de Kafka, mais pas seulement. Ils ont voulu savoir ce que l’un et l’autre « faisaient dans la vie ». Quels étaient leurs études, leurs goûts, leurs passe-temps, sinon leurs craintes et phobies. Et la réaction de l’autre fut souvent : « Moi aussi ! » Or quand on se plaît à ce point, pourquoi ne pas rester ensemble ? D’abord toute une journée, puis toute une nuit. Soi-disant pour « dormir ensemble », sauf qu’ils ont très peu dormi.
Et c’est là que c’est bien parti pour que moi j’existe un jour. Car sur les dix millions de spermatozoïdes de « mon père » – je peux désormais l’appeler ainsi – c’est le mien qui l’a emporté. En adresse, en vitesse, en stratégie de survie. L’emporter sur dix millions, vous imaginez le travail ! Or l’idéal d’un spermatozoïde, c’est de rencontrer un ovule. En l’occurrence, c’est « mon » spermatozoïde (entendez celui de mon père) qui a trouvé « mon » ovule (entendez celui de ma mère), la fusion des deux faisant un futur humain, la promesse d’un organisme qui sera peut-être moi, si la grossesse de « ma mère » – je peux désormais l’appeler ainsi – se passe normalement.
En attendant, je ne suis qu’un embryon, un organisme vivant certes, mais pas plus vivant que la graine en terre qui deviendra blé, puis pain, biscuit ou gâteau. D’ailleurs, à ce stade-là, suis-je conçu ou conçue ? Réponse : on ne le saura que dans sept semaines. Comme tous les embryons humains, je développe bien sûr un système reproducteur, avec des organes appelés « gonades », mais qui restent sexuellement neutres pendant environ cinquante jours. Pendant ce temps, qui est plus long qu’un carême, j’aurai encore le choix du sexe, autrement dit, je peux encore devenir une fille ou un garçon. En nageant dans le liquide amniotique, bien nourri par le cordon ombilical, j’aurai tout le loisir de soupeser le pour et le contre de chaque genre. Pour parler comme le toubib, je serai doté d’ovaires ou de testicules, d’un vagin ou d’un pénis.
Mais tout ça, c’est de l’anatomie que j’apprendrai au lycée. En attendant, ce qui m’intéresse, c’est ce cocon moelleux, ce petit monde clos dans lequel je baigne. Car désormais je ne suis plus un embryon mais un fœtus. Mon cœur a commencé à battre, j’ai une grosse tête avec des trous d’yeux, de narines et d’oreilles. Et vous avez vu ces moignons, qui annoncent déjà mes bras et mes jambes, puis mes mains et mes pieds ? Mais il me faudra encore sept mois pour devenir un vrai bébé, un qui entend et qui parle, qui gigote ou donne des coups de pied dans le ventre de sa mère.
Or c’est au bout de ce laps de gestation, alors que je suis bien habitué à mon petit nid – qui est d’ailleurs devenu de moins en moins petit tout au long des mois – qu’un branle-bas se déclenche. Ça vibre et secoue, ça tremble et tressaille. C’est comme si quelqu’un criait : « Allez hop, mauvaises troupes ! Assez fainéanté ! Sors de là, et plus vite que ça ! » Sortir, moi je veux bien, mais par où ? Il n’y a qu’un seul chemin, une voie étroite d’ailleurs, mais j’inventerais n’importe quel prétexte pour pouvoir rester. Car on sait ce qu’on a, mais on ignore ce qu’on aura ! Dehors ils appellent ça la vie. C’est l’air libre, on est bien d’accord, mais aussi des courants d’air, des maladies, des accidents, peut-être la guerre. Et c’est pour ça qu’avec mes organes phonatoires désormais opérationnels, je lancerai dans ce nouvel espace acoustique un grand cri, mon cri primal en quelque sorte, qui fera sourire ma mère et l’accoucheur. Mais qui ressemble à celui de Joseph K. à la fin du Procès. Peut-être parce qu’on ne comprend pas plus pourquoi on est condamné à vie que condamné à mort ?
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Les outils du trading.
Sont exclus de ce texte Vous, votre ordinateur et sa connexion internet.
Il en reste donc 3 :
Votre intermédiaire (courtier ou Propfirm) ;
Le ou les logiciels de trading ;
Les marchés financiers.
Avant de les détailler vous devez garder à l'esprit qu'ils sont présents dans un seul but : vous voler !
Votre intermédiaire :
Seul, vous ne pouvez pas accéder aux marchés financiers. Vous avez donc des entreprises dont c'est le métier. Comme tout service a un coût il faut vous attendre à payer certaines choses.
La première, inévitable, s'appelle le SPREAD. Ce mot barbare désigne la différence de prix qui vous sera proposée entre l'achat et la vente d'un actif. Imaginons que le cours de l'actif que vous tradez soit à 50 000. Que ce soit des € ou des $ n'a aucune importance.
Vous passez un trade à la vente parce vous pensez que le cours va baisser. Votre logiciel de trading va enregistrer votre ordre au cours de 50 000. Tout va bien.
Comme vous avez vendu en ouvrant le trade, vous devrez acheter pour le fermer pour pouvoir encaisser vos gains si le cours a baissé.
Sauf que pour acheter et ainsi fermer le trade le prix qui vous sera offert n'est pas celui du cours affiché mais celui du cours moins le spread.
Reprenons notre exemple : Vous avez vendu au cours de 50 000 pour un prix de 50 000. Le cours descend de 100 points (49 900) et vous décidez d'acheter pour fermer le trade.
Le spread sur cet actif est de 24 points de cours par exemple.
Quand le cours affiche 49 900 vous fermez le trade en achetant. Mais vous le faites au prix de 49 900 + 24 = 49 924.
Votre trade est donc fermé mais comptabilisé avec 76 points de cours de bénéfice seulement à cause du spread qui rémunère l'intermédiaire.
Prenons maintenant l'exemple inverse :
Le cours est à 50 000 et vous achetez parce que vous pensez que le cours va monter.
Très bien, sauf que vous achetez au prix de 50 024. Alors que le cours affiché est resté à 50 000. Il faudra donc que le cours affiché monte à 50 024 pour que vous commenciez à gagner de l'argent. Vous avez acheté pour ouvrir le trade. Il faut donc maintenant vendre pour le fermer. Le cours affiché passe à 50 100 et vous décidez de fermer le trade en vendant.
Votre trade est donc fermé mais comptabilisé avec 76 points de cours de bénéfice seulement à cause du spread qui rémunère l'intermédiaire.
Et si mon trade est perdant ?
Vous avez perdu la différence des points de cours + le spread.
L'intermédiaire, comme le casino, ne perd jamais !
Ce sera ainsi pour chaque trade.
Selon les actifs que vous traderez vous pouvez être soumis à des frais de commission en plus du spread.
Ces frais correspondent à une somme fixe (par exemple 4 $) par lot tradé. Si vos trades concernent 0.5 lot vous serez taxé de 2 $ à chaque trade.
Si vous gardez un trade ouvert plus d'une journée vous aurez de nouveaux frais dits de SWAP. Ils peuvent varier selon les jours de la semaine. Ils peuvent être à nouveau différents quand il s'agit du weekend.
Certains intermédiaires taxent les retraits. Ils peuvent aller jusqu'à 2%. Et si vous faites un retrait en crypto-monnaie il y a souvent des frais dits de GAZ. C'est pour couvrir les frais de fonctionnement de la blockchain concernée. Ils peuvent aller jusqu'à 2% eux aussi.
Puisque nous parlons d'intermédiaire, il est important de comprendre que vous pouvez choisir entre deux catégories de prestataires.
Si vous engagez vos fonds propres pour constituer votre capital de trading alors vous avez besoin d'un courtier souvent appelé Broker.
Il y en a des dizaines sur internet. Prenez le temps pour choisir.
La seconde catégorie vous permet d'acheter l'inscription à un examen qui prouvera à l'entreprise que vous savez trader de manière rentable. Ces frais d'inscription seront plus ou moins onéreux selon la taille du compte de trading avec lequel vous aller travailler.
Ces entreprises s'appellent des PROPFIRMS. La plus connue se nomme FTMO. Il y en a d'autres.
Pour quelques dizaines ou centaines d'euros vous allez pouvoir trader avec un capital 'prêté' par l'entreprise. Si vous réussissez l'examen, l'entreprise vous allouera un capital identique à celui de l'examen. Mais cette fois vous empocherez 80% de vos gains de trading.
C'est cette voie que j'ai choisi : Ainsi, pour 35 € j'ai acheté le droit de passer un examen (réaliser 8% de plus-value ou bénéfices + réaliser 3 jours [ pas forcément consécutifs ] à 0.5% ou plus de gains) sur une période illimitée avec un capital de 5 000 $.
Voilà pour la phase 1. L'examen est en 2 phases. La phase 2 est identique à la phase 1 sauf que l'objectif descend à 5%.
Si je réussis les 2 phases, la Propfirm : * me remboursera mes frais d'inscription (35 €) * me confiera un capital de 5 000 $ * je retirerai 80 % de mes bénéfices de trading.
Si j'échoue ou abandonne (30 jours consécutifs d'inactivité), j'en suis pour 35 € de ma poche.
J'ai choisi la propfirm la moins chère : 5ers. C'est une société Israélienne.
Vous devez penser : c'est une bonne idée de trader avec 5 000 $ pour 35 €. Oui, mais :
Pour les traders débutants comme moi, la durée moyenne entre l'achat d'un challenge et l'accès à un compte financé est voisine de 1 an.
Seuls 4 à 5 % de ceux qui achètent un challenge auront, un jour, accès à un compte financé.
Ceux qui arrivent à obtenir un compte financé ont, en moyenne, 'cramé' 4 comptes.
Donc :
Au premier achat d'un challenge, si vous avez le choix, rien ne sert d'investir dans un compte de 100 k$ (100 000) ou plus.
Investissez le moins possible et une fois réussi le premier challenge vous pourrez investir dans un challenge plus coûteux (avec les gains du 1er par exemple) sauf si vous optez pour la voie du scaling (sans investir 1 seul $).
La difficulté du trading est la même sur un compte à 5 k$ ou à 200 k$. Ce sont les proportions qui changent, pas la difficulté.
Obtenir un Winrate (taux de réussite) de 100 % est impossible. Vous aurez toujours des trades perdants.
La limite de votre exposition ou risque est votre marge disponible. Sans jamais utiliser le mécanisme de martingale, je trade avec un risque sur marge par trade < 50%. Ce qui me permet d'ouvrir un second trade sans fermer le premier. Les gains du second effacent les éventuelles pertes du premier qui pour moi est très souvent à Breakeven (ni gagnant ni perdant) voire en gains.
On a donc compris que le taux de réussite chez les Propfirms était très faible. Il ne faut s'y inscrire qu'après une longue période (plusieurs mois) en gain sur du trading virtuel ou de démonstration.
Plus haut j'ai parlé de scaling. C'est un mécanisme de mise à hauteur. Quand vous êtes financé sur un compte de 5 000 $ par exemple, après avoir atteint 10% de gains (500 $) et réalisé 3 jours au moins à 0.5% de gain, la propfirm mettra à niveau votre compte en vous en proposant un autre, en remplacement du premier, avec un capital de 7 500 $.
Sur ce compte à 7 500 $, une fois réalisé 10% de gains (750 $) + les 3 jours à 0.5%, le mécanisme se répète et vous avez un nouveau compte avec cette fois 10 000 $.
Et ainsi de suite.
Chez cette Propfirm le tableau complet du scaling est le suivant :
Intéressant, non ?
J'ai indiqué plus haut que mon objectif quotidien par jour ouvrable était de 0.25 % de gain. En gardant cet objectif on déduit qu'il faut 40 jours de trading pour arriver à gagner 10 %. Soit environ 60 jours calendaires.
Comme ni vous ni moi ne sommes des robots, il faut envisager les mois ou l'objectif n'est pas complètement atteint. En conséquence je propose de dire que le temps calendaire d'un scaling sera plus proche du trimestre.
Vous aurez donc 4 mises à hauteur par an en moyenne. Ce qui me semble tout à fait correct comme progression.
Pour terminer on notera que les retraits de vos gains d'un compte financé (également appelés PAYOUTS) n'affectent pas votre progression pour le calcul du scaling. Dit autrement, le calcul de la progression du compte en vue du scaling ne tient pas compte de vos éventuels retraits. Seuls les résultats cumulés de vos trades sont pris en compte.
Passons maintenant au 2e outil de trading : le logiciel de trading.
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Lecture Our Summer Holiday
Bonjour tout le monde ! Un nouvel avis lecture, aujourd'hui, avec un One Shot dont vous avez peut-être déjà entendu parler même si le titre n'est pas du tout de saison actuellement. Je vous laisse avec le résumé pour que vous puissiez le découvrir. Natsuru, 11 ans, est la star de son collège et jeune espoir du football. Il se retrouve mis à l’écart le jour où il refuse les chocolats que lui offre la plus jolie fille de l’école. Seul, il fait la connaissance de Rio, une fille de sa classe qui est rejetée par ses camarades à cause de sa très grande taille. Ils vont petit à petit se rapprocher et Rio va alors lui avouer son lourd secret… Sorti aux éditions Delcourt/Tonkam, il est réalisé par Kaori Ozaki tant au niveau du dessin que de l’intrigue qui apparaitront – tout deux – sous nos yeux au fil des pages. Nous découvrons différents personnages, mais suivons principalement Natsuru qui s’avère être un collégien comme on en croiserait au détour d’une rue ou d’une cour de récréation et qui – comme beaucoup de garçons de 11 ans – apprécie énormément jouer au foot. A ses côtés apparaitront d’autres personnages ayant diverses importances sur le développement de notre héros. Étant footballeur nous découvrons à ses côtés le club de foot, mais pas seulement. Ses camarades de classe sont tous présents d’une manière ou d’une autre et nous nous attarderons, de ce fait, sur l’une d’entre elle un peu plus que sur les autres. Cette demoiselle s’appelle Rio et comme nous l’apprend le résumé, elle est déjà de grande taille pour son âge. Les mystères de la croissance… Je me demanderai toujours ce que cela fait d’être grand, mais je me doute que pour notre petite Rio de 11 ans ce n’était pas quelque chose de facile. Ainsi, grâce à elle, nous découvrirons le quotidien qu’elle connaît grâce à Natsuru que nous continuons de suivre. Un quotidien dans lequel se trouve un autre personnage, plus jeune et plein de vie, que nous côtoierons également. Et non, ce n’est pas du spoil, il vous suffit de tourner la jaquette pour le découvrir non mais ! Ce trio de base dirons-nous est vraiment agréable à suivre, possède des caractères différents, mais surtout des vécus qui peuvent toucher certains lecteurs. Sauf si vous êtes du genre à ne pas être touché par ce qui touche tout le monde ou dénué d’émotions – ceci existant – mais cela dépendant des personnes, je ne peux pas parler pour vous, mais dans mon cas cela m’a tout de même touchée. Les personnages ont de réelles émotions, des problèmes, des secrets et l’ont se rend compte de la difficulté d’avouer certaines choses à d’autres personnes, mais pas seulement. Après tout, lorsque l’on cache certaines choses, il arrive qu’un mensonge arrive afin de minimiser la situation, d’éviter aux gens de souffrir. Et Our Summer Holiday touche également à cela, mais pas seulement. De nombreuses autres thématiques apparaissent et rendent les personnages plus proches – ou différents, par exemple par la manière d’être de Rio je ne me retrouvais pas totalement – de nous. Ils ont autant leurs qualités que leurs défauts, ils font des erreurs, se relèvent ou tentent de les corriger. Ils voient leurs vies être chamboulées, transformées par certains événements face auxquels ils ne peuvent pas faire grand-chose. Et cela, c’est comme pour tout enfant de 11 ans. Nous n’étions pas parfaits – et ne le sommes toujours pas – et nous faisions des erreurs en voulant le bien d’autrui, sans savoir pour autant réagir face à certaines situations nous dépassant. Bon, par contre j’aurai bien aimé en savoir plus sur l’enfance de Rio et sur ce qu’il se passe après, même si la fin du One Shot nous laisse une belle porte ouverte avec la réponse à cette question malgré tout. Et puis zut, la finalité reste tout de même très belle ! Ah et pour ceux qui auraient peur d’une énième amourette, celle-ci n’est là qu’en toile de fond et je n’en dirai pas plus mis à part un « n’ayez pas peur ». D’ailleurs l’histoire et les personnages sont rehaussés par le dessin qui était vraiment doux et attirant l’œil (Parce que oui, de base c’était aussi la couverture qui m’a attirée… Je suis faible) Même l’intérieur du manga est du même acabit et j’aurai presque voulu avoir une page couleur au début pour apprécier une nouvelle fois les teintes de la couverture… Mais bon, je ne vais pas trop en demander non plus, déjà qu’ils sont tout doux, mignons, expressifs et surtout touchants. Parce que oui, c’est le dessin – en plus des dialogues à certains moments – qui nous touche bien plus car nous voyons sans difficultés les émotions des protagonistes que ce soient les principaux ou les secondaires. L’édition proposée par Delcourt/Tonkam est agréable en main, la couverture est même assez douce au toucher et toute la jaquette est dans des tons qui concordent sans problème les uns avec les autres. Même l’endroit avec le code prix et le Nuart (Dont je ne connais pas la signification, si quelqu’un sait éclairer ma lanterne je suis preneuse.) suit les tonalités de la couverture. La traduction est réellement bonne – tout du moins à mes yeux fatigués – et les paroles des personnages correspondaient parfaitement à leurs tempéraments ou manières d’êtres. D’ailleurs je n’ai pas vu de coquilles – ttes (pardon… J’ai faim…) – lors de ma lecture. Bon, je vais quand même terminer cet article étant tout de même relativement fatiguée et devant récupérer un minimum d’énergie pour les jours futurs. Alors il ne me reste plus qu’a conclure en vous disant que la lecture de Our Summer Holiday fut vraiment agréable, emplie d’émotions et tombant à pic vu que l’été arrive. C’est un manga touchant, aux dessins qui ne peuvent pas laisser de marbre et surtout avec lequel j’ai passé un bon moment poignant. Je suis vraiment contente de m’être laissée tenter et d’avoir sauter le pas, surtout que j’apprécie découvrir des One Shot car ils peuvent cacher de jolies perles. Et vous les matous, comptez-vous lire ce manga ? Qu’en avez-vous pensé si vous l’avez déjà lu ? Rien qu’à la couverture appréciez-vous les dessins ? Read the full article
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M'as tu piégés Princesse ? chapitre 2
Chapitre 2: Une histoire de chorégraphie
La princesse se rendant enfin compte de ce qu'elle avait fait un peu plus tôt se mit à rougir et semblait être bien confuse mais bon elle avait besoin de ce simple geste pour se calmer .De se réconfort et sans vous le cacher les bras du démon de la radio étaient parfaits pour cela . La princesse de l'enfer secoue donc la tête vigoureusement pour reprendre ses esprits. Elle voyait bien que l'homme était dans l'attente d'une réponse dans les plus bref délais , "Vaggie " n'allait pas être une réponse satisfaisante pour lui c'est clair .Puis comme la jeune princesse s'était quitté avec sa compagne ce n'est pas dans son intérêt de laisser l'homme en rouge partir de lui même à la pêche aux information , Charlie n'avait pas envie que ça se finisse dans un combat sanglant dont elle savait que sa petite amie avait de grande chance d'en sortir perdante.
-Vaggie et moi on s'est disputés , j'avais comme idée de monter un spectacle musical pour accueillir les nouveaux arrivant après tout notre lutte contre Adam a su convaincre pas mal de démon . Et elle s'est violemment opposé , disant que ça porterait atteinte à notre crédibilité * explique la fille de Lucifer*
Alastor avait du mal a y croire , le couple s'était disputé pour une raison aussi ridicule si bien que ce dernier se permit de remettre en doute le couple des deux filles . Un sourire narquois se dessine donc sur ses lèvres montrant encore plus ses dents aiguisées tel des couteaux pendant qu'il réfléchissait à ce qu'il allait bien pouvoir répondre à la blonde .
-Oh je vois mais ce n'est pas la peine de vous mettre dans des états pareils , ça me semble être une bonne idée en soit puis c'est votre hôtel votre idée . Vous ne devriez pas laisser quiconque vous marcher sur les pieds encore moins votre petite amie qui n'a aucun statut , elle devrait se sentir reconnaissante que vous ayez eut pitié d'elle * déclare le démon sans mâcher ses mots *
La fille de Lucifer se sentit offusquée des paroles méchantes d'Alastor en ce qui concerne Vaggie , jamais elle ne pensera à une chose pareille de sa petite amie . Elle l'a aidé de bon coeur et ne s'attend rien de spécial de sa part pour cela . Elle croise donc les bras sur sa poitrine pour bien montrer qu'elle ne partage pas son avis .
-Jamais je ne traiterai Vaggie de la sorte et cela peut importe si nos avis divergent mais bon je suis quand même contente que tu partages mon point de vue . Puis arrête de me vouvoyer, c'est nouveau ça ? * réplique fermement Charlie*
Il est vrai que depuis sa défaite cuisante contre Adam et sa remise en question, Alastor avait choisi de mettre un peu de distance avec les membres de l'hôtel étant persuadé que ça le rendait beaucoup plus faible. Mais on dirait bien que cette décision n'est pas du goût de sa partenaire , il va devoir y remédier et vite.
-Comme tu veux , je me suis dit qu'en m'exprimant ainsi ça paraîtrait un peu plus professionnel je suis sensé être ton bras droit * répond le cerf*
-Oui ben ça me plaît pas et si tu permet j'ai d'autres chose à faire * soupire Charlie*
Alastor se décale donc un peu pour laisser passer la princesse , cette dernière passe son chemin . L'homme allait devoir se conformer aux désirs de la princesse, il le savait que trop bien .
A l'heure du dîner la tension était vraiment palpable et n'importe qui autour de la table pouvait s'en rendre compte . Notamment une certaine tension entre Charlie et sa compagne dont les deux s'adressent à peine la parole et assez froidement .C'est donc le paternel de la princesse qui se voit obligé d'intervenir pour débloquer la situation .
-Oh allez les filles vous allez pas vous faire la tête pour une stupide dispute , je sais très bien que vous avez un point de vue différent sur la chose mais ce n'est pas une raison pour se bouder * fit le souverain sur un ton paternel *
-Sauf votre respect majesté je demande juste un peu de professionnalisme * déclare Vaggie sèchement *
Lucifer se sentit mal à l'aise face au ton employé par la compagne de sa fille , si bien que sur le coup il ne savait pas quoi répondre. On dirait bien que sa tentative est déjà vouée à l'échec malheureusement pour lui pourtant Lucifer s'est toujours montré plein de bonne volontée pour aider sa fille .
De ce fait, la blonde se lève brusquement de sa chaise plaquant avec force son couvert sur la table faisant sursauter tout le monde. Elle adresse un regard furieux à Vaggie sans doute contrariée que cette dernière OSE s'adresse de la sorte à son père .
-Tu vas parler mieux à mon père puis vous avez quoi avec votre professionnalisme moi tout ce que je veux c'est un endroit agréable où vivre . Qu'on puisse s'y sentir à l'aise ! Mais je crois que tout le monde s'en fout de ce que je veux ! * crie Charlie*
Puis elle quitte la table ayant à peine touchée son assiette , sous le choc Angel tente de retenir Charlie en l'interpellant mais sans succès la princesse n'avait plus envie de se trouver dans cette salle à manger. Quant à Vaggie une pointe de culpabilité traversa son regard puis elle regarde son beau-père .
-Je...je suis désolée pour ça * répond -t-elle en balbutiant un peu étant aussi confuse que tout le monde *
-Ce n'est rien , j'ai juste voulu aider * intervient Lucifer , il marque une pose * Je crois que pour le moment la meilleure chose à faire c'est de la laisser tranquille *ajoute -t-il*
Personne ne semble être en mesure de contredire les paroles du roi , qui est pour le coup assez censée mais on pouvait voir à sa mine que lui même été dépité par la situation .Charlie aimait Vaggie ça ne fait aucun doute de ce fait , ce serait dommage que le couple explose pour une raison aussi dérisoire. Après tout, à force de discussion, peut-être que les deux filles seraient arrivées à un terrain d'entente . Le mieux à faire pour le moment c'est sans doute éviter le sujet c'est sans doute ce qui à le mieux à faire . Quant à Alastor ce dernier avait une irrésistible envie d'aller voir la princesse pas dans le but nécessairement de se moquer mais juste d'être avec elle , il ne saurait pas expliquer pourquoi il a cette irrépressible envie . Le regard lourd de Husk se pose sur le grand cerf trouvant son maître bien étrange ce soir , il n'a même pas essayé de profiter du tumulte pour enfoncer un peu plus le petit roi et c'est inhabituel de sa part .
.....
Note: Déjà le chapitre deux comme j'étais un peu inspirée Ehehehe. A votre avis que va faire Husk ?
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Réparer un autoradio qui a cessé de fonctionner après que la batterie soit morte
Arrêtez si vous avez déjà entendu cela. Vous avez laissé vos phares allumés et votre batterie est morte. Ou elle est morte parce que, peu importe, elle était vieille, il fait froid dehors et rien ne dure éternellement.
Dans tous les cas, la batterie est morte et vous avez réglé le problème : un démarrage rapide, un chargeur de batterie ou même une nouvelle batterie, le problème est résolu et vous êtes de retour sur la route. Tout va bien, n'est-ce pas ? Sauf que maintenant, votre radio ne fonctionne plus.
D'abord, votre batterie est morte, et maintenant votre autoradio est mort, et cela s'annonce vraiment comme un de ces jours.
Vous conduisez donc le reste du chemin jusqu'au travail en silence, et vous espérez que la prochaine étape ne sera pas d'acheter un autoradio tout neuf. Et ce n'est probablement pas le cas. Dans la plupart des cas, réparer un autoradio qui a cessé de fonctionner après que la batterie soit morte est beaucoup plus simple que cela.
Bien sûr, cela peut aussi être beaucoup plus compliqué.
Décrypter le code de la batterie déchargée et de l’autoradio encore plus déchargé
Il existe plusieurs raisons pour lesquelles un autoradio cesse de fonctionner après que la batterie soit complètement déchargée. La première, et de loin la plus courante, est que l’autoradio dispose d’une « fonction » antivol qui se déclenche chaque fois que la batterie est retirée. Lorsque cela se produit, il vous suffit de saisir le bon code d’autoradio et vous voilà de retour sur la bonne voie.
Dans certains cas plus rares, vous pouvez avoir affaire à une radio endommagée ou même à des dommages sur d’autres systèmes électriques que votre radio. Par exemple, si votre radio a cessé de fonctionner après un démarrage raté, la radio (et d’autres appareils électroniques fragiles) pourrait avoir grillé.
Si vous avez de la chance, il se peut que ce soit simplement un fusible, et si ce n’est pas le cas, cela ne pourra que vous servir de leçon sur l’importance de brancher correctement les câbles de démarrage et les chargeurs de batterie.
Quelques causes courantes de ce type de problème
Fonctions de sécurité
Si votre radio affiche un « code », c'est probablement le problème auquel vous êtes confronté. Les autoradios dotés d'une fonction de code nécessitent que vous saisissiez un code prédéfini à chaque fois que la batterie est déchargée ou déconnectée.
Le code peut figurer dans votre manuel du propriétaire ou vous devrez peut-être contacter un concessionnaire.
Des dommages ont été causés lors d'un démarrage par câble
Les composants du système électrique peuvent être endommagés lors d'un démarrage par câble si les précautions ne sont pas prises.
Vérifiez les fusibles et les fusibles appropriés avant de condamner la radio.
Si la radio est alimentée et mise à la terre, elle présente probablement un défaut interne. Lire aussi “ Pourquoi mon autoradio ne fonctionne pas ? »..
Pure coïncidence
Bien qu'une batterie déchargée ou un démarrage par câble puisse entraîner un dysfonctionnement de l'autoradio, cela peut aussi être une étrange coïncidence.
Si votre radio n'a pas de code d'autoradio pour des raisons de sécurité et que tous les fusibles et fusibles sont vérifiés, vous devrez effectuer un travail de diagnostic plus approfondi pour comprendre ce qui se passe.
Le cas curieux du code d'autoradio
Les codes d'autoradio sont censés agir comme une sorte de fonction antivol passive. Lorsque l'alimentation de l'autoradio est coupée, la fonction se déclenche et lorsque l'alimentation est rétablie, l'appareil est pratiquement bloqué jusqu'à ce que vous saisissiez un code spécifique.
L'affichage peut afficher, très utilement, le mot « code », ou il peut simplement rester vide, ou il peut afficher un message encore plus obtus, selon le fabricant.
Le point ici est que ce sont principalement les unités principales OEM qui incluent cette fonction, et les voleurs ciblent principalement les unités principales du marché secondaire lorsqu'ils volent des autoradios. Cela signifie que les codes d'autoradio deviennent presque toujours un casse-tête pour les propriétaires légitimes de ces autoradios, au lieu des voleurs qu'ils sont censés déranger.
La meilleure façon de gérer un code d'autoradio est de ne pas le gérer du tout. Si vous avez une radio avec cette fonction et que votre batterie n'est pas déjà à plat, vous devrez alors comprendre le code et l'écrire - ainsi que la procédure de réinitialisation - à l'avance.
Le processus de recherche d’un code d’autoradio diffère d’une marque à l’autre, mais vous voudrez généralement commencer par consulter le manuel du propriétaire.
Si vous avez acheté votre voiture d’occasion, l’ancien propriétaire a peut-être noté le numéro dans le manuel, et certains manuels ont en fait un endroit pour le faire.
Si ce n’est pas le cas, vous pouvez consulter le site Web du fabricant d’équipement d’origine ou contacter votre concessionnaire local, même si vous devrez peut-être payer un magasin local ou un service en ligne pour rechercher le code.
Les dangers d’une charge ou d’un démarrage incorrect d’une voiture
Si votre autoradio a cessé de fonctionner après un démarrage par câble ou après une charge de batterie, le problème peut toujours être lié à une fonction antivol du code de l’autoradio. Avant de faire quoi que ce soit d’autre, vous devez éliminer cette possibilité.
Assurez-vous que votre autoradio n’a pas cette fonction, et si c’est le cas, vérifiez que la saisie du code correct ne permet pas à l’autoradio de fonctionner à nouveau. Si ce n’est pas le cas, vous êtes peut-être confronté à un problème plus grave.
Le problème est que, même s’il est parfaitement sûr de démarrer ou de charger une batterie de voiture lorsque la procédure est effectuée correctement, elle est extrêmement dangereuse lorsque la procédure n’est pas effectuée correctement. Le plus grand danger du démarrage ou de la charge d’une batterie est réel
Si vous avez acheté votre voiture d’occasion, le propriétaire précédent a peut-être noté le numéro dans le manuel, et certains manuels ont en fait un endroit pour le faire. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez consulter le site Web du fabricant d’équipement d’origine ou contacter votre concessionnaire local, même si vous devrez peut-être payer un magasin local ou un service en ligne pour rechercher le code.
Les dangers d’une charge ou d’un démarrage incorrect d’une voiture
Si votre autoradio a cessé de fonctionner après un démarrage par câble ou après une charge de batterie, le problème peut toujours être lié à une fonction antivol du code de l’autoradio. Avant de faire quoi que ce soit d’autre, vous devez éliminer cette possibilité.
Assurez-vous que votre autoradio n’a pas cette fonction, et si c’est le cas, vérifiez que la saisie du bon code ne permet pas à l’autoradio de fonctionner à nouveau. Si ce n’est pas le cas, vous pourriez être confronté à un problème plus grave.
Le problème est que s’il est parfaitement sûr de démarrer ou de charger une batterie de voiture lorsque la procédure est effectuée correctement, c’est extrêmement dangereux lorsque la procédure n’est pas effectuée correctement.
Le plus grand danger du démarrage ou de la charge d’une batterie est en fait lié à la nature explosive de l’hydrogène gazeux qui peut s’échapper d’une batterie au plomb-acide.
C’est pourquoi le dernier câble que vous branchez doit toujours être un câble de terre, et il doit être relié à la terre plutôt qu’à la batterie. Si vous vous branchez directement à une batterie et que de l’hydrogène gazeux s’en échappe, l’étincelle qui en résulte pourrait enflammer le gaz et provoquer une explosion.
Au-delà des dangers d’une batterie de voiture qui explose, ce qui, je suppose, ne s’est pas produit, puisqu’une radio morte serait le cadet de vos soucis à ce stade, le branchement incorrect de câbles de démarrage ou d’un chargeur peut également endommager le système électrique.
Si les câbles ont été branchés à l’envers à un moment donné et que votre radio a cessé de fonctionner en conséquence, alors la radio peut bien être grillée. Et en dehors de votre radio, un certain nombre d’autres composants peuvent également être grillés.
Lorsque les fusibles et les maillons fusibles sauvent la mise
Contrairement aux gens, qui peuvent passer toute leur vie à chercher un but, les fusibles naissent dans ce monde avec la certitude qu’ils mourront un jour pour sauver un autre. Dans le cas du fusible de votre autoradio, il est conçu pour se sacrifier afin d’empêcher une quantité dangereuse de courant de circuler dans votre autoradio et le circuit associé.
Si votre autoradio est hors service à cause d’un démarrage ou d’une charge ratés, et que vous avez de la chance, vous constaterez peut-être que le fusible de votre autoradio a sauté. Dans certains cas, il peut s’agir du fusible situé à l’intérieur de l’autoradio, tandis que dans d’autres, il peut s’agir du fusible de la boîte à fusibles de la voiture.
Dans d’autres cas, vous constaterez peut-être qu’un maillon fusible a sauté ou qu’un fil a fondu quelque part. Dans d’autres scénarios beaucoup plus graves, vous constaterez peut-être que d’autres composants électroniques, y compris votre unité de commande électronique extrêmement coûteuse, ont également été endommagés.
C'est pourquoi il est si important de savoir comment utiliser un boîtier de démarrage pour démarrer une voiture, et de ne jamais laisser personne, aussi bien intentionné soit-il, les brancher de manière incorrecte. Après tout, être un bon samaritain ne signifie pas qu'ils connaissent réellement les voitures.
Parfois, les coïncidences se produisent réellement
Lorsque deux choses se produisent exactement au même moment, il est facile de supposer qu'elles sont liées. Et dans le cas de batteries et d'autoradios déchargés, il y a de fortes chances que les problèmes soient liés. Cependant, vous pouvez constater que votre autoradio cesse soudainement de fonctionner pour une raison totalement indépendante.
Par exemple, si votre radio s'allume et affiche une station, mais qu'aucun son ne sort des haut-parleurs, il s'agit probablement d'un problème avec les haut-parleurs ou le câblage, voire l'antenne.
Dans le même ordre d'idées, un autoradio avec une radio qui ne fonctionne pas peut être attribué à une mauvaise réception radio en raison de problèmes tels qu'un problème d'antenne si d'autres sources audio, comme le lecteur CD, fonctionnent parfaitement.
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"Vous trouvez pas qu'on étouffe ici non
Alors ça vient de moi
On dirait qu'il fait 100 degrés
Mais vous avez raison
Ça se peut même pas
C'est la faute aux pensées qui montent
Et à mon petit cœur qui suit pas
Il me fout la honte à battre la samba
Ça me prend comme ça paf
Putain crise d'angoisse
Le sismographe en panique
12 litres de sueur qui poisse
Sauf si ça non plus ça se peut même pas
Malaise vagal mental
Je trimbale dans ma poche
Partout et par tous les temps
Un xanax anti-pétoche
Rose et rassurant
Je croque dedans tac
Discrétos dans les dents
J'attends que son goût dégueulasse
Fasse l'effet que j'en attends
Quand je peux plus faire face
Quand je sais plus ce qui se passe
A la ramasse
À la fois brûlant et tout blanc
Un petit tour de chimie
Un petit tour de magie
Des molécules se battent à notre place
Comment ils faisaient avant
Ben quoi les gars
On va quand même pas se priver de la science non?
Flippé ok mais pas trop con
Passer du néolithique aux anxiolytiques
On fait plus la chasse non
Mais on prend des cachetons
Et j'me dis que je m'inquiète pour rien
Et je gobe 20 milligrammes
Tous les matins
Et j'me dis que je m'inquiète pour rien
Dans mon immeuble
À faire pareil on est combien
Qu'est ce que la crainte de la misère
Sinon la misère elle même
Voilà une saine pensée comme le les aime
Mais moi j'ai pas la sagesse de Khalil Gibran
Je stresse
J'ai ce putain de petit vélo dans le crâne
Rien à faire quand t'es dans cet état
T'es en enfer
Et je me ramasse tous les matins
À la petite cuillère les gars
J'ai plus de nerfs et moins d'appétit qu'un barracuda
Vas-y Bouddha, essaye de n'avoir pas souffert
Des nœuds dans le cerveau
La tête entre les coudes
J'porte le monde sur mes épaules
Comme dans "Hey Jude"
On klaxonne je sursaute
Allez démarrage en côte
Qu'est ce qu'on va faire de moi
Quand tout sera devenu ma faute
Y'en a ça se voit
Je vous jure ils ont même pas peur
Mon Dieu je donnerai une couille
Pour être des leurs
Débouler dans la vie
Tel un kéké sur un jet ski
Badaboum
Peu d'abus pas d'habits
Tout dans le regard
Je me vois d'ici
Moi si jamais on me dit qu'on m'aime
Pourquoi tout ce que j'entends
C'est t'es qu'une merde
Mais j'avance en séance avec mon psy
J'suis pas tout seul à être tout seul
Je l'ai enfin compris
Et j'me dis que je m'inquiète pour rien
Et je gobe 20 milligrammes
Tous les matins
Et j'me dis que je m'inquiète pour rien
Dans mon immeuble
À faire pareil on est combien
Si y'avait moins de connards
Si y'avait moins d'horreur
J'suis tout bouffé de complexes
Mais le contexte m'écœure
Je vis dans un téléphone
Plus intelligent que moi
Quand il est sur vibreur
Je suis sur marteau piqueur
J'essaye de mettre des baignes à mon désespoir
J'démêle le vrai du faux
Même le contradictoire
J'ai ma vie cognitive
Ma psychanalyse
Tenez bon
Lâchez prise
J'aime bien qu'on me le dise
Docteur grosse prime si on me bute ma déprime
Si on me la renvoie bim au fond des Abymes
Je veux plus retrouver un cheveu de cette pute sur mes fûtes
Jusqu'ici j'ai préféré être un enfant qu'un adulte
C'était bien plus fastoche, les mains sur mon bicross
Je le vois maintenant que j'avance dans la crasse à coups de pioche
Maintenant que l'angoisse a pénétré mes méninges
Oui tout à fait un peu comme Ariel au cœur du linge
Je déteste qu'on me demande : "Ouh là ça va toi ?"
Et je déteste qu'on s'inquiète pour moi
Qui qu'a tout bousillé mon plexus solaire?
À faire pareil on est combien"
Qui qu'a mis "peut mieux faire" sur mes bulletins scolaires
Et j'me dis que je m'inquiète pour rien
Et je gobe 20 milligrammes
Tous les matins
Et j'me dis que je m'inquiète pour rien
Dans mon immeuble"
*****
Benoît Doremus 🎵
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Critique - Les Annales du Disque-Monde: Le Faucheur
Bonjour à tous.
Étant un grand fan de fantasy, je me suis récemment intéressé aux Annales du Disque-Monde, de Terry Pratchett. Et… je ne m'attendais pas à ça il faut dire. J'ai commencé par Le Faucheur (sans savoir qu'il s'agissait du 11e tome, mais bon…). Alors de quoi s'agit-il ?
Et bien comme dit précédemment, Les Annales du Disque-Monde est une série de romans de fantasy écrits par Terry Pratchett et dont Le Faucheur en est le 11e tome. Il est publié pour la première fois en 1991 et sort chez nous en 1998. Le traducteur, Patrick Couton, en obtiendra même le Grand Prix de l'Imaginaire la même année.
L'histoire raconte qu'un jour, la mort découvre qu'il a été mit à la retraite et qu'il est donc maintenant mortel. Il va donc profiter du temps qu'il possède à présent pour vivre comme un mortel en attendant la Nouvelle Mort. Il va alors vivre à la ferme de Mme Trottemenu sous le nom de Pierre Porte en tant que moissonneur (pour 6 sous à la semaine).
Pendant ce temps, Vindelle Pounze, le plus vieux des mages, s'apprête à mourir sous les yeux de ses collègues de l'Université de l'Invisible. Et lorsque vint le moment fatidique, rien, il reste vivant. Il va donc tenter de trouver un moyen de mourir avant de rejoindre le Club du Nouveau Départ où d'autres morts-vivants partagent la même expérience.
Et les membres de l'Université, dépassés par les événements, tenteront de comprendre ce qu'il se passe.
Tout d'abord, comme je l'ai dit auparavant, ce fut pour moi une introduction à l'univers du Disque-Monde, et je ne fut pas déçu du tout. J'ai directement accroché à ce monde et son humour absurde, car oui, il y a énormément d'humour dans cette histoire.
Pour en revenir à l'univers en question, je ne savais rien avant de lire, mais il m'a fournit suffisamment de détails pour que je comprenne où j'étais et ce qu'il s'y passe, sans pour autant me vomir un lore indigeste pendant 3 chapitres comme le font beaucoup trop de livres. Et même si j'ai effectivement commencé par le 11e tome, je n'ai pas ressenti le besoin de lire les tomes précédents pour comprendre le Disque-Monde (bien que je vais quand même le faire).
Les personnages de l'histoire sont tous attachants. Mais celui qui m'a le plus touché est la Mort, qui arrive dans un monde totalement inconnu pour lui, alors qu'il l'a vu durant des millénaires, et qui le découvre sous un nouvel angle. En lisant son histoire, je voulais qu'il puisse vivre heureux à la ferme de Mme Trottemenu, même si son destin était déjà scellé. Sinon, on peut également citer Modo le jardinier, qui semble s'en foutre complètement de tout les événements improbables qui se passent actuellement, ou encore de Mlle Cake et son don de prémonition qui lui fait répondre une phrase avant qu'on ne lui pose la question (ce qui est un vrai mindfuck). Même si pour la plupart des personnages, je voulais simplement savoir quelle genre de situations invraisemblable pouvait leur arriver. Ce qui m'a fait le plus rire est le combat qu'on dut mener les mages de l'Université contre un tas de fumier mort-vivant (oui vous avez bien lu).
Le rythme de l'histoire est rapide sans pour autant l'être trop, nous laissant suivre les histoires de chacun sans nous perdre, alors qu'on suit quand même trois points de vue différents, ce qui peut facilement rendre fou quand c'est mal écrit (ce qui n'est pas le cas ici). Pas de chapitre, pas d'acte, juste un changement de position à chaque événement pour laisser chacun vivre sa petite histoire.
Les « entités supérieures » (elles n'ont pas de noms exact, sauf si je me trompe) ont toutes une manière spéciale de s'exprimer. Par exemple, Pierre Porte parle en petites capitales, les anges (ou du moins ce qui est présenté en tant que tel) s'expriment via le narrateur et Azraël prend littéralement une page entière pour dire un seul mot. De plus, lorsqu'ils sont là, on ressent une telle prestance de leur part qu'on comprend tout de suite leur puissance, et qu'ils sont pas là pour déconner. Mention spéciale à la Faux de la Mort qui est si puissante qu'elle peut même trancher du texte.
Mon seul problème avec ce livre, c'est sa problématique (c'est un comble vous allez me dire) car le fait que personne ne meure ne semble poser problème qu'aux personnages principaux, alors que le phénomène est décrit comme général. J'aurais bien aimé que Vindelle ou même directement Pierre Porte tombe sur d'autres touchés par l'impossibilité de mourir, mais les seuls autres morts-vivants qu'on rencontre sont ceux du Club du Nouveau Départ. Mais c'est le seul point noir que j'ai relevé.
En clair, c'est un excellent livre que je conseille à tout ceux qui ne l'ont pas encore lu, et j'encourage tout ceux qui n'ont pas encore découvert Les Annales du Disque-Monde à prendre d'assaut leur librairie préférée pour en obtenir la collection.
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TCF Canada- Expression Orale- Partie 2 (Dialogue)- Inscription à la Bibliothèque
Situation : Je travaille dans une bibliothèque. Vous aimeriez vous inscrire. Vous m’interrogez sur le fonctionnement de la bibliothèque (conditions d’inscription, programmation culturelle, horaires, etc.)
SAMPLE DIALOGUE :
Hugo : Bonjour ! Je suis très intéressé par l'inscription à votre bibliothèque, mais je ne sais pas exactement comment cela se passe. Pourriez-vous m'expliquer les étapes à suivre ?
Bibliothécaire : Bonjour ! Vous devez remplir un formulaire, fournir une pièce d'identité et un justificatif de domicile. C'est tout à fait gratuit.
Hugo : Je vois. Donc, il n'y a pas de frais d'inscription. Est-ce qu'il y a des conditions spécifiques à respecter, comme un âge minimum ou des critères particuliers ?
Bibliothécaire : Non, pas de conditions spécifiques, sauf les documents requis. Les enfants doivent être accompagnés d'un adulte pour leur première inscription.
Hugo : Très bien, c’est clair. J'ai entendu parler de votre programmation culturelle. Pourriez-vous me donner un aperçu des types d'événements que vous organisez ? Je suis particulièrement intéressé par les conférences et les ateliers.
Bibliothécaire : Nous organisons des conférences, des ateliers, des projections de films et des lectures publiques. Vous pouvez voir le programme détaillé sur notre site web.
Hugo : Super ! Est-ce que ces événements sont généralement gratuits ? Et y a-t-il des frais pour les ateliers ?
Bibliothécaire : La plupart des événements sont gratuits. Certains ateliers peuvent nécessiter une petite contribution pour couvrir les frais.
Hugo : D'accord, je comprends mieux. Maintenant, j'aimerais savoir quels sont vos horaires d'ouverture. Est-ce que vous avez des horaires spéciaux pour certaines périodes de l'année, comme les vacances scolaires ?
Bibliothécaire : Nous sommes ouverts du lundi au vendredi de 9h à 18h, et le samedi de 10h à 17h. Nous sommes fermés le dimanche. Pendant les vacances scolaires, les horaires peuvent changer, donc vérifiez notre site web.
Hugo : Merci pour cette précision. En ce qui concerne les prêts de livres, est-ce qu'il y a des restrictions sur le nombre de livres que l'on peut emprunter ou sur la durée des prêts ?
Bibliothécaire : Vous pouvez emprunter jusqu’à 10 livres à la fois pour une période de 3 semaines. Vous pouvez prolonger la durée si personne d'autre n'a réservé le livre.
Hugo : Parfait, tout semble très bien organisé. Merci beaucoup pour toutes ces informations !
Bibliothécaire : Avec plaisir ! N’hésitez pas à revenir si vous avez d’autres questions. À bientôt !
Hugo : À bientôt, merci encore !
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1. Le monde avant 6h du matin: le chant des oiseaux, le doux lever du soleil, la nuit et les étoiles, le silence... Comme une parenthèse pour moi-même.
2. Mon Monsieur: son odeur de biscuit à son réveil, ses câlins, son rire...et quand il danse, woaw. Y a trop à dire.
3. Lire: depuis que je sais lire, c'est un peu un cocon.
4. La pluie: je suis une fille de l'automne, j'adore son bruit, son odeur, sa lumière, je passe ma vie les fenêtres ouvertes à la regarder et à la sentir.
5. Chanter: je le fais presque plus, ça me manque tellement, et c'est mon seul talent. Sauf que si je sais qu'on peut m'entendre, j'ose plus.
6. Bon je triche un peu, mais je peux pas parler de ce qui me rend heureuse sans parler de musique classique: j'en écoute tout le temps, j'en ai chanté pendant 10ans, et j'ai un amour fou pour Henry Purcell, Hayden, Beethoven mais aussi Max Richter, Hans Zimmer, Howard Shore, Joe Hisaishi... Sandrine n'est pas Sandrine sans musique classique (et de films, séries, jeux vidéos....) bref vous avez compris.
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L'interminable cauchemar du covid, hyper-scandale d'Etat (suite)
On me dit que certains pourraient s'étonner de mon édito de pub' pour ''Les Apprentis sorciers'' signé par ma fille –qui caracole en tête du hit parade, devant Musso, Lévy, Zemmour, etc... (source : La FNAC, ''5 sur 5'', ce matin : le mieux noté et le plus vendu.). Désolé (pas vraiment!) pour les rétrogrades : une page se tourne, la leur. Vive la vérité... et la justice immanente. Cela dit, je ne trouve pas ''choquant'' qu'un père parle de sa fille... mais je vais me racheter tout de même : avez-vous lu ''Covid 19 – Ce que révèlent les chiffres officiels'', de Pierre Chaillot ? Si ''non'', allez vite l'acheter : c’est le complément utile à ''Les Apprentis sorciers'' !
Cette complémentarité a une explication : Alexandra Henrion-Caude a consacré 25 années à étudier l'ARN-messager, et elle n'a écrit ce livre que pour expliquer à tous les faux gourous-de-plateau, urologues ou oto-rhinos sans patientèle (qui sont donc hyper-compétents en génétique !) les risques que courrait l'humanité si les choses tournaient dans un mauvais sens... Pierre Chaillot est compétent dans un autre domaine : la statistique... et il a aussi été entraîné par l'obligation de rétablir des vérités déformées par des donneurs de leçons peu scrupuleux. L'une explique la teneur du mensonge et l'autre la manière de l'imposer. Ils ont en commun que le système n'a à leur opposer qu'insultes, ostracisme, boycott et exclusion....
Qui n'a pas vu, sur les chaînes du ''Sévice Public'', Michel Cymès et Laurent Alexandre le visage déformé par la haine, ne peut pas comprendre ! Comme Alain Fischer dans le Figaro, ou Rohart sur Télématin, ils hurlent ''je ne parle pas à des gens qui ne pensent pas comme moi''. L'autodafé n'est pas loin : déjà, ils en sont à ''il faut priver les déviants de parole !'', au nom de la Science et de la Démocratie. Faut-il qu'ils n'aient rien à dire pour n’être que véhéments, bêtes et méchants ! Ces gens-là sont une énigme : le temps qui passe et tout ce qu’on apprend est sans effet sur eux. En fait, le reproche de ''complotiste'' n'est qu'une autre forme du ''c'est çui qui l'dit... qui l'est'' des cours d'école maternelle. Comme Macron, ils sont sourds. Résultat : les français, surpris par cette violence injustifiée et ce déni du réel, les écoutent... et se précipitent pour acheter le livre... qui bat ainsi tous les records du genre, grâce à eux. Merci, les nuls ! Continuez surtout : ça fait avancer la vérité ! Contre vous. Et c'est très bien comme ça !
Revenons à nos moutons : personne n'a oublié cette pub (stupide et sans doute coûteuse !) : ''On peut discuter de tout, sauf des chiffres'' –bobard XXL s'il en est : les chiffres ont peu d'autre utilité que d'être discutés, comparés, expliqués, interrogés... Par exemple, si Pierre Chaillot dénonce le récit officiel cataclysmique, c'est ''chiffres et graphiques à l'appui''. Et s'il écrit ''Mortalité, tests, vaccins, essais cliniques, saturation des hôpitaux... les autorités ont tout utilisé pour jouer sur nos peurs et nous soumettre à l'inacceptable'', nous découvrons, stupéfaits, que ''Sitôt la pandémie déclarée, le 20 février 2020, le gouvernement a appliqué le plan Orsan REB qui habilitait 38 hôpitaux (sur 1500) à recevoir des patients étiquetés ‘’Covid''.
Nous avons donc été saoulés d'images d'hôpitaux noyés sous les cas de covid... pendant que l'activité des autres, jamais montrés aux JT, baissait --parfois de 50 %... ce qui explique (1)- pourquoi on continuait à supprimer des lits, ailleurs, (2)- pourquoi il fallait transférer les malades à l'autre bout du pays, à grands frais, alors qu'il y avait, à un ou deux jets de pierre, tous les équipements privés ou publics nécessaires et (3)- pourquoi il n’y avait que ...38 ''Experts-du-20-heures'' qui venaient pleurnicher sur nos écrans, en espérant un vaccin, leur seul espoir de mettre la tête hors de l'eau... Les médias ont été ridiculisés et nous, pris pour des pommes pendant 3 ans (à ce jour), à ceci près que eux n'ont toujours pas compris !
Autre monstruosité : ''Les consignes officielles étaient très claires : ''En cas de maladie avérée, prenez de la Doliprane et restez chez vous. Si votre état empire, appelez le 15''. On a interdit aux médecins de ville de soigner... et ''les malades arrivaient à l'hôpital dans un état lamentable... tandis que les patients victimes de crises cardiaques, terrorisés, restaient chez eux et y mouraient...''. Plus horrible encore : ''le 23 mars 2020 a été signé le criminel ''décret Rivotril'' qui intimait aux médecins l'ordre d'injecter ce produit à toute personne âgée qui présentait des difficultés respiratoires, ‘’sans même en prévenir les proches’’... alors que la notice du ''Vidal'' précise que ce produit ne doit jamais être prescrit en cas d'insuffisance respiratoire, le risque étant mortel''. (NB : qui a crié ‘’tout ça n’est pas vrai‘’ ?)
Un seul et ultime argument reste disponible aux ''patho-vax'' : une ''protection des cas graves''. (NDLR – ''Patho-vax'' est un mot que j'ai inventé : pourquoi ne pas les qualifier de ce qu'ils sont, eux, alors qu'ils ont affublé d'un ''anti-vax'' mensonger des gens qui ne sont anti-rien ?). Mais ce ''les cas graves'' est faux, comme tout le reste : ''aucun des essais cliniques reportés par Pfizer et Moderna n'a porté sur la protection des ''formes graves'', et nous avons tous connu des tri- ou des quadri-vaccinés qui sont morts de covid grave. Mais les labos, eux, ''ne cherchaient qu'à protéger d'un test positif'' (sic !). Donc...''on testait très peu les vaccinés et beaucoup les non-vaccinés... ce qui a fabriqué la légende du ''il y a plus de morts chez les non-vaccinés'', les chiffres actuels disant au contraire qu’il y aurait un peu plus de morts chez les vaccinés –chez Pfizer, en tout cas.
Leur absurde ''pass-sanitaire'', tellement infantilisant, humiliant, liberticide et inconstitutionnel (voir Fabius, habillé pour l'hiver, ci-après) a considérablement aggravé cette situation : ''les vaccinés n'avaient plus besoin de rien, mais les non-vaccinés avaient besoin d'un test pour boire un café, aller aux toilettes ou traverser la rue'', et il y avait donc, arithmétiquement, plus de positifs chez les non-vaccinés. Au seul souvenir de la psychose qui avait été inoculée de force à tous les braves gens et des tsunamis de contre-vérités déversés ''H 24'', on ne doit plus jamais croire un seul mot proféré par un seul de ces ''serial-menteurs'' devenus, par la loi des nombres, des assassins... Et Chaillot de conclure : ''la seule chose dont ce vaccin protège, c'est de faire un test''. Bravo, les mecs ! Ca, c’est du costaud !
Mais la terreur imposée et les menaces brandies étaient si violentes qu'il a fallu 2 ans pour qu'on ose commencer à dire ce qui était évident –car ceux qui ont ''ouvert leur gueule'' l'ont payé d'une ''mort sociale''... Pierre Chaillot confirme que le Conseil constitutionnel a validé la constitutionnalité de lois parfaitement liberticides (tout en rappelant que le job du fils de Fabius chez McKinsey ne serait pas étranger à cet autre scandale...)... ce qui fait aussitôt penser aux scandaleux ''feux verts'' du pseudo comité d'éthique (?), qui déclarait ''conforme'' tout ce qui venait d'en haut, fut-ce totalement amoral... et aussi au récent rachat de PornHub, le 1er site porno au monde, par le fonds d’investissement canadien Ethical Capital Partners, qui investit ‘’dans les secteurs exigeant des principes éthiques" (sic, dans ces 3 cas !).
La vérité, c'est qu'il n'y a pas eu de surmortalité et aucune des hécatombes annoncées en 2020, en 2021, si ce n'est, ''des hausses de mortalité suspectes, tombant pile au moment des campagnes de vaccination, dans tous les pays et pour toutes les tranches d'âge...'' ce qui est �� l'exact opposé de tout le discours officiel des Philippulus qui prêchent l'apocalypse, aujourd'hui encore ! ''Le seul constat indiscutable, c'est que les courbes de mortalité et de vaccination se suivent''... dit Chaillot, ce qui est en faveur de l'abandon de toute vaccination. On n’en est pas là !
Mais ''il reste interdit de critiquer la vaccination : l’omertà est totale’’.. Dire une chose à contre-courant du discours officiel sur le covid vous étiquette ''complotiste'' et fait de vous un gibier pour l'engeance néfaste, inutile et mortifère des soi-disant ''fact-checkers''. (NB - ces gens-là sont des ignares absolus sur tout sujet, ce qui les autoriserait (?) à raconter n'importe quoi : leur méthode consiste à sélectionner un seul ''fait'' (un bruit de caniveau fera l'affaire, s'il va dans leur bon sens), à l'ériger en ''vérité incritiquable'', et à imposer cette vision réductrice, contre des gens qui ont passé toute leur vie à étudier les mille facettes, nuances et complexités de la chose en question. Mais comme ils ne sont pas complètement fous, il n'existe, dans leur univers pourri, ni droit de réponse, ni discussion, ni références. C'est la vengeance des nuls sur ''ceux qui savent vraiment''. Il y en a une, hier, qui expliquait doctement (?) que Sarkozy aurait menti devant le Sénat ! On en revient, toujours, à Michel Audiard : ''Les cons, ça ose tout... et c'est même à ça qu'on les reconnaît !''.
Et ce n’est pas les lecteurs de l’Express qui vont ne pas reconnaître leur magazine dans cette jolie citation, cette semaine... encore que ses journalistes, totalement dépassés par ce qui se passe aux Etats-Unis, où la vérité éclate plus vite qu’en France (liberté oblige !) soient plutôt des adeptes du ‘’Quand on veut noyer son chien, on dit qu’il a la rage’’. Les chiens aboient, la caravane passe... Pauvres petits journaleux français qui n’ont pas vu que le confinement était terminé... Pour un Gérald Kierzec (Directeur médical de Doctissimo) combien de ces défenseurs d’époques révolues où la science se soumettait aux idioties du pouvoir politique ?
Résumé : aux Etats-Unis la vérité éclabousse peu à peu les mensonges et les peurs fabriquées de ces trois longues années, et on découvre... qu'il suffisait de ne rien faire de tout ce qui a été perpétré ! Il reste une question : a qui profitent ces crimes ? En France, on en est encore aux mensonges, aux interdits, et aux insultes ! Une chose est certaine : ‘’c’est pas demain’’... que vont changer les discours et les pratiques... pour notre plus grand malheur ! Pauvre France !
H-Cl.
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Jésus Christ… il n’y a de salut en aucun autre ; car il n’y a pas non plus d’autre nom sous le ciel, qui soit donné parmi les hommes, par lequel il nous faut être sauvés. Actes 4. 10, 12
[Nous avons] une pleine liberté pour entrer dans les lieux saints par le sang de Jésus. Hébreux 10. 19
✅ Pass salutaire
Nous avons peut-être été confrontés à l’interdiction d’entrer dans un lieu public parce que nous n’étions pas en mesure de présenter notre “pass sanitaire”. Quelle déception ! Que ce soit par oubli ou volontairement, ne pas avoir de pass m’interdisait de franchir la porte.
Faisons un parallèle avec un sujet très sérieux : il n’est pas possible d’entrer dans la présence de Dieu sans la foi en Jésus Christ. La Bible dit que c’est en lui seul que se trouve ce droit d’entrée. “À tous ceux qui l’ont reçu, il leur a donné le droit d’être enfants de Dieu, c’est-à-dire à ceux qui croient en son nom” (Jean 1. 12). Jésus seul nous lave de nos péchés qui nous interdisent l’accès à Dieu. Par le sacrifice de son Fils à la croix, Dieu accorde son pardon et ouvre le chemin vers lui. La démarche à suivre est claire : je crois en Jésus, mort et ressuscité pour moi, et je possède ce “pass” si précieux ; par contre, si je néglige ce moyen, je n’en ai pas…
Peut-être trouvez-vous cette affirmation trop tranchée… sauf que ce “pass”, cette lettre de grâce, attribuée à tous ceux qui l’acceptent, a nécessité les souffrances expiatoires du Fils de Dieu et sa mort. Marques d’un amour infini de la part de Dieu et de son Fils.
Lisez la Bible, en demandant à Dieu qu’il vous éclaire. Son message de grâce est pour moi, comme pour vous. Vous y trouverez ce texte de l’apôtre Jean : “Tout cela, je vous l’ai écrit afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu” (1 Jean 5. 13).
⦁ Lundi 8 juillet 2024
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Sonde-moi, ô Dieu ! et connais mon cœur ; éprouve-moi et connais mes pensées. Regarde s’il y a en moi quelque voie de malheur, et conduis-moi dans la voie éternelle. Psaume 139. 23, 24
✅ Fuite d’eau
Notre maison était ancienne et des taches apparaissaient sur un mur du salon. Suivant les conseils de nos amis, j’avais repeint le mur avec différentes peintures de bonne qualité. Mais les taches revenaient toujours. Alors que j’envisageais de démolir une partie du mur pour identifier le problème, certains de mes amis essayèrent de me dissuader, préférant critiquer la peinture, ou ma manière de l’appliquer ! Finalement, je m’attaquai au mur : une partie du plâtre s’effrita. Puis je découvris une canalisation défectueuse au niveau du plafond, et en essayant de l’atteindre, j’abimai un fil électrique. Maintenant il me fallait refaire une partie du circuit électrique et réparer le plafond. Ces travaux, a priori simples, ont pris du temps, avec des coûts imprévus… mais les taches avaient disparu !
Est-ce que cela n’illustre pas nos vies parfois ? Une mauvaise habitude, une addiction, une faute qui se répète souvent : nous prenons de bonnes résolutions, nous faisons toutes sortes d’efforts, mais rien ne change… parce que nous passons légèrement dessus, sans aller en profondeur. Reconnaissons sincèrement devant Dieu nos erreurs, nos faiblesses, nos lâchetés, n’essayons pas d’être celui ou celle que nous ne sommes pas. Demandons à Dieu de nous montrer les causes profondes de nos écarts. Ce sera peut-être douloureux sur le moment, mais il y aura ensuite des résultats très positifs pour notre vie chrétienne.
⦁ Mardi 9 juillet 2024
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