#sang troublant
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chapitre 2 / : scène de crime
Il était 22H30 quand 17 et 25 sont arrivée dans la rue des dames en rouge en tournent dans le chemin 221B , ils tombèrent sur un grand manoir là ou c'était passe le drame .des ruban jaune fluo son devant cette maison avec des agent des force de l'ordre cette scène et lente augmenter par les bruit des sirénées de la police les couleur se refléter dans la rue /du bleu et du rouge , rouge comme le sang est le rouge a coller se soir. Moana qui conduise la voiture ne savait pas quoi penser elle était comme déconcerter , alors elle arrêta leur transport .Steve descend très nerveux . les deux débutant se dirigent vers le manoir là attendais devant la porte en bois terrifiante, le sergent Haulm homme de grande taille avec des cheveux gris et des yeux noir. Un corps de bad boy ou de vilaine personne , matriculer de deux matricule car il était un haut grader 12/02 , son regard noir se pose alors sur eux.
-"bonsoir les nouveau comme allez-vous" dit t-il d'une voix démolit par la cigarette et alcool
Steve plus jeune que Moana pris alors la parole
-"nous allons bien monsieur que s'est t-il passer ici"
le sergent soupira alors en faisant signe de le suivre ils entrèrent tous le deux dans la maison , la premier chose qui les frappe ces odeur une odeur putride et lugubre avant d aller dans la chambre du défunt les trois collègue mirent des tenues pour l'hygiène de la scène de crime et enfin ils entrèrent .
-"la victime se nomme Antoine maxime née le 4 juin 2000 , vers 4H du matin la nuit dernière , le jardinier et passer pour prendre son cheque c'est la qu'il a découvert le corps ."
ils passaient en même temps proche du corps du jeune homme qui avait 29 ans , Moana regard le corps et se fige de terreur homme était nue ses vêtements , on était déchiré , son visage est défigurée ces organes son étaler au sol son coeurs était arracher seul ces yeux reste un regard de terreur , des symbole son graver sur son corps comme s'il était une bête a mangée , le lit est trempée dans le sang son matelas et rouge.le sang colle et il coulera toujours
le sergent reprend alors la parole
-"c'était un riche jeune homme mais il n'a jamais travailler ."
-"comment est-il mort" dit steve tellement effrayer
-"le médecin légiste dit de 24 coup de couteau ."
Moana regarda au dessus du mur un message et écrit avec le sang de la victime le message dit "Pour dieu j'élime les pécheur "le cœur de la victime était accrochée par l'arme du crime dans le mur
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De ta bouche, rose vermeille, Lorsque ta langue sort, pareille Au dard enivré d’une abeille, Le cœur ouvre l’aile, et s’éveille.
Mais le sang court à flots troublants, Quand l’essaim des baisers brûlants Sur tes seins, coteaux ronds et blancs, Mouille et mord tes boutons tremblants.
...
Henri Cantel
Ph. Tiziano Magni
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Les Secrets de la Nuit Rennaise : Une Vérité Qui Fait Froid dans le Dos
Par Éclaireur de l’Ombre
Rennes, une ville connue pour son dynamisme culturel et son histoire millénaire, dissimule peut-être un côté bien plus sombre que ses façades colorées ne le laissent paraître. Depuis plusieurs mois, j’ai recueilli des témoignages étranges, analysé des événements inexpliqués, et suivi des pistes qui mènent toutes à une conclusion troublante : Rennes pourrait être le théâtre d’un phénomène qui dépasse l’entendement.
Des disparitions sans explication
Avez-vous remarqué l’augmentation des disparitions inexpliquées ces dernières années ? Étudiants, noctambules ou simples passants semblent se volatiliser dans la nuit rennaise. Les autorités minimisent le problème, parlant de fugues ou de crimes isolés. Mais les chiffres ne mentent pas : les disparitions sont en hausse et suivent un schéma précis.
Témoignages glaçants
Je me suis entretenu avec un vigile qui travaillait près du centre-ville. Il affirme avoir vu une silhouette "inhumaine" bondir d’un toit à l’autre à une vitesse effrayante. "Ce n’était pas un humain, c’est sûr," m’a-t-il confié, encore sous le choc.
D’autres témoins parlent de rencontres troublantes dans les ruelles sombres de Rennes : des hommes et des femmes d’une beauté saisissante qui disparaissent comme des ombres, laissant derrière eux une étrange sensation de malaise.
Un lien avec les légendes urbaines ?
Rennes n’est pas étrangère aux histoires de créatures nocturnes. Certaines chroniques médiévales évoquent des "démons" rôdant dans la région, des êtres qui se nourrissent de la vitalité des vivants. Coïncidence ? Peut-être pas.
Des preuves troublantes
Lors de mes recherches, j’ai trouvé plusieurs anomalies :
Des photos floues montrant des silhouettes aux yeux brillants prises près du parc du Thabor.
Une série d’incidents où des animaux retrouvés exsangues dans les quartiers périphériques, comme si on leur avait retiré tout leur sang.
Des rumeurs persistantes sur une organisation secrète qui contrôlerait les nuits rennaises.
Un appel à la vigilance
Je ne prétends pas avoir toutes les réponses. Mais une chose est claire : Rennes cache des secrets qui méritent d’être dévoilés. Ceux qui marchent dans l’ombre ne veulent pas que vous sachiez la vérité. Mais ne vous inquiétez pas, je continuerai à creuser, pour vous, mes lecteurs.
Si vous avez été témoin de quelque chose d’étrange, contactez-moi via le formulaire anonyme de ce blog. Ensemble, nous pourrons révéler ce qui se trame dans les ruelles sombres de Rennes.
À bientôt, sous la lumière de la vérité.
Votre Éclaireur de l’Ombre.
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L’instinct de vérité
Chapitre 4 -> Un nouveau message.
»»————- ★ ————-««
Maya courait partout dans l'appartement, essayant de rassembler ses affaires. Son sac sur l'épaule, ses chaussures à moitié attachées, elle jeta un rapide coup d'œil à l'horloge.
"Bon sang, je vais être en retard !" grogna-t-elle en attrapant ses clés.
Emily, toujours assise à la table avec son café à moitié vide, leva les yeux. "Maya, il fait froid dehors. Tu vas attraper quelque chose. Mets un pull avant de partir."
"Pas le temps, vraiment ! Je suis déjà en retard," répondit Maya en ouvrant la porte à moitié, son souffle rapide.
Emily soupira, se leva calmement, attrapa le pull en laine gris qu'elle avait laissé sur le dossier de sa chaise, et le lui tendit. "Tiens, prends celui-ci. Enfile-le et file."
Maya hésita un instant, mais Emily la fixa avec ce regard autoritaire qui ne laissait pas de place à la discussion. "Allez, dépêche-toi."
Agacée mais reconnaissante, Maya attrapa le pull et l'enfila rapidement. Il était un peu large, mais incroyablement chaud, et l'odeur légère de parfum d'Emily s'en dégageait.
"Merci," lâcha-t-elle en un souffle avant de disparaître dans le couloir.
Emily resta un moment dans l'encadrement de la porte, un sourire discret sur les lèvres. "Fais attention, Maya," murmura-t-elle pour elle-même, avant de retourner à sa tasse de café refroidi.
Emily resta un instant immobile, appuyée contre la porte, les bras croisés. Elle regardait Maya descendre les escaliers en courant, son sac se balançant sur son épaule, le pull bien trop grand flottant légèrement à chacun de ses mouvements. Un sourire doux se dessina sur ses lèvres.
Elle secoua légèrement la tête, comme pour se réveiller d'une pensée intrusive. "Cette gamine...", murmura-t-elle, un mélange d'affection et de frustration dans la voix.
Mais au fond d'elle, Emily sentait que ses sentiments envers Maya devenaient de plus en plus difficiles à ignorer. Ce n'était pas seulement de la bienveillance ou un instinct protecteur. C'était... autre chose. Quelque chose de plus fort, de plus troublant.
Elle s'éloigna de la porte et retourna vers la cuisine, tentant de se changer les idées en rangeant son mug dans l'évier. Mais même en essayant de penser à autre chose, l'image de Maya, avec ce pull trop grand, continuait de flotter dans son esprit.
Emily poussa un soupir, s'appuya contre le plan de travail et ferma les yeux. "Tu t'attaches trop, Emily," se dit-elle à voix basse, presque comme un avertissement à elle-même. "C'est une gamine. Tu ne peux pas te permettre ça."
Mais une petite voix au fond d'elle lui rappelait que Maya n'était pas juste une "gamine". Elle était brillante, déterminée, et... captivante. Et plus le temps passait, plus Emily se sentait piégée entre ce qu'elle savait être juste et ce qu'elle ressentait réellement.
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
La tension monta d'un cran au lycée lorsqu'un second message fut découvert, bien plus effrayant que le premier. Cette fois, il ne s'agissait pas d'une menace générale, mais d'un nom clairement mentionné : "Samantha Grey", une élève populaire en dernière année.
Le message, écrit en grandes lettres rouges sur le tableau de la salle de biologie, disait :
"SAMANTHA GREY : TU ES LA PROCHAINE."
L'agitation ne tarda pas à se répandre dans les couloirs. Samantha, d'abord incrédule, se mit à paniquer lorsqu'elle réalisa qu'elle était spécifiquement ciblée. Des murmures se firent entendre parmi les élèves, chacun spéculant sur qui pouvait être derrière ces messages ou ce qu'ils signifiaient réellement.
Emily, rapidement alertée par le proviseur, se précipita sur les lieux en compagnie de Luke, qui avait décidé de rester près du campus après les récents événements. En arrivant dans la salle, elle observa le message avec une expression grave, son esprit déjà en train de faire des connexions avec l'enquête en cours.
— "Ils montent d'un cran," murmura Emily en examinant l'écriture.
Luke, qui se tenait à ses côtés, répondit :
— "C'est calculé. Ils savent qu'on est là, et ils veulent provoquer une réaction. Mais pourquoi Samantha ?"
Emily se tourna vers le proviseur.
— "Mettez Samantha sous surveillance immédiate. Et faites en sorte que les élèves restent calmes. Si la panique s'installe, ce sera encore plus difficile de gérer la situation."
Pendant ce temps, Maya, qui venait d'apprendre la nouvelle par Diego, sentit son estomac se nouer. Elle ne connaissait pas très bien Samantha, mais le simple fait qu'une de ses camarades soit ciblée la bouleversait.
"C'est quoi, ce délire...", murmura-t-elle en lisant un message envoyé par Diego avec une photo du tableau.
Diego, de son côté, répondit rapidement :
— "Ça devient grave, Maya. Promets-moi que tu fais attention."
Maya serra son téléphone, le regard perdu. Elle savait que cette situation devenait de plus en plus dangereuse, et bien qu'elle soit inquiète pour Samantha, elle sentait que le tueur envoyait un message bien plus large, un message qui pourrait bientôt les concerner tous.
Assise à une table isolée de la bibliothèque, Maya était plongée dans ses recherches. Son carnet ouvert devant elle, elle analysait les photos des deux messages laissés au lycée, prises discrètement avec son téléphone. L'un d'eux avait été nettoyé, mais Maya avait réussi à obtenir une copie grâce à Diego.
Les mots résonnaient dans son esprit, mais ce n'était pas seulement le contenu qui l'intéressait. Elle examinait les détails : la façon dont les lettres étaient formées, leur alignement, leur taille. Elle avait déjà noté que les deux messages semblaient avoir été écrits par la même main, ce qui confirmait qu'il s'agissait probablement du même individu.
Après des heures de recherches, ses yeux tombèrent sur un détail qu'elle n'avait pas remarqué auparavant.
— "Attends une seconde..." murmura-t-elle pour elle-même.
Elle zooma sur une partie de la photo du second message. Juste en bas à droite du tableau, il y avait une légère trace, presque effacée. On pouvait distinguer une empreinte de doigt... mais ce n'était pas ce qui l'interpellait. À côté de cette trace, une inscription minuscule semblait griffonnée, à peine visible.
"13:47."
Maya fronça les sourcils. Ce n'était ni l'heure à laquelle le message avait été trouvé ni une référence évidente. Elle vérifia l'heure à laquelle Samantha avait découvert le message : 14h15.
— "C'est une heure, mais elle a été écrite avant qu'on trouve le message..."
Elle se pencha encore plus sur ses notes. Après quelques instants, une hypothèse lui traversa l'esprit.
— "Et si c'était un indice pour l'heure où le message a été écrit ? Peut-être que le tueur savait exactement à quel moment il avait laissé sa trace."
Elle prit un autre carnet et commença à relier les informations. L'heure pouvait correspondre à un emploi du temps, à une surveillance... ou peut-être à une signature cachée, un défi à leur intelligence.
Sans perdre de temps, elle envoya un message à Diego :
— "Tu te rappelles si la salle de biologie était vide vers 13:47 ?"
Quelques minutes plus tard, il répondit :
— "Je crois que oui. Il y avait cours juste après. Pourquoi ?"
Maya réfléchit. Si la salle était vide à cette heure-là, cela signifiait que le tueur avait peut-être choisi ce moment précis pour agir. Elle griffonna une dernière hypothèse dans son carnet :
"13:47 = heure exacte où le message a été écrit. Tueur sait quand il ne sera pas vu."
Mais une autre pensée lui traversa l'esprit, plus effrayante. Si le tueur avait laissé cette heure comme indice, cela signifiait qu'il voulait être trouvé... ou qu'il jouait un jeu. Maya sentit un frisson lui parcourir l'échine.
Elle regarda autour d'elle dans la bibliothèque. Qui qu'il soit, ce tueur semblait être bien plus proche qu'ils ne le pensaient.
Maya, toujours assise à la bibliothèque, continuait d'envoyer des messages à Diego tout en griffonnant dans son carnet.
— Maya : "Je crois que ce mec joue avec nous. Il veut qu'on suive ses indices, c'est comme une chasse au trésor macabre."
— Diego : "Macabre, c'est le mot. Mais pourquoi toi tu t'acharnes autant à trouver ces trucs ? Tu devrais laisser la police s'en charger."
— Maya : "Parce qu'ils ne sont pas assez rapides."
Diego répondit immédiatement :
— "Pas assez rapides ? Maya, tu te rends compte que c'est dangereux ? Ce type pourrait aussi te viser."
Maya roula des yeux, bien qu'elle sache qu'il avait raison.
— Maya : "Diego, je sais ce que je fais. Ce n'est pas la première fois que je fais face à ce genre de situations."
Diego, intrigué, tapa une réponse rapide :
— "Pas la première fois ? T'es sérieuse ? Maya, c'est pas un truc normal. Explique-toi."
Maya hésita. Elle était allée trop loin dans ses confidences. Mais une part d'elle avait envie de se confier à Diego, son seul vrai ami. Elle soupira et commença à taper :
— Maya : "Disons que... quand tu grandis avec des gens qui ne suivent pas les lois, tu apprends à lire entre les lignes. À comprendre des esprits tordus."
Le message partit avant qu'elle ne puisse se raviser. Elle mordilla sa lèvre inférieure, nerveuse.
Quelques secondes plus tard, son téléphone vibra.
— Diego : "Attends. Tu veux dire que ça a un lien avec ta famille ?"
Maya sentit son cœur s'emballer.
— Maya : "Diego, laisse tomber. Ce n'est pas important. Promets-moi juste de ne pas poser de questions."
— Diego : "Maya, t'es en train de me dire que t'es liée à des trucs illégaux et tu veux que je fasse comme si de rien n'était ? Sérieusement ?"
Maya serra les poings. Elle savait qu'il n'abandonnerait pas facilement.
— Maya : "Je ne suis pas liée à ça, OK ? Mais certaines personnes dans ma famille l'ont été. Et c'est compliqué. C'est pour ça que je fais tout pour que personne ne le sache."
Diego ne répondit pas tout de suite. Après quelques longues secondes, il envoya finalement :
— "OK. Je ne dirai rien. Mais promets-moi une chose : si ça devient trop risqué, tu lâches l'affaire. Je t'interdis de te mettre en danger pour ça."
Un léger sourire traversa le visage de Maya.
— Maya : "Je te promets d'essayer. Mais tu sais bien que je ne sais pas m'arrêter."
Diego soupira dans un autre message :
— "Ouais, et c'est bien ça qui m'inquiète. Fais gaffe, Maya."
Maya mit son téléphone de côté, le regard fixé sur son carnet. Elle appréciait la loyauté de Diego, mais elle savait qu'il avait raison de s'inquiéter. Pourtant, il était hors de question qu'elle recule maintenant. Si ce tueur voulait jouer à un jeu, alors elle allait jouer aussi.
Maya venait à peine de poser son téléphone sur la table quand il vibra de nouveau.
— Diego : "Oh, au fait, joli pull. Il te va bien."
Elle fronça les sourcils, perplexe.
— Maya : "Quel pull ?"
— Diego : "Celui que tu portes. Je l'ai vu ce matin au lycée, il est beaucoup trop grand pour toi. Laisse-moi deviner... il appartient à Emily ?"
Maya rougit légèrement, se mordillant l'intérieur de la joue.
— Maya : "Et alors ? C'est quoi ton problème avec ça ?"
— Diego : "Aucun problème, je trouve juste ça mignon. Une prof du FBI qui te file son pull pour que tu n'attrapes pas froid. On dirait une scène de film romantique."
Maya roula des yeux, un sourire amusé se dessinant malgré elle.
— Maya : "T'es débile."
— Diego : "Non mais sérieux, c'est bizarre quand même, non ? Genre... elle s'inquiète beaucoup pour toi, tu trouves pas ?"
Maya s'arrêta un instant, réfléchissant à la question. Oui, Emily était protectrice, parfois même un peu trop. Mais elle mettait ça sur le compte de son rôle de professeure et de son instinct de fédéral.
— Maya : "Elle est juste comme ça. Une bonne personne. Elle prend soin de moi parce qu'elle sait que ma situation est compliquée. C'est tout."
Diego ne semblait pas convaincu.
— Diego : "Mmh, OK, si tu le dis. Mais j'suis sûr qu'elle ferait pas ça pour n'importe quel élève. Elle te porte un peu dans son cœur, non ?"
Maya soupira, agacée mais amusée.
— Maya : "Arrête avec tes théories. Elle est juste gentille, c'est tout."
— Diego : "Gentille ? Maya, gentille c'est quand on te prête un stylo ou qu'on t'explique un truc en classe. Là, c'est différent. Elle te loge, te protège, et maintenant elle te file ses fringues. Je dis juste... réfléchis-y."
Maya leva les yeux au ciel et écrivit rapidement :
— Maya : "Arrête de jouer les psy à deux balles. On parle d'autre chose maintenant ?"
— Diego : "OK, OK. Mais j'te préviens, si un jour elle t'offre un café et que tu rougis, je te ferai la remarque."
Maya éclata de rire, attirant l'attention de quelques personnes autour d'elle à la bibliothèque. Elle secoua la tête en tapant sa réponse.
— Maya : "T'es insupportable."
— Diego : "Mais tu m'adores. Allez, file travailler sur ton enquête, Sherlock."
Elle posa son téléphone, toujours en souriant. Diego avait ce don de détendre l'atmosphère, même dans les situations les plus tendues. Pourtant, une part d'elle ne pouvait s'empêcher de repenser à ce qu'il avait dit. Emily faisait-elle vraiment tout ça uniquement par gentillesse ?
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
Emily se tenait devant la classe, son regard passant lentement sur chaque élève présent. L'ambiance était lourde, tendue, alors qu'elle annonçait son intention.
— "Écoutez, je sais que ces messages ont semé la peur et l'incertitude parmi vous. Mais plus nous en savons, plus nous avons une chance d'identifier qui est derrière tout ça et de vous protéger."
Les élèves échangèrent des regards nerveux, certains hochant timidement la tête. Emily continua :
— "Si quelqu'un a remarqué quelque chose, même un détail qui pourrait sembler insignifiant, c'est le moment de le partager."
Un silence pesant s'installa dans la salle. Quelques élèves hésitaient, d'autres fixaient leurs cahiers ou leurs chaussures. Emily les laissait prendre leur temps, consciente que parler d'une telle situation n'était pas facile.
Enfin, un élève leva timidement la main.
— "J'ai remarqué que les messages sont toujours laissés dans des endroits très fréquentés, comme s'ils voulaient qu'un maximum de gens les voient tout de suite."
Emily acquiesça, encourageant :
— "C'est une bonne observation. Ça montre que le coupable cherche à provoquer une réaction collective. Quelqu'un d'autre ?"
Une autre élève prit la parole, évoquant les similitudes entre les menaces et des éléments qu'ils avaient étudiés dans le cours de profilage.
Emily écoutait attentivement, posant des questions pour les guider, mais son attention revenait sans cesse à Maya.
Assise au fond de la classe, Maya était étrangement silencieuse. Elle croisait les bras, le regard baissé, jouant distraitement avec un stylo. Elle ne participait pas, ce qui était inhabituel pour elle, surtout dans un contexte aussi lié au cours.
Emily finit par poser une question générale, s'adressant à tous :
— "Certains d'entre vous ont peut-être entendu des rumeurs ou vu des comportements étranges ? Maya, tu as quelque chose à ajouter ?"
Tous les regards se tournèrent vers Maya, mais elle releva à peine la tête.
— "Non... rien de particulier."
Emily fronça légèrement les sourcils.
— "Tu es sûre ? Toi qui es si observatrice, rien ne t'a frappée ?"
Maya secoua la tête, ses doigts serrant le stylo un peu plus fort.
— "Non, désolée. Je n'ai rien remarqué."
Emily sentit une tension palpable dans la réponse de Maya. Quelque chose n'allait pas.
Après quelques autres interventions des élèves, Emily conclut la discussion, les remerciant pour leur participation et les rassurant sur le fait qu'ils étaient pris en charge. Mais dans un coin de son esprit, l'inquiétude pour Maya grandissait.
Maya, de son côté, rassemblait ses affaires, évitant soigneusement le regard d'Emily. Elle savait qu'elle n'avait pas été convaincante. Mais elle ne pouvait pas risquer de dire quoi que ce soit. Chaque mot de trop pouvait mettre en danger son père, ou révéler des vérités qu'elle préférait garder enterrées.
La cloche sonna, et les élèves commencèrent à sortir de la salle en discutant à voix basse. Maya resta assise à sa place, fixant son carnet, hésitante. Emily rangeait ses affaires sur son bureau, mais elle gardait un œil sur Maya, sentant qu'elle voulait lui parler.
Quand le dernier élève passa la porte, Emily se tourna vers elle.
— "Tu veux me dire quelque chose, Maya ?" demanda-t-elle doucement.
Maya releva la tête, cherchant les mots.
— "Oui, je... J'ai trouvé quelque chose à la bibliothèque hier soir. Sur les messages."
Emily s'approcha, ses yeux se plissant d'intérêt.
— "Qu'est-ce que tu as trouvé ?"
Maya sortit un morceau de papier de son sac et le posa sur le bureau d'Emily.
— "J'ai remarqué que les mots utilisés dans les messages correspondent à des phrases tirées d'un vieux livre de criminologie. J'ai trouvé une copie à la bibliothèque, et plusieurs passages sont surlignés. Ça ressemble à une sorte de guide pour le tueur."
Emily prit le papier, son regard allant de l'écriture de Maya aux notes précises qu'elle avait prises.
— "C'est une découverte incroyable, Maya," murmura Emily, ses yeux brillant d'admiration.
Maya sourit légèrement, un peu gênée.
— "Je voulais vous le dire plus tôt, mais... je ne savais pas si ça aiderait vraiment."
Emily posa une main sur l'épaule de Maya, la serrant doucement.
— "Bien sûr que ça aide. Ce que tu fais, c'est important. Mais tu ne devrais pas porter ça toute seule."
Le ton chaleureux d'Emily envahit Maya, qui se détendit légèrement sous la pression légère de sa main. Emily, absorbée par l'instant, ne réalisa pas immédiatement qu'elle laissait sa main glisser un peu plus bas sur le bras de Maya.
— "Tu es vraiment talentueuse, tu sais ça ?" dit Emily en la regardant avec un sourire sincère.
Maya sentit une chaleur monter en elle, à la fois à cause des mots et du contact.
— "Merci..." murmura-t-elle, ses joues prenant une teinte rosée.
Emily se rapprocha un peu plus, comme pour capter toute son attention.
— "Mais tu dois faire attention, d'accord ? Si quelqu'un découvre que tu enquêtes de ton côté, ça pourrait devenir dangereux."
Leur proximité devenait plus palpable, et Emily posa une seconde main sur l'autre épaule de Maya, la regardant intensément dans les yeux.
— "Je suis là pour te protéger, Maya," murmura Emily, sa voix presque un souffle.
Maya hocha doucement la tête, captivée par l'intensité de son regard.
— "Je sais... et je vous fais confiance," répondit-elle dans un souffle.
Emily, se rendant compte de la proximité, recula légèrement, rompant l'intensité du moment.
— "Bon, je vais transmettre ce que tu as trouvé à l'équipe. Tu as fait un excellent travail."
Maya hocha la tête, mais elle ne pouvait pas s'empêcher de ressentir une étrange chaleur dans la pièce, un mélange de respect et de quelque chose de plus profond qu'elle n'osait pas nommer.
Maya glissa sa main dans son sac pour sortir une note de papier et un livre qu'elle avait emprunté. Avant de se lever, elle hésita un instant, puis s'adressa à Emily avec un sourire timide.
— « Au fait... Je vais laver le pull que vous m'avez prêté et vous le rendre dès que possible. Promis. »
Emily leva les yeux vers elle, l'observant attentivement. Son regard s'attarda sur le pull qui, en effet, allait parfaitement à Maya, épousant ses formes de manière discrète mais élégante.
— « Oh, gardez-le, s'il vous plaît, » répondit Emily avec un sourire en coin.
Maya, surprise, haussa les sourcils.
— « Vraiment ? Je pensais que c'était votre préféré. »
Emily se rapprocha légèrement du bureau, croisant les bras, un air détendu mais sérieux sur le visage.
— « Il l'est peut-être... mais il te va bien. »
Le ton qu'elle avait employé était sincère, presque tendre, ce qui fit légèrement rougir Maya.
— « Eh bien... merci, je suppose, » répondit-elle en riant doucement, ses doigts jouant machinalement avec le bord des manches du pull.
Emily hocha simplement la tête, son sourire toujours présent.
— « C'est un cadeau, Maya. Parfois, les choses trouvent juste leur place ailleurs. »
Maya baissa les yeux, ne sachant trop quoi répondre à ça, mais une chaleur agréable l'envahit.
— « Je vais essayer de ne pas trop l'abîmer, alors, » dit-elle finalement avec un petit sourire espiègle.
Emily se contenta de rire doucement avant de jeter un coup d'œil à l'horloge.
— « Allez, file, tu vas finir par être en retard à ton prochain cours. »
Maya hocha la tête, s'éloignant du bureau, mais avant de sortir, elle se retourna.
— « Merci pour tout, vraiment. Pas juste pour le pull, mais pour... tout le reste. »
Emily la fixa un instant, touchée par ses mots, avant de répondre.
— « Toujours là pour toi, Maya. »
Et avec ces mots, Maya sortit, laissant Emily seule dans la salle. Un soupir s'échappa des lèvres d'Emily, son regard se posant là où Maya se tenait quelques secondes plus tôt.
— « Ce pull lui va vraiment trop bien, » murmura-t-elle pour elle-même avant de reprendre ses affaires, un sourire imperceptible sur les lèvres.
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
Le soir venu, Marcus attendait Maya dans le bureau sombre du club. Lorsqu'elle entra, il la fixa d'un regard perçant, les bras croisés sur son torse.
— « Viens ici. »
Maya sentit immédiatement la tension dans l'air et s'approcha lentement, s'installant sur une chaise en face de lui, évitant de croiser son regard.
— « J'ai entendu dire que tu t'impliquais dans cette enquête. » La voix de Marcus était calme, mais il y avait une menace sous-jacente.
Maya détourna légèrement le regard, nerveusement.
— « Je n'ai rien fait de mal, papa. Je veux juste comprendre ce qui se passe. »
Marcus se pencha en avant, ses yeux sombres fixant les siens.
— « Comprendre ce qui se passe ? Ce n'est pas ton problème, Maya. Tu n'as rien à voir là-dedans. »
Maya serra les poings, essayant de garder son calme, mais elle ne pouvait ignorer la peur qui grandissait en elle.
— « Mais je ne peux pas juste rester là à rien faire alors que des gens meurent, papa. »
Marcus se leva brusquement, son visage à quelques centimètres du sien.
— « Et tu penses que tu peux t'impliquer sans conséquences ? Tu veux comprendre ? C'est comme ça qu'on te tue, Maya. »
Elle se redressa, le défi dans le regard.
— « Si je reste là sans rien faire, je me sens comme une spectatrice. J'ai des informations, je peux aider. »
Marcus la regarda, son visage durci par la colère.
— « Si tu dis quoi que ce soit, si tu creuses trop profondément, tu vas te retrouver dans une situation bien pire que tu ne peux imaginer. »
Maya sentit son cœur battre plus vite. Il avait raison, mais elle ne pouvait pas rester les bras croisés.
— « Je ne dirai rien sur toi, ni sur la famille, papa. Je te le promets. »
Marcus la fixa intensément.
— « Fais attention, Maya. Parce qu'une fois que tu t'impliques, il n'y a pas de retour en arrière. Tu vas détruire tout ce que tu connais. »
Elle hocha la tête, essayant de dissimuler la peur qui grandissait en elle.
— « Je comprends, papa. Mais je vais continuer à chercher la vérité, même si tu n'es pas d'accord. »
Marcus serra les poings, un éclat de rage dans les yeux.
— « Fais ce que tu veux, mais n'oublie pas ce que je t'ai dit. »
Elle se leva, le cœur lourd, mais déterminée à ne pas laisser cette menace la paralyser. En sortant du bureau, elle jeta un dernier regard à son père, se demandant si elle avait pris la bonne décision.
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
Emily se rend au BAU, où l'atmosphère est tendue. Luke et JJ l'attendent déjà autour d'une table de conférence, les yeux fixés sur l'écran d'un ordinateur où une série de photos de suspects et de scènes de crime s'affichent.
— "Emily, tu es là juste à temps," commence Luke, en se levant pour la saluer. "On a une idée pour piéger le tueur. On va organiser une rencontre fictive."
Emily fronce les sourcils, intéressée, mais aussi prudente.
— "Une rencontre fictive ?" demande-t-elle.
JJ, assise à côté de Luke, se penche en avant et explique le plan.
— "L'idée, c'est de faire croire qu'on a trouvé un suspect, qu'on l'a suivi jusque dans un lieu isolé. On va lancer cette rumeur sur le campus et voir si le tueur se précipite pour éliminer la menace."
Emily réfléchit un instant, analysant les risques.
— "Et Maya ? Elle est au courant ? Vous savez qu'elle est déjà impliquée, et elle pourrait être en danger si le tueur s'en prend à elle."
Luke hoche la tête, un regard sérieux dans ses yeux.
— "On la tiendra à l'écart. Personne ne la mettra en danger. Mais si on parvient à attirer le tueur, on pourra le prendre sur le fait."
Emily hésite, jetant un regard vers JJ.
— "Et comment on va garantir que ça fonctionne ?"
JJ répond rapidement, un petit sourire déterminé sur le visage.
— "On va utiliser un 'faux suspect' pour faire monter la tension. L'idée est de manipuler les informations pour que le tueur croie qu'on a un témoin clé, quelqu'un qui pourrait nous aider à résoudre l'enquête."
Emily se tourne vers Luke, cherchant un signe d'assurance.
— "Tu penses que ça va marcher ?"
Luke répond sans hésitation, ses yeux d'un bleu perçant fixant Emily.
— "Si on fait ça bien, ça pourrait nous donner exactement ce qu'il nous faut. Mais ça nécessite un timing parfait."
Emily soupire, sentant l'adrénaline monter dans ses veines. Elle se lève et se dirige vers l'armoire à dossiers.
— "Alors, faisons-le. Mais si quelqu'un doit risquer sa vie, ça ne sera pas Maya."
JJ sourit, reconnaissant la détermination d'Emily.
— "On va te tenir au courant. C'est maintenant ou jamais."
Emily hoche la tête, jetant un dernier regard à l'équipe.
— "Soyez prêts pour tout. On ne sait pas ce qui peut arriver."
Elle se tourne alors vers l'ordinateur, fixant les photos du tueur, prête à tout pour mettre fin à cette menace. Mais au fond d'elle, un pressentiment la trouble : tout cela pourrait bien les entraîner dans une spirale dangereuse dont il serait difficile de sortir.
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
Alors que Maya est dans sa chambre, plongée dans ses pensées, son téléphone vibre soudainement. Elle regarde l'écran : un message inconnu, crypté, s'affiche. Ses mains tremblent légèrement en l'ouvrant. Le message est court, mais les mots sont choisis avec soin, comme s'ils avaient été faits pour la déstabiliser.
"Tu sais trop de choses, et tu n'es plus en sécurité. Il est trop tard pour revenir en arrière."
Maya sent un frisson parcourir son dos. Son cœur s'accélère, l'adrénaline se répand dans ses veines. Le tueur sait qu'elle enquête, mais il ne sait pas à quel point elle est impliquée. Pourtant, ce message a un ton menaçant qui ne laisse aucune place au doute : elle est en danger.
Elle jette un rapide coup d'œil autour d'elle. Emily lui a toujours dit qu'elle devait être prudente, mais Maya sait que cette menace, elle ne pourra pas la fuir indéfiniment. Elle doit en savoir plus, seule. Si elle peut trouver un indice clé, elle pourrait enfin mettre un terme à ce chaos, mais elle doit agir sans que personne ne sache ce qu'elle fait.
Elle ferme son téléphone avec un soupir lourd, son esprit bouillonnant. Elle ne peut pas en parler à Emily, elle sait que cette dernière serait contre l'idée de l'impliquer davantage, mais Maya sent qu'elle n'a pas d'autre choix. Ce message pourrait être la clé. Elle sait que si elle part seule à la bibliothèque, ou n'importe où ailleurs, elle risquerait d'attirer l'attention. Pour l'instant, elle préfère garder son enquête secrète et ne pas inquiéter Emily, même si une part d'elle aimerait pouvoir tout lui confier.
Elle se lève et marche lentement vers la cuisine, cherchant à se distraire en préparant un thé. Mais son esprit reste agité, incapable de se concentrer sur quoi que ce soit d'autre. La pensée de ce message et de ce qu'il implique ne la quitte pas.
Alors qu'elle fait bouillir de l'eau, Maya se rend compte qu'elle est seule avec ses pensées, et les idées commencent à tourner en boucle. Emily a raison, elle ne doit pas tout faire toute seule. Mais est-ce vraiment sûr de tout lui dire ? Elle se demande si Emily la protégerait ou si elle finirait par la considérer comme une gêne.
L'eau bouillante déborde légèrement, ce qui la sort de ses pensées. Maya souffle un coup, agacée de ne pas pouvoir être tranquille ne serait-ce qu'un moment. Elle regarde autour d'elle et entend des bruits venant de l'extérieur, peut-être des pas dans le couloir. Elle se précipite pour éteindre la bouilloire, essayant de faire taire cette sensation de malaise qui l'envahit.
Elle se dirige vers le salon et s'assoit, en attendant Emily, en espérant que la soirée se passe sans autre incident. Mais dans son esprit, elle sait que ce n'est que temporaire. Les menaces sont réelles, et elle doit être prête à agir, même si elle ne peut pas le faire en toute sécurité pour le moment.
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
Maya, bien que toujours nerveuse à l'idée de tout révéler, décide de se rendre au BAU. Elle sait qu'elle ne peut plus rester dans l'ombre, surtout après avoir découvert certains détails sur le tueur. Une partie d'elle se sent responsable, comme si elle avait un rôle à jouer dans cette enquête.
Lorsqu'elle arrive au BAU, elle cherche d'abord Rossi. Elle le trouve dans un coin tranquille, en train d'examiner des documents. Maya s'assoit devant lui, son regard sérieux.
"Rossi, il faut que je vous parle," commence-t-elle, les mains légèrement tremblantes. "Je suis impliquée dans cette enquête plus que vous ne le pensez."
Rossi relève les yeux, surpris, mais attentive. "Tu veux dire que tu as trouvé quelque chose ?"
Maya hésite un instant, puis décide de tout dire. "J'ai trouvé un message. Un message cryptique... et il me semble qu'il est lié au tueur. Mais je n'ai pas voulu en parler à Emily, je... je ne veux pas qu'elle prenne ça pour un coup de pression."
Rossi fixe Maya pendant un moment, ses yeux scrutant son visage. "Écoute, Maya. Si tu as quelque chose qui pourrait nous aider, on doit le savoir. Je comprends que tu veuilles protéger Emily, mais parfois... il faut être honnête avec elle."
Avant que Maya n'ait le temps de répondre, Emily entre dans la pièce. Elle se tourne immédiatement vers Maya avec une expression préoccupée. "Qu'est-ce qu'il y a, Maya ?"
Maya se redresse, un peu prise au dépourvu. "Je... je voulais juste parler à Rossi."
Emily fronce les sourcils. "De quoi ?"
Rossi prend la parole avant que Maya ne puisse répondre. "Elle a trouvé un indice qui pourrait être lié au tueur, Emily. Et je pense qu'elle pourrait être un atout pour l'enquête."
Emily secoue la tête, visiblement hésitante. "Non, ce n'est pas une bonne idée. Maya, tu n'as pas à te mêler de ça. Tu es en danger."
Maya se tient fermement, son regard déterminé. "Mais je suis déjà impliquée. J'ai trouvé des choses que vous ne pouvez pas ignorer. Et je veux aider."
Rossi la soutient, un léger sourire sur le visage. "Je suis d'accord avec elle, Emily. Parfois, les meilleures informations viennent de ceux qui sont directement touchés. Si elle veut nous aider, pourquoi ne pas l'accepter ?"
Emily reste silencieuse un moment, puis pousse un léger soupir. "D'accord, mais tu restes sous ma surveillance, Maya. Je ne veux pas que tu prennes des risques inutiles."
Maya hoche la tête. "Je comprends."
Rossi sourit à Emily. "Il semble qu'on ait un nouveau membre dans l'équipe, alors. Bienvenue, Maya."
Maya regarde Emily, un peu plus rassurée, mais elle sent qu'elle doit prouver qu'elle peut être utile à l'équipe, tout en restant fidèle à ses engagements.
Emily, toujours sur ses gardes, ne parvient pas à cacher son agacement. Elle se tourne vers Maya, un air de frustration visible sur son visage. "Non, Maya, tu rentres . C'est bien trop dangereux pour toi. Je ne vais pas te laisser courir ce risque."
Maya fronce les sourcils, son ton devenu plus ferme. "Je sais ce que je fais, Emily. Et je suis impliquée, tu ne peux pas me forcer à rester à l'écart."
"Je ne te force pas, mais je te dis que c'est dangereux !" Emily hausse la voix, ne supportant pas l'idée de voir Maya se mettre en danger. "Tu es trop précieuse pour ça, tu n'as rien à prouver. Et en plus, tu n'as aucune idée des risques auxquels tu t'exposes."
Maya, blessée par l'attitude protectrice et un peu condescendante d'Emily, croise les bras. "Tu crois que je ne suis pas capable de m'en sortir toute seule ?"
Rossi, qui avait observé la scène avec calme, intervient doucement, mais avec une certaine fermeté. "Emily, je comprends tes préoccupations, mais Maya a un point. Elle a trouvé quelque chose qui pourrait nous aider. On ne peut pas ignorer ça."
Emily souffle, ses yeux se fermant brièvement. "Je ne veux pas la mettre en danger, Rossi. C'est ma responsabilité, et je ne peux pas la laisser s'impliquer davantage. Pas dans ce genre de situation."
Maya se rapproche d'Emily, son regard maintenant plus déterminé que jamais. "Je suis capable, Emily. Et tu ne peux pas toujours me protéger. C'est moi qui dois prendre des décisions maintenant, et je veux être impliquée."
Un silence lourd s'installe entre les deux femmes, et Emily se contente de regarder Maya, ses pensées tourbillonnant. "D'accord, mais je ne veux pas que tu prennes de risques inutiles. Si tu veux vraiment aider, tu fais exactement ce qu'on te dit. Compris ?"
Maya acquiesce, mais une frustration palpable se cache derrière son regard. "D'accord. Mais ne t'inquiète pas pour moi. Je sais ce que je fais."
Après un long moment de silence, Emily s'adresse à Rossi, son ton plus calme mais toujours empreint de préoccupations. "Tu sais bien que je ne veux pas que Maya soit en danger, mais je dois aussi la protéger d'elle-même. C'est compliqué."
Rossi hoche la tête, un air de compréhension dans ses yeux. "Je vois. Tu t'inquiètes pour elle, et je pense qu'elle commence à comprendre ce que tu ressens. Mais parfois, Emily, il faut lui laisser la chance de se prouver. Elle est plus forte qu'on ne le pense."
Emily, prise entre ses responsabilités professionnelles et ses sentiments personnels envers Maya, regarde longuement Rossi, un léger soupir s'échappant de ses lèvres. "Tu penses qu'elle peut gérer ça ?"
Rossi pose une main réconfortante sur l'épaule d'Emily. "Je pense que tu sous-estimes sa détermination. Mais sois prudente, Emily. Ce n'est pas seulement le travail qui te touche ici, c'est aussi le cœur."
Emily regarde Maya, qui s'éloigne, le regard concentré, prête à jouer un rôle plus important dans l'enquête. Une pointe de malaise traverse le cœur d'Emily, mais elle n'a pas d'autre choix que d'accepter que Maya soit désormais une part essentielle de cette mission.
"Je vais devoir m'y faire, mais je vais la protéger à ma manière," murmure Emily, les yeux fixés sur la silhouette de Maya qui se dirige vers l'issue du BAU.
Luke et JJ, qui avaient écouté la conversation entre Emily et Maya depuis un coin discret de la salle, échangent des regards complices. Ils attendent quelques instants, puis JJ brise le silence en souriant, un air malicieux sur le visage.
"Alors, Luke... Qu'est-ce que t'en penses ?" dit-elle, en croisant les bras.
Luke, qui avait observé Emily d'un œil discret, se penche légèrement en avant, un sourire en coin. "Oh, je pense que c'est évident. Emily est totalement à fond. Si ce n'était pas clair avant, je crois que ce petit échange l'a bien confirmé."
JJ éclate de rire, secouant la tête. "Je savais que ça finirait par arriver. Elle est complètement à cheval entre sa mission de protéger Maya et... ce qu'elle ressent pour elle."
Luke hoche la tête en signe d'accord, un sourire plus large se dessinant sur son visage. "C'est vraiment drôle de voir Emily dans cette situation. D'habitude, elle garde tout sous contrôle. Mais là, elle a l'air complètement perdue, comme si elle ne savait pas quoi faire de ses sentiments."
"Et puis, Maya... Elle joue à un jeu dangereux. Elle pousse Emily dans ses retranchements à chaque fois," ajoute JJ, amusée, tout en se frottant le menton d'un air pensif. "Je me demande combien de temps Emily va réussir à maintenir cette façade d'indifférence. Elle est tellement protectrice, c'est évident qu'elle tient à elle. Et plus elle essaie de la repousser, plus Maya semble vouloir s'impliquer."
Luke prend un instant avant de répondre, un air presque pensif. "Tu crois qu'Emily le réalise ? Parce que si elle ne le voit pas, Maya, elle... elle commence à jouer son propre jeu, et ça pourrait bien compliquer les choses pour les deux."
JJ fronce légèrement les sourcils, son ton devenant plus sérieux. "Je pense qu'Emily est consciente, mais elle essaie de garder une certaine distance. Elle a cette barrière protectrice, tu sais ? Mais c'est aussi ce qui la rend plus vulnérable."
Les deux échangent un regard entendu avant que Luke ne réponde à voix basse, comme s'il réfléchissait à la situation. "Quoi qu'il en soit, ça risque d'être intéressant de voir comment cette histoire va évoluer. Maya est plus que déterminée, et Emily... Emily est perdue dans son propre déni."
"Et toi, tu penses qu'ils finiront par s'avouer ce qu'ils ressentent ?" demande JJ, un léger sourire espiègle sur ses lèvres.
Luke se contente de hausser les épaules, son regard amusé. "On verra bien, mais ça pourrait bien être un vrai feuilleton ici. Emily ne sera pas la seule à devoir faire face à ses sentiments."
Les deux agents se lancent un dernier regard amusé avant de se tourner vers l'endroit où Emily se trouve, qui, malgré son masque de professionnalisme, semble un peu plus perturbée qu'à l'accoutumée.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
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Je me permets d'extraire un petit bout de ma conversation en cours avec la charmante (❤️) @joannerowling parce que j'aimerais bien faire cette réponse en public : il en va de l'histoire récente de la Gauche et de certains mouvements de société qui me semblent largement occultés, justement, par elle, au profit de son clientélisme actuel et de son discours détourné de son ��lectorat historique.
@joannerowling :
Je sais pas, écoute, j'ai peut-être perdu de mon idéalisme depuis les dernières élections ? Aujourd'hui je pense que les mouvements politiques arrivent pour des raisons plus profondes que la manipulation des élites. Quand Mélenchon avait un discours plus socialiste en 2017, il n'a même pas pu battre Fillon, et dieu sait que celui-ci s'est fait laminé médiatiquement, ET bouffé par deux autres "droites". J'en arrive à la conclusion que les français sont… de droite. Déso ?
... La défaite de Mélenchon en 2017 cache en réalité une formidable remontée de la Gauche, grâce à sa campagne audacieuse ; il ne faut pas oublier qu'on sort d'une répression massive d'un mouvement social de grande ampleur contre la Loi Travail (Macron-El Khomri) matée par Valls dans le sang et les larmes — c'est en 2016 que l'on a commencé de servir d'armes de guerre contre les manifestants, avec les premiers mutilés. À l'époque, le Parti Socialiste est hégémonique à gauche : il l'est depuis l'O.P.A. de Mitterrand autour du Programme commun qui a tué le Parti Communiste Français. On ne le sait que trop, c'est Tonton qui orientera le socialisme vers la social-démocratie européiste et le néolibéralisme en ringardisant l'anticapitalisme dans une imitation troublante du « TINA » that chérie. Je te parle d'un temps que les moins de vingt ans, etc. mais si Nicolas Sarkozy a modifié le nom de son parti pour créer “Les Républicains” c'est aussi parce que tout le monde s'était mis, sous le hollandisme, à parler de “l'UMPS”...
Donc, en 2016, Mélenchon fait une campagne extraordinaire où il se paie le luxe de se réapproprier les symboles républicains à la barbe de l'extrême-droite, fait chanter la Marseillaise en meeting, expérimente avec les nouvelles technologies (le fameux hologramme...), et s'empare de YouTube avant tout le monde pour contrer la censure intense qui sévit sur le PAF contre la France Insoumise et surtout sa propre personne, homme à abattre caricaturé avec une haine inédite dans des médias très proches du P.S. ; lequel P.S. met le satellite Benoît Hamon sur orbite pour tenter de reprendre l'électorat jeune à Mélenchon. Pendant ce temps-là, le N.P.A. représenté alors par Philippe Poutou dépasse toujours Mélenchon sur sa gauche, fatalement.
2017, c'est avant tout l'apothéose de Macron, traître habile et Rastignac impatient, soutenu presque par l'intégralité des grandes fortunes de France, plus quelques oligarques algériens, qui lui ont acheté une invraisemblable quantité de Unes, d'articles dithyrambiques, de paparazzades flatteuses : c'est un rouleau compresseur contre lequel aucun candidat ne pourra lutter, et il sera au premier tour. Devant les Français, il a fait toute sa campagne sur le « Ni gauche, ni droite » et c'est ce qui dominera le discours. Une grande partie de l'électorat de gauche se reporte alors sur Macron qui incarne l'espoir de sortir de cette sempiternelle alternance entre UMP et PS. Dans la pratique, les votes de gauche sont complètement éclatés entre le PS (le vieil électorat qui s'accroche à son parti historique), Mélenchon, Macron, Hamon et Poutou — qui a acquis un certain prestige grâce à un grand débat télévisé opposant tous les candidats à brève échéance du premier tour.
À droite ? On se divise entre le parti de Mon Général, malencontreusement emmené par l'homme aux costumes trop chers (et à l'épouse trop bien entretenue) et le Rassemblement National, fraîchement dédiabolisé — et c'est tout. Bien sûr que même Fillon a coiffé Mélenchon au poteau ! Cartel des gauches, Front populaire, Programme commun : la Gauche n'a toujours gagné qu'en se rassemblant. Le problème, c'est qu'à droite, on fait campagne autour d'un homme fort, alors qu'à gauche, on fait campagne sur des idées. Or, la Gauche est profondément divisée depuis les années 1980 et surtout les années 2000 sur la question nationale, entre laïcité, souveraineté et verticalité du pouvoir.
Et précisément, c'est là qu'a péché Mélenchon en 2017, qui a commis l'erreur de louvoyer sur la question européenne alors que le gros de la population française, dont la mémoire est plus longue que celle de ses dirigeants et médias décidément, affichait un euroscepticisme croissant. Et devine quel est le parti qui exprimait le plus fort son hostilité aux traités européens ? Cela, en plein apogée de l'idée selon laquelle gauche et droite se valent...
Si tu veux prendre la mesure de l'opinion publique en France, en réalité, il faut se tourner vers un groupe de recherche en sociologie politique qui commence à être un peu connu, à force : c'est Cluster17. Fondé comme démarrait l'étrange campagne présidentielle de 2021, le groupe propose une grille de lecture très originale de la société française, ses idées et ses intentions électorales. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ses analyses tendent à donner raison au géographe Christophe Guilluy quand il décrit La France périphérique, mais également, en un sens, à Emmanuel Macron lui-même quand il bâtissait une campagne entière sur un louvoiement perpétuel : l'opinion publique ne rentre pas dans une définition prédéterminée ; les classes populaires sont à la fois plus nationalistes et plus conservatrices que la Gauche dans son ensemble, mais plus ouvertes et plus solidaires que la Droite dans son ensemble. À vrai dire, je suis sans cesse ramenée à une phrase de Terry Pratchett :
Ceux qui se rangeaient dans le camp du peuple finissaient toujours par être déçus, de toute manière. Ils trouvaient que le peuple était rarement reconnaissant, élogieux, prévoyant ou obéissant. Le peuple était souvent étroit d'esprit, conservateur, pas très malin et même méfiant envers l'intelligence. Les enfants de la révolution étaient ainsi confrontés au problème ancestral : on n'avait pas le mauvais type de gouvernement, c'était évident, on avait le mauvais type de peuple.
(Va-t'en-guerre, 1997, trad. P. Couton)
Peut-être que ce n'est pas tellement que le peuple français est parti à droite, mais bien plutôt que la Gauche se trompe de direction quand elle cesse de dialoguer avec le peuple. Il y a un monde en réalité entre la simple démagogie et le populisme, qui est un amour fidèle au Peuple. Le peuple traverse les époques avec des besoins et des aspirations relativement similaires, qui certes ne coïncident pas intégralement avec ceux des classes moyennes urbaines ultra-connectées... Si le peuple se tourne vers une Marine Le Pen, ce n'est pas obligatoirement que les Français sont devenus des monstres d'extrême-droite, mais peut-être plutôt que seule Marine Le Pen tient un discours à peu près cohérent pour lui (voire ferme sa gueule au moment opportun. C'est terrible de constater qu'elle doit être assez bonne avocate, elle maîtrise vraiment l'art de ne rien dire et de laisser les cons se battre entre eux pour empocher ce qui tombe) alors que les autres ne font que le prendre collectivement pour un gros tas de misérables imbéciles. Ils ne l'emporteront pas au paradis de la politique.
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Whaou.
Je regarde beaucoup de séries, et j’en ai vu un paquet de super bien. Cette fois, avec cette celle-ci, j’ai été touchée en plein cœur. Pourtant, je connais à peine Truman Capote, je n’ai rien lu de lui, j’ignorais tout de cette querelle dont il est question dans ce récit qui raconte la deuxième partie de sa vie. Je connaissais son visage, sa réputation sulfureuse, son intérêt pour les mondains, et l’impact de son roman De sang froid.
Honnêtement, je n’aurais pas cru me passionner pour son existence ni pour celles des « Swans », c’est à dire ces « socialities », célébrités mondaines pleines aux as et oisives au possible, qui faisaient la pluie et le beau temps sur la mode à New-York dans les années 60 et 70. D’ailleurs, il me semble bien qu’on les a oubliées. Elles ont leurs fiches Wikipedia, mais je ne suis pas sûre qu’elles aient laissé une trace inouïe ni dans l’art, ni dans la mode.
C’est Gus Van Sant qui filme, et sans doute la qualité de la série y est pour beaucoup. Le casting est dingue aussi, entre Naomi Watts, Calista Flockart, Chloë Sevigny, Jessica Lange… et Tom Hollander qui incarne Capote d’une façon extraordinaire. Il a réussi à créer un personnage à la fois ridicule et profondément touchant, avec ses cheveux jaunes plaqués sur un front de plus en plus dégarni, une gestuelle maniérée et outrée, une voix haut perchée, et un rire incroyable… irritant et désarmant. Une performance géniale, proche de l’original (j’ai regardé des vidéos pour écouter la vraie voix de l’auteur), et une création sensible.
La première partie de la vie de l’écrivain, de sa jeunesse chaotique (mère sans égards, puis alcoolique, père violent puis absent), à son succès précoce, est sacrément passionnante (maintenant que je suis renseignée). Mais la série se concentre sur l’après. Lorsque, précisément, Truman Capote est à son apogée, et que tout le monde s’arrache cet homosexuel mondain qui est drôle, cruel, attentif et doux avec ceux (celles surtout) qu’il aime. Sa relation avec Babe m’a bouleversée. J’ai pleuré tout le long de l’avant-dernier épisode, devant la beauté de leur lien, devant le tragique du gâchis.
Cette série est évidemment complètement proustienne, avec l’œil acéré sur les faux-semblants des riches, les amitiés qui n’empêchent pas la clairvoyance, la cruauté de ladite clairvoyance lorsque celle-ci se mue en récit public et donc en trahison. Il est question de mondes dont on veut être ; dont Capote devient le centre puis en est évincé. De solitude. D’alcool. De création. De l’attirance du papillon vers l’ampoule qui va le brûler, le petit garçon esseulé d’Alabama ébloui par le faste new-yorkais, puis les talk-shows. Et le fantôme maternel qui rôde, encore, qui empoisonne chacun de ses gestes.
C’est le récit d’un déclin collectif, mais dans lequel chacun est seul. C’est troublant de finesse, de délicatesse. Malgré les belles robes, les colliers de perles et les mets raffinés, il y a quelque chose de nu qui transparaît, quelque chose de cru, de vrai où se mélange les regrets d’un gâchis immense et la beauté impalpable de moments dérisoires. Une vie, à la fin de laquelle on appelle en vain sa maman, comme un petit enfant effrayé.
#youtube#serie#fx#feud: capote vs the swans#les trahisons de Truman Capote#gus van sant#tom hollander#naomi watts#television
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Pourquoi insistent-ils pour normaliser la pédophilie ?
Pourquoi les élites financières insistent-elles pour sexualiser les petits enfants dans tous les pays du monde ? La réponse est donnée dans notre rapport de preuves qui détaille comment la majorité des élites ont une chose en commun : elles sont fortement impliquées dans l’abus organisé d’enfants.
Ceci est confirmé par l’ancien directeur du FBI Ted Gunderson, ainsi que par d’anciens membres de l’armée, de la maréchaussée, de la gendarmerie, de la police et des détectives. Leurs témoignages sont révélés dans ce rapport.
Calin Georgescu, ancien directeur exécutif des Nations Unies, a témoigné devant le Comité d’Enquête sur les Crimes Internationaux que l’ONU est une plateforme permettant aux oligarques criminels de mettre en œuvre un agenda néfaste. Le documentaire « Secrets of the United Nations » (voir ci-dessous) révèle tout cela en détails. Ce film est à voir absolument pour tous ceux qui veulent comprendre ce qui se passe dans notre monde. Georgescu a également déclaré que les oligarques qui se cachent derrière les Nations Unies sont des pédophiles. Ne manquez pas de regarder ce film…
"https://www.bitchute.com/embed/xMtUt2sDQUd7/"
Le documentaire « Chute de la cabale » révèle comment des représentants et des militaires des Nations Unies ont violé des milliers et des milliers d’enfants et de femmes dans des pays où ils prétendaient apporter la paix. Ces séries documentaires ont été créées par un enquêteur plusieurs fois primé et un ancien analyste de la criminalité financière de la police néerlandaise.35 Dans l’épisode ci-dessous, ils dévoilent la nature extrêmement sombre des Nations Unies et les traces de sang des horribles abus sexuels qu’elles laissent dans le monde entier…
"https://rumble.com/embed/vk7w82/?pub=rwtxi"
De nombreux témoignages de victimes survivantes et de témoins oculaires de tous les pays du monde montrent que ces élites financières sont profondément impliquées dans des abus sexuels systématiques sur des enfants.
L’une d’entre elles est l’ancien mannequin Nathalie Augustina, dont l’esprit a été programmé par la CIA pour servir de chaton sexuel à des familles royales, des hauts fonctionnaires et des célébrités hollywoodiennes. Elle raconte son histoire déchirante dans le livre « Nathalie – Confessions d’un mannequin » (néerlandais).36
Les révélations de Nathalie ont été confirmées en détail par l’ancienne juriste Anne Marie van Blijenburgh, qui a témoigné en 2014 devant le Tribunal pour les crimes commis par l’Église et l’État (ITCCS) qu’elle avait assisté à trois reprises à des réunions au cours desquelles des enfants étaient violés et assassinés sur une scène, devant un public composé de représentants du gouvernement, de la magistrature, de l’armée, de la police, de l’éducation, des médias, etc. Son témoignage d’expert est présenté dans notre rapport « Abus sexuels organisés par des fonctionnaires de haut niveau« .
« Ils veulent avoir accès aux enfants sans être poursuivis »
Nous sommes en contact direct avec plusieurs victimes survivantes de ces pratiques cruelles des élites. L’une d’entre elles est une dame du Canada, dont je ne citerai pas le nom pour sa protection. Elle est née dans les cercles des élites et m’a écrit plusieurs lettres. Je partage ci-dessous une partie de ce qu’elle m’a envoyé. Veuillez comprendre que, bien que ces informations soient profondément troublantes, elles sont confirmées par des membres du FBI, de l’armée, des agences de renseignement, de la police, de la gendarmerie et des maréchaussées du monde entier, ainsi que par d’innombrables autres témoins oculaires, dans le rapport susmentionné.
« Une enfance typique de cette horreur verra des enfants violés plusieurs milliers de fois avant d’atteindre l’âge de 18 ans. Il s’agit d’un réseau de culte satanique à l’échelle mondiale. Et ils gagnent une grande partie de leur argent en trafiquant des enfants. C’est brutal. … Ils tentent de placer leurs membres au sommet des domaines dans le monde entier. »
Concernant la normalisation de la pédophilie par le biais du système éducatif mondial, ce survivant des élites m’a envoyé ce qui suit :
Oui, c’est un comportement normal dans les sectes. Tout le monde est encouragé à avoir des relations sexuelles les uns avec les autres. Les frères et sœurs entre eux… les enfants et les adultes… les enfants avec les enfants… les enfants avec les animaux… tout cela n’est pas seulement encouragé, c’est obligatoire. Ils prennent donc le comportement normal d’une secte et essaient de le rendre courant… et vous avez tout à fait raison… ils veulent avoir accès aux enfants 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, pour faire ce qu’ils veulent avec eux sans être poursuivis. »

Un ancien directeur exécutif des Nations Unies, un enquêteur primé, un analyste de la police, un juriste et un témoin oculaire, ainsi que plusieurs victimes survivantes, tous disent la même chose : les élites financières derrière les Nations Unies sont impliquées dans la pédophilie organisée.
Allons-nous nous lever et défendre les enfants ?
Si nous ne nous levons pas pour mettre un terme à ce sombre programme, qui se fait passer pour une absurde « défense des droits de l’homme », tous les enfants du monde finiront par grandir en étant victimes d’abus sexuels pendant des années – et seront également formés pour devenir des prédateurs sexuels. Et cela ne s’arrête pas là, car les personnes qui suppriment les limites saines et naturelles continueront à supprimer les limites suivantes, parce qu’il n’y a pas de fin à leur désir effréné. Comme nous le disent les victimes survivantes des élites, le sexe avec les animaux est la prochaine étape, tout comme le sexe avec les cadavres.
Le même ministre de la justice qui a insisté pendant des années sur le fait qu’il n’y avait rien de mal dans le Manuel des pédophiles a également déclaré que le sexe avec des cadavres n’était pas un crime.37 Et le ministre-président néerlandais Mark Rutte, qui est un membre enthousiaste du Forum Économique Mondial, a fait partie, dans ses jeunes années, d’un groupe politique qui a appelé à la légalisation du sexe avec des animaux.38
Aux États-Unis, nous assistons à l’invasion écœurante de drag-queens dans d’innombrables écoles, où les enfants sont exposés à des danses sexuelles perverses, à des histoires dégoûtantes et aux tenues anormales de monstres pervers qui s’en prennent aux enfants. Posez-vous la question :
Qui peut bien vouloir que des homosexuels exécutent des danses sexuelles devant des enfants ? Qu’est-ce qui se cache derrière tout cela ?
Johns Library de Portland, dans l’Oregon, des enfants ont été photographiés allongés sur le corps d’une drag queen.39
L’invasion soudaine de drag-queens dans des milliers d’écoles à travers le monde est clairement une opération stratégiquement orchestrée, similaire à l’éruption soudaine de la folie transgenre, qui est littéralement sortie de nulle part et s’est soudainement répandue partout. Tout cela se produit en même temps :
✔︎ qui ordonne à toutes les écoles publiques du monde entier de sexualiser les enfants
✔︎ introduisant d’innombrables drag-queens dans les écoles
✔︎ en introduisant massivement la confusion transgenre dans tous les pays
✔︎ utiliser les médias pour appeler à l’acceptation de la pédophilie
✔︎ des juges appelant à la légalisation des relations sexuelles avec des mineurs
Cette situation est bien plus grave que nous ne pouvons l’imaginer. Comme le disent les dénonciateurs de l’élite, « ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec des mineurs » : « Ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec tout le monde ». Nous devons prendre position et protéger courageusement les enfants, partout dans le monde.
Partager ce rapport avec le monde entier
Il est essentiel que ce rapport parvienne au plus grand nombre. Merci de l’envoyer au plus grand nombre, par tous les moyens possibles. Vous pouvez par exemple copier cette courte lettre et l’envoyer aux journaux locaux, aux écoles, aux forces de l’ordre, aux églises, aux hôpitaux, aux hommes politiques, etc. Vous trouverez leurs coordonnées en effectuant une recherche rapide sur Internet.
À qui de droit,
L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies demandent aux autorités éducatives du monde entier d’apprendre aux bébés, aux enfants en bas âge et aux jeunes enfants à se masturber, à utiliser la pornographie, à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation, et à avoir des relations avec des personnes du même sexe. L’OMS et les Nations Unies demandent aux éducateurs d’encourager les enfants à commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible et d’aider tous les enfants à avoir des partenaires sexuels. Les faits montrent que cela fait partie d’une opération mondiale visant à normaliser la pédophilie. Voir le rapport suivant :
"https://stopworldcontrol.com/fr/enfants/"
Nous vous invitons à examiner attentivement ces informations.
Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées,
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Utilisez les boutons de partage des médias sociaux, ou copiez l’adresse URL ci-dessous et publiez-la sur n’importe quelle plateforme. Vous pouvez également l’envoyer à vos contacts et aux autorités dans un courriel : https://stopworldcontrol.com/fr/enfants/
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Téléchargez le mème en couleur pour le distribuer par courriel et sur les médias sociaux, ou pour le faire imprimer par un service d’impression en ligne (tel que VistaPrint). Vous pouvez également télécharger le dépliant en noir et blanc pour l’imprimer sur votre propre imprimante et le distribuer dans votre communauté. Vous pouvez aussi les envoyer à un journal local pour qu’ils y soient placés en tant qu’annonce. Si vous avez besoin d’une résolution plus élevée ou de grandes quantités, contactez-nous.
Inviter David à un entretien
Si vous voulez inviter David Sorensen de Stop World Control dans votre émission pour parler de ce sujet afin d’avertir le monde, alors contactez-nous.
Références et téléchargements
Toutes les preuves des affirmations contenues dans ce rapport peuvent être trouvées en ouvrant le conteneur à bascule ci-dessous. Vous pouvez également télécharger tous les documents de l’OMS, de l’ONU, de l’IPPF, de Rutgers, etc. Si un lien a été supprimé d’Internet, vous pouvez le relocaliser en utilisant Archive.org.
Références:
1: Guide technique international sur l’éducation sexuelle 2: Standards pour l’éducation sexuelle en Europe 3: Agenda 2030 des Nations unies 4: Déclarations de la Maison Blanche sur l’Agenda 2030 5: La Fondation Rutgers 6: Rutgers est financé par la Fondation Bill et Melinda Gates. 7: Programme scolaire de Rutgers « Spring Fever » (fièvre du printemps) 8: Brochure Rutgers pour les écoles primaires 9: Brochure pour les écoles primaires 10: Fièvre printanière Leçon 11 : Qu’est-ce que le sexe ? 11: Programme scolaire Education 12: Guide pour la formation des enseignants à l’endoctrinement sexuel des jeunes enfants 13: Reportage sur les jeux sexuels dans les écoles 14: Chronologie historique de Rutgers 15: Informations historiques de Wikipédia sur la pédophilie 16: Archives en ligne du magazine pédophile NIKS 17: Enfants ayant des relations sexuelles dans le magazine pédophile NIKS 18: 1982 Édition de septembre du magazine NIKS 19: Magazine NIKS « L’épisode de l’anti-éducation » 20: Article: How The Hague petted pedophiles” 21: Pétition pour la légalisation des relations sexuelles avec des mineurs 22: Publication du PSP, parti qui a appelé à la légalisation de la pédophilie 23: Entretien avec Pieter Wijnsma 24: Rapport 2018 de la FWOS 25: Déclaration de mission de la FWOS 26: Magazine « Éducation sexuelle des jeunes enfants : Faites-le ! » 27: RTL News parle d’un manuel de pédophilie 28: Fondation contre les abus envers les enfants 29: La lutte contre le manuel pédo 30: Le Comité international de juristes appelle à la légalisation des relations sexuelles avec des mineurs 31: EXCLAIM ! Manifeste de la pédophilie 32: Reportage du Daily Mail sur l’arrestation de Peter Dalglish 33: Île d’Epstein 34: Bill Gates est allé sur l’île d’Epstein 35: Réalisateurs de la série documentaire « La chute de la cabale » (Fall of the Cabal) 36: Confessions d’un mannequin de mode 37: Le ministre de la justice a refusé d’ériger en infraction les relations sexuelles avec des cadavres 38: La ministre présidente a demandé la légalisation des relations sexuelles avec les animaux 39: Des enfants allongés sur des corps de drag-queens
Source : stopworldcontrol.com – 17 mai 2023 https://stopworldcontrol.com/fr/enfants/
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└ Mais quel est le rapport avec moi ? ┐ demanda David, en frémissant. └ Je ne comprends pas. Comment vous avez pu penser que je pouvais être né de cette façon ? Que je pouvais être le fils d'une Dame ? ┐
Un millier de questions se bousculaient au bout de ses lèvres. Il ne pouvait nier que l’existence de ces Enfants était profondément troublante.
Cette façon pour les Dames de donner la vie, leur lien avec ces personnes comme Carnyx qui se faisaient nommer « Gardesprit », c’était étrange, comme une version déformée des récits de son enfance.
└ Les Dames… ┐ murmura Carnyx. └ Leur peau est d’un brun rappelant le bois des premiers arbres. Elles sont l’une des incarnations les plus pures de la nature. Et leurs enfants héritent de ce même teint. Comme Adrepo. – Mais Adrepo est presque bleu. Je ne connais pas d’arbres bleus. – Alors tu n’as jamais voyagé. N’oublie pas la feuille sur ton œil. ┐ rit Carnyx, faisant rougir David d’embarras. └ Mais il n’a pas toujours été ainsi. – Ah ? Et donc, juste parce que j’ai la peau sombre, vous pensez que j’ai des origines magiques ? ┐ s’impatienta David. └ Vous savez que certains "Etris", l’une des races de la surface, sont ainsi sans avoir le moindre lien avec une divinité ? Ma famille a sans doute du sang Etris très lointain, qui a dû refaire surface — – Je connais très bien les "Etris", mon garçon. Tu n’en es pas un. ┐ siffla Carnyx. └ Tu as l’odeur d’un Enfant. Je n’ai pas réussi à reconnaître la Dame à laquelle tu es lié, mais c’est un fait. Tu as un lien. La seule chose étrange, ce sont tes cheveux. Habituellement ceux des Enfants sont argentés. – J’ai déjà une mère, et ce n’est pas une Dame ! Et elle a suffisamment souffert à cause de sa couleur de peau pour… ┐
Les mots de David moururent dans sa gorge. Il fronça les sourcils, ses yeux s’agrandissant tandis qu’il comprenait.
└ Et si ma mère était l’Enfant ? – Les Enfants sont stériles, David. – Mais, sa famille servait une Dame ! ┐ se rappela-t-il, dans un souffle. └ Elle est née avec la peau sombre, et son village disait qu’elle avait été bénie par cette dernière, ou quelque chose de semblable. – Et ses cheveux étaient argentés ? – Ils étaient très clairs, oui ! ┐ s’exclama David en se levant, les souvenirs douloureux qu’il avait tenté d’oublier, ressurgissant dans son esprit. └ Léo disait même qu’elle avait les cheveux de la couleur de la lune ! ┐
Carnyx pencha la tête, la surprise se lisant sur ses traits. Il s’humecta les lèvres avant de demander lentement :
└ Qui était sa Dame, David ? – Je ne connais pas son nom. Je ne voulais pas le savoir. ┐ répondit-il en se rasseyant. └ À vrai dire je n’ai même pas grandi là-bas. J’ai perdu ma mère très jeune et j’ai été… C’est compliqué. – Et le nom de son village ? Tu t’en souviens ? ┐
David hésita avant de répondre en langue actuelle, ne connaissant pas le nom en Vieux-nordan :
« PindeBraise. »
David prononça ce nom avec espoir, s’attendant à ce que Carnyx puisse lui dévoiler son histoire à partir d’un si petit indice. Mais il n’eut aucune étincelle dans le regard du guerrier. Au contraire, il sembla troublé.
Il se frotta le menton, plongé dans ses pensées.
« PindeBraise ? Hum. » répondit-t-il en nordan actuel, s’attirant des regards frustrés de Rhaen et Nephos. « Je n’ai pas connaissance d’une Dame ayant un domaine de ce nom. – Vraiment ? Rien du tout ? C’est un petit village qui se situe entre Mortherbe et Pierrebrulée. »
Carnyx croisa les jambes et fit mine de réfléchir quelques secondes avant de répondre :
« Le Nord a beaucoup changé depuis l’époque où je l’ai gouverné. Le village ne devait pas exister à l’époque. J’ai entendu parler de Dames qui sont nées après la chute des ogres, peux-être est-ce son cas ? – Tu penses ? – Si elle est encore suffisamment puissante pour donner naissance à un Enfant, oui. La plupart des Dames n’en plus capables aujourd’hui. » murmura Carnyx. « Une Dame encore fertile, hein ? – Fertile ? Oh, je crois que je me souviens vaguement que les légendes autour d’elle parlaient de ça ! – Toutes les Dames ont des légendes liées à ça. – Oui, mais y’avait vraiment tout un truc autour des femmes enceintes, c’était très bizarre. – Ça, c’est intéressant. Toutes les Dames ont leur petite spécificité, un pouvoir qui les différencie de leurs sœurs. Si elle est intimement liée à la fertilité ou à la fécondité, cela peut expliquer beaucoup de choses. Y comprit que ses Enfants soient eux aussi fertiles. »
David hocha lentement la tête.
« Et tu ne te souviens pas de son symbole par hasard ? » ajouta Carnyx. « Tu pourrais le reproduire ? – Son symbole ? Oh, je pense que oui ? – Parfait. »
Carnyx fouilla dans son sac et en sortit un petit pot de peinture blanche. Celle qu’il utilisait pour décorer son corps au-dessus de sa Turvenä.
« Dessine-le sur le mur. – Avec ça ? – Oui. J’en ai plein, ce sera mieux que de gâcher du matériel pour ça. »
David ouvrit le pot et plongea son doigt dans la substance crémeuse et brillante. Il n’hésita pas longtemps avant de dessiner, plongé dans ses souvenirs. Il avait grandi avec ce symbole, qui était sur l’un des rares trésors qu’il avait longtemps gardés de sa mère. Un pendentif en bois, identique à celui des femmes du village.
« Hum. » fit Carnyx en penchant la tête pour admirer le symbole. « Je vois. – Tu le reconnais ? – Absolument pas. » répondit-t-il. « Mais je vois ce qu’il représente. – Ah bon ? – Beaucoup de symboles de Dames font écho à leur physique. C’était le cas de la mienne par exemple, on y reconnaissait ces cornes. Ici, ces deux belles courbes, ce sont sans aucun doute les nichons de ta grand-mère. »
David s’étouffa.
« Quoi ?! – Ça ce sont une poitrine et un utérus, c’est clairement symbole de fertilité. – Ce sont juste des demi-cercles bizarres. Comment tu arrives à y voir ça ? – C’est tout un art. » gloussa Carnyx en se redressant, posant les mains sur les hanches en continuant : « Repérer les nichons des Dames, c’est le genre de chose qu’un Gardesprit se doit de savoir. – … vraiment ? – Non. »
Après cette discussion, David s’éloigna lentement du groupe, ses pas le menant au coin du feu où les flammes crépitaient encore doucement.
Il s’y assit seul, plongé dans ses pensées. Il avait besoin de réfléchir.
Les autres ne le rejoignirent pas, comprenant qu'il avait besoin d'un peu d’espace. Rhaen murmura quelque chose dans l’oreille de Nephos, qui le rabroua aussitôt pour lui intimer le silence.
David n’y prêta pas attention, trop occupé à tenter de mettre au clair ses pensées. Son esprit bouillonnait de questions et d’interrogations. Il était confus. Il avait beaucoup de questions, mais n’était pas tout à fait certain d’en vouloir les réponses.
Il était perdu.
Carnyx lui avait dit qu’il pourrait aborder le sujet quand il le souhaitait. Le Gardesprit maîtrisait de nombreux sujets et semblait être un véritable puits de savoir. Mais ce n’était pas étonnant, en y réfléchissant. Qu’avaient dit les esprits du bois noir ? Que la première Dame de Carnyx était celle du savoir ou quelque chose comme ça ?
Il soupira. Ah, tout était si compliqué !
Carnyx lui avait aussi proposé de parler pour lui à Hedera. Elle serait peut-être utile, elle qui était bien plus informée que lui sur les secrets des sœurs. Sans doute pourrait-elle lui révéler des choses sur cette Dame dont il était peut-être l'enfant de l'Enfant.
Le seul souci était que Carnyx n’était pas certain qu’elle lui répondrait. Selon lui, Hedera ne s’intéressait pas beaucoup aux Enfants des autres Dames.
Enfant des Dames.
C’était étrange. David n’était pas sûr de vouloir accepter cette nouvelle identité. Cette étiquette lui rappelait un peu trop le calvaire que sa mère avait vécu, et qu’il avait tenté de garder loin de lui tout ce temps, en mettant de la distance avec ce passé pour ne pas y être lié.
Lui qui avait voulu oublier l’histoire de sa mère, la laisser derrière lui pour pouvoir avancer et se construire par lui-même, se voyait maintenant rattrapé au moment où il s’y attendait le moins.
C’était à la fois fascinant et frustrant.
Un éclat de rire rompit le silence. Carnyx, comme toujours, semblait savoir quand briser la tension. Il s’approcha, son sourire malicieux éclatant dans la pénombre.
« Hé, petiot. J’y repensais, mais avec Adrepo, on plaisante souvent sur le fait que je suis son oncle par alliance. Tu sais, parce que j’ai été l’époux de ma Dame. J’étais marié à elle, tu sais ? »
David tourna lentement la tête, ne sachant pas bien où Carnyx voulait en venir. Un sourire se dessina timidement sur ses lèvres, mais il ne répondit pas, attendant la suite. Le sourire de Carnyx s’agrandit lorsqu’il poursuivit :
« Et donc, ça veut aussi dire que je suis ton grand-oncle par alliance. Ou quelque chose comme ça. La généalogie n’a jamais été mon fort. » rit-il. « Oh, et ça veut dire aussi que tu es en quelque sorte le petit cousin d’Adrepo. »
David se figea. Il n’avait pas réalisé jusque-là, pris dans ses réflexions et ses tourments, que cette étrange origine le liait à Adrepo et les siens.
« … Quoi ? »
Carnyx éclata de rire à nouveau. Il tapota l’épaule de David et ajouta joyeusement :
« Félicitations pour ton entrée dans la famille la plus controversée du Creux, haha. »
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Univers : Twilight
𝐒𝐎𝐍 𝐇𝐈𝐒𝐓𝐎𝐈𝐑𝐄
Jane Volturi – L’Enfant Maudite des Ténèbres
Nom complet : Jane Volturi
Âge humain : Environ 12-14 ans au moment de sa transformation
Âge vampirique : Plus de 1000 ans
Origines : Europe médiévale (probablement Angleterre ou Italie)
Affiliation : Garde des Volturi (élite)
Don : Induction de douleur psychique
Une enfance brisée par la peur
Jane naît à une époque où la superstition et la peur des forces occultes façonnent les esprits. Dès son plus jeune âge, elle se distingue par une intelligence acérée et une aura troublante qui inquiètent les villageois. Avec son frère jumeau Alec, elle grandit dans un monde hostile où leur simple présence suscite crainte et méfiance.
Les murmures se transforment en accusations : on les croit liés à la sorcellerie. Lorsque la peur se mue en violence, les jumeaux sont capturés par les habitants de leur village. Promis au bûcher, ils endurent une agonie indicible, leurs cris de souffrance se mêlant aux rires cruels de leurs bourreaux.
La Renaissance par le feu et le sang
Aro, l’un des dirigeants des Volturi, observe leur supplice avec un intérêt grandissant. Il voit en eux un potentiel unique. Au dernier instant, il intervient et les transforme en vampires, mettant fin à leur souffrance humaine pour les plonger dans une immortalité glaciale.
Dès leur renaissance, Jane découvre son don : une capacité terrifiante à infliger une douleur insoutenable à ses ennemis sans même les toucher. Son pouvoir la place immédiatement parmi les favoris d’Aro, qui la façonne en arme redoutable.
L’ombre de la Garde Volturi
Jane devient rapidement l’un des pions les plus puissants des Volturi. Son sadisme et son absence de pitié la rendent redoutable. Son apparence juvénile contraste avec l’horreur qu’elle inspire. Elle traque et punit ceux qui défient l’autorité des Volturi, exécutant les sentences d’Aro avec un plaisir manifeste.
Aux côtés d’Alec, elle forme un duo mortel : lui anesthésie les sens de leurs victimes, tandis qu’elle les torture d’une douleur insoutenable. Leur lien est indéfectible, seule l’existence de son frère parvient à tempérer la noirceur qui la consume.
Derrière le masque de la cruauté
Si Jane semble entièrement dévouée aux Volturi, sa loyauté est teintée d’une rage sourde. L’humiliation subie durant son humanité continue de brûler en elle. Elle exècre la faiblesse, refusant de se voir comme la victime qu’elle fut autrefois.
Malgré son apparente infaillibilité, Jane est hantée par une solitude qu’elle ne s’avoue pas. Son existence est entièrement dédiée aux Volturi, mais au fond d’elle, une question persiste : que reste-t-il d’elle en dehors de son rôle de bourreau ?
Froide, implacable, et pourtant marquée par les cicatrices d’un passé qu’elle ne peut effacer, Jane Volturi demeure l’un des visages les plus terrifiants de l’élite vampirique. Une enfant maudite, figée dans le temps, portant sur ses frêles épaules le poids de la peur et de la vengeance éternelle.
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PRIÈRE DE FEU🔥🔥🔥
Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous. Car il est écrit : maudit est quiconque est pendu au bois, afin que la bénédiction d’Abraham eût pour les païens son accomplissement en Jésus-Christ et que nous reçussions par la foi l’Esprit qui avait été promis (Galates 3:13-14).
Il a dépouillé les dominations et les autorités et les a livrés publiquement en spectacle, en triomphant d’elle par la croix (Colossiens 2:15).
Le Seigneur me délivrera de toute œuvre mauvaise et Il me sauvera pour me faire entrer dans son Royaume céleste. À Lui soit la gloire aux siècles des siècles. Amen! (2Timothée 4:18).
👉PRIONS:
Cher Père céleste, Dieu Souverain, je Te rends infiniment grâces pour Tes bontés renouvelées et Ta Puissante main capable de me sauver, de me délivrer et de me protéger. Tu es le même hier, aujourd'hui et éternellement. Béni sois-Tu, au nom de Jésus-Christ.
Je plaide le Sang de Jésus sur ma vie, ma maisonnée et sur toutes mes possessions, au nom de Jésus-Christ.
Abba Père, remplis-moi du Saint-Esprit et soutiens-moi dans le combat de la foi, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que le feu du Saint-Esprit brûle en moi et consume toute racine du mal, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, envoie Ta cognée de feu au fondement de ma vie et détruis toute plantation maléfique qui s'y trouve, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Saint-Esprit, je me libère de toute captivité et de toute limitation diabolique, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare par la Puissance du Sang de Jésus que toute verge diabolique tendue contre ma lignée familiale soit anéantie et brisée, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, j’annule les effets néfastes de tout nom lié à ma personne, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, je brise et me libère de toute forme d’envoûtement satanique, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus,je me libère de toute domination et de tout contrôle des forces des ténèbres, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, je me libère de l’emprise de tout problème transféré dans ma vie depuis le sein maternel, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, je brise et me libère de toutes les alliances maléfiques héritées, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, j'annule et me libère de toutes paroles de malédiction proférées contre ma vie, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, je vomis tout aliment diabolique dont j’ai été nourri dans le sommeil, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Saint-Esprit, je déclare que tous les hommes forts diaboliques troublant ma vie, soient paralysés et exterminés, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, je déclare que toute porte ouverte à l’ennemi dans ma vie, soit fermée pour toujours, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que toute arme diabolique forgée contre ma vie et ma maisonnée, soit nulle et sans effet, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur Éternel, sois le fondement de ma vie et délivre-moi là où j’ai besoin de délivrance, guéris-moi là où j’ai besoin de guérison et transforme-moi là où j’ai besoin de transformation, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, j'annule toute étiquette d'échec, d'impossibilité, d'accident, de mort prématurée et de pauvreté marquant ma vie, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare par la Puissance du Saint-Esprit, que tout joug de maladies, de régression, de sécheresse et de stérilité soit brisé dans ma vie, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, j'annule tous les décrets et toutes les ordonnances maléfiques liés à ma vie, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur Dieu, touche ma vie et restaure mes tuyaux de croissance, de prospérité, de fécondité, de richesse et d'abondance, au nom de Jésus-Christ.
Ô Éternel, Tu es mon bouclier et ma force, accorde-moi une nouvelle onction pour exceller dans ma vie spirituelle et rends-moi prospère à tous égards, au nom de Jésus-Christ.
Abba Père, renouvelle en moi un esprit bien disposé et change mon statut afin que je puisse marcher de gloire en gloire dans tous les aspects de ma vie, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, agrandis ma foi et mon zèle pour Ton royaume afin que je puisse pratiquer Ta justice et Ta miséricorde en tout temps et en tout lieu, au nom de Jésus-Christ.
Éternel des armées, combats tous ceux qui me combattent et élève-moi au-dessus de mes adversaires afin que je puisse marcher de victoire en victoire, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur Dieu, agis en ma faveur, étends mes limites et fais de ma vie une source intarissable de bénédictions pour ma famille et ma génération, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que cette journée est bénie et sanctifiée, au nom de Jésus-Christ.
Père Éternel, merci d'avoir exaucé ma prière, à Toi soient la louange et la gloire dans tous les siècles, au nom de Jésus-Christ. Amen!
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chapitre 1 /: la premier enquête
Point de vue de Moana :
Alors que mon collègue, le rouquin matricule 25, et moi arrivions au commissariat, notre patron nous avait convoqués pour notre première affaire. Mon associé, surnommé Steve, était un homme de petite taille mais d'une intelligence remarquable, portant des lunettes et naturellement très timide, toujours vêtu de son uniforme impeccable de policier.
"25 et 17, venez dans mon bureau rapidement, je veux vous parler," ordonna notre patron d'une voix sévère.
Point de vue du narrateur :
Lorsque Steve et Moana pénétrèrent dans le bureau, ils virent leur patron debout, observant les affiches de personnes disparues et de crimes non résolus. Jack Eaper, un homme séduisant qui ne paraissait pas ses 45 ans - on lui en donnait plutôt 21, l'âge de Steve - avait de longs cheveux noirs attachés en chignon. Ses yeux d'un bleu profond étaient saisissants, son torse large et sa peau d'une blancheur normale. Ses mains, à la fois soignées et fortes, trahissaient sa stature imposante de 1m92, rehaussée par son élégant costume noir et bleu. Il posa ses mains sur son bureau, fixant les nouveaux enquêteurs, ce qui fit frissonner Steve.
Moana se redressa et demanda : "Vous nous avez appelés, monsieur ?"
Le regard de Jack se fixa alors sur les yeux verts de l'enquêtrice, instaurant une tension palpable.
"Oui, j'ai une affaire pour vous."
"Une affaire ?!" s'exclama Steve, visiblement choqué.
Leur chef passa une main sur son visage et soupira de frustration en jetant un œil au calendrier : nous étions le premier décembre.
"Quelle est cette affaire ?"
"Un crime a été commis avenue des Dames en Rouge, je vous demande de résoudre cette affaire."
Steve se tourna vers Moana et demanda : "Avons-nous des informations sur la victime ?"
"Vous en saurez bientôt davantage, car le sergent Haulm va vous faire un briefing sur la scène du crime."
Le matricule 25 et le 17 sortirent du bureau, direction la scène du crime.
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Monostithos
De bois sombres et denses et tortueux enserrée, sa demeure, son antre, l’antre de Monostithos, στήθος μόνο, ce qui signifie «sein unique», car tel est son cas et sa beauté exceptionnelle, est comme un vagin bleuté translucide. Le chemin qui y mène est boueux glissant aspirant et bordé de fortes ronces agressives, comme s’il ne voulait pas du déchiré venant.
Lorsque je, par la porte ronde, pénètre, elle est allongée, de pourpre vêtue, de hautes senteurs capiteuses parée, se masturblant avec tendresse et ironie, l’autre main jouant durement avec ses tétons enflammés avides. Son corps est entièrement couvert de merveilleuses scarifications en relief, formant volutes, signes secrets et comme une carte d’un brûlant territoire de l’au-delà… Au bas de ses hanches, dix longues et fortes tentacules bleutées, couvertes de ventouses, lui tiennent lieu de jambes, agitées sans cesse, mouvantes et gluantes et grouillantes. En leur centre, se situe sa vulve vulvaire vulvique. Chose incroyable encore, sa bouche, l’intérieur même de sa bouche, est velu, tout couvert de longs et drus et bouclés poils noirs ! Derrière ses longs cils maléfiques, de ses yeux entièrement rouges comme deux billes de braise, elle me jette un regard, passant me semble-t-il, à travers mon âme, d’indifférence lasse…
«Te voici donc, toi est celui venant m’entendre».
Alors, il est parlé d’elle que sa cyprine, la cyprine de monostithos, lui permet de créer des passages entre les mondes : pour ce faire, elle se foure les doigts dans sa chatte trempée, fait le signe phallique de ses doigts goutants luisants et forme alors un lien magique…
Elle me dit : «As-tu saisis ? Ainsi l'autre monde affleure-t-il : le sein que tu as trouvé, te menant à moi, le cadavre sur le terrain vague, le téléphone abandonné qui filme tout seul, devant lequel tu es passé, ce sont les lieux où le lien se fait ! Mais il est à toi d’en comprendre le sens…».
«Tu as du mal à t’ouvrir à cette pensée ? Attends, je vais t’aider, vile et petite salope !» Elle attrapotte alors vivement un fouet tranchant et frappe et frappe et frappe mes chairs, les lacérant et les ouvrants de sang noir… En gémissant de cruauté, vient-elle ensuite de sa langue noire et râpeuse, fouailler mes plaies offertes. Et, l’ongle si parfaitement rouge et acéré de son pouce, vient délicatement crevé mon œil gauche.
Elle pourrait dire, ensuite, si elle était moi, qu'elle allait me baiser très fort…
Je, pour l’heure, véritablement troublé et boulversiser, l’entends murmuriner sans cesse à mon oreille les chiffres magiques magnétiques, de sa voix inhumaine et sexuelle (ce sont, m’avait-elle explicationné, ceux qui permettent d’entrer en relation avec la superbe puissance ontologique supérieure, oh !): 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 07837127010783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701
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J’affirme à présent les paroles suivantes :
Monostithos est une élaboration androgyneuse.
Elle comble les hauts-marins de l’imaginaire.
Elle est la Pythie de la structure onirique du réel.
Elle est le corps fragmentique sexuel.
D’un signe, elle me fait approcher, lève les bras pour me faire humer et lécher ses aisselles couleur rouille, puantes et grasses, ensueurées et troublantes… Hmmmm, apothéose de lubricité vicieuse, cœur battant, vision troublée, m’y vautrant frottant grognant, je vais folir d’excitation perverse…
Mais la voici maintenant qui susure, empoignant mon gros sexe ithyphallique et titillanant ensemble mon gorgé clitoris : «Bientôt, bientôt, tu sauras toi aussi lire l’histoire rêveuse des choses ! Tu sauras que la grande ivresse est connaissance !».
Gnnnn, ragh, krrrrr, blllll, rlo, pru, ffffli…
«Herméneuticisme, Herméneuticisme, Herméneuticisme, Herméneuticisme…» scande-t-elle étrangement, m’envoûtant du balancement mou de son sein obscène. Des filaments électriques sourdent sans cesse de sa peau, bruissants comme serpents, déchirants les oreilles d’un son aigu comme la mort igneuse… Oui, oui, oui.
Là :
Les murs de la pièce, doucement, se referment maintenant puissamment sur moi, des volutes de fumée rougeâtres émanent du sol terreux, je halète en projetant des gerbes folles de spermite…
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Le Mystère des Forêts de Rennes : Une Créature Sauvage parmi Nous ?
Par Éclaireur de l’Ombre
Les forêts entourant Rennes, habituellement calmes et propices aux randonnées, sont aujourd’hui le cadre d’événements aussi troublants qu’inexpliqués. Depuis quelques mois, des chasseurs et des habitants des environs rapportent des scènes de carnage à faire froid dans le dos. Des animaux sauvages et même des bêtes domestiques sont retrouvés déchiquetés, comme si une créature inconnue était à l’œuvre.
Des témoignages glaçants
Un document de police récemment découvert révèle des disparitions inquiétantes en forêt de Rennes. Selon les archives, plusieurs appels d'urgence ont été passés par des promeneurs terrifiés. Lors d'un de ces appels, l'opérateur a entendu en direct d'horribles cris de détresse mêlés à des grognements bestiaux et des sons de chair déchirée. Les secours dépêchés sur place ont découvert une scène macabre : du sang éclaboussant les arbres, des traces de lutte évidentes et de nombreuses empreintes... mais aucun corps. Ce mystère demeure entier et les autorités restent silencieuses sur ces événements troublants.
Un autre témoin, promeneur régulier dans les bois, décrit une expérience tout aussi terrifiante : "J’ai entendu des grognements dans la forêt, un son profond qui m’a glacé le sang. Puis, j’ai vu une ombre massive se mouvoir entre les arbres. Je ne suis pas resté pour en voir plus."
Des indices troublants
Outre les témoignages, les scènes retrouvées par les chasseurs montrent des signes peu ordinaires :
Les carcasses semblent avoir été attaquées avec une force inhumaine.
Des empreintes étranges, trop grandes pour correspondre à celles des animaux locaux, ont été relevées sur plusieurs sites.
Les bêtes tuées ne sont pas consommées, ce qui écarte la piste d’un prédateur ordinaire.
L’ombre des légendes
Les anciens du coin racontent de vieilles histoires, parlant de "l’Esprit des Bois", une entité mystérieuse qui protègeait autrefois les forêts mais qui pouvait se montrer impitoyable envers les intrus. Certains y voient un simple conte folklorique, mais d’autres se demandent si quelque chose de similaire n’est pas en train de s’éveiller.
Une enquête qui continue
Je suis bien déterminé à percer ce mystère. Si une créature réelle se cache dans les bois de Rennes, elle pourrait représenter un danger bien plus grand qu’on ne l’imagine. Mes recherches continuent, et je compte interroger davantage de témoins, ainsi que consulter des spécialistes en faune et folklore.
Si vous avez vu ou entendu quelque chose d’étrange dans les forêts entourant Rennes, n’hésitez pas à me contacter via le formulaire anonyme de ce blog. Chaque piste compte pour résoudre cette énigme qui semble tout droit sortie d’un récit fantastique.
Votre Éclaireur de l’Ombre, toujours à l’affût de la vérité.
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Découvrez le classique du true crime : "De Sang Froid"

Plongez dans l'univers saisissant du true crime avec De Sang Froid, une œuvre incontournable qui retrace avec brio les événements entourant un crime brutal et ses répercussions. Ce chef-d'œuvre intemporel explore en profondeur la psychologie des personnages, mettant en lumière non seulement le crime, mais aussi son impact émotionnel et social.
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Ce sont les maladies qui touchent l’ensemble des vaisseaux sanguins et le cœur. Citons l’insuffisance cardiaque ; l’obstruction des vaisseaux sanguins à l’origine des infarctus ; les accidents vasculaires du cerveau (AVC), qui doivent être pris en charge très rapidement ; les phlébites ; les embolies pulmonaires…
Ces maladies sont la première cause de mortalité dans le monde et touchent 35% de la population. Chaque année 140 000 personnes décèdent en France à cause de ces maladies. 4 millions ont des traitements pour l’une ou l’autre de ces maladies. 1 million de personnes sont hospitalisées, en France, suite à un problème cardiovasculaire.
Parfois, ce qui est le plus troublant pour les malades ou les familles, c’est la soudaineté de certains accidents cardiovasculaires. Les AVC, les infarctus, frappent sans trop d’alertes préventives.
Notre cœur est la pompe qui fait circuler le sang dans notre corps. Lorsqu’il fonctionne mal, cela génère de graves problèmes. Lorsque les vaisseaux sanguins par lesquels le sang circule sont obstrués ou dilatés, cela fatigue le cœur. Les vaisseaux peuvent s’altérer provoquant de graves hémorragies. Lorsque le cœur cesse de fonctionner, notre cerveau n’est plus irrigué, nos muscles ne sont plus nourris, les organes cessent leur fonction, et nous cessons de vivre très rapidement. Les problèmes cardiovasculaires sont donc très graves.
« Seigneur, nous te prions pour toutes les personnes qui souffrent de diverses insuffisances cardiaques. Nous te prions pour que tu poses ton regard bienveillant sur leur vie, et qu’ils soient soulagés de leurs troubles.
Nous te prions pour ceux qui vont être opérés suite à un infarctus, afin qu’ils récupèrent une fonction cardiaque normale.
Nous te prions pour ceux qui ont été victimes d’un AVC, et qui, aujourd’hui, se trouvent handicapés ; que dans ta bonté, tu leur permettes de retrouver l’usage de la parole et des membres !
Nous te prions pour les familles de ces personnes, afin qu’elles soient moralement fortes ! Dans le nom de Jésus, amen ! »Avec amour, Paul
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L'Art robotique , un renouveau de la créativité contemporaine
Pour le thème "Art et numérique", j'ai choisi comme sujet l'Art robotique. L'Art robotique désigne ici l'utilisation de robots ou d'autres objets électroniques afin de parvenir à une création artistique. J'ai choisi d'aborder plus précisément les robots, car je trouve que cela était en parfaite concordance avec le thème. De ce fait, c'est à partir des années 1960 et 1970 qu'a émergé l'utilisation robotique. Les pays notamment à forte utilisation du numérique sont le Japon et les États-Unis. Afin d'illustrer l'Art robotique, j'ai décidé d'évoquer différents artistes : Sun Yan et Peng Yu, Paul Tresset, et Charlie Brooker. Tout d'abord, Sun Yan et Peng Yu sont deux artistes chinois qui aiment transmettre leur art à travers l'utilisation du numérique et des médias. Par la suite, Paul Tresset, quant à lui, est un artiste bruxellois qui aime utiliser les robots pour démontrer les évolutions technologiques et leurs atouts. Enfin, nous avons Charlie Brooker, scénariste et animateur britannique, connu notamment pour sa célèbre série "Black Mirror".
Nous pouvons ainsi nous demander : en quoi l'Art robotique permet-il un enrichissement et un engagement de l'Art contemporain ?
Dans un premier temps, nous avons les artistes Sun Yan et Peng Yu. Ils ont réalisé une œuvre très célèbre à New York, nommée "Can't Help Myself", signifiant en français "Peux pas m'en empêcher". Cette œuvre célèbre nous présente un robot se situant dans une pièce en verre, qui balaye un liquide de couleur rouge. Les auteurs ont voulu démontrer à travers cet instrument robotique la surveillance des populations dites "incontrôlables". Le liquide rouge ferait ici référence à du sang, et le robot aux instruments numériques.
youtube
Ce que j'aime beaucoup dans cette œuvre, c'est le message qu'elle renvoie. Elle permet de montrer la dépendance de l'homme et de notre société aux outils numériques. L'être humain devenu accro aux nouvelles technologies ne pourrait presque plus vivre sans cela. On constate ici une perte de contrôle avec une impression de tourner en boucle face aux évolutions technologiques croissantes. Je trouve ainsi cette œuvre très enrichissante et constructive. Cela nous permet notamment de réfléchir sur les conséquences du numérique et les évolutions futures.
Nous avons ensuite la seconde œuvre qui est tout aussi enrichissante.
En effet, par la suite, nous pouvons évoquer le robot "Paul". C'est également ici une œuvre très célèbre réalisée par Paul Tresset. Paul est ici un instrument robotique qui réalise des portraits sur papier.
https://www.ouest-france.fr/normandie/calvados/paul-un-robot-qui-vous-dessine-bien-4329774
Ce que j'aime beaucoup dans cette œuvre, c'est que c'est assez troublant. On a en effet l'impression d'être face à un véritable être humain, notamment grâce à la créativité que Paul renvoie. On remarque également que l'auteur a donné son propre prénom à sa création robotique, donnant l'impression que ce serait lui, mais dans une autre dimension, autrement dit sous un autre angle. Il permet de fonctionner grâce à une caméra qui va venir scanner les visages à illustrer, puis un algorithme qui va donner l'ordre à Paul. J'ai ainsi choisi cette œuvre qui, pour moi, permet de présenter les effets positifs des nouvelles technologies. On comprend ici l'évolution majeure et grandiose de la technologie. De ce fait, le robot serait presque prêt à surpasser l'homme dans tous les domaines. On verrait ici comme un clone humain. La créativité et l'inspiration seraient ici d'une folie sans nom. On remarque ainsi que l'homme peut utiliser les nouvelles technologies à son avantage, en exprimant sa créativité et en apportant une nouvelle réflexion et une nouvelle autonomie à l'Art. C'est ici une interaction assez spéciale et surprenante entre l'homme et le numérique.
Puis nous avons aussi une œuvre qui exprime d'autres aspects de l'Art robotique.
Finalement, la série dystopique "Black Mirror" de Charlie Brooker. De ce fait, cette série nous démontre un monde parallèle au nôtre, avec l'utilisation numérique. J'aimerais évoquer notamment l'épisode 5 de la série intitulé "Metalhead", signifiant "tête en métal". Dans cet épisode, nous remarquons notamment des robots, qui sont des chiens de couleur jaune, qui ont été créés pour surveiller, traquer et tuer les humains. Ce serait ici un épisode symbolisant le désespoir total, mais qui démontre la volonté de s'en sortir.
Ce que j'ai beaucoup aimé dans cet épisode, donc dans cette œuvre, c'est que cela permet de démontrer les conséquences du numérique sur notre société. Comme pour la première œuvre que j'avais évoquée, c'est ici l'aspect incontrôlable des nouvelles technologies. En effet, l'homme en voulant montrer sa supériorité et sa créativité en vient à créer tout ce qu'il peut, mais en vient également à perdre le contrôle et à ne plus se retrouver.
Pour conclure, la robotique permet de démontrer un nouvel engagement artistique de l'homme. On remarque ainsi que l'homme, du fait de sa créativité, peut réussir à dépasser ses engagements et à enrichir les nouvelles technologies. Le numérique, bien qu'il laisse la place à une nouvelle autonomie et de nouveaux aspects, ne doit néanmoins pas être utilisé à des fins abusives.
Bensal Sarah
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