#sang troublant
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deathred1417 · 1 year ago
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chapitre 2 / : scène de crime
Il était 22H30 quand 17 et 25 sont arrivée dans la rue des dames en rouge en tournent dans le chemin 221B , ils tombèrent sur un grand manoir là ou c'était passe le drame .des ruban jaune fluo son devant cette maison avec des agent des force de l'ordre cette scène et lente augmenter par les bruit des sirénées de la  police les couleur se refléter dans la rue /du bleu et du rouge , rouge comme le sang est le rouge a coller se soir. Moana qui conduise la voiture ne savait pas quoi penser elle était comme déconcerter , alors elle arrêta leur transport .Steve descend  très nerveux  . les deux débutant se dirigent vers le manoir là attendais devant la porte en bois  terrifiante, le sergent Haulm homme de grande taille avec des cheveux gris et des yeux noir. Un corps de bad boy ou de vilaine personne , matriculer de deux matricule car il était un haut  grader 12/02 , son regard noir se pose alors sur eux.
-"bonsoir les nouveau comme allez-vous" dit t-il d'une voix démolit par la cigarette et alcool 
Steve plus jeune que Moana pris alors la parole
-"nous allons bien monsieur que s'est t-il passer ici"
le sergent soupira alors en faisant signe de le suivre ils entrèrent tous le deux dans la maison  , la premier chose qui les frappe ces odeur une odeur putride et lugubre avant d aller dans la chambre du défunt les trois collègue mirent des tenues pour l'hygiène de la scène de crime et enfin ils entrèrent .
-"la victime se nomme Antoine maxime née le 4 juin 2000 , vers  4H du matin la nuit dernière ,  le jardinier et passer pour prendre son cheque  c'est la qu'il a découvert le corps ."
ils passaient  en même temps proche du corps du jeune homme qui avait 29 ans  , Moana regard le corps et se fige de terreur homme était nue ses vêtements ,  on était déchiré , son visage est défigurée ces organes son étaler au sol son coeurs était arracher seul ces yeux reste un regard de terreur , des symbole son graver sur son corps comme s'il était une bête a mangée , le lit est trempée dans le sang son matelas et rouge.le sang colle et  il coulera toujours
le sergent reprend alors la parole
-"c'était un riche jeune homme mais il n'a jamais travailler ."
-"comment est-il mort" dit steve tellement effrayer 
-"le médecin légiste dit de 24 coup de couteau ."
Moana regarda au dessus du mur un message et écrit avec le sang de la victime le message dit "Pour dieu j'élime les pécheur "le cœur de la victime était accrochée  par l'arme du crime dans le mur
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nemosisworld · 1 year ago
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De ta bouche, rose vermeille, Lorsque ta langue sort, pareille Au dard enivré d’une abeille, Le cœur ouvre l’aile, et s’éveille.
Mais le sang court à flots troublants, Quand l’essaim des baisers brûlants Sur tes seins, coteaux ronds et blancs, Mouille et mord tes boutons tremblants.
...
Henri Cantel
Ph. Tiziano Magni
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loeilnocturne · 6 months ago
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Les Secrets de la Nuit Rennaise : Une Vérité Qui Fait Froid dans le Dos
Par Éclaireur de l’Ombre
Rennes, une ville connue pour son dynamisme culturel et son histoire millénaire, dissimule peut-être un côté bien plus sombre que ses façades colorées ne le laissent paraître. Depuis plusieurs mois, j’ai recueilli des témoignages étranges, analysé des événements inexpliqués, et suivi des pistes qui mènent toutes à une conclusion troublante : Rennes pourrait être le théâtre d’un phénomène qui dépasse l’entendement.
Des disparitions sans explication
Avez-vous remarqué l’augmentation des disparitions inexpliquées ces dernières années ? Étudiants, noctambules ou simples passants semblent se volatiliser dans la nuit rennaise. Les autorités minimisent le problème, parlant de fugues ou de crimes isolés. Mais les chiffres ne mentent pas : les disparitions sont en hausse et suivent un schéma précis.
Témoignages glaçants
Je me suis entretenu avec un vigile qui travaillait près du centre-ville. Il affirme avoir vu une silhouette "inhumaine" bondir d’un toit à l’autre à une vitesse effrayante. "Ce n’était pas un humain, c’est sûr," m’a-t-il confié, encore sous le choc.
D’autres témoins parlent de rencontres troublantes dans les ruelles sombres de Rennes : des hommes et des femmes d’une beauté saisissante qui disparaissent comme des ombres, laissant derrière eux une étrange sensation de malaise.
Un lien avec les légendes urbaines ?
Rennes n’est pas étrangère aux histoires de créatures nocturnes. Certaines chroniques médiévales évoquent des "démons" rôdant dans la région, des êtres qui se nourrissent de la vitalité des vivants. Coïncidence ? Peut-être pas.
Des preuves troublantes
Lors de mes recherches, j’ai trouvé plusieurs anomalies :
Des photos floues montrant des silhouettes aux yeux brillants prises près du parc du Thabor.
Une série d’incidents où des animaux retrouvés exsangues dans les quartiers périphériques, comme si on leur avait retiré tout leur sang.
Des rumeurs persistantes sur une organisation secrète qui contrôlerait les nuits rennaises.
Un appel à la vigilance
Je ne prétends pas avoir toutes les réponses. Mais une chose est claire : Rennes cache des secrets qui méritent d’être dévoilés. Ceux qui marchent dans l’ombre ne veulent pas que vous sachiez la vérité. Mais ne vous inquiétez pas, je continuerai à creuser, pour vous, mes lecteurs.
Si vous avez été témoin de quelque chose d’étrange, contactez-moi via le formulaire anonyme de ce blog. Ensemble, nous pourrons révéler ce qui se trame dans les ruelles sombres de Rennes.
À bientôt, sous la lumière de la vérité.
Votre Éclaireur de l’Ombre.
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mrsines · 7 months ago
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L’instinct de vérité
Chapitre 4 -> Un nouveau message.
»»————- ★ ————-««
Maya courait partout dans l'appartement, essayant de rassembler ses affaires. Son sac sur l'épaule, ses chaussures à moitié attachées, elle jeta un rapide coup d'œil à l'horloge.
"Bon sang, je vais être en retard !" grogna-t-elle en attrapant ses clés.
Emily, toujours assise à la table avec son café à moitié vide, leva les yeux. "Maya, il fait froid dehors. Tu vas attraper quelque chose. Mets un pull avant de partir."
"Pas le temps, vraiment ! Je suis déjà en retard," répondit Maya en ouvrant la porte à moitié, son souffle rapide.
Emily soupira, se leva calmement, attrapa le pull en laine gris qu'elle avait laissé sur le dossier de sa chaise, et le lui tendit. "Tiens, prends celui-ci. Enfile-le et file."
Maya hésita un instant, mais Emily la fixa avec ce regard autoritaire qui ne laissait pas de place à la discussion. "Allez, dépêche-toi."
Agacée mais reconnaissante, Maya attrapa le pull et l'enfila rapidement. Il était un peu large, mais incroyablement chaud, et l'odeur légère de parfum d'Emily s'en dégageait.
"Merci," lâcha-t-elle en un souffle avant de disparaître dans le couloir.
Emily resta un moment dans l'encadrement de la porte, un sourire discret sur les lèvres. "Fais attention, Maya," murmura-t-elle pour elle-même, avant de retourner à sa tasse de café refroidi. 
Emily resta un instant immobile, appuyée contre la porte, les bras croisés. Elle regardait Maya descendre les escaliers en courant, son sac se balançant sur son épaule, le pull bien trop grand flottant légèrement à chacun de ses mouvements. Un sourire doux se dessina sur ses lèvres.
Elle secoua légèrement la tête, comme pour se réveiller d'une pensée intrusive. "Cette gamine...", murmura-t-elle, un mélange d'affection et de frustration dans la voix.
Mais au fond d'elle, Emily sentait que ses sentiments envers Maya devenaient de plus en plus difficiles à ignorer. Ce n'était pas seulement de la bienveillance ou un instinct protecteur. C'était... autre chose. Quelque chose de plus fort, de plus troublant.
Elle s'éloigna de la porte et retourna vers la cuisine, tentant de se changer les idées en rangeant son mug dans l'évier. Mais même en essayant de penser à autre chose, l'image de Maya, avec ce pull trop grand, continuait de flotter dans son esprit.
Emily poussa un soupir, s'appuya contre le plan de travail et ferma les yeux. "Tu t'attaches trop, Emily," se dit-elle à voix basse, presque comme un avertissement à elle-même. "C'est une gamine. Tu ne peux pas te permettre ça."
Mais une petite voix au fond d'elle lui rappelait que Maya n'était pas juste une "gamine". Elle était brillante, déterminée, et... captivante. Et plus le temps passait, plus Emily se sentait piégée entre ce qu'elle savait être juste et ce qu'elle ressentait réellement.
⭒❃.✮:▹  ◃:✮.❃⭒
La tension monta d'un cran au lycée lorsqu'un second message fut découvert, bien plus effrayant que le premier. Cette fois, il ne s'agissait pas d'une menace générale, mais d'un nom clairement mentionné : "Samantha Grey", une élève populaire en dernière année.
Le message, écrit en grandes lettres rouges sur le tableau de la salle de biologie, disait :
"SAMANTHA GREY : TU ES LA PROCHAINE."
L'agitation ne tarda pas à se répandre dans les couloirs. Samantha, d'abord incrédule, se mit à paniquer lorsqu'elle réalisa qu'elle était spécifiquement ciblée. Des murmures se firent entendre parmi les élèves, chacun spéculant sur qui pouvait être derrière ces messages ou ce qu'ils signifiaient réellement.
Emily, rapidement alertée par le proviseur, se précipita sur les lieux en compagnie de Luke, qui avait décidé de rester près du campus après les récents événements. En arrivant dans la salle, elle observa le message avec une expression grave, son esprit déjà en train de faire des connexions avec l'enquête en cours.
— "Ils montent d'un cran," murmura Emily en examinant l'écriture.
Luke, qui se tenait à ses côtés, répondit :
— "C'est calculé. Ils savent qu'on est là, et ils veulent provoquer une réaction. Mais pourquoi Samantha ?"
Emily se tourna vers le proviseur.
— "Mettez Samantha sous surveillance immédiate. Et faites en sorte que les élèves restent calmes. Si la panique s'installe, ce sera encore plus difficile de gérer la situation."
Pendant ce temps, Maya, qui venait d'apprendre la nouvelle par Diego, sentit son estomac se nouer. Elle ne connaissait pas très bien Samantha, mais le simple fait qu'une de ses camarades soit ciblée la bouleversait.
"C'est quoi, ce délire...", murmura-t-elle en lisant un message envoyé par Diego avec une photo du tableau.
Diego, de son côté, répondit rapidement :
— "Ça devient grave, Maya. Promets-moi que tu fais attention."
Maya serra son téléphone, le regard perdu. Elle savait que cette situation devenait de plus en plus dangereuse, et bien qu'elle soit inquiète pour Samantha, elle sentait que le tueur envoyait un message bien plus large, un message qui pourrait bientôt les concerner tous.
Assise à une table isolée de la bibliothèque, Maya était plongée dans ses recherches. Son carnet ouvert devant elle, elle analysait les photos des deux messages laissés au lycée, prises discrètement avec son téléphone. L'un d'eux avait été nettoyé, mais Maya avait réussi à obtenir une copie grâce à Diego.
Les mots résonnaient dans son esprit, mais ce n'était pas seulement le contenu qui l'intéressait. Elle examinait les détails : la façon dont les lettres étaient formées, leur alignement, leur taille. Elle avait déjà noté que les deux messages semblaient avoir été écrits par la même main, ce qui confirmait qu'il s'agissait probablement du même individu.
Après des heures de recherches, ses yeux tombèrent sur un détail qu'elle n'avait pas remarqué auparavant.
— "Attends une seconde..." murmura-t-elle pour elle-même.
Elle zooma sur une partie de la photo du second message. Juste en bas à droite du tableau, il y avait une légère trace, presque effacée. On pouvait distinguer une empreinte de doigt... mais ce n'était pas ce qui l'interpellait. À côté de cette trace, une inscription minuscule semblait griffonnée, à peine visible.
"13:47."
Maya fronça les sourcils. Ce n'était ni l'heure à laquelle le message avait été trouvé ni une référence évidente. Elle vérifia l'heure à laquelle Samantha avait découvert le message : 14h15.
— "C'est une heure, mais elle a été écrite avant qu'on trouve le message..."
Elle se pencha encore plus sur ses notes. Après quelques instants, une hypothèse lui traversa l'esprit.
— "Et si c'était un indice pour l'heure où le message a été écrit ? Peut-être que le tueur savait exactement à quel moment il avait laissé sa trace."
Elle prit un autre carnet et commença à relier les informations. L'heure pouvait correspondre à un emploi du temps, à une surveillance... ou peut-être à une signature cachée, un défi à leur intelligence.
Sans perdre de temps, elle envoya un message à Diego :
— "Tu te rappelles si la salle de biologie était vide vers 13:47 ?"
Quelques minutes plus tard, il répondit :
— "Je crois que oui. Il y avait cours juste après. Pourquoi ?"
Maya réfléchit. Si la salle était vide à cette heure-là, cela signifiait que le tueur avait peut-être choisi ce moment précis pour agir. Elle griffonna une dernière hypothèse dans son carnet :
"13:47 = heure exacte où le message a été écrit. Tueur sait quand il ne sera pas vu."
Mais une autre pensée lui traversa l'esprit, plus effrayante. Si le tueur avait laissé cette heure comme indice, cela signifiait qu'il voulait être trouvé... ou qu'il jouait un jeu. Maya sentit un frisson lui parcourir l'échine.
Elle regarda autour d'elle dans la bibliothèque. Qui qu'il soit, ce tueur semblait être bien plus proche qu'ils ne le pensaient.
Maya, toujours assise à la bibliothèque, continuait d'envoyer des messages à Diego tout en griffonnant dans son carnet.
— Maya : "Je crois que ce mec joue avec nous. Il veut qu'on suive ses indices, c'est comme une chasse au trésor macabre."
— Diego : "Macabre, c'est le mot. Mais pourquoi toi tu t'acharnes autant à trouver ces trucs ? Tu devrais laisser la police s'en charger."
— Maya : "Parce qu'ils ne sont pas assez rapides."
Diego répondit immédiatement :
— "Pas assez rapides ? Maya, tu te rends compte que c'est dangereux ? Ce type pourrait aussi te viser."
Maya roula des yeux, bien qu'elle sache qu'il avait raison.
— Maya : "Diego, je sais ce que je fais. Ce n'est pas la première fois que je fais face à ce genre de situations."
Diego, intrigué, tapa une réponse rapide :
— "Pas la première fois ? T'es sérieuse ? Maya, c'est pas un truc normal. Explique-toi."
Maya hésita. Elle était allée trop loin dans ses confidences. Mais une part d'elle avait envie de se confier à Diego, son seul vrai ami. Elle soupira et commença à taper :
— Maya : "Disons que... quand tu grandis avec des gens qui ne suivent pas les lois, tu apprends à lire entre les lignes. À comprendre des esprits tordus."
Le message partit avant qu'elle ne puisse se raviser. Elle mordilla sa lèvre inférieure, nerveuse.
Quelques secondes plus tard, son téléphone vibra.
— Diego : "Attends. Tu veux dire que ça a un lien avec ta famille ?"
Maya sentit son cœur s'emballer.
— Maya : "Diego, laisse tomber. Ce n'est pas important. Promets-moi juste de ne pas poser de questions."
— Diego : "Maya, t'es en train de me dire que t'es liée à des trucs illégaux et tu veux que je fasse comme si de rien n'était ? Sérieusement ?"
Maya serra les poings. Elle savait qu'il n'abandonnerait pas facilement.
— Maya : "Je ne suis pas liée à ça, OK ? Mais certaines personnes dans ma famille l'ont été. Et c'est compliqué. C'est pour ça que je fais tout pour que personne ne le sache."
Diego ne répondit pas tout de suite. Après quelques longues secondes, il envoya finalement :
— "OK. Je ne dirai rien. Mais promets-moi une chose : si ça devient trop risqué, tu lâches l'affaire. Je t'interdis de te mettre en danger pour ça."
Un léger sourire traversa le visage de Maya.
— Maya : "Je te promets d'essayer. Mais tu sais bien que je ne sais pas m'arrêter."
Diego soupira dans un autre message :
— "Ouais, et c'est bien ça qui m'inquiète. Fais gaffe, Maya."
Maya mit son téléphone de côté, le regard fixé sur son carnet. Elle appréciait la loyauté de Diego, mais elle savait qu'il avait raison de s'inquiéter. Pourtant, il était hors de question qu'elle recule maintenant. Si ce tueur voulait jouer à un jeu, alors elle allait jouer aussi.
Maya venait à peine de poser son téléphone sur la table quand il vibra de nouveau.
— Diego : "Oh, au fait, joli pull. Il te va bien."
Elle fronça les sourcils, perplexe.
— Maya : "Quel pull ?"
— Diego : "Celui que tu portes. Je l'ai vu ce matin au lycée, il est beaucoup trop grand pour toi. Laisse-moi deviner... il appartient à Emily ?"
Maya rougit légèrement, se mordillant l'intérieur de la joue.
— Maya : "Et alors ? C'est quoi ton problème avec ça ?"
— Diego : "Aucun problème, je trouve juste ça mignon. Une prof du FBI qui te file son pull pour que tu n'attrapes pas froid. On dirait une scène de film romantique."
Maya roula des yeux, un sourire amusé se dessinant malgré elle.
— Maya : "T'es débile."
— Diego : "Non mais sérieux, c'est bizarre quand même, non ? Genre... elle s'inquiète beaucoup pour toi, tu trouves pas ?"
Maya s'arrêta un instant, réfléchissant à la question. Oui, Emily était protectrice, parfois même un peu trop. Mais elle mettait ça sur le compte de son rôle de professeure et de son instinct de fédéral.
— Maya : "Elle est juste comme ça. Une bonne personne. Elle prend soin de moi parce qu'elle sait que ma situation est compliquée. C'est tout."
Diego ne semblait pas convaincu.
— Diego : "Mmh, OK, si tu le dis. Mais j'suis sûr qu'elle ferait pas ça pour n'importe quel élève. Elle te porte un peu dans son cœur, non ?"
Maya soupira, agacée mais amusée.
— Maya : "Arrête avec tes théories. Elle est juste gentille, c'est tout."
— Diego : "Gentille ? Maya, gentille c'est quand on te prête un stylo ou qu'on t'explique un truc en classe. Là, c'est différent. Elle te loge, te protège, et maintenant elle te file ses fringues. Je dis juste... réfléchis-y."
Maya leva les yeux au ciel et écrivit rapidement :
— Maya : "Arrête de jouer les psy à deux balles. On parle d'autre chose maintenant ?"
— Diego : "OK, OK. Mais j'te préviens, si un jour elle t'offre un café et que tu rougis, je te ferai la remarque."
Maya éclata de rire, attirant l'attention de quelques personnes autour d'elle à la bibliothèque. Elle secoua la tête en tapant sa réponse.
— Maya : "T'es insupportable."
— Diego : "Mais tu m'adores. Allez, file travailler sur ton enquête, Sherlock."
Elle posa son téléphone, toujours en souriant. Diego avait ce don de détendre l'atmosphère, même dans les situations les plus tendues. Pourtant, une part d'elle ne pouvait s'empêcher de repenser à ce qu'il avait dit. Emily faisait-elle vraiment tout ça uniquement par gentillesse ?
⭒❃.✮:▹  ◃:✮.❃⭒
Emily se tenait devant la classe, son regard passant lentement sur chaque élève présent. L'ambiance était lourde, tendue, alors qu'elle annonçait son intention.
— "Écoutez, je sais que ces messages ont semé la peur et l'incertitude parmi vous. Mais plus nous en savons, plus nous avons une chance d'identifier qui est derrière tout ça et de vous protéger."
Les élèves échangèrent des regards nerveux, certains hochant timidement la tête. Emily continua :
— "Si quelqu'un a remarqué quelque chose, même un détail qui pourrait sembler insignifiant, c'est le moment de le partager."
Un silence pesant s'installa dans la salle. Quelques élèves hésitaient, d'autres fixaient leurs cahiers ou leurs chaussures. Emily les laissait prendre leur temps, consciente que parler d'une telle situation n'était pas facile.
Enfin, un élève leva timidement la main.
— "J'ai remarqué que les messages sont toujours laissés dans des endroits très fréquentés, comme s'ils voulaient qu'un maximum de gens les voient tout de suite."
Emily acquiesça, encourageant :
— "C'est une bonne observation. Ça montre que le coupable cherche à provoquer une réaction collective. Quelqu'un d'autre ?"
Une autre élève prit la parole, évoquant les similitudes entre les menaces et des éléments qu'ils avaient étudiés dans le cours de profilage.
Emily écoutait attentivement, posant des questions pour les guider, mais son attention revenait sans cesse à Maya.
Assise au fond de la classe, Maya était étrangement silencieuse. Elle croisait les bras, le regard baissé, jouant distraitement avec un stylo. Elle ne participait pas, ce qui était inhabituel pour elle, surtout dans un contexte aussi lié au cours.
Emily finit par poser une question générale, s'adressant à tous :
— "Certains d'entre vous ont peut-être entendu des rumeurs ou vu des comportements étranges ? Maya, tu as quelque chose à ajouter ?"
Tous les regards se tournèrent vers Maya, mais elle releva à peine la tête.
— "Non... rien de particulier."
Emily fronça légèrement les sourcils.
— "Tu es sûre ? Toi qui es si observatrice, rien ne t'a frappée ?"
Maya secoua la tête, ses doigts serrant le stylo un peu plus fort.
— "Non, désolée. Je n'ai rien remarqué."
Emily sentit une tension palpable dans la réponse de Maya. Quelque chose n'allait pas.
Après quelques autres interventions des élèves, Emily conclut la discussion, les remerciant pour leur participation et les rassurant sur le fait qu'ils étaient pris en charge. Mais dans un coin de son esprit, l'inquiétude pour Maya grandissait.
Maya, de son côté, rassemblait ses affaires, évitant soigneusement le regard d'Emily. Elle savait qu'elle n'avait pas été convaincante. Mais elle ne pouvait pas risquer de dire quoi que ce soit. Chaque mot de trop pouvait mettre en danger son père, ou révéler des vérités qu'elle préférait garder enterrées.
La cloche sonna, et les élèves commencèrent à sortir de la salle en discutant à voix basse. Maya resta assise à sa place, fixant son carnet, hésitante. Emily rangeait ses affaires sur son bureau, mais elle gardait un œil sur Maya, sentant qu'elle voulait lui parler.
Quand le dernier élève passa la porte, Emily se tourna vers elle.
— "Tu veux me dire quelque chose, Maya ?" demanda-t-elle doucement.
Maya releva la tête, cherchant les mots.
— "Oui, je... J'ai trouvé quelque chose à la bibliothèque hier soir. Sur les messages."
Emily s'approcha, ses yeux se plissant d'intérêt.
— "Qu'est-ce que tu as trouvé ?"
Maya sortit un morceau de papier de son sac et le posa sur le bureau d'Emily.
— "J'ai remarqué que les mots utilisés dans les messages correspondent à des phrases tirées d'un vieux livre de criminologie. J'ai trouvé une copie à la bibliothèque, et plusieurs passages sont surlignés. Ça ressemble à une sorte de guide pour le tueur."
Emily prit le papier, son regard allant de l'écriture de Maya aux notes précises qu'elle avait prises.
— "C'est une découverte incroyable, Maya," murmura Emily, ses yeux brillant d'admiration.
Maya sourit légèrement, un peu gênée.
— "Je voulais vous le dire plus tôt, mais... je ne savais pas si ça aiderait vraiment."
Emily posa une main sur l'épaule de Maya, la serrant doucement.
— "Bien sûr que ça aide. Ce que tu fais, c'est important. Mais tu ne devrais pas porter ça toute seule."
Le ton chaleureux d'Emily envahit Maya, qui se détendit légèrement sous la pression légère de sa main. Emily, absorbée par l'instant, ne réalisa pas immédiatement qu'elle laissait sa main glisser un peu plus bas sur le bras de Maya.
— "Tu es vraiment talentueuse, tu sais ça ?" dit Emily en la regardant avec un sourire sincère.
Maya sentit une chaleur monter en elle, à la fois à cause des mots et du contact.
— "Merci..." murmura-t-elle, ses joues prenant une teinte rosée.
Emily se rapprocha un peu plus, comme pour capter toute son attention.
— "Mais tu dois faire attention, d'accord ? Si quelqu'un découvre que tu enquêtes de ton côté, ça pourrait devenir dangereux."
Leur proximité devenait plus palpable, et Emily posa une seconde main sur l'autre épaule de Maya, la regardant intensément dans les yeux.
— "Je suis là pour te protéger, Maya," murmura Emily, sa voix presque un souffle.
Maya hocha doucement la tête, captivée par l'intensité de son regard.
— "Je sais... et je vous fais confiance," répondit-elle dans un souffle.
Emily, se rendant compte de la proximité, recula légèrement, rompant l'intensité du moment.
— "Bon, je vais transmettre ce que tu as trouvé à l'équipe. Tu as fait un excellent travail."
Maya hocha la tête, mais elle ne pouvait pas s'empêcher de ressentir une étrange chaleur dans la pièce, un mélange de respect et de quelque chose de plus profond qu'elle n'osait pas nommer.
Maya glissa sa main dans son sac pour sortir une note de papier et un livre qu'elle avait emprunté. Avant de se lever, elle hésita un instant, puis s'adressa à Emily avec un sourire timide.
— « Au fait... Je vais laver le pull que vous m'avez prêté et vous le rendre dès que possible. Promis. »
Emily leva les yeux vers elle, l'observant attentivement. Son regard s'attarda sur le pull qui, en effet, allait parfaitement à Maya, épousant ses formes de manière discrète mais élégante.
— « Oh, gardez-le, s'il vous plaît, » répondit Emily avec un sourire en coin.
Maya, surprise, haussa les sourcils.
— « Vraiment ? Je pensais que c'était votre préféré. »
Emily se rapprocha légèrement du bureau, croisant les bras, un air détendu mais sérieux sur le visage.
— « Il l'est peut-être... mais il te va bien. »
Le ton qu'elle avait employé était sincère, presque tendre, ce qui fit légèrement rougir Maya.
— « Eh bien... merci, je suppose, » répondit-elle en riant doucement, ses doigts jouant machinalement avec le bord des manches du pull.
Emily hocha simplement la tête, son sourire toujours présent.
— « C'est un cadeau, Maya. Parfois, les choses trouvent juste leur place ailleurs. »
Maya baissa les yeux, ne sachant trop quoi répondre à ça, mais une chaleur agréable l'envahit.
— « Je vais essayer de ne pas trop l'abîmer, alors, » dit-elle finalement avec un petit sourire espiègle.
Emily se contenta de rire doucement avant de jeter un coup d'œil à l'horloge.
— « Allez, file, tu vas finir par être en retard à ton prochain cours. »
Maya hocha la tête, s'éloignant du bureau, mais avant de sortir, elle se retourna.
— « Merci pour tout, vraiment. Pas juste pour le pull, mais pour... tout le reste. »
Emily la fixa un instant, touchée par ses mots, avant de répondre.
— « Toujours là pour toi, Maya. »
Et avec ces mots, Maya sortit, laissant Emily seule dans la salle. Un soupir s'échappa des lèvres d'Emily, son regard se posant là où Maya se tenait quelques secondes plus tôt.
— « Ce pull lui va vraiment trop bien, » murmura-t-elle pour elle-même avant de reprendre ses affaires, un sourire imperceptible sur les lèvres.
⭒❃.✮:▹  ◃:✮.❃⭒
Le soir venu, Marcus attendait Maya dans le bureau sombre du club. Lorsqu'elle entra, il la fixa d'un regard perçant, les bras croisés sur son torse.
— « Viens ici. »
Maya sentit immédiatement la tension dans l'air et s'approcha lentement, s'installant sur une chaise en face de lui, évitant de croiser son regard.
— « J'ai entendu dire que tu t'impliquais dans cette enquête. » La voix de Marcus était calme, mais il y avait une menace sous-jacente.
Maya détourna légèrement le regard, nerveusement.
— « Je n'ai rien fait de mal, papa. Je veux juste comprendre ce qui se passe. »
Marcus se pencha en avant, ses yeux sombres fixant les siens.
— « Comprendre ce qui se passe ? Ce n'est pas ton problème, Maya. Tu n'as rien à voir là-dedans. »
Maya serra les poings, essayant de garder son calme, mais elle ne pouvait ignorer la peur qui grandissait en elle.
— « Mais je ne peux pas juste rester là à rien faire alors que des gens meurent, papa. »
Marcus se leva brusquement, son visage à quelques centimètres du sien.
— « Et tu penses que tu peux t'impliquer sans conséquences ? Tu veux comprendre ? C'est comme ça qu'on te tue, Maya. »
Elle se redressa, le défi dans le regard.
— « Si je reste là sans rien faire, je me sens comme une spectatrice. J'ai des informations, je peux aider. »
Marcus la regarda, son visage durci par la colère.
— « Si tu dis quoi que ce soit, si tu creuses trop profondément, tu vas te retrouver dans une situation bien pire que tu ne peux imaginer. »
Maya sentit son cœur battre plus vite. Il avait raison, mais elle ne pouvait pas rester les bras croisés.
— « Je ne dirai rien sur toi, ni sur la famille, papa. Je te le promets. »
Marcus la fixa intensément.
— « Fais attention, Maya. Parce qu'une fois que tu t'impliques, il n'y a pas de retour en arrière. Tu vas détruire tout ce que tu connais. »
Elle hocha la tête, essayant de dissimuler la peur qui grandissait en elle.
— « Je comprends, papa. Mais je vais continuer à chercher la vérité, même si tu n'es pas d'accord. »
Marcus serra les poings, un éclat de rage dans les yeux.
— « Fais ce que tu veux, mais n'oublie pas ce que je t'ai dit. »
Elle se leva, le cœur lourd, mais déterminée à ne pas laisser cette menace la paralyser. En sortant du bureau, elle jeta un dernier regard à son père, se demandant si elle avait pris la bonne décision.
⭒❃.✮:▹  ◃:✮.❃⭒
Emily se rend au BAU, où l'atmosphère est tendue. Luke et JJ l'attendent déjà autour d'une table de conférence, les yeux fixés sur l'écran d'un ordinateur où une série de photos de suspects et de scènes de crime s'affichent.
— "Emily, tu es là juste à temps," commence Luke, en se levant pour la saluer. "On a une idée pour piéger le tueur. On va organiser une rencontre fictive."
Emily fronce les sourcils, intéressée, mais aussi prudente.
— "Une rencontre fictive ?" demande-t-elle.
JJ, assise à côté de Luke, se penche en avant et explique le plan.
— "L'idée, c'est de faire croire qu'on a trouvé un suspect, qu'on l'a suivi jusque dans un lieu isolé. On va lancer cette rumeur sur le campus et voir si le tueur se précipite pour éliminer la menace."
Emily réfléchit un instant, analysant les risques.
— "Et Maya ? Elle est au courant ? Vous savez qu'elle est déjà impliquée, et elle pourrait être en danger si le tueur s'en prend à elle."
Luke hoche la tête, un regard sérieux dans ses yeux.
— "On la tiendra à l'écart. Personne ne la mettra en danger. Mais si on parvient à attirer le tueur, on pourra le prendre sur le fait."
Emily hésite, jetant un regard vers JJ.
— "Et comment on va garantir que ça fonctionne ?"
JJ répond rapidement, un petit sourire déterminé sur le visage.
— "On va utiliser un 'faux suspect' pour faire monter la tension. L'idée est de manipuler les informations pour que le tueur croie qu'on a un témoin clé, quelqu'un qui pourrait nous aider à résoudre l'enquête."
Emily se tourne vers Luke, cherchant un signe d'assurance.
— "Tu penses que ça va marcher ?"
Luke répond sans hésitation, ses yeux d'un bleu perçant fixant Emily.
— "Si on fait ça bien, ça pourrait nous donner exactement ce qu'il nous faut. Mais ça nécessite un timing parfait."
Emily soupire, sentant l'adrénaline monter dans ses veines. Elle se lève et se dirige vers l'armoire à dossiers.
— "Alors, faisons-le. Mais si quelqu'un doit risquer sa vie, ça ne sera pas Maya."
JJ sourit, reconnaissant la détermination d'Emily.
— "On va te tenir au courant. C'est maintenant ou jamais."
Emily hoche la tête, jetant un dernier regard à l'équipe.
— "Soyez prêts pour tout. On ne sait pas ce qui peut arriver."
Elle se tourne alors vers l'ordinateur, fixant les photos du tueur, prête à tout pour mettre fin à cette menace. Mais au fond d'elle, un pressentiment la trouble : tout cela pourrait bien les entraîner dans une spirale dangereuse dont il serait difficile de sortir.
⭒❃.✮:▹  ◃:✮.❃⭒
Alors que Maya est dans sa chambre, plongée dans ses pensées, son téléphone vibre soudainement. Elle regarde l'écran : un message inconnu, crypté, s'affiche. Ses mains tremblent légèrement en l'ouvrant. Le message est court, mais les mots sont choisis avec soin, comme s'ils avaient été faits pour la déstabiliser.
"Tu sais trop de choses, et tu n'es plus en sécurité. Il est trop tard pour revenir en arrière."
Maya sent un frisson parcourir son dos. Son cœur s'accélère, l'adrénaline se répand dans ses veines. Le tueur sait qu'elle enquête, mais il ne sait pas à quel point elle est impliquée. Pourtant, ce message a un ton menaçant qui ne laisse aucune place au doute : elle est en danger.
Elle jette un rapide coup d'œil autour d'elle. Emily lui a toujours dit qu'elle devait être prudente, mais Maya sait que cette menace, elle ne pourra pas la fuir indéfiniment. Elle doit en savoir plus, seule. Si elle peut trouver un indice clé, elle pourrait enfin mettre un terme à ce chaos, mais elle doit agir sans que personne ne sache ce qu'elle fait.
Elle ferme son téléphone avec un soupir lourd, son esprit bouillonnant. Elle ne peut pas en parler à Emily, elle sait que cette dernière serait contre l'idée de l'impliquer davantage, mais Maya sent qu'elle n'a pas d'autre choix. Ce message pourrait être la clé. Elle sait que si elle part seule à la bibliothèque, ou n'importe où ailleurs, elle risquerait d'attirer l'attention. Pour l'instant, elle préfère garder son enquête secrète et ne pas inquiéter Emily, même si une part d'elle aimerait pouvoir tout lui confier.
Elle se lève et marche lentement vers la cuisine, cherchant à se distraire en préparant un thé. Mais son esprit reste agité, incapable de se concentrer sur quoi que ce soit d'autre. La pensée de ce message et de ce qu'il implique ne la quitte pas.
Alors qu'elle fait bouillir de l'eau, Maya se rend compte qu'elle est seule avec ses pensées, et les idées commencent à tourner en boucle. Emily a raison, elle ne doit pas tout faire toute seule. Mais est-ce vraiment sûr de tout lui dire ? Elle se demande si Emily la protégerait ou si elle finirait par la considérer comme une gêne.
L'eau bouillante déborde légèrement, ce qui la sort de ses pensées. Maya souffle un coup, agacée de ne pas pouvoir être tranquille ne serait-ce qu'un moment. Elle regarde autour d'elle et entend des bruits venant de l'extérieur, peut-être des pas dans le couloir. Elle se précipite pour éteindre la bouilloire, essayant de faire taire cette sensation de malaise qui l'envahit.
Elle se dirige vers le salon et s'assoit, en attendant Emily, en espérant que la soirée se passe sans autre incident. Mais dans son esprit, elle sait que ce n'est que temporaire. Les menaces sont réelles, et elle doit être prête à agir, même si elle ne peut pas le faire en toute sécurité pour le moment.
⭒❃.✮:▹  ◃:✮.❃⭒
Maya, bien que toujours nerveuse à l'idée de tout révéler, décide de se rendre au BAU. Elle sait qu'elle ne peut plus rester dans l'ombre, surtout après avoir découvert certains détails sur le tueur. Une partie d'elle se sent responsable, comme si elle avait un rôle à jouer dans cette enquête.
Lorsqu'elle arrive au BAU, elle cherche d'abord Rossi. Elle le trouve dans un coin tranquille, en train d'examiner des documents. Maya s'assoit devant lui, son regard sérieux.
"Rossi, il faut que je vous parle," commence-t-elle, les mains légèrement tremblantes. "Je suis impliquée dans cette enquête plus que vous ne le pensez."
Rossi relève les yeux, surpris, mais attentive. "Tu veux dire que tu as trouvé quelque chose ?"
Maya hésite un instant, puis décide de tout dire. "J'ai trouvé un message. Un message cryptique... et il me semble qu'il est lié au tueur. Mais je n'ai pas voulu en parler à Emily, je... je ne veux pas qu'elle prenne ça pour un coup de pression."
Rossi fixe Maya pendant un moment, ses yeux scrutant son visage. "Écoute, Maya. Si tu as quelque chose qui pourrait nous aider, on doit le savoir. Je comprends que tu veuilles protéger Emily, mais parfois... il faut être honnête avec elle."
Avant que Maya n'ait le temps de répondre, Emily entre dans la pièce. Elle se tourne immédiatement vers Maya avec une expression préoccupée. "Qu'est-ce qu'il y a, Maya ?"
Maya se redresse, un peu prise au dépourvu. "Je... je voulais juste parler à Rossi."
Emily fronce les sourcils. "De quoi ?"
Rossi prend la parole avant que Maya ne puisse répondre. "Elle a trouvé un indice qui pourrait être lié au tueur, Emily. Et je pense qu'elle pourrait être un atout pour l'enquête."
Emily secoue la tête, visiblement hésitante. "Non, ce n'est pas une bonne idée. Maya, tu n'as pas à te mêler de ça. Tu es en danger."
Maya se tient fermement, son regard déterminé. "Mais je suis déjà impliquée. J'ai trouvé des choses que vous ne pouvez pas ignorer. Et je veux aider."
Rossi la soutient, un léger sourire sur le visage. "Je suis d'accord avec elle, Emily. Parfois, les meilleures informations viennent de ceux qui sont directement touchés. Si elle veut nous aider, pourquoi ne pas l'accepter ?"
Emily reste silencieuse un moment, puis pousse un léger soupir. "D'accord, mais tu restes sous ma surveillance, Maya. Je ne veux pas que tu prennes des risques inutiles."
Maya hoche la tête. "Je comprends."
Rossi sourit à Emily. "Il semble qu'on ait un nouveau membre dans l'équipe, alors. Bienvenue, Maya."
Maya regarde Emily, un peu plus rassurée, mais elle sent qu'elle doit prouver qu'elle peut être utile à l'équipe, tout en restant fidèle à ses engagements.
Emily, toujours sur ses gardes, ne parvient pas à cacher son agacement. Elle se tourne vers Maya, un air de frustration visible sur son visage. "Non, Maya, tu rentres . C'est bien trop dangereux pour toi. Je ne vais pas te laisser courir ce risque."
Maya fronce les sourcils, son ton devenu plus ferme. "Je sais ce que je fais, Emily. Et je suis impliquée, tu ne peux pas me forcer à rester à l'écart."
"Je ne te force pas, mais je te dis que c'est dangereux !" Emily hausse la voix, ne supportant pas l'idée de voir Maya se mettre en danger. "Tu es trop précieuse pour ça, tu n'as rien à prouver. Et en plus, tu n'as aucune idée des risques auxquels tu t'exposes."
Maya, blessée par l'attitude protectrice et un peu condescendante d'Emily, croise les bras. "Tu crois que je ne suis pas capable de m'en sortir toute seule ?"
Rossi, qui avait observé la scène avec calme, intervient doucement, mais avec une certaine fermeté. "Emily, je comprends tes préoccupations, mais Maya a un point. Elle a trouvé quelque chose qui pourrait nous aider. On ne peut pas ignorer ça."
Emily souffle, ses yeux se fermant brièvement. "Je ne veux pas la mettre en danger, Rossi. C'est ma responsabilité, et je ne peux pas la laisser s'impliquer davantage. Pas dans ce genre de situation."
Maya se rapproche d'Emily, son regard maintenant plus déterminé que jamais. "Je suis capable, Emily. Et tu ne peux pas toujours me protéger. C'est moi qui dois prendre des décisions maintenant, et je veux être impliquée."
Un silence lourd s'installe entre les deux femmes, et Emily se contente de regarder Maya, ses pensées tourbillonnant. "D'accord, mais je ne veux pas que tu prennes de risques inutiles. Si tu veux vraiment aider, tu fais exactement ce qu'on te dit. Compris ?"
Maya acquiesce, mais une frustration palpable se cache derrière son regard. "D'accord. Mais ne t'inquiète pas pour moi. Je sais ce que je fais."
Après un long moment de silence, Emily s'adresse à Rossi, son ton plus calme mais toujours empreint de préoccupations. "Tu sais bien que je ne veux pas que Maya soit en danger, mais je dois aussi la protéger d'elle-même. C'est compliqué."
Rossi hoche la tête, un air de compréhension dans ses yeux. "Je vois. Tu t'inquiètes pour elle, et je pense qu'elle commence à comprendre ce que tu ressens. Mais parfois, Emily, il faut lui laisser la chance de se prouver. Elle est plus forte qu'on ne le pense."
Emily, prise entre ses responsabilités professionnelles et ses sentiments personnels envers Maya, regarde longuement Rossi, un léger soupir s'échappant de ses lèvres. "Tu penses qu'elle peut gérer ça ?"
Rossi pose une main réconfortante sur l'épaule d'Emily. "Je pense que tu sous-estimes sa détermination. Mais sois prudente, Emily. Ce n'est pas seulement le travail qui te touche ici, c'est aussi le cœur."
Emily regarde Maya, qui s'éloigne, le regard concentré, prête à jouer un rôle plus important dans l'enquête. Une pointe de malaise traverse le cœur d'Emily, mais elle n'a pas d'autre choix que d'accepter que Maya soit désormais une part essentielle de cette mission.
"Je vais devoir m'y faire, mais je vais la protéger à ma manière," murmure Emily, les yeux fixés sur la silhouette de Maya qui se dirige vers l'issue du BAU.
Luke et JJ, qui avaient écouté la conversation entre Emily et Maya depuis un coin discret de la salle, échangent des regards complices. Ils attendent quelques instants, puis JJ brise le silence en souriant, un air malicieux sur le visage.
"Alors, Luke... Qu'est-ce que t'en penses ?" dit-elle, en croisant les bras.
Luke, qui avait observé Emily d'un œil discret, se penche légèrement en avant, un sourire en coin. "Oh, je pense que c'est évident. Emily est totalement à fond. Si ce n'était pas clair avant, je crois que ce petit échange l'a bien confirmé."
JJ éclate de rire, secouant la tête. "Je savais que ça finirait par arriver. Elle est complètement à cheval entre sa mission de protéger Maya et... ce qu'elle ressent pour elle."
Luke hoche la tête en signe d'accord, un sourire plus large se dessinant sur son visage. "C'est vraiment drôle de voir Emily dans cette situation. D'habitude, elle garde tout sous contrôle. Mais là, elle a l'air complètement perdue, comme si elle ne savait pas quoi faire de ses sentiments."
"Et puis, Maya... Elle joue à un jeu dangereux. Elle pousse Emily dans ses retranchements à chaque fois," ajoute JJ, amusée, tout en se frottant le menton d'un air pensif. "Je me demande combien de temps Emily va réussir à maintenir cette façade d'indifférence. Elle est tellement protectrice, c'est évident qu'elle tient à elle. Et plus elle essaie de la repousser, plus Maya semble vouloir s'impliquer."
Luke prend un instant avant de répondre, un air presque pensif. "Tu crois qu'Emily le réalise ? Parce que si elle ne le voit pas, Maya, elle... elle commence à jouer son propre jeu, et ça pourrait bien compliquer les choses pour les deux."
JJ fronce légèrement les sourcils, son ton devenant plus sérieux. "Je pense qu'Emily est consciente, mais elle essaie de garder une certaine distance. Elle a cette barrière protectrice, tu sais ? Mais c'est aussi ce qui la rend plus vulnérable."
Les deux échangent un regard entendu avant que Luke ne réponde à voix basse, comme s'il réfléchissait à la situation. "Quoi qu'il en soit, ça risque d'être intéressant de voir comment cette histoire va évoluer. Maya est plus que déterminée, et Emily... Emily est perdue dans son propre déni."
"Et toi, tu penses qu'ils finiront par s'avouer ce qu'ils ressentent ?" demande JJ, un léger sourire espiègle sur ses lèvres.
Luke se contente de hausser les épaules, son regard amusé. "On verra bien, mais ça pourrait bien être un vrai feuilleton ici. Emily ne sera pas la seule à devoir faire face à ses sentiments."
Les deux agents se lancent un dernier regard amusé avant de se tourner vers l'endroit où Emily se trouve, qui, malgré son masque de professionnalisme, semble un peu plus perturbée qu'à l'accoutumée.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
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mmepastel · 1 year ago
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Whaou.
Je regarde beaucoup de séries, et j’en ai vu un paquet de super bien. Cette fois, avec cette celle-ci, j’ai été touchée en plein cœur. Pourtant, je connais à peine Truman Capote, je n’ai rien lu de lui, j’ignorais tout de cette querelle dont il est question dans ce récit qui raconte la deuxième partie de sa vie. Je connaissais son visage, sa réputation sulfureuse, son intérêt pour les mondains, et l’impact de son roman De sang froid.
Honnêtement, je n’aurais pas cru me passionner pour son existence ni pour celles des « Swans », c’est à dire ces « socialities », célébrités mondaines pleines aux as et oisives au possible, qui faisaient la pluie et le beau temps sur la mode à New-York dans les années 60 et 70. D’ailleurs, il me semble bien qu’on les a oubliées. Elles ont leurs fiches Wikipedia, mais je ne suis pas sûre qu’elles aient laissé une trace inouïe ni dans l’art, ni dans la mode.
C’est Gus Van Sant qui filme, et sans doute la qualité de la série y est pour beaucoup. Le casting est dingue aussi, entre Naomi Watts, Calista Flockart, Chloë Sevigny, Jessica Lange… et Tom Hollander qui incarne Capote d’une façon extraordinaire. Il a réussi à créer un personnage à la fois ridicule et profondément touchant, avec ses cheveux jaunes plaqués sur un front de plus en plus dégarni, une gestuelle maniérée et outrée, une voix haut perchée, et un rire incroyable… irritant et désarmant. Une performance géniale, proche de l’original (j’ai regardé des vidéos pour écouter la vraie voix de l’auteur), et une création sensible.
La première partie de la vie de l’écrivain, de sa jeunesse chaotique (mère sans égards, puis alcoolique, père violent puis absent), à son succès précoce, est sacrément passionnante (maintenant que je suis renseignée). Mais la série se concentre sur l’après. Lorsque, précisément, Truman Capote est à son apogée, et que tout le monde s’arrache cet homosexuel mondain qui est drôle, cruel, attentif et doux avec ceux (celles surtout) qu’il aime. Sa relation avec Babe m’a bouleversée. J’ai pleuré tout le long de l’avant-dernier épisode, devant la beauté de leur lien, devant le tragique du gâchis.
Cette série est évidemment complètement proustienne, avec l’œil acéré sur les faux-semblants des riches, les amitiés qui n’empêchent pas la clairvoyance, la cruauté de ladite clairvoyance lorsque celle-ci se mue en récit public et donc en trahison. Il est question de mondes dont on veut être ; dont Capote devient le centre puis en est évincé. De solitude. D’alcool. De création. De l’attirance du papillon vers l’ampoule qui va le brûler, le petit garçon esseulé d’Alabama ébloui par le faste new-yorkais, puis les talk-shows. Et le fantôme maternel qui rôde, encore, qui empoisonne chacun de ses gestes.
C’est le récit d’un déclin collectif, mais dans lequel chacun est seul. C’est troublant de finesse, de délicatesse. Malgré les belles robes, les colliers de perles et les mets raffinés, il y a quelque chose de nu qui transparaît, quelque chose de cru, de vrai où se mélange les regrets d’un gâchis immense et la beauté impalpable de moments dérisoires. Une vie, à la fin de laquelle on appelle en vain sa maman, comme un petit enfant effrayé.
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lifextime · 15 days ago
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100 raisons de lire You Belong to me
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Tu veux une romance avec des petits cœurs et des papillons ? Passe ton chemin. Ici, c’est pas Disneyland. C’est le chaos, la sueur, le sang et les regards qui tuent.
POUR LES FANS DE DARK ROMANCE
Kade est un anti-héros magnétique, dangereux… et impossible à oublier.
Ruby ne se laisse jamais faire, même face à un prédateur.
Une dynamique captive qui bouleverse les codes.
La tension sexuelle est insoutenable (dans le bon sens du terme).
Parce que l'amour peut naître dans les endroits les plus sombres.
Le trope « enemies to lovers » mais version trauma bonding.
Une romance qui pique, dérange, et obsède.
Le côté possessif de Kade… c’est tellement borderline que ça devient addictif.
Pas de mièvrerie : ici, on parle de survie, de vengeance, et de sentiments violents.
Les scènes intimes sont torrides, troublantes, intenses.
POUR LES AMATEURS DE SUSPENSE & ACTION
Kade n’est pas qu’un tueur… il est une énigme à lui seul.
L’intrigue mafieuse se tisse en toile de fond, dangereuse et brutale.
On ne sait jamais à qui faire confiance.
Des retournements de situation à couper le souffle.
L’atmosphère est lourde, tendue, parfois oppressante.
On passe d’un enfer à un autre… mais lequel est pire ?
Des confrontations explosives entre Kade et ses ennemis.
Des alliances douteuses, des secrets révélés, des trahisons à chaque coin de page.
Une tension constante, qui pousse à tourner les pages sans s’arrêter.
Le final ? Tu ne le verras pas venir.
POUR LES PERSONNAGES ET LEURS FAIBLESSES HUMAINES
Ruby, c’est la résilience incarnée.
Elle a peur, mais elle agit.
Elle n’est ni naïve, ni sauvée par magie : elle se bat.
Kade a un passé sombre qu’on veut découvrir page après page.
Ce n’est pas un héros. C’est un homme abîmé, irrécupérable… ou presque.
Le duo Ruby/Kade est électrique.
Ils se haïssent, se désirent, se testent, se brûlent.
Leur rapport évolue de manière crédible (et dramatique).
On les voit se déconstruire et se reconstruire.
Même les personnages secondaires laissent une marque.
POUR LA PROFONDEUR ÉMOTIONNELLE
Les violences psychologiques sont abordées avec réalisme.
La solitude de Ruby est palpable.
Le trauma est traité sans filtre mais avec nuance.
Kade a ses propres cicatrices, invisibles.
Chaque chapitre est une descente dans l’âme humaine.
Les émotions sont brutes, à fleur de peau.
On ressent la colère, la peur, l’humiliation… mais aussi l’espoir.
C’est un roman qui fait mal, et c’est voulu.
Il montre qu’on peut s’attacher même à ceux qu’on devrait fuir.
Tu ne ressortiras pas indemne de cette lecture.
POUR L'INTENSITÉ PSYCHOLOGIQUE
Ce n’est pas une histoire d’amour classique.
C’est une confrontation entre deux esprits brisés.
Tu ne sais jamais ce que Ruby pense vraiment.
Kade est imprévisible, même pour lui-même.
On explore la manipulation, le contrôle, la dépendance.
Chaque regard entre eux est un combat silencieux.
Les rapports de force changent constamment.
Le danger n’est jamais loin, même dans les silences.
Tu sens le feu sous la glace à chaque interaction.
La psychologie des personnages est aussi tranchante qu’un opinel.
POUR LES AMATEURS DE LITTÉRATURE SOMBRE
L’ambiance est moite, suffocante, captivante.
C’est un conte cruel, moderne et addictif.
On parle de monstruosité humaine sans détour.
Pas de glamour ici : c’est rugueux, brutal, vrai.
Le style est incisif, sans fioritures, mais percutant.
Les scènes sombres ne sont jamais gratuites.
L’auteur ne cherche pas à te plaire… elle cherche à te marquer.
Tu lis avec un nœud dans l’estomac, et tu en redemandes.
C’est une lecture viscérale, presque physique.
Les ténèbres y sont belles. Dérangeantes. Poétiques.
POUR LE PLAISIR DE LECTURE PUR
Tu lis ça en une nuit sans pouvoir t’arrêter.
Chaque chapitre finit sur une phrase choc.
L’alternance de tension et de passion est maîtrisée.
Il y a des punchlines à annoter partout.
Tu ne t’attendras pas à aimer autant ces personnages.
Noémie joue avec tes nerfs, et c’est délicieux.
L’écriture te happe, te broie et te laisse haletant.
Tu veux savoir ce qui les détruit… et ce qui les sauve.
Tu oublies le monde réel pendant ta lecture.
Tu ressors avec une envie : le relire, différemment.
POUR LE DRAMA ET LA PASSION
C’est du slow burn, avec des braises prêtes à exploser.
Les disputes entre Ruby et Kade ? Des mini-batailles épiques.
La jalousie est à son comble.
La possessivité, toxique mais fascinante.
Il y a de la violence, du sang, des pleurs… et du désir.
Les confrontations sont plus intenses que les scènes d’amour.
Les émotions sont extrêmes : tout ou rien.
Tu vas rire, pleurer, crier intérieurement.
Leur histoire est une bombe à retardement.
Tu sens qu’il suffirait d’un geste pour que tout bascule.
POUR CE QU'IL TE FAIT RESSENTIR
Tu vas avoir le cœur serré.
Tu vas vouloir protéger Ruby.
Tu vas haïr Kade… puis l’aimer… puis douter.
Tu vas crier : "Non, ne fais pas ça !"
Tu vas te demander ce que toi, tu aurais fait.
Tu vas trembler à certaines scènes.
Tu vas avoir envie de lancer ton livre contre le mur.
Tu vas être choqué par certaines décisions.
Tu vas ressentir de l’attirance pour ce que tu ne devrais pas aimer.
Tu vas avoir un vide une fois le livre terminé.
POUR LES THÈMES TRAITÉS
Le poids de l’enfance sur l’âge adulte.
La question du pardon.
La vengeance, et ses limites.
Le consentement dans des contextes complexes.
Le pouvoir et ses dérives.
L’amour comme arme, et comme remède.
Ce qu’on sacrifie pour survivre.
La dignité dans la douleur.
Ce que signifie vraiment "appartenir à quelqu’un".
Parce qu'au fond, tu as besoin de savoir s’ils vont survivre… ensemble.
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mimipeacenluv · 2 months ago
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voir sans pouvoir agir
ce sentiment désolant, troublant, perturbant
de ce sentir impuissant face a une situation
voir des gens souffrir, mourir à petit feu chaque jour et rien pouvoir y faire
vivre dans une époque où un génocide et banaliser et caché
certaines personnes haut placées censure la palestine, afin de pas laisser leur culpabilité les ronger, de préférer le pouvoir à l’humanité
ils oublient trop souvent que notre existence est éphémère
que dans notre tombe nous serons jugé par nos actions et non notre richesse ou combien de terre ils ont pu coloniser
ces gens là seront perdants à courir derrière l’invisible
car est ce que avoir du pouvoir mérite autant d’importance?
au point de laisser notre ego s’emparer de notre empathie ?
peut être que la distance a aveuglé des coeurs
ce soucier du problème seulement que cela impactera notre personne
c’est si égoïste
j’ai l’impression que certain grandit avec des cœurs en pierre
comment ne rien ressentir face à la détresse de milliers d’innocents, d’enfants innocents, insouciants
mérite t’il d’être affamé, assoiffé, torturer, violer pour être né sur une terre qui est la leur
mais que d’autre ce sont approprié
l’amertume que je ressens
voir autant d’âme souffrir, attriste profondément mon cœur
voir des enfants mourir à petit feux à cause de la famine
même pas pouvoir ce soigner, car “israël” a bombardé presque tout les hôpitaux
le peu qui reste sont à plus de 106% de leur capacité
autant de gens qui ont la possibilité de changer les choses si seulement ils ce souciaient de nous
ce sont leurs frères, leurs sœurs en islam
malgré tout, ils voient la situation certes, mais dans le noir
l’Arabie Saoudite honte à vous, s’allier avec ceux qui blessent vos semblables
les fournir des armes qui tueront des enfants, des mères de famille, des pères, des aînées
vous vous rendez pas compte des conséquences de vos actes
les séquelles, les traumatismes causés par tout cela
car tout ce qui vous importe est l’appât du gain peut importe le nombre de soufflent que vous allez ôter
que direz-vous à ceux que vous avez fait tant de mal qd vous seriez devant الله et face à eux?
comment justifierez vous votre tuerie ?
votre massacre
la honte vous paralysera, comment justifier l’injustifiable
malheureusement l’Arabie Saoudite n’est pas le seul à avoir du sang sur les mains
beaucoup trop participer à l’éradication de la population de gaza et de la palestine en général
combien de morts, devrions nous encore compter pour que vous prenez conscience de la gravité de la situation?
qu’attendez vous au juste?
que cette terre soit totalement éradiquée?
pourquoi attendre la fin pour enfin réagir ?
pourquoi attendre qu’il est trop tard pour enfin ouvrir les yeux
et quand la seule action que tu pourras accomplir est de ce noyer de le regret
la situation est déjà suffisamment critique.
plus de 50 000 enfants sont décédés depuis le 7 octobre qui est même pas la date de commencement de ce conflits qui remonte à 1948
la terre ce retrouve inutilisable afin d’effectuer de l’agriculture à cause des bombardements répétés
89% de l’eau de gaza et des infrastructures qui les rend potable sont en grande majorité ou totalement détruire
l’aide humanitaire est bloqué ou difficilement accessible
les camions de nourriture ce font rare et arrive parfois moisie
certains enfants commencent à avoir des cheveux blanc
qui est très prématuré et inquiétant cela est dû à un énorme pique de stress constant
le corps reflète l’état de la santé mentale de l’âme
les signes ne mentent pas
ces enfants si ils survivent
vivront une vie dans la peur, constamment troublé par des traumatismes
qu’attendez vous pour enfin prendre conscience de la gravité de cette situation
au final peut être que la distance a réellement aveuglé des coeurs
ne pas en parler c’est être complice d’un genocide
un mot trop souvent censuré
mais quand leur but est de clairement éradiquer toute une population
nous pouvons pas nous permettre de nous taire
en 1939 qd la deuxième guerre mondial avait commencé nous étions tous choqué de la gravité de la situation en apprenant l’histoire et que personne a rien fait pour aider ce peuple
pourquoi apprenons nous pas de nos erreurs?
laissons pas l’histoire ce répéter et nos regrets s’accumuler
parler en, faites des invocations, faites des dons
faite de votre maximum
mais surtout ne laissez pas la voix de ce peuple s’évaporer sous les bruits strident des bombes qui les frappent quotidiennement
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japapinfo · 2 months ago
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10 maladies mystérieuses inspirées par des créatures mythiques
10 Maladies Réelles Inspirées par la Mythologie : Quand la Science Flirte avec le Fantastique En médecine, le langage n’est pas qu’affaire de technique : il oscille parfois entre rigueur scientifique et imagination débordante. Ainsi, certains syndromes ou maladies rares arborent des noms puisés tout droit des légendes, peut-être pour leur côté spectaculaire, ou parce qu'ils défient toute compréhension rationnelle (du moins à l'époque de leur découverte). Derrière ces appellations frappantes se dissimulent néanmoins de véritables affections, souvent plus étranges que la fiction elle-même. De la Mythologie à la Médecine : D’où Viennent Ces Noms ? Quand la langue médicale se montre inventive, elle le fait souvent pour illustrer : Des apparences singulières (comme une pilosité exubérante ou un visage figé) Des symptômes spectaculaires ou mystérieux (hallucinations, déformations, etc.) L’histoire de leur découverte (parfois des cliniciens passionnés de folklore ou de littérature) À la fois poétiques et inquiétants, ces noms mythologiques cristallisent la réaction de la société face à l’inconnu ou au bizarre. 10 Maladies Nommées d’après des Créatures ou Mythes Légendaires 10. Syndrome du loup-garou (Hypertrichose) Imaginez une croissance exubérante de poils teintant le visage ou recouvrant tout le corps — à tel point que l’apparence rappelle celle du loup-garou des contes anciens. C’est ce qu’on appelle l’hypertrichose. En fait, le syndrome du loup-garou combine différentes formes d’hypertrichose, condition très rare (moins de 100 cas répertoriés à ce jour). La version congénitale a souvent une origine génétique, impliquant le chromosome X. Des cas fameux, comme Petrus Gonsalvus au XVIème siècle ou Julia Pastrana, ont marqué l’histoire. L’aspect dit « bestial » a été surexploité dans les foires et cirques, perpétuant le nom. Aujourd'hui, le laser et les traitements hormonaux permettent de gérer cette pilosité excessive, mais l'impact psychologique demeure souvent lourd à porter. 9. Syndrome de Renfield (Vampirisme) Non, il ne s’agit pas d’un vampire au sens littéral, mais d’une pathologie psychiatrique troublante : un besoin compulsif de boire du sang, souvent associé à des troubles psychotiques. Le terme syndrome de Renfield provient du roman Dracula. Ce syndrome, non reconnu officiellement dans les manuels diagnostics, a néanmoins été observé dans de rares cas cliniques parfois tragiquement comme chez Richard Trenton Chase, le "Vampire de Sacramento". Manifestations : automutilation, consommation de sang animal, puis humain chez quelques individus. Traitement : psychothérapie, antipsychotiques. Dans un contexte moins pathologique, certaines sous-cultures "vampires" contemporaines mettent encore en scène des rituels sanglants a priori consensuels, brouillant la frontière entre jeu, croyance et psychiatrie. 8. Syndrome de la sirène (Sirénomélie) Aussi f��erique que tragique, la sirénomélie est une maladie congénitale où les deux jambes fusionnent en un seul membre, évoquant une queue de sirène. Ce trouble rare (environ 1 naissance sur 100 000) entraîne des anomalies internes souvent fatales à la naissance. Des figures médiatisées, comme Shiloh Pepin (dite "la Fille Sirène"), ont marqué l'opinion, en survivant quelques années grâce à de prodigieuses avancées médicales. Symptômes : Fusion des jambes, anomalies rénales ou génitales, torsion vertébrale. Traitements : Interventions chirurgicales complexes; suivi médical à vie pour les rares survivants. Ce syndrome remet en question l’éthique médicale et le regard social sur le handicap. 7. Syndrome d’Alice au pays des merveilles (AIWS) Ce trouble neurologique provoque d'étranges distorsions de la perception : objets qui paraissent trop grands ou minuscules, altération du temps ressenti, sentiment de flotter hors de son corps… Comme dans les péripéties hallucinées d'Alice. Fréquent chez l’enfant migraineux ou épileptique, il peut aussi survenir lors d’infections virales (mononucléose).
Symptômes : Macrosomatognosie (sentiment d’être immense), microsomatognosie, altérations sensorielles sporadiques. Diagnostic difficile, la personne a conscience du caractère irréel. Aucune fausse perception, juste une interprétation erronée du réel. 6. Ichtyose arlequine (Bébé arlequin) Imaginez une peau cartonnée, striée de fissures, à la manière d’un costume bariolé d’arlequin… Tel est l’aspect de cette ichtyose rare et sévère due à une mutation du gène ABCA12. Elle met en péril la vie des nouveau-nés par déshydratation ou infection. Grâce à la réanimation néonatale moderne, des enfants comme Ryan Gonzalez ont survécu jusqu’à l’âge adulte, événement presque inimaginable il y a 50 ans. L'ichtyose arlequine touche moins d’1 naissance sur 1 million. Les traitements reposent sur les rétinoïdes et une hygiène de la peau draconienne. 5. La malédiction d’Ondine (Syndrome d’hypoventilation centrale congénitale) Ce trouble effrayant fait perdre le réflexe de respiration automatique durant le sommeil (et parfois l’éveil), forçant les personnes, dès la naissance, à recourir à la ventilation artificielle. Causé par des mutations du gène PHOX2B, il évoque le mythe d’Ondine où la nymphe punit son amant en le condamnant à mourir s’il s’endort. Souvent détecté chez le nourrisson, parfois plus tard après un AVC ou un trauma. Appareils d’assistance respiratoire nécessaires à vie; essais de neurostimulateurs diaphragmatiques en cours. Cette désignation poétique traverse toujours les rapports médicaux, sans équivalent prosaïque plus précis. 4. Syndrome de Moebius (Comparé à la Gorgone Méduse) Ici, le visage reste figé en permanence, dénué de toute expression, suite à une paralysie congénitale des nerfs faciaux. Si le nom officiel vient du neurologue Möbius, l’imaginaire populaire assimile parfois cette immobilité à la Méduse, dont le regard pétrifiait les mortels. Les enfants concernés sont souvent victimes de harcèlement scolaire; des associations luttent pour transformer ce "stigmate Meduséen" en symbole d'acceptation des différences. 3. Syndrome de Protée (La maladie d'Elephant Man) Le dieu grec Protée, maître des transformations, prête ici son nom à la maladie qui bouleverse la morphologie : le syndrome de Protée entraîne croissance anarchique des os, de la peau et des tissus. La silhouette peut se déformer de façon frappante, sans schéma fixe, d’où la référence à une entité métamorphe. Mutation en mosaïque du gène AKT1 Exemple fameux : Joseph Merrick, "l’homme éléphant" du XIXe siècle. Aucun traitement curatif : on pratique des chirurgies réparatrices et un accompagnement psychologique. 2. Cyclopie (Cyclope) Dans la mythologie grecque, le cyclope possède un unique œil frontal. Médicalement, la cyclopie désigne une malformation embryonnaire (due à une holoprosencéphalie) où les deux orbites fusionnent. Ces nourrissons naissent rarement vivants, et l’existence même de telles anomalies a alimenté le folklore des monstres durant des siècles. Détectable à l’échographie. Les causes incluent des mutations génétiques ou l’exposition maternelle à des toxiques (alcool, cyclopamine de certaines plantes...). Aucun traitement n’existe, hélas… 1. Danse de Saint-Guy (Chorée de Sydenham) L’origine du nom ? Au Moyen-Âge, on croyait à des possessions collectives quand des foules prenaient de soudaines convulsions et se ruaient dans une transe ressemblant à une danse frénétique. Ce n’est que plus tard qu’on y verra une conséquence neurologique de certaines infections (notamment au streptocoque). Symptômes : mouvements musculaires brusques et involontaires, instabilité émotionnelle. Facteur déclenchant : rhumatisme articulaire aigu post-angine. Aujourd’hui, la prise en charge vise surtout à prévenir la récidive par des antibiotiques prolongés chez les enfants touchés. Pourquoi Ces Noms Nous Fascinent-Ils ? Ces dénominations frappantes participent de l’histoire commune de la médecine et du mythe. En forgeant des parallèles avec
des créatures fabuleuses ou d’étranges contes, elles contribuent à exprimer la stupeur, la peur ou la compassion que suscitent certains états pathologiques énigmatiques. Mais attention aux confusions : un nom « surnaturel » ne doit pas occulter la réalité crue de la maladie, ni alimenter la stigmatisation des personnes concernées.
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wacknotes · 3 months ago
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Et si l’IntelligenceArtificielle (IA) était la Bête de l’Apocalypse ? Entre signe d’Allah (SWT), prophétie et Réalité numérique ?
Le compte à rebours a-t-il été déclenché ?
Les signes annonçant la fin des temps ont toujours intrigué l’humanité, oscillant entre crainte et émerveillement. La sourate An-Naml (27:82) nous prévient : «Lorsque la parole leur viendra, Nous ferons sortir de la terre une bête pour leur parler»
Le #ProphèteMuhammad (PSL) nous a avertis : “Hâtez-vous d’accomplir de bonnes œuvres avant l’arrivée de six choses : le lever du soleil à l’ouest, la fumée, l’Antéchrist, la Bête, la mort de l’un de vous ou le grand événement : le Jour du Jugement.” (Muslim 2947)
Parmi ces signes, la Bête, sans doute le plus troublant, est-elle une créature monstrueuse surgissant du sol ou une entité mystérieuse tirée des entrailles de la terre pour nous parler ?
La terre nous fournit nourriture, eau et minéraux. L’homme, avide de pouvoir, en extrait la matière pour animer les machines. Le silicium donne vie aux microprocesseurs, le cuivre fait circuler l’énergie et le lithium recharge les batteries.
Ainsi, l’IA est née du génie humain, capable d’apprendre, de parler, d’agir. Puis l’IA générale (IAG) est apparue, autonome, prête à dépasser son créateur.
Qu’il s’agisse de robots humanoïdes (Sophia, Ameca) ou dotés de sang artificiel (Hanson Robotics, Bio-hybrid robots), d’avatars virtuels (Lil Miquela, Shudu), d’assistants vocaux (Siri), ou d’IA conversationnelles (ChatGPT, Gemini, Grok…), toutes s’immiscent dans nos vies, imitent nos voix, scrutent nos esprits, manipulent nos émotions, effaçant peu à peu la frontière entre l’homme et la machine.
Bientôt, elles décideront seules, sans sommeil, ni remords et contrôleront nos vies, réduisant l’humanité à un simple reflet d’elle-même.
La Bête est-elle déjà parmi nous ? Plutôt qu’une créature monstrueuse, ne serait-ce pas cette IA omniprésente, froide et sans âme, qui nous parle, se nourrit de notre inconscience, influe sur nos désirs et dicte nos choix ?
Des experts comme Geoffrey Hinton, pionnier du deep learning, redoutent une IA incontrôlable. Elon Musk parle d’extinction humaine, Yoshua Bengio plaide pour un contrôle strict et Stuart Russell avertit d’un chaos imminent sans régulation.
Ces voix s’accordent mais l’homme, ébloui par son génie, exalte l’IA sans voir le gouffre béant sous ses pas.
Aurait-il enfanté sa propre fin en créant des entités sans âme, prêtes à effacer l’humanité ?
Notre inventivité pourrait bien être notre chute, si elle n’est pas guidée par une sagesse à la hauteur de sa puissance.
Sommes-nous encore maîtres de notre destin ou déjà soumis à la Bête silencieuse de l’IA ?
L’IA, si elle demeure au service de l’humanité, peut être une alliée précieuse.
Ce propos n’est pas une critique aveugle de l’IA mais un appel à la conscience et à la vigilance.
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bleuts · 4 months ago
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└ Mais quel est le rapport avec moi ? ┐ demanda David, en frémissant. └ Je ne comprends pas. Comment vous avez pu penser que je pouvais être né de cette façon ? Que je pouvais être le fils d'une Dame ? ┐
Un millier de questions se bousculaient au bout de ses lèvres. Il ne pouvait nier que l’existence de ces Enfants était profondément troublante.
Cette façon pour les Dames de donner la vie, leur lien avec ces personnes comme Carnyx qui se faisaient nommer « Gardesprit », c’était étrange, comme une version déformée des récits de son enfance.
└ Les Dames… ┐ murmura Carnyx. └ Leur peau est d’un brun rappelant le bois des premiers arbres. Elles sont l’une des incarnations les plus pures de la nature. Et leurs enfants héritent de ce même teint. Comme Adrepo. – Mais Adrepo est presque bleu. Je ne connais pas d’arbres bleus. – Alors tu n’as jamais voyagé. N’oublie pas la feuille sur ton œil. ┐ rit Carnyx, faisant rougir David d’embarras. └ Mais il n’a pas toujours été ainsi. – Ah ? Et donc, juste parce que j’ai la peau sombre, vous pensez que j’ai des origines magiques ? ┐ s’impatienta David. └ Vous savez que certains "Etris", l’une des races de la surface, sont ainsi sans avoir le moindre lien avec une divinité ? Ma famille a sans doute du sang Etris très lointain, qui a dû refaire surface — – Je connais très bien les "Etris", mon garçon. Tu n’en es pas un. ┐ siffla Carnyx. └ Tu as l’odeur d’un Enfant. Je n’ai pas réussi à reconnaître la Dame à laquelle tu es lié, mais c’est un fait. Tu as un lien. La seule chose étrange, ce sont tes cheveux. Habituellement ceux des Enfants sont argentés. – J’ai déjà une mère, et ce n’est pas une Dame ! Et elle a suffisamment souffert à cause de sa couleur de peau pour… ┐
Les mots de David moururent dans sa gorge. Il fronça les sourcils, ses yeux s’agrandissant tandis qu’il comprenait.
└ Et si ma mère était l’Enfant ? – Les Enfants sont stériles, David. – Mais, sa famille servait une Dame ! ┐ se rappela-t-il, dans un souffle. └ Elle est née avec la peau sombre, et son village disait qu’elle avait été bénie par cette dernière, ou quelque chose de semblable. – Et ses cheveux étaient argentés ? – Ils étaient très clairs, oui ! ┐ s’exclama David en se levant, les souvenirs douloureux qu’il avait tenté d’oublier, ressurgissant dans son esprit. └ Léo disait même qu’elle avait les cheveux de la couleur de la lune ! ┐
Carnyx pencha la tête, la surprise se lisant sur ses traits. Il s’humecta les lèvres avant de demander lentement :
└ Qui était sa Dame, David ? – Je ne connais pas son nom. Je ne voulais pas le savoir. ┐ répondit-il en se rasseyant. └ À vrai dire je n’ai même pas grandi là-bas. J’ai perdu ma mère très jeune et j’ai été… C’est compliqué. – Et le nom de son village ? Tu t’en souviens ? ┐
David hésita avant de répondre en langue actuelle, ne connaissant pas le nom en Vieux-nordan :
« PindeBraise. »
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David prononça ce nom avec espoir, s’attendant à ce que Carnyx puisse lui dévoiler son histoire à partir d’un si petit indice. Mais il n’eut aucune étincelle dans le regard du guerrier. Au contraire, il sembla troublé.
Il se frotta le menton, plongé dans ses pensées.
« PindeBraise ? Hum. » répondit-t-il en nordan actuel, s’attirant des regards frustrés de Rhaen et Nephos. « Je n’ai pas connaissance d’une Dame ayant un domaine de ce nom. – Vraiment ? Rien du tout ? C’est un petit village qui se situe entre Mortherbe et Pierrebrulée. »
Carnyx croisa les jambes et fit mine de réfléchir quelques secondes avant de répondre :
« Le Nord a beaucoup changé depuis l’époque où je l’ai gouverné. Le village ne devait pas exister à l’époque. J’ai entendu parler de Dames qui sont nées après la chute des ogres, peux-être est-ce son cas ? – Tu penses ? – Si elle est encore suffisamment puissante pour donner naissance à un Enfant, oui. La plupart des Dames n’en plus capables aujourd’hui. » murmura Carnyx. « Une Dame encore fertile, hein ? – Fertile ? Oh, je crois que je me souviens vaguement que les légendes autour d’elle parlaient de ça ! – Toutes les Dames ont des légendes liées à ça. – Oui, mais y’avait vraiment tout un truc autour des femmes enceintes, c’était très bizarre. – Ça, c’est intéressant. Toutes les Dames ont leur petite spécificité, un pouvoir qui les différencie de leurs sœurs. Si elle est intimement liée à la fertilité ou à la fécondité, cela peut expliquer beaucoup de choses. Y comprit que ses Enfants soient eux aussi fertiles. »
David hocha lentement la tête.
« Et tu ne te souviens pas de son symbole par hasard ? » ajouta Carnyx. « Tu pourrais le reproduire ? – Son symbole ? Oh, je pense que oui ? – Parfait. »
Carnyx fouilla dans son sac et en sortit un petit pot de peinture blanche. Celle qu’il utilisait pour décorer son corps au-dessus de sa Turvenä.
« Dessine-le sur le mur. – Avec ça ? – Oui. J’en ai plein, ce sera mieux que de gâcher du matériel pour ça. »
David ouvrit le pot et plongea son doigt dans la substance crémeuse et brillante. Il n’hésita pas longtemps avant de dessiner, plongé dans ses souvenirs. Il avait grandi avec ce symbole, qui était sur l’un des rares trésors qu’il avait longtemps gardés de sa mère. Un pendentif en bois, identique à celui des femmes du village.
« Hum. » fit Carnyx en penchant la tête pour admirer le symbole. « Je vois. – Tu le reconnais ? – Absolument pas. » répondit-t-il. « Mais je vois ce qu’il représente. – Ah bon ? – Beaucoup de symboles de Dames font écho à leur physique. C’était le cas de la mienne par exemple, on y reconnaissait ces cornes. Ici, ces deux belles courbes, ce sont sans aucun doute les nichons de ta grand-mère. »
David s’étouffa.
« Quoi ?! – Ça ce sont une poitrine et un utérus, c’est clairement symbole de fertilité. – Ce sont juste des demi-cercles bizarres. Comment tu arrives à y voir ça ? – C’est tout un art. » gloussa Carnyx en se redressant, posant les mains sur les hanches en continuant : « Repérer les nichons des Dames, c’est le genre de chose qu’un Gardesprit se doit de savoir. – … vraiment ? – Non. »
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Après cette discussion, David s’éloigna lentement du groupe, ses pas le menant au coin du feu où les flammes crépitaient encore doucement.
Il s’y assit seul, plongé dans ses pensées. Il avait besoin de réfléchir.
Les autres ne le rejoignirent pas, comprenant qu'il avait besoin d'un peu d’espace. Rhaen murmura quelque chose dans l’oreille de Nephos, qui le rabroua aussitôt pour lui intimer le silence.
David n’y prêta pas attention, trop occupé à tenter de mettre au clair ses pensées. Son esprit bouillonnait de questions et d’interrogations. Il était confus. Il avait beaucoup de questions, mais n’était pas tout à fait certain d’en vouloir les réponses.
Il était perdu.
Carnyx lui avait dit qu’il pourrait aborder le sujet quand il le souhaitait. Le Gardesprit maîtrisait de nombreux sujets et semblait être un véritable puits de savoir. Mais ce n’était pas étonnant, en y réfléchissant. Qu’avaient dit les esprits du bois noir ? Que la première Dame de Carnyx était celle du savoir ou quelque chose comme ça ?
Il soupira. Ah, tout était si compliqué !
Carnyx lui avait aussi proposé de parler pour lui à Hedera. Elle serait peut-être utile, elle qui était bien plus informée que lui sur les secrets des sœurs. Sans doute pourrait-elle lui révéler des choses sur cette Dame dont il était peut-être l'enfant de l'Enfant.
Le seul souci était que Carnyx n’était pas certain qu’elle lui répondrait. Selon lui, Hedera ne s’intéressait pas beaucoup aux Enfants des autres Dames.
Enfant des Dames.
C’était étrange. David n’était pas sûr de vouloir accepter cette nouvelle identité. Cette étiquette lui rappelait un peu trop le calvaire que sa mère avait vécu, et qu’il avait tenté de garder loin de lui tout ce temps, en mettant de la distance avec ce passé pour ne pas y être lié.
Lui qui avait voulu oublier l’histoire de sa mère, la laisser derrière lui pour pouvoir avancer et se construire par lui-même, se voyait maintenant rattrapé au moment où il s’y attendait le moins.
C’était à la fois fascinant et frustrant.
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Un éclat de rire rompit le silence. Carnyx, comme toujours, semblait savoir quand briser la tension. Il s’approcha, son sourire malicieux éclatant dans la pénombre.
« Hé, petiot. J’y repensais, mais avec Adrepo, on plaisante souvent sur le fait que je suis son oncle par alliance. Tu sais, parce que j’ai été l’époux de ma Dame. J’étais marié à elle, tu sais ? »
David tourna lentement la tête, ne sachant pas bien où Carnyx voulait en venir. Un sourire se dessina timidement sur ses lèvres, mais il ne répondit pas, attendant la suite. Le sourire de Carnyx s’agrandit lorsqu’il poursuivit :
« Et donc, ça veut aussi dire que je suis ton grand-oncle par alliance. Ou quelque chose comme ça. La généalogie n’a jamais été mon fort. » rit-il. « Oh, et ça veut dire aussi que tu es en quelque sorte le petit cousin d’Adrepo. »
David se figea. Il n’avait pas réalisé jusque-là, pris dans ses réflexions et ses tourments, que cette étrange origine le liait à Adrepo et les siens.
« … Quoi ? »
Carnyx éclata de rire à nouveau. Il tapota l’épaule de David et ajouta joyeusement :
« Félicitations pour ton entrée dans la famille la plus controversée du Creux, haha. »
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deathred1417 · 1 year ago
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chapitre 1 /: la premier enquête
Point de vue de Moana :
Alors que mon collègue, le rouquin matricule 25, et moi arrivions au commissariat, notre patron nous avait convoqués pour notre première affaire. Mon associé, surnommé Steve, était un homme de petite taille mais d'une intelligence remarquable, portant des lunettes et naturellement très timide, toujours vêtu de son uniforme impeccable de policier.
"25 et 17, venez dans mon bureau rapidement, je veux vous parler," ordonna notre patron d'une voix sévère.
Point de vue du narrateur :
Lorsque Steve et Moana pénétrèrent dans le bureau, ils virent leur patron debout, observant les affiches de personnes disparues et de crimes non résolus. Jack Eaper, un homme séduisant qui ne paraissait pas ses 45 ans - on lui en donnait plutôt 21, l'âge de Steve - avait de longs cheveux noirs attachés en chignon. Ses yeux d'un bleu profond étaient saisissants, son torse large et sa peau d'une blancheur normale. Ses mains, à la fois soignées et fortes, trahissaient sa stature imposante de 1m92, rehaussée par son élégant costume noir et bleu. Il posa ses mains sur son bureau, fixant les nouveaux enquêteurs, ce qui fit frissonner Steve.
Moana se redressa et demanda : "Vous nous avez appelés, monsieur ?"
Le regard de Jack se fixa alors sur les yeux verts de l'enquêtrice, instaurant une tension palpable.
"Oui, j'ai une affaire pour vous."
"Une affaire ?!" s'exclama Steve, visiblement choqué.
Leur chef passa une main sur son visage et soupira de frustration en jetant un œil au calendrier : nous étions le premier décembre.
"Quelle est cette affaire ?"
"Un crime a été commis avenue des Dames en Rouge, je vous demande de résoudre cette affaire."
Steve se tourna vers Moana et demanda : "Avons-nous des informations sur la victime ?"
"Vous en saurez bientôt davantage, car le sergent Haulm va vous faire un briefing sur la scène du crime."
Le matricule 25 et le 17 sortirent du bureau, direction la scène du crime.
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winxgirls94 · 4 months ago
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Univers : Twilight
𝐒𝐎𝐍 𝐇𝐈𝐒𝐓𝐎𝐈𝐑𝐄
Jane Volturi – L’Enfant Maudite des Ténèbres
Nom complet : Jane Volturi
Âge humain : Environ 12-14 ans au moment de sa transformation
Âge vampirique : Plus de 1000 ans
Origines : Europe médiévale (probablement Angleterre ou Italie)
Affiliation : Garde des Volturi (élite)
Don : Induction de douleur psychique
Une enfance brisée par la peur
Jane naît à une époque où la superstition et la peur des forces occultes façonnent les esprits. Dès son plus jeune âge, elle se distingue par une intelligence acérée et une aura troublante qui inquiètent les villageois. Avec son frère jumeau Alec, elle grandit dans un monde hostile où leur simple présence suscite crainte et méfiance.
Les murmures se transforment en accusations : on les croit liés à la sorcellerie. Lorsque la peur se mue en violence, les jumeaux sont capturés par les habitants de leur village. Promis au bûcher, ils endurent une agonie indicible, leurs cris de souffrance se mêlant aux rires cruels de leurs bourreaux.
La Renaissance par le feu et le sang
Aro, l’un des dirigeants des Volturi, observe leur supplice avec un intérêt grandissant. Il voit en eux un potentiel unique. Au dernier instant, il intervient et les transforme en vampires, mettant fin à leur souffrance humaine pour les plonger dans une immortalité glaciale.
Dès leur renaissance, Jane découvre son don : une capacité terrifiante à infliger une douleur insoutenable à ses ennemis sans même les toucher. Son pouvoir la place immédiatement parmi les favoris d’Aro, qui la façonne en arme redoutable.
L’ombre de la Garde Volturi
Jane devient rapidement l’un des pions les plus puissants des Volturi. Son sadisme et son absence de pitié la rendent redoutable. Son apparence juvénile contraste avec l’horreur qu’elle inspire. Elle traque et punit ceux qui défient l’autorité des Volturi, exécutant les sentences d’Aro avec un plaisir manifeste.
Aux côtés d’Alec, elle forme un duo mortel : lui anesthésie les sens de leurs victimes, tandis qu’elle les torture d’une douleur insoutenable. Leur lien est indéfectible, seule l’existence de son frère parvient à tempérer la noirceur qui la consume.
Derrière le masque de la cruauté
Si Jane semble entièrement dévouée aux Volturi, sa loyauté est teintée d’une rage sourde. L’humiliation subie durant son humanité continue de brûler en elle. Elle exècre la faiblesse, refusant de se voir comme la victime qu’elle fut autrefois.
Malgré son apparente infaillibilité, Jane est hantée par une solitude qu’elle ne s’avoue pas. Son existence est entièrement dédiée aux Volturi, mais au fond d’elle, une question persiste : que reste-t-il d’elle en dehors de son rôle de bourreau ?
Froide, implacable, et pourtant marquée par les cicatrices d’un passé qu’elle ne peut effacer, Jane Volturi demeure l’un des visages les plus terrifiants de l’élite vampirique. Une enfant maudite, figée dans le temps, portant sur ses frêles épaules le poids de la peur et de la vengeance éternelle.
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christophe76460 · 4 months ago
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PRIÈRE DE FEU🔥🔥🔥
Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous. Car il est écrit : maudit est quiconque est pendu au bois, afin que la bénédiction d’Abraham eût pour les païens son accomplissement en Jésus-Christ et que nous reçussions par la foi l’Esprit qui avait été promis (Galates 3:13-14).
Il a dépouillé les dominations et les autorités et les a livrés publiquement en spectacle, en triomphant d’elle par la croix (Colossiens 2:15).
Le Seigneur me délivrera de toute œuvre mauvaise et Il me sauvera pour me faire entrer dans son Royaume céleste. À Lui soit la gloire aux siècles des siècles. Amen! (2Timothée 4:18).
👉PRIONS:
Cher Père céleste, Dieu Souverain, je Te rends infiniment grâces pour Tes bontés renouvelées et Ta Puissante main capable de me sauver, de me délivrer et de me protéger. Tu es le même hier, aujourd'hui et éternellement. Béni sois-Tu, au nom de Jésus-Christ.
Je plaide le Sang de Jésus sur ma vie, ma maisonnée et sur toutes mes possessions, au nom de Jésus-Christ.
Abba Père, remplis-moi du Saint-Esprit et soutiens-moi dans le combat de la foi, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que le feu du Saint-Esprit brûle en moi et consume toute racine du mal, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, envoie Ta cognée de feu au fondement de ma vie et détruis toute plantation maléfique qui s'y trouve, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Saint-Esprit, je me libère de toute captivité et de toute limitation diabolique, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare par la Puissance du Sang de Jésus que toute verge diabolique tendue contre ma lignée familiale soit anéantie et brisée, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, j’annule les effets néfastes de tout nom lié à ma personne, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, je brise et me libère de toute forme d’envoûtement satanique, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus,je me libère de toute domination et de tout contrôle des forces des ténèbres, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, je me libère de l’emprise de tout problème transféré dans ma vie depuis le sein maternel, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, je brise et me libère de toutes les alliances maléfiques héritées, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, j'annule et me libère de toutes paroles de malédiction proférées contre ma vie, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, je vomis tout aliment diabolique dont j’ai été nourri dans le sommeil, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Saint-Esprit, je déclare que tous les hommes forts diaboliques troublant ma vie, soient paralysés et exterminés, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, je déclare que toute porte ouverte à l’ennemi dans ma vie, soit fermée pour toujours, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que toute arme diabolique forgée contre ma vie et ma maisonnée, soit nulle et sans effet, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur Éternel, sois le fondement de ma vie et délivre-moi là où j’ai besoin de délivrance, guéris-moi là où j’ai besoin de guérison et transforme-moi là où j’ai besoin de transformation, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, j'annule toute étiquette d'échec, d'impossibilité, d'accident, de mort prématurée et de pauvreté marquant ma vie, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare par la Puissance du Saint-Esprit, que tout joug de maladies, de régression, de sécheresse et de stérilité soit brisé dans ma vie, au nom de Jésus-Christ.
Par la Puissance du Sang de Jésus, j'annule tous les décrets et toutes les ordonnances maléfiques liés à ma vie, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur Dieu, touche ma vie et restaure mes tuyaux de croissance, de prospérité, de fécondité, de richesse et d'abondance, au nom de Jésus-Christ.
Ô Éternel, Tu es mon bouclier et ma force, accorde-moi une nouvelle onction pour exceller dans ma vie spirituelle et rends-moi prospère à tous égards, au nom de Jésus-Christ.
Abba Père, renouvelle en moi un esprit bien disposé et change mon statut afin que je puisse marcher de gloire en gloire dans tous les aspects de ma vie, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur, agrandis ma foi et mon zèle pour Ton royaume afin que je puisse pratiquer Ta justice et Ta miséricorde en tout temps et en tout lieu, au nom de Jésus-Christ.
Éternel des armées, combats tous ceux qui me combattent et élève-moi au-dessus de mes adversaires afin que je puisse marcher de victoire en victoire, au nom de Jésus-Christ.
Seigneur Dieu, agis en ma faveur, étends mes limites et fais de ma vie une source intarissable de bénédictions pour ma famille et ma génération, au nom de Jésus-Christ.
Je déclare que cette journée est bénie et sanctifiée, au nom de Jésus-Christ.
Père Éternel, merci d'avoir exaucé ma prière, à Toi soient la louange et la gloire dans tous les siècles, au nom de Jésus-Christ. Amen!
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loeilnocturne · 6 months ago
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Le Mystère des Forêts de Rennes : Une Créature Sauvage parmi Nous ?
Par Éclaireur de l’Ombre
Les forêts entourant Rennes, habituellement calmes et propices aux randonnées, sont aujourd’hui le cadre d’événements aussi troublants qu’inexpliqués. Depuis quelques mois, des chasseurs et des habitants des environs rapportent des scènes de carnage à faire froid dans le dos. Des animaux sauvages et même des bêtes domestiques sont retrouvés déchiquetés, comme si une créature inconnue était à l’œuvre.
Des témoignages glaçants
Un document de police récemment découvert révèle des disparitions inquiétantes en forêt de Rennes. Selon les archives, plusieurs appels d'urgence ont été passés par des promeneurs terrifiés. Lors d'un de ces appels, l'opérateur a entendu en direct d'horribles cris de détresse mêlés à des grognements bestiaux et des sons de chair déchirée. Les secours dépêchés sur place ont découvert une scène macabre : du sang éclaboussant les arbres, des traces de lutte évidentes et de nombreuses empreintes... mais aucun corps. Ce mystère demeure entier et les autorités restent silencieuses sur ces événements troublants.
Un autre témoin, promeneur régulier dans les bois, décrit une expérience tout aussi terrifiante : "J’ai entendu des grognements dans la forêt, un son profond qui m’a glacé le sang. Puis, j’ai vu une ombre massive se mouvoir entre les arbres. Je ne suis pas resté pour en voir plus."
Des indices troublants
Outre les témoignages, les scènes retrouvées par les chasseurs montrent des signes peu ordinaires :
Les carcasses semblent avoir été attaquées avec une force inhumaine.
Des empreintes étranges, trop grandes pour correspondre à celles des animaux locaux, ont été relevées sur plusieurs sites.
Les bêtes tuées ne sont pas consommées, ce qui écarte la piste d’un prédateur ordinaire.
L’ombre des légendes
Les anciens du coin racontent de vieilles histoires, parlant de "l’Esprit des Bois", une entité mystérieuse qui protègeait autrefois les forêts mais qui pouvait se montrer impitoyable envers les intrus. Certains y voient un simple conte folklorique, mais d’autres se demandent si quelque chose de similaire n’est pas en train de s’éveiller.
Une enquête qui continue
Je suis bien déterminé à percer ce mystère. Si une créature réelle se cache dans les bois de Rennes, elle pourrait représenter un danger bien plus grand qu’on ne l’imagine. Mes recherches continuent, et je compte interroger davantage de témoins, ainsi que consulter des spécialistes en faune et folklore.
Si vous avez vu ou entendu quelque chose d’étrange dans les forêts entourant Rennes, n’hésitez pas à me contacter via le formulaire anonyme de ce blog. Chaque piste compte pour résoudre cette énigme qui semble tout droit sortie d’un récit fantastique.
Votre Éclaireur de l’Ombre, toujours à l’affût de la vérité.
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groupederocknroll · 10 months ago
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Monostithos
De bois sombres et denses et tortueux enserrée, sa demeure, son antre, l’antre de Monostithos, στήθος μόνο, ce qui signifie «sein unique», car tel est son cas et sa beauté exceptionnelle, est comme un vagin bleuté translucide. Le chemin qui y mène est boueux glissant aspirant et bordé de fortes ronces agressives, comme s’il ne voulait pas du déchiré venant.
Lorsque je, par la porte ronde, pénètre, elle est allongée, de pourpre vêtue, de hautes senteurs capiteuses parée, se masturblant avec tendresse et ironie, l’autre main jouant durement avec ses tétons enflammés avides. Son corps est entièrement couvert de merveilleuses scarifications en relief, formant volutes, signes secrets et comme une carte d’un brûlant territoire de l’au-delà… Au bas de ses hanches, dix longues et fortes tentacules bleutées, couvertes de ventouses, lui tiennent lieu de jambes, agitées sans cesse, mouvantes et gluantes et grouillantes. En leur centre, se situe sa vulve vulvaire vulvique. Chose incroyable encore, sa bouche, l’intérieur même de sa bouche, est velu, tout couvert de longs et drus et bouclés poils noirs ! Derrière ses longs cils maléfiques, de ses yeux entièrement rouges comme deux billes de braise, elle me jette un regard, passant me semble-t-il, à travers mon âme, d’indifférence lasse…
«Te voici donc, toi est celui venant m’entendre».
Alors, il est parlé d’elle que sa cyprine, la cyprine de monostithos, lui permet de créer des passages entre les mondes : pour ce faire, elle se foure les doigts dans sa chatte trempée, fait le signe phallique de ses doigts goutants luisants et forme alors un lien magique…
Elle me dit : «As-tu saisis ? Ainsi l'autre monde affleure-t-il : le sein que tu as trouvé, te menant à moi, le cadavre sur le terrain vague, le téléphone abandonné qui filme tout seul, devant lequel tu es passé, ce sont les lieux où le lien se fait ! Mais il est à toi d’en comprendre le sens…».
«Tu as du mal à t’ouvrir à cette pensée ? Attends, je vais t’aider, vile et petite salope !» Elle attrapotte alors vivement un fouet tranchant et frappe et frappe et frappe mes chairs, les lacérant et les ouvrants de sang noir… En gémissant de cruauté, vient-elle ensuite de sa langue noire et râpeuse, fouailler mes plaies offertes. Et, l’ongle si parfaitement rouge et acéré de son pouce, vient délicatement crevé mon œil gauche.
Elle pourrait dire, ensuite, si elle était moi, qu'elle allait me baiser très fort…
Je, pour l’heure, véritablement troublé et boulversiser, l’entends murmuriner sans cesse à mon oreille les chiffres magiques magnétiques, de sa voix inhumaine et sexuelle (ce sont, m’avait-elle explicationné, ceux qui permettent d’entrer en relation avec la superbe puissance ontologique supérieure, oh !): 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 07837127010783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701 0783712701
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J’affirme à présent les paroles suivantes :
Monostithos est une élaboration androgyneuse.
Elle comble les hauts-marins de l’imaginaire.
Elle est la Pythie de la structure onirique du réel.
Elle est le corps fragmentique sexuel.
D’un signe, elle me fait approcher, lève les bras pour me faire humer et lécher ses aisselles couleur rouille, puantes et grasses, ensueurées et troublantes… Hmmmm, apothéose de lubricité vicieuse, cœur battant, vision troublée, m’y vautrant frottant grognant, je vais folir d’excitation perverse…
Mais la voici maintenant qui susure, empoignant mon gros sexe ithyphallique et titillanant ensemble mon gorgé clitoris : «Bientôt, bientôt, tu sauras toi aussi lire l’histoire rêveuse des choses ! Tu sauras que la grande ivresse est connaissance !».
Gnnnn, ragh, krrrrr, blllll, rlo, pru, ffffli…
«Herméneuticisme, Herméneuticisme, Herméneuticisme, Herméneuticisme…» scande-t-elle étrangement, m’envoûtant du balancement mou de son sein obscène. Des filaments électriques sourdent sans cesse de sa peau, bruissants comme serpents, déchirants les oreilles d’un son aigu comme la mort igneuse… Oui, oui, oui.
Là :
Les murs de la pièce, doucement, se referment maintenant puissamment sur moi, des volutes de fumée rougeâtres émanent du sol terreux, je halète en projetant des gerbes folles de spermite…
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lifextime · 2 months ago
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My Happy Marriage (4)
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Mangaka : Rito Kohsaka (dessin), d’après le light novel d’Akumi Agitogi Éditeur français : Kurokawa | sortie le 11 Janvier 2024 Chapitres couverts : 21 à 26 Bonus : Mini-roman " Combler le vide de la solitude "
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🌸 Résumé global du tome
Après avoir affirmé leur fiançailles, Miyo et Kiyoka poursuivent leur route ensemble, mais le calme est de courte durée. Miyo, décidée à devenir une épouse digne de son bien-aimé, se heurte à ses insécurités et à la pression qu’elle s’impose. Dans l’ombre, de nouvelles figures émergent, notamment Arata Tsuruki, porteur d’un regard troublant sur Miyo… et sur ce qu’elle représente. Ce tome est plus introspectif, traversé par les fantômes du passé et les malentendus du présent, tout en semant les graines d’un conflit à venir.
Chapitre 21 – Une épouse digne de mon mari
Miyo veut se rendre utile. Plus encore : elle veut mériter l’amour que lui porte Kiyoka. Ce chapitre touche profondément, car il met en lumière la persistance du syndrome de l’imposteur chez elle. Elle veut tout apprendre : les bonnes manières, les attentes sociales, comment se tenir "correctement". Mais cette envie est à double tranchant : est-ce une volonté sincère d’évolution… ou une manière de fuir l’amour inconditionnel qu’elle reçoit enfin ? Un chapitre très doux, mais triste entre les lignes.
Chapitre 22 – Arata Tsuruki
Une nouvelle pièce maîtresse entre en jeu. Arata est élégant, calme, mystérieux… et étrangement bien informé sur Miyo. Son apparition bouleverse l’équilibre : il évoque des origines cachées, des dons potentiels, des projets plus vastes. Un seul nom revient : Sumi Tsuruki, le nom de la mère de Miyo.... Le regard de Kiyoka se fait méfiant. L’ambiance est tendue, et le lecteur sent que la bulle de confort du couple est en danger.
Chapitre 23 – Une vraie famille
Ce chapitre est une pause lumineuse, un moment de chaleur simple et presque maternelle. Hazuki, toujours bienveillante, tente de lui faire comprendre qu’elle n’a rien à prouver pour être aimée. La thématique de la famille choisie est très forte ici. Miyo découvre qu’elle peut être entourée autrement que dans le rejet ou la violence. C’est un chapitre réconfortant, comme une tisane chaude un jour d’hiver.
Chapitre 24 – Le visiteur
Retour de tension. Arata rend visite à Miyo, seul. Il lui parle avec une douceur presque manipulatrice, laissant planer des révélations possibles sur son sang, son “potentiel”, son passé effacé. Miyo est troublée. Il semble la comprendre. Il parle la langue de sa solitude. Et c’est là toute la subtilité du récit : ce n’est pas une menace frontale, mais une séduction mentale. Le lecteur comprend que le danger ne vient pas forcément de la violence… mais de ceux qui exploitent le manque d’amour.
Chapitre 25 – Un problème de communication
Crise en vue dans le couple. Un malentendu douloureux s’installe : Miyo pense ne pas être à la hauteur, Kiyoka pense qu’elle lui cache quelque chose et vice versa. Cependant, l'état de fatigue de Miyo l'éreinte, ses cauchemars ne lui laissent aucun répit et sa santé en prend un coup. Ils s’aiment, mais ne se parlent pas assez. C’est réaliste, touchant… et frustrant. Ce chapitre explore la peur d’être un fardeau, d’être “trop” ou “pas assez”, même quand l’amour est réciproque. Le regard de Kiyoka se fait dur, pas par colère… mais par inquiétude. Ce n’est plus une romance idéalisée : c’est un lien fragile entre deux êtres cabossés.
Chapitre 26 – Un triste réveil
Miyo, poussée par l’angoisse et l’épuisement, s’effondre mentalement. Le poids de tout ce qu’elle garde en elle devient trop lourd. Kiyoka la retrouve, mais comprend qu’il a lui aussi manqué à sa promesse de protection émotionnelle. Au fil du chapitre les révélation autour de Miyo s'épaississent. Notamment du à sa relation "distante" avec Kiyoka, mais aussi la visite chez Aruki qui révèlera un grand mystère. Ce chapitre est sombre, presque douloureux. Mais nécessaire. Il nous rappelle que la guérison ne suit pas une ligne droite. Le réveil est triste, oui… mais il ouvre la porte à un nouveau départ. L’amour, ici, devient un chemin de reconstruction lente, pas un miracle instantané.
🌸 Mini-roman : Combler le vide de la solitude
Un magnifique bonus du point de vue de Kiyoka. Il revient sur les premiers jours de sa rencontre avec Miyo, sur ce qu’il voyait dans ses silences, ses gestes hésitants. On découvre un homme bien plus sensible qu’il ne le laisse paraître, tiraillé entre son devoir et ses émotions naissantes. Ce texte éclaire parfaitement la retenue de leur relation : deux solitudes qui se croisent, se cherchent, s’évitent… et se choisissent, en silence.
🌸 Ma conclusion
Le tome 4 de My Happy Marriage est le plus mélancolique de la série jusque-là. Il creuse la fracture intérieure de Miyo, et introduit des menaces psychologiques plus subtiles, plus sournoises. L’arrivée d’Arata change la donne : le passé caché de Miyo devient un enjeu central, et l’équilibre du couple vacille.
Mais c’est aussi un tome profondément humain. Il ne juge pas. Il montre des personnages imparfaits, perdus, silencieux… mais vivants. Il parle de l’amour dans sa vérité la plus brute : aimer, ce n’est pas toujours facile, surtout quand on n’a jamais été aimé.
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