#salon classique
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Traditional Family Room Family room library - large traditional enclosed medium tone wood floor family room library idea with white walls, a standard fireplace and a concealed tv
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Découvrez la passion de l'automobile : événements automobiles en France
L'automobile est bien plus qu'un simple moyen de transport ; elle représente la liberté et l'aventure. En France, cet amour des voitures prend vie lors de nombreux événements passionnants. Que vous soyez collectionneur, amateur de sensations fortes ou simplement passionné de voitures, la France a quelque chose de spécial pour vous.
Salons automobiles : découvrez les dernières voitures
Les salons automobiles` font partie des événements les plus passionnants pour les amateurs de voitures. Organisés dans des villes comme Paris, Lyon, Marseille et Bordeaux, ces salons présentent les voitures les plus récentes, les technologies innovantes et les prototypes époustouflants. Des marques connues comme Peugeot, Renault et BMW présentent souvent leurs derniers modèles, ce qui fait de ces événements un endroit idéal pour voir les nouveautés dans le monde de l'automobile.
Promenades panoramiques : profitez de la beauté de la France
Si vous aimez conduire, les sorties en voiture vous permettent d'explorer les magnifiques paysages de France. Des itinéraires emblématiques comme la Route des vins d'Alsace et la Route Napoléon offrent des vues fantastiques et des expériences de conduite mémorables. Que vous soyez en famille ou entre amis, ces promenades panoramiques vous permettent d'apprécier la magnifique campagne tout en profitant de votre véhicule préféré.
Bourses d'échange de voitures : découvrez des trésors cachés
Les bourses d'échange de voitures sont idéales pour les amateurs de voitures anciennes et de restauration. Ces événements, organisés dans toute la France, réunissent collectionneurs et passionnés à la recherche de pièces et d'accessoires rares. C'est une excellente occasion de découvrir des pièces uniques et de rencontrer d'autres passionnés d'automobile qui partagent votre passion.
Rallyes : ressentez l'adrénaline
Les rallyes sont des événements palpitants qui mettent en valeur la conduite de compétition. Que ce soit sur des routes panoramiques ou sur des circuits, ils offrent des sensations fortes aux pilotes et aux spectateurs. Des rallyes célèbres comme le Rallye Monte-Carlo et le Tour de Corse attirent les fans avides de voir des actions à grande vitesse et des pilotes talentueux en action.
Concours d'Élégance : célébrez les voitures classiques
Les concours d'élégance mettent en valeur la beauté des voitures anciennes et de collection. Ces compétitions prestigieuses permettent aux propriétaires de mettre en valeur leurs véhicules soigneusement entretenus. Des événements comme le Concours d'Élégance de Chantilly permettent aux visiteurs d'admirer des voitures rares et d'apprécier le savoir-faire qui les compose.
Compétitions : l'esprit de la course
La France est riche d'une riche tradition de sport automobile, avec l'organisation de diverses compétitions qui font vibrer les amateurs de courses. De la Formule 1 aux courses d'endurance, ces événements offrent des moments palpitants remplis de suspense. Les circuits célèbres comme Le Mans sont des moments incontournables pour les passionnés de sport automobile.
Rencontres automobiles : échangez avec d'autres passionnés
Chaque week-end, les passionnés d'automobile se réunissent pour des rencontres informelles afin de partager leur passion pour l'automobile. Ces rassemblements sont un excellent moyen d'échanger avec d'autres, de parler de voitures et de profiter d'une ambiance conviviale.
Avec autant d'événements automobiles, la France est une destination de rêve pour les passionnés d'automobile. Des grands salons aux balades panoramiques en passant par des rallyes palpitants et des compétitions élégantes, il se passe toujours quelque chose. Pour découvrir les derniers événements et planifier vos aventures automobiles, visitez Flaner Bouger pour une liste complète de plus de 2 800 événements.
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Library - Living Room
Example of a mid-sized transitional open concept light wood floor and brown floor living room library design with white walls, no fireplace and no tv
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Library Living Room in Paris
Inspiration for a large transitional open concept light wood floor and brown floor living room library remodel with beige walls, a standard fireplace, a stone fireplace and no tv
#velours#menuiserie sur mesure#style classique chic#living room#salon#architecte d'intérieur neuilly#velours vert
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Paris Family Room Family room library: large traditional enclosed space with a medium-tone wood floor, white walls, a regular fireplace, and a covert television.
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Transitional Living Room - Living Room
#Mid-sized transitional open concept living room library image with white walls#no fireplace#and no television. salon classique chic#decoratrice bretagne#décoratrice finistère#relooking intérieur#cheminée
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Transitional Family Room - Library
#Inspiration for a mid-sized transitional open concept light wood floor and brown floor family room library remodel with beige walls#a standard fireplace and a stone fireplace dressing#salon#renovation#parquet#classique#pied a terre
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Library - Transitional Living Room
#Inspiration for a large transitional open concept brown floor and light wood floor living room library remodel with beige walls#a standard fireplace#a stone fireplace and no tv style classique chic#rénovation salon#salon ouvert#architecte d'intérieur#cheminée marbre#point de hongrie
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Le Comte de Monte-Cristo - Une adaptation magistrale qui réinvente un classique
La nouvelle adaptation du chef-d'œuvre d'Alexandre Dumas vient de sortir en VOD, et quel spectacle ! Certes, nous avons déjà vu de nombreuses versions de cette histoire immortelle de vengeance et de duplicité, mais cette nouvelle interprétation, signée par le duo Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière (déjà aux commandes du récent "Les Trois Mousquetaires"), apporte un souffle nouveau à ce récit complexe.
Le film suit fidèlement l'histoire que nous connaissons tous, Edmond Dantès, brillamment incarné par Pierre Niney, est un jeune marin prometteur dont la vie bascule suite à une machination orchestrée par trois hommes qu'il croyait être ses amis. Fernand de Marcef (Bastien Bouillon), Danglars (Patrick Mille) et le magistrat Villefort (Laurent Lafitte) conspirent par jalousie pour l'envoyer croupir dans les geôles du Château d'If, alors même qu'il s'apprêtait à épouser sa bien-aimée Mercedes (Anaïs Demoustier). C'est dans sa cellule que Dantès rencontre l'Abbé Faria (Pierfrancesco Favino), qui devient son mentor et lui révèle l'existence d'un trésor. Après quatorze années de captivité et une évasion spectaculaire, Notre héro renaît sous l'identité du mystérieux Comte de Monte-Cristo, prêt à orchestrer sa vengeance dans les salons dorés du Paris mondain.
Ce qui distingue cette adaptation, c'est sa capacité à condenser les 1400 pages du roman en presque trois heures de film sans jamais nous perdre ni sacrifier la profondeur du récit. Les réalisateurs ont réussi l'exploit de moderniser l'intrigue tout en restant fidèles à l'esprit de Dumas. Pierre Niney livre une performance remarquable dans ce rôle complexe, évoluant du jeune marin innocent au vengeur sophistiqué avec une subtilité impressionnante. Le casting féminin n'est pas en reste, avec une Anaïs Demoustier touchante en Mercedes et une Anamaria Vartolomei fascinante dans le rôle d'Haydée, l'esclave affranchie prisonnière de l'emprise psychologique du Comte.
Techniquement, le film est une réussite totale. Avec un budget relativement modeste de 42,9 millions d'euros, l'équipe a créé un spectacle visuel époustouflant. La photographie de Nicolas Bolduc capture magnifiquement les décors somptueux de Stéphane Taillasson, tandis que la partition de Jérôme Rebotier souligne parfaitement les moments dramatiques sans jamais tomber dans l'excès. Ce qui frappe particulièrement, c'est l'intelligence avec laquelle le film traite les thèmes intemporels du roman, la vengeance, la rédemption, la justice et le prix du pardon. Les réalisateurs ont su créer un équilibre parfait entre spectacle et profondeur narrative, action et émotion, fidélité à l'œuvre originale et sensibilité contemporaine.
Cette nouvelle version du "Comte de Monte-Cristo" prouve qu'il est possible de réaliser un film d'époque ambitieux qui parle au public moderne. C'est le type de production que Hollywood devrait prendre en exemple, un divertissement intelligent qui ne sacrifie ni le spectacle ni la substance. En définitive, cette adaptation est une belle surprise. Elle réussit le tour de force de se démarquer parmi les nombreuses versions existantes en offrant une relecture à la fois respectueuse et innovante du chef-d'œuvre de Dumas. Un film qui devrait satisfaire aussi bien les puristes que les nouveaux spectateurs découvrant cette histoire légendaire.
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Sina Maria Walls écoutant de la musique classique dans son salon, vers 1955. Photo d'Orlando.
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La rencontre du chevalier et du savoir au XIIe siècle peut sembler paradoxale. Pourtant, elle se mêle inextricablement à la renaissance intellectuelle de cette période, mouvement décisif pour l'histoire de l'Occident.
Le chevalier n'évolue pas seulement sur les champs de bataille, mais aussi dans les cours de plus en plus cultivées et raffinées : son intérêt pour les classiques latins et la lecture, voire sa propre poésie, le prouvent. Il patronne les jongleurs et discute de littérature avec les clercs qui, au passage, essaient de réformer sa conduite, souvent brutale. Au fur et à mesure que leur culture livresque se développe, les chevaliers apprennent à réprimer leur propre violence à la guerre et s’initient à la courtoisie. À table, les contenances sont désormais de mise, tout comme la préciosité du langage, l’élégance des vêtements ou la mesure des gestes. La fréquentation des femmes, parfois doctes et tenant salon, devient plus galante.
Une révolution mentale est ainsi en œuvre chez ces élites laïques qui, au contact du clergé savant, mettent de plus en plus leurs armes au service du bien commun. La rencontre du chevalier et du savoir au XIIe siècle peut sembler paradoxale. Pourtant, elle se mêle inextricablement à la renaissance intellectuelle de cette période, mouvement décisif pour l'histoire de l'Occident.
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Épisode 8
Quand il a pris la décision de partir, son esprit s'était mis à tourner sans arrêt dans sa tête.
Tous ces instants de bonheur qu'il avait passé en compagnie d'Amelie, toutes ces balades dans la nature, elle adorait se promener dans la nature.
Gabin revivait tout cela dans sa tête et ce n'était pas pour lui déplaire, il s'y complaisait, il laissait même filer les idées qui subrepticement s'incrustaient dans sa tête.
Maintenant qu'elle n'était plus la physiquement mais présente dans son esprit , il avait décidé pendant ces quelques jours de battement avant son départ de profiter encore un peu d'Amelie. Il savait que sa disparition était le résultat de ses propres choix.
Il avait décidé qu'il ferait exploser son appartement avant de partir vers d'autres aventures, personne ne retrouverait le corps d'Amelie, elle était à lui et à lui seul.
Gabin toujours assit dans son fauteuil se calma pour retrouver un poul régulier, il voulait effacer toutes traces de lui et d'Amelie. Cette histoire lui appartenait pour toujours et il n'avait pas l'intention de la partager.
Lui garderait cela, plus son amour éternel, le goût de sa peau et les repas qu'il s'offrait comme un rite sacrificiel.
Lui aurait tout cela, les autres n'auront rien.
Gabin écoutait toujours Chopin, le piano égrenait dans sa tête un son avec frénésie chaque note teintait son cerveau de blue. Il imaginait le virtuose penché sur son piano absorbé par le son et le rythme. Il imagine Chopin en transe caressant les touches avec ferveur devant un public en délire. Il remplit de nouveau son verre en méditant sur la musique classique, il se souvint qu'il partageait ce plaisir avec Amelie.
Plus tard, debout dans sa cuisine , il regardait la tranche de foie et les légumes frémir dans la poêle. Il regardait cette préparation avec amour, il était conscient que c'était un morceau d'Amelie qu'il allait déguster, puis digérer. Pour l'occasion il avait pris une bouteille de Bordeaux blanc un peu capiteux pour accompagner ce délicieux repas. Il avait acquis de la vaisselle au design conçu par un artiste de renom, les motifs étaient étranges et attirants à l'œil. Gabin admirait ses assiettes, il n'etait pas mécontent de les avoir acheté.
Maintenant Gabin savourant doucement son plat en écoutant Chopin. Il se sentait détendu oubliant le temps de ce repas ses soucis et ses tracas.
Vautré sur son canapé, il pensa que ces murs n'entendraient plus cette musique, ne seraient plus spectateurs de ses faits et gestes.
- hey merde ! gueule t-il
- On peut pas tout avoir ! brailla Gabin
Gabin se servit un autre verre d' eau de vie histoire de se mettre en forme tout en continuant à écouter la musique qui inondait le salon.
Il se souvient qu'un après midi ils avaient écouté un concert de piano orchestré par un célèbre maître. Il se souvient qu'elle s'était blottie contre lui, ils avaient écouté toute l'œuvre dans cette position. C'était à cette même place, sur ce canapé mais à un autre moment. Un moment sacré.
- comme le temps passe ! s'exclama Gabin
Il avait gâté Amelie peut être avec un peu trop de zèle, il en était conscient mais pour lui l'amour n'a pas de limite.
Il se resservit un verre d'eau de vie , ça lui faisait du bien , il aimait ce film qui passait dans sa tête, ces deux acteurs et leurs jeux. Gabin aimait les images et les dialogues . C'était un film intense, cette tranche de sa vie avait vraiment été intense.
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#Aurelien favere
Auteur compositeur interprète, musicien multi-instrumentiste, il termine en 2013 son 1er album intitulé « D’une Autre Galaxie » qu'il signe sous le nom de Shamanluna. Après des études de piano classique, Aurélien Favère étudie à L’IMFP, école de Jazz de Salon de Provence en France et revient en Guadeloupe en 2001 pour y composer.
La musique d'Aurélien Favère est inclassable, son univers est bien a lui, planant, psychédélique, progressif, relaxant, poétique, libérateur, hypnotique, mystérieux et shamanique, aux couleurs lumineuses délirantes.
Fusion de différents styles: rock progressif, ambiance, new wave, electro, classique, chill out, instrumental et musique de film.
#aurelien favere#slow rock#psychedelic rock#shamanluna#melodic rock#progressive rock#peacefull music#psychedelic music#shamanluna radio#70s#prog music#new age#relaxing music#relaxing rock#singer songwriter
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Je voudrais que quelqu’un rentre dans ma vie et là renverse de part en part, qu’elle fasse trembler les meubles, voler les assiettes, que les draps se tordent comme des voiliers en pleine tempête. Je voudrais qu’on soit deux et puis toute seule en même temps, qu’on fasse équipe pour tout, partout, tout le temps que les gens parlent de nous en disant :
« Eux », « Eux.. la », les indissociables, les amoureux, les relous qui passent leurs temps a se dire « je t’aime » avec les yeux. Je voudrais qu’ont passe nos nuits à faire l’amour et nos journées à se raconter nos soirées, je voudrais qu’on le fasse dehors, au cinéma, dans l’ascenseur. Je voudrais connaître sa peau par cœur, qu’il soit la carte et le voyage, qu’il soit le ciel puis le paysage.
Je voudrais qu’on se disent « pour toujours » et que « pour toujours veuille dire jusqu’à la fin », qu’il n’existe plus d’horaires, ni de fuseaux, que la seule horloge qui compte soit celle qui palpite sous nos os et que si même un jour ça crée une sacrée putain de triste histoire, on se sépare, qu’on soit foutrement heureux d’avoir vécu l’éternité à deux.
Je voudrais que le temps s’arrête, je veux m’endormir avec lui dans mes bras et me réveiller dans les siens. Je veux qu’on rie de tout de rien et qu’à chaque fou rire, je retombe amoureuse.
Je veux qu’on se pardonne les erreurs, les maladresses et les faux pas, qu’on dise « Peu importe ce que tu feras, je sais que tu le feras pour moi pour me retrouver » pour me saisir, me réveiller, pour me crier « Je t’aime », « J’ai peur », « Tu me manques », pour ne pas se perdre. » Même si il arrive parfois que pour ne pas se perdre il faille s’égarer.
Je voudrais qu’on fasse nos courses comme des enfants puis qu’on finissent par commander, qu’on danse des slows dans le salon, qu’il me marche sur les pieds, je voudrais que les voisins ralent à grands coups de manche à balais, je veux qu’on ai nos classiques, nos blagues privées, nos musiques, des trucs qui rendent jaloux tous les potes en soirées. Je voudrais qu’on soit se couple insupportable qui s’embrasse dans la rue puis dans le métro et même les escaliers.
Je voudrais qu’on se regarde dormir, passer des heures a l’effleurer a lui dire qu’il est beau.
Je voudrais qu’il m’attende à la gare parce que c’est triste une gare sans lui.
Je voudrais qu’on passe notre temps à se murmurer des choses, comme si c’étaient des secrets, comme si ça nous appartenait, comme si le monde ne le savait pas.
Je voudrais qu’il me tienne par le bras quand on s’en va marcher et que rien que ça suffise à me faire mouiller, qu’on parle de tout, que l’on se connaisse par cœur, que son histoire je l’aime comme on aime un roman, je veux qu’à chaque fois que je le vois je me dise… « Putain.. Je pourrais mourir. J’ai tout vécu. Vraiment. »
Je voudrais qu’il m’inspire, qu’il soit ma muse et mon modele, je voudrais qu’il soit dans toutes les phrases ou j’emploie « il �� et qu’à chaque foutu poème je ne fasse que bégayer sa beauté. Je voudrais qu’on s’aime, qu’un jour on ai des gamins qui nous ressemblent. Parce que les enfants, c’est de l’amour qui ne se sépare pas, c’est de l’amour après l’amour. C’est tout. Les enfants c’est l’union réussie de deux corps qui échouent.
Je voudrais qu’il soit mon mari, mon copain, mon mec, mon amoureux, mon meilleur ami, mon partenaire, mon complice, mon âme sœur, ma raison, mon relecteur aussi, ma rose, mon armure. Je voudrais qu’il soit ma maison et je voudrais être tout ça pour lui aussi. Puis même séparé que ça sonne toujours un peu vrai. Que si un jour on se croise dans la rue, redevenus deux inconnus, on puisse se dire dans un sourire muet : « J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelques fois, mais j’ai aimé. »
.Félix Radu~
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Anatole France, ou ''De la bêtise des hommes''...
En cette année 2024, on aurait dû fêter le centenaire de la disparition d'Anatole France, de son vrai nom Jacques Anatole François Thibault. Mais ce centenaire ne sera pas célébré par la République si injuste envers les meilleurs de ses enfants, et envers le talent (et l’œuvre) de cet immense écrivain, adulé en son temps, puis ''dézingué'' par la Gauche –dont se recommandait cet ami de Zola-- au point d'être qualifié de ''l'écrivain le plus insulté de France'' par Marianne (référence relative !)..
Nous, insensibles aux modes, au ''politiquement correct'' (qui l'est surtout scatologiquement !) et rebelles à toute pensée qui n'en est pas une, nous allons, à notre habitude, nous pencher sur les vraies valeurs et les vraies beautés. Mais comme je pense que vous avez très peu fréquenté ce grand homme (comme moi jusqu'à très récemment, quand j'ai eu la chance de ''tomber sur'' l'Ile aux Pingouins), je vous propose un moment avec cet immense talent honteusement conspué –il fut tout de même un des rares Prix Nobel de littérature français, rejoignant Bergson, Romain Rolland, Gide et Mauriac-- pour parler de lui. Puis nous plongerons dans la fange de la littérature de Gauche qui, fidèle à ses mauvaises habitudes, ne lâche jamais un ''ennemi de classe'', même longtemps après sa mort – voyez leur haine toujours renouvelée pour Napoléon ou SS Pie XII !
Pour cet homme qui se situait plutôt à Gauche –mais à cette époque, ce positionnement ne signifiait pas, beaucoup s'en faut, les remugles qu'une vision soit rouge soit rose de notre temps en décadence avancée-- publier une "Histoire contemporaine" où il décrit de manière très fine les problèmes de son temps tels qu'il les perçoit en animant le Salon de Mme de Caillavet, son égérie (dont nous reparlerons plus loin), puis "L'île des pingouins" (1908), qui est une vive critique des professionnels de la politique, est une prise de risque qui, en 2024, interdirait les médias officiels à celui qui oserait écrire : ''Tous les partis qui se trouvent exclus du gouvernement réclament la liberté parce qu'elle fortifie l'opposition et affaiblit le pouvoir. Pour cette même raison, le parti qui gouverne diminue la liberté autant qu'il peut et fait, au nom du peuple souverain, les lois les plus tyranniques. Car il n'y a point de charte ni de loi qui garantisse la liberté contre les entreprises de la souveraineté qui se dit nationale (NDLR : au point de refuser tout référendum !). Le despotisme démocratique n'a point de bornes, en théorie'' .
Son œuvre littéraire est classique et beaucoup moins progressiste que ses engagements politiques et humanistes. C'est peut-être ce qui a gêné les cuistres et les aigris des années 1920. Mais son sens de la formule est tellement aigu que c'est son scepticisme et son ironie qui rendent ses livres si intéressants pour nous... et si insupportables pour qui ne tolère aucune remise en cause de sa suprématie intellectuelle (surtout si elle ne correspond à rien de vrai !). Parmi les tout premiers, il ose décrire un monde que le fanatisme rend cruel. Par exemple : "On croit mourir pour la Patrie et on meurt pour des industriels". Ou ''Il est dans la nature humaine de penser sagement et d'agir de façon absurde''. En 2024, on a oublié le premier terme !
Il est élu à l'Académie Française en 1896 et reçoit le Prix Nobel de littérature en 1921, mais c'est en 1908 qu'il écrit ''L'île aux Pigouins'', roman historico-satyrique. Le ''script'' est étrange : par une succession de hasard trop longs à raconter, toute une.population de pingouins se retrouve transformée en hommes, d'où notre présence sur Terre : Adam et Eve étaient des pingouins, à l'origine ! Et Anatole France peut alors librement ré-écrire une histoire : la nôtre, qui serait la leur... Tout y passe : les origines, les temps anciens, le Moyen Âge, la Renaissance, les temps modernes et même l'histoire future. Reflet de l’histoire de la France, l’histoire des Pingouins n’est qu’une suite de misères, de crimes et de folies et ''ce qui est vrai pour eux l'est pour toutes les nations''...
L’Histoire future décrit le monde contemporain et sa fuite en avant, comme un monde ''où le goût du beau s’est perdu '', où règne ''une laideur immense et régulière'' et où ''la condition humaine hésite entre constructions démesurées, destructions et régressions''. Anatole France écrit en 1908 : ''On ne trouvait jamais les maisons assez hautes... Quinze millions d’hommes travaillaient dans la ville géante''... Et il décrit un cycle infernal qui rend improbable l’idée d’une société future meilleure, ce qui est insupportable à toute la peuplade des faux intellectuels qui ne vivent et ne s'engraissent que grâce à leur adoration pour le dieu Progrès...
Écrivain libre mais citoyen se disant engagé à gauche, Anatole France ne se prive pas d'étriller, dans l'air du temps, les partis cléricaux de l'époque, et de déconstruire les légendes dorées de la dévotion catholique traditionnelle, à un moment où la séparation de l'Eglise et de l'Etat voulue par l'anticlérical-issime Emile Combes va déchirer pour longtemps la Nation française en deux camps jusqu'ici irréconciliables (cf. les mesures vexatoires ou liberticides que pond la Gauche, chaque jour, pour nuire à toute authentique Liberté, notamment en matière d'enseignement !).
Attaqué à sa mort par les plus grandes plumes du pays, le prix Nobel de littérature 1921 cristallisera autour de son œuvre toutes les rancœurs des soi-disant modernes (Rappel : ''l'écrivain le plus insulté de France''). Ce n'est pas par hasard que nos lycéens ne savent rien de ou sur lui : cette lacune ne s'explique pas seulement par leur ignorance abyssale, mais parce qu'ils sont l'ultime maillon d'une longue chaîne d'oubli, le dernier relais de la haine. Aucun écrivain français des temps modernes n'a été l'objet d'une exécration aussi profonde et aussi unanime qu'Anatole France qui, lui-même, ''détestait haïr''. Mais c'est justement cette douceur, cette indulgence, cette tendresse même qui devinrent l'emblème d'une tiédeur dont le progressisme n'a pas voulu. Pour vomir les tièdes, la Gauche a toujours eu besoin de boucs émissaires.
J'émets l'idée que le progressisme a vu ou deviné en lui son antithèse. Or, pour se faire résolument moderne, tout ce qui est ancien doit être rejeté et haï. Cette haine est née le jour-même de sa mort. Jusque là adulé partout et par tous (Zola, Maurras, Blum et Jaurès l'ont aimé et encensé), il fit ensuite l'unanimité contre lui. Indignité ultime pour ses détracteurs, le jour même de sa mort, la soi-disant ''intelligentzia'' du jour, ''les surréamlistes'', des Breton, Aragon, Eluard, Drieu, Delteil.... ont diffusé un tract contre celui qu'ils abhorraient. Son titre ? "Un cadavre". Son parti pris ? Le scandale et l'excès : "C'est un peu de la servilité humaine qui s'en va", "Avez-vous déjà giflé un mort ?", "Refus d'inhumer"... ''le limité, le peureux,le spéculateur à la manque, le niais''... Seules de telles outrances dans l'outrage pouvaient renverser une telle idole, qui ne s'en est pas relevé.
Plus honteux encore : son successeur à l'Académie, Paul Valéry, refusa de prononcer son nom lors de son éloge funèbre, dans son discours de réception, contournant toute louange pour en faire un blâme implicite. D'ailleurs... "quand on songe au cynisme d'Anatole France, qui vit publiquement aux crochets d'une juive, (sa maîtresse en titre, Simone de Caillavet, était juive par sa mère) et dans le milieu imaginable des dames littéraires israélites, les Stern, les X et Y, etc. !" écrit-il à Gide, en janvier 1898. C'est-y pas de l'anti sémitisme, ça, Madame ?
Céline, toujours modéré en diable (!), ira encore plus loin : "Anatole, plus vicieux et salope que les autres, était pertinemment enjuivé". Et Gide l'abomine : ''France est illisible : il représente le passé, et son style "demi-coupole", sans le moindre "tremblement", me révulse''. Romain Rolland méprise ses complaisances de vieillard pendant la Grande Guerre. Anatole France devient le symbole d'une littérature faisandée, où la compréhension devient compromis. Le rejeter violemment devient un passage obligé,et le rituel propitiatoire qui placera tout ''suiviste'' du bon côté de la modernité. Mais ça, on connaît : c'est notre quotidien !
En effet, comment ne pas établir un parallèle avec la praxis en cours, qui ostracise et ''met à l'index'' n'importe qui qui professe –en ayant en général raison contre la masse hurlante des cons-- une idée qui n'est pas autorisée par, justement, les mêmes ? C'est à cause de cet alignement sur le pire des pratiques de la Gauche que je voulais vous parler de ce centenaire oublié...
H-Cl.
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Shuu Sakamaki
Nom: Sakamaki.
Prénom: Shuu.
Parents: Karlheinz et Beatrix.
Âge: 19 ans (physiquement)
Race: Vampire.
Taille: 1m80
Date de naissance: 18 octobre.
Signe astrologique: Balance.
Nourriture favorite: Steak saignant.
Hobbies(s): Écouter de la musique et jouer du violon.
Physique: Shuu est un jeune homme aux cheveux blonds légèrement bouclés, et aux yeux bleu océan dont il a hérité de sa mère. Il a des clous noirs aux deux oreilles. Shuu est toujours vu avec son mp3 attaché à un fil qui est enroulé autour de son cou et avec les écouteurs toujours aux oreilles.
Caractère: Shuu est un vrai dormeur et est vu en général en train de dormir dans le salon ou dans la salle de musique de l'école. Il sèche souvent les cours et a été retenu une fois en tant que senior du lycée. Selon d'autres étudiants, il est le propriétaire de la salle de musique. Apathique et paresseux, Shuu n'aime rien d'autre que la musique. Il écoute toujours de la musique, même dans son bain, aimant la musique classique allant du violon au piano. Il manque de motivation et est assez paresseux pour ne presque rien faire, s'ennuyant de la vie à cause de tous les événements de son enfance traumatisante. Bien que Shuu soit le fils aîné, il ne prend pas la responsabilité de s'occuper de ses cinq frères ou de la maison, poussant principalement le travail à Reiji. Shuu est également un peu pervers. En raison de son passé avec Edgar, il est pyrophobe.
Histoire: Shuu se sent étouffé par l'attention, les restrictions et les responsabilités qui lui ont été imposées, le conduisant à fuir sa maison. Il a ensuite rencontré Edgar, un garçon humain d'un village éloigné dans le monde des humains. Shuu l'atteignit à travers les passages souterrains qui reliaient les mondes démon et humain. Ils sont vite devenus les meilleurs amis. Parce que Shuu a pris l'habitude de s'enfuir pour jouer avec Edgar, Reiji a détruit le village dans un incendie dans une tentative malavisée d'impressionner et d'aider sa mère qui souffrait à chaque fugue de la part de son fils, et d'enlever le bonheur de Shuu par jalousie. Voulant sauver ses parents malgré les protestations de Shuu, Edgar alla dans le feu et "mourut". En raison de la "mort" d'Edgar, Shuu s'est blâmé et a développé un traumatisme grave de l'incident. Avec les propres caprices de Reiji que Shuu était inutile et ne pouvait rien faire de lui-même, mais surtout à cause de la pression de Beatrix, Shuu se retira et perdit tout intérêt à faire quoi que ce soit, sauf si Reiji le provoquait. Comme punition d'avoir échoué à son examen et devoir répéter une année scolaire, Karlheinz l'a envoyé en exil dans le pôle Nord. Il devait faire attention à ne pas tomber dans l'océan et devait combattre les ours polaires. Il a même été griffé quand il est revenu à la maison.
Bonus:
Il redouble la troisième année de lycée.
Il est gaucher.
Il déteste la nourriture trop sucrée.
Sa taille de pied est de 27,5cm.
Shuu a peur du feu depuis l'enfance, car il a supposé que son meilleur ami Edgar soit mort dans un incendie.
Shuu aime la musique classique.
Il joue le violon et le piano.
Il avait un chien.
Il déteste les vers.
Son père lui a donné un violon, mais Shuu l'a perdu et on soupçonne que Reiji l'ait cassé. Ensuite, dans Dark Fate, il a été révélé que Cordelia a cassé ce violon avec l'aide de Richter.
Il est révélé dans Dark Fate de Yuma Mukami que le vrai nom de Shuu est Ririe.
Shuu a déjà travaillé comme caissier.
Une fois il a dormi sur Shin sous sa forme de loup.
Il a déjà proposé à Kou de devenir son frère cadet, bien que ce dernier ait rejeté cette offre.
Quand ils étaient enfants. Laito a mangé tous les bonbons dans le réfrigérateur, mais caché les emballages de bonbons dans les poches de pantalon de Shuu donc Reiji a fini par gronder Shuu au lieu de Laito... Shuu dit qu'il est toujours en colère contre Laito à ce sujet.
Son endroit préféré où sucer le sang est la poitrine.
Chanson thème: 🎵
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