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#salon classique
okkuisul · 1 year
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Traditional Family Room Family room library - large traditional enclosed medium tone wood floor family room library idea with white walls, a standard fireplace and a concealed tv
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roseoptics · 9 months
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Library - Living Room
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Example of a mid-sized transitional open concept light wood floor and brown floor living room library design with white walls, no fireplace and no tv
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introvertedthinking · 9 months
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Library Living Room in Paris
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Inspiration for a large transitional open concept light wood floor and brown floor living room library remodel with beige walls, a standard fireplace, a stone fireplace and no tv
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valkyriethemes · 1 year
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Paris Family Room Family room library: large traditional enclosed space with a medium-tone wood floor, white walls, a regular fireplace, and a covert television.
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zaynmajor · 1 year
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Transitional Living Room - Living Room
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jaero · 1 year
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Transitional Family Room - Library
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serialthrill · 1 year
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Library - Transitional Living Room
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 183
Emma, soirée et +
Nous arrivons dans une grande propriété des alentours. C'est une grande soirée, beaucoup de monde. Je reconnais quelques notables de la région et quelques hommes politique de premier plan. Nous sommes accueilli par la maitresse de maison, civilités avant de nous fondre dans la foule (une bonne centaine de personnes). Avec Emma à mon bras, je me fais remarquer. Au dernier moment elle m'a présenté à nos hôtes comme son fils.
Nous trouvons des connaissances et je laisse Emma pour aller nous chercher à boire au buffet. Derrières les tables, de beaux jeunes serveurs en vestes blanches et pantalons noir ajustés. Il y en bien un ou deux dont je ferais mon quatre heure !
Je suis rejoint par le seul autre jeune de l'assistance. Il commande aussi deux coupes de champagne. Je le dévisage de la tête aux pieds. Probablement plus jeune que moi, même taille en plus fin, blond cheveux mi long, lèvres pulpeuse de salope. Il se présente, c'est le fils de la famille. Il me demande avec qui je suis venu. Je suis le rôle que m'a donné Emma et dit que je suis le fils de madame X (notre hôtesse). Il me demande alors si dans quelques instants cela ne m'intéresserait pas de quitter cette bande de vieux. Vu sa gueule pas de problème pour moi.
Il m'accompagne jusqu'au groupe où Emma tient le centre de l'attention et se présente à ma mère tout en l'informant que nous allions nous retirer de notre coté. Emma me questionne du regard. Je hausse les épaules pour lui dire que je ne sais pas où cela va me mener. Elle m'autorise à le suivre sachant qu'il est le fils de la maison. C'est quand il se présente à ma " mère " que j'apprends son prénom, Pierre-Henri (y'a plus que les bourge pour oser les prénoms double !).
Nous quittons la réception. Il m'emmène au 2ème 'étage (il y en a trois en tout). Je le suis. Dès le pallier, il retire sa cravate et déboutonne sa chemise dévoilant un torse imberbe et plus musclé que ne le laissait supposer son costume. Il se tourne vers moi pour me dire d'en faire autant. Je dénoue ma cravate et fait sauter trois boutons. Il siffle alors en fixant mes pecs fraichement épilés suivi d'un " t'es bo-gosse toi aussi ". Il me dit de l'appeler PH comme ses potes. Je lui dis alors de m'appeler Sash. Je le suis jusque dans la chambre. Enfin plutôt l'appart qu'il occupe. Derrière une des doubles porte de l'étage, je débarque dans un espace de près de 150m² éclairé par une bonne demi douzaine de fenêtres donnant sur le parc. Dans cet espace, il a disposé une mini salle de muscu, un salon avec projecteur vidéo, une partie chambre avec un lit géant et derrière la tête de lit, j'aperçois une salle de bain avec jacusi. Encore un p'tit jeune malheureux !
Il jette sa veste par terre et m'enlève la mienne pour la poser sur un cintre. En même temps il pose sa main sur ma taille dans un mouvement assez caressant. Il me fait bander et mon pantalon marque la nouvelle forme que prend mon anatomie. Il le voit bien. Il s'éloigne de moi et retire ses vêtements de façon très naturelle, quitte son slip ES avant d'enfiler un short de marque assez petit. Y'a plus moche !
Il me dit que les grandes soirées de ses parents ça le gave grave. Nous discutons de choses et d'autres. Il a 18ans et va rentrer en fac de droit après un bac réussi avec mention bien. Je lui demande quel sport il pratique, tout en ajoutant que ça lui a sculpté un beau corps. Il tourne sur lui-même et me dit qu'il a fait, jusqu'à l'année dernière, de la danse classique. Et de ponctuer sa phrase d'un grand écart debout, impressionnant !
Je lui demande pourquoi il a arrêté vu qu'il semblait doué. Il me répond que sa relation avec son prof de danse avait été révélée et que ce dernier avait été renvoyé (vu que cela faisait quelques années que cela avait commencé). Je lui demande si elle ... il me coupe pour me dire " il ". Ok ça a le mérite d'être clair ! Il me dit que depuis il est plutôt passé à la natation et à la musculation, la danse n'étant pas une vocation pour lui. Je lui dis que le résultat est superbe et que cela l'a surement plus musclé.
Il me tend un autre short et me dit de le passer car il me dit avoir deviné que moi aussi je pousse de la fonte. Je n'ai pas de raison d'être plus pudique que lui et j'ôte mes vêtements. Quand je suis en slip, il s'approche de moi et sa main posée sur mon paquet admire mon slip. Je lui explique le truc, il trouve cela ingénieux ne le connaissant pas. Je le quitte et le lui donne qu'il voit l'intérieur, puis enfile le short qu'il m'a tendu. Je suis un peu plus épais que lui question fesses et je tends le tissus de façon plus qu'indécente. Il passe ses mains sur mes masses emprisonnées et je bande encore plus. Il pose sa main sur mon cou et m'attire vers lui. Nos lèvres se frôlent, se touchent, s'écrasent. Nos bouches s'ouvrent et nos langues font connaissance. Je suis aussitôt envahi par un organe plus long que la normale. Il arrive presque a toucher ma luette ! L'échange de salive fait son effet et nous chauffons grave ! Je plaque ma main sur son paquet. Sous le tissu synthétique, roule une belle bite dure. Le moulage est parfait et je sens qu'il est circoncis et que son gland à l'air conséquent. Il m'attire sur son lit. Nous chutons, moi dessous. Il se relève et tire mon short pour me le retirer (je ne l'aurais pas eu longtemps sur le cul !). Il reste debout à me regarder. Je lève les bras et passe mes mains sous ma tête. Mes pecs s'aplatissent mais le V de mon dos s'accentue. Il admire l'animal ! Son regard descend, il s'étonne du rasage de ma pilosité (enfin ce que je laisse, une mince bande courte entre mon sexe et mon nombril) cachée sous mon sexe bandé/collé à mes abdos, puis glisse sur mes cuisses. Couché, je lui dis d'ôter son short lui aussi. Il s'exécute. Je peux enfin l'admirer. Il tourne sur lui-même avec beaucoup de grâce. Il a un corps superbement bien développé (même si c'est en moins épais que moi). Je le félicite. Il me sourit, on dirait que la pièce s'éclaire (ok, ça fait cliché mais c'est ce que j'ai ressenti alors !).
Il s'approche doucement, il se place au dessus de moi à 4 pattes. Sa tête baisse et nous recommençons à mélanger nos salives. Au fait, il est bien foutu aussi coté sexe. Je dirais dans les 18/19cm par un bon 6 de diamètre bien droit et bien rose avec un gland rouge vif.
Il se pose sur moi de tout son long. Nous somme presque de la même taille et nos sexes se collent l'un contre l'autre. Il glisse au creux de mon bras. Nous regardons le plafond. Je le laisse gérer, après tout je suis un invité (lol). Il se met sur son coude et me regarde dans les yeux. Il me demande si Emma est vraiment ma mère, il l'a trouve un peu jeune. Je lui dis qu'elle m'a adopté. Il me demande crument " tu la baises !? ". Je lui demande ce qui peut bien lui faire penser cela. Il me dit que le regard qu'elle a eu sur moi alors que je partais avec lui, l lui a fait comprendre. C'était le même regard que posait sur lui son prof de danse.
Je me relève sur mon coude pour que nous soyons l'un en face de l'autre et lui dis qu'il a bien deviné. Je lui fais l'amour aussi. Puis je me penche et c'est moi qui l'embrasse. Je le repousse et c'est moi qui le domine maintenant. Nos lèvres collées, nos langues emmêlées, je glisse ma mains sur les cotes, sa taille et atteint sa bite. Elle est toujours bien raide et très dure. Ma main glisse sous ses couilles rasées et mes doigts se posent sur sa rosette. Je presse, deux doigts rentrent facilement. Il écarte les jambe pour faciliter ma pénétration. Sa langue redouble d'agitation. J'ai envie de savoir ce qu'une telle longueur d'organe pourrait faire sur ma bite. Je me place en 69 pour lui donner ma queue à téter. C'est très bon ! Ça ne m'étonne pas que son prof en ait usé. Sa langue s'enroule autour de ma queue et elle est très efficace sur mon gland. En attendant je suis à lui mettre trois doigts dans le cul. Il tend le bras vers la tête de lit et tire de sous son oreiller une kpote. Il la place lui même sur ma bite. Il se place tout seul en levrette, les reins cambrés et me supplie de l'enculer. Je ne peux ni ne veux louper ça. Je me place entre ses cuisses, mes genoux écartent les siens pour mettre son trou à la bonne hauteur. Je pose mon gland sur sa rondelle. Je n'ai pas le temps de me demander avec quel rythme je vais le pénétrer qu'il recule et s'enfonce d'un seul coup mes 20cm au fond de son trou. Il laisse échapper un cri. Je lui demande si ça va. Il me répond que c'est trop bon et que ça faisait trop longtemps qu'il en avait pris une dans le cul. Je le retiens bien enfoncé sur ma teub, mes mains accrochées à ses hanches. Il roule du cul pour bien roder son anneau. Quand je sens qu'il est prêt, je commence à me retirer. Quand je n'ai plus que le gland à l'intérieur, il recule brusquement et je claque mes couilles contres les siennes. Il m'a l'air d'aimer être pris en force. Je lui demande si son prof l'enculait hard. A sa réponse positive, je sais que je peux y aller franchement. Mes mains placées sur ses hanches je le tire vers moi durement à chaque fois que j'arrive à quelques cm de déculer. Quand je glisse facile, je me permets de sortir totalement à chaque va et vient pour mieux re rentrer après. Je pousse même le vice à attendre qu'il me supplie pour m'enfoncer à nouveau dans son trou. Il apprécie de se faire dominer. Nous changeons de position. Il tente de m'en mettre plein la vue avec des positions qu'un mec normal ne peut prendre. Je l'encule debout alors qu'il fait un grand écart entre le sol et le rebord d'une commode. Il est très souple et quand je le prends de face en chandelle, il se courbe jusqu'à se faire une auto fellation, et pas que du gland ! C'est d'ailleurs dans cette position que je le fais jouir et j'ai le plaisir de le voir se barbouiller les lèvres de sperme. Quand sa langue sort pour récupérer les giclées qui se sont égarées, je n'en peux plus et jute à mon tour, mais dans ma kpote !
Je sors de son cul et nous nous couchons l'un à coté de l'autre à regarder le plafond. Silence ... Soudain j'entends un " merci ". Réponse " pas de quoi, j'ai bien aimé moi aussi ". Silence ... Il roule sur moi. Son regard me fixe. Puis brusquement il saute debout et m'invite à me doucher avec lui. Je le rejoins et nous accédons à une grande douche à l'italienne. Je lui passe le savon sur le corps et il fait de même. Il parle peu. Je le, laisse gérer. Nous nous séchons réciproquement. Il est encore tout pensif. J'enroule le drap de bain autour de lui, bloquant ses bras contre son torse. Puis, je le tire vers moi et lui roule un patin. Ça le réveille et je sens sa lange s'enrouler autour de la mienne. Nous avons encore du temps devant nous. Il n'est que 23h et la réception devrait durer jusqu'au milieu de la nuit. Je le pousse sur le lit et le fait chuter sur le dos. Je m'installe à ses cotés sur le coude pour mieux pouvoir le regarder. Je le détaille encore plus que tout à l'heure où l'excitation du moment m'avait fait bâcler " l'examen ".
Qu'ai-je sous les yeux ?
Un jeune homme, blanc bien que bronzé avec marque du maillot (shorty), imberbe, cheveux blonds mi longs, tête plaisante avec une bouche pulpeuse (à tailler des pipes, si j'étais vulgaire !), yeux bleus, musclé plus que correct (même si moins que moi) avec des pecs bien soulignés, des abdos en tablette bordées de grands dentelés marqués, des cuisses fortes au dessus de beaux mollets galbés. Le sexe : 10/12cm au repos mais autour des 19 en pleine forme avec un 6cm de diamètre confirmé, au dessus de belle couilles rondes fraichement rasées.
Il m'a laissé le détailler sans bouger. Enfin un peu coté sexe avec un début de transfert de sang vers sa queue.
Quand il voit que j'ai fini, il attire ma tête vers lui et me roule à nouveau une pelle. Direct je bande ! Que voulez vous ? On ne se refait pas !
Quand il me libère la langue, je le questionne un peu. Il me dit être fils unique (bien venu au club !), des parent gentils mais assez absents, " célibataire " (petit sourire en coin) depuis un an. Je lui dis qu'il n'a quand même pas été un moine pendant cette dernière année, il me répond qu'il n'avait trouvé l'envi de baiser qu'une fois avec un mec de passage qu'il n'avait jamais revu. Je suis flatté d'avoir été le deuxième depuis sa séparation. Je lui demande s'il n'avait pu trouver personne dans son lycée (sachant que la réponse était non, suis je bête !). Il me dit gentiment qu'il n'y avait pas d'aussi beaux mecs que moi. Je me penche et c'est moi qui lui roule un patin !
En attendant, nous bandons franchement de nouveau. Nos mains s'égarent et trouvent nos sexes respectifs. Il me repousse et je glisse sur le dos.il me surplombe et m'examine comme moi tout à l'heure. Je le laisse faire et au retour de son regard dans le mien, je lui demande si ça lui convient. Il se colle à moi et me dit qu'il faudrait être con pour ne pas être satisfait. Flatteur !!
Nos érections sont toujours là. Nous attendons, couchés l'un contre l'autre. Il finit par se tourner et nous entamons un 69. Ok, il est doué aussi de ce coté là et m'avale entier. Mon gland joue avec ses amygdales sans le faire vomir. de mon coté je l'avale aussi profondément. Il apprécie les massages de son gland quand je dégluti par rafale. ;Nous nous repoussons à temps pour nous juter dessus. Son sperme est bien blanc épais, il fait de beaux zebrages sur mon bronzage. Le mien a marqué son torse en diagonale, jusque sur son cou. Nouveaux temps " mort " puis re douche.
Vu l'heure nous nous résignons à remettre nos vêtements officiels. J'ajuste sa cravate et passe ma main dans ses cheveux pour remettre un semblant d'ordre. Dans l'escalier qui nous ramène à la réception, il me demande si on pourra se revoir. Je réfléchi un peu, les pours : il est mignon, bien foutu et il aime le sexe. Marc peut le kiffer. Les contres : j'en trouve pas ! Je lui réponds donc que c'est Ok pour moi mais je le prévient tout de suite que je suis maqué et qu'il devra me partager comme nous, mon mec et moi, le partagerons.
Du coup c'est lui qui se met à réfléchir. Ce n'est qu'une fois arrivé en bas qu'il me donne sa réponse. C'est OK pour lui. Je le préviens qu'il va apprendre d'autres pratiques que celle de son prof de danse, car c'est sur une autre musique qu'il va bouger. Il éclate de rire. Ça attire le regard d'un bon tiers de la foule dont ses parents. Ils s'en viennent alors vers nous comme Emma. Cette dernière m'examine et voit tout de suite que je me suis déshabillé et comprend que nous avons fait l'amour. Je m'approche d'elle et la prend par le bras. Les parents de PH le questionnent sur sa brusque gaité (depuis un an, il leur fait la gueule !). Il leur dit qu'il vient de se faire un nouvel ami et que ça le met en joie (bonjour le phrasé coincé !). Ils se tournent vers Emma et lui demande si cela ne la gène pas. Comme si nous étions des mômes ! Ça fait rire ma " mère " et elle nous accorde sa bénédiction (elle a appris qu'avec moi il faut me laisser libre pour me garder). Je l'embrasse au coin de la bouche et lui dit merci. Quand nous partons (moi et PH) bras dessus bras dessous, j'ai le temps d'entendre le début du récit des déboires subit par ses parents durant l'année passée.
Il m'a collé tout le reste de la soirée alors que je faisais mes " civilités " auprès de tout ce qui compte dans la région. Notre " couple " soulevant des compliments à chaque entrée dans un groupe de discussion.
Avant que nous partions, nous avons échangé nos n° de téléphone et cela faisait pas 5 mn que nous roulions qu'il m'a appelé. Il voulait savoir quand nous nous reverrions puisque nous n'avions pas fixé de date. Emma tout bas m'a dit que je pourrais disposer de la journée du lendemain si je voulais. Elle me mettait en vacances et je n'étais donc pas obligé de la suivre dans son taf.
Je transmettais la proposition et il me dit alors de revenir chez lui dès que je pourrais.
JARDINIER
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red is a risk
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vinylespassion · 1 year
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Sina Maria Walls écoutant de la musique classique dans son salon, vers 1955. Photo d'Orlando.
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shamanluna-radio-prog · 5 months
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#Aurelien favere
Auteur compositeur interprète, musicien multi-instrumentiste, il termine en 2013 son 1er album intitulé « D’une Autre Galaxie » qu'il signe sous le nom de Shamanluna. Après des études de piano classique, Aurélien Favère étudie à L’IMFP, école de Jazz de Salon de Provence en France et revient en Guadeloupe en 2001 pour y composer.
La musique d'Aurélien Favère est inclassable, son univers est bien a lui, planant, psychédélique, progressif, relaxant, poétique, libérateur, hypnotique, mystérieux et shamanique, aux couleurs lumineuses délirantes.
Fusion de différents styles: rock progressif, ambiance, new wave, electro, classique, chill out, instrumental et musique de film.
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claudehenrion · 1 month
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Anatole France, ou ''De la bêtise des hommes''...
En cette année 2024, on aurait dû fêter le centenaire de la disparition d'Anatole France, de son vrai nom Jacques Anatole François Thibault. Mais ce centenaire ne sera pas célébré par la République si injuste envers les meilleurs de ses enfants, et envers le talent (et l’œuvre) de cet immense écrivain, adulé en son temps, puis ''dézingué'' par la Gauche –dont se recommandait cet ami de Zola-- au point d'être qualifié de ''l'écrivain le plus insulté de France'' par Marianne (référence relative !)..
Nous, insensibles aux modes, au ''politiquement correct'' (qui l'est surtout scatologiquement !) et rebelles à toute pensée qui n'en est pas une, nous allons, à notre habitude, nous pencher sur les vraies valeurs et les vraies beautés. Mais comme je pense que vous avez très peu fréquenté ce grand homme (comme moi jusqu'à très récemment, quand j'ai eu la chance de ''tomber sur'' l'Ile aux Pingouins), je vous propose un moment avec cet immense talent honteusement conspué –il fut tout de même un des rares Prix Nobel de littérature français, rejoignant Bergson, Romain Rolland, Gide et Mauriac-- pour parler de lui. Puis nous plongerons dans la fange de la littérature de Gauche qui, fidèle à ses mauvaises habitudes, ne lâche jamais un ''ennemi de classe'', même longtemps après sa mort – voyez leur haine toujours renouvelée pour Napoléon ou SS Pie XII !
Pour cet homme qui se situait plutôt à Gauche –mais à cette époque, ce positionnement ne signifiait pas, beaucoup s'en faut, les remugles qu'une vision soit rouge soit rose de notre temps en décadence avancée-- publier une "Histoire contemporaine" où il décrit de manière très fine les problèmes de son temps tels qu'il les perçoit en animant le Salon de Mme de Caillavet, son égérie (dont nous reparlerons plus loin), puis "L'île des pingouins" (1908), qui est une vive critique des professionnels de la politique, est une prise de risque qui, en 2024, interdirait les médias officiels à celui qui oserait écrire : ''Tous les partis qui se trouvent exclus du gouvernement réclament la liberté parce qu'elle fortifie l'opposition et affaiblit le pouvoir. Pour cette même raison, le parti qui gouverne diminue la liberté autant qu'il peut et fait, au nom du peuple souverain, les lois les plus tyranniques. Car il n'y a point de charte ni de loi qui garantisse la liberté contre les entreprises de la souveraineté qui se dit nationale (NDLR : au point de refuser tout référendum !). Le despotisme démocratique n'a point de bornes, en théorie'' .
Son œuvre littéraire est classique et beaucoup moins progressiste que ses engagements politiques et humanistes. C'est peut-être ce qui a gêné les cuistres et les aigris des années 1920. Mais son sens de la formule est tellement aigu que c'est son scepticisme et son ironie qui rendent ses livres si intéressants pour nous... et si insupportables pour qui ne tolère aucune remise en cause de sa suprématie intellectuelle (surtout si elle ne correspond à rien de vrai !). Parmi les tout premiers, il ose décrire un monde que le fanatisme rend cruel. Par exemple : "On croit mourir pour la Patrie et on meurt pour des industriels". Ou ''Il est dans la nature humaine de penser sagement et d'agir de façon absurde''. En 2024, on a oublié le premier terme !
Il est élu à l'Académie Française en 1896 et reçoit le Prix Nobel de littérature en 1921, mais c'est en 1908 qu'il écrit ''L'île aux Pigouins'', roman historico-satyrique. Le ''script'' est étrange : par une succession de hasard trop longs à raconter, toute une.population de pingouins se retrouve transformée en hommes, d'où notre présence sur Terre : Adam et Eve étaient des pingouins, à l'origine ! Et Anatole France peut alors librement ré-écrire une histoire : la nôtre, qui serait la leur... Tout y passe : les origines, les temps anciens, le Moyen Âge, la Renaissance, les temps modernes et même l'histoire future. Reflet de l’histoire de la France, l’histoire des Pingouins n’est qu’une suite de misères, de crimes et de folies et ''ce qui est vrai pour eux l'est pour toutes les nations''... 
L’Histoire future décrit le monde contemporain et sa fuite en avant, comme un monde ''où le goût du beau s’est perdu '', où règne ''une laideur immense et régulière'' et où ''la condition humaine hésite entre constructions démesurées, destructions et régressions''.  Anatole France écrit en 1908 : ''On ne trouvait jamais les maisons assez hautes... Quinze millions d’hommes travaillaient dans la ville géante''... Et il décrit un cycle infernal qui rend improbable l’idée d’une société future meilleure, ce qui est insupportable à toute la peuplade des faux intellectuels qui ne vivent et ne s'engraissent que grâce à leur adoration pour le dieu Progrès...
Écrivain libre mais citoyen se disant engagé à gauche, Anatole France ne se prive pas d'étriller, dans l'air du temps, les partis cléricaux de l'époque, et de déconstruire les légendes dorées de la dévotion catholique traditionnelle, à un moment où la séparation de l'Eglise et de l'Etat voulue par l'anticlérical-issime Emile Combes va déchirer pour longtemps la Nation française en deux camps jusqu'ici irréconciliables (cf. les mesures vexatoires ou liberticides que pond la Gauche, chaque jour, pour nuire à toute authentique Liberté, notamment en matière d'enseignement !).
Attaqué à sa mort par les plus grandes plumes du pays, le prix Nobel de littérature 1921 cristallisera autour de son œuvre toutes les rancœurs des soi-disant modernes (Rappel : ''l'écrivain le plus insulté de France''). Ce n'est pas par hasard que nos lycéens ne savent rien de ou sur lui : cette lacune ne s'explique pas seulement par leur ignorance abyssale, mais parce qu'ils sont l'ultime maillon d'une longue chaîne d'oubli, le dernier relais de la haine. Aucun écrivain français des temps modernes n'a été l'objet d'une exécration aussi profonde et aussi unanime qu'Anatole France qui, lui-même, ''détestait haïr''. Mais c'est justement cette douceur, cette indulgence, cette tendresse même qui devinrent l'emblème d'une tiédeur dont le progressisme n'a pas voulu. Pour vomir les tièdes, la Gauche a toujours eu besoin de boucs émissaires.
J'émets l'idée que le progressisme a vu ou deviné en lui son antithèse. Or, pour se faire résolument moderne, tout ce qui est ancien doit être rejeté et haï. Cette haine est née le jour-même de sa mort. Jusque là adulé partout et par tous (Zola, Maurras, Blum et Jaurès l'ont aimé et encensé), il fit ensuite l'unanimité contre lui. Indignité ultime pour ses détracteurs, le jour même de sa mort, la soi-disant ''intelligentzia'' du jour, ''les surréamlistes'', des Breton, Aragon, Eluard, Drieu, Delteil.... ont diffusé un tract contre celui qu'ils abhorraient. Son titre ? "Un cadavre". Son parti pris ? Le scandale et l'excès : "C'est un peu de la servilité humaine qui s'en va", "Avez-vous déjà giflé un mort ?", "Refus d'inhumer"... ''le limité, le peureux,le spéculateur à la manque, le niais''... Seules de telles outrances dans l'outrage pouvaient renverser une telle idole, qui ne s'en est pas relevé.
Plus honteux encore : son successeur à l'Académie, Paul Valéry, refusa de prononcer son nom lors de son éloge funèbre, dans son discours de réception, contournant toute louange pour en faire un blâme implicite. D'ailleurs... "quand on songe au cynisme d'Anatole France, qui vit publiquement aux crochets d'une juive, (sa maîtresse en titre, Simone de Caillavet, était juive par sa mère) et dans le milieu imaginable des dames littéraires israélites, les Stern, les X et Y, etc. !" écrit-il à Gide, en janvier 1898. C'est-y pas de l'anti sémitisme, ça, Madame ?
Céline, toujours modéré en diable (!), ira encore plus loin : "Anatole, plus vicieux et salope que les autres, était pertinemment enjuivé". Et Gide l'abomine : ''France est illisible : il représente le passé, et son style "demi-coupole", sans le moindre "tremblement", me révulse''. Romain Rolland méprise ses complaisances de vieillard pendant la Grande Guerre. Anatole France devient le symbole d'une littérature faisandée, où la compréhension devient compromis. Le rejeter violemment devient un passage obligé,et le rituel propitiatoire qui placera tout ''suiviste'' du bon côté de la modernité. Mais ça, on connaît : c'est notre quotidien !
En effet, comment ne pas établir un parallèle avec la praxis en cours, qui ostracise et ''met à l'index'' n'importe qui qui professe –en ayant en général raison contre la masse hurlante des cons-- une idée qui n'est pas autorisée par, justement, les mêmes ? C'est à cause de cet alignement sur le pire des pratiques de la Gauche que je voulais vous parler de ce centenaire oublié...
H-Cl.
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creart23-blog · 4 months
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Hercule et Diomedes, Vincenzo de Rossi, 1525/1587, Palazzo Vecchio, Florence.
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Cette statue de 1570's est l'une des six figures monumentales représentant les Travaux dHercule (ouHéraclès), commandées à Vincenzo de Rossi pour le Salone dei Cinquecento du Palazzo Vecchio à Florence. 
Hercule, personnification de la force physique et du courage, est l'une des figures les plus populaires de l'art classique.  
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Condamné à douze ans de travaux pour avoir tué ses enfants dans un accès de folie à servir Eurysthée, roi de Tiryns, et accomplir toute tâche qu'il lui ordonne. Servir un mortel dans un rôle inférieur était la punition d'un dieu qui a offensé l'Olympe. 
Le groupe de Rossi, représente le 8em travail "Les juments de Diomède", animaux sauvages que Dioméde nourrit de la chair de ses ennemis.
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Selon une des versions de la légende, Hercule amène avec lui plusieurs jeunes gens pour dompter les juments, dont Abdèros, son amant. Mais imprudent,celui-ci est dévoré par l'une d'entre elles. 
Pour le venger, dans son combat avec Diomède, celui-ci attrape le sexe d'Hercule qui réussissant a s'emparer du roi, le jete à ses juments, qui repues et devenues dociles, permettent a Hercule d'enterrer dignement Abdéros. 
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Diomède dévoré par ses chevaux, Gustave Moreau (1865), musée des Beaux-Arts de Rouen.
 Le légendaire goût d'Hercule pour les femmes lui a valu le qualificatif de φιλογύνης / philogyne « aimant les femmes »
Cependant, selon les rites initiatiques de la Grèce ancienne, l'éraste Hercule a eu plusieurs èroménes dont parmi les plus connus, son neveu Iolaos, Hylas qu'il recueille après avoir tué son père et Abdéros.
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Hercule et son neveu, Iolaus. Mosaïque du 1er siècle av. J.-C. de l'AnzioNymphée,
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arypurple · 1 year
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Shuu Sakamaki
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Nom: Sakamaki.
Prénom: Shuu.
Parents: Karlheinz et Beatrix.
Âge: 19 ans (physiquement)
Race: Vampire.
Taille: 1m80
Date de naissance: 18 octobre.
Signe astrologique: Balance.
Nourriture favorite: Steak saignant.
Hobbies(s): Écouter de la musique et jouer du violon.
Physique: Shuu est un jeune homme aux cheveux blonds légèrement bouclés, et aux yeux bleu océan dont il a hérité de sa mère. Il a des clous noirs aux deux oreilles. Shuu est toujours vu avec son mp3 attaché à un fil qui est enroulé autour de son cou et avec les écouteurs toujours aux oreilles.
Caractère: Shuu est un vrai dormeur et est vu en général en train de dormir dans le salon ou dans la salle de musique de l'école. Il sèche souvent les cours et a été retenu une fois en tant que senior du lycée. Selon d'autres étudiants, il est le propriétaire de la salle de musique. Apathique et paresseux, Shuu n'aime rien d'autre que la musique. Il écoute toujours de la musique, même dans son bain, aimant la musique classique allant du violon au piano. Il manque de motivation et est assez paresseux pour ne presque rien faire, s'ennuyant de la vie à cause de tous les événements de son enfance traumatisante. Bien que Shuu soit le fils aîné, il ne prend pas la responsabilité de s'occuper de ses cinq frères ou de la maison, poussant principalement le travail à Reiji. Shuu est également un peu pervers. En raison de son passé avec Edgar, il est pyrophobe.
Histoire: Shuu se sent étouffé par l'attention, les restrictions et les responsabilités qui lui ont été imposées, le conduisant à fuir sa maison. Il a ensuite rencontré Edgar, un garçon humain d'un village éloigné dans le monde des humains. Shuu l'atteignit à travers les passages souterrains qui reliaient les mondes démon et humain. Ils sont vite devenus les meilleurs amis. Parce que Shuu a pris l'habitude de s'enfuir pour jouer avec Edgar, Reiji a détruit le village dans un incendie dans une tentative malavisée d'impressionner et d'aider sa mère qui souffrait à chaque fugue de la part de son fils, et d'enlever le bonheur de Shuu par jalousie. Voulant sauver ses parents malgré les protestations de Shuu, Edgar alla dans le feu et "mourut". En raison de la "mort" d'Edgar, Shuu s'est blâmé et a développé un traumatisme grave de l'incident. Avec les propres caprices de Reiji que Shuu était inutile et ne pouvait rien faire de lui-même, mais surtout à cause de la pression de Beatrix, Shuu se retira et perdit tout intérêt à faire quoi que ce soit, sauf si Reiji le provoquait. Comme punition d'avoir échoué à son examen et devoir répéter une année scolaire, Karlheinz l'a envoyé en exil dans le pôle Nord. Il devait faire attention à ne pas tomber dans l'océan et devait combattre les ours polaires. Il a même été griffé quand il est revenu à la maison.
Bonus:
Il redouble la troisième année de lycée.
Il est gaucher.
Il déteste la nourriture trop sucrée.
Sa taille de pied est de 27,5cm.
Shuu a peur du feu depuis l'enfance, car il a supposé que son meilleur ami Edgar soit mort dans un incendie.
Shuu aime la musique classique.
Il joue le violon et le piano.
Il avait un chien.
Il déteste les vers.
Son père lui a donné un violon, mais Shuu l'a perdu et on soupçonne que Reiji l'ait cassé. Ensuite, dans Dark Fate, il a été révélé que Cordelia a cassé ce violon avec l'aide de Richter.
Il est révélé dans Dark Fate de Yuma Mukami que le vrai nom de Shuu est Ririe.
Shuu a déjà travaillé comme caissier.
Une fois il a dormi sur Shin sous sa forme de loup.
Il a déjà proposé à Kou de devenir son frère cadet, bien que ce dernier ait rejeté cette offre.
Quand ils étaient enfants. Laito a mangé tous les bonbons dans le réfrigérateur, mais caché les emballages de bonbons dans les poches de pantalon de Shuu donc Reiji a fini par gronder Shuu au lieu de Laito... Shuu dit qu'il est toujours en colère contre Laito à ce sujet.
Son endroit préféré où sucer le sang est la poitrine.
Chanson thème: 🎵
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raphraconte · 11 months
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2023年08月21日 Nintendo Land et le jeu asymétrique
Bien le bonjour ! Ce post sera plus long que le précédent et va parler de conception de jeu, je vais donc l'illustrer davantage.
Hier soir, j'ai joué avec ma famille à un jeu vidéo appelé Nintendo Land. Il est sorti le 18 Novembre 2012 en tant que jeu de lancement de la toute dernière console de Nintendo à l'époque: la Wii U.
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Le concept est simple: il s'agit d'une compilation de 12 mini-jeux. Chacun d'entre eux nécessite un nombre de joueurs différent et propose également une jouabilité différente, le but étant de montrer aux acheteurs de la Wii U ce que la console peut offrir en terme d'expérience de jeu. Le catch, c'est que le tout est présenté sous la forme d'un parc d'attraction dans lequel chaque attraction est un mini-jeu utilisant un des jeux phares de Nintendo comme inspiration !
Pour donner du contexte à ce jeu, il faut d'abord mentionner la Wii, la précédente console de salon de Nintendo qui a été révolutionnaire au point de se vendre à 101,63 millions d'exemplaires !
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Sortie le 8 décembre 2006 en Europe, cette console a introduit le jeu vidéo à une audience plus large avec sa manette particulière en forme de télécommande. Elle peut être utilisée à l'horizontale comme manette classique comme elle peut aussi être utilisée comme une télécommande à la verticale ! Munie d'un pointeur, d'un détecteur de mouvement (accéléromètre) et d'un détecteur de rotation (gyroscope), il était possible de faire des jeux faciles à comprendre, et qui permettaient même de faire de l'activité physique !
Nul besoin de dire que nous avions aussi une Wii, et que j'ai passé de nombreuses heures dessus...
Quand la Wii U est arrivée, la différence par rapport à la Wii était assez simple en surface :
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La console était grosso modo une Wii qui possédait une nouvelle manette que vous pouvez voir ci-dessus: le GamePad. Une manette avec de nouveaux boutons, mais surtout un écran rien qu'à elle ! La Wii ne pouvait accueillir que jusqu'à quatre joueurs simultanément, ce qui signifie qu'avec le GamePad de la Wii U, on pouvait jouer à 5 !
Évidemment, fan de Nintendo que j'étais déjà en 2013 je voulais cette console. Et il s'avère que le fait de jouer à 5 était un argument de vente pour moi ! Quand nous avions la Wii, nous étions 4 dans la famille, mais quand la Wii U est sortie, ma deuxième petite sœur était née ! C'était donc la console idéale pour jouer tous ensemble à l'avenir... Je me rappelle avoir espionné mes parents en train de discuter de l'achat de la Wii U dans la cuisine, mon père mentionnant les 5 joueurs. Il faut dire qu'une console c'est un investissement, la console vendue en pack avec Nintendo Land coutait 349€ à sa sortie ! Nous avons tout de même obtenu la console pour Noël 2013, avec pas mal de jeux (car j'en avais demandé pour mon anniversaire qui tombe 5 jours avant).
Cependant, là où le GamePad de la Wii U innovait, ce n'était pas dans le fait de pouvoir jouer à 5, c'était le fait d'offrir ce qu'on appelle le jeu asymétrique.
Pour vous expliquer ce que c'est, il faut d'abord parler de son opposé bien plus répandu, ce qu'on appelle le jeu symétrique. Prenons un jeu de société auquel la plupart d'entre vous ont déjà joué: le Ludo, ou autrement dit le jeu des petits chevaux.
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Dans ce jeu, les quatre joueurs ont le même objectif: faire parvenir tous leurs pions au centre du plateau. Pour y parvenir, ils ont les mêmes moyens: tout le monde joue sur le même plateau, tout le monde possède le même nombre de pions, tous les pions ont le même nombre de cases à parcourir, tous les joueurs doivent lancer le dé pour faire avancer leurs pions, etc.
La plupart des sports sont aussi basés sur un jeu symétrique, comme par exemple le Tennis. Le terrain est lui-même agencé de façon symétrique, et les joueurs doivent à tour de rôle faire les mêmes actions afin de parvenir au même but.
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En revanche, certains jeux de cour de récré sont basés sur un jeu asymétrique ! Par exemple, le jeu du chat et de la souris possède deux rôles avec deux objectifs différents. Le chat doit attraper la souris et la souris doit simplement s'enfuir. Le jeu de cache-cache quant à lui, est basé sur ceux qui se cachent (et qui doivent restés cachés) contre ceux qui trouvent. Des rôles différents pour des règles et objectifs différents qui apportent une certaine saveur et une expérience différente aux joueurs.
Cependant, les jeux asymétriques sont rares car pas évidents à équilibrer ! En effet, un jeu symétrique implique une égalité des chances qui fait que le jeu est équilibré dans ses règles. Cependant, un jeu asymétrique ayant des rôles et objectifs différents au sein d'un même jeu, il est primordial que ceux-ci soient complémentaires pour que les différents camps aient également cette égalité des chances, sinon le jeu perd de son intérêt une fois que les joueurs ont compris quel camp était le plus efficace.
Il est ainsi intéressant de remarquer que les 3 jeux asymétriques jouables à 5 offerts par Nintendo Land sont tous des variations de chat et de cache-cache ! Le joueur au GamePad possède des informations affichées uniquement sur l'écran de la manette, tandis que les joueurs ayant un rôle différent utilisent l'écran de la télévision. Je rentrerai en détail dans ces jeux une autre fois.
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Vous savez maintenant la différence entre un jeu symétrique et un jeu asymétrique ! J'espère que vous pouvez deviner quels jeux correspondent à ces catégories, et comprendre l'équilibre nécessaire à un bon jeu multijoueur.
Sur ce, à la prochaine !
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marciamattos · 1 year
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LA LUMIÈRE DANS LA NUIT CHEZ Jakub Schikaneder. Czech (1855 - 1924)
Né le 27 février 1855, à Prague, Jakub Schikaneder est issu d'une famille de douanier qui encourage très tôt son goût prononcé pour les arts. Que ce soit la musique, la peinture ou le théâtre, Jakub se montre talentueux et touche à tout. Un de ses parents de Vienne, n'est autre qu'Emmanuel Schikaneder, grand acteur comique et auteur du libretto de la Flûte enchantée de W.A. Mozart. C'est néanmoins pour la peinture que Jakub montre une plus grande attirance ; dès sa plus tendre enfance, il se consacre beaucoup au dessin.
Il commence à étudier à l'Académie des beaux-arts, à Prague, à l'âge quinze ans et se fait tout de suite remarquer par son talent exceptionnel. Les jeunes artistes de l'époque essaient de sortir du style classique enseigné à l'Académie, et Jakub Schikaneder, Frantisek Zenisek, Mikolas Ales, Maximilian Pirner ou Emanuel Krescenc Liska suivent plutôt les tendances dégagées par les idées de la Commune de Paris.
Le jeune Schikaneder expose pour la première fois au Salon de Zofin à Prague en 1876 : 'La Dernière Oeuvre' (Posledni Dilo), tableau égaré dans le temps. La critique est positive, Jan Neruda notamment (poète et critique Tchèque très connu) s'exprimera en des termes très favorables sur la toile, représentant un jeune peintre mourant devant son dernier tableau.
Jakub Schikaneder part pour Paris en 1878, et est fasciné par la richesse culturelle et esthétique de la capitale en cette fin de siècle. Il part pour Munich peu après. Il continue ses études aux Beaux Arts chez le professeur Gabriel Max. Il passera plusieurs années en Bavière, mais revient souvent à Prague, notamment pour participer à la décoration de la loge royale au Théâtre National. Les tableaux représentent trois moments importants de l'Histoire de la Bohême : l'époque des Premyslides, le règne des Habsbourgs. Malheureusement, ils sont détruits dans l'incendie du Théâtre. Vaclav Brozik sera chargé de décorer la loge lors de sa reconstruction.
Il termine ses études à Munich et en profite pour voyager beaucoup en Europe : France, Italie, Suisse, Angleterre, Ecosse etc. Le peintre Frantisek Zenisek propose à Jakub Schikaneder de devenir son assistant à l'Ecole supérieure des arts décoratifs, en 1885. Il devient professeur de peinture décorative en 1891. Le style du peintre change durant cette période, ses tableaux deviennent plus mélancoliques, souvent peints dans un cadre automnal.
En 1890, il peint 'Meurtre dans la Maison' (Vrazda v Dome), une de ses oeuvres les plus connues représentant une jeune femme assassinée allongée sur le sol de la cour d'une maison praguoise, entourée de badauds. Jakub Schikaneder situe souvent ses tableaux dans ces petites ruelles sombres de la la ville de Prague, au crépuscule ou au petit matin, souvent en hiver. Schikaneder se replie sur lui-même et ses tableaux sont le reflet de son âme, triste, mélancolique. Il ne reçoit presque plus personne et voit très peu ses amis, il passe son temps à peindre et à jouer de l'harmonium, sa grande passion. Il se rend souvent au bord de la mer adriatique ou à l'île Helgoland où il peint quelques tableaux poignants.
Jakub Schikaneder meurt à l'Automne 1924, alors qu'il jouait de l'harmonium.
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homomenhommes · 7 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 50
Dans la semaine qui a suivi, la mère de Pierre me téléphonait pour confirmer la première des deux dates. Cette fin d'après midi là, je passais la chercher. En moto, je l'ai suivi jusque chez son amie. Grande maison dans le quartier huppé de la ville.
Sonnette, une jeune femme nous ouvre (le service) prend mon casque et nous fait entrer au salon (grand avec des meubles actuels sûrement de designers) Son amie arrive, grande femme (1,75 environ 55Kg) dans la 40aine, très chic. Je détonne un peu en combinaison moto noire (mais c'est mon seul moyen de transport). La mère de Pierre nous présente, moi comme un fils d'amis. Comme un silence un peu gêné s'installe, du au fait que personne n'était dupe de la raison de ma présence, elle nous laisse en prétextant des courses à faire.
Pour alimenter la conversation, je lui dis être paysagiste. Elle saute sur l'occasion pour m'emmener au jardin. Là je reconnais la " patte " d'un confrère de la ville. Jardin bien classique mais parfait. A mi parcours, je l'interromps dans ses explications et lui demande brusquement si je lui plais. Elle bafouille un peu en me disant que oui pour ce qu'elle voyait. Comme je lui proposais d'en voir plus, elle rougit et me dit que pas aujourd'hui car son personnel était là. mais que si je pouvais revenir à la seconde date que j'avais proposé, ce serait leur jour de congé. Nous finissons le tour du jardin puis je me sauve.
Deux jours plus tard, 16h, j'arrivais chez elle. Elle m'ouvrit elle même la porte. Un bref instant de gêne que je dissipe en lui demandant si je pouvais me laver car j'arrivais directement du travail. Elle me conduit à l'étage dans une chambre et sa salle de bain contiguë. Comme elle va pour sortir, je l'arrête et lui dis qu'il fallait bien qu'elle juge de ce que la combinaison couvrait. Elle reste debout dans la porte. je me sors le la combinaison avec un minimum de contorsions et me retrouve en Marcel athlétique et shorty Aussiebaum (du modèle qui met bien le paquet en évidence).
Avant que j'ouvre la bouche, elle me dit que ça va (heureusement ! avec tout le sport que je fais, sans me vanter, je suis quand même bien gaulé !!) J'enlève le haut puis me tourne et ôte le bas avant de pénétrer sous la douche. je n'ai pas fermé la porte. Je reste toujours le dos tourné. Puis après quelques gestes vains pour me savonner le dos, je lui demande son aide. J'attends que ses mains me touche avec plus d'assurance avant de me tourner. Je ne bande pas complètement mais commence quand même à présenter un sexe honorable. Alors qu'elle a un mouvement de recul, je la prends dans mes bras et l'amenant avec moi sous la douche la trempe entièrement. La surprise la bloque et j'en profite pour doucement lui baiser les lèvres. Juste posée dessus, ma bouche s'entrouvre et je pointe ma langue, la passant sur chacune des lèvres avant de passer entre. Je bute contre ses dents. Je recommence sur les lèvres.
Au 4ème essai, les mâchoires s'entrouvrent et je sens sa propre langue venir au contact de la mienne. Soudain, sa retenue lâche et nous nous embrassons à pleine bouche. Quelle furie ! Je stoppe l'eau et commence à la déshabiller. Je d "couvre une belle femme dont le corps n'accuse pas son age. Pas un centimètre de graisse. De beaux seins bien ronds et un bassin large mais pas trop. Une belle femme ! Aussitôt nue, je la bloque en passant une jambe entre ses cuisses jusqu'à ce que la peau de mes cuisses entre en contact avec sa vulve. Je monte légèrement plus et elle se retrouve sur la pointe des pieds obligée de chevaucher ma cuisse. Là je sens vraiment sa chatte s'écraser dessus. Nous continuons à nous embrasser.
Je la porte jusqu'au lit. Et la pose sur le dos. Je me place au dessus d'elle, reprend mon baiser avant de descendre lentement. Je commence par le sein droit et m'attarde sur son téton qui gonfle sous ma langue. elle commence à haleter. Je passe au téton gauche et lui fait subir le même sort.
Puis toujours lentement, je descends ma tête vers le bas, laissant ma langue traîner sur sa peau. Un court arrêt au nombril puis je plonge sur sa chatte. Elle est brûlante ! Je note que même si cela fait longtemps qu'elle ne s'est fait sauter, elle a pris soin de l'entretenir et les seuls poils qui subsistent sont bien taillé en un court " ticket de métro " (ça tombe bien j'aime pas les poils qui se coincent entre les dents). Je commence par lui sucer les grandes lèvres jusqu'à ce qu'elles soient bien gonflées. Puis je les maintiens écartées avec mes doigts pour passer aux petites et rapidement trouver le clitoris. Je prend ce dernier entre mes lèvres et l'aspire. Il est assez long et je n'ai aucun mal a le bloquer entre mes incisives. J'entends son excitation qui monte. Je tend un bras vers ses seins et lui pince doucement un téton. Entre les deux stimuli, elle se cambre d'un premier spasme de plaisir. Je m'accroche et continu le passage rapide de la langue sur le clito. Je lui arrache ainsi son premier orgasme.
Je continu, pas question de laisser retomber l'excitation. Je quitte le clito et entre ma langue dans sa chatte. J'ai la chance de disposer de 6cm d'un muscle que je peux à volonté rentre pointu ou large. J'alterne entre pénétration linguale et léchage de vulve. Lors de ces stimulations externes, je laisse ma langue descendre bas sur le périnée jusqu'à la passer de l'anus au clitoris. Quand je sens de nouveau une montée de plaisir, je pointe ma langue dans son vagin. Nouvel orgasme, elle serre les cuisses et je me retrouve assourdi par la pression de ses cuisses sur mes oreilles ! Quand j'arrive à me dégager, je me redresse et me couche à son coté. Je tourne sa tête de ma main gauche et dépose un baiser sur les lèvres pendant que je laisse les doigts de ma main droite masser puis pénétrer son sexe. Je sens les parois du vagin coller mon majeur. Ma bite devrait y être bien serrée tout à l'heure. Je continu mon massage digital attendant qu'elle me demande de la pénétrer. Elle me le demande après un bon 1/4 heure de ce régime. Je m'enkpote et comme elle reste étendue sur le dos, je me couche sur elle, écarte ses cuisses avec mes genoux et commence à la pénétrer. Mon gland glisse dans son vagin bien lubrifié. Comme je l'avais pressenti, les parois collent bien et j'ai comme un impression de sodomiser un puceau (sans le passage de l'anus).
Mais la position ne me permet pas de m' " exprimer " complètement ! je passe mes bras sous ses genoux et lui bascule les jambes en l'air. Ça relève son bassin et je peu enfin lui enfiler mes 20cm. Je commence à limer. En me penchant, j'arrive à lui bouffer un téton. Je sens soudain ses mains sur ma tête m'attirer vers son visage. On se regarde dans les yeux. Je voie dans les siens le plaisir que je lui donne. Elle m'attire plus vers elle et écrase ma bouche de ses lèvres, sa langue cherchant la mienne. Je guette le paroxysme et j'éjacule dans ma kpote quand je sens les contractions vaginales presser ma queue. Je continue encore quelques va et vient pour tirer les derniers spasmes.
Je relâche la position et bascule sur le coté. Je maintiens le contact par de lents mouvements circulaires sur ses seins. Elle se blotti contre moi passant sa cuisse sur mienne. Lentement la pression retombe. Comme un con je lui demande si ça lui a plu. Elle a la gentillesse de me répondre avec un sourire que cela faisait longtemps qu'elle n'avait pris autan de plaisir. yes ! ;
Je regarde l'heure, putain ! il est déjà 19h30 ! 3 heures1/2 que l'on baise ! je saute hors du lit et me douche vite fait. Quand je sors, elle n'est plus dans la chambre. Je remets mes sous vêtements, ma combi et mes bottes et descend au rez de chaussée. Je la trouve en peignoir, elle tient dans ses mains une enveloppe qu'elle me tend. Je la prend sans lui faire l'injure de l'ouvrir et la prend dans mes bras pour lui rouler une pelle. Quand je la relâche, elle me demande si je peu passer la semaine suivante. J'accepte et me sauve.
Arrivé à la maison, Marc m'attendait. Il savait où j'étais. Je lui résume ma fin d'après midi tout en retirant ma combinaison. Dès que je suis en shorty, il m'ordonne de me préparer et d'aller me mettre sur le sling de la salle de muscu. J'obéi ! je descend et me mets nu. D'un doigt dans le cul, je vérifie que de ce coté là c'est ok et me place dans le sling. Marc me rejoint nu. Il m'attache les membres aux chaînes de suspension. Ça faisait longtemps qu'il ne l'avait fait. ! Puis sans plus de préparation qu'un peu de salive sur mon anneau, il m'encule brusquement. Je suis surpris, d'habitude son autorité est mentale, physique mais pas brutale ! Il me sodomise violemment, et je comprend quand il me dit " alors t'aimes pas ça te faire enculer ? ".
Je lui dis que " c'est trop bon ", que " sa bite dans mon cul c'est ce qui me fait kiffer le plus grave ". D'un coup j'ai eu l'impression qu'il avait du croire que j'avais re-basculé hétéro ! J'ai pris ce soir là un plaisir fou à me soumettre à sa volonté et à ses 22cm de bite ! Après m'avoir rempli le cul, il ;m'a détaché puis comme il ne débandait pas, je me suis mis à le sucer. Il m'a limé la gorge une bonne demi heure avant que je ne sente son sperme me couler dedans.
Franchement entre les 3 heures avec la meuf plus Marc, j'avais mal à la mâchoire. Les muscles ankylosés, j'ai eu du mal à mâcher mon dîner !
Avant d'aller nous coucher je repensais à l'enveloppe. J'y trouvais un petit mot me précisant que la somme lui avait été soufflée par la mère de Pierre mais que si c'était trop juste il fallait le lui dire. Je comptais mille, plus que je n'aurais osé demander (même si je suis devenu gourmand ces derniers temps).
JARDINIER
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