#salon classique
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Traditional Family Room Family room library - large traditional enclosed medium tone wood floor family room library idea with white walls, a standard fireplace and a concealed tv
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#Danse contemporaine#Ballet#Hip-hop#Danse classique#Danse moderne#Salsa#Tango#Breakdance#Danse jazz#Flamenco#Danse de salon#Chorégraphie#Danse urbaine#Danse folklorique#Spectacle de danse
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Découvrez la passion de l'automobile : événements automobiles en France
L'automobile est bien plus qu'un simple moyen de transport ; elle représente la liberté et l'aventure. En France, cet amour des voitures prend vie lors de nombreux événements passionnants. Que vous soyez collectionneur, amateur de sensations fortes ou simplement passionné de voitures, la France a quelque chose de spécial pour vous.
Salons automobiles : découvrez les dernières voitures
Les salons automobiles` font partie des événements les plus passionnants pour les amateurs de voitures. Organisés dans des villes comme Paris, Lyon, Marseille et Bordeaux, ces salons présentent les voitures les plus récentes, les technologies innovantes et les prototypes époustouflants. Des marques connues comme Peugeot, Renault et BMW présentent souvent leurs derniers modèles, ce qui fait de ces événements un endroit idéal pour voir les nouveautés dans le monde de l'automobile.
Promenades panoramiques : profitez de la beauté de la France
Si vous aimez conduire, les sorties en voiture vous permettent d'explorer les magnifiques paysages de France. Des itinéraires emblématiques comme la Route des vins d'Alsace et la Route Napoléon offrent des vues fantastiques et des expériences de conduite mémorables. Que vous soyez en famille ou entre amis, ces promenades panoramiques vous permettent d'apprécier la magnifique campagne tout en profitant de votre véhicule préféré.
Bourses d'échange de voitures : découvrez des trésors cachés
Les bourses d'échange de voitures sont idéales pour les amateurs de voitures anciennes et de restauration. Ces événements, organisés dans toute la France, réunissent collectionneurs et passionnés à la recherche de pièces et d'accessoires rares. C'est une excellente occasion de découvrir des pièces uniques et de rencontrer d'autres passionnés d'automobile qui partagent votre passion.
Rallyes : ressentez l'adrénaline
Les rallyes sont des événements palpitants qui mettent en valeur la conduite de compétition. Que ce soit sur des routes panoramiques ou sur des circuits, ils offrent des sensations fortes aux pilotes et aux spectateurs. Des rallyes célèbres comme le Rallye Monte-Carlo et le Tour de Corse attirent les fans avides de voir des actions à grande vitesse et des pilotes talentueux en action.
Concours d'Élégance : célébrez les voitures classiques
Les concours d'élégance mettent en valeur la beauté des voitures anciennes et de collection. Ces compétitions prestigieuses permettent aux propriétaires de mettre en valeur leurs véhicules soigneusement entretenus. Des événements comme le Concours d'Élégance de Chantilly permettent aux visiteurs d'admirer des voitures rares et d'apprécier le savoir-faire qui les compose.
Compétitions : l'esprit de la course
La France est riche d'une riche tradition de sport automobile, avec l'organisation de diverses compétitions qui font vibrer les amateurs de courses. De la Formule 1 aux courses d'endurance, ces événements offrent des moments palpitants remplis de suspense. Les circuits célèbres comme Le Mans sont des moments incontournables pour les passionnés de sport automobile.
Rencontres automobiles : échangez avec d'autres passionnés
Chaque week-end, les passionnés d'automobile se réunissent pour des rencontres informelles afin de partager leur passion pour l'automobile. Ces rassemblements sont un excellent moyen d'échanger avec d'autres, de parler de voitures et de profiter d'une ambiance conviviale.
Avec autant d'événements automobiles, la France est une destination de rêve pour les passionnés d'automobile. Des grands salons aux balades panoramiques en passant par des rallyes palpitants et des compétitions élégantes, il se passe toujours quelque chose. Pour découvrir les derniers événements et planifier vos aventures automobiles, visitez Flaner Bouger pour une liste complète de plus de 2 800 événements.
#Concours d'élégance#Sports automobiles#Passionnés de voitures#Conduire en France#Voitures classiques#Passion automobile#Explorer la France#Événements automobiles#Amoureux de voitures#FranceOnWheels#Salon de l'automobile#Voitures anciennes#Circuits panoramiques#Foires d'échange de voitures#Rallye de France
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Library Living Room in Paris
Inspiration for a large transitional open concept light wood floor and brown floor living room library remodel with beige walls, a standard fireplace, a stone fireplace and no tv
#velours#menuiserie sur mesure#style classique chic#living room#salon#architecte d'intérieur neuilly#velours vert
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Paris Family Room Family room library: large traditional enclosed space with a medium-tone wood floor, white walls, a regular fireplace, and a covert television.
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Transitional Living Room - Living Room
#Mid-sized transitional open concept living room library image with white walls#no fireplace#and no television. salon classique chic#decoratrice bretagne#décoratrice finistère#relooking intérieur#cheminée
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J'ai retrouvé la joie de pouvoir danser dans son salon. En plus j'ai aucun vis à vis. Ça fait un bien FOU. j'ai même fait un peu de danse classique et je le paye actuellement depuis 48h dans mes cuisses mais NO REGRETS.
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Le Comte de Monte-Cristo - Une adaptation magistrale qui réinvente un classique
La nouvelle adaptation du chef-d'œuvre d'Alexandre Dumas vient de sortir en VOD, et quel spectacle ! Certes, nous avons déjà vu de nombreuses versions de cette histoire immortelle de vengeance et de duplicité, mais cette nouvelle interprétation, signée par le duo Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière (déjà aux commandes du récent "Les Trois Mousquetaires"), apporte un souffle nouveau à ce récit complexe.
Le film suit fidèlement l'histoire que nous connaissons tous, Edmond Dantès, brillamment incarné par Pierre Niney, est un jeune marin prometteur dont la vie bascule suite à une machination orchestrée par trois hommes qu'il croyait être ses amis. Fernand de Marcef (Bastien Bouillon), Danglars (Patrick Mille) et le magistrat Villefort (Laurent Lafitte) conspirent par jalousie pour l'envoyer croupir dans les geôles du Château d'If, alors même qu'il s'apprêtait à épouser sa bien-aimée Mercedes (Anaïs Demoustier). C'est dans sa cellule que Dantès rencontre l'Abbé Faria (Pierfrancesco Favino), qui devient son mentor et lui révèle l'existence d'un trésor. Après quatorze années de captivité et une évasion spectaculaire, Notre héro renaît sous l'identité du mystérieux Comte de Monte-Cristo, prêt à orchestrer sa vengeance dans les salons dorés du Paris mondain.
Ce qui distingue cette adaptation, c'est sa capacité à condenser les 1400 pages du roman en presque trois heures de film sans jamais nous perdre ni sacrifier la profondeur du récit. Les réalisateurs ont réussi l'exploit de moderniser l'intrigue tout en restant fidèles à l'esprit de Dumas. Pierre Niney livre une performance remarquable dans ce rôle complexe, évoluant du jeune marin innocent au vengeur sophistiqué avec une subtilité impressionnante. Le casting féminin n'est pas en reste, avec une Anaïs Demoustier touchante en Mercedes et une Anamaria Vartolomei fascinante dans le rôle d'Haydée, l'esclave affranchie prisonnière de l'emprise psychologique du Comte.
Techniquement, le film est une réussite totale. Avec un budget relativement modeste de 42,9 millions d'euros, l'équipe a créé un spectacle visuel époustouflant. La photographie de Nicolas Bolduc capture magnifiquement les décors somptueux de Stéphane Taillasson, tandis que la partition de Jérôme Rebotier souligne parfaitement les moments dramatiques sans jamais tomber dans l'excès. Ce qui frappe particulièrement, c'est l'intelligence avec laquelle le film traite les thèmes intemporels du roman, la vengeance, la rédemption, la justice et le prix du pardon. Les réalisateurs ont su créer un équilibre parfait entre spectacle et profondeur narrative, action et émotion, fidélité à l'œuvre originale et sensibilité contemporaine.
Cette nouvelle version du "Comte de Monte-Cristo" prouve qu'il est possible de réaliser un film d'époque ambitieux qui parle au public moderne. C'est le type de production que Hollywood devrait prendre en exemple, un divertissement intelligent qui ne sacrifie ni le spectacle ni la substance. En définitive, cette adaptation est une belle surprise. Elle réussit le tour de force de se démarquer parmi les nombreuses versions existantes en offrant une relecture à la fois respectueuse et innovante du chef-d'œuvre de Dumas. Un film qui devrait satisfaire aussi bien les puristes que les nouveaux spectateurs découvrant cette histoire légendaire.
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Sina Maria Walls écoutant de la musique classique dans son salon, vers 1955. Photo d'Orlando.
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Avec Christine, on a fêté nos 40 ans d'amitié en faisant un voyage de 15 jours en Sicile. Nous arrivons à Palermo (Palerme)
Notre logement, l'Hôtel Amaranta, rue Rocco Pirri (non loin de la gare) avec salon (photo 2) et cuisine communs.
En fait, il y eut 2 chambres : la première, avec escalier privatif, très mignonne...mais il fallut changer car le lit de Christine était une torture de ressorts dans le dos !.
La seconde était plus classique (photos 1 et 9)
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La rencontre du chevalier et du savoir au XIIe siècle peut sembler paradoxale. Pourtant, elle se mêle inextricablement à la renaissance intellectuelle de cette période, mouvement décisif pour l'histoire de l'Occident.
Le chevalier n'évolue pas seulement sur les champs de bataille, mais aussi dans les cours de plus en plus cultivées et raffinées : son intérêt pour les classiques latins et la lecture, voire sa propre poésie, le prouvent. Il patronne les jongleurs et discute de littérature avec les clercs qui, au passage, essaient de réformer sa conduite, souvent brutale. Au fur et à mesure que leur culture livresque se développe, les chevaliers apprennent à réprimer leur propre violence à la guerre et s’initient à la courtoisie. À table, les contenances sont désormais de mise, tout comme la préciosité du langage, l’élégance des vêtements ou la mesure des gestes. La fréquentation des femmes, parfois doctes et tenant salon, devient plus galante.
Une révolution mentale est ainsi en œuvre chez ces élites laïques qui, au contact du clergé savant, mettent de plus en plus leurs armes au service du bien commun. La rencontre du chevalier et du savoir au XIIe siècle peut sembler paradoxale. Pourtant, elle se mêle inextricablement à la renaissance intellectuelle de cette période, mouvement décisif pour l'histoire de l'Occident.
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Always And Forever
Chapitre 2 : Un spectacle peu commun
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Le lendemain matin, Wanda et Vision s'étaient levés avec une énergie débordante. Après le succès de leur dîner avec les Hart, ils avaient décidé de s'impliquer davantage dans la vie de leur communauté. Le spectacle municipal de charité approchait, et ils avaient été invités à y participer. Vision, toujours en quête de perfection dans son rôle d'époux humain idéal, avait proposé un numéro de magie.
— De la magie ? Mais je suis déjà une sorcière, Vision, plaisanta Wanda en se frottant les yeux, encore à moitié endormie.
— Justement ! répondit Vision avec un enthousiasme non feint. Ton talent naturel nous garantit une prestation mémorable !
Wanda haussa un sourcil amusé tout en sirotant son café. Vision, vêtu de son costume impeccable, brandissait un vieux chapeau haut de forme trouvé dans une boîte poussiéreuse au grenier.
— Imagine : Abracadabra ! Je fais apparaître un lapin ! Puis, hop, tu fais semblant de disparaître, et je te "retrouve" dans le public.
— "Fais semblant", hein ? dit Wanda en croisant les bras, une moue moqueuse sur le visage.
Malgré tout, Wanda se laissa convaincre. Vision, bien qu'un peu trop enthousiaste, était tellement adorable qu'elle ne pouvait pas lui refuser. Ils passèrent donc leur matinée à préparer leur numéro dans le salon.
Vision, très sérieux, essayait d'apprendre à jongler avec des anneaux magiques qu'il avait fabriqués lui-même – des cercles en métal qu'il lançait avec plus ou moins d'adresse. Wanda, assise sur le canapé, l'observait avec un sourire amusé, utilisant un soupçon de ses pouvoirs pour subtiliser discrètement un anneau et le faire réapparaître sur sa propre tête comme un halo.
— Wanda ! Ce n'est pas du jeu ! s'exclama Vision, fronçant les sourcils mais incapable de cacher son amusement.
— Ce n'est pas ma faute si je suis magique, répondit-elle en riant, les bras levés dans un geste dramatique.
Ils passèrent ensuite au classique numéro de la "boîte à scie", où Wanda devait s'allonger pendant que Vision simulait de la couper en deux.
— D'accord, mais si tu rates, c'est toi qui expliques aux voisins pourquoi mon corps flotte dans les airs, plaisanta Wanda en montant dans la boîte.
— Aucun risque, je suis précis comme une horloge suisse, répondit Vision avec fierté en faisant tourner une scie – qu'il tenait absolument à utiliser bien qu'il n'en eût aucun besoin.
Entre les essais maladroits, les éclats de rire, et les petites disputes sur qui devait annoncer quoi, la matinée fut un mélange parfait de chaos et de complicité. Ils étaient loin d'être prêts, mais cela importait peu.
— Tu sais, Vision, dit Wanda en rangeant les accessoires, je crois qu'on va surtout leur offrir un spectacle de nous-mêmes.
Vision ajusta son nœud papillon, prenant une pose théâtrale.
— Et quel spectacle ce sera ! Le fabuleux duo de Wanda et Vision : l'impossible devient possible !
Wanda rit, le trouvant absolument irrésistible dans sa maladresse adorable. Elle savait que, même si leur numéro de magie tournait mal, ils gagneraient les cœurs de leurs voisins avec leur charme naturel. Après tout, ce n'était pas tant la perfection qui comptait, mais la joie qu'ils partageaient – ensemble.
Alors qu'ils finissaient de ranger les accessoires éparpillés dans le salon, Wanda observa Vision, qui essayait toujours de jongler avec ses anneaux en métal, l'air concentré mais un peu décalé dans son costume déjà froissé. Elle se pinça les lèvres pour ne pas éclater de rire.
— Vision, tu sais quoi ? Si on veut vraiment impressionner nos voisins, il nous faut des tenues qui attirent l'attention. Quelque chose de chic, mais... magique, proposa-t-elle en s'asseyant sur le bras du canapé.
Vision s'arrêta de jongler, laissant un anneau lui échapper et rebondir sur le sol.
— Tu as raison, Wanda. Mais... je dois avouer que je n'ai aucune idée de ce qui pourrait convenir. J'ai fait des recherches sur les "codes vestimentaires du spectacle" et, selon mes calculs, le style cabaret des années 1920 pourrait être...
— Non, Vision. Non, l'interrompit-elle en riant doucement. Tu vas devoir me faire confiance pour ça.
Elle sortit son téléphone et fit défiler ses contacts avant de s'arrêter sur un nom : Rosalia.
— Je vais appeler Rosalia. Elle a un goût impeccable pour les vêtements. Elle saura nous trouver des tenues parfaites pour briller sans ressembler à un couple de magiciens sortis d'un vieux cirque.
Vision hocha la tête, confiant dans le jugement de Wanda.
— Excellente idée. Rosalia a un sens du style indéniable. Je suis sûr qu'elle saura sublimer nos... atouts naturels, dit-il avec son sérieux habituel.
Wanda roula des yeux avec un sourire.
— "Atouts naturels", vraiment ? Allez, laisse-moi gérer ça.
Elle appuya sur le bouton d'appel, et quelques secondes plus tard, la voix douce et chaleureuse de Rosalia résonna dans le combiné.
— Wanda ? Tout va bien ?
— Oui, oui, tout va très bien, répondit Wanda avec enthousiasme. Écoute, on a besoin de ton aide. Vision et moi préparons un numéro de magie pour le spectacle municipal, et il nous faut des tenues qui en jettent. Tu pourrais passer et nous conseiller ?
Rosalia rit doucement à l'autre bout du fil.
— De la magie ? D'accord, je suis curieuse de voir ça. Je viens tout de suite. Préparez-vous à briller.
Wanda raccrocha et se tourna vers Vision avec un sourire satisfait.
— Rosalia arrive. On va être magnifiques, tu vas voir.
Vision se redressa, ajustant son nœud papillon avec fierté.
— Dans ce cas, je vais me préparer à me transformer en... l'homme le plus élégant de Westview.
Wanda éclata de rire, attrapant un coussin pour le lancer gentiment sur lui.
— Tu es déjà parfait, Vision. Mais attends de voir ce que Rosalia va nous concocter. Avec elle, on va voler la vedette.
༺♡༻
Un peu plus tard dans la matinée, la sonnette retentit, et Wanda s'approcha de la porte pour ouvrir. Elle s'attendait à voir Rosalia seule, mais, à sa grande surprise, celle-ci était accompagnée d'Agnès.
— Wanda ! s'exclama Rosalia avec son sourire éclatant. J'ai croisé Agnès par hasard en chemin, et elle a insisté pour venir m'aider à vous trouver les tenues parfaites.
Agnès, se tenant juste derrière Rosalia, afficha un sourire malicieux tout en haussant un sac qu'elle portait.
— En effet, chérie. Tu sais bien que le style, c'est mon domaine. Je ne pouvais pas laisser passer une occasion comme celle-là !
Wanda, bien que légèrement surprise, les invita à entrer avec un sourire chaleureux.
— Plus on est de fous, plus on rit. Entrez, mesdames. J'espère que vous êtes prêtes à travailler sur du grand spectacle.
Les deux femmes pénétrèrent dans le salon où Vision, toujours impeccable mais manifestement nerveux, les accueillit avec un salut poli.
— Ah, Rosalia, Agnès, bienvenue ! Je dois dire que votre expertise sera grandement appréciée.
Rosalia déposa un sac rempli de tissus et d'accessoires sur le canapé, son regard brillant d'enthousiasme.
— Bon, allons-y. Wanda m'a dit que vous voulez des tenues qui attirent l'attention. On va faire de vous un duo inoubliable, mais élégant, promit-elle.
Agnès, bien qu'apparemment concentrée sur la tâche, ne cessait de jeter des regards furtifs vers Rosalia. Ses yeux pétillaient, mais Wanda ne manqua pas de remarquer l'air légèrement possessif qui émanait d'elle lorsqu'elle se rapprochait de Rosalia.
— Rosalia, tiens, regarde ça ! dit Agnès en sortant une écharpe de satin rouge vif. Tu ne trouves pas que ce serait parfait pour Wanda ?
— Hmm... ça pourrait marcher, mais avec une robe noire pour contraster, répondit Rosalia en réfléchissant. Et Vision aurait besoin d'un costume ajusté, peut-être avec un détail subtil qui rappelle le rouge de Wanda.
Wanda observa Rosalia, impressionnée par son œil aiguisé.
— Je savais que je pouvais compter sur toi, Rosalia, dit-elle en souriant.
Cependant, son regard s'arrêta un instant sur Agnès, qui se tenait un peu trop près de Rosalia, une main posée sur son épaule de manière presque protectrice.
— Agnès, tu te sens bien ? demanda Wanda avec un sourire innocent, bien qu'elle perçût quelque chose d'étrange dans l'attitude de sa voisine.
— Moi ? Oh, parfaitement, répondit Agnès avec un éclat de rire nerveux, se reculant légèrement. Je suis juste ravie de pouvoir aider.
Elles passèrent l'heure suivante à essayer différentes tenues, ajustant accessoires et tissus. Rosalia montrait une douceur naturelle, se rapprochant de Vision pour ajuster un nœud papillon ou épingler un détail, ce qui rendit la situation d'autant plus cocasse. Vision, malgré sa nature calme, semblait légèrement paniqué sous tant d'attention.
De son côté, Agnès s'arrangeait toujours pour être près de Rosalia, trouvant des excuses pour l'aider à ajuster un tissu ou à chercher un accessoire, son sourire légèrement tendu chaque fois que Wanda se rapprochait de Rosalia.
Finalement, après plusieurs fous rires et quelques commentaires taquins, Wanda et Vision étaient prêts. Wanda portait une élégante robe noire avec une ceinture rouge éclatante, tandis que Vision arborait un costume noir classique avec une pochette assortie.
— Parfait, annonça Rosalia en reculant pour admirer leur travail. Vous êtes prêts à conquérir la scène !
— Vous êtes magnifiques, admit Agnès, bien que son ton trahît une pointe d'agacement.
Wanda se tourna vers Rosalia, un sourire sincère sur le visage.
— Merci pour ton aide, Rosalia. Tu es vraiment un ange.
Mais alors qu'elle parlait, son regard croisa celui d'Agnès, et l'étincelle de jalousie dans ses yeux ne lui échappa pas. Wanda choisit de ne rien dire, mais elle ne pouvait s'empêcher de remarquer qu'il y avait quelque chose d'étrange entre Agnès et Rosalia. Une tension palpable qu'elle ne comprenait pas encore.
Alors que Vision ajustait une dernière fois son costume devant le miroir, son téléphone vibra sur la table. Il décrocha après un regard rapide vers Wanda.
— Vision ici, dit-il avec son ton habituel, professionnel mais chaleureux.
Wanda observa son mari pendant quelques instants, avant de se tourner vers Rosalia et Agnès qui finissaient de ranger les accessoires éparpillés dans le salon.
— Je pense qu'il va devoir partir, murmura-t-elle avec un soupir. Il a souvent des appels comme ça.
Comme pour confirmer ses paroles, Vision raccrocha et s'avança vers elles.
— Je suis désolé, chérie, dit-il à Wanda. Une situation urgente au travail. Mais ne vous inquiétez pas, je serai de retour à temps pour le spectacle.
Wanda lui adressa un sourire compréhensif et ajusta le col de son costume avant de lui déposer un baiser sur la joue.
— Vas-y, ne t'inquiète pas. Les filles et moi allons peaufiner les derniers détails.
Vision salua Rosalia et Agnès avant de quitter la maison. Une fois la porte refermée, un silence s'installa brièvement, rapidement brisé par Wanda.
Alors que Vision fermait la porte derrière lui, un silence s'installa brièvement dans la pièce. Wanda, voyant l'ambiance légèrement tendue, prit les devants pour détendre l'atmosphère.
— Bon, avec Vision au travail, on a tout le temps pour peaufiner nos préparatifs. Et si on en profitait pour discuter des accessoires et des derniers détails du spectacle ? proposa-t-elle avec un sourire.
Rosalia acquiesça en se tournant vers les sacs contenant tissus et accessoires, mais avant qu'elle ne puisse répondre, Agnès s'approcha nonchalamment, croisant les bras tout en observant Wanda.
— Tu as vraiment de la chance d'avoir une voisine comme Rosalia, dit Agnès avec un sourire. Elle a un talent naturel pour organiser ce genre de choses.
Wanda hocha la tête, lançant un regard complice à Rosalia.
— C'est vrai. Franchement, Rosa, je ne sais pas comment on aurait fait sans toi.
Rosalia haussa les épaules avec modestie.
— Vous exagérez, vraiment. Ce n'est pas grand-chose, répondit-elle en riant doucement.
Agnès, cependant, ne semblait pas vouloir lâcher l'attention. Elle se plaça discrètement à côté de Rosalia, un sourire malicieux sur les lèvres.
— Oh, ne sois pas si modeste, Rosa. Il faut bien admettre que tout ce que tu touches devient magique, ajouta-t-elle, son ton faussement léger.
Rosalia lui lança un regard en coin, un peu gênée, mais répondit simplement en hochant la tête.
Wanda, bien qu'occupée à rassembler les accessoires restants, remarqua la manière subtile dont Agnès semblait toujours se tenir près de Rosalia, cherchant des prétextes pour toucher son bras ou arranger un pli sur sa chemise.
— Agnès, tu veux bien m'aider à ajuster ce tissu pour ma ceinture ? demanda soudain Wanda, essayant de briser la dynamique.
Agnès hésita un instant, comme si elle pesait le choix entre rester auprès de Rosalia ou répondre à Wanda. Finalement, elle acquiesça et se dirigea vers Wanda avec un sourire, mais non sans un dernier regard vers Rosalia.
— Bien sûr, chérie. Tout pour que vous soyez éblouissante ce soir, répondit-elle en attrapant un morceau de tissu.
Rosalia, libérée de l'attention constante d'Agnès, reprit sa place près de Wanda et ajusta un accessoire sur la table.
— Wanda, je pense que ce petit détail sur ta robe pourrait vraiment ajouter une touche d'élégance. Qu'en dis-tu ?
— Je te fais confiance, répondit Wanda avec un sourire sincère, avant de jeter un rapide coup d'œil vers Agnès, qui semblait légèrement distraite.
Malgré l'apparente légèreté de la situation, Wanda sentait qu'il y avait quelque chose d'étrange dans l'air. Agnès était plus tactile que d'habitude, et Rosalia semblait partagée entre amusement et inconfort. Mais Wanda choisit de ne rien dire pour le moment, préférant se concentrer sur le spectacle à venir.
— Bon, les filles, on a du pain sur la planche. Allons-y ! lança-t-elle avec énergie, espérant rediriger l'attention de tout le monde vers les préparatifs.
Les préparatifs enfin terminés, les trois femmes se posèrent dans le salon pour souffler un peu. Rosalia, toujours attentive, se leva pour aller chercher une bouteille de vin et trois verres dans la cuisine.
— Un verre de vin pour fêter ça ? proposa-t-elle avec son sourire doux en revenant.
— Avec plaisir, répondit Wanda en s'installant confortablement sur le canapé, tandis qu'Agnès hochait la tête, l'air pensif mais observateur.
Rosalia remplit les trois verres avec élégance avant de commencer à les distribuer. Elle tendit le premier à Agnès, puis s'approcha de Wanda pour lui donner le sien.
— Merci, princesse, dit Wanda en prenant le verre avec un sourire taquin.
Rosalia roula les yeux, légèrement amusée mais visiblement agacée.
— Arrête de m'appeler "princesse", répliqua-t-elle en croisant les bras, un sourire pourtant accroché à ses lèvres.
Wanda, loin de se démonter, haussa un sourcil et répondit avec une pointe d'espièglerie :
— D'accord... ma reine.
Rosalia cligna des yeux, surprise, avant de détourner légèrement le regard pour masquer le sourire qui menaçait de s'étirer sur son visage.
— Tu es impossible, Wanda, marmonna-t-elle, un peu gênée, tout en reprenant sa place sur le fauteuil voisin.
Agnès, qui observait l'échange depuis son coin, pinça les lèvres, essayant de ne pas montrer sa légère irritation.
— Eh bien, ça devient royal ici, dit-elle sur un ton faussement léger, avant de lever son verre. À la magie du spectacle... et à nos hôtes charmantes.
Rosalia et Wanda levèrent leurs verres à leur tour, échangeant un regard complice.
Mais sous l'apparente légèreté de la scène, Agnès bouillonnait intérieurement. Ce surnom, cette complicité, et la manière dont Wanda semblait toujours chercher Rosalia... Tout cela ne faisait qu'attiser un feu qu'elle avait du mal à contenir.
Alors que les verres se vidaient peu à peu, l'atmosphère dans la pièce se réchauffa. Wanda, toujours espiègle, lançait des anecdotes sur ses essais et erreurs dans l'intégration au quartier, ce qui déclenchait souvent des éclats de rire. Rosalia semblait à l'aise, son rire mélodieux remplissant la pièce à chaque plaisanterie.
Agnès, cependant, restait étrangement silencieuse, son regard passant sans cesse entre Wanda et Rosalia. Elle observait attentivement leurs échanges, chaque sourire, chaque geste. Quand Wanda posait une main légère sur le bras de Rosalia pour souligner un point dans son histoire, Agnès serrait discrètement son verre, l'irritation grandissant en elle.
Après un moment, Wanda se leva pour chercher quelque chose dans la cuisine, laissant Rosalia et Agnès seules dans le salon.
— Tu sembles vraiment bien t'entendre avec Wanda, lança Agnès d'un ton neutre, bien qu'il y ait une pointe de curiosité sous-jacente.
Rosalia tourna la tête vers elle, un peu surprise par la remarque.
— Wanda est gentille, répondit-elle simplement. Elle a une énergie... particulière, mais c'est agréable d'être autour d'elle.
Agnès plissa les yeux, jouant distraitement avec son verre.
— "Particulière", répéta-t-elle, comme pour goûter au mot. Et cette manie qu'elle a de t'appeler "princesse" ?
Rosalia haussa les épaules, un sourire amusé sur le visage.
— C'est Wanda. Elle aime les surnoms. Ça ne me dérange pas vraiment.
Agnès posa son verre sur la table, s'inclinant légèrement vers Rosalia.
— Pourtant, tu as l'air d'aimer quand elle te dit "ma reine".
Cette remarque fit rougir Rosalia, qui détourna rapidement le regard.
— Ce n'est rien, Agnès, répondit-elle en secouant la tête. Juste une plaisanterie.
Agnès se redressa, un sourire énigmatique sur les lèvres.
— Oh, bien sûr. Une plaisanterie...
Avant que la conversation ne puisse aller plus loin, Wanda revint dans le salon avec une assiette de biscuits faits maison.
— Voilà de quoi accompagner le vin, dit-elle joyeusement, ignorant la tension subtile entre les deux femmes.
Elle posa l'assiette sur la table et s'assit à côté de Rosalia, se penchant légèrement pour lui murmurer quelque chose. Rosalia rit doucement, et Wanda lui sourit d'un air satisfait.
Agnès détourna les yeux, croisant les bras.
— Eh bien, je vais devoir partir bientôt, annonça-t-elle brusquement, se levant de son siège.
— Déjà ? s'étonna Wanda.
— Oui, j'ai... des choses à faire, répondit-elle vaguement, lançant un dernier regard à Rosalia.
Rosalia se leva également, posant une main sur le bras d'Agnès.
— Merci pour ton aide aujourd'hui, Agnès. C'était agréable.
Agnès fixa la main de Rosalia sur son bras pendant une fraction de seconde avant de lui adresser un sourire, un peu forcé.
— Toujours un plaisir, Rosa.
Elle se dirigea vers la porte, mais avant de sortir, elle jeta un dernier coup d'œil à Wanda, toujours assise près de Rosalia. Une étincelle de jalousie traversa son regard, mais elle n'en dit rien.
Une fois la porte refermée derrière elle, Wanda se tourna vers Rosalia, curieuse.
— Agnès semblait un peu... tendue, tu ne trouves pas ?
Rosalia haussa les épaules, évitant soigneusement le regard de Wanda.
— Elle est peut-être juste fatiguée, répondit-elle, bien qu'elle sache que ce n'était pas toute la vérité.
༺♡༻
Agnès arriva devant la maison de Rosalia avec une légère appréhension. Avant qu'elle ne puisse toquer, la porte s'entrouvrit, et un grand berger allemand surgit en aboyant joyeusement. C'était Max, le chien de Rosalia. Mais au lieu de rester près de sa maîtresse, il courut droit vers Agnès.
— Max ! s'exclama Rosalia, surprise par la réaction de son chien.
Max bondit sur Agnès, remuant frénétiquement la queue, ses aboiements se transformant en gémissements de joie. Agnès, avec un sourire qui trahissait un mélange de nostalgie et de tendresse, s'accroupit pour accueillir l'animal.
— Salut, mon grand, murmura-t-elle en le caressant avec une familiarité troublante.
Rosalia, les sourcils froncés, regardait la scène avec incompréhension.
— C'est... bizarre. Il n'est jamais aussi collant avec des étrangers, dit-elle doucement, une main posée sur sa hanche.
Agnès releva les yeux vers elle, son sourire légèrement énigmatique.
— Peut-être qu'il sent que je ne suis pas une étrangère, répondit-elle, son ton doux mais empreint de quelque chose de plus profond.
Rosalia plissa les yeux, intriguée par cette réponse, mais elle préféra ne pas insister.
— Bon, entre. On dirait qu'il a décidé que tu faisais partie de la famille, plaisanta-t-elle, même si son sourire semblait un peu nerveux.
Agnès se releva, suivie par Max, qui ne cessait de tourner autour d'elle, visiblement ravi.
Une fois à l'intérieur, Rosalia referma la porte et croisa les bras, fixant toujours Max, qui s'était assis sagement aux pieds d'Agnès.
— Je ne comprends pas, dit-elle finalement. Il ne fait ça avec personne d'autre, même pas avec Wanda, et pourtant elle passe souvent ici.
Agnès haussa les épaules, un éclat malicieux dans les yeux.
— Les animaux sentent des choses que les humains ne remarquent pas, répondit-elle en caressant doucement la tête de Max.
Rosalia secoua la tête, légèrement troublée, mais elle tenta de changer de sujet.
— Désolée pour plus tôt, chez Wanda. Elle peut être un peu... intense parfois, dit-elle en se dirigeant vers la cuisine.
Agnès haussa un sourcil et la suivit, un sourire énigmatique toujours sur les lèvres.
— Tu n'as pas à t'excuser, Rosa. Vraiment, tout va bien, répondit-elle d'un ton rassurant.
Rosalia se tourna vers elle en sortant deux verres à vin.
— Tu veux quelque chose ? Du thé, du café... ou du vin ?
Agnès s'installa nonchalamment sur une chaise, ses doigts glissant distraitement sur le bord de la table.
— Du vin, ça ira très bien, dit-elle avec un sourire, son regard toujours fixé sur Rosalia.
Rosalia hocha la tête, sortit une bouteille, et servit deux verres. En revenant vers Agnès, elle tendit l'un des verres, mais leurs doigts se frôlèrent.
— Merci, murmura Agnès, son ton soudain plus bas, presque intime.
Rosalia s'assit en face d'elle, tentant de masquer son trouble en prenant une gorgée de vin.
— Tu disais que Max n'était pas comme ça avec Wanda ? demanda Agnès après un moment, brisant le silence.
Rosalia haussa les épaules.
— Non. Il l'aime bien, mais pas à ce point. Avec toi, c'est... différent, avoua-t-elle. Je ne comprends pas pourquoi.
Agnès sourit, son regard se perdant un instant dans celui de Rosalia.
— Peut-être qu'il se rappelle de quelque chose que toi, tu as oublié, dit-elle doucement.
Rosalia fronça les sourcils, légèrement déstabilisée par cette réponse.
— Je ne vois pas de quoi tu parles, répondit-elle avec un petit rire nerveux, tentant de briser la tension.
Agnès haussa un sourcil, mais elle n'ajouta rien. Elle se contenta de boire une gorgée de vin, son sourire énigmatique toujours présent.
Max, lui, posa sa tête sur les genoux d'Agnès, comme s'il partageait un secret que Rosalia ne pouvait pas comprendre.
Alors que le temps passait tranquillement, Agnès se leva de sa chaise, un sourire malicieux aux lèvres. Elle se tourna vers Rosalia, qui était encore en train de savourer son verre de vin.
— Tu sais, après tout ce qu'on a fait pour Wanda aujourd'hui, je me dis qu'on pourrait aller la voir ce soir, au spectacle. On l'a bien aidée à préparer, alors autant en profiter, non ?
Rosalia releva les yeux vers Agnès, une lueur de curiosité dans ses prunelles. Elle était d'abord un peu hésitante, mais l'idée de passer un moment tranquille avec Agnès, et de voir Wanda dans un autre contexte, commençait à lui plaire.
— Oui, pourquoi pas. Après tout, on a fait assez d'efforts pour l'aider avec tout ça, autant voir ce que ça donne. Et puis, je suis curieuse de voir Wanda en action, dit-elle avec un sourire en coin.
Agnès, visiblement satisfaite de la réponse, s'approcha un peu plus de Rosalia, les yeux pétillants d'enthousiasme.
— Parfait, je suis contente que tu sois partante. Ce sera l'occasion de passer un bon moment toutes les deux.
Rosalia hocha la tête en signe d'accord, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres.
— D'accord, allons-y alors. Mais attention, je risque de donner des commentaires... pas toujours très... élogieux sur ses tours de magie, avertit-elle, amusée.
Agnès rit, heureuse de cette complicité qui s'était installée entre elles.
— Ça ne me dérange pas. J'ai hâte de voir ça. Et qui sait, peut-être qu'on sera étonnées, ajouta-t-elle avec un clin d'œil.
Rosalia lui rendit son regard, son sourire se faisant un peu plus doux. Après tout, passer une soirée avec Agnès et Wanda, même si cela semblait un peu étrange au début, promettait d'être un moment agréable.
— Alors c'est décidé, on y va. Je suis curieuse de voir jusqu'où Wanda peut aller avec ses tours de magie.
Les deux femmes échangèrent un regard complice avant de se lever et de se préparer à partir. Agnès, qui était déjà prête, donna un dernier coup d'œil à la pièce avant de se tourner vers Rosalia, prête à partir.
— Allez, allons voir si Wanda a vraiment des talents cachés.
Rosalia lui sourit, et ensemble, elles sortirent pour rejoindre Wanda au spectacle.
༺♡༻
Agnès et Rosalia arrivèrent au lieu du spectacle, l'atmosphère vibrante de l'excitation des spectateurs impatients. Wanda était là, en train de se préparer, mais dès qu'elle aperçut ses deux amies, son visage s'illumina. Elle se dirigea immédiatement vers elles, et sans hésiter, elle les prit toutes les deux dans ses bras.
— Vous êtes enfin là ! s'exclama Wanda, heureuse de les voir. J'étais tellement stressée, je ne voulais pas que tout parte en vrille avant que Vision n'arrive.
Rosalia, un peu surprise par l'enthousiasme de Wanda, se laissa pourtant embrasser chaleureusement, tout en souriant doucement. Agnès laissa également Wanda l'étreindre, appréciant son énergie.
— Ne t'inquiète pas, tu vas tout déchirer, Wanda, dit Agnès avec un sourire rassurant. Tu es préparée, et ça va bien se passer.
Rosalia, voyant la nervosité dans les yeux de Wanda, posa une main douce sur ses bras. Wanda la regarda, un peu perdue dans ses pensées.
— Je... Je n'arrive pas à croire que Vision n'est toujours pas là, murmura-t-elle, ses mains tremblant légèrement. J'ai l'impression de manquer quelque chose, et je ne veux pas que ça se remarque.
Rosalia, toujours calme, prit alors les mains de Wanda dans les siennes, serrant doucement pour la rassurer. Leur regard se croisa, et Rosalia offrit un sourire apaisant.
— Wanda, tu n'es pas seule. Nous sommes là, et tout va bien se passer. Vision arrivera bientôt, et même si ce n'est pas parfait, tu as tout ce qu'il faut pour impressionner tout le monde.
Wanda sembla un peu plus détendue, son souffle se stabilisant alors qu'elle se concentrait sur la présence réconfortante de Rosalia. Elle hocha la tête, reconnaissant la bienveillance de ses amies.
— Merci, dit-elle, un peu plus sereine. Vous avez raison, je vais donner mon meilleur, avec ou sans Vision.
Agnès sourit, son regard complice croisant celui de Rosalia.
— Exactement. Et même si Vision est en retard, tu es prête. On croit en toi.
Rosalia, toujours près de Wanda, lui lança un regard malicieux.
— Et ne t'inquiète pas, si tu fais apparaître un lapin, je serai là pour applaudir le tour, ajouta-t-elle en plaisantant, un sourire amusé sur les lèvres.
Le rire de Wanda fusait, chassant peu à peu son stress. Elle se sentait entourée de soutien, prête à affronter la scène. Avant de se tourner pour se préparer à monter sur scène, elle jeta un dernier regard à Agnès et Rosalia, un sourire sincère éclairant son visage.
— Allez, c'est parti. Et merci, vraiment, pour être là.
Les deux femmes lui rendirent son sourire, et ensemble, elles prirent place parmi les spectateurs, prêtes à soutenir Wanda, et impatientes de voir ce qu'elle avait préparé.
Le spectacle commença, et l'éclairage de la scène se tamisa, attirant l'attention de tous les spectateurs. Wanda, un peu nerveuse au début, se redressa sur scène, et dès qu'elle commença à parler, elle capta immédiatement l'attention du public. Ses gestes étaient précis, son regard brillant de concentration. Les premiers tours de magie étaient simples, mais Wanda les exécutait avec une telle grâce que même les plus sceptiques semblaient être captivés.
Agnès, assise à côté de Rosalia, regardait le spectacle avec admiration. Elle était fière de Wanda, mais plus encore, elle était consciente de la connexion silencieuse qui se renforçait entre elle et Rosalia. Par moments, Agnès jetait un regard furtif à Rosalia, qui semblait plus concentrée sur Wanda que sur tout le reste, un léger sourire sur ses lèvres.
Rosalia, les yeux fixés sur la scène, se pencha légèrement vers Agnès, ses cheveux effleurant doucement l'épaule de cette dernière. Un petit geste, presque imperceptible, mais suffisamment proche pour qu'Agnès le remarque. Le contact, même léger, faisait naître une sensation agréable dans son ventre.
Agnès tourna doucement la tête vers Rosalia, un sourire timide sur les lèvres. Rosalia, sans dire un mot, la regarda avec un regard doux, presque apaisant, comme si elle partageait ce moment d'intimité dans le silence du spectacle.
— Elle est incroyable, murmura Agnès, tout en replaçant une mèche de cheveux de Rosalia derrière son oreille, un geste spontané mais rempli de tendresse.
Rosalia lui adressa un regard complice et un sourire.
— Oui, elle l'est, répondit-elle en hochant la tête, sa main effleurant discrètement celle d'Agnès sur l'accoudoir. C'est bien de la voir comme ça, confiante.
Agnès, un peu surprise par le geste de Rosalia, sentit un frisson léger parcourir sa peau, mais elle ne s'éloigna pas. Au contraire, elle laissa sa main en place, le contact aussi naturel que réconfortant. Elle savait que la magie de la scène était aussi forte dans l'air entre elles deux. Les deux femmes, tout en étant plongées dans l'univers de Wanda, étaient totalement présentes l'une pour l'autre.
Pendant que Wanda enchaînait ses tours avec fluidité et professionnalisme, Agnès et Rosalia restaient proches. À un moment, Wanda fit une pause, et le public applaudit, enthousiaste. Agnès tourna alors son visage vers Rosalia, son regard se posant sur ses lèvres, comme si elle cherchait un instant de plus à s'imprégner de la chaleur de cette proximité silencieuse.
Rosalia sembla remarquer son regard, et, un peu malicieuse, elle glissa doucement sa main dans celle d'Agnès, un geste simple mais chargé d'une tendresse qu'elles n'avaient pas besoin de dire.
Le moment était doux, suspendu entre l'illusion de la magie sur scène et la magie, beaucoup plus silencieuse, qui se tissait entre elles deux.
— J'ai vu la façon dont vous me regardez quand vous pensez que je ne le remarque pas, Agnès.
Agnès se figea, prise au dépourvu. Son cœur s'emballa légèrement, et elle détourna les yeux, une chaleur envahissant ses joues. Elle savait exactement de quoi Rosalia parlait, et pourtant, la reconnaissance de ce fait, à haute voix, la rendait légèrement mal à l'aise.
Rosalia, comme si elle savait qu'elle avait mis Agnès dans une position délicate, laissa un petit moment de silence planer entre elles, avant de poser sa main doucement sur celle d'Agnès, réconfortante mais ferme. Juste à ce moment-là, Wanda arriva vers elles, rayonnante et pleine d'énergie. Elle s'approcha immédiatement de Rosalia et Agnès, son sourire éclatant.
— Vous êtes formidables ! Vous avez vu ? C'était incroyable ! s'exclama Wanda, enthousiasmée par sa propre performance.
Avant même qu'elle puisse dire autre chose, Rosalia, sans hésiter, prit Wanda dans ses bras, la serrant chaleureusement.
— Félicitations, tu as été incroyable, Wanda. Vraiment, je suis impressionnée. C'était au-delà de mes attentes, dit Rosalia, tout en la félicitant sincèrement.
Wanda, un peu surprise mais clairement touchée par l'enthousiasme de Rosalia, la serra en retour.
— Merci ! Ça me fait tellement plaisir que vous soyez là. Ça a été un peu stressant, mais maintenant que c'est fini, je me sens tellement bien !
Agnès, quant à elle, se sentit soudainement en décalage. En voyant la scène se dérouler devant elle, elle ressentit une petite pointe de jalousie qu'elle n'avait pas anticipée. Elle observait les deux femmes, la façon dont Rosalia était si ouverte, si chaleureuse avec Wanda.
Ne voulant pas se laisser submerger par ce sentiment, Agnès décida qu'il était préférable de prendre un peu de recul. Elle se leva alors, secouant légèrement la tête pour se débarrasser de ses pensées.
— Je vais chercher à boire quelque chose, dit-elle d'un ton un peu distrait, sans attendre de réponse.
Elle se dirigea vers le bar du coin, essayant de reprendre son calme. La scène avec Rosalia et Wanda, leur proximité évidente, lui avait laissé une sensation étrange. Mais elle était déterminée à ne pas se laisser envahir par cette jalousie qui, elle le savait, risquait de compliquer les choses pour elle-même.
Elle se dirigea donc vers le comptoir, se concentrant sur la commande, espérant que l'alcool l'aiderait à alléger son esprit.
Quelques minutes plus tard, elle revint avec une boisson, mais quelque chose dans son regard avait changé.
— Tiens, Wanda, j'ai pris un verre pour toi, dit-elle d'un ton léger, tout en lui tendant le verre.
Wanda lui sourit et accepta le verre, ses yeux brillants de gratitude pour la gentillesse d'Agnès.
— Merci, Agnès, c'est vraiment gentil de ta part, répondit Wanda en levant son verre pour trinquer.
Agnès hocha la tête, son sourire restant un peu plus froid. Elle se tourna ensuite vers Rosalia, et son regard se fit plus insistant, presque intrigué. Rosalia, toujours souriante et détendue après le spectacle, prit le verre que lui tendait Agnès.
— Voilà, Rosalia, un petit rafraîchissement pour toi aussi, dit Agnès, sa voix presque chantante, mais ses yeux trahissant une lueur de tension.
Rosalia, sans rien suspecter, sourit et prit le verre.
— Merci, Agnès. Ça m'aide à me détendre après tout ça, dit-elle en buvant une petite gorgée, son regard se perdant un instant dans la foule.
Agnès se contenta de la regarder, un léger sourire aux lèvres, alors qu'elle attendait de voir si l'antidote qu'elle avait discrètement ajouté dans le verre de Rosalia allait commencer à faire effet. Ce n'était pas un antidote ordinaire. Il avait été conçu pour raviver des souvenirs enfouis, des souvenirs que Rosalia avait perdus, liés à leur histoire commune.
Pendant ce temps, Wanda était absorbée par la conversation avec quelques invités. Elle ne remarquait pas vraiment l'échange entre Agnès et Rosalia, trop concentrée sur sa victoire de la soirée.
Quelques minutes passèrent dans une atmosphère détendue, mais Agnès ne cessait de guetter la moindre réaction de Rosalia. Elle savait que l'antidote n'était pas une solution parfaite, mais elle espérait que cela pourrait être le déclencheur dont elle avait besoin pour faire revenir les souvenirs perdus de Rosalia.
Rosalia, après avoir pris quelques gorgées de son verre, haussait les épaules et souriait tranquillement, sans aucune manifestation particulière. Elle se tourna vers Agnès, un sourire doux sur les lèvres.
— Hmm, ce vin est vraiment agréable. Merci encore, Agnès, dit-elle, d'un ton détendu.
Agnès baissa légèrement les yeux, le cœur serré, se forçant à afficher un sourire. Elle se sentait perdue. Les souvenirs qu'elle espérait faire resurgir n'étaient toujours pas là. Rosalia semblait indifférente à tout cela, comme si elle n'avait rien perçu de l'onde de changement qu'Agnès avait espéré provoquer.
— De rien, Rosalia, répondit Agnès, sa voix trahissant à peine sa déception. Je... je suis contente que tu l'aimes.
Elle s'éloigna un peu, essayant de masquer sa frustration. Wanda, de son côté, était toujours absorbée par ses invités et ne semblait pas avoir remarqué l'échange entre elles. La soirée continuait, et Wanda, joyeuse et vivante, apportait une énergie nouvelle à la pièce. Agnès, quant à elle, choisit de s'éclipser discrètement, laissant Rosalia dans ses pensées, et chercha à se détendre à l'écart. La déception se mêlait à un espoir fragile, et la soirée, bien que calme, était devenue bien plus complexe pour elle que ce qu'elle avait imaginé au départ.
༺♡༻
Agnès rentra chez elle, son esprit tourmenté par tout ce qui s'était passé durant la soirée. Elle avait espéré que l'antidote fonctionnerait, qu'elle retrouverait Rosalia, qu'elle raviverait la mémoire de la femme qu'elle avait tant aimée. Mais en revenant à la réalité, tout cela semblait irréel. Le sentiment d'échec l'enveloppait comme une brume épaisse, la rendant plus lourde à chaque pas.
Lorsqu'elle entra dans son appartement, tout lui semblait terne, comme si le monde autour d'elle avait perdu de sa couleur. Le contraste avec la soirée joyeuse qu'elle venait de quitter était saisissant. Elle enleva ses chaussures d'un geste mécanique, se dirigeant sans réfléchir vers une vieille armoire dans le coin de la pièce, une armoire pleine de souvenirs qu'elle avait soigneusement cachés, dans l'espoir de les oublier un jour.
Agnès ouvrit lentement la porte du meuble, ses mains tremblantes. Elle savait ce qu'elle allait trouver, mais l'appel des souvenirs était irrésistible. À l'intérieur, des caisses en carton empilées, chacune renfermant un passé qu'elle n'avait jamais voulu oublier, mais qu'elle avait été forcée d'archiver, de cacher sous une couche de poussière.
Elle se laissa tomber à genoux devant les caisses et en ouvrit une, découvrant une vieille pile de photos. Des images de leur histoire, de chaque époque, chaque siècle qu'elles avaient traversé ensemble. Agnès les avait gardées précieusement, chaque photo étant un fragment d'une vie qu'elle avait perdue, mais qu'elle avait continué à chérir dans son cœur. Ses yeux se remplirent de larmes alors qu'elle prenait une photo en particulier : Rosalia et elle, jeunes, rayonnantes, debout sous un ciel éclatant de soleil, dans une époque révolue.
Les souvenirs étaient si vifs, si poignants. Il n'y avait pas que des images joyeuses. Il y en avait aussi des sombres, des instants où elles s'étaient séparées, où leurs chemins avaient pris des directions opposées. Ces photos n'étaient pas seulement des souvenirs heureux, mais aussi les témoins d'une souffrance qu'Agnès avait portée pendant des siècles, dans l'espoir de pouvoir un jour la partager avec Rosalia, quand elle se souviendrait enfin de tout.
Elle s'effondra, les larmes roulant sur ses joues. Le bruit de ses sanglots se mêlait aux souvenirs douloureux qui envahissaient son esprit. Elle avait espéré que le temps finirait par effacer cette douleur, qu'avec chaque nouvelle vie, elles se retrouveraient et qu'elles pourraient recommencer, mais à chaque fois, quelque chose intervenait. Le fil du temps, les pertes, les réincarnations qui effaçaient peu à peu leurs souvenirs communs.
Elle ferma les yeux un instant, prenant une profonde inspiration, mais les images continuaient de la hanter. Une autre photo la saisit. Rosalia, plus âgée cette fois, leur dernier jour ensemble dans une époque où elles avaient cru que rien ne pourrait les séparer. Mais même alors, les circonstances avaient décidé autrement.
"Pourquoi ne te souviens-tu pas ? Pourquoi ?" murmura-t-elle dans l'obscurité de la pièce, sa voix brisée. "Pourquoi dois-je toujours te perdre, encore et encore ?"
Ses mains tremblaient en feuilletant les photos, chaque image la percutant comme un coup de poignard dans le cœur. Elle se sentait épuisée, écrasée par l'injustice du destin, incapable de changer le cours des choses, incapable de faire revenir ce qui avait été perdu. Elle avait cru qu'une chance, une opportunité suffisait, mais elle était peut-être trop tard. Trop de temps avait passé.
Les souvenirs de leurs vies passées étaient à la fois une bénédiction et une malédiction. Ils avaient partagé tant de choses, vu tant de mondes ensemble, mais cela ne comptait plus. Rien n'était pareil maintenant, et Rosalia ne la reconnaissait plus. Elle ne se souvenait même pas des moments qu'elles avaient partagés, de l'amour qui avait traversé les âges.
Agnès laissa tomber les photos, se recroquevillant dans un coin de la pièce, son cœur lourd de tristesse et de douleur. Elle savait qu'elle avait beau tenter de la faire revenir, il y avait des choses que l'on ne pouvait pas réparer. Pas après tout ce temps. Pas après avoir perdu quelqu'un de si précieux, encore et encore.
Les larmes continuaient de couler, et Agnès n'essaya même pas de les arrêter. Agnès se redressa lentement, les larmes toujours présentes, mais un tourment plus sombre s'insinuant dans son cœur. La douleur de voir Rosalia, sa Rosalia, sans souvenirs d'elles, commençait à se transformer en quelque chose de bien plus cruel. Chaque pensée, chaque souvenir la poussait un peu plus près du gouffre, de l'amertume. Elle se leva d'un coup, les photos éparpillées autour d'elle, sans vraiment s'en rendre compte. Un poids lourd et froid envahissait son âme.
Elle fixait les images de Rosalia, mais elles n'étaient plus celles de l'amour qu'elles avaient partagé, ni même celles de la beauté de leurs vies passées. Maintenant, elles n'étaient que des symboles d'une injustice qu'elle ne pouvait plus supporter. Chaque fois que ses souvenirs la ramenaient à la douleur, à la perte, elle ressentait une colère grandissante, une rage sourde qui faisait monter la bile dans sa gorge.
Agnès inspira profondément, mais cette fois-ci, ce n'était pas pour apaiser la douleur. C'était pour raviver une flamme, une flamme de vengeance, de rétribution. Elle se tourna vers la fenêtre, les poings serrés. Wanda... Wanda avait joué un rôle dans tout cela. Elle l'avait vue, elle l'avait observée, comment elle s'était rapprochée de Rosalia. Agnès savait que Wanda n'avait pas compris toute l'ampleur de ce qu'elle avait fait. Elle ne savait pas à quel point elle avait déstabilisé Rosalia, à quel point elle avait effacé des années de souvenirs, les rendant presque impossibles à retrouver.
Wanda n'avait aucune idée de la profondeur du lien qui unissait Rosalia et Agnès. Elle ne savait pas ce que cela faisait de perdre quelqu'un de cette manière, encore et encore. Et maintenant, en venant s'immiscer dans leur vie, en encourageant cette fausse normalité, elle ne faisait qu'ajouter à la douleur d'Agnès. Elle savait que Wanda n'était pas responsable de ce qu'il s'était passé dans le passé, mais elle était responsable de ce qui se passait maintenant. Et cela suffisait pour qu'Agnès la haïsse, profondément.
Le regard d'Agnès se durcit alors qu'elle s'imaginait faire payer Wanda pour sa naïveté, pour son intrusion dans quelque chose qu'elle ne comprenait pas. Elle serra les dents, la colère bouillonnant à chaque pensée qui se formait dans son esprit. Elle se jura qu'elle ne laisserait pas cette chance lui échapper, qu'elle ne permettrait pas à Wanda de continuer à vivre cette vie en croyant que tout allait bien.
"Elle doit comprendre", murmura-t-elle, la voix tremblante de rage. "Elle doit comprendre que ce qu'elle fait n'a pas de prix. Elle a joué avec des choses qu'elle ne comprenait pas."
Les gestes d'Agnès se firent plus nerveux alors qu'elle se dirigeait vers la vieille commode, ses mains tremblantes de rage. Elle n'était plus simplement triste ; elle était furieuse. Une part d'elle, celle qui avait été loyale et douce, s'était effacée, engloutie par cette souffrance qu'elle portait depuis trop longtemps.
Elle ferma les yeux un instant, se concentrant sur l'idée qu'elle se faisait de la revanche, qu'elle avait maintenant en tête. Peut-être que Rosalia finirait par se souvenir, mais dans l'intervalle, elle ferait en sorte que Wanda paye pour avoir perturbé cet équilibre fragile. Elle savait que c'était de la vengeance, mais ce sentiment de trahison l'aveuglait. Elle n'en pouvait plus de voir Rosalia si proche de Wanda, si naïve, ignorant tout ce que ces gestes avaient ravivé en Agnès.
Agnès s'approcha du miroir. Son reflet la regardait, une lueur froide dans ses yeux, et, pour la première fois depuis très longtemps, elle se sentit puissante. Sa haine pour Wanda, son désir de faire en sorte que cette situation ne reste pas impunie, lui donnait une nouvelle énergie, une force qu'elle n'avait pas ressentie depuis des siècles. Mais cette force n'était pas l'amour, c'était la vengeance.
Elle se tourna brusquement, déterminée à mettre son plan à exécution, prête à manipuler chaque situation, chaque rencontre avec Wanda. "Je vais la faire souffrir", pensa-t-elle, "je vais lui faire comprendre ce que c'est que d'aimer et de perdre."
Agnès savait maintenant que tant que Rosalia ne se souviendrait pas, elle serait prête à tout pour retrouver ce qui lui appartenait.
~~<><><><>~~ FIN~~<><><><>~~
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Épisode 8
Quand il a pris la décision de partir, son esprit s'était mis à tourner sans arrêt dans sa tête.
Tous ces instants de bonheur qu'il avait passé en compagnie d'Amelie, toutes ces balades dans la nature, elle adorait se promener dans la nature.
Gabin revivait tout cela dans sa tête et ce n'était pas pour lui déplaire, il s'y complaisait, il laissait même filer les idées qui subrepticement s'incrustaient dans sa tête.
Maintenant qu'elle n'était plus la physiquement mais présente dans son esprit , il avait décidé pendant ces quelques jours de battement avant son départ de profiter encore un peu d'Amelie. Il savait que sa disparition était le résultat de ses propres choix.
Il avait décidé qu'il ferait exploser son appartement avant de partir vers d'autres aventures, personne ne retrouverait le corps d'Amelie, elle était à lui et à lui seul.
Gabin toujours assit dans son fauteuil se calma pour retrouver un poul régulier, il voulait effacer toutes traces de lui et d'Amelie. Cette histoire lui appartenait pour toujours et il n'avait pas l'intention de la partager.
Lui garderait cela, plus son amour éternel, le goût de sa peau et les repas qu'il s'offrait comme un rite sacrificiel.
Lui aurait tout cela, les autres n'auront rien.
Gabin écoutait toujours Chopin, le piano égrenait dans sa tête un son avec frénésie chaque note teintait son cerveau de blue. Il imaginait le virtuose penché sur son piano absorbé par le son et le rythme. Il imagine Chopin en transe caressant les touches avec ferveur devant un public en délire. Il remplit de nouveau son verre en méditant sur la musique classique, il se souvint qu'il partageait ce plaisir avec Amelie.
Plus tard, debout dans sa cuisine , il regardait la tranche de foie et les légumes frémir dans la poêle. Il regardait cette préparation avec amour, il était conscient que c'était un morceau d'Amelie qu'il allait déguster, puis digérer. Pour l'occasion il avait pris une bouteille de Bordeaux blanc un peu capiteux pour accompagner ce délicieux repas. Il avait acquis de la vaisselle au design conçu par un artiste de renom, les motifs étaient étranges et attirants à l'œil. Gabin admirait ses assiettes, il n'etait pas mécontent de les avoir acheté.
Maintenant Gabin savourant doucement son plat en écoutant Chopin. Il se sentait détendu oubliant le temps de ce repas ses soucis et ses tracas.
Vautré sur son canapé, il pensa que ces murs n'entendraient plus cette musique, ne seraient plus spectateurs de ses faits et gestes.
- hey merde ! gueule t-il
- On peut pas tout avoir ! brailla Gabin
Gabin se servit un autre verre d' eau de vie histoire de se mettre en forme tout en continuant à écouter la musique qui inondait le salon.
Il se souvient qu'un après midi ils avaient écouté un concert de piano orchestré par un célèbre maître. Il se souvient qu'elle s'était blottie contre lui, ils avaient écouté toute l'œuvre dans cette position. C'était à cette même place, sur ce canapé mais à un autre moment. Un moment sacré.
- comme le temps passe ! s'exclama Gabin
Il avait gâté Amelie peut être avec un peu trop de zèle, il en était conscient mais pour lui l'amour n'a pas de limite.
Il se resservit un verre d'eau de vie , ça lui faisait du bien , il aimait ce film qui passait dans sa tête, ces deux acteurs et leurs jeux. Gabin aimait les images et les dialogues . C'était un film intense, cette tranche de sa vie avait vraiment été intense.
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#Aurelien favere
Auteur compositeur interprète, musicien multi-instrumentiste, il termine en 2013 son 1er album intitulé « D’une Autre Galaxie » qu'il signe sous le nom de Shamanluna. Après des études de piano classique, Aurélien Favère étudie à L’IMFP, école de Jazz de Salon de Provence en France et revient en Guadeloupe en 2001 pour y composer.
La musique d'Aurélien Favère est inclassable, son univers est bien a lui, planant, psychédélique, progressif, relaxant, poétique, libérateur, hypnotique, mystérieux et shamanique, aux couleurs lumineuses délirantes.
Fusion de différents styles: rock progressif, ambiance, new wave, electro, classique, chill out, instrumental et musique de film.
#aurelien favere#slow rock#psychedelic rock#shamanluna#melodic rock#progressive rock#peacefull music#psychedelic music#shamanluna radio#70s#prog music#new age#relaxing music#relaxing rock#singer songwriter
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Je voudrais que quelqu’un rentre dans ma vie et là renverse de part en part, qu’elle fasse trembler les meubles, voler les assiettes, que les draps se tordent comme des voiliers en pleine tempête. Je voudrais qu’on soit deux et puis toute seule en même temps, qu’on fasse équipe pour tout, partout, tout le temps que les gens parlent de nous en disant :
« Eux », « Eux.. la », les indissociables, les amoureux, les relous qui passent leurs temps a se dire « je t’aime » avec les yeux. Je voudrais qu’ont passe nos nuits à faire l’amour et nos journées à se raconter nos soirées, je voudrais qu’on le fasse dehors, au cinéma, dans l’ascenseur. Je voudrais connaître sa peau par cœur, qu’il soit la carte et le voyage, qu’il soit le ciel puis le paysage.
Je voudrais qu’on se disent « pour toujours » et que « pour toujours veuille dire jusqu’à la fin », qu’il n’existe plus d’horaires, ni de fuseaux, que la seule horloge qui compte soit celle qui palpite sous nos os et que si même un jour ça crée une sacrée putain de triste histoire, on se sépare, qu’on soit foutrement heureux d’avoir vécu l’éternité à deux.
Je voudrais que le temps s’arrête, je veux m’endormir avec lui dans mes bras et me réveiller dans les siens. Je veux qu’on rie de tout de rien et qu’à chaque fou rire, je retombe amoureuse.
Je veux qu’on se pardonne les erreurs, les maladresses et les faux pas, qu’on dise « Peu importe ce que tu feras, je sais que tu le feras pour moi pour me retrouver » pour me saisir, me réveiller, pour me crier « Je t’aime », « J’ai peur », « Tu me manques », pour ne pas se perdre. » Même si il arrive parfois que pour ne pas se perdre il faille s’égarer.
Je voudrais qu’on fasse nos courses comme des enfants puis qu’on finissent par commander, qu’on danse des slows dans le salon, qu’il me marche sur les pieds, je voudrais que les voisins ralent à grands coups de manche à balais, je veux qu’on ai nos classiques, nos blagues privées, nos musiques, des trucs qui rendent jaloux tous les potes en soirées. Je voudrais qu’on soit se couple insupportable qui s’embrasse dans la rue puis dans le métro et même les escaliers.
Je voudrais qu’on se regarde dormir, passer des heures a l’effleurer a lui dire qu’il est beau.
Je voudrais qu’il m’attende à la gare parce que c’est triste une gare sans lui.
Je voudrais qu’on passe notre temps à se murmurer des choses, comme si c’étaient des secrets, comme si ça nous appartenait, comme si le monde ne le savait pas.
Je voudrais qu’il me tienne par le bras quand on s’en va marcher et que rien que ça suffise à me faire mouiller, qu’on parle de tout, que l’on se connaisse par cœur, que son histoire je l’aime comme on aime un roman, je veux qu’à chaque fois que je le vois je me dise… « Putain.. Je pourrais mourir. J’ai tout vécu. Vraiment. »
Je voudrais qu’il m’inspire, qu’il soit ma muse et mon modele, je voudrais qu’il soit dans toutes les phrases ou j’emploie « il » et qu’à chaque foutu poème je ne fasse que bégayer sa beauté. Je voudrais qu’on s’aime, qu’un jour on ai des gamins qui nous ressemblent. Parce que les enfants, c’est de l’amour qui ne se sépare pas, c’est de l’amour après l’amour. C’est tout. Les enfants c’est l’union réussie de deux corps qui échouent.
Je voudrais qu’il soit mon mari, mon copain, mon mec, mon amoureux, mon meilleur ami, mon partenaire, mon complice, mon âme sœur, ma raison, mon relecteur aussi, ma rose, mon armure. Je voudrais qu’il soit ma maison et je voudrais être tout ça pour lui aussi. Puis même séparé que ça sonne toujours un peu vrai. Que si un jour on se croise dans la rue, redevenus deux inconnus, on puisse se dire dans un sourire muet : « J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelques fois, mais j’ai aimé. »
.Félix Radu~
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Anatole France, ou ''De la bêtise des hommes''...
En cette année 2024, on aurait dû fêter le centenaire de la disparition d'Anatole France, de son vrai nom Jacques Anatole François Thibault. Mais ce centenaire ne sera pas célébré par la République si injuste envers les meilleurs de ses enfants, et envers le talent (et l’œuvre) de cet immense écrivain, adulé en son temps, puis ''dézingué'' par la Gauche –dont se recommandait cet ami de Zola-- au point d'être qualifié de ''l'écrivain le plus insulté de France'' par Marianne (référence relative !)..
Nous, insensibles aux modes, au ''politiquement correct'' (qui l'est surtout scatologiquement !) et rebelles à toute pensée qui n'en est pas une, nous allons, à notre habitude, nous pencher sur les vraies valeurs et les vraies beautés. Mais comme je pense que vous avez très peu fréquenté ce grand homme (comme moi jusqu'à très récemment, quand j'ai eu la chance de ''tomber sur'' l'Ile aux Pingouins), je vous propose un moment avec cet immense talent honteusement conspué –il fut tout de même un des rares Prix Nobel de littérature français, rejoignant Bergson, Romain Rolland, Gide et Mauriac-- pour parler de lui. Puis nous plongerons dans la fange de la littérature de Gauche qui, fidèle à ses mauvaises habitudes, ne lâche jamais un ''ennemi de classe'', même longtemps après sa mort – voyez leur haine toujours renouvelée pour Napoléon ou SS Pie XII !
Pour cet homme qui se situait plutôt à Gauche –mais à cette époque, ce positionnement ne signifiait pas, beaucoup s'en faut, les remugles qu'une vision soit rouge soit rose de notre temps en décadence avancée-- publier une "Histoire contemporaine" où il décrit de manière très fine les problèmes de son temps tels qu'il les perçoit en animant le Salon de Mme de Caillavet, son égérie (dont nous reparlerons plus loin), puis "L'île des pingouins" (1908), qui est une vive critique des professionnels de la politique, est une prise de risque qui, en 2024, interdirait les médias officiels à celui qui oserait écrire : ''Tous les partis qui se trouvent exclus du gouvernement réclament la liberté parce qu'elle fortifie l'opposition et affaiblit le pouvoir. Pour cette même raison, le parti qui gouverne diminue la liberté autant qu'il peut et fait, au nom du peuple souverain, les lois les plus tyranniques. Car il n'y a point de charte ni de loi qui garantisse la liberté contre les entreprises de la souveraineté qui se dit nationale (NDLR : au point de refuser tout référendum !). Le despotisme démocratique n'a point de bornes, en théorie'' .
Son œuvre littéraire est classique et beaucoup moins progressiste que ses engagements politiques et humanistes. C'est peut-être ce qui a gêné les cuistres et les aigris des années 1920. Mais son sens de la formule est tellement aigu que c'est son scepticisme et son ironie qui rendent ses livres si intéressants pour nous... et si insupportables pour qui ne tolère aucune remise en cause de sa suprématie intellectuelle (surtout si elle ne correspond à rien de vrai !). Parmi les tout premiers, il ose décrire un monde que le fanatisme rend cruel. Par exemple : "On croit mourir pour la Patrie et on meurt pour des industriels". Ou ''Il est dans la nature humaine de penser sagement et d'agir de façon absurde''. En 2024, on a oublié le premier terme !
Il est élu à l'Académie Française en 1896 et reçoit le Prix Nobel de littérature en 1921, mais c'est en 1908 qu'il écrit ''L'île aux Pigouins'', roman historico-satyrique. Le ''script'' est étrange : par une succession de hasard trop longs à raconter, toute une.population de pingouins se retrouve transformée en hommes, d'où notre présence sur Terre : Adam et Eve étaient des pingouins, à l'origine ! Et Anatole France peut alors librement ré-écrire une histoire : la nôtre, qui serait la leur... Tout y passe : les origines, les temps anciens, le Moyen Âge, la Renaissance, les temps modernes et même l'histoire future. Reflet de l’histoire de la France, l’histoire des Pingouins n’est qu’une suite de misères, de crimes et de folies et ''ce qui est vrai pour eux l'est pour toutes les nations''...
L’Histoire future décrit le monde contemporain et sa fuite en avant, comme un monde ''où le goût du beau s’est perdu '', où règne ''une laideur immense et régulière'' et où ''la condition humaine hésite entre constructions démesurées, destructions et régressions''. Anatole France écrit en 1908 : ''On ne trouvait jamais les maisons assez hautes... Quinze millions d’hommes travaillaient dans la ville géante''... Et il décrit un cycle infernal qui rend improbable l’idée d’une société future meilleure, ce qui est insupportable à toute la peuplade des faux intellectuels qui ne vivent et ne s'engraissent que grâce à leur adoration pour le dieu Progrès...
Écrivain libre mais citoyen se disant engagé à gauche, Anatole France ne se prive pas d'étriller, dans l'air du temps, les partis cléricaux de l'époque, et de déconstruire les légendes dorées de la dévotion catholique traditionnelle, à un moment où la séparation de l'Eglise et de l'Etat voulue par l'anticlérical-issime Emile Combes va déchirer pour longtemps la Nation française en deux camps jusqu'ici irréconciliables (cf. les mesures vexatoires ou liberticides que pond la Gauche, chaque jour, pour nuire à toute authentique Liberté, notamment en matière d'enseignement !).
Attaqué à sa mort par les plus grandes plumes du pays, le prix Nobel de littérature 1921 cristallisera autour de son œuvre toutes les rancœurs des soi-disant modernes (Rappel : ''l'écrivain le plus insulté de France''). Ce n'est pas par hasard que nos lycéens ne savent rien de ou sur lui : cette lacune ne s'explique pas seulement par leur ignorance abyssale, mais parce qu'ils sont l'ultime maillon d'une longue chaîne d'oubli, le dernier relais de la haine. Aucun écrivain français des temps modernes n'a été l'objet d'une exécration aussi profonde et aussi unanime qu'Anatole France qui, lui-même, ''détestait haïr''. Mais c'est justement cette douceur, cette indulgence, cette tendresse même qui devinrent l'emblème d'une tiédeur dont le progressisme n'a pas voulu. Pour vomir les tièdes, la Gauche a toujours eu besoin de boucs émissaires.
J'émets l'idée que le progressisme a vu ou deviné en lui son antithèse. Or, pour se faire résolument moderne, tout ce qui est ancien doit être rejeté et haï. Cette haine est née le jour-même de sa mort. Jusque là adulé partout et par tous (Zola, Maurras, Blum et Jaurès l'ont aimé et encensé), il fit ensuite l'unanimité contre lui. Indignité ultime pour ses détracteurs, le jour même de sa mort, la soi-disant ''intelligentzia'' du jour, ''les surréamlistes'', des Breton, Aragon, Eluard, Drieu, Delteil.... ont diffusé un tract contre celui qu'ils abhorraient. Son titre ? "Un cadavre". Son parti pris ? Le scandale et l'excès : "C'est un peu de la servilité humaine qui s'en va", "Avez-vous déjà giflé un mort ?", "Refus d'inhumer"... ''le limité, le peureux,le spéculateur à la manque, le niais''... Seules de telles outrances dans l'outrage pouvaient renverser une telle idole, qui ne s'en est pas relevé.
Plus honteux encore : son successeur à l'Académie, Paul Valéry, refusa de prononcer son nom lors de son éloge funèbre, dans son discours de réception, contournant toute louange pour en faire un blâme implicite. D'ailleurs... "quand on songe au cynisme d'Anatole France, qui vit publiquement aux crochets d'une juive, (sa maîtresse en titre, Simone de Caillavet, était juive par sa mère) et dans le milieu imaginable des dames littéraires israélites, les Stern, les X et Y, etc. !" écrit-il à Gide, en janvier 1898. C'est-y pas de l'anti sémitisme, ça, Madame ?
Céline, toujours modéré en diable (!), ira encore plus loin : "Anatole, plus vicieux et salope que les autres, était pertinemment enjuivé". Et Gide l'abomine : ''France est illisible : il représente le passé, et son style "demi-coupole", sans le moindre "tremblement", me révulse''. Romain Rolland méprise ses complaisances de vieillard pendant la Grande Guerre. Anatole France devient le symbole d'une littérature faisandée, où la compréhension devient compromis. Le rejeter violemment devient un passage obligé,et le rituel propitiatoire qui placera tout ''suiviste'' du bon côté de la modernité. Mais ça, on connaît : c'est notre quotidien !
En effet, comment ne pas établir un parallèle avec la praxis en cours, qui ostracise et ''met à l'index'' n'importe qui qui professe –en ayant en général raison contre la masse hurlante des cons-- une idée qui n'est pas autorisée par, justement, les mêmes ? C'est à cause de cet alignement sur le pire des pratiques de la Gauche que je voulais vous parler de ce centenaire oublié...
H-Cl.
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