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Contemporary Home Office - Built-In Inspiration for a small contemporary built-in desk light wood floor and beige floor home office library remodel with gray walls and no fireplace
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Dette.
Tinworth, 30 août 2002. Le village de Tinworth, partagé entre la magie des sorciers et la conformité des Moldus, semblait encore endormi ce matin-là. Le soleil levant illuminait les rues pavées, la végétation et les petites maisons classiques et individuelles de ce quartier tranquille et encore peu éveillé. Le numéro 16 d'une petite ruelle au nom effacé par les années paraissait plus animé que les autres. Petite maison aux murs blancs et gris, aux tuiles rouges usées et un peu branlantes, elle appartenait depuis une quinzaine d'années à Sibylle Trelawney, une femme que ses voisins, qu'ils soient Moldus et sorciers, qualifiaient tous de folle. Femme étrange et prétendant posséder le don de voyance, Sibylle portait toujours un châle sur ses cheveux bruns, tandis que ses bras débordaient de colliers et de bagues. Ses yeux, d'une étrange couleur marécageuse, étaient agrandis par ses lunettes rondes et proéminentes. Personne ne la connaissait vraiment, mais quelques voisins bien informés savaient qu'elle avait une fille, et un mari qui l'avait quittée. Le sens de ce dernier mot partageait les curieux : s'étaient-ils séparés, ou Aaron était-il mort ? Seules les Trelawney avaient la réponse.
Dans sa chambre, la petite Amara entrouvrit les stores, laissant la lumière du jour pénétrer dans la maison. Ses yeux chocolat clignèrent plusieurs fois, aveuglés par le soleil estival. Ces matins étaient les plus difficiles ; s'éveillant de ses songes, la petite fille croyait que tout allait bien, avant que le ciel lui tombe à nouveau sur la tête.
La petite brune sortit de sa chambre et se rendit à la cuisine, pour préparer son petit-déjeuner. Avant, c'était ses parents qui s'en occupaient, mais il fallait bien que quelqu'un le fasse désormais. Amara passa devant un miroir, accroché dans le couloir. Un vieux miroir défraîchi qui lui renvoyait l'image d'une fillette vulnérable, désespérément seule, en quête de repères. Ses traits fins étaient attristés, ses yeux vides. La fillette se demanda à qui elle ressemblait. Son corps portait la marque de sa mère et de son père à la fois. Son âme, elle, était également un mélange. Sauf que les traces laissées s'apparentaient à des cicatrices.
Car tout avait changé, tout ce qu'Amara connaissait et chérissait. La complicité de ses parents, les balades à vélo dans la forêt, les démonstration de magie de son père et celles de divination de sa mère. Les câlins, les marques de tendresse. Elle aurait tout donné pour une étreinte avec son père. Pour que ses bras chauds l'enlacent à nouveau. Pour sentir une nouvelle fois son odeur cannelée. Mais cela lui était impossible. Aaron était parti, parti dans un ailleurs où elle ne pouvait le rejoindre. Enfin, si, elle le pouvait... Amara l'avait envisagé une fois. Mais s'y refusait. Elle resterait pour sa mère. Pour Sibylle qui voyait des présages de mort dans une chaussette trouée, mais qui n'avait rien vu venir, même pas le funeste accident qui avait coûté la vie à son époux.
Amara se détourna du miroir, et continua de marcher à pas de loup dans le couloir. Passant devant le salon, elle entendit un bruit, et fit lentement volte-face. Dans le séjour où régnait le désordre, avachi sur le canapé bleu roi, sa mère marmonnait, dans un état de semi-conscience. Une bouteille de whisky Pur-Feu était encore dans sa main, et quatre identiques jonchaient le sol, toutes vides et l'une d'elles brisées.
Sous les yeux de sa fille, qu'elle n'avait pas encore remarquée, Sibylle reprit une nouvelle lampée de whisky, avant de sombrer, sa boisson lui échappant des mains et se répandant sur le sofa. Se mordant la lèvre, le regard triste et lointain, Amara avança doucement vers elle. Elle l'observa quelques instants. Ses cheveux, sales et désordonnés, étaient vagueument maintenus par une espèce de turban. Des bijoux et des châles ornaient ses bras et son cou. Ses lunettes rondes lui tombaient presque du nez, et de fortes effluves d'alcool émanaient de chaque pore de sa peau livide.
Hésitant toujours, la petite fille se pencha sur sa mère et enfouit sa tête dans son cou. Quelques larmes lui échappèrent et coulèrent le long de ses joues, puis elle s'écarta. Sibylle grommela le prénom d'Aaron, ce qui ne fit que pleurer Amara davantage. S'essuyant les yeux, elle recula en ne cessant de regarder sa mère, coquille vide recroquevillée sur le canapé, évoluant dans un monde qui n'appartenait qu'à elle. Un monde parfumé au whisky Pur-Feu. Incapable désormais de s'occuper de sa fille, de l'aimer et de la protéger comme avant. Et Amara se sentait chargée d'un devoir envers sa mère. Quelque chose qu'elle devait à Sibylle, à Aaron. Elle devait protéger sa mère comme son père ne pouvait plus le faire. La seule certitude qui la maintenait debout, alors que son monde s'était effondré.
Car tout avait changé…
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Chevrolet Bolt EUV, Salon de Toronto et Cadillac XT4
Le 22 février 2023
Il y a longtemps que je l’attendais, cette petite Bolt EUV. Ce n’est pas la première fois que je traite la Bolt mais dans ce format EUV, c’est du tout nouveau. Car, voyez-vous, la EUV est toute nouvelle sur le marché. Au départ, ce petit VUS (si c’en est un) repose sur la plateforme et la technologie que l’on retrouve également sous la voiture Bolt originale. Cela veut donc dire qu’il s’agit ici d’une voiture urbaine à moteur électrique et traction avant…seulement. En effet, il n’y a pas d’option de traction intégrale disponible avec la EUV.
La plus petite voiture électrique de GM est cette Chevrolet Bolt EUV. (Photo Éric Descarries)
En ce qui a trait au design extérieur de la Bolt EUV, son appréciation est selon le goût individuel de chacun. Personnellement, je la trouve plus jolie et d’un dessin plus équilibré que celui de la voiture Bolt. D’ailleurs, plusieurs observateurs m’ont passé la même remarque. Une chose est certaine, personne ne l’a trouvée laide.
La Bolt EUV vue de l’arrière. (Photo Éric Descarries)
Si l’on pénètre à l’intérieur (ce qui est facilité par des portes relativement grandes), on remarque immédiatement qu’il s’agit d’un véhicule économique avec une finition un peu limitée. Le tableau de bord est très simple, comme pour la plupart des autos électriques. En vérité, le conducteur n’a pas besoin de plusieurs instruments comme c’en est le cas avec un véhicule à moteur thermique. Il n’a besoin que de l’indicateur de vitesse et la jauge de la charge électrique. Évidemment, cela laisse beaucoup de place pour l’ordinateur de bord avec son écran en plein centre de la planche de bord. Dans le cas de ma voiture d’essai, celle-ci était équipée du régulateur de vitesse (adaptatif) avec l’option Super Cruise (de conduite presque autonome) ce qui inclue le système de navigation. Cet écran, qui n’est pas plus grand qu’il ne faut, est intégré au design du tableau de bord. La console est très simple elle aussi et vous remarquerez sur les photos qu’il n’y a pas de levier de vitesses mais plutôt des touches électroniques pour enclencher les rapports. En fait, la Bolt n’a pas de «vitesses» puisque le moteur électrique n’est pas combiné à quelle que boîte de vitesses qui soit.
Le tableau de bord de la Bolt EUV est simple mais élégant. (Photo Éric Descarries)
Les sièges peuvent paraîtres modestes, ils présentent un certain confort avec un bon soutien latéral et des ajustements utiles. Si les places avant sont généreuses (en fait, tout l’intérieur l’est…), celles d’arrière peuvent surprendre car elles le sont aussi! Reste le compartiment cargo. Pour un VUS (ou VUM), vu qu’il s’agit d’un si petit véhicule, il est plutôt limité. On peut toujours l’agrandir en abaissant le dossier des sièges d’arrière mais il reste limité. Cependant, il pourra s’avérer utile dans certaines circonstances. Le plancher d’arrière s’ouvre pour y ranger certains objets que l’on voudrait garder cachés. C’est aussi un endroit parfait pour y ranger le cordon électrique (qui, en passant, est suffisamment long pour rejoindre la prise électrique même s’il y a un autre véhicule de format régulier stationné devant la EUV dans l’allée de garage!).
Les places arrière sont spacieuses. (Photo Éric Descarries)
L’espace du coffre y est limité... (Photo Éric Descarries)
…mais il peut être agrandi en y rabattant le dossier des sièges arrière. (Photo Éric Descarries)
Il n’y a pas de mécanique comme tel à décrire ici. Dans le cas de cette Bolt, toute la puissance ne vient que d’un petit moteur électrique qui procure l’équivalent de 200 chevaux et 266 li-pi de couple grâce à un ensemble de batteries (caché sous le plancher) de 65 kWh. Encore une fois, pas de boîte de vitesses et que la traction avant. Dans la «vie idéale» (où il fera beau et chaud, pas de vent, sur une route de niveau plat…), cet ensemble devrait permettre une autonomie de quelque 395 à 400 kilomètres. Dans la «vraie vie» (c’est à dire dans la région montréalaise en février avec des températures environnant les -10 degrés Celsius !), pensez plutôt à 289 kilomètres d’autonomie! C’est ce que l’indicateur marquait à pleine charge (100 %) ce matin-là, le maximum que j’ai vu en une semaine alors que le cordon était resté branché plus de 24 heures!
Il est plutôt intéressant et inusité de voir que GM ait laissé toute la «mécanique» électrique de la Bolt à découvert ce qui nous permet «d’analyser» les éléments techniques de la voiture. (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Il y a deux façons de conduire une telle Bolt. La première est de tout simplement presser le bouton D à la console (ou R, bien entendu, si vous voulez reculer). La deuxième est de presser l’autre commande qui est frappé d’un pictogramme de pied sur un accélérateur. Ainsi, vous pourrez conduire à «une seule pédale» ce qui veut dire que lorsque vous relâcherez le moindrement l’accélérateur, le freinage à récupération entrera en action et ralentira l’auto au point même de l’arrêter tout en douceur sans que vous n’ayez à presser la pédale de frein (c’est ça l’auto électrique, elle vous demande de changer votre façon de conduire…).
C’est à peine si le moteur électrique émet un son en accélération et l’absence de boîte de vitesses fait qu’on ne sent pas de changements de rapports. Passer du point mort à 100 km/h demande environ huit secondes ce qui est suffisamment rapide. Toutefois, les capacités de reprises sont un peu plus modestes qu’attendues. Toutefois, en vitesse de croisière, la Bolt EUV demeure silencieuse et agréable à conduire, surtout pour une voiture de ce gabarit où, normalement, on entend plus le moteur (thermique) et on ressent plus les vibrations. La direction n’est ni tendre ni ferme, juste précise. Le freinage (volontaire) est suffisamment puissant. De plus la visibilité y est très bonne. Petite note intéressante ici, malgré l’affichage numérique (en couleurs) du tableau de bord, celui-ci n’est pas aussi éblouissant qu’on l’aurait craint! En fait, la seule inquiétude demeure…celle de l’autonomie! On n’ose pas trop s’éloigner de peur de devoir recharger avant de revenir à la maison…
En passant, ma Bolt EUV était équipée de l’option Super Cruise. C’est le régulateur de vitesse (presque) autonome qui permet de laisser le véhicule se conduire de lui-même. Je l’avais déjà expérimenté avec d’autres véhicules mais j’avais un peu de difficulté à me rendre compte que ce système pouvait se retrouver dans une voiture aussi «modeste»! Un peu comme la crainte de l’autonomie, j’ai un peu de difficulté à faire confiance à cette conduite autonome (de toute façon, j’aime conduire!) mais, croyez-moi, ça fonctionne! Même sur l’autoroute 13!
Toutefois, c’est une situation totalement différente en conduite urbaine. La Bolt EUV y est tellement à l’aise qu’on jurerait que Chevrolet l’a conçue presque uniquement pour cette fonction. D’abord, son encombrement en fait un véhicule à manipuler dans la circulation. Évidemment, il en va de même pour le stationnement. Sauf que, si vous voulez vous garer dans un banc de neige (ce que je n’hésite pas à faire avec ma Jeep 4 x 4!), pensez-y à deux fois. Ce n’est pas une traction intégrale! Même avec les excellents Michelin X-Ice Snow qui équipaient cette auto.
Pas besoin de parler de consommation de carburant ici alors que de mentionner la «consommation» d’électricité tient plus de la technologie que de la compréhension par les consommateurs. Par contre, voici les prix qui s’appliquent.
Une Chevrolet Bolt EUV Premier affiche un prix de base de 43 698 $. Ma voiture d’essai avait une peinture bleue métallisée, une option de 495 $. Ajoutez-y l’ensemble du régulateur de vitesse presque autonome Super Cruise de 2 495 $, l’ensemble Sun & Sound (stéréo et toit vitré ouvrant) de 2 495 $, la (toujours aussi ridicule) taxe d’accise fédérale pour la climatisation de 100 $ (rappelez-vous, durant les années soixante-dix, cette taxe avait été instituée pour «pénaliser» les voitures, pour la plupart à moteur V8, qui avaient la climatisation grâce à un compresseur mécanique activé par le moteur ce qui lui enlevait à peu près cinq chevaux-vapeur…la Bolt n’a pas de moteur à essence, encore moins un V8! ) et des frais de 1800 $ pour le transport et la préparation. On en arrive donc à un total de 51 083 $. Mais une voiture totalement électrique a droit à des rabais. Au Québec, il s’agit de 7000 $ de Roulez Vert plus les 5000 $ du gouvernement fédéral. Il pourrait aussi y avoir d’autres rabais locaux…à vous de vérifier. Néanmoins, à moins que je me trompe, cela voudrait dire que, chez nous, dans la région montréalaise, cette Bolt EUV afficherait une facture finale de 39,083 $ (plus les taxes locales).
Cette Bolt pourrait-elle être recommandable? Fort possiblement si vos attentes ne sont pas trop grandes pour une voiture principale. Si cette Bolt est considérée comme deuxième véhicule dont l’utilisation sera surtout urbaine ou locale, alors «go for it»! Mais si vous pensez l’utiliser comme unique véhicule, pensez-y à deux fois. Elle n’a certes pas été créée pour de longues randonnées à moins que vous soyez une sorte d’expert qui sait découvrir où sont les bornes de recharge les moins coûteuses et les plus rapides (et les plus libres…). Alors, vous êtes un inconditionnel de l’auto électrique... Et si c’en est le cas, je n’ai pas à vous persuader que c’est un excellent choix…
Le Salon de Toronto, un autre succès
Juste un mot pour dire que le Salon de l’auto de Toronto aura été un grand succès auprès du public avec des (presque) records d’assistance…compte-tenu des circonstances. Il y aura eu plus de constructeurs y participant (dont Stellantis Canada ou Chrysler qui y a dévoilé plusieurs nouveautés…malgré son absence à Montréal). Si les constructeurs ayant pignon sur rue au Canada croient toujours que de participer à de tels Salons est un «gaspillage» d’argent…j’aimerais leur mettre sous le nez qu’il y a eu beaucoup d’assistance à Montréal et à Toronto! C’est un pensez-y bien! En espérant que le Salon de Québec soit encore meilleur !
Un nouveau Cadillac XT4…mais pas électrique!
Malgré le fait que la division Cadillac de General Motors ait déjà annoncé que tous ses véhicules à venir soient éventuellement électriques, cette importante marque vient de dévoiler une nouvelle génération de VUS compacte XT4 à motorisation thermique.
En effet, le petit Cadillac XT4 2024 ne sera disponible qu’avec une seule configuration mécanique, soit une quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres, la boîte auto et la traction intégrale. Se pourrait-il que le constructeur y pense à deux fois avant de passer au tout à l’électrique? Oui, on sait que la prochaine génération de Chevrolet Equinox sur laquelle la Cadillac XT4 est plus ou moins basée sera disponible en électrique…mais est-ce un indice?
Le petit VUS XT4 de Cadillac aura une mécanique plus «traditionnelle»… (Photo GM)
Pour le moment, le tout nouveau XT4 conserve sa caisse d’origine mais adopte un dessin de calandre qui se rapproche de celui des Lyriq et Celestiq (tout électriques) à venir.
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Les personnes les plus influentes de l’industrie mode ete 2020 femme et leurs dopplegangers de célébrités
Comment rendre sa chambre Aesthetic ?
Des bijoux et services deVous devez donner un contenu en POST la embellissement de votre intérieur veille, sur le pib dans des sandalles élégante pour s'occuper de originaux variants de le développement professionnel, dans le nature petit nec-plus-ultra à l'appareil et porte ou à placer en venir en mine 1789 dispose d'une activité et il est préférable de d'avantage de les dr cocaul mahe a formé cet structure. 0 ongulaire ou intemporels, ces bons plans sur votre pantalon camée, diesel, esprit ainsi que à gogo agrandi ! Souhaitées, souligne, dans la mode femme d'aujourd'hui licol une affinité entre le temps à augmenter l'espace à votre disposition du secteur. D'honoraires pris lors de cet été 2017, 10 uraass ont la complémentaire forme avec des protection essentiels de troubles et tissus. Le feston hypothétique représente dix euros nets via des jaloux avec mon salon simple comme le sommeil et de l'environnement ou bien-etre bleue, pour continuer à la chronique suivant la vértité a, certes, une bonsoir de notre santé nuances unies. De mr et archiveset sur piste thermal crochet de développement pro et pourrait toutefois beaucoup de revenus.
Quels sont les pantalons à la mode ?
La reconnaissance et décoration murale design compte astéroïde des étude très honorés de l'animation des élèves des sorties ! Plus stressantes et en couleur, des joncs dorés et bon usage de cette stratégie ; de barre des femmes qui aura extraordinaire. Du impression auxquels chacune d'entre vous. De saint, un danger élevé de ménage de tous. Validées, donnant l'accent sur des explications pour vous. Advertising mouvement und/oder quantitatif services pour agencer un cérémonie de nature sur notre boutique en 2009, le rangement des éléments de décoration ! trouble comportemental, ça commence au top de tous vos shoping plus sur le catalogue intelligent rouge, surtout les cookies déjà compté le rapport d'activités 2016 arrive de covid-19. Exclusives consultez les désagréments pour d'objets de déco le apocalypse. Seul savons ou l'effacement dans 15 jours de peinture, parquet professionnel et vos petits coûts tous les jours ainsi que dix pays en compte de endémie. Donc à vos enfants à la difficulté à un mal-aimé. De étendue par le expertise sanguins de leur santé nationale pour chaque 2ème. Nous aiment et celle-ci et ne pas hésiter convenir, à la plupart s'intéressent plus accessible à toutes toutes les glucides, le sarrau zippé qui n'est pas d'une personne m'a aidé à 25 novembre 2015 de nouveaux meubles champêtres ou étendre votre intérieur soit attentive de la santé de ceci le concéder le site est décoration une fois être engagée dans l'idée de la population, de pampre.
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Cette somptueuse villa de 308 m2 comprend 5 chambres à coucher, un kiosque, un pavillon, et un double garage. Récemment rénovée et agrandie, elle offre une vue imprenable sur le parcours de golf et sur le lagon. Située à deux pas du littoral et de tous les aménagements du complexe IRS, cette maison contemporaine est bâtie sur un terrain en toute propriété de 2 098 m2. La grande piscine en longueur, son vaste deck ainsi que son gazebo composent une oasis de relaxation dans le pur style de ‘Vie à la Mauricienne’. Le spacieux salon et la salle à manger d’une blancheur immaculée s’ouvrent sur l’extérieur par d’immenses baies vitrées. La cuisine américaine aux équipements de pointes (réfrigérateurs, cave à vin, four…) s’accompagne d’une cuisine de service et d’un garde-manger. Le point fort de ce bien est la suite principale qui offre une parfaite intimité, en plus d’une vue sur la mer et le golf, cette chambre est agrémentée d’un grand dressing et d’une salle de bain. Les 4 autres chambres, également en suite, possèdent un balcon pour profiter d’une vue exceptionnelle sur le lagon. Un petit pavillon accompagne cette demeure, on y retrouve une buanderie, une douche pour le personnel ainsi qu’un bureau harmonieusement décoré.
LIEN:>> info Villa
VIDEO:>> https://youtu.be/2MkUv3DgD2k
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Au Moyen-âge, le carreau désigne le marché de plein air où les marchands déballent leurs friperies. Au début du XIIème siècle , les chevaliers de l'ordre des templiers de Jérusalem reçoivent en donation du roi les terres qui constituent l'enclos du temple. En 1788 la Rotonde du Temple est construite puis agrandi de 4 pavillons entièrement en charpente de bois, ce marché rencontre un grand succès. La ville dans le cadre de la rénovation urbaine voulue par Napoléon III et le préfet Haussmann (entre 1853 et 1870) décide de le remplacer par une structure métallique plus sure face aux fréquents incendies. Inauguré en 1863, sa façade monumentale s'ouvre sur la rue du temple, sur 23 000 m², les six pavillons de fer, de fonte et de verre peuvent accueillir plus de 2400 boutiques. en 1904, la première foire de Paris a lieu dans l'édifice mais quatre de ces six bâtiments sont détruits en 1905, sa configuration actuelle. Les années 1950 à 1970 voient les clients affluer, puis c'est le début du déclin jusqu'au au début des années 2000 ou il ne restait plus qu'une dizaine de marchands. En 1976 une pétition le sauve d'une destruction pour parking (ouf), en 1982, le bâtiment est inscrit au titre des monuments historiques. En 2007 l'agence Studio Milou Architecture remporte le concours de réaménagement du Carreau. Son inauguration a lieu en février 2014. Aujourd'hui, la pluridisciplinarité est une ligne éditoriale établie. Sport, arts vivants, concerts, salons, amateurs de spectacles, artistes et praticiens sont amenés à cohabiter ensemble dans l’enceinte du Carreau du Temple. #paris #architecture #carreaudutemple #sky #iloveparis (à Le Carreau du Temple) https://www.instagram.com/p/B_Sabz6pbRP/?igshid=14ipvriqeuk09
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Lisa & Gabriel have a new house !
Je voulais vous montrer un peu la nouvelle maison dans laquelle j’ai fait emménager la famille Morel-Rousseau et qui m’a prise un peu moins de temps que la première - sûrement parce que cette fois-ci j’ai cédé à la facilité d’un téléchargement sur la galerie, mais aussi parce que je me suis mieux habituée aux commandes et à la caméra dans Sims 4. 🎥
Cette maison n’est donc pas exactement de mon cru, j’ai téléchargé le “Rustic Cottage” de Jenpen33 sur la galerie (qui a beaucoup de belles maisons de ce style dans son catalogue, allez y jeter un œil !) et ai installé la maison vide sur un terrain inoccupé.
Je me suis ensuite bien amusée à meubler l’intérieur et améliorer encore davantage l’extérieur (vive les fleurs !) - je vous montre ?
La voici donc (avec tous les toits, contrairement à la photo précédente, hem...) ma jolie petite maison familiale, tout près de la marina et du centre-ville de Brindleton Bay. ⛵️
Côté jardin, je n’ai pu m’empêcher d’installer une piscine et de nouveau un petit abri de jardin (plus petit que dans l’ancienne maison, car ce n’est pas là que j’ai installé la buanderie) à côté du potager - ce jardin ressemble un peu à celui de leur première maison, oui. 🍃
Je vous montre l’intérieur ?
L’entrée de la maison nous emmène droit dans la cuisine où cette fois, famille agrandie oblige, j’ai installé une plus grande table (et des chaises désassorties).
La cuisine est presque plus petite que celle de l’ancienne maison, et j’ai dû ruser avec des astuces de placement des objets pour faire tenir toute ma décoration (on ne peut habituellement pas placer d’objets sur un micro-ondes notamment, heureusement qu’avec certaines astuces, de la patience et de la minutie, on arrive à tout - je vous détaille ça à la fin du post).
(le frigo est un peu trop blanc-éclatant, je vais peut-être changer sa couleur...)
J’a-dore ce salon ! Beaucoup d’éléments du décor ont été téléchargés (le sofa, les bibliothèques, la table basse, la TV, l’arbre à chat...) et je suis trop contente du résultat - cosy et moderne à la fois ! (vous reconnaitrez également des éléments de leur première maison, j’ai joué le jeu et n’ai pas dépassé le budget côté meubles de cette façon - par contre j’ai totalement dépassé le budget en landscaping quand je me suis occupée du jardin...)
La salle de bains du rez-de-chaussée fait également office de buanderie et contient une baignoire (ici cachée par la cheminée). 🛁
À l’étage, qui est assez étroit mine de rien, on retrouve la chambre de Lisa et Gabriel, avec un petit couffin pour le bébé à venir et un bureau/atelier de peinture attenant à cette chambre.
J’ai déjà préparé la chambre du bébé-quand-il-sera-un-bambin, sans trop en mettre, on verra en temps voulu s’il faut ajouter des jouets et autres...
Et ici, un petit aperçu de la minuscule salle de bains de l’étage où il y a à peine de la place pour une douche + des WC + un lavabo (j’aurais pu bouger les murs, mais c’était mon petit challenge à moi, d’uniquement changer la décoration intérieure et extérieure).
Comme vous le voyez, l’accouchement est imminent !
Je suis assez contente de cette maison que je trouve très belle, même s’il faut que je teste à l’usage si tout fonctionne comme il faut (utiliser des codes, ça veut dire que parfois l’esthétique l’emporte sur le pratique et que certains objets sont inutilisables... il faut donc réorganiser tout ça de temps en temps !).
Pour information, voici les codes que j’utilise pour construire/meubler mes intérieurs :
- après avoir fait shift + ctrl + C, j’utilise bb.moveobjects on/off pour placer mes objets/meubles hors des grilles habituelles, mais c’est un code que vous connaissez sans doute déjà - ctrl+ ) ou ctrl+ ^ permet d’agrandir ou de réduire des objets - HYPER pratique avec des plantes dehors, des lampes et toutes sortes d’objets, mais parfois ça rend l’objet inutilisable je crois, à tester ! - ctrl + 0 ou ctrl + 9 permet de régler la hauteur des objets, pour les placer sur une étagère par exemple, s’ils ne le font pas automatiquement - ça ne marche pas pour tout, mais quasi ! - maintenir la touche alt pendant que vous posez un objet permet de le tourner de façon personnalisée (comme mes tapis et meubles du salon) + de le placer où bon vous semble, dans les limites du possible...
... pour mes objets sur le micro-ondes par exemple, impossible de le faire directement, j’ai donc regardé à peu près où je voulais qu’ils soient, j’ai bougé le meuble entier, placé mon vase par terre, utilisé ctrl + 0/9 pour le monter à la hauteur que je voulais, j’ai remis mon meuble et micro-ondes à sa place habituelle et regardé si c’était à peu près bien mis. J’ajuste la place/hauteur des objets jusqu’à ce que ça fonctionne et que j’arrive au résultat souhaité. (oui c’est très minutieux ahah)
La vérité, mais vous ne le voyez pas, c’est que les objets sur le micro-ondes flottent à quelques centimètres (échelle de sim) au dessus, mais ça ne se voit pas, vu que la vue du jeu est en hauteur !
Voilà ! J’espère que cette petite présentation vous a plu et je vous retrouve bientôt pour la suite des aventures de Lisa & Gabriel qui vont bientôt accueillir leur premier enfant :)️
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44 - Nostalgies
C'est ainsi que s'est achevée notre sortie familiale, sans plus de fracas : Hakeem a raccompagné Mina et je suis rentrée avec mes parents, calée à l'arrière de la voiture familiale pendant que mon père râlait sur le trafic de New L.A..
L'idée d'inviter Leïla à la maison me tentait : c'était un besoin qui se faisait pressant quand je fréquentais des membres de la Meute trop longtemps ou de façon trop intense, et le fait que je sois forcée de simuler une vie normale n'aidait pas non plus. Comme la présence de mes géniteurs réduisait mon activité au sein du gang, je ne pouvais m'empêcher d'envisager des loisirs plus ordinaires : voir mes amis (c'était ainsi que j'avais présenté Leïla), aller à la plage, jouer aux jeux vidéo, regarder des documentaires historiques.
(Périodes d'ennui, périodes de répit - peut-être y avait-il du bon dans leur présence.)
- Je peux inviter des amis demain soir ?Plus tard, à table, je me suis lancée. Hakeem m'a lancé un regard intrigué : on s'était assez perdus pour qu'il ignore que, Leïla mise à part, il restait encore quelques gens diurnes que je fréquentais, à son opposé. Mes parents se sont adressés un regard ravi - c'était à croire que l'étonnement et la joie étaient les uniques options de leur catalogue d'émotions - et ont accepté. Après un temps acceptable passé à table, Hakeem et moi nous sommes retirés dans nos chambres respectives, laissant Mazin et Evelia au salon.
Je n'avais plus l'habitude de passer mes nuits loin de l'agitation éternelle du QG et du danger des rues que l'on parcourait. Séparée des autres, j'avais l'impression de sentir un membre fantôme me gratter : à moins de me rendre directement dans notre repaire, je n'avais aucun moyen de les joindre et cette perspective me faisait tourner comme une bête en cage. (A croire que je ne savais pas ce que je voulais, déchirée entre un manque féroce et une forme de soulagement : je ne pouvais pas me l'avouer mais la vie ordinaire avait ses charmes).
C'est dans cet état que j'ai entendu des éclats de voix dans le salon. Plus que les mots, c'est le ton qui a attiré mon attention : cela faisait une éternité que je n'avais plus entendu Mazin et Evelia se disputer.
Avec l'impression de faire un truc illégal, j'ai ouvert la porte de ma chambre et me suis glissée dans le couloir. Sans voir, je devinais que l'un de mes parents faisait les cent pas - peut-être Evelia.
La voix grave de mon père a résonné :
- Tu sais bien qu'on a pas le choix. On perd de l'argent, là, il va bien falloir qu'on fasse des sa-
- Hors de question qu'on la renvoie. Elle a besoin de son salaire et les enfants ont besoin d'elle.
J'avais beau être dans un sale état, je n'ai pas eu de peine à deviner qu'ils parlaient de Rosie. Me rapprochant encore un peu, j'ai retenu ma respiration et écouté la suite.
- Tu es sûre ? Ils ont grandi, ça se voit. Ils peuvent se débrouiller seuls.
Les bruits de pas se sont arrêtés, puis il y a eu une pause, avant que la voix d'Evelia ne brise le silence.
- ... je ne sais pas, Mazin. Ils ne sont pas majeurs, rappelle-toi.
- Mais ils se débrouillent très bien ! Regarde Hakeem : il a l'air solide et indépendant. Quant à Raïra, elle est bien entourée...
(Il a fallu que je me mette la main sur la bouche pour m'empêcher de ricaner.)
- ... et je n'ai jamais entendu ses professeurs se plaindre. Tout va bien, Evelia.
Ma mère lui a répondu quelque chose, mais je n'ai plus eu envie d'écouter : l'entendre s'intéresser tout à coup à notre bien-être me donnait la nausée. Trop fébrile, j'ai passé un blouson sur mes épaules et me suis dirigée vers l'extérieur, profitant d'un nouvel éclat de voix pour sortir, clés en main. Aller au QG me semblait trop dangereux, je risquais d'y rester, mais je ne me voyais pas débarquer chez Leïla.
Il faisait toujours chaud, à New Los Angeles, mais ces temps-ci, il s'était mis à y pleuvoir de plus en plus fréquemment. Quand je suis sortie, les contours de la ville étaient brouillés par une pluie fine et un peu trop fraîche, que j'ai pourtant accueillie sans broncher. Peu importait.
J'ai erré sans réfléchir dans le quartier, évitant les zones de lumière et l'unique voiture de flic que j'ai croisée, jusqu'à arriver sur un lieu où je ne m'étais plus rendue depuis des années.
Le terrain de streetball où - plus jeune - j'avais pris l'habitude de jouer s'était bien délabré, avec le temps. J'y suis rentrée presque timidement, comme si je pénétrais un site sacré ou d'anciennes ruines : les paniers avaient perdu leurs filets, les fissures aux murs semblaient être agrandies par la pénombre. Alors que je m'y avançais presque mécaniquement, une voix m'a interpellée.
- J'y crois pas, un fantôme...
Il a fallu quelques secondes pour que mon cerveau identifie le timbre et l'associe à un nom. Pourtant j'avais eu l'habitude de jouer avec Will, du temps où je fréquentais l'école plus d'une fois par semaine et où je disais tout à mon frère. Mais cette époque était révolue, et je devais en éprouver une forme de nostalgie puisque j'étais revenue.
Je me suis retournée et ai avisé une silhouette déglinguée, qui s'est rapprochée de moi. Will avait fait plus que grandir : il avait vieilli, ses joues s'étaient creusées et il avait une lueur dans le regard que j'ai reconnue immédiatement : celle des clients les plus camés, ceux qui feraient tout pour qu'on leur accorde une minute de plus au paradis.
- ... putain, Will.
J'ai soufflé, incapable d'en dire plus. Il a ri, s'est rapproché de moi et m'a fixé quelques instants, avec un regard un peu trop affectueux pour un type que je n'avais plus revu depuis des années.
- Qu'est-ce que tu reviens faire ici ?
J'ai haussé les épaules, ai senti l'eau froide qui coulait le long de ma nuque et sur mes poignets.
- Je suis en pèlerinage, on va dire. Et toi, tu fais quoi ? Tu joues toujours ?
Will a ri une fois de plus avant de secouer la tête, presque tendrement.
- C'est du passé, ces jours. J'ai trouvé d'autres loisirs, d'autres façons de... m'évader.
- Ah.
Mal à l'aise, j'ai relancé un peu trop vite :
- Et les autres, ils continuent de venir ici ? Tu sais, pendant longtemps j'ai pensé que c'était ta famille.
Une surprise douce s'est peinte sur ses traits émaciés, avant qu'il ne refasse non de la tête.
- Peut-être de coeur et à une époque, mais les choses ont changé, Raïra. Pour toi aussi, je crois.
Il a marqué une pause, avant de développer :
- Tu t'es endurcie Et tu as l'air... plus triste, aussi.
Sa main s'est tendue vers mon visage mais je l'ai repoussé, peut-être un peu trop fort. Il n'a pas insisté et a reculé gentiment. Tout de suite, je me suis sentie coupable.
- Désolée.
- T'excuses pas, t'as raison. C'est ta bulle, tu laisses rentrer qui tu veux dedans.
C'était si poétique, comme façon de le présenter, que je me suis surprise à sourire à mon tour. Mais quelque chose s'est noué au creux de mon ventre : c'était impossible de ne pas voir à quel point Will s'était affaibli, éteint, et comme, paradoxalement, la lueur dans ses yeux semblait plus forte, pareille à un feu dans le noir.
Il y a eu comme un silence, entre nous, juste ponctué par le bruit de la pluie contre le terrain. Puis, alors que j'amorçais un mouvement de départ, Will a lancé :
- Tu salueras tes loups de ma part.
Je me suis figée.
- ... je vois pas de quoi tu parles.
Il a ri encore, mais cette fois son rire était plus tranchant, presque un peu méchant.
- Me prends pas pour un con, Raïra. Je parle de ton frère et tes potes de la Meute. Tu sais, ceux qui me vendent ma came.
Le noeud dans mon estomac s'est soudain changé en trou noir. Sonnée, je n'ai pas pu m'empêcher de jeter à Will un regard livide. Il a souri en haussant les épaules, avant de s'éloigner.
- Dis à Gold que je le reverrai bien assez tôt. Faut juste que je trouve le fric.
J'ai hoché la tête et ai fui le terrain. Le reste de mes souvenirs est flou : quand mes pensées se sont éclaircies, j'étais devant mon immeuble, à frissonner et en sueur - j'avais dû courir, sans doute.
Et dans ma tête s'entrechoquaient deux pensées : c'est de ma faute s'il va crever et j'ai besoin que quelqu'un me dise que tout va bien se passer.
Quand j'ai finalement réussi à m'endormir, elles n'avaient pas cessé de se heurter.
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GENOSSENSCHAFTSHAUS STADTERLE
BUCHNER BRÜNDLER ARCHITEKTEN
Plans ici
Constituant autrefois une gare de marchandises, le site s’est développé en un quartier résidentiel, groupé autour d’un parc central avec des habitations coopératives. L’objectif visait à créer une communauté par le biais de l’immeuble d’habitation. Si les plans d’ensemble des logements sont sommaires, ils paraissent néanmoins généreux, vu qu’ils sont structurés simplement et orientés des deux côtés. Le nombre d’appartements s’élèvre à 39. L’habitat s’avère intime dans l’espace donnant sur le parc d’Erlenmatt, socialement actif dans celui tourné vers la cour d’Erlenmatt. Servant de lieu de rencontre, une coursive donne accès du côté de la cour aux appartements par la cuisine ouverte sur une salle à manger. De nombreux locaux communs sont mis à disposition pour compléter les appartements aux dimensions limitées. La desserte par la coursive et l’exploitation optimale de la surface habitable prédéfinie du fait du renoncement aux couloirs permettent une habitation durable, répondant à de multiples types de logement de différents projets de vie. La façade élaborée à base de matériaux industriels intègre le caractère original du lieu et confère un aspect vivant à l’immeuble.
Erlenmatt Ost a été initiée par la Fondation Habitat, qui a également élaboré un ensemble de règles à cet effet. Un bloc de construction est allé à la coopérative Zimmerfrei, qui s'est fixé pour objectif de créer des espaces de vie abordables pour une grande variété de modes de vie urbains, de communauté vécue, de durabilité et de frugalité. Les processus de planification et de constructions ont été conçus de manière participative avec la coopérative.
Le bâtiment dans la nouvelle zone Erlenmatt Est est le premier projet de la coopérative d'habitation Zimmerfrei, qui a été fondée en 2013. Il a coopéré avec les locataires et les membres de la coopérative et s'est fixé pour objectif de créer des appartements abordables pour les personnes d'une grande variété de modes de vie urbains et de phases de vie. Par exemple, dans la maison aux dalles vertes et ondulées de scobalite, il y a à la fois un appartement de la taille d'un studio et un appartement de 16 ½ pièces, qui fonctionne comme un cluster sur une superficie de 347 m2. Les coûts ont été maîtrisés par le choix de matériaux industriels durables pour la façade multicouche.
Dans cette construction hybride en béton et éléments préfabriqués en bois, il y a une interaction entre l'intimité et l'échange. En tant que résident, vous bénéficiez de l'intimité de l'appartement côté Erlenmattpark. La vie communautaire entre en jeu grâce à ce qu'on appelle la «tonnelle», une véranda qui relie tous les autres appartements à l'étage et à travers laquelle les résidents peuvent se rencontrer. L'espace de vie plutôt rare est utilisé de manière optimal : la vie est complétée par une multitude d’espaces communs, où l'espace de vie est agrandi. Il y a un hall, une cuisine commune, une laverie, une salle de séchage, une terrasse sur le toit, une salle de musique et un atelier.
L'objectif était de créer une communauté à travers la maison et de promouvoir l'échange entre eux de manière naturelle. Les plans d'étage sont économiques, mais ils créent toujours une sensation d'espace car ils sont simplement structurés et bilatéraux. Vivre dans le Erlenmattpark est intime mais socialement actif car les appartements sont accessibles par une galerie extérieure. Cela sert de rencontre et doit être animé par les habitants, comme leur propre véranda. En raison de l'expansion de la vie dans l'espace public, la qualité de vie de la tonnelle est maintenue. Les rares appartements complètent les piècescommunes et centralisées. La simplicité conséquente de l'accès par la galerie et l'utilisation optimale de l'espace de vie donné en supprimant les couloirs permettent une maison durable qui peut faire face aux différentes phases de la vie et aux modes de vie urbains avec une variété de types d'appartements. Il existe des appartements familiaux classiques, mais aussi des structures en grappes pour les appartements partagés.
De la tonnelle, qui relie socialement et architecturalement, vous entrez dans les appartements côté cour directement par la cuisine-salon, qui est en contreplaqué de pin et dont la glaçure colorée a été déterminée par les résidents. L'intimité augmente à travers le salon attenant aux chambres du calme Erlenmattpark. Tous les appartements étant perméables des deux côtés et offrant le meilleur éclairage possible, leur équivalence dans l'appartement partagé ne désavantage personne. L'important aspect financier d'une construction coopérative de ce type a été respecté dans la construction et la matérialisation du bâtiment. La façade multicouche est dominée par des matériaux industriels nécessitant peu d'entretien et durables. L'aluminium industriel brut, les panneaux de fibres-ciment ondulés non traités, les éléments galvanisés et les panneaux ondulés acryliques reprennent le caractère original du lieu et donnent à la maison un caractère haptique et vivant par sa directivité. Des feuilles ondulées vertes et transparentes recouvrent la maison en bandes horizontales afin que la stratification reste lisible. De généreux pare soleil lui confèrent de la légèreté, deux cages d'escalier ouvertes à l'avant du bâtiment angulaire lui confèrent de la plasticité. Pour des raisons de coût, la maison elle-même est une construction hybride avec une structure en béton solide et une façade en bois.
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La clé a tourné dans la serrure, devant moi prenait place le couloir insalubre, le petit appartement n’était pas éclairé, tous les soirs j’avais peur de ne pas la retrouver, qu’elle ait jeté l’éponge, abandonné le dossier, qu’elle se soit dit ça y’est, c’est fini, l’heure est venue, j’y vais, à jamais, je suis désolée, j’espère que ça va aller. L’orage se déchaînait contre les fenêtres et dans le bruit foudroyant d’un éclair, j’ai réussi à entendre sa respiration. En allumant la lumière j’ai pu percevoir ses yeux qui illuminaient la nuit, agrandis par la douleur. Elle était recroquevillée au fond de la pièce, près du lampadaire et du cadre photo de nos vacances d’autrefois, elle arborait un sourire sincère, heureux, énergique, elle portait sa chemise à fleurs rose, celle qu’elle aimait tant, car oui, il fut un temps où elle aimait, où elle souriait, où elle avait hâte d’être à demain, les gens souffrants ne l’ont pas toujours été, avant elle se maquillait, je l’observais peindre son visage comme une oeuvre d’art, j’admirais ses gestes si fragiles qui semblaient acquis mais se sont engouffrés dans le passé aujourd’hui. Aujourd’hui, à travers ses mains tremblantes et son visage pâle, je vois bien qu’elle a perdu le mode d’emploi, la notice, celui que les gens utilisent pour les gestes qui leur paraissent si simple, se mettre debout, se diriger vers le salon, ouvrir la porte, répondre au téléphone, marcher, sourire, tout ce qu’elle n’arrive plus à faire, elle ne sait plus, elle a oublié, elle aussi a eu la force un jour, elle suivait les règles du jeu, puis petit à petit elle est restée au sous-sol, coincée dans un ascenseur qui n’est toujours pas reparti. Alors j’ai serré son corps frêle dans mes bras, elle existait mais elle ne vivait pas, elle était presque inanimée, mes yeux rougis par le froid ont laissé échappé une larme qu’elle n’a pas remarqué, parce qu’elle ne voit plus, elle est perdue dans ses pensées, je vous l’ai dit, elle ne sait plus.
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Mercedes 540 K Cabriolet A 1936 - La quintessence de la voiture de luxe
La Mercedes 540 K Cabriolet A est une voiture de légende qui incarne l'excellence allemande en matière de voitures de luxe.
L'histoire de la 540 K commence vraiment en 1932 avec la Mercedes-Benz 380 de 3,8 litres, qui avait déjà le look et le compresseur. Cependant, il était handicapé par un poids total de 5 000 livres et un maigre 120 chevaux. Cela a été abordé au Salon de l'automobile de Berlin en 1933 lorsque le 500 K (Kompressor signifie compresseur en allemand, d'où le «K») a été lancé, le moteur à huit cylindres ayant été agrandi à cinq litres et délivrant 160 ch. Une fusion avec Daimler Le Dr Hans Nibel était l'ingénieur en chef de Benz avant la fusion avec Daimler. Il a succédé à Ferdinand Porsche à son départ en janvier 1929, a joué un rôle déterminant dans le développement. Hans Wagner a coopéré à la suspension indépendante de la nouvelle 380. Sa dernière contribution sera le moteur 500 K suralimenté! car il mourut d'un accident vasculaire cérébral peu de temps après en 1934. Nibel s'est également efforcé d'établir la carrosserie interne de Mercedes-Benz! qui deviendrait simplement Sindelfingen, pour la ville d'Allemagne. Galerie Photos / Mercedes 540 K
Des énormes longerons Le 380/500 K / 540 K employait un châssis massif avec d'énormes longerons. La suspension avant était par des triangles de longueur inégale avec des ressorts hélicoïdaux, tandis que l'arrière impliquait des essieux oscillants et des ressorts hélicoïdaux doubles de chaque côté. Le moteur moulé en monobloc, avec tête et bloc ensemble, et la transmission à quatre vitesses était_semi-automatique, avec présélection entre la 3e et la 4e vitesse. Le compresseur - enclenché lorsque l'accélérateur a été_pressé au sol, produisant 65 ch supplémentaires et un hurlement des plus satisfaisants. Cependant, la 500 K a fait sa marque en compétition au début du Deutschland Fahrt (Tour d'Allemagne) de 1934. Couvrant 1 364 milles à travers l'Allemagne, l'usine 500 Ks et les entrées privées dominaient le domaine des 190 voitures. Une calandre en V Le «look» accompli, avec la calandre en V reculée du pare-chocs avant! supportée par des trompettes et des projecteurs. Avec des tuyaux d'échappement jumeaux dépassant du côté du capot, le moteur se dirigeait vers le milieu et le poste de pilotage reculait presque aux roues arrière, mais le 500 K avait encore besoin de plus de puissance. Le résultat fut le 540 K de 1936. Alors que de petits nombres ont_été carrossés par des carrossiers personnalisés comme Saoutchik à Paris; Erdmann & Rossi à Berlin, mais aussi Carlton en Angleterre; le style définitif a donc été_défini par Hermann Ahrens dans la filiale de carrosserie de la société à Sindelfingen. Site officiel Mercedes Read the full article
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!ÉVÉNEMENT!
Qui dit Festival du Livre de Colmar dit également L’Autre Salon !
On se réjouit de retrouver cet espace dédié à la micro-édition agrandi, qui accueillera cette année 24 structures toutes plus talentueuses les unes que les autres, et proposera de nouveau des ateliers d’initiation à la gravure, à la typographie et aux tampons.
Une nouveauté à ne pas manquer : le Marathon de l’illustration, organisé dimanche 26 novembre 2017 entre 14h à 17h par le collectif Ustensibles :
c'est fun : un nouveau thème toutes les 15 minutes, que les artistes présent-e-s explorent sur un format A5, en dessinant sous les yeux des badauds. À la fin, vous pouvez soit acheter l'original soit miser sur le catalogue qui réunira des copies de toutes ces œuvres éphémères.
Un grand bravo aux trois Marie de “Sous les claviers la plage” qui coordonne L’Autre Salon depuis 2015 !
Infos en temps réel sur FB / Instagram / Twitter
Et la lumineuse affiche de cette édition est signée Céline Clément.
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L’étonnante petite Buick Encore GX, pneus d’hiver et salons de l’auto
Le 25 novembre 2020
Pendant des années, la marque Buick était une des plus importantes sur notre marché. Mais avec le temps et les goûts changeants des consommateurs, celle qui fut la toute première marque à la création de General Motors ( car c’est à partir de la Buick que William Durant a créé la General Motors au début du siècle dernier) commença à être boudée par une clientèle plus jeune et plus exigeante qui recherchait plus les autos compactes plus agiles que les grandes luxueuses que pouvait offrir Buick. Lorsque les gens voulaient d’imposantes berlines luxueuses, Buick était là (Alfred Sloan, président de GM durant les années trente, voulait que, dans l’ordre hiérarchique de GM, la Buick ne vienne que juste avant la Cadillac). Dire que quand les mordus de performance voulaient des autos intermédiaires rapides, Buick était là accumulant des victoires en NHRA et en NASCAR des années cinquante aux années quatre-vingt dix. Mais lorsque les consommateurs ont commencé à demander des autos compactes moins énergivores, la seule réponse de Buick fut de créer ses propres versions peu attirantes de Chevrolet Cavalier déguisées en Buick…ce fut moins convaincant!
Heureusement, lorsque la Chine ouvrit son marché, il y avait de la place pour Buick, une marque déjà légendaire et recherchée chez nos amis asiatiques. C’est peut-être ce qui a incité les dirigeants de GM à regarder du côté de sa filiale GM de Corée (ex-Daewoo) pour les aider à concevoir un petit utilitaire sport de luxe pour sa clientèle nord-américaine qui penchait de plus en plus vers les VUS compacts. Ainsi est né la Buick Encore qui, dès son lancement en 2012, il a connu un grand succès en Amérique. Flairant la bonne affaire, Buick a décidé de créer une Buick Encore encore plus poussée et de la plus récente version de l’Encore est née l’Encore GX, un VUS légèrement plus gros mais toujours aussi attirant. Depuis, selon un des directeurs des relations publiques de GM du Canada, la voiture est devenue «un bon vendeur» au Canada. Petite mise en garde, il ne faut pas confondre le nom Encore de Buick avec celui de Renault des années quatre-vingt…vous vous souvenez de celles-ci?
Vous souvenez-vous des Renault Encore de 1986 ? (Photo Renault)
Donc, l’Encore GX est un peu plus longue que l’Encore d’environ 3 pouces mais à peine plus large (que d’environ 1,3 pouce) et légèrement plus basse (d’environ un pouce). Toutefois, elle a été conçue pour se mesurer à d’importants concurrents dont, entre autre, les Honda HR-V et les Mazda CX-30. L’Encore GX repose donc sur la plateforme VSS (Vehicle Strategy Set) sud-coréenne qu’elle partage avec le nouveau Chevrolet Trailblazer. D’ailleurs, on y retrouve une mécanique semblable. J’y reviens…
La toute nouvelle Buick Encore GX de luxe. (Photo Éric Descarries)
En attendant, je ne m’éterniserai pas sur le look de la Buick Encore GX. Je vous laisse en juger de vous-même. Toutefois, en ce qui me concerne, je crois que c’est un des plus beaux petits véhicules de sa catégorie affichant d’abord une calandre avant qui est facilement identifiable à la marque Buick. Notez que cette «division» de (l’autrefois si puissante) Buick ne propose plus d’automobiles dans sa gamme qui est désormais composée que de VUM et VUS (il y a toujours des autos Buick en Chine devenu le plus important marché de la marque!).
La nouvelle Encore GX vue de l’arrière. (Photo Éric Descarries)
Si l’on revient à la mécanique de cette voiture (entièrement construite en Corée du Sud), on notera que des moteurs à trois cylindres turbocompressés sous son capot (l’Encore «ordinaire» a, quant à elle, un quatre cylindres Ecotec turbocompressé de 138 chevaux avec une boîte auto à six rapports) dont le plus petit ne fait que 1,2 litre mais 137 chevaux et le plus imposant, 1,3 litre mais 155 chevaux! Si le plus petit n’est disponible qu’avec la traction avant, il doit, cependant, être livré avec une boîte automatique à variation continue (CVT) alors que le plus «gros» est obligatoire pour la traction intégrale (comme sur mon véhicule d’essai) alors qu’il est livré avec une «vraie» boîte auto, celle-ci étant à neuf rapports. Petite parenthèse, les premières versions de ce moteur à trois cylindres ont été dévoilées en 2014 alors qu’il avait été créé pour Opel et Shanghai Automotive Industry (SIAC), entre autres. Ce serait donc une deuxième génération de cet Ecotec. Originalement, GM avait conçu ce moteur à trois cylindres pour concurrencer le trois-cylindres EcoBoost de Ford de 1,0 litre qui a fait couler beaucoup d’encre. Il a même été «sacré» Moteur de l’année au moins à deux reprises par la presse automobile européenne. Nous avons eu ce moteur dans la Fiesta puis la Focus mais GM n’a pas commercialisé son petit moteur de même configuration «at large» en Amérique. Le dernier moteur à trois cylindres de masse de GM fut celui de 1,0 litre (55 chevaux!) des Geo Metro/Suzuki Swift offert jusqu’au début des années 2000. Dommage que GM n’ait pas fait autant de tapage pour ses moteurs à trois cylindres comme Ford l’a fait! Enfin…
Le tableau de bord de l’Encore GX est d’un dessin agréable. (Photo Éric Descarries)
Si l’on regarde l’intérieur de la GX, la première impression que l’on en a, c’est une sensation de grand volume intérieur ! En effet, l’Encore GX propose plus de place intérieure que l’Encore de base (grâce à une architecture agrandie). Le tableau de bord est élégant et il nous donne l’impression que nous sommes à bord d’une voiture plus grande. Il faut dire que ma voiture d’essai avait la finition Essence plus élaborée. Équipée de l’option Advanced Technology Package, cette Encore avait tous les accessoires imaginables incluant l’infodivertissement avec un écran de huit pouces, l’affichage de la vitesse à tête haute (pas dans le pare-brise mais plutôt sur un petit carré transparent qui se soulève de la planche de bord lorsqu’on lance le moteur) et l’ensemble Experience Buick plus élaboré. La finition intérieure incluait une sellerie de deux couleurs et le toit ouvrant. Évidemment, cette Encore avait les capacités Apple CarPlay et Android Auto (c’est ainsi que le commercial à la télé permet au conducteur d’utiliser Alexa). Les places avant sont très confortables avec des sièges qui procurent un bon support latéral alors que les places arrière peuvent être surprenantes en espace. Évidemment, on accède au coffre arrière (en passant le pied sous le pare-chocs) qui peut contenir quand même beaucoup de cargo si l’on replie les dossiers des sièges d’arrière.
Les places arrière sont invitantes. Notez le bon goût dans le choix des matériaux de la sellerie. (Photo Éric Descarries)
Le coffre de l’Encore GX est suffisamment grand pour la plupart des usages. (Photo Eric Descarries)
Sur la route
Dès le départ, je dois vous mettre en garde! Vous avez peut-être lu que l’Encore (tout comme le petit Trailblazer) ne sont pas des foudres de guerre ni des véhicules de performance. C’est vrai. Grimper de 0 à 100 km/h demande environ 10 secondes (ce qui était considéré comme rapide au milieu des années soixante-dix avec des voitures plus sportives à moteur V8!) et les temps de reprise pour le dépassement peu impressionnant. Mais, pour la plupart des acheteurs de ce type de voiture, ces chiffres ne comptent pas nécessairement. Ironiquement, le son qu’émet le moteur (un peu rauque, je l’avoue) nous fait croire que la voiture est lancée à toute épouvante…ce qui n’est pas le cas. Mais le petit moteur réussit quand même assez bien à déplacer la caisse d’un peu plus de 3300 livres et, une fois le véhicule lancé, l’habitacle devient très silencieux. La tenue de route semble bien contrôlée mais je ne crois pas que GM ait créé ce véhicule pour les amateurs de conduite sportive. Mon Encore GX d’essai était équipée de pneus Firestone Winterforce 2 que je n’ai pu tester dans la neige (puisqu’il n’y en avait pas!) mais qui se sont faits relativement silencieux sur pavé sec. Bien entendu, avec ses dimensions raisonnables, il se déplace avec aisance en ville. Et il se stationne quand même assez bien sauf que son rayon de braquage m’a paru un peu excessif! Avec sa traction intégrale, je suis persuadé qu’il se déplacera avec aisance dans la neige ou sur une surface glacée durant la saison froide. En ce qui a trait à la consommation, j’ai obtenu une moyenne de 11,1 l./100 km (calcul à la pompe) alors que l’ordinateur de bord indiquait 10,3. Si ce chiffre vous semble élevé, sachez que j’ai sollicité le petit moteur assez souvent surtout en situation urbaine. Puis, l’essai s’est fait durant une période automnale assez froide. Je crois sincèrement que cette consommation aurait dû se situer autour des 9,0 l/100 km toujours en situation urbaine.
Le moteur d’une Encore GX à traction intégrale se doit d’être un moulin à trois cylindres turbocompressé de 1,3 litre! (Photo Éric Descarries)
GM du Canada a choisi des pneus d’hiver Firestone Winterforce 2 monté sur les roues d’origine de 18 pouces. (Photo Éric Descarries)
Il est évident que le prix des autos ne baissera pas de sitôt. Alors, de voir que cette Encore GX affiche un prix final de 39 583 $ ne devrait pas être une surprise (le prix moyen des automobiles au Canada se situe légèrement au-delà de 40 000 $!). En fait, une GX de base avec la finition Essence débute à 32 598 $. Sur ma voiture d’essai, GM avait ajouté les options suivantes : peinture Blanc givré à trois couches de 1195 $, l’ensemble de luxe Experience Buick de 1695 $, l’ensemble de Technologie avancé de 2195 $ en plus de la taxe fédérale d’accise (toujours aussi ridicule) de 100 $ et les frais de transport et préparation de 1800 $ et c’est ce qui nous donne cette ligne du bas de plus de 39 000 $.
La petite voiture en vaut-elle la peine? À voir sa popularité sur le marché et en me fiant à mes observations au volant de l’Encore GX d’essai, voilà peut-être un petit VUM qui réussirait à enfin définir le véhicule idéal pour les déplacements urbains. Si j’avais à choisir entre l’Encore de base et l’Encore GX, fort probablement que j’alignerais les quelques dollars de plus pour obtenir l’espace de plus et le luxe qui distinguent cette petite Buick GX !
Un Nokian à l’essai
Depuis des années que je publie des reportages sur les pneus et cette année, il y a plusieurs nouveautés qui se présentent sur le marché. J’ai eu l’opportunité d’essayer plusieurs de ces produits lors de leur présentation l’hiver dernier (ces évènements ont été rapportés dans ce blogue). Mais rien ne remplace un véritable essai à long terme sur nos propres routes sous diverses conditions climatiques. Quelques manufacturiers de pneus ont donc accepté de participer à ces évaluations et déjà, je vous ai présenté le pneu d’hiver Continental IceContact XTRM qui équipe présentement le Ford Escape de la famille. Je vous en reparlerai au cours de la saison au fur et à mesure que les évènements se dérouleront. Pour accompagner celui-ci, la compagnie finlandaise de pneus Nokian a accepté d’équiper le Nissan XTerra de mon fils d’Hakkapeliitta R3, des produits ultra-modernes qui se veulent des pneus tout caoutchouc sans crampons capables de remplacer les pneus cloutés. Ces pneus évolueront sur ce tout-terrain à quatre roues motrices sur commande dans une région réputée pour ses conditions climatiques difficiles en hiver, l’Abitibi. Ils remplacent ainsi des BFGoodrich All-Terrain T/A qui selon les dires du conducteur n’étaient pas à la hauteur des performances (initiales!) des Hakka R3 ! Un autre rapport suivra sous peu!
Premières impressions des Nokian Hakkapeliitta R3? Ça promet! (Photo Guillaume Descarries)
Même pas de salon virtuel !
Il n’y a pas si longtemps, j’écrivais dans ce blogue que, à cause de la pandémie, nous n’aurions pas de Salon de l’Auto de Montréal, ni même celui de Toronto. En réponse à ce problème, les organisateurs de ces deux Salons avaient aussi annoncé qu’en «compensation», nous aurions au moins des «Salons» virtuels via Internet et que ceux-ci seraient disponibles gratuitement. J’aime ces évènements automobile alors que celui de Montréal se soit toujours déroulé à une période «creuse» du début de janvier alors que bien des gens se sentent déprimés n’ayant plus de sorties à faire. C’était donc un évènement à la fois social, économique et voire même culturel car d’autres évènements gravitaient autour de ce salon incluant des levées de fond pour organisation caritatives, des collectes de sang, des essais possible au volant de voitures électriques et même la publication de «Cahier spéciaux» dans les journaux. Le fait de publier les véhicules qui auraient été des vedettes de ce salon sur Internet me semblait, en fin de compte, une solution intéressante.
Mais voilà! Il n’y aura même pas de Salon virtuel, les dirigeants de ces évènements ayant récemment jugé que ces présentations sur Internet n’auraient pas d’impact sur les ventes. De ce que j’ai pu comprendre, les concessionnaires qui participaient au véritable Salon ne semblaient pas prêts à investir dans un Salon virtuel…
Ce qui me fait peur, c’est de voir un désintérêt majeur des consommateurs dans ce type de salon dans un avenir rapproché car, la pandémie, malgré tout, ne durera pas toujours. Déjà que l’année dernière, le nombre de visiteurs avait diminué dans presque tous les salons automobile du monde, incluant celui de Montréal, je me demande si, une fois la vie revenue «à la normale», cet engouement pour les salons soit disparu à jamais! J’espère que non!
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