#saint-honoré-les-bains
Explore tagged Tumblr posts
Text
Villa in Saint-Honoré-les-Bains, Nivernais region of France
French vintage postcard
#saint-honoré-les-bains#bains#historic#region#photography#postal#ansichtskarte#nivernais#photo#sepia#villa#vintage#postcard#france#briefkaart#saint#postkarte#tarjeta#carte postale#ephemera#honor#postkaart#french
3 notes
·
View notes
Photo
100 years ago:
Le souffle au coeur / Murmur of the Heart Louis Malle. 1971
Park 16 Rue Joseph Duriaux, 58360 Saint-Honoré-les-Bains, France See in map
See in imdb
#old#postcard#vintage#monument#photography#architecture#photo#nivernais#patrimoine#french#saint-honoré-les-bains#parc#france#park#carte postale
28 notes
·
View notes
Link
0 notes
Photo
Saint-Honoré-les-Bains, 2016
14 notes
·
View notes
Photo
595,000 €
550m² / 5920ft²
Saint-Honoré-les-Bains, Nièvre, Bourgogne-Franche Comté, France.
#beautiful house#mansion#stones#tower#stove#colorful#colourful#modern#green#kitchen#interior window#french#saint honoré les bains#nièvre#bourgogne#burgundy#bourgogne-franche-comté#france#dog
2 notes
·
View notes
Text
L’Hôtel Salomon de Rothschild
Serti dans une aire triangulaire formant un îlot de calme entre les animées avenues Hoche et de Friedland, à deux pas de la bouillonnante place de l'Etoile, se trouve cet élégant hôtel particulier, héritage de la branche parisienne des Rothschild, célèbre famille de financiers au nom devenu proverbial.
Dans les années 1780, le Faubourg-du-Roule, alors situé à l'extérieur de Paris (l'enceinte des Fermiers généraux n'ayant pas encore été construite), offre une atmosphère campagnarde propice au repos. Et c'est bien ce que recherche alors le banquier Nicolas Beaujon, l'une des plus grandes fortunes du Royaume, souhaitant s'éloigner du Faubourg-Saint-Honoré où il réside en son Hôtel d'Evreux (alors pas encore nommé Elysée). En effet, ce faubourg s'urbanise de plus en plus, et les travaux continuels proches de son hôtel fatiguent le financier, éreinté en outre par de chroniques crises de goutte. Il se porte donc acquéreur de plusieurs terrains au bout de l'avenue du Faubourg-du-Roule (alors dans la continuité de la rue du Faubourg-Saint-Honoré), d'une superficie de douze hectares, afin d'y faire bâtir une "chartreuse" (comme une maison de campagne à deux pas de sa résidence principale). Entre 1781 et 83, Beaujon fait également construire moult fabriques de jardins, un moulin, des communs, un pavillon des bains, ainsi qu'une chapelle, dite de Saint-Nicolas, avec une ouverture sur voirie pour les habitants du hameau proche. Celle-ci devient alors une succursale de l'église Saint-Philippe-du-Roule. L'ensemble des bâtiments est édifié par l'architecte Nicolas-Claude Girardin, ayant déjà opéré avec son collaborateur Etienne Louis-Boullée sur les transformations en son Hôtel d'Evreux. Le même Girardin édifia aussi un hospice, d'après la volonté philanthropique du finissant banquier, qui deviendra plus tard l'Hôpital Beaujon. Cet ensemble immobilier démesuré, construit en à peine deux années, prendra le nom de "Folie Beaujon", le terme de "folie" désignant alors une riche résidence secondaire hors-les-murs, bien souvent construite en un temps record, présentant une extravagance de conception. Nicolas Beaujon n'en profite guère longtemps, celui-ci mourant en son Palais de l'Elysée en décembre 1786. La "Folie" connut une succession de fortunés propriétaires les décennies suivantes -comme le banquier Ignace-Joseph Vanlerbeghe-, chacun apportant son lot de modifications structurelles et aménagements divers, comme ce parc d'attraction géré par l'aîné des frères Ruggieri, présentant notamment d'impressionnantes "montagnes françaises", élevées dans les jardins du domaine en 1817, concurrentes pour un temps des premières "montagnes russes" parisiennes de la Villa des Ternes. Une grande partie des jardins fut finalement morcelée et lotie à partir de 1825, proche de la Place de l'Etoile voyant alors s'élever une nouvelle porte d'entrée monumentale de Paris: le futur Arc de Triomphe (cf. article). La Chartreuse et ses dépendances, quant à elles, furent finalement rachetées en 1873 par Adelheid von Rothschild, dite la baronne Adèle, veuve de Salomon de Rothschild. Elle rase ce qu'il demeure de la chartreuse, et y fait construire à sa place ce luxueux hôtel particulier, dans un style néoclassique (dit sous la jeune IIIème République style néo-Louis XVI), qu'elle consacre du nom de son défunt mari, afin d'y abriter leur vaste collection d'art. Léon Ohnet, l'architecte ayant planifié l'élévation du bâtiment, mourut en 1874. C'est donc son élève Justin Ponsard qui poursuit les travaux, finalement achevés en 1878. A sa mort survenue en 1922, la baronne lègue alors son hôtel et toutes ses collections à l'Etat, qui pourvoit le Musée du Louvre et le Musée de la Renaissance du Château d'Ecouen de ses pièces les plus remarquables. Certaines œuvres y demeurent malgré tout, par volonté testamentaire, en leur accrochage et exposition originels, formant un cabinet de curiosités unique en son genre, toujours visitable sous certaines conditions... La baronne exprime également le vœu que le rez-de-jardin de sa demeure devienne une "Maison d'art", accueillant expositions et ventes de charité au profit des artistes contemporains. Le 6 mai 1932, l'une de ces manifestations (en l'occurrence un salon littéraire organisé par l'Association des écrivains combattants de la Grande Guerre) fut le théâtre d'un tragique événement: l'assassinat du Président de la République Paul Doumer par le militant soviétique Paul Gorgulov. Les étages de la résidence, quant à eux, accueillirent successivement la Bibliothèque d'art et d'archéologie léguée à l'État par le couturier et collectionneur Jacques Doucet (dans l'attente de son transfert dans le nouvel Institut d'art et d'archéologie de la rue Michelet (dans le VIème arrondissement)), puis le Cabinet des Estampes de la Bibliothèque Nationale, enfin, avant la création du Centre Georges Pompidou, l'administration et les expositions du Centre National d'art contemporain. Depuis 1976, l'Hôtel Salomon de Rothschild abrite le siège de la FNAGP (Fondation Nationale des Arts Graphiques et Plastiques). La volonté de la baronne aura donc été respectée, jusqu'à un certain point... Depuis les années 2000, les vastes espaces intérieurs de l'hôtel sont mis à la disposition d'événements professionnels ou privés, marchandisant ainsi cet écrin artistique...
Le jardin, s'étendant sur 4000m2, devenu public en 2008, nous offre d'une part la plus belle vue sur l'hôtel (côté jardin), d'autre part quelques vestiges archéologiques de l'ancienne "Folie Beaujon", sous le couvert de marronniers séculaires. On peut y apercevoir un entablement semi-circulaire soutenu par des colonnes ioniques, provenant du chœur de l'ancienne chapelle Saint-Nicolas, ainsi que quelques colonnes doriques esseulées, provenant de sa nef. Cette chapelle, accolée à l'ancien pavillon des bains cité plus haut, servit de mausolée à Nicolas Beaujon, puis de lieu de culte temporaire à Honoré de Balzac, dont la dépouille y fut exposée peu après sa mort survenue en août 1850 (celui-ci ayant eu l'usufruit dudit pavillon des bains pour ses dernières années). Sa veuve, Mme Hanska, vendit la chapelle en 1872 à son gendre, le comte Mnizsech, entomologue polonais féru d'occultisme, qui y pratiqua des rites de magie noire, jusqu`à sa mort survenue en 1881, des suites d'un "ramollissement cérébral". La baronne de Rothschild racheta la chapelle en 1882, avant de la faire raser, horrifiée des stigmates de sorcellerie qu'elle y découvrit... La rotonde élevée à l'angle de la rue Balzac (sic) et de la rue du Faubourg-Saint-Honoré marque son ancien emplacement.
#monument#hôtel#hôtel particulier#salomon de rothschild#nicolas beaujon#folie#folie beaujon#élysée#faubourg-du-Roule#Saint-Nicolas#chapelle#Honoré de Balzac#Mme Hanska#comte Mnizsech#baronne Adèle#Paul Doumer#Paul Gorgulov#assasinat#art#institut#jardin#vestiges#archéologie#colonnes#rotonde#mausolée#FNAGP#photography#photo#photooftheday
5 notes
·
View notes
Text
Monday July 13, 1829
6 10/60
11 40/60
From 7 10/60 to 7 55/60 read the first 29 pp. Mawe’s familiar lessons on mineralogy and geology – from 8 to 9 25/60 wrote out all but the 1st 8 1/2 lines Lecture 11 geological - Breakfast at 9 1/2 – at my desk again at 10 10/60 - wrote note to ‘Mme madame la comtesse de Noé’ to ask where comte de Noé’s painted glass windows
‘I wish to ‘shew these windows to a friend, if they are within a moderate drive from here… If Wednesday be fine, will ‘Mademoiselle de Noé go to Enghien les Bains? I shall be happy to call for her at a 1/4 before 3 - ‘we shall be about 1 1/2 hours in going, as much in returning, and perhaps nearly a couple of hours there. I fear it is quite in vain ‘to hope that you could spare so long a time as 4 or 5 hours – I am, my dear madame, very truly yours. A. Lister’
Dated at the top Monday morning and at the bottom Rue Godot de Mauroy N° 39, by way of giving the address – then folded up the book Perrelet lent me some 7 or 8 days ago (Cassini’s voyage to try Lerois montres marines) for George to take this morning – my note to Mme de N- Noé to be left also as he returns with me from the Jardin du roi – Dressed –
Walked to the Boulevard – there in 1/2 hour to the Jardin du roi, and there at 12 5/60 – the 2 old ladies who sit next to me, told me how interesting the seance was yesterday morning at pavillon de la baleine – Monsieur Geoffroy Saint Hilaire – very civily observed on my not being there – said j’en étais fachée but was très occupée – lecture over at 1 1/4 – a gentleman near me said he had read in the journal Figaro of Samedi a critique on Monsieur Geoffroy de Saint Hilaire, that the owner of the whale was a friend of his and therefore, and not for the sake of science, he took all the people he could there – that the ambassadeur Anglais had been there – one of the old ladies had got a ‘notice sur la Baleine’ which I thought to get for Miss Hobart and took the address in the passage Choiseul –
Off in a fiacre and alighted exit the passage at 1 3/4 – could not find what I wanted – returned to the Palais royal at 2 places there before going to a very civil person in a reading room in what was to be the galerie de bois and then got the journal Figaro of Saturday but no critic – merely a paragraph announcing that ‘Hier à 2 heures, son excellence Monsieur l’ambassadeur d’Angleterre et sa famille ont honoré de leur présence le pavillon de la baleine. On dit que demain Dimanche, à 10 heures, Monsieur le professeur Geoffroy Saint Hilaire doit rassembler au pavillon tous ses élèves, pour leur donner une leçon d’histoire naturelle – looked about in the Palais royal – it is much improved of late – always amused there – looked at pendules – shall not do better than at Perrelet’s – Roland ( a woman) n°143, asked 430 francs for the same that the man almost next door (nearer to the rue Des petits Champs) asked 340 – it was a Venus like Perrelet’s at 285? but rather larger? only the pedestal doré instead of marbre jaune – a neat pendule dorée with 1 hansome bronze figure a Thalia the muse of comedy at 420 francs -
Walked slowly home and came in at 3 – had my hair put in papers – George brought back note from Mademoiselle de Noé – much obliged to me but cannot go on Wednesday – should not be back in time to dinner and engaged out to dinner on that day – the painted windows are in the church of Sainte Elizabeth near the rue Vendôme – cannot recollect the name of the street the church is in, but it is very far from the de Noés - wrote the last 19 lines and settled my accounts all which took me till 4 3/4 – then wrote out Lecture 14 (of 29 June) on the mammifères – dressed – dinner at 6 – George said there was someone so ill at the embassy, no carriages allowed to enter the court – came to my room at 7 1/2 – wrote and sent at 8 1/4 the following ‘To Miss Hobart’ ‘Monday evening 13 July –
Dear Miss Hobart, George tells me, there is someone so ill at the embassy, that no carriages are allowed to enter the court – surely it is not you! I hope it is not Lady Stuart – I hope it is not Lady Stuart de Rothesay – I hope, in short, that George has made some mistake – do write me one line, if you can – I thought of writing to Lady Stuart about seeing Comte de Noé’s painted glass ‘windows – I meant to have told you about the somnambule, - that she promised she would cure Sibbella, if she might but have a lock of her hair! etc.etc. But it may be you who are so ill; and I can think of nothing else – I fear there is no letter for me from Sibbella – Ever very truly yours A L’’
Then wrote out 21st, 22d, 23d botanical lecture and 25th, 26th, 27th chemical lecture of 23, 25, 27 June respectedly – then at 9 1/4 very nice note back from Miss Hobart – 2 2/3 pp. of a 1/2 sheet note – It is Miss Savile that is ill – Dr Chermside and Morgan in attendance –
‘Yesterday they apprehended a brain fever – she is very lightheaded, and excessively reduced by the quantitty of blood they had taken from her – Lady Stuart de Rothesay has sat up these 2 nights with her, and will make herself quite ill with attending – a very large dinner party unfortunatly today at home but she did dine with us, Sarah is not now in positive danger, the inflammation is very considerably diminished’ – Lady Louisa Stuart and Miss Mayo go tomorrow – if I send a letter by 9 they will take it – ‘of course we cannot think of Lady Stuart de Rothesay joining in any party this moment but if you can come tomorrow I daresay I shall be delighted to go a little drive with you – aunt Stuart is not very well, her erysipelas plagues her - … yours affectionately Vere Hobart’
Coffee at 9 3/4 – came to my room at 10 20/60 – thoroughly rainy morning from about 7 till after 11 – afterwards perpetual and sometimes heavy showers particularly between 4 and 5 - read a little Mawe’s familiar lessons on mineralogy – wrote to Mr Briggs – dated tomorrow – cannot account for having had no letter, as the rent day was on the 1st instant a fortnight since on Wednesday – the pipe of servants wine which came on Friday bottled today –
Diary pages: SH:7/ML/E/12/0055 and SH:7/ML/E/12/0056
5 notes
·
View notes
Text
Le Wagyu au menu de 20 restaurants en France !
Les Chefs participants avec des membres du Conseil pour la promotion des exportations des produits japonais d’origine animale ©TokyoatParis
Le véritable wagyû revient en France dans les cuisines de 20 Chefs étoilés du guide Michelin ! En ce mois de décembre, pour les fêtes de fin d’année, ce sont de nouvelles recettes qui subliment ce boeuf japonais. Bonne nouvelle, ça ne se passe pas seulement à Paris mais partout en France !
Depuis quelques années, les amateurs de viande de boeuf en France peuvent se procurer du véritable wagyû, cette viande de boeuf japonaise savoureuse et reconnaissable par son persillage. Rappelons que « wagyû » signifie tout simplement « boeuf japonais ». Alors pourquoi le Conseil pour la promotion des exportations des produits japonais d’origine animale, organisateur de la Semaine du Wagyû japonais en France en février 2019, précise qu’il s’agit de wagyû japonais ? Tout simplement parce qu’il existe des boeufs japonais, de la race Kuroge Washu, élevés dans d’autres pays comme le wagyû d’Australie ! Mais comment faire la différence entre un wagyû « métisse » et un vrai wagyû -du Japon donc ? Grâce à son certificat qui accompagne systématiquement le wagyû élévé au Japon !
Exemple de certificat d’identification du wagyû ©TokyoatParis
Le véritable wagyû est toujours fourni avec un certificat délivré par le Conseil pour la promotion des exportations des produits japonais d’origine animale, sur lequel sont indiqués son numéro unique d’identification, la date de l’abattage, le département de production de la viande ou encore la qualité de la viande (A5 étant la meilleure). Aujourd’hui, les consommateurs peuvent même scanner le QR code accompagnant la viande et retrouvent ainsi toutes les informations du certificat. Si vous en faites la demande à votre boucher ou au Chef mais qu’ils ne peuvent vous montrer ce certificat, considérez alors que ce n’est pas un wagyû en provenance du Japon mais probablement un wagyû élevé à l’étranger.
Démonstration de Didier Goiffon de La Huchette ©TokyoatParis
C’est donc ce véritable wagyû qui se retrouve entre les mains de 20 chefs étoilés au Guide Michelin, dont 17 chefs français et 3 chefs japonais ! Durant ce mois de décembre (pour les périodes exactes, se renseigner auprès des établissements), c’est l’occasion de découvrir ou redécouvrir cette succulente viande à travers des recettes originales, « des recettes qui ne pourraient être élaborées au Japon » dans le sens où le véritable wagyû est ici sublimé dans des recettes adaptées à la culture culinaire française.
Démonstration d’Adeline Grattard de chez Yam’Tcha ©TokyoatParis
Pour les parisiens et franciliens, rendez-vous chez Yam’Tcha, au 121 rue Saint-Honoré pour déguster les Spaghetti de patates douces, champignons shiitakés et entrecôte de Wagyu japonais d’Adeline GRATTARD, ou bien au Restaurant Auguste pour tester le Wagyû japonais, pulpe de pruneaux en aigre douce, racine de persil-café-noisette de Gaël ORIEUX, ou alors au restaurant Études au 14 rue du Bouquet de Longchamp, où Keisuke YAMAGISHI interprète un pot-au-feu avec du wagyû japonais, ou enfin chez Accents où Ayumi SUGIYAMA et Romain MAHI proposent un wagyû japonais en barbecue, anguille fumée, citron verdelli confit, patate douce. Ou pourquoi pas se faire un grand plaisir en visitant les 4 établissements ?
Démonstration par Laurent Lemal de la Coopérative ©TokyoatParis
Et si vous comptez célébrer les fêtes de fin d’année ailleurs en France, cela tombe bien ! Rendez-vous à la Coopérative de Laurent LEMAL (à Bélesta, 66), au Favre d’Anne de Pascal FAVRE d’ANNE (Angers, 49), au Haut Bonheur de la Table d’Eugène HOBREICHE (à Cassel, 59), chez Ima de Julien LEMARIÉ (à Rennes, 35), chez Le Cerf à Marlenheim de Joël PHILIPPS (Marlenheim, 67), à Maison Dufossé la Table de Christophe DUFOSSÉ (à Metz, 57), à la Merise de Cedric DECKERT (à Laubach, 67), au Restaurant Julien BINZ du nom du chef (à Ammerschwihr, 68), à L’Aspérule de Keigo KIMURA (à Dijon, 21), au Château du Mont Joly de Romuald FASSENET (à Sampans, 39), au Relais Bernard Loiseau de Patrick BERTRON (à Saulieu, 21), à l’Auberge de Clochemerle de Romain BARTHE (à Vaux-en-Beaujolais, 69), au restaurant Raphaël VIONNET du nom du chef (à Thonon-les-Bains, 74), chez les Explorateurs de Josselin JEANBLANC (à Val Thorens, 73), à la Huchette de Didier GOIFFON (à Replonges, 01), et à l’Ékrin de Laurent AZOULAY (à Méribel, 73) !
Pour d’autres photos de la présentation du Wagyû, n’oubliez pas de suivre le compte Instagram @tokyoatparis !
Toute reproduction interdite sans autorisation
2 notes
·
View notes
Photo
Au détour d’un petit village de la Nièvre (Saint Honoré les Bains)...
1 note
·
View note
Text
8月19日2018年 21:57
Je suis encore un peu cassée d’hier, c’était vraiment incroyable ! Commençons doucement d’accord ?
Avant hier, je vous avais dit que j’allais pas trop bien, en proie aux doutes alors je suis allée prier à mon sanctuaire habituel. J’ai demandé au Kami... À Amaterasu notamment (C’est la Kami du soleil qui veille sur toute chose pour faire un très gros résumé, c’est LA Kami), de m’aider à dissiper mes doutes et de me protéger lors de l’ascension.
J’ai ensuite trouvé le petit cadavre de la cigale de l’autre soir, j’ai décidé de la ramener à la maison et de la déposer vers l’entrée non loin de Marceline l’araignée... Profitons-en pour faire l’anatomie de cette magnifique créature en images. C’est une Aburazemi, une espèce de cigale parmi tant d’autres au Japon. Higurashi, Tsukutsukuhoshi, Minminzemi, Ninizemi, etc...
À peine rentrée que ma prière avait déjà été entendue, j’ai discuté avec Tetchan qui m’a dit qu’il y avait la possibilité de rejoindre une famille de sanctuaire et d’obtenir par la même la nationalité japonaise, réglant ainsi les problèmes de Visa et permettant de travailler en tant que prêtresse aussi longtemps que souhaité. J’étais à nouveau ultra déterminée mais je me suis dit qu’un peu de repos serait nécessaire avant l’ascension.
J’ai fini de réparer mon sac et ai pris mon Bento avant d’être emmenée en voiture jusqu’au bus Tomasz nous avait rejoint, c’était un précédent wwoofer du Ermot, il est polonais. Il y avait beaucoup de personnes mais nous allions être 15 à faire cette ascension. Bien, je ne serai pas seule à affronter l’épreuve que les Kami m’ont imposé. 3 heures de trajet en bus jusque là-bas. J’ai dormi pendant le trajet pour pouvoir être le plus à fond possible.
On a eu 1 heure pour nous préparer et quelques discours, notamment une des personnes étant déjà allée au sommet nous a dit qu’il ne pensais pas qu’on l’atteindrait, pas assez d’endurance. J’étais légèrement déçue mais je me suis dit... Bah, c’est lui l’expert alors je vais suivre et j’y retournerai avec un groupe plus endurant un jour. C’était une épreuve de Kami mais, ce genre d’épreuve ne veut pas forcément dire que l’on doit arriver à tout prix au but, c’est le chemin qui importe et veiller sur le groupe aussi. Nous sommes sorti il était 23:00.
Il faisait un peu froid dehors mais aucun problème, en marchant nous allions avoir chaud. Il faisait nuit, nous étions éclairés à la lumière de nos torches frontales, le froid n’était pas vraiment un problème, je vous passerai une description interminable de chaque rocher et centimètre parcouru à la Tolkien, vous avez les images pour cela. La vue était magnifique et il y avait plusieurs maisonnettes pour se reposer, des gens dormaient dedans ou se faisaient à manger.
Amaterasu a fini par se lever ! Le soleil a commencé à éclairer le chemin donc j’ai rangé ma lampe dans mon sac, l’ascension on s’encourageait mutuellement, je criais Faitoooo et un autre le criait puis un autre, ou Gambatte (Courage) Tatakatte ! (Battez-vous) Akiramenai ! (N’abandonnez pas) Dekimasu ! (Vous pouvez le faire) On s’encourageait mutuellement, c’était beau. Le sommet était encore très loin cependant.
À mi-chemin, j’ai eu la surprise de tomber sur un sanctuaire, j’ai fait une offrande, j’ai prié en demandant de m’aider à surmonter cette épreuve, de veiller sur moi et mes amis, ainsi que toutes les personnes sur cette montagne et ai récupéré toute mon énergie, quel kami incroyable ! J’ai parlé de mon projet à la Dame qui vendait les omamori pour savoir ce qu’elle me conseillait. Ils étaient très surpris et honorés que je veuille devenir une prêtresse, j’ai donc pris un omamori de chance puis je suis partie après m’être inclinée avec respect. Me voilà connectée à un de plus.
Le sommet se rapprochait de plus en plus, j’étais désormais la première du groupe et pas fatiguée du tout. Certes il devenait légèrement difficile de respirer mais pas de problème, je faisais des pauses méditative rapides et je repartais. J’encourageais mes alliés et ai même escorté une dame du groupe qui avait beaucoup de mal à un moment et s’endormait. Je l’ai escortée jusqu’à la prochaine maisonnette en l’encourageant, elle y est arrivée et a pu se reposer. L’ayant confiée à d’autres membres du groupe je suis repartie à la tête.
Le sommet était visible et proches, il y avait pas mal d’autres marcheurs. Nous arrivons bientôt, je devais encore les encourager, c’était mon devoir car j’était celle qui avait le plus d’énergie. J’étais bien déterminée et toujours pas fatiguée.
Le sommet... Je l’avais enfin atteint, je me sentais si bien pas un seul symptôme de fatigue. Je veux dire, j’avais déjà fait le grand Saint-Bernard en Ski avec des peaux mais ça, c’était quelque chose. Je suis allée prier au sanctuaire et ai acquis trois omamori du sommet, j’ai eu un peu plus de mal à ressentir la forte puissance deslieux... Trop de monde, trop... Commercial aussi sans doute. Les autres m’ont rejointe mais nous n’étions plus que 6 alors que nous étions 15 au départ... Je me suis dit qu’ils avaient peut-être abandonnés et étaient redescendus à la voiture ce qui était plus sur. Quoi qu’il en soit j’avais foi en eux.
Nous sommes allés nous reposer et avons commencé à manger, j’ai dormi 5 minutes et les autres membres du groupe ont finit par arriver. De fil en aiguille, tout le monde a finit par atteindre le sommet, j’étais si fière d’eux ! Même si il y avait du doute au début, l’épreuve des Kamis a été menée à bien !
Puis, une petite épreuve bonus supplémentaire s’est imposée, on m’a proposé de faire le tour du sommet, ce que j’ai évidemment accepté. Nous étions 4 et la vue était à couper le souffle, une grande partie du Japon était visible. J’ai fait une bonne partie du chemin seule cette fois, car les trois autres personnes avaient pris un peu d’avance.
Il y avait un autre sanctuaire dans lequel j’ai à nouveau prié et me suis également connectée. Nous sommes allés au point culminant, 3776 mètres et avons pris des photos après une attente (Il y avait une file d’attente pour ça.)
En ayant presque finit le tour j’ai vu, trop tard malheureusement, ce que j’ai senti comme étant le véritable sanctuaire, un rocher situé en contrebas... Mais cette fois mes pieds commençaient à me faire mal et il était situer un peu bas, en fait il fallait descendre dans le cratère puis remonter. Je suis un peu déçue de ne pas m’être motivée à descendre mais... Au final, je peux toujours revenir un jour, ne ? Ce qui compte c’est avant tout d’avoir atteint le sommet et réussi cette épreuve avec tout le monde.
Après avoir rejoint les autres, nous avons entamé la descente. Quelque chose de long, périlleux... Je n’en voyais pas le bout c’était interminable. En réalité, je préférais la montée à la descente car devoir se retenir en descendant est une torture pour les orteils.
J’ai fait plusieurs pauses suis descendue somme toute assez vite, ai mangé mon dernier Onigri et n’ai pas arrêté de croiser, dépasser, recroiser les membres du groupe comme un accordéon infini.
Vers la fin, je ne sentais même plus mes pieds, alors j’avançais avec détermination à travers les débuts de la forêt, puis finalement, le retour à la station no 5, l’endroit était bondé ce qui contrastait avec cette nuit où c’était vide.
Nous sommes rentrés dans le bus, mes orteils étaient blancs alors j’ai laissé la circulation se refaire. Les autres ont finit par nous rejoindre.
Et puis nous sommes partis... Au revoir Fujisan. Nous avons roulé looongtemps car ils voulaient absolument aller dans un Onsen. Moi avec mon tatoo j’avais toujours peur. Nous sommes arrivés, j’étais épuisée c’était très difficile car j’avais du mal à comprendre et à me faire comprendre. J’ai mangé et acheté une serviette, (l’entrée était de 1000 Yens) je devais retrouver la seule femme du groupe dans les vestiaires 14 minutes plus tard. Mais lorsque je suis arrivée j’étais seule, au milieu de femmes nues qui commençaient à se poser des questions car j’hésitais. J’ai déballé la serviette, trop petite pour faire le tour de ma taille et me cacher, ne sachant trop que faire j’ai fuit, puis ai discuté avec un des gars du groupe avant de retourner au bus un peu blasée et honteuse. Résultat, mini serviette 10.- J’étais un peu déprimée mais discuter un peu avec Valentin sur Whatsapp m’a redonné le sourire.
Nous sommes rentrés, je dormais à moitié, j’ai pris une douche et ai tenté de ne pas m’endormir dans le bain. Tetchan et Akiko faisaient un tournage car Tetchan est journaliste.
Les Omamori du Fujisan, le premier est le porte chance, les autres ont été acquis au sommet (sauf la petite bourse que la plupart d’entre vous reconnaîtrons) et enfin le superbe linge à 10.- ...
Je me suis ensuite endormie comme une masse.
Ce matin, j’avais mal partout mais tout allait bien... J’ai fait le ménage, entretenu le Kamidana et parlé avec un vieux Monsieur, Matsumura. Akiko lui a parlé de mon projet de prêtresse. Très impressionné il m’a donné rendez-vous demain à 13:00 pour faire le tour des sanctuaires de la région et me présenter. H-Hoa... Je vais pouvoir non seulement me faire connaître mais également me connecter à plein de sanctuaire d’un seul coup ! Encore une réponse incroyable à mes prières.
J’ai beaucoup parlé avec Tetchan aujourd’hui, j’ai notamment appris qu’il me serait difficile de devenir prêtresse en tant qu’étrangère dans le Kanto, mais qu’à Kyoto (Kansai) ce serait plus simple car ils sont plus amicaux avec les étrangers, il s’agit du “Vrai” Japon car cette partie là n’avait pas vraiment capitulé face aux États-Unis. Mon cœur s’est remis à battre, j’ai toujours été appelée par Kyoto, mais m’y suis refusée car je pensais la zone trop traditionaliste pour m’accepter. Nouvel appel donc, qui n’est que la continuité du premier.
Tetchan m’a dit que mon énergie lui faisait penser à Amaterasu, je lui ai expliqué que c’était la Kami avec laquelle je me suis toujours sentie la plus proche. C’est aussi pour cela que j’ai une énergie solaire. Il y a des maisons mères pour les sanctuaires, les reliant tous. Je vais postuler à celle de Kyoto nous verrons bien, suivre mon cœur m’a toujours réussi jusqu’à maintenant.
Nous sommes allés faire quelques courses notamment des médicaments pour moi, brûlure au visage suite à un violent coup de soleil pansements anti-cloques. Puis sommes allés acheter de quoi manger après avoir visité un beau jardin de roses, mon nectar de pêche japonaises préféré en main.
Ce soir là, j’ai cuisiné une bonne salade tomates mozzarella avec du basilic et de l’origan du jardin les tomates étaient délicieuses ! En fait tous les fruits et légumes sont tellement bons. Est-ce à cause du climat et du..(je crois ?) Faible taux d’import export alimentaire ?
Puis nous sommes allés faire un tour dehors avec Tetchan et Tomasz. Au sanctuaire Sueno, Tetchan m’a montré les bonne procédures de prières et quelques mouvements de mains, il a dit que j’étais très habile et que j’ai le corps d’une prêtresse. Puis Tomasz est rentré chez lui alors que Tetchan et moi somme allés au sanctuaire Shirakami. La nuit était Agréable et Tetchan avait un bâton de combat avec lui, il était très habile, c’est un Ninja après tout...
Le sanctuaire Shirakami était toujours aussi puissant nous avons priés, là aussi. J’ai demandé aux kamis de m’aider à apprendre le japonais vite afin de m’adapter encore plus vite que je ne le fais déjà. Nous sommes rentrés et j’ai commencé à rédiger cette looongue page du mont Fuji, Tecthan et Akiko avaient une petite conférence à côté, ça parlait de Amaterasu qui s’était réincarnée plusieurs fois à travers le monde, pas seulement en tant qu’homme ou en tant que japonais. Cela me fait penser que... Lorsqu’il m’a parlé de Jinmu dans l’après-midi, mon âme s’est sentie très triste et émue, sans trop savoir pourquoi et d’une manière et d’une autre, je l’ai connu ce Jinmu. J’étais au bord des larmes... En regardant mes mains il m’a aussi dit que j’avais des mains de japonaise.
Un petit Google maps pour avoir une idée du parcours, bon ils disent 2h17 de marche mais faut être une machine pour ça je pense et pas s’arrêter du tout x)
Bien, comme vous pouvez le voir sur cette image, comme d’habitude, les étoiles sont les sanctuaires avec lesquels je me suis connectée, moins fatiguée cette fois car j’ai appris à faire Misogi correctement. Si vous regardez sur la troisième image il y a un chemin qui zigzague fort à droite du chemin de la montée. La descente interminable a été faite par là.
Bon et bien voilà, pour l’histoire du Mont Fuji, à bientôt pour de nouvelles aventures !
2 notes
·
View notes
Text
Choisir son expert-comptable à Saint-Honoré-les-Bains - 6 critères incontournables
Choisir son expert-comptable à Saint-Honoré-les-Bains – 6 critères incontournables
La région de Saint-Honoré-les-Bains compte moins de 10 experts-comptables. En tant qu’entrepreneur, dirigeant ou créateur, cela vous fait donc autant de possibilités pour choisir l’expert-comptable adéquat qui vous
View On WordPress
0 notes
Text
Walsdorff hostel in Saint-Honoré-les-Bains, Nivernais region of France
French vintage postcard
#french#carte postale#bains#honor#sepia#photo#postkarte#tarjeta#ansichtskarte#hostel#saint#postkaart#ephemera#postcard#vintage#nivernais#saint-honoré-les-bains#historic#postal#region#briefkaart#walsdorff#france#photography
2 notes
·
View notes
Photo
Saint-Honoré-les-Bains, 2016
#Saint-Honoré-les-Bains#Burgundy#France#Street Photography#Photographers on Tumblr#Original Photographers
6 notes
·
View notes
Photo
Castle's Rock - 25 April 2018 Château de Chatillon Bazois, Burgundy, France Credits: lavenderhillinteriors
Châtillon-en-Bazois is a french commune located in the Nièvre department in the Bourgogne-Franche-Comté region .
Châtillon would be a derivative, undoubtedly Merovingian, of the lower Latin castellum , diminutive of castrum , accompanied by the suffix -ionem . Castrum first refers to all types of fortress, from the simple dungeon to the urban wall, then specializes in the sense of "castle" and then reduces to that of "large house".
Pope Alexander III , by a bull of April 1164 , confirms the donations made to the abbey of Saint-Martin d'Autun , including the cure of Châtillon ( ecclesiam Castellione.
The stronghold of Eschenault in Saint-Honoré-les-Bains , was in Châtillon-en-Bazois.
Between 1790 and 1794, the town absorbs the neighbor of Frasnay-les-Chatillon. During the revolutionary period of the National Convention (1792-1795), the municipality temporarily bore the name of Châtillon-sur-Aron. In 1859, the communal territory of the neighboring commune of Mingot is shared between Châtillon-en-Bazois and Mont-et-Marré.
4 notes
·
View notes
Photo
Nièvre: la préfète annonce l'expulsion imminente des squatteurs de Saint-Honoré-les-Bains https://ift.tt/3kpVCIc
0 notes
Text
Hélène Bertaux
1825-1909 Sculptrice France
Ayant elle-même accédé au métier de sculptrice à une époque où le métier se décline plutôt au masculin, Hélène Bertaux œuvre en retour pour que d’autres femmes puissent accéder à la formation et la reconnaissance de leur statut dans cette discipline des Beaux-Arts.
Au XIXe siècle, la capacité de création des femmes artistes est fortement remise en question. Ne leur est concédée qu’une certaine habileté à exécuter des tâches mineures ou des copies. L’École des Beaux-Arts leur est interdite, elles se forment donc grâce à un environnement familial favorable. C’est le cas d’Hélène Bertaux, qui s’appelle alors encore Joséphine Pilate. Son beau-père, Pierre Hébert, sculpteur et réparateur de plâtres, l’initie au modelage. Elle se parfait ensuite avec Auguste Dumont, Prix de Rome en sculpture en 1823, qui enseigne à l’École des Beaux-Arts.
Jusqu’en 1855, elle est essentiellement sollicitée pour réaliser des ornementations de pendules. Ces commandes ne la mettent pas à l’abri de la précarité financière. Elle bénéficie cependant du soutien du bronzier Victor Paillard, qui lui achète régulièrement ses créations et la prend sous son aile. Par son biais, elle rencontre les plus grands artistes de l’époque et noue des relations durables avec la famille impériale.
Enhardie, ses réalisations gagnent progressivement en taille. Elle est une des rares sculptrices à exercer dans la sculpture monumentale. Dès 1854 elle signe ses œuvres sous le nom de « Madame Léon Bertaux », du nom de son compagnon qu’elle ne peut épouser : le divorce est interdit. Elle l’épouse finalement en 1866, à la mort de son premier mari.
Elle expose pour la première fois au Salon de peinture et de sculpture en 1859 et rencontre un véritable succès qui lui assure par la suite de nombreuses commandes publiques.
En 1864 elle présente un Jeune Gaulois prisonnier par les Romains, un des premiers nus masculins qui soit revendiqué par une sculptrice. Cette œuvre lui permet la reconnaissance du milieu artistique et obtient une première médaille au Salon.
Lors de la présentation de sa Jeune fille au bain en 1876 sa notoriété est telle qu’elle est déclarée hors concours au Salon, et récompensée pour l’ensemble de son œuvre. Sa Psyché sous l’empire du mystère lui rapporte la médaille d’or de première classe à l’Exposition universelle de 1889.
Bertaux reçoit de très nombreuses commandes publiques, son travail ornemente à Paris les façades du Palais du Louvre, du Palais du Luxembourg ou du Nouvel Opéra (opéra Garnier).
Consciente de la difficulté d’une carrière professionnelle pour les femmes qui ne bénéficient pas d’une formation de qualité ou de moyens financiers, Bertaux use de son influence incontestable sur la scène artistique pour promouvoir l’éducation artistique féminine. Elle ouvre un premier cours de modelage à destination des femmes, au 223 rue du Faubourg-Saint-Honoré, puis une école de sculpture. Elle crée enfin en 1881 l’« Union des femmes peintres et sculpteurs ».
La pression que Bertaux exerce sur l’École des Beaux-Arts de Paris porte ses fruits. Alors que Napoléon Ier, grand misogyne, leur en avait fermé les portes, en 1897 enfin, l’école laisse à nouveau entrer des femmes.
Elle use également de son influence pour que le statut artistique des femmes soit reconnu par les institutions. Hélène Bertaux obtient notamment la mixité des candidatures du Prix de Rome. Une génération avant Camille Claudel, Hélène Bertaux bouleverse les codes et ouvre la voie aux futures sculptrices.
Elle passe les douze dernières années de sa vie à Saint-Michel-de-Chavaigne dans la Sarthe. Tous les ans, l’association Mains d’art lui rend hommage. Elle organise dans le village une semaine des métiers d’arts et remet un Prix féminin à son nom.
Photo : Hélène Bertaux 1864 par Étienne Carjat - BNF Gallica
1 note
·
View note