#ryuko Eldo Yoshimizu
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reaper-the-jellyfish · 9 days ago
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Ryuko by Eldo Yoshimizu
Please read Ryuko guys, I don’t know where it’s available online but you can buy the only 2 volumes off Amazon for like 12 bucks a piece and trust me it’s worth it just for the art alone.
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strangemonochromes · 7 months ago
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Ryuko (龍子) // Eldo Yoshimizu
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useyourimagination2020 · 1 year ago
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Ryuko by Eldo Yoshimizu
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useyourimagination2020 · 1 year ago
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"Ryuko" by Eldo Yoshimizu
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mangacapsaicin · 2 years ago
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eldo yoshimizu’s ryuko || エルド吉水の『龍子』
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cantstopthinkingcomics · 4 years ago
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Ryuko by Eldo Yoshimizu
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madmax76d · 2 months ago
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Eldo Yoshimizu's Ryuko
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mar-ruiz · 3 years ago
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(vía Review – 'Ryuko Vol. 1 & 2 Boxed Set'- A New Beatrix Kiddo)
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squirrelstothenuts · 4 years ago
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alanmackcomics · 3 years ago
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Great things come in the mail.
RYUKO Vol. 2 by Eldo Yoshimizu. Very cool.
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artnachronisme · 4 years ago
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A day in four pictures :
1. Some Monet’s paintings at the Marmottan-Monet museum
2. Eldo Yoshimizu’s Ryuko exhibition at the Art Factory Gallery
3. Monsieur Marmottan’s house
4. Tea Time at Mariage Frères
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strangemonochromes · 6 months ago
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Ryuko (龍子) // Eldo Yoshimizu
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craigfernandez · 5 years ago
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RYUKO!
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facetsofthejewel · 5 years ago
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Tonight's Silliness-in-Progress: The Spectacular Spider-Ham!! I started a new artbook tonight and decided to not christen it with anything even remotely serious...
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graphicpolicy · 6 years ago
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Preview: Ryuko Vol. 1
Ryuko Vol. 1 preview. Ryuko has a choice to make, but it's tough when good and evil appear to be two sides of the same coin... #comics #comicbooks
Ryuko Vol. 1
Creator: Eldo Yoshimizu Publisher: Titan Comics, Hard Case Crime Softcover, 256pp, $14.99, £12.99 ISBN: 9781787730946 On sale in bookstores: August 6, 2019 On sale in comic shops: August 7, 2019
Ryuko is a hard-hitting, motorcycle-riding, high-ranking member of the Japanese mafia stationed in the Middle-East. After a fierce battle with the government, she becomes embroiled with the…
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affairesasuivre · 6 years ago
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Ryuko, l'incontournable manga de ce début d'année. Attention pépite ! Eldo Yoshimizu publie le tome 2 des aventures de sa princesse carnage, un roman graphique ovni, frénétique et mélancolique.
Une femme avec de longs cheveux noirs et un tatouage en forme de dragon sur son corps élancé chevauche une moto Kawasaki à toute allure dans les rues de Tokyo. Yakuzas, triades chinoises, agents de la CIA, mercenaires tombent sous les balles de son Mauser ou sous la lame de son katana. La froide et mystérieuse créature n'aspire qu'à une chose : la vengeance. Ryuko est la nouvelle princesse carnage du manga dessiné par le génial Eldo Yoshimizu. L'auteur publie enfin le second volume de son incroyable diptyque qui rend hommage au cinéma d'action américain, au western spaghetti et au film de yakuza. Ryuko fait figure d'ovni dans le paysage de l'édition japonaise, l'œuvre mélange les codes du roman graphique, des comics et du manga.
Chose suffisamment rare pour être soulignée, l'auteur a lui-même contacté le créateur des éditions du Lézard noir Stéphane Duval pour être publié en Inconnu dans son pays, car découragé par l'édition japonaise, l'auteur a refusé de présenter son œuvre de peur d'être limité dans sa créativité. Il a préféré se tourner vers l'plus proche de sa vision artistique. « Il m'a présenté un travail que j'avais du mal à situer entre manga et pop art, l'exposition qu'il m'avait donné à voir était constituée de cases isolées en grand format des planches de Ryuko », explique Stéphane Duval. « Il n'avait alors publié qu'un petit fascicule comprenant le premier chapitre de ce qui deviendrait un manga en deux volumes de plus de 200 pages. J'ai tout de suite été subjugué par son style graphique virtuose et énervé, mais il nous a fallu plusieurs rencontres pour vraiment débuter à travailler ensemble sur une relation que je souhaitais à long terme. »Des scènes d'action entre Platoon et Jason Bourne
Ce récit shakespearien, tout en nervosité, plonge le lecteur dans une course meurtrière. Après des années passées en exil au Moyen-Orient, Ryuko décide de rentrer au Japon avec son clan de yakuza et retrouve sa mère qu'elle croyait morte. La jeune mafieuse sème le chaos dans Tokyo en essayant d'atteindre son but, commettre un parricide. Le scénario proche de Lady Snowblood et de Kill Bill est classique, mais terriblement efficace. On ne perd jamais le fil de l'intrigue, malgré les nombreuses histoires imbriquées et les personnages sont tout simplement inoubliables, entre l'ancien soldat des forces spéciales russes en quête de rédemption et le terroriste pachtoune borgne et romantique. Le contexte de la guerre d'Afghanistan des années 1980 apporte un côté « western moderne » à l'aventure.
Le talent le plus impressionnant d'Eldo Yoshimizu reste celui de dessinateur, mention spéciale pour ses scènes d'action. Ce sculpteur et photographe a expliqué être parti à contre-courant des mangas ordinaires très codifiés dans l'alignement des cases. « Les cases sont éparpillées un peu partout, car il faut avoir la sensation qu'elles bougent. Des amis auteurs de mangas m'ont dit qu'il fallait dessiner tout le corps durant les scènes d'action, et laisser le cadrage fixe, comme si la caméra ne bougeait pas. Mais mon expérience dans le combat m'a appris qu'on ne voyait pas beaucoup l'adversaire. Quand on se bat, on n'aperçoit ni le décor ni les gens qu'il y a autour. Et donc pour insuffler du mouvement, il n'est pas nécessaire de dessiner les corps en entier. » Cinéphile, il revendique son envie de dessiner du gekiga (manga pour adulte) proche du cinéma de Takeshi Kitano (Aniki mon frère, Sonatine) pour ses plans contemplatifs, et de Park Chan-wook (Old Boy et Lady Vengeance), célèbre pour son esthétique de la violence. Yoshimizu admet cadrer des cases en pensant à des scènes de cinéma comme celles de guerre de Platoon d'Oliver Stone ou de la série Jason Bourne pour un sentiment toujours plus immersif à la lecture. 
 Une rage mélancolique se dégage de son trait. Le manga permet à Eldo Yoshimizu d'expier une partie de sa vie ratée. Divorcé et en froid avec sa fille, il admet avoir été égoïste, obnubilé par son art. Alors qu'il connaissait un certain succès au Japon, une dépression nerveuse lui fit perdre emploi et famille. Il est un temps devenu vigile de chantier pour subvenir à ses besoins. Ce manga est une forme de libération. « Il y a des messages qui sont directement destinés à ma fille dans Ryuko et l'acte de parricide à une résonance particulière », a confié l'auteur. Icône érotico-pop, son héroïne est d'abord présentée comme une tueuse froide et charismatique dans les premières pages, puis évolue pour se faire davantage justicière. Son besoin de vengeance se transforme en une quête initiatique et se termine sur note positive bien loin de la fin tragique et morbide que l'on retrouve habituellement dans le genre. Ryuko, qui culpabilise du meurtre de son père, s'affirme comme une figure indépendante qui, comme son auteur, se libère progressivement de son passé.L'artiste (au nom inspiré de la Cadillac Eldorado qu'il possédait à l'époque) est en résidence à Angoulême pour préparer son nouveau projet avec les éditions du Lézard noir. « Maintenant que Ryuko est désormais terminé, nous travaillons ensemble à un projet de création avec un scénariste français. C'est une sorte de thriller dans le monde de la finance et de l'occulte qui se passera entre la France, l'Angleterre et le Japon. C'est un peu hybride donc, entre bande dessinée franco-belge et manga. Les premières planches sont magnifiques », confie Stéphane Duval. 
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