#rudolf dischinger
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(vía Weimar: From Caligari to Hitler)
Rudolf Dischinger, Bedrohung (Menace), 1935
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15.09.2021
Rudolf Dischinger - Grammophon 1930, and an odd picture of a Café I went to quite a while ago.
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Gramophone by Rudolf Dischinger, 1930
#gramaphone#modern art#neue sachlichkeit#new objectivity#weimar berlin#magical realism#weimar republic#babylon berlin#1920s berlin#modern realism#weimar republic art#1930s modernism#1930s painting#1930s art#rudolf dischinger#palm trees#palm plant#record player
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Rudolf Dischinger Hinterhaus-Balkon - 1935 Oil on canvas
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Rudolf Dischinger
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Rudolf Dischinger (German, 1904-1988), Bedrohung [Menace], 1935. Oil on canvas
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MWW Artwork of the Day (7/23/19) Rudolf Dischinger (German, 1904-1988) Bedrohung (Menace)(1935) Oil on canvas Kunstmuseum, Bonn
This was one of the first artistic commentaries on the Nazi regime. Though some of the leading artists of the Weimar Republic had fled the country when the Nazis came to power in 1933, the majority remained behind and, if allowed to exhibit, found ways to avoid the scrunity and ire of Goebbels and his henchman. Some even carried on the critical tradition of the New Objectivity with an oblique, rather than frontal, attack on the society of the "New Germany" -- through allegory, as with Otto Dix, or through a sort of "representional abstraction," as Dischinger here.
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Rudolf Dischinger (1904-1988), Bedrohung / Menace, 1935.
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Rudolf Dischinger (1904-1988) : Grammophon [Gramophone], 1930, huile sur contreplaquéRudolf Dischinger (1904-1988) : Grammophon [Gramophone], 1930, huile sur contreplaqué
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AUGUST SANDER - La nouvelle objectivité, l’Allemagne des années 20.
Première vue d’ensemble sur ce courant artistique en France, l’exposition pluridisciplinaire du Centre Pompidou se penche sur l’art et la culture de l’Allemagne des années 1920, dans un parallèle avec l’œuvre du photographe August Sander.
L’ensemble de cette exposition aussi riche qu’inédite trace un parcours qui donne toute leur visibilité aux représentations artistiques de l’Allemagne d’August Sander, qui fit de l’objectivité absolue le principe premier et exclusif de son travail.
Entre les deux guerres mondiales, l’Allemagne fut un creuset où nombre de révolutions plastiques se mêlèrent en s’opposant. Né avant-guerre, l’expressionnisme et l’abstraction y respirent encore, mais leur élan a été brisé par le conflit et ses dégâts collatéraux. La vocation spirituelle de l’art, ses ambitions idéalisantes, son apologie de l’imagination créatrice, la confiance qu’il accordait à la subjectivité émancipatrice ne sont plus à l’ordre du jour.
En réaction, un nouveau ce courant artistique va naître et prendre de l’importance, baptisé Neue Sachlichkeit, autrement dit Nouvelle objectivité, il va se développer en imprégnant toutes les formes d’expressions artistiques et culturelles de la société allemande jusqu’en 1939.
Au sortir de la première guerre mondiale, c’est une ère de contrastes qui s’ouvre dans une Allemagne aussi désabusée que riche de créativité. D’un côté, les aspirations démocratiques naissantes de la République de Weimar, l’essor fulgurant de la technique, la libération des mœurs, voire d’une marginalité jusqu’alors réprimée. De l’autre, la fin des illusions et des utopies terrassées dans l’enfer des tranchées, la violence irréfrénée du développement industriel, et la montée des totalitarismes.
L’arrivée au pouvoir du nazisme, en 1933, mettra brutalement fin à la vague créative de la Nouvelle Objectivité, qualifiée « d’art dégénéré » par les représentants du Troisième Reich qui ordonnèrent la destruction de très nombreuses œuvres des artistes associés au mouvement.
Pour beaucoup inspirés par les idéaux socialistes, ces derniers dépeignent une société aux antipodes des dérives fascistes qui s’annoncent, célébrant tour à tour la solidarité entre les travailleuses et les travailleurs, la transgression des normes, le progrès humain, l’émancipation sexuelle, tout en dénonçant les souffrances dues au militarisme et la grossièreté brutale d’une bourgeoisie qui soutiendra bientôt l’accession d’Hitler au pouvoir.
Pluridisciplinaire, l’exposition réunit peinture, photographie, architecture, design, littérature, autour de quelques-unes des grandes figures de l’art allemand des années 1920. On y retrouve ainsi des œuvres marquantes de Hans Baluschek, Aenne Biermann, Heinrich Maria Davringhausen, Rudolph Dischinger, Otto Dix, Franz Xaver Fuhr, Wilhelm Heise, George Grosz, Oskar Nerlinger, Lotte B. Prechner, Rudolf Schlichter, Georg Scholz, ou encore Karl Völker.
La première partie de l’entre-deux-guerres apparaît comme ailleurs comme une parenthèse, dans une Allemagne en ébullition qui hésite entre les promesses offertes par le progrès social et technologique, et la nostalgie d’un empire synonyme de puissance.
L’impressionnant travail photographique d’August Sander fait office «d’exposition dans l’exposition». Dans une démarche documentaire, le portraitiste originaire de Cologne réalise « une coupe transversale de la société allemande, reflétant les bouleversements et les distorsions de son histoire ».
Familles ouvrières ou paysannes, grands ou petits bourgeois, artistes ou marginaux : les séries de portraits rassemblées au Centre Pompidou constituent un témoignage sans équivalent du quotidien et des divisions de l’Allemagne de Weimar.
L’ensemble est d’une richesse exceptionnelle et notamment du fait qu’une grande matière à réflexion est proposée par ces nombreuses œuvres, sans pour autant que ne soit résolu le mystère de cette période sociale et politique aussi sombre que complexe. Ce sont ces années charnières qui menèrent aux affres de la seconde guerre mondiale, on scrute les images et on lit avidement tous les commentaires proposés dans l’espoir de saisir un nouvel éclairage sur ce qui fit advenir l’horreur.
Aucune explication ni aucune analyse n’est proposée, mais grâce à la monstration de ces nombreuses œuvres aussi radicales que dérangeantes, une certaine lumière s’impose, envers et malgré tout.
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Rudolf Dischinger, Grammophon, 1930, Freiburg i. Brsg., Museum für Neue Kunst.
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