#roy hattersley
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ministerforpeas · 2 months ago
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Roy Hattersley gives birth..
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hislopchino · 2 years ago
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The spitting image of Roy
By Ross Benson
From the Daily Express, 9th March 1995
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misspeppermint2003 · 3 months ago
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⭐️ Weekly Fandom Vote (Round 53) ⭐️
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thesteveyates · 2 years ago
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Random.......resolutions.
Random Wednesdays, second post. (March) Many years back I was in the gym of the ‘posh’ raquet sports and health club at this time of year doing my customary free weights workout and I was wondering why the gym was so quiet compared to a few weeks previously and the simple answer turned out to be that most of the new resolutions newbies had basically lost interest and if they were there at all…
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ministerforpeas · 2 months ago
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There's like two scenes in particular where Thatcher screams in a rather realistic manner for an average woman so if Nallon did the scream then he's a legendary VA! He also did Kenneth Baker the slug, Edward Heath, Archbishop Robert Runcie, Harold Wilson, Roy Hattersley etc.
Wait a minute, the voice of Margaret Thatcher from the satirical television puppet show "Spitting Image" was done by a man?!
Man, that Steve Nallon must be a really talented voice actor, I really thought her voice was done by a woman with a very deep voice!
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lupitovi · 2 years ago
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Que nous apprend le projet politique qu’on appelle néolibéralisme ? Puisant ses racines idéologiques dans La Route de la servitude de Friedrich Hayek et les développant au sein de l’École de Chicago, le néolibéralisme a atteint l’Europe à la suite des luttes ouvrières des années 1970. Le cadre a été fixé par les représentants politiques du grand capital. En Grande-Bretagne, ce fut le gouvernement de Margaret Thatcher. Liberté et capitalisme, dit-on, sont indissociables. La moindre intervention de l’État pour modérer le « libre » marché serait le premier pas sur la voie de la dictature. En conséquence, le capitalisme doit réussir et les profits doivent être garantis. Cela signifie, inévitablement, un effort constant pour accroître l’exploitation de la classe ouvrière. Thatcher s’est employée à cette tâche avec une précision militaire en menant son attaque sur trois fronts : retirer les subventions de l’État aux industries défaillantes et permettre une augmentation massive du chômage ; promulguer des lois afin de restreindre la capacité des syndicats à résister ; et provoquer des grèves que le gouvernement savait pouvoir briser. Les choses se sont passées comme prévu. Alors que les usines étaient obligées de fermer les unes après les autres et que les industries tombaient en faillite, le chômage augmentait rapidement. La plupart des dirigeants syndicaux, des sociaux-démocrates de droite, ont choisi de ne pas mobiliser les militants alors que beaucoup étaient prêts à se battre. Cet échec, largement passé sous silence dans l’histoire écrite par la classe dominante, a joué un rôle important dans le succès de Thatcher. Avec tant de personnes sans emploi, il était plus difficile de défendre les salaires et les conditions de travail. « Si vous ne voulez pas travailler dans ces conditions, dix autres personnes sont prêtes à prendre votre place. » Les nouvelles lois ont été violentes. Les travailleurs ne pouvaient pas décider la grève lors d’une assemblée générale. On devait voter par correspondance, l’employeur se donnait ainsi le temps de se préparer et la presse pouvait faire campagne contre un éventuel débrayage. Seule une poignée de piquets de grève pouvaient s’opposer aux briseurs de grève lorsqu’ils essayaient de se rendre au travail. Le rapport de force entre classes sociales tournait fortement à l’avantage des employeurs. Les grèves étaient manipulées de telle sorte que les syndicats les plus fragiles étaient entraînés dans des combats qu’ils ne pouvaient pas gagner, à commencer par les sidérurgistes. Le syndicat le plus puissant et le plus politisé a été le dernier à rendre les armes. La grève des mineurs, en 1984, a duré un an et cette bataille a été cruciale. Le mouvement ouvrier a bénéficié d’un grand soutien de la base, mais, là encore, les leaders syndicaux se sont tenus à l’écart. Les dirigeants du parti travailliste, Neil Kinnock et Roy Hattersley, ont refusé d’apporter leur soutien aux grévistes. Ils se sont joints à la longue et honteuse liste de ceux qui ont accédé au pouvoir sur le dos des travailleurs et des travailleuses, mais qui les ont abandonnés quand ceux-ci avaient besoin d’eux. Les mineurs ont été vaincus. Et le néolibéralisme s’est poursuivi sans autre obstacle sur sa route. Les leçons ? Premièrement, le conflit entre les intérêts du capital et ceux du travail est au cœur même du capitalisme. Le grand capital cherchera toujours de nouvelles façons d’exploiter les travailleurs. C’est dans son ADN. La coexistence pacifique est vouée à l’échec. Le marché à vocation sociale est un mythe. Deuxièmement, le peuple se défendra toujours. La pauvreté, l’injustice, l’inégalité et le fait de savoir que l’on vous trompe – tout cela fera l’objet de résistances. Le peuple est courageux et a le sens de ce qui est juste et équitable. Mais cet engagement n’est pas suffisant et conduit à la leçon suivante... Troisièmement, il est essentiel qu’un mouvement de rupture avec le néolibéralisme soit guidé par de solides principes tout en ayant une stratégie politique avisée. Les responsables de ce mouvement doivent comprendre que la classe dominante est impitoyable. Toutes les avancées que les travailleurs peuvent conquérir doivent être consolidées et sécurisées et, en fin de compte, ne peuvent être sauvegardées que par la prise du pouvoir politique. Nos acquis de 1945, à savoir les nationalisations, le service de santé publique, l’éducation gratuite pour tous et bien d’autres choses encore, ont soit disparu soit sont en train d’être balayés à mesure que le capital continue de se développer. Le militantisme sans un puissant mouvement politique de rupture est comme la vapeur d’une bouilloire, il se dissipe dans l’air. Quatrièmement… pourquoi faut-il garder espoir ? Le capital n’est jamais rassasié. Il peut gagner une bataille, trouver de nouveaux modes d’exploitation, mais la concurrence acharnée oblige les gros employeurs à toujours trouver d’autres moyens de tirer des profits. Il faut alors mener une nouvelle lutte. Le cycle se répète sans cesse. Chaque tour de roue est donc une opportunité. Pouvons-nous nous organiser, nous défendre et gagner la prochaine fois ? Et, pour finir, mon avertissement. Il n’est plus possible que cette lutte se poursuive indéfiniment. Le changement climatique et la menace qui pèse sur l’environnement nous mettent en danger de façon imminente et rendent d’autant plus urgente la nécessité d’un changement fondamental. Rosa Luxemburg posait cette question : « Socialisme ou barbarie ? » Aujourd’hui, la question est celle-ci : Le socialisme ou la mort ?
Ken Loach - Socialisme ou la mort ? 
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thedeadleafs · 1 year ago
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The Supersizers Go... Edwardian (AKA 'Edwardian Supersize Me')
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BBC 2 Series in which restaurant critic Giles Coren and writer and comedian Sue Perkins experience the food culture of years gone by. This was the pilot episode (originally broadcast in 2007) which went on to inspire the later episodes and series.
In this episode, restaurant critic Giles Coren and writer and performer Sue Perkins spend the week on the diet of a wealthy Edwardian couple. Cue enormous amounts of offal, game, red meats and eggs - consumed from breakfast to late night snacks.
Over the week they have a nine course dinner party with guests including Roy Hattersley, and an authentic 1905 society banquet attended by Anton Mosimann at The Savoy.
Overwhelmed by the amounts they have to eat – over 5,000 calories a day – Sue and Giles knock back the alcohol, play practical jokes and find themselves constipated for most of the week.
The Edwardian era (1901-1914).
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mathilda-1819-1820 · 1 year ago
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The only thing worst than my sister saying smash to Roy Hattersley, is her saying triple smash to his spitting image puppet.
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newlabours · 5 years ago
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Hi, I was wondering if you've read 'The Blairs And Their Court' by Francis Beckett and David Hencke? And if so would you recommend it? It looks a bit dramatic and interesting but that's what I thought when I first saw Paul Routledge's 'Mandy' and that wasn't great, so I don't entirely trust my own judgement.
I haven’t read it, mostly because I read the Roy Hattersley review and it was literally ‘this book is so bad it turned me into a Blairite’ (“even Macbeth had his redeeming features”). It’s also notoriously inaccurate. I know the blurb is tempting bc it describes Cherie as ‘the real brains in the partnership’ but tbh I prefer to indulge my crush with any of Anthony Seldon’s million Blair biographies
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tonyrossmcmahon · 4 years ago
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The turbulent Labour Party of the 1980s
The Labour Party in the 1980s saw a stormy civil war that ended in purges as Tony McMahon remembers from a misspent youth
Let’s get in a time machine and go back forty years to the Labour Party of the 1980s and see how it compares with today’s infighting! I joined the Labour Party in 1981. Like many teenagers I was on a quest to define myself. I grew up in what was then a very Conservative suburb of London. Woodford Green had been Winston Churchill’s constituency and we even had a statue on the green to prove it.…
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ministerforpeas · 3 months ago
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COMMONS OF HOUSE!
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eiramew · 7 years ago
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cold war dynamics
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georgefairbrother · 2 years ago
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On October 2nd, 1983, The BBC reported that Labour’s electoral college, comprising the parliamentary party, constituency branches and trade unions, had elected Neil Kinnock to succeed Michael Foot as party leader, with 71% of the vote.  Roy Hattersley was elected deputy.
The incumbent Tories under Margaret Thatcher had won the summer’s election in a landslide, with a majority of 144 seats.
Both Neil Kinnock and Roy Hattersley stressed the importance of party unity and were described as a ‘dream ticket’ bringing together the centre-right and soft left of the party.
Neil Kinnock stated, “Mrs Thatcher is presiding over and will continue with policies which will bring industrial tragedy to this country...the people will make the Conservatives pay for that...they lack substance or conviction and they will be rejected." 
It’s interesting to note that these comments were made before the Miner’s Strike, the Wapping printers’ battles and the Poll Tax.
Nuclear disarmament remained a bone of contention for Labour’s National Executive Committee and made unifying the party a challenge – some favoured unilateral disarmament regardless of any parallel moves by the Soviets, while Neil Kinnock was ‘wary of committing to such an inflexible policy’.
Although the new leadership team enacted reforms and moderated the party’s position on many issues, paving the way for New Labour, it wasn’t enough – Labour lost again to Margaret Thatcher in 1987 and then to John Major in 1992.
Neil Kinnock was subsequently replaced by John Smith (who died in office) and then Tony Blair, who led the party to a huge victory in 1997, a majority of 179, ending 18 years in opposition.
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guccibootyellow · 2 years ago
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Extra Reading for IWOAW
If anybody’s interested in what books- queer, historical, cultural, religious, and spiritual- that have currently inspired me or have been referenced in the au, here is a current list. Again, this is not conclusive; I have way more lined up to read! 😁 I hope you enjoy and maybe feel inspired to read some 💖 (I love reading sm so consider these as book recommendations too haha). 
Queer Reading
Fiction
Oranges Are Not The Only Fruit, Jeanette Winterson
Ash, Malinda Lo
The Color Purple, Alice Walker
The Picture of Dorian Gray, Oscar Wilde
All About Sarah, Pauline Delabroy-Allard
Alice in Leatherland comic series, Zanfrardino & Ramboli
A Woman Appeared to Me, Renée Vivien
Non-Fiction
The Secret Diaries of Miss Anne Lister, Edited by Helena Whitbread
Gentleman Jack: The Real Anne Lister, Anne Choma
Female Fortune: Land, Gender, & Authority, Jill Liddington
Gentleman Jack, Angela Steidele
Presenting the Past, Jill Liddington
No Priest But Love, Anne Lister, Edited by Helena Whitbread
The Ladies of Llangollen: A Study in Romantic Friendship, Elizabeth Mavor
Historical, Cultural, & Religious Reading
Fiction
Anna Karenina, Leo Tolstoy
Sense & Sensibility, Jane Austen
Jane Eyre, Charlotte Brontë
Pride & Prejudice, Jane Austen
Les Misérables, Victor Hugo
Hard Times, Charles Dickens
Camilla, Frances Burney
Emma, Jane Austen
Little Women, Louisa M. Alcott
Bleak House, Charles Dickens
The Stark Munro Letters, Arthur Conan Doyle
The Murders in the Rue Morgue & Other Tales, Edgar Allan Poe
The Christmas Books, Charles Dickens
Middlemarch, George Eliot
Vanity Fair, William Makepeace Thackeray
Shirley, Charlotte Brontë
Mary & The Wrongs of Woman, Mary Wollstonecraft
Northanger Abbey, Jane Austen
Little Dorrit, Charles Dickens
Carmilla, Sheridan Le Fanu
The Winter’s Tale, William Shakespeare
Twelfth Night, William Shakespeare
Non-Fiction
Poverty & Poor Law Reform in 19th Century Britain, 1834-1914, David Englander
The Peterloo Massacre, Robert Reid
Growing Up in Nineteenth Century Ireland, Mary Hatfield
India in the Persianate Age, 1000-1765, Richard M. Eaton
Property, Aristocracy, & the Raj, Ranjit Sen
Nineteenth Century Ireland, D. George Boyce
Jane Austen’s Letters, Edited by Deirdre Le Faye
The Fall of the Asante Empire, Robert B. Edgerton
An Era of Darkness, Shashi Tharoor
The Age of Revolution, Eric Hobsbawm
Captain Swing, Eric Hobsbawm & George Rudé
Religious Reading (Historical, Informational, & Scriptures)
Hinduism for Dummies, Dr Amrutur V. Srinivasan
Hinduism: A Very Short Introduction, Kim Knott
Ramayana: A Retelling, Daljit Nagra
Hinduism: An Introduction, Owen Cole & V.P. Hermant Kanit
On Hinduism, Wendy Doniger
The Catholics, Roy Hattersley
Awakening of the Heart: Essential Buddhist Sutras and Commentaries, Thich Nhat Hanh
The Upanishads, Translated by F. Max-Müller and revised by Suren Navlakha
Cultural Reading
Brit(ish), Afua Hirsch
Orientalism, Edward W. Said
Secret Bedford, Paul Adams
Extra Influences/Reading
Lorna Doone, Richard Blackmore (historical appropriate romance)
Frankenstein, Mary Shelley (for the writing style)
Dracula, Bram Stoker (for the writing style)
The Tale of Steven, Rebecca Sugar (for additional character references)
The Count of Monte Cristo (on its uncompassionate treatment of women and my references to that in the book)
Moll Flanders (additional historically accurate reading)
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mariacallous · 3 years ago
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oh shit they got Roy Hattersley to write the essay for Lord Palmerston (in the PM book)
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lissy-strata · 4 years ago
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Picture: Former Labour MP Roy Hattersley giving an interview. 
Hattersley: Television had become popular, and most homes had it. Most homes were obsessed by it in those early days. And what they saw night after night, but particularly on Saturdays, was the satire of young men and women who didn’t think they owed a living to anybody and were prepared to cock a snook at everybody.
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