#roi de bourgogne
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The last kings and queens of the Capetian dynasty.
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La Cité des Climats & vins de Bourgogne fête son premier anniversaire !
Le réseau des Cités des Climats & vins de Bourgogne à Beaune, Chablis et Mâcon fête son premier anniversaire, le week-end des 15 et 16 juin (programme en bas d’article). Son directeur Olivier Le Roy en dresse un état des lieux et espère beaucoup des synergies à venir… Avec 55 000 visiteurs accueillis (dont 42 000 à Beaune) pour une première saison partielle, la Cité des Climats espère une…
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23 mai 1430 : capture de Jeanne d’Arc à Compiègne par les Bourguignons ➽ http://bit.ly/Capture-Jeanne-dArc Contre l’avis de Charles VII, sacré roi de France un peu moins d’un an auparavant, Jeanne d’Arc désirait poursuivre l’offensive contre les Anglais : forte de son brevet de « chef de guerre » et apprenant que l’armée de Philippe le Bon, duc de Bourgogne allié de nos ennemis, met le siège devant Compiègne, elle décide d’en découdre avec eux
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Gontran d'Orléans
Gontran d'Orléans (également appelé Saint Gontran) était un roi mérovingien qui régna de 561 à 592 sur le royaume franc d'Orléans, appelé plus tard Bourgogne. Il joua souvent le rôle de médiateur dans les conflits entre ses frères et servit plus tard de tuteur sur les royaumes de ses deux jeunes neveux.
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L'archiduc Charles de Habsbourg-Lorraine, portant l'Ordre de la Toison d'Or, dernier empereur d'Autriche et roi de Hongrie.
L'Ordre de la Toison d'Or fut fondé par Philippe Le Bon, duc de Bourgogne, en 1430. L'empereur Charles, dernier grand maître autrichien, était le descendant direct du fondateur de l'Ordre.
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28-31 mai 1807
Célébration des jeux de la Fête-Dieu en présence de la princesse Pauline qui se rendait aux eaux du Gréoux
Procès-verbal de la Fête-Dieu, en l’an 1807
Source : Archives Municipales d'Aix-en-Provence Cote du document : fonds AA 55 ; pièce F° 377 v°
Page 1.
Savoir faisons nous Jean Baptiste Boniface de Fortis, maire d’Aix, que le jeudi vingt huit mai mil huit cent sept à quatre heures après midi, en exécution de notre arrêté du vingt-quatre du courant ordonnant pour cette année, la célébration des cérémonies qui étoient jadis en usage, le jour de la fête-Dieu, nous nous sommes rendus dans la salle de l’administration à l’Hôtel de ville avec MM. Antoine Alexis et Gaston Marius Ovide d’Olivary, nos adjoints, et avons procédé de suite à la proclamation des officiers qui marcheront dimanche prochain à la procession.
Nous avons proclamé pour lieutenant de Prince le sieur Jacques Joseph Augustin Arnaud, étudiant à l’école de Droit de cette ville ;
Pour guidon de Prince, le sieur Suchet fils, négociant ;
Pour Roi de la Bazoche, le sieur Bourgogne fils ;
Pour guidon de Roi, le sieur Houchard fils ;
Et pour abbé de la ville, le sieur Assenat, tailleur.
Ces proclamations faites, nous nous sommes rendus avec messieurs nos adjoints, précédés du corps de musique des gros tambours et des trompettes de la ville, suivis du secrétaire en chef et du receveur municipal, et escortés par un déttachement de la garde départementale, chez chacun de messieurs les officiers ci-dessus nommés pour leur faire part de leur nomination, et ce en commençant par l’abbé qui nous a accompagnés chez le guidon du Roi ; tous deux nous ont accompagnés chez le Roi de la Bazoche et ainsi desuite chez le lieutenant de Prince, d’où nous sommes retournés à l’Hôtel de ville avec tous lesdits officiers auxquels nous avons confié le choix des batonniers, capitaines des gardes, porte enseignes, mignons, etc qui devront les accompagner à la procession.
Page 2.
Le samedi suivant, 30 mai, les jeux se sont répandus dès le matin dans la ville, pour amuser le public et à six heures du soir ils se sont réunis, par nos ordres, sur le cours [Mirabeau], au devant de l’hôtel de Forbin où se trouve logée S.A.I. la princesse Pauline sœur de S.M. l’Empereur, passant à Aix pour se rendre aux eaux de Greoux. Cette princesse a daigné paroitre au balcon et sourire aux divertissements que les jeux ont exécuté simultanément. Le public a saisi cette occasion avec empressement pour témoigner à S.A. la joye qu’il ressentait de sa présence, et l’air a retenti pendant long temps des cris de vive la princesse Pauline ! vive l’empereur Napoléon !
A huit heures du soir, les batonniers de l’abbadie et peu de momens aprèz ceux de la Baroche, sont partis de la place de la métropole et ont fait le tour de la procession en exécutant le pas d’arme, vulgairement nommé la passade. Ils ont observé le défilé devant l’hôtel de S.A. suivant ce qui sera dit ci-après quant au tour de la procession.
A neuf heures précises, le guet composé des divinités du paganisme est sorti de l’Hôtel de ville et a parcouru les principaux quartiers jusqu’à minuit. Son Altesse a paru satisfaite du pas d’armes et du guet dont la marche étoit éclairée par une infinité de flambeaux.
Le dimanche trente et un mai, les jeux ont continué dès le matin à amuser le public. Les tambours de la ville ont parcouru les rues et ont donné des aubades aux fonctionnaires publics.
A dix heures, l’abbé de la ville, le lieutenant du Roi et le Roi de la Bazoche, le guidon du Prince et le lieutenant du Prince se sont rendus à l’Hôtel de ville, précédés de leurs batonniers, capitaines des gardes, porte-enseignes, mignons etc et suivis d’un grand nombre de leurs amis portant des rubans aux couleurs distinctives de chaque grand-officier.
Page 3.
Ce nombreux cortège nous a précédés ainsi que monsieur le sous-préfet qui s’étoit réuni à nous, dans notre marche de l’Hôtel de ville à l’église métropolitaine St Sauveur.
Arrivés devant la porte du chœur, l’abbadie et le Bazoche se sont rendus dans la chapelle de corpus domini où on a célébré pour elles une messe basse.
Le lieutenant de Prince, son guidon, leurs batonniers et leur suite sont entrés avec nous dans le chœur où nous avons occupé nos places accoutumées, ainsi que messieurs de la cour d’appel, de la cour de justice criminelle, des tribunaux de première instance et de commerce, messieurs les juges de paix, etc ; à qui s’y étoient rendus séparément. Messieurs les directeur et professeurs de l’école de Droit étoient placés hors du chœur dans la chapelle dite de Ste Catherine, le lieutenant de prince et son guidon seront placés dans les hautes states, après notre second adjoint et avant le secrétaire en chef de la mairie. Leurs batonniers et leur suite ont occupé le milieu du chœur, sur des chaises. A l’issue de la grande messe qui a été célébrée par monseigneur l’archevêque, nous sommes retournés à l’Hôtel de ville, dans le même ordre que dessus.
A quatre heures après midi, l’abbadie a commencé à défiler dans l’église St Sauveur, est sortie par la grande porte et a commencé le tour de la procession ; elle a été suivie par la Bazoche ; venoient ensuite les le guidon du Prince et le lieutenant du Prince, lesquels parvenus devant l’hôtel de S.A.I. ont sollicité et obtenu l’honneur de lui être présentés et de lui offrir, suivant l’usage, des fleurs et des sucreries.
Cependant nous nous étions rendus à St Sauveur ainsi que les cours de justice, tribunaux et autres autorités constituantes pour assister aux vêpres, à l’issue desquelles la procession a commencé à défiler par la grande porte, dans l’ordre suivant :
Page 4.
La croix de la métropole qui ouvrait la marche ;
Les commissaires d’humanité de l’œuvre des prisons ;
Les administrateurs du mont de piété ;
Les administrateurs du bureau de bienfaisance, dit l’hospice la miséricorde ;
Les administrateurs des hospices civils réunis, précédés des familles des hopitaux, la charité et St Jacques ;
Le clergé de la paroisse St Jean Baptiste extra-muros ;
Celui de la paroisse St Jean Baptiste intra-muros ;
Celui de la paroisse de la Magdeleine ;
Celui de la paroisse St Jérôme, ou St Esprit ;
Celui de la paroisse St Sauveur, tous précédés de leur croix ;
Messieurs les directeur et professeurs de l’école de Droit ;
Les prieurs de la confrairie de corpus domini avec leurs panonceaux ;
Le clergé de la métropole en chappe ;
Le St Sacrement, porté sous un daix par monseigneur l’archevêque ;
Monsieur le conseiller d’État préfet du département, et toutes les autres autorités et fonctionnaires, dans l’ordre prescrit par le Décret impérial du 24 messidor an XII.
Il est à observer qu’en suite d’une ordonnance rendue à notre réquisition par monseigneur l’archevêque le 28 mai, il y a eu un changement dans le tour de la procession, suivant lequel lorsqu’elle est parvenue au bout de la rue de la pureté ou, ou de Notre Dame de Nazareth, au lieu de passer par les rues de St Esprit, place St Honoré et de la miséricorde, elle a pris la rue des augustins et l’allée latérale du cours jusqu’au coin de la rue orbitelle où elle a repris son tour accoutumé.
D’après la même ordonnance, on avait établi un reposoir au milieu du cours devant l’hôtel occupé par Son Altesse.
La présence de S.A. avoit attiré dans la ville un prodigieux concours d’étrangers, ce qui a singulièrement contribué à donner
Page 5.
beaucoup d’éclat et un grand caractère de gaieté à la fête. Le public a passé la nuit aux divers bals qu’ont donné les grands officiers qui avoient marché à la procession. On a remarqué surtout celui dont le lieutenant de Prince a fait tous les fraix, au rez de chaussée de l’hôtel de monsieur d’Éguilles. Le local étoit très élégamment disposé et ce qui en faisoit le principal ornement étoient les ingénieux emblemes dont étoient entourés les chiffres de S.A.I. et de sa majesté notre invincible monarque.
Le plus grand ordre a régné dans tout le cours de la fête dont le motif et les circonstances seront longtemps gravés dans le cœur et le souvenir des habitants d’Aix et de tout ce que dessus, nous avons dressé le présent procès-verbal à Aix, en l’Hôtel de ville, le premier juin mille huit cent sept.
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Plaque en hommage à : Antoine Vestier
Type : Lieu de décès
Adresse : 23 rue de Seine, 75006 Paris, France
Date de pose : Inconnue
Texte : Le peintre Antoine Vestier, né à Avallon le 28 avril 1740, est mort dans cette maison le 24 décembre 1824
Quelques précisions : Antoine Vestier (1740-1824) est un peintre français. Originaire de Bourgogne, il gagne Paris et étudie à l'Académie royale de peinture et de sculpture. Nommé peintre du roi, il se spécialise notamment dans la production de portraits et plusieurs de ses œuvres peuvent être admirées dans différents musées français. Une rue d'Avallon, sa ville natale, porte son nom.
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Odette de Champdivers (c.1390 – c.1425)
Ou la femme que l’on envoie auprès d’un roi violent pour protéger la reine!
Odette est un personnage assez obscur de l’Histoire de France malgré une destinée tragique digne des plus grands romans.
Née vers 1390, elle est la fille d’Odin, Seigneur de Champdivers (commune actuelle du Jura) et maître des écuries du roi. La demoiselle est donc noble. Sa famille est bourguignonne et sert des ducs comme Philippe le Hardi (1342-1404) ou encore Jean sans Peur (1371-1419), l’arrière grand-père de l’icône qu’est Marie de Bourgogne (la fondatrice de la lignée des Habsbourg d’Espagne et d’Autriche).
Peu après la mort de Louis I, duc d’Orléans, en 1407, Odette est présenté à Charles VI, roi de France. (1368-1422), sans doute dans l’espoir nourri par ses frères d’avoir un avancement.
Le souci, car il y en a un, c’est que Charles est en train de tomber dans la folie.
Ce n’est pas pour rien que l’un des surnoms du souverain est « le Fol ». Le 05 août 1392, victime de sa première crise de démence, il attaque et tue quatre membres de sa suite. Ce n’est hélas que le début d’une longue série. Il finira même par croire qu’il est fait de verre. Bernard Guenée (1927-2010), historien, a recensé par moins d’une cinquantaine de crises depuis 1392 jusqu’à la mort de Charles.
Le Bal des Ardents, en 1393, dans lequel il manque de mourir brûlé, le traumatise et aggrave son état.
Aujourd’hui, on pense qu’il a pu être schizophrène, atteint de bipolarité ou de bouffée de délire paranoïaque, d’autant plus exacerbé par l’inceste dont il est issu et le fait que des maladies mentales ont affligé des membres de sa famille.
Toujours est-il que le roi devient fou et surtout violent envers son épouse, la reine Isabeau de Bavière. (c.1370-1435). Afin de la protéger, on décide de donner au roi une concubine qui prendra la place d’Isabeau…
C’est donc Odette que l’on envoie à un Charles instable.
Glauque ? Oui.
Et pourtant… Odette prendra sa mission à coeur et sera un ange pour le roi malade.
Selon certains auteurs, elle aurait porté les mêmes habits que la reine et le souverain n’aurait jamais remarqué la différence.
On pense aussi qu’elle aurait inventé les cartes à jouer pour le distraire.
Odette se montre douce, patiente, compatissante, un modèle de vertu et de bienveillance envers Charles et cette pauvre jeune femme, envoyée dans la fosse aux lions, révèle une nature gentille et aimable.
La Cour finit par la surnommer « La Petite Reine » et loue sa beauté ainsi que son grand coeur.
Honoré de Balzac fait référence à Odette et à sa dévotion dans La Dernière Fée :
«Alors Abel était comme le roi Charles VI, que la petite reine Odette de Champdivers le consola en lui et la reine Isabeau a dansé avec le duc d’Orléans dans le palais où son mari était atteint»
A la fin de l’année 1407, Odette met au monde leur enfant, le seul qu’elle aura : Marguerite. (1407-1458).
Odette prend donc soin du roi… mais le roi prend soin d’elle en retour ! En effet, dans ses moments de lucidité, Charles veilles à ce qu’Odette ait des revenus, des rentes, des cadeaux en remerciements de tous les bons soins qu’elle a pour lui.
Ainsi, la jeune femme se voit offrir des manoirs à Créteil et à Bagnolet, Belleville dans le Poitou, ainsi qu’une rente en 1418, pour sa subsistance ainsi que pour celle de leur Marguerite.
D’avril à octobre 1422, le gouvernement français accorde à Marguerite a somme de cinq cents livres par an, sa vie durant, sur le péage de Saint-Jean-de-Losne.
Hélas, le 21 octobre 1422, Charles meurt à l’âge de 53 ans. Ses derniers mots auraient été à l’attention de sa maîtresse, présente à ses côtés : « Odette, Odette... ».
Si Odette assiste aux funérailles de son royal amant, la reine Isabeau en sera absente.
Malgré les quinze années passées aux côtés du roi, à prendre soin de lui, à l’accompagner dans sa descente aux Enfers, on ne montre que peu de gratitude envers Odette. Dès Charles décédé, on leur coupe leurs vivres et la mère et la fille sont forcées de partir pour la Bourgogne afin de solliciter l’aide du duc, Philippe le Bon, lequel ne sera guère charitable.
De plus, nous sommes toujours en pleine Guerre de Cent Ans.
En 1415, Charles avait signé le traité de Troyes qui déshérite son fils, le futur Charles VII, au profit du roi anglais Henry V.
Dès lors, le trésor passe aux mains des anglais.
Odette et Marguerite sont réduites à la pauvreté et à vivre sous la protection du duc de Bourgogne.
Malgré ce revers de situation, Odette reste fidèle à la couronne de France : par l’intermédiaire d’Etienne Chariot, un cordelier, elle prévient Charles VII d’un futur massacre de ses partisans, planifié par la Bourgogne et l’Angleterre. Afin de protéger l’amante de son père et sa demi-sœur, Charles VII demande à ce qu’elles soient conduites à Châlons durant la Semaine Sainte. Hélas, Etienne est arrêté, il dénonce l’ancienne maîtresse et mère et fille sont jugées pour espionnage et trahison. Elles quittent la Bourgogne pour le Dauphiné après leur procès.
On perd toute trace d’Odette après le 06 septembre 1424 et il est fort probable qu’elle meurt fin 1424 ou dans l’année 1425, dans le plus grand dénuement, après avoir été l’ange d’un roi fou, celle choisie pour subir à la place de la reine et qui a pourtant adouci les dernières années d’un pauvre malade.
En 1428, Charles VII légitime la fille d’Odette et Marguerite devient donc une Fille Légitimée de France. Elle l’appelle Mademoiselle de Belleville.
Elle épouse la même année Jean III Harpedanne, seigneur de Belleville-en-Poitou et Montaigu, sénéchal de Saintonge, chambellan de son royal adelphe et son contrat de mariage stipule qu’elle doit être dotée de vingt mille moutons d’or (c’est une monnaie). Elle aura un fils : Louis de Belleville, Seigneur de Montaigu, décédé en 1474.
Parmi les descendants d’Odette, on retrouve le poète Charles de Sainte-Maure (1610-1695).
D’autres se marient dans d’illustres familles, comme les Grimaldi ou les Pardaillan de Gondrin (des descendants de Madame de Montespan).
Selon mes recherches, Odette a des descendants jusqu’aux XIXème siècle et en aurait très probablement aujourd’hui.
Une vie romanesque, courte, tragique et pourtant si oubliée qu’aujourd’hui, quand on prononce son nom, certains passionnées de fleurs vous diraient peut-être qu’il est associé à une rose.
La pauvre Odette mérite qu’on se souvienne d’elle.
- Marina Ka-Fai
Si toi aussi tu veux en lire plus sur Odette, tu peux aller regarder ces sources :
-Auguste Vallet De Viriville, « Odette ou Odinette de Champdivers était-elle fille d'un marchand de chevaux ? Notes historiques sur ce personnage. », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 20, 1859, p. 171-181 (lire en ligne [archive])
-Jean-Chrétien-Ferdinand Hœfer, Nouvelle biographie générale depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : avec les renseignements bibliographiques et l'indication des sources à consulter, vol. 37-38, Firmin Didot Frères, Fils et Cie, 1863 (lire en ligne [archive]), p. 474
-Françoise Autrand, Charles VI : la folie du roi, Paris, éditions Fayard, février 1986, 647 p. (ISBN 978-2213017037, présentation en ligne [archive]), [présentation en ligne [archive]].
-Général J.-T. de Mesmay, Dictionnaire historique, biographique et généalogique des anciennes familles de Franche-Comté, S.l., 1958-1863, 3 vol. in-4 mult., tome : 1, B.n.F. : 4° Lm2. 641
-Jacques Tétu, Odette de Champdivers folle d'un roi fou , Mon Petit Éditeur (Groupe Publibook - Petit Futé), Paris, 2011, (ISBN 97827483
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Rassemblement National : "Le RN est le premier parti de Bourgogne Franche-Comté"
Julien Odoul, Président du Groupe Rassemblement National de Bourgogne-Franche-Comté, réagit suite aux résultats des Élections législatives 2024 (notre info "Elections législatives 2024, 3ème circonscription du Doubs : les résultats du 2ème tour" et notre info "Elections législatives 2024, 4ème circonscription du Doubs : les résultats du 2ème tour") : "Au lendemain des élections législatives anticipées, le Rassemblement National réalise une percée historique et spectaculaire en Bourgogne Franche-Comté en remportant 13 circonscriptions sur 27, contre 5 avant la dissolution. En 2022, les Bourguignons et les Francs-Comtois étaient plus de 231 000 à voter pour les candidats RN. En 2024, ils sont près du triple avec 600 000 voix. Dans tous les départements, la vague bleue marine a porté les candidats patriotes très haut et même gagnants dans des bastions jusque-là jugés imprenables comme la première circonscription de la Nièvre qui revient à Julien Guibert, la cinquième de Côte-d’Or à René Lioret et la deuxième du Territoire de Belfort à Guillaume Bigot. Dans le Doubs, Géraldine Grangier est réélue triomphalement avec plus de 54% des voix et siègera aux côtés de Matthieu Bloch, élu dans la troisième circonscription. Dans l’Yonne, le Rassemblement National réalise un grand chelem historique en remportant pour la première fois les trois circonscriptions avec Julien Odoul (réélu au premier tour), Sophie-Laurence Roy et Daniel Grenon, comme en Haute-Saône où les deux députés RN sortants Antoine Villedieu et Emeric Salmon sont réélus. En Saône-et-Loire, le RN réalise une percée spectaculaire, où trois circonscriptions sur cinq envoient pour la première fois à l’Assemblée nationale des candidats patriotes : Aurélien Dutremble, Eric Michoux et Arnaud Sanvert. En s’imposant dans presque tous les départements, le Rassemblement National renforce sa position de premier parti de Bourgogne Franche-Comté. Dans les grandes villes, comme aux élections européennes, le score du RN ne cesse de progresser : à Dijon, Besançon et Nevers, les candidats patriotes étaient au second tour dans toutes les circonscriptions. Face au délabrement de la Bourgogne Franche-Comté orchestré par la majorité de Marie-Guite Dufay, les Bourguignons et les Francs-Comtois font largement confiance au Rassemblement National pour retrouver le pouvoir d’achat et la sécurité tout en rejetant l’extrême-gauche régionale qui finance à tour de bras des éoliennes et des aides aux migrants avec nos impôts. Plus que jamais, le Rassemblement National représente et incarne l’alternance et l’espoir en Bourgogne Franche-Comté. Portés par la volonté populaire, les élus RN défendront une autre voie au Conseil régional jusqu’aux élections régionales de 2028, où se dressera là une occasion historique d’élire une majorité patriote pour défendre la ruralité, la priorité régionale et le pouvoir d’achat des Bourguignons et des Francs-Comtois". Read the full article
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Hugues the Great (897-956) crowns Raoul or Rodolphe of Burgundy (circa 890 - 936), Duke of Burgundy and King of France. Unknown artist.
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Annales manuscrites des capitouls, livre X, chronique 372, année 1701.
Les capitouls de Toulouse de 1701 et l’entrée des ducs de Bourgogne et de Berry. Huile sur parchemin par Jean II Michel (double page arrachée du Livre X des Annales manuscrites – chronique de l’année 1701, marouflée et remontée sur cadre), Archives municipales de Toulouse, BB 282, p. 275i.
Nosseigneurs les princes, monseigneur le duc de Bourgogne et monseig[neu]r le duc de Berry, ayant accompagné le roy d’Espagne leur frère jusqu’à l’entrée de ses estats, formèrent le dessein de passer à Toulouse à leur retour et d’honnorer de leur présence cette ville qui, par sa magnificence et par sa soumission à la couronne, mérite d’estre la seconde du royaume ; ville sy recommandable par ses exemptions et par ses privilèges, superbe par l’antiquité de ses édifices et par la vaste étendue de ses murailles, respectable par l’autorité de l’auguste parlement qui y réside, et illustre enfin par la noblesse et le nombre de ses habitans.
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HISTOIRE | Siège de Beauvais (1472) évitant le démembrement de la France ➽ http://bit.ly/Siege-Beauvais Cet épisode, qui dura presque un mois et au cours duquel on put louer le courage d’une certaine Jeanne « Hachette », illustre l'affrontement entre le roi Louis XI et le duc de Bourgogne Charles le Téméraire
#siège#Beauvais#roi#LouisXI#CharlesLeTéméraire#duc#Bourgogne#JeanneHachette#femmes#bataille#démembrement#royaume#histoire#france#history#passé#past#français#french
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« Cuverie urbaine » : une exposition-vente à ne pas manquer à la Cité des Climats de Beaune
À Beaune, la Cité des Climats et vins de Bourgogne présente une exposition “Cuverie urbaine” jusqu’au 29 mai. De grands noms de l’art urbain en France, des années 80 à nos jours, ont créé des œuvres en rapport avec le vin. Julie Dodet de la galerie dijonnaise Appartelier et Olivier Le Roy, directeur de la Cité des Climats, présentaient l’intérêt d’une telle proposition artistique à Beaune. ©…
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Zusammengesetzter Feldharnisch (Rest einer Garnitur?) | Kunsthistorisches Museum: Harnisch
Half Armor of Maximilian I
KULTUR: Süddeutsch DATIERUNG: 1495-1500 BESITZER:
KULTUR: Süddeutsch DATIERUNG: 1495-1500
BESITZER: entweder Kaiser Maximilian I. Sohn d. Friedrich III. von Habsburg (1459 - 1519) - GND oder König Philipp I. Sohn Maximilans I. von Habsburg (1478 - 1506) - GND
KÜNSTLER/IN: Lorenz Helmschmid zugeschrieben (erw. 1469, gest. 1515/16, Augsburg (Plattner))
VORMALS ZUGESCHRIEBEN AN: Sigmund Sohn d. Friedrich IV. von Habsburg (1427 - 1496) - GND
MATERIAL/TECHNIK: Eisen, geschmiedet, getrieben. Dekor: teils gebläut, teils feuervergoldet (Goldschmelz), teils Pudergold (moderne Retusche). Nietkappen: Messing. Leder (großteils modern). Schnallen: Eisen (modern).
MASS: Höhe inkl. Sockel: 208 cm x B 73 cm x T 71 cm Höhe exkl. Sockel: 175 cm Objekthöhe: 110 cm Gesamtgewicht exkl. Figurine, exkl. Sockel: 13,6 kg
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Armure de campagne à construire (probablement partie d'un casque). Travail allemand, peut-être Augsbourg Vers 1495-1500 Propriétaire : soit l'empereur Maximilien Ier, fils de Frédéric III de Habsbourg (1459 - 1519) soit le roi Philippe Ier, fils de Maximilien Ier de Habsbourg (1478 - 1506) ; anciennement attribué à l'archiduc autrichien Sigmund, fils de Frédéric IV de Habsbourg (1427 - 1496). Artisan : probablement Lorenz Helmschmid (vers 1445, mort en 1515/16, Augsbourg (Plattner)). Kunsthistorisches Museum de Vienne.
L'Ordre de la Toison d'or ou « Signe de Gédéon » est un ordre de chevalerie établi par Philippe III le Bon, duc de Bourgogne, en 1430, le jour de son mariage avec la princesse Isabelle de Portugal. C'est un ordre dynastique et l'un des prix les plus anciens et les plus honorifiques d'Europe. L'image de l'Ordre de la Toison d'or est la principale caractéristique de la décoration ornementale de cette armure de campagne. La chaîne de l'Ordre et la Toison d'or sont représentées sur le collier de la plaque. Les bords des assiettes sont décorés de symboles de l'Ordre sous forme de silex, de silex, de flamme et de la croix de Saint-André, qui est également frappée plus grande sur la cuirasse et le dos.
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Silence! No speak! No people!
“Je me suis souvent repenti d’avoir parlé, mais jamais de m’être tu.” The Cure – Grinding Halt – 1979 Philippe de Commynes, seigneur de l’Isle-Jourdain, était un homme d’État et écrivain français du XVe siècle. Né en 1447, il a commencé sa carrière en tant que page à la cour du duc de Bourgogne, Charles le Téméraire. Par la suite, il a servi comme conseiller et ambassadeur pour plusieurs rois…
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Non , il faut que cette armée finisse de s'effondrer et que Kiev et Odessa redeviennent des villes russes. Je rappelle aux incultes que Kiev fut fondée par Einar le viking en l'an 800 et que sa première dynastie ,liée à celle de Novgorod, dont elle était originaire était 100 % finno- russe .lorsque la nouvelle dynastie cafetière chercha un allié contre la puissance du saint empire romain germanique qui contrôlait l'Alsace , la Lorraine et la Bourgogne , elle se toyrna vers Kiev. Huges Capet épousa Anne de Kiev qui offrit en dote une somptueuse Bible orthodoxe sur laquelle les rois de France préfèrent serment pendant plusieurs siècles ! Anne était alors considère comme une Rous , le cri de guerre de ces varegues qui les fit nommer Russes !
Zelensky supplie les pays de l’OTAN d’envoyer leurs propres soldats pour remplacer ses troupes épuisées.
La “grande armée” ukrainienne est à bout de souffle, et il veut que vos fils et filles prennent le relais sur le champ de bataille.
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