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Roger Karoutchi
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Roger Karoutchi
Gender: Male
Sexuality: Gay
DOB: 26 August 1951
Ethnicity: Jewish Armenian
Occupation: Politician
Note 1: Former French Ambassador to the OECD and former Secretary of State to the French Prime Minister
Note 2: First French Minister to come out while in office
#Roger Karoutchi#lgbt#lgbtq#lgbt people#gay politicians#male#gay#1951#jewish#poc#Ashkenazi Jewish#Jewish Armenian#Armenian#native#politician#first
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LGBTI+ Politicians of African Descent
Uzoma Asagwara (Nigeria)
Tofik Dibi (Morocco)
Mounir Mahjoubi (Morocco)
Roger Karoutchi (Morocco)
Zakhele Mbhele (South Africa)
#uzoma asagwara#nigeria#tofik dibi#mounir mahjoubi#roger karoutchi#morocco#zakhele mbhele#south africa#politics
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Majorités sénatoriale et présidentielle ont, main dans la main, rejeté toutes nos mesures de justice sociale et fiscale
Les débats sur ce texte ont permis de confronter nos projets politiques. La pandémie a rebattu les cartes avec le fameux « quoi qu'il en coûte ». Mais le résultat de la CMP est pour le moins décevant. Pour le troisième PLFR, majorités sénatoriale et présidentielle, ont, main dans la main, (M. Roger Karoutchi le conteste.) rejeté toutes nos mesures de justice sociale et fiscale : rejet de la taxe Gafam, des 150 millions d'euros pour la recherche scientifique, d'une sanction pour les entreprises ne respectant pas l'égalité salariale. La droite refuse de mettre à contribution les 1 % les plus riches qui accumulent des richesses indécentes tandis que nos concitoyens se serrent la ceinture.
Le débat sur la gratuité des masques ne vient pas de nulle part ! Un groupe de 83 millionnaires a déclaré que les États devaient lever les fonds nécessaires via une augmentation permanente des taxes sur les plus fortunés de la planète - « des gens comme nous ».
M. Éric Bocquet. - Très bien.
M. Pascal Savoldelli. - Au lieu de les prendre au mot, le Gouvernement veut augmenter la CRDS et la CSG et raboter les salaires ! Et pourquoi pas travailler plus pour gagner moins ?
La droite sénatoriale et le Gouvernement sont tombés d'accord en CMP ; quand le Sénat adopte des contreparties écologiques et salariales sur les aides aux entreprises, le Gouvernement met son veto. De l'argent magique pour les entreprises qui polluent et qui licencient !
Vous dites vouloir relancer le fret et les trains de nuit. Pourquoi dès lors refuser de baisser la TVA sur les transports publics ? Pourquoi amputer le soutien à Île-de-France Mobilités ? Nous voulons des actes.
La clause de sauvegarde pour le bloc communal est incomplète ; la clause de retour à bonne fortune pour les départements, un moindre mal. Vous ne proposez que 4,5 milliards d'euros, quand il en faudrait 7,5.
Il faut d'autres ambitions, permettant de renouer avec une présence publique renouvelée et une redistribution basée sur la solidarité.
Notre groupe votera contre ce texte, et même si nous sommes bien loin des « Jours heureux », je vous souhaite des congés payés heureux.
from Groupe Communiste, Républicain, Citoyen et Écologiste https://ift.tt/3ePPxle via IFTTT
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PMA pour toutes : Feu vert des sénateurs en commission
Les sénateurs ont donné mardi soir un premier feu vert en commission à la mesure phare du projet de loi bioéthique, l'ouverture de la PMA à toutes les femmes, malgré l'hostilité d'une partie de la droite, majoritaire au palais du Luxembourg. La commission spéciale constituée pour examiner ce texte, déjà approuvé en première lecture par l'Assemblée nationale, a voté, après l'avoir amendé, l'article premier qui élargit la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires. Elle poursuivra en soirée et éventuellement mercredi l'examen de la suite du projet de loi. Il prévoit également une délicate réforme de la filiation et de l'accès aux origines, et aborde nombre de sujets complexes comme l'autoconservation des ovocytes ou la recherche sur les cellules souches embryonnaires. Le projet de loi sera examiné en première lecture dans l'hémicycle du Sénat à partir du 21 janvier, avant un vote sur l'ensemble du texte le 4 février. Plusieurs amendements visant à supprimer l'article premier, déposés par des élus Les Républicains, dont leur chef de file Bruno Retailleau et la corapporteure Muriel Jourda, mais aussi le sénateur LREM Michel Amiel, ont été rejetés en commission. Un vote serré, par 18 voix contre 14, a tweeté la sénatrice PS Marie-Pierre de la Gontrie. Les sénateurs ont en revanche adopté plusieurs amendements de Muriel Jourda, dont l'un maintient, pour les couples hétérosexuels, le critère d'infertilité médicalement diagnostiqué ou la non transmission d'une maladie d'une particulière gravité. Un autre amendement propose que la prise en charge de la PMA par l'assurance maladie soit réservée aux demandes fondées sur la base d'un critère médical. Un amendement de Roger Karoutchi (LR) réintroduit le principe, supprimé à l'Assemblée nationale, d'évaluation psychologique préalable à l'accession à la PMA. Tout en promettant de rester "ferme" quant à sa position hostile à l'extension de la PMA, Bruno Retailleau a dit mardi matin sur Sud Radio comprendre "parfaitement qu'il puisse y avoir des positions différentes". "Le Sénat est très partagé", avait reconnu le président du premier groupe de la chambre haute. Plus globalement, Bruno Retailleau a jugé que le texte porte "une réforme radicale qui va affecter la conception que nous avons de la vie humaine".
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Le Sénat a voté samedi matin la baisse d'impôt sur le revenu pour les ménages, une des mesures phares du budget 2020.
La chambre haute, dominée par l'opposition de droite, a à son tour approuvé l'article 2 du projet de loi de finances déjà adopté par l'Assemblée Nationale.
La mesure doit permettre d'adoucir l'entrée dans l'impôt pour les nouveaux contribuables, avec une baisse de trois points du taux d'imposition de la première tranche, qui concerne 12 millions de foyers, sur les 16,8 millions qui payent l'impôt sur le revenu. Le gain moyen par foyer dans cette première tranche sera de 350 euros.
Les cinq millions de foyers de la tranche suivante bénéficieront eux d'un gain moyen de 180 euros. Les seuils d'entrée dans les deuxième et troisième tranches imposables seront cependant légèrement abaissés.
Avec la réforme du prélèvement à la source, le taux d'imposition de chaque contribuable intégrera le nouveau barème dès janvier, ce qui rendra les gains immédiatement perceptibles.
"Le gouvernement a fait une baisse importante de l'impôt sur le revenu, on ne peut que saluer cette baisse" a concédé le rapporteur général LR Albéric de Montgolfier.
"Vous affichez ce que vous présentez comme une formidable baisse de l'impôt (...) votre générosité est en trompe l'oeil", a en revanche reproché Eric Bocquet, sénateur communiste du Nord.
Jérôme Bascher, sénateur LR de l'Oise, a lui fustigé une réforme de l'impôt sur le revenu que les "Français ne percevront pas", même s'il se dit en accord avec la baisse de l'impôt. "Cette réforme n'est pas la bonne", a-t-il ajouté.
Les débats se sont concentrés sur un amendement du sénateur centriste de l'Essonne, Vincent Delahaye, qui proposait notamment l'introduction d'une tranche d'imposition à 1% pour instaurer une sorte d'"impôt universel". Il suggérait également de rendre déductible de l'impôt sur le revenu la CSG, et de supprimer 80 niches fiscales.
Des sénateurs d'autres groupes, comme le LR Roger Karoutchi, avaient soutenu la mesure, arguant que "tout le monde devrait payer l'impôt, même de manière symbolique".
Le sénateur LREM Julien Bargeton a lui mis en avant ses "réticences" face à cet impôt minimal, qualifiant la mesure de "fausse bonne idée".
Le dispositif n'a pas été adopté.
Les sénateurs ont également approuvé un amendement du rapporteur général Albéric de Montgolfier, qui relève le plafond du quotient familial de 1.567 euros à 1.750 euros par demi-part. Une mesure qui devrait bénéficier à 1,4 million de ménages avec enfants, selon le sénateur, pour qui ils sont les "grands oubliés de cette réforme fiscale".
Lors de l'examen du budget par l'Assemblée Nationale, des amendements similaires avaient été déposés par des députés LR et MoDem, en vain.
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Le Sénat s'oppose au projet de privatisation d'ADP 78682 homes
http://www.78682homes.com/le-snat-soppose-au-projet-de-privatisation-dadp
Le Sénat s'oppose au projet de privatisation d'ADP
Le Sénat s’est opposé mardi, au terme d’un long débat parfois houleux, au projet de privatisation du groupe ADP (Aéroports de Paris), droite et gauche invoquant des arguments économiques, tout autant que des questions de souveraineté ou de sécurité. »C’est une entreprise qui fonctionne, gardez-la », a lancé Roger Karoutchi (LR), tandis que Fabien Gay (CRCE à majorité communiste) estimait que si la droite et la gauche font « le choix ensemble de refuser cette privatisation (…) il…
homms2013
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Le Sénat s'oppose au projet de privatisation d'ADP
Le Sénat s'est opposé mardi, au terme d'un long débat parfois houleux, au projet de privatisation du groupe ADP (Aéroports de Paris), droite et gauche invoquant des arguments économiques, tout autant que des questions de souveraineté ou de sécurité. Photo prise le 9 avril 2018 de boules du loto pour l' Euromillion à la "Française des Jeux" FDJ à Boulogne Billancourt (AFP/Archives - JOEL SAGET) "C'est une entreprise qui fonctionne, gardez-la", a lancé Roger Karoutchi (LR), tandis que Fabien Gay (CRCE à majorité communiste) estimait que si la droite et la gauche font "le choix ensemble de refuser cette privatisation (.) il faudra entendre la voix du Sénat". from Challenges en temps réel : Économie http://bit.ly/2DTPBRR via IFTTT
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Les députés adoptent définitivement le projet de loi asile-immigration et rétablissent l'AME
Les députés ont définitivement adopté mercredi en fin de journée le projet de loi asile et immigration, après avoir rétabli l'aide médicale de l'Etat (AME), supprimée par les sénateurs en première lecture.
Le projet de loi "pour une immigration maîtrisée, un droit d'asile effectif et une intégration réussie", présenté par le gouvernement le 21 février, porte une série de mesures destinées à lutter contre l'immigration irrégulière, réduire les délais d’instruction de la demande d’asile et améliorer l’accueil des étrangers admis au séjour.
Les sénateurs avaient validé, en première lecture, grâce au groupe Les Républicains (LR), majoritaire dans la chambre haute, un article additionnel au texte supprimant l'AME, inséré au cours de son examen par la commission des lois à l'initiative de Roger Karoutchi (LR, Hauts-de-Seine).
Les sénateurs avaient substitué au dispositif une "aide médicale urgente (AMU)" limitée à la prophylaxie, au traitement des maladies graves et des douleurs aiguës, aux soins liés à la grossesse et ses suites, aux vaccinations réglementaires et aux examens de médecine préventive.
Roger Karoutchi avait déjà fait adopter des dispositions similaires en octobre 2015 lors de l'examen du projet de loi relatif au droit des étrangers (cf dépêche du 09/10/2015 à 11:51), finalement supprimées par l'Assemblée nationale lors de la lecture définitive du texte (cf dépêche du 19/02/2016 à 10:32).
Les députés de la commission des lois ont rétabli l'AME en nouvelle lecture, malgré l'opposition des élus LR, avant que le texte soit adopté en séance publique le 26 juillet. Le Sénat a rejeté le projet de loi mardi, nécessitant une lecture définitive par l'Assemblée nationale mercredi, qui a adopté le texte dans sa version votée en nouvelle lecture.
L'article 56 du texte retouche les dispositions relatives à l’examen des demandes de titre de séjour pour raisons de santé, déjà modifiées par la loi du 7 mars 2016 relative au droit des étrangers en France (cf dépêche du 08/03/2016 à 11:13).
La loi de 2016 dispose que la décision d'octroi par le préfet d'un titre de séjour pour raison de santé repose sur un avis d'un collège de médecins du service médical de l'Office français de l'immigration et de l'intégration (Ofii), en lieu et place de l'avis d'un médecin de l'agence régionale de santé (ARS), rappelle-t-on.
L'article 51 du texte adopté mercredi prévoit que, "sous réserve de l’accord de l’étranger et dans le respect des règles de déontologie médicale, les médecins de l’office peuvent demander aux professionnels de santé qui en disposent les informations médicales nécessaires à l’accomplissement de cette mission".
Par ailleurs, si le collège de médecins rend un avis favorable à la demande, le préfet ne pourra désormais refuser la délivrance du titre de séjour "que par une décision spécialement motivée".
L'article 3, relatif au droit à la réunification familiale du mineur protégé à ses frères et soeurs non mariés, prévoit notamment, dans le cadre de la protection des mineurs (quel que soit leur sexe) courant un risque de mutilation sexuelle, le médecin en charge de l’examen médical adresse directement et "sans délai" le certificat médical à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) plutôt que de le remettre aux parents.
L'article 47 vise à relever à 73 ans la limite d'âge des médecins travaillant à l'Ofii pour le contrôle des étrangers malades. La mesure a déjà été censurée par le Conseil constitutionnel à deux reprises pour avoir été introduite dans un texte sans rapport direct, dans la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2017 et la loi de ratification des ordonnances travail.
Prolongation jusqu'en 2020 du dispositif d'autorisation des Padhue
L'article 51 prévoit de constituer, selon des modalités déterminées par décret en Conseil d'Etat après avis de la Cnil, un traitement de données comprenant les empreintes digitales et la photographie des personnes se présentant comme des mineurs non accompagnés, alimenté par les conseils départementaux. L'objectif affiché est d'éviter "de voir des personnes faire le tour des départements afin de se faire reconnaître comme mineures", résumait la rapporteure, Elise Fajgeles (LREM, Paris) dans son rapport en nouvelle lecture.
En commission des lois, Sandrine Mörch (LREM, Haute-Garonne) avait vainement tenté de faire supprimer cette mesure, se prévalant d'un avis défavorable rédigé en commun par l'Unicef, Médecins du monde (MDM), Médecins sans frontières (MSF), le Groupe d’information et de soutien des immigrés (Gisti), la Cimade, le Secours catholique et le Syndicat des avocats de France (SAF).
"Tous considèrent qu’au regard du manque de fiabilité des mesures d’évaluation de l’âge, des disparités de pratiques entre les départements, et de l’absence de prise en charge pendant la procédure devant le juge des enfants, la création d’un tel fichier n’est pas souhaitable", expliquait-elle, citée dans le rapport.
L'article 42 vise à prolonger jusqu'à fin 2020 le dispositif transitoire mis en place par l’article 83 de la LFSS pour 2007 autorisant les praticiens à diplôme hors Union européenne (Padhue) à poursuivre leurs fonctions au lieu de fin 2018. La mesure a été introduite au Sénat, avec avis favorable du gouvernement.
"En l’absence d’une telle prolongation, à compter du 1er janvier 2019, plusieurs centaines de praticiens médicaux titulaires de diplômes hors Union européenne présents dans les hôpitaux ne rempliraient plus les conditions légales pour poursuivre leurs fonctions dans l’attente de l’obtention de l’autorisation d’exercer pleinement leur profession et de leur intégration au système de santé français, et devraient de ce fait cesser leurs fonctions", précise Elise Fajgeles dans son rapport.
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LGBTQ and Moroccan: Roger Karoutchi, Noor Talbi, Loreen Talhaoui, Mehdi Bahmad, Jacques Morali and Aja
#roger karoutchi#loreen talhaoui#loreen#noor talbi#mehdi bahmad#jacques morali#aja#morocco#lgbtq in africa
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Monsieur le secrétaire d'État, augmentez-vous les salaires, les retraites et les minima sociaux ?
Avec cet article, nous aurons des discussions intéressantes sur le coût des carburants. Tout à l'heure, nous avons évoqué la territorialisation. À chaque fois, il s'agit de changer les comportements des Français, et de sortir tranquilles du débat.
M. Roger Karoutchi a expliqué dans quelles circonstances politiques nous discutions de la TICPE. En gros, un amendement a été majoritairement voté. À gauche, on s'est abstenu, donc on n'a pas fermé la porte ! Désormais, nous sommes suspendus aux propos du Président de la République.
Au nom de mon groupe, je ne vais pas me gêner pour poser toute une série de questions au membre du Gouvernement qui se trouve ici. Je le sais bien, il ne pourra pas me répondre au nom du Président de la République !
Monsieur le secrétaire d'État, augmentez-vous les salaires, les retraites et les minima sociaux ? Luttez-vous contre l'évasion et l'optimisation fiscales ? Un brin de mesures en ce sens sera-t-il annoncé mardi ?
M. Fabien Gay. Excellente idée !
M. Pascal Savoldelli. Pensez-vous qu'il faille taxer les compagnies pétrolières et les grandes entreprises du transport routier ou aérien ? Ou les gestionnaires d'infrastructures, notamment des autoroutes ? Si les salariés payent la TICPE, les utilisateurs des autoroutes la payent aussi. Vous en connaissez beaucoup des autoroutes gratuites ?
Je le rappelle, le bénéfice de Total en 2017 a enregistré une hausse de 39 %. Le Président de la République va-t-il en parler ? Connaissez-vous des salariés ayant bénéficié d'une augmentation de salaire de 39 % ? Connaissez-vous des retraités ayant bénéficié d'une augmentation de 39 % de leur pension ? La taxation du kérosène sera-t-elle évoquée ?
Mme Laurence Rossignol et M. Bernard Jomier. Oui, on va en parler !
M. Pascal Savoldelli. Mais que dit le Gouvernement sur cette question ? En tant que parlementaires, nous formulons des propositions. Et l'on voit bien, depuis vendredi, comment nous sommes considérés ! Ensuite, nous trancherons par des votes. Il convient donc d'apprécier le niveau des propositions à apporter au débat qui agite notre pays.
Mon collègue Fabien Gay l'a dit précédemment, il faut poser la question des alternatives. Nous venons de l'apprendre, 9 000 kilomètres de lignes de chemin de fer seraient menacés ! Leur fermeture aidera-t-elle à la transition énergétique ?
Je ne parle pas de la TVA sur les produits de première nécessité, qui touche d'abord les gens les plus faibles, les plus isolés et les plus modestes. Se pose également la question de la BCE. On nous parle ici toutes les cinq minutes de l'Europe, à juste titre. Monsieur le secrétaire d'État, pourquoi la France ne pèse-t-elle pas sur nos partenaires européens pour créer des prêts à taux bonifiés destinés à tous ceux qui doivent changer de véhicule afin de moins polluer ? Pourquoi la France n'obtient-elle pas une telle mesure ? Pourquoi ne se bat-elle pas en faveur de prêts bonifiés ou même de prêts à taux négatifs ?
Mme la présidente. Veuillez conclure, mon cher collègue.
M. Pascal Savoldelli. La Banque centrale européenne pourrait agir en ce sens, si la France se bougeait. C'est ce niveau de discussion qui permettra de résoudre les problèmes auxquels sont confrontés les Français, tout en affirmant une vraie volonté de transition énergétique.
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La présidente de la région Ile-de-France a lancé, jeudi, la branche « jeunes » de son mouvement, défendant l’idée d’un « autre projet de société ».
Valérie Pécresse a été « frappée », « choquée », « bouleversée » par un chiffre : en 2017, seulement « 6 % des moins de 35 ans » ont voté pour François Fillon lors de l’élection présidentielle. Et comme, par définition, ces derniers sont appelés à l’avenir à voter un peu plus longtemps que leurs aînés, « le sujet majeur pour la droite, c’est la reconquête de la jeunesse et des jeunes actifs », estime la présidente de la région Ile-de-France.
C’est pour cela qu’elle a lancé, jeudi 17 mai, la branche « jeunes » de son mouvement, Libres ! Mais aussi – et surtout – pour continuer à bâtir ce qui ressemble de plus en plus à un contre-parti au sein des Républicains, avec un organigramme, une doctrine, bientôt des référents départementaux…
Quel meilleur porte-parole, pour lancer ces Jeunes de Libres !, que le madré sénateur Roger Karoutchi, âgé de 66 ans ? Au sous-sol du Biz, un bar du 2e arrondissement de Paris où se tenaient jeudi soir les agapes, l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy a appelé les jeunes à ne pas désespérer d’une droite de plus en plus phagocytée par Emmanuel Macron. « L’aventure n’est pas finie », a-t-il promis, plaidant pour que Mme Pécresse devienne « l’incarnation de la modernité sociale et sociétale » : « Elle est la France de demain si on veut un pays qui se redresse et qui vous rassemble tous. » La prochaine présidentielle n’interviendra qu’en 2022, mais cette envolée a soulevé les applaudissements des 200 personnes présentes.
« Ne pas ressembler à une droite d’avant-Macron »
L’ancienne conseillère de Jacques Chirac – qu’elle a cité en modèle, comme Nicolas Sarkozy – a donc décidé de préempter le thème du renouveau et de la modernité à droite face au président de LR, Laurent Wauquiez. « Si nous voulons incarner une droite post-Macron, elle ne doit pas ressembler à une droite d’avant-Macron, a-t-elle insisté. Il va falloir travailler et avoir des idées neuves. (…) Ce qui ennuie le gouvernement, ce n’est pas qu’on hurle à la mort, pas qu’on fasse du populisme, c’est qu’on dessine un autre projet de société. »
Dans la même veine, Maël de Calan, premier vice-président de Libres !, avait auparavant lancé une autre charge implicite contre le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes. « Il y a deux chemins : une droite de slogans, qui a de belles valeurs mais qui se contente de les énoncer. Valérie, elle, se demande comment les mettre en œuvre, c’est toujours plus compliqué », a estimé l’ancien adversaire de M. Wauquiez dans la course à la présidence de LR.
Juppéistes, sarkozystes, lemairistes… Libres ! se rêve en pôle de rassemblement au sein de la droite. C’est un ancien filloniste, Cédric Rivet-Sow, qui dirige la structuration des Jeunes de Libres ! « Sur le terrain, les gens se disent qu’on a une droite rétrograde », tance-t-il. Pour l’heure, en tout cas, l’anti-wauquiézisme constitue déjà un bon ciment.
Lemonde Politique
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