#mounir mahjoubi
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INCLUSION NUMÉRIQUE : LA PROMESSE (70) DE 2017 RÉACTIVÉE POUR 2027 !
UN PROJET DE 2017 RESTÉ EN L’ÉTAT DE PROMESSE Mounir Mahjoubi a présenté en 2018 le Plan national pour un numérique inclusif, afin d’aider les 13 millions de Français en état d’illectronisme. Un plan économe et avare en nouvelles initiatives, qui mise plutôt sur la fédération des projets existants et une meilleure organisation des acteurs de l’aide sociale sur tout le territoire. Critiqué par…
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LGBTI+ Politicians of African Descent
Uzoma Asagwara (Nigeria)
Tofik Dibi (Morocco)
Mounir Mahjoubi (Morocco)
Roger Karoutchi (Morocco)
Zakhele Mbhele (South Africa)
#uzoma asagwara#nigeria#tofik dibi#mounir mahjoubi#roger karoutchi#morocco#zakhele mbhele#south africa#politics
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Mounir Mahjoubi
Gender: Male
Sexuality: Gay
DOB: 1 March 1984
Ethnicity: Moroccan
Nationality: French
Occupation: French politician (La République En Marche), entrepreneur
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La Stasi s'installe à Paris
Mon cher lecteur,
Marlène Schiappa a exigé cette semaine, à deux reprises, la publication de la liste des contributeurs à la désormais fameuse « cagnotte du boxeur ». La cagnotte en question a été créée par des proches de l’ex-boxeur professionnel Christophe Dettinger pour l’aider à régler ses frais d’avocat, lui qui est mis en examen pour avoir frappé des CRS lors d’une manifestation de gilets jaunes. La cagnotte a connu un succès fulgurant, récoltant près de 120 000€ en quelques heures, sans doute trop pour madame Schiappa qui veut savoir « qui finance les violences, qui finance les casseurs… » Il est de la plus haute importance de savoir « si oui ou non, il y a des puissances étrangères qui financent les casseurs et les violences urbaines dans Paris, c’est intéressant, notamment eu égard aux positions de certains responsables italiens. »
Relisez-bien cette phrase tant elle est hallucinante et témoigne de la fange dans laquelle les ministres de la République nous plongent. Fervents européistes, ils n’hésitent pas à taxer l’Italie de « puissance étrangère » dès lors que son gouvernement leur déplaît ; fervents pourfendeurs des discriminations, ils n’hésitent pas plus à refuser à un citoyen français le droit de se défendre quand celui-ci à le malheur de leur déplaire. Car la fameuse cagnotte, fermée en panique par la plateforme Leetchi, est bien évidemment légale et même un peu plus que cela. Il s’agit d’aider un concitoyen à se défendre face à la justice. Il ne s’agit pas de financer la violence ou de gagner de l’argent en tapant sur des policiers comme assène Mounir Mahjoubi, autre turbulent secrétaire d’État, cette fois au numérique.
Leetchi a immédiatement précisé qu’ils avaient l’habitude de ces situations : l’argent ne sera versé qu’aux avocats sur présentation de leurs factures. Monsieur Dettinger ne verra jamais un centime de cette somme. C’est une situation banale… Personne n’a cherché à savoir si « des puissances étrangères » avaient financé les viols dont est accusé Tarik Ramadan, dont la cagnotte dépasse également les 100 000€… Et là, on ne parle pas de l’Italie. Que fait la secrétaire d’État à l’égalité des femmes et des hommes ? Mais Tarik Ramadan a le droit de se défendre tout comme Christophe Dettinger. Il s’agit d’un droit fondamental, un de ceux, peu nombreux, qui permet de faire la différence entre une démocratie et une dictature. C’est d’ailleurs pour cela que si vous n’avez pas les moyens de vous adjoindre les services d’un avocat, le tribunal en désignera un commis d’office qui sera payé par le contribuable. Ainsi, l’État se doit d’assurer à M. Dettinger une défense, mais ses soutiens eux ne devraient pas le faire ? Mounir Mahjoubi et Marlène Schiappa auraient été mieux inspirés de se féliciter que cette cagnotte évite à l’État de payer la défense de ce violent boxeur (par ailleurs agent de voirie qui n’a pas de quoi se payer un procès tel que celui qui l’attend). Comprenez bien que je ne suis pas en train de juger de l’acte de Monsieur Dettinger qui prétend s’être portée au secours d’une femme à terre en train d’être tabassée par des policiers : comme disent nos chers ministres quand cela les arrange, il faut laisser la justice faire son travail. Mounir Mahjoubi et Marlène Schiappa devraient présenter leur démission immédiatement après de telles déclarations. Pourtant tout le monde s'en fout... Les journalistes ne bronchent même pas. Ivan Rioufol du Figaro s’est contenté de trouver la déclaration de Madame Schiappa d’une stupidité invraisemblable. Mais il se trompe lourdement. ce n’est pas parce que tout est faux, fangeux même, dans sa déclaration que celle-ci est stupide. Ce n’est pas le dérapage d’une interview trop matinale. La déclaration est préparée, elle s’y reprend à deux fois avant de réussir à placer sa petite phrase.
Il faut s’intéresser aux compositions des cabinets ministériels. Madame Schiappa a pour directrice de cabinet Anne Rubinstein qui est une proche parmi les proches d’Emmanuel Macron dont elle était cheffe de cabinet lorsque celui-ci était ministre de l’économie (avant cela, elle avait été cheffe de cabinet de Najat Vallau-Belkacem). Elle n’a pas été placée là par hasard, c’est une proche d’Emmanuel Macron dotée d’une grande expérience. Les Schiappa et Mahjouni sont des rouages essentiels dans la communication gouvernementale. Ils font le sale boulot. Ils ont réussi à casser Christophe Dettinger qui est apparu en larme à son audience. Ils instillent la terreur, ils imposent leur seule et unique règle : soit vous êtes avec nous, soit vous êtes contre nous et l’enfer s’abattra sur vos têtes. Ils disent ce que les ténors ne peuvent pas encore se permettre : Ils vous donnent comme seule alternative la soumission ou la guerre. Madame Schiappa et son cabinet savent très bien que s’il y avait le moindre mouvement suspect dans la cagnotte, versements important ou de l’étranger, Leetchi aurait immédiatement envoyé une déclaration de soupçon à Tracfin et s’ils ne l’avaient pas fait, Tracfin aurait pu regarder directement sur simple requête administrative. Ce n’est pas à l’Italie que Madame Schiappa s’adresse en exigeant la publication de la liste des contributeurs de la cagnotte de Christophe Dettinger… mais à vous mon cher lecteur. Vous devez savoir que vous êtes épiés Il faut dorénavant que vous sachiez que vous êtes épiés. Ils veulent que vous vous en souveniez la prochaine qu’il vous prendra l’envie de soutenir une cause qui n’a pas l’approbation du gouvernement. Ils veulent casser d’avance tout acte d’opposition démocratique qui ne serait pas mis en scène ou contrôlé par eux. Pour quelle autre raison madame Schiappa aurait-elle agi de la sorte ? C’est une manœuvre d’intimidation, un acte de guerre psychologique qui permet d’amplifier la portée de la surveillance de Tracfin, la cellule de renseignement dédiée au Traitement du Renseignement et Action contre les Circuits FINanciers clandestins. En 2017 (derniers chiffres publics), Tracfin a reçu près de 70 000 « déclarations de soupçons », essentiellement de la part des banques et émis 30 000 requêtes d’information en sens inverse. Cela fait 100 000 échanges de données en tout, chiffre qui explose littéralement ces dernières années. En 2010 ces déclarations étaient au nombre de 10 000. Cette explosion a été provoquée par les nouvelles lois et mesures contre le terrorisme. Elle ont bien entendu une fonction dans ce cadre mais il est intéressant de noter que « le législateur français a en outre fait le choix de la généralité ».
Une plaquette publiée par Tracfin sur la lutte contre le blanchiment avoue au lecteur consciencieux que « le blanchiment porte sur les biens, revenus ou produits provenant de tous les crimes et délits prévus par le code pénal ou par d’autres textes répressifs, y compris notamment le financement du terrorisme et la fraude fiscale. » Quelle maladresse d’accoler ainsi terrorisme et fraude fiscale ! Mais c’est bien cela : tout l’arsenal législatif anti-terroriste a été prévu pour s’appliquer aussi à vous. Dois-je rappeler d’ailleurs que depuis le 1er janvier, la notion d’abus de droit, très utilisée par le fisc pour redresser les fraudeurs fiscaux vient d’être élargie en un concept vague et fourre-tout permettant de faire d’à peu près tout le monde un fraudeur en puissance que l’administration aura tout loisir de traiter comme un terroriste. Mais cela fait beaucoup plus de « fraudeurs » potentiels que de terroristes présumés… Alors 100 000 échanges d’information, c’est encore peu quand il y a des millions de personnes à surveiller. Il est en outre compliqué et coûteux de faire croître un service d’enquêtes tel que Tracfin rapidement : il faut recruter, former, encadrer des équipes à des tâches d’une grande complexité dans un secteur où l’administration rémunère ses agents une fraction de ce qu’ils touchent dans le privé. La peur du gendarme est bien plus efficace que le gendarme lui-même et ils le savent très bien. Dorénavant vos transactions sont épiées et surveillées.
Ils se permettent un tel coup de massue, maintenant qu’ils savent que l’accès à l’argent liquide devient de plus en plus restreint et qu’il aura bientôt complètement disparu. Mais là, ils s’avancent à mon avis, ils mettent la charrue avant les bœufs car les gilets jaunes ne leur pas bien laissé le choix. Il y a un espace, un flottement que révèle la déclaration de Madame Schiappa : eux-aussi paniquent. Il n’empêche, la manœuvre de Madame Schiappa est peut-être fangeuse mais son utilité est évidente. D’ailleurs quelle a été votre première réaction, dans cette affaire ? N’avez-vous pas eu un peu peur, un léger serrement au cœur ?
Oui c’est bien cela qu’ils recherchent : Ayez peur. Je ne sais pas vous, mais je ne compte pas me laisser faire.
Guy de La Fortelle
#gouvernement#Emmanuel Macron#Christophe Dettinger#LREM#Marlène Schiappa#Mounir Mahjoubi#France#répression#politique#terrorisme#vie privée#surveillance#fichage
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Les deux ex-secrétaires d'État briguent l'investiture de La République en marche pour les municipales de 2020.
Cette fois, c'est la bonne. Après plusieurs mois d'hésitation, après plusieurs jours de tractations, Emmanuel Macron a tranché. À moins d'un an des municipales de 2020, le président de la République a choisi son candidat pour Paris. Il s'agit de Benjamin Griveaux. Le chef de l'État lui a donné son feu vert mercredi matin, en marge du Conseil des ministres. Cet accord oral s'est traduit dans la foulée par un bon de sortie du gouvernement, via un communiqué laconique de l'Élysée. Il y est indiqué qu'il est «mis fin aux fonctions» de Nathalie Loiseau, ex-ministre chargée des Affaires européennes investie tête de liste LREM pour les européennes ; de Benjamin Griveaux, ex-porte-parole du gouvernement ; et de Mounir Mahjoubi, ex-secrétaire d'État chargé du Numérique.
Son attitude, jugée trop pressante, lui a coûté sa place à Bercy
Ce dernier, qui a publiquement révélé son intention de se présenter dans la capitale sous les couleurs de La République en marche, entendait rester au gouvernement jusqu'à la fin du mois de juin. Date à laquelle la Commission nationale d'investiture du parti doit se réunir pour désigner le candidat de la majorité. Mais son attitude, jugée trop pressante, lui a coûté sa place à Bercy. Certes, il a fait partie des premiers à rejoindre la campagne d'Emmanuel Macron, quand personne ne croyait dans les chances du leader d'En marche! de remporter la présidentielle. Certes, il n'y a pas de divorce ni même de désaccord politique entre le chef de l'État et son ex-secrétaire d'État. Mais selon une source bien informée au sein de l'exécutif, la «divergence de vue stratégique» qui existe entre Emmanuel Macron et Mounir Mahjoubi, sur la tactique à adopter en vue des municipales, était devenue insurmontable. «Le président de la République considère que Benjamin Griveaux est le mieux placé pour remporter Paris», confie l'un de ses amis. D'où la décision de sacrifier son «M. numérique», malgré les attaches personnelles qui les lient. Désormais, il s'agit de remporter l'élection face à Anne Hidalgo. Surtout que la maire PS a récemment retrouvé des couleurs, et qu'elle fait la course en tête. Pour la battre, le chef de l'État s'en remet donc à un membre de son premier cercle.
«Aujourd'hui, une nouvelle page s'écrit au service des Parisiens. Je souhaite le rassemblement le plus large possible»
Élu député de Paris lors des législatives de juin 2017, Benjamin Griveaux n'a jamais cessé de labourer le terrain depuis. C'est d'ailleurs lui qui a été chargé par Emmanuel Macron de fédérer les équipes parisiennes de LREM en vue du scrutin de mars 2020. Ce qui n'a pas empêché des personnalités de son propre camp de laisser libre cours à leurs ambitions. C'est par exemple le cas du vice-président de l'Assemblée nationale, Hugues Renson, ou encore du député de l'Essonne et mathématicien, Cédric Villani.
Le sénateur LREM de Paris, Julien Bargeton, avait lui aussi laissé la porte ouverte à une éventuelle candidature. Il a finalement renoncé mercredi soir, sur le plateau de BFMTV, et annoncé qu'il se rangeait derrière Benjamin Griveaux. Un premier soutien qui a conforté le désormais ex-porte-parole du gouvernement dans sa démarche. «Aujourd'hui, une nouvelle page s'écrit au service des Parisiens. Je souhaite le rassemblement le plus large possible et la démarche de Julien Bargeton va dans ce sens. Paris est une addition de talents», se félicite l'intéressé auprès du Figaro. Pas encore officiellement candidat, Benjamin Griveaux devrait «très vite» sortir du bois. Avec la bénédiction d'Emmanuel Macron, donc. Et bientôt celle de LREM? «À la fin, ce sera au parti de trancher», souligne un conseiller.
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Souvent, Mounir Mahjoubi utilise le «tu» pour faire l’exégèse de son CV. Les premières lignes : le droit à la Sorbonne, son premier jour à Sciences-Po Paris et la boîte de déco - des stickers à coller sur les murs - qu’il a créée pendant ses études (et qui a fermé rapidement). La suite : 33 ans et un sceptre dans chaque main, celui de député et de secrétaire d’Etat.
L’ascension est rapide, quoiqu’elle paraisse moins supersonique une fois replacée sur une frise chronologique : Mounir Mahjoubi a participé à trois campagnes présidentielles - aux côtés de Ségolène Royal, de François Hollande puis d’Emmanuel Macron - toujours dans la posture de cerveau du Web. Le «tu» : ça t’englobe dans le truc. C’est comme si toi aussi, «tu» faisais partie de son aventure. Ou bien, que «tu» aurais pu en être. Dans son bureau parisien de secrétaire d’Etat, il déroule tranquillement, les jambes en biais sur l’accoudoir d’un fauteuil, en te donnant l’impression que «tu» pourrais faire pareil sans problème. Il écoute jusqu’au bout, boit du Coca-Cola, rit sans forcer, parle de poulets qu’il sait couper en quatre, six, huit depuis l’obtention d’un CAP cuisine il y a deux ans, par passion. On a repensé à la présidentielle, un peu, quand des militants d’En marche (EM) décrivaient une rencontre ou un meeting avec Emmanuel Macron dans un champ lexical quasi christique, en insistant sur une gestuelle - une poignée de main, un regard, une façon de dire au revoir - et une empathie plus crédibles que celles de la concurrence. Voilà : un jeudi après-midi, on a croisé l’un de ses apôtres.
Une photo de lui, tout juste ado, traîne quelque part dans un vieux numéro de Science et Vie junior. En 1997, il gagne un concours organisé par le mensuel en proposant une invention en forme de camembert, destinée à simplifier la géométrie. «Pour participer au concours, j’ai fait un truc de brigand : j’ai arraché le bulletin dans l’exemplaire de la bibliothèque. J’avais le cœur qui battait. C’était la plus grande des transgressions à mon échelle… J’étais petit, avec une petite voix.» A l’époque, le journaliste David Pouilloux interviewe le lauréat pour le mensuel. Celui-ci se souvient : «J’avais dit au membre du jury qu’il se passait quelque chose dans le cerveau de cet enfant. On avait reçu des centaines de réponses, qui se ressemblaient. Lui avait innové et carrément proposé un prototype, en évoquant déjà les débouchés industriels. Je l’ai croisé peu de temps après lors de la visite de l’Institut national de la propriété industrielle : il était complètement dans son jus, très à l’aise avec les adultes. Il écoutait beaucoup et semblait avoir prévu un plan, comme dans les films américains.» Le gagnant : «Il y avait aussi 5 000 francs à la clé, la seule manière de m’acheter un ordinateur. Je sentais que c’était important, alors, je me suis mis cette idée fixe dans la tête.»
Mounir Mahjoubi a été l’un des visages médiatiques de EM - qu’il a officiellement rejoint en début d’année - durant la présidentielle. Il cause et présente fort bien. En 2007, il remporte le concours d’éloquence de Sciences-Po. Une vidéo est disponible dans un coin de Dailymotion. Le thème : «Le vendredi nous éloigne-t-il toujours du jeudi ?». Il y évoque le parfum de sa maman, le goûter, la vie. «J’ai gagné à la tchatche, en faisant des blagues.» L’un de ses concurrents se rappelle : «Il était trois niveaux au-dessus de nous. Il avait innové, là où nous avions tous opté pour quelque chose de plus classique. C’est comme s’il savait que tout ce qu’il dirait convaincrait l’assistance. Il a transformé l’exercice en pièce de théâtre. Il m’est arrivé de le croiser des années après, à chaque fois il m’a reconnu et salué avec beaucoup de simplicité.»
Aux législatives, il envoie Jean-Christophe Cambadélis, député sortant et encore grand chef du PS, dans le trou. «J’ai l’impression d’avoir battu le passé.» Et demande aux habitants de sa circo de l’appeler par son prénom. «Des gens du quartier qui me connaissaient m’appelaient M. le Ministre, M. Mahjoubi. C’est bizarre… et puis si Mounir devient Jean-Pierre, c’est très bien.»
Futur : le temps de la campagne, une série de «Mounir Party» est organisée, réunions publiques à l’intitulé viral, genre anniversaire ou fête à la coloc. Il gagne, 700 voix devant Sarah Legrain, candidate de La France insoumise, qui souffle : «Il a énormément personnalisé sa campagne, en fabriquant l’image d’un personnage sympathique et accessible autour de son prénom. Il distribuait des cartes de visite en guise de tracts, comme s’il se faisait un réseau. Il y avait beaucoup de mise en scène.»
Mediapart, qui l’avait suivi, cite l’une de ses formules pour trancher les débats idéologiques avec des quidams réfractaires : «Nous ne sommes pas d’accord, ça ne sert à rien de discuter des heures au milieu de ce marché. Ça tombe bien, vous avez une supercandidate, jeune et très sympa, pour qui voter.» Après sa victoire, il écrira un tweet remerciant en même temps Sarah Legrain, les habitants du XIXe, et sa suppléante, Delphine O. Celle-ci siège à sa place à l’Assemblée tant qu’il sera au gouvernement, où il est chargé, entre autres, de conquérir les déserts numériques et décomplexer pour de bon la frange des Français encore impressionnée par Internet.
Ses parents ouvriers, berbères originaires du Maroc, divorcent quand il a 16 ans. Deux sœurs (une petite et une grande), des coupures d’électricité à la maison et des étés sans vacances, ou bien des vacances en dépensant le minimum. «Je ne suis pas dupe : ça reste quelque chose de très courant en France.» Un 30 m2 dans un immeuble du XIIe arrondissement que le papa, peintre en bâtiment, a transformé en quatre-pièces en cloisonnant. Sa chambre : «Elle était comme ça… à la verticale… il y avait fait une sorte de mezzanine, avec une échelle. J’avais mon bureau. Grand luxe.» Là : il est proprio dans le XIXe, où il vit en couple, et sa maman apprend Word dans un atelier d’informatique du XIIe.
A 13 ans, il devient geek en squattant une connexion Internet au Palais de la découverte. A 16, il bosse chez Club Internet, il y restera plus de sept ans. Une époque où «Web» est le mot magique : 1 000 euros gagnés par mois avec deux jours de boulot par semaine. Majeur, il intègre la CFDT de la boîte, et le PS. Il prend du poids au sein du syndicat, se retrouve au milieu du pataquès quand l’entreprise se cherche des repreneurs, plaide pour des employés aux prud’hommes. Après ça, il y a pêle-mêle Sciences-Po, du marketing chez L’Oréal, un passage dans une filiale de Havas, la création de start-up, la présidence du Conseil national du numérique. A la fin de l’entretien, il a parlé de sagesse et d’amour des autres. Du gérant qui fait écran entre lui et toutes les affaires dans lesquelles il possède des billes le temps de son mandat au gouvernement. Puis, il s’est levé et s’est mis à marcher quelques secondes, les mains dans le dos. Mais on ne sait pas comment interpréter ça.
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Mounir Mahjoubi candidat à Paris Mounir Mahjoubi, secrétaire d'Etat au numérique, sera donc candidat à la Mairie de Paris. Des pistes…
#candidat#candidature#elections#En Marche#LREM#Mounir Mahjoubi#municipales#municipales 2020#Republique En Marche#scrutin#vote
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Hey, surprise! Turns out if you put someone who actually knows what he’s doing in charge of security, it might even work …
Now if only other parties/businesses/organisations would dare to think of that, could spare us all a lot of fuss …
(also disappointing that there's still racism in IT culture. Like, hello, we're basically a lot of geeks doing stuff, we really should be beyond such petty prejudice things …)
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Bonjour, comment j'ai fait pour louper le fait que la présidence Macron a compté la présence de deux membres du gouvernement gay et me semble-t-il, un juif et un musulman : Gabriel Attal et Mounir Mahjoubi (ce dernier n'est plus ministre dorénavant) et hum.
I know, Macron 😷😷😷😷 et ils sont macronistes 😷😷😷 but you know. Still. Ça fait un peu plez.
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Collaborateur/rice parlementaire - Mounir Mahjoubi (Assemblée nationale)
Vous croyez en la démocratie participative et vous avez la fibre politique ? Vous avez le contact facile avec les gens et êtes un excellent orateur ? Vous savez construire des communautés et les animer efficacement ?
Si vous avez répondu positivement à ces questions, venez valoriser vos talents au sein de l'équipe parlementaire de Mounir Mahjoubi, député du 19ème arrondissement de Paris et ancien secrétaire d'Etat en charge du Numérique.
L'action du député
A l'Assemblée nationale, l'engagement du député porte sur les grandes transformations du siècle : révolution numérique et transition environnementale. Cette année, il approfondit son travail sur des thématiques de l’alimentation durable, de la biodiversité et de l’apport des technologies dans nos vies. En circonscription, le député intervient sur des enjeux à forts impacts sociaux, tels que la mise à l’abri des demandeurs d’asile installés dans des camps de fortune, la sécurité et la salubrité des espaces publics et la question très complexe de la toxicomanie liée au crack. Il entretient une écoute permanente et proactive des habitants.
Votre action
En tant que conseillère/conseiller et coordinatrice/coordinateur, vous penserez et piloterez les actions du député en matière de démocratie participative au niveau local et national en lien avec les sujets du député. Vous serez à l'écoute attentive des citoyens et vous analyserez leurs attentes. Vous organiserez des événements en circonscription ou au-delà ainsi que sur Internet. Vous en assurerez la communication et la réussite. Vous animerez des communautés locales dont l'objectif est d'améliorer le quotidien des riverains et des commerçants, et de créer du lien. Vous établirez l'agenda stratégique du député en circonscription et à l'Assemblée. Vous travaillerez à une communication efficace du député lors de ses prises de parole publique, lors de discours, dans les médias ou sur les réseaux sociaux.
En parallèle, vous apporterez votre soutien aux autres activités du cabinet. Vous contribuerez à maintenir un haut niveau d'analyse sur tous nos sujets (benchmark, auditions, réflexions et synthèses). Vous diffuserez l'expertise constituée (briefing, notes, rapports, tribunes , conférences). Vous préparerez et soutiendrez l'action législative (veille et analyse).
Vos qualités
Vous faites preuve d'un contact facile et naturel avec les gens.
Vous savez travailler dans un environnement avec des délais très contraints et de nombreux imprévus.
Vous avez une culture avancée des outils, des méthodes et des débats autour de la démocratie participative.
Vous avez une connaissance d’un ou plusieurs sujets du député : Alimentation, Numérique, Biodiversité, Immigration.
Vous savez synthétiser une information dense et complexe, et la restituer avec pédagogie.
Vous avez une aisance rédactionnelle pour des textes longs comme pour des tweets.
Vous êtes proactif et engagé dans votre travail.
Dans votre candidature, merci de revenir sur ces 7 points en les illustrant par des exemples issus de vos expériences passées.
Le poste
Le poste est à temps plein, en CDI. Il est basé à la fois à la permanence parlementaire, dans le 19ème arrondissement de Paris, et à l'Assemblée nationale.
Vous rejoignez une équipe jeune et très diverse. Nous partageons tous ensemble l’envie de changer le monde qui nous entoure.
Pour postuler
Contact : [email protected]
Annonce : https://www.linkedin.com/jobs/view/1989384611/
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Mounir Mahjoubi : "Amazon détruit plus d'emplois qu'il n'en crée"
Mounir Mahjoubi : “Amazon détruit plus d’emplois qu’il n’en crée”
Europe 1, 22 novembre 2019
Invité du “Grand journal du soir”, vendredi soir, sur Europe 1, l’ancien secrétaire d’État chargé du Numérique Mounir Mahjoubi évoque l’impact négatif qu’a Amazon sur les emplois français.
INTERVIEW
À quelques jours du Black Friday, le 29 novembre, et à l’approche des fêtes de Noël, où le e-commerce va franchir la barre des 100 milliards d’achats en ligne en un an dans…
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LGBTQ and Moroccan: Abdellah Taïa, Yasmine Petty, Dounia Tazi, El Hedi ben Salem, Bilal Hassani and Mounir Mahjoubi
#abdellah taïa#yasmine petty#dounia tazi#el hedi ben salem#bilal hassani#mounir mahjoubi#morocco#lgbtq in africa
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do you guys have any moroccan LGBT+ people? as a bisexual moroccan myself, i am s t a r v e d
El Hedi ben Salem
Jason Danino-Holt
Mounir Mahjoubi
Rowan Blanchard
Aja (Jay Rivera)
Bilal Hassani
Alber Elbaz
Tofik Dibi
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Le député Mounir Mahjoubi et le président du groupe parlementaire LREM Gilles Le Gendre ont tenté de justifier le rejet de la proposition de loi passant de 5 à 12 jours les congés en cas de perte d’un enfant mineur. Nous avons vérifié leurs assertions une par une.
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