#retrouvée morte
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Urgent : Cherubin Okende retrouvé mort ce matin à bord de sa jeep sur l'avenue poids lourd, à Kinshasa
Urgent : Cherubin Okende retrouvé mort ce matin à bord de sa jeep sur l’avenue poids lourd, à Kinshasa Par Gilbert Ngonga
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#à Kinshasa#Urgent : Cherubin Okende retrouvé mort ce matin à bord de sa jeep sur l&039;avenue poids lourd
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NeutralityTale story (Inferling, Runeon and Liriac)
French version :
A NeutralityTale, il existait deux lacs : Le lac Or, remplissant d’espoir ceux qui s’en approchait, et le lac Argent, qui au contraire semait le désespoir dans le cœur de ceux qui pouvait être à proximité.
Inferling était le gardien du lac Argent, et son jumeau Runeon surveillait le lac Or pour empêcher quiconque de s'y baigner, car la pureté de l'espoir et du désespoir de ces lacs pourraient tuer une âme en un instant. Quant à leur sœur Liriac, elle veillait sur l’équilibre entre l’espoir et le désespoir dans le monde, utilisant sa magie pour partager équitablement ces émotions à travers l'univers, et accessoirement veillait à ce que ses frères ne se disputent pas et fassent leur travail.
Mais atteinte d’une maladie inconnue, Liriac s’affaiblissait de jour en jour. Runeon ne supportait pas l'idée de la perdre et laissa tomber son rôle de gardien pour chercher dans tous les AUs un moyen de la guérir. Mais rien à faire. Un jour, Inferling trouva Runeon avec le corps de leur sœur dans ses bras, en larme. Elle était morte, ses os avait pris une couleur cuivré, comme de la rouille, avant de partir en poussière entre les mains de son frère.
Runeon ne s’en remettra jamais, et voulu mourir à son tour en se plongeant dans le lac Argent, s'en voulant de ne pas avoir trouvé de remède à temps. Inferling l’en empêchera, et tombera dedans en le repoussant loin avec sa magie du lac. Runeon sautera à son tour pour essayer de le sauver, ne voulant pas en plus perdre son frère et finir seul.
Inferling survivra étonnamment, sa magie et son âme aspirant tout le désespoir du lac jusqu'à la dernière goutte. Mais il se retrouva couvert d'une matière étrange et lisse, un peu comme la corruption de Nightmare, et depuis il traîne une aura négative autour de lui et est devenu lui même le représentant du désespoir au lieu d'en être le gardien.
Quant à Runeon, son âme s'est retrouvée piégé dans celle d'Inferling, se retrouvant à être dans sa tête et à communiquer avec lui par pensée. Pensant que peut être le lac Or pourrait séparer leurs âme, les deux décidèrent de se jeter dedans, mais l'âme de Runeon aspira tout le lac et fusionna avec celle de son jumeau.
Ayant vu cela, les habitant de NeutralityTale chassèrent Inferling, pensant qu'il avait tué Runeon et asséché les deux lacs pour les détruire, et ceux malgré ses explications. Alors ils partirent, lui et son frère avec qui il partageait désormais le même corps.
Inferling et Runeon ne le savent pas encore, mais ils peuvent interchangé qui contrôle le corps. De ce fait, quand Runeon prend le contrôle, il retrouve son apparence, ses pouvoirs, et rayonne d'espoir, étant devenu l'espoir incarné. Mais c'est plus souvent Inferling qui est là que Runeon.
English version : (Sorry we are not a good english speaker, we trying our best to be understandable TwT)
At NeutralityTale, there were two lakes : Or Lake, filling with hope all those who approach it, and Argent Lake, which instead sowed despair in the hearts of those who might be nearby. Inferling was the Guardian of the Argent Lake, and Runeon of the Or Lake. They monitored the lakes so that no one could get too close, at the risk of dying. As for their sister Liriac, she watched over the balance between hope and despair in the world using her magic to share these emotions equally across the universe, and ensured that his brothers did their job.
But suffering from an unknown illness, Liriac grew weaker day by day. Runeon couldn't bear the idea of losing her and abandoned his role as guardian to search all the AUs for a way to heal her. But nothing can be done. One day, Inferling found Runeon with their sister's body in his arms, crying. She died, her bones had taken on a copper color, like rust, before turning to dust in the hands of his brother.
Runeon will never recover, and wanted to die in turn by drowning in Argent Lake, blaming himself for not having found a cure in time. Inferling will push him away with his magic from the lake, and fall into it in his place. Runeon will jump in to try to save him, not wanting to lose his brother and end up alone.
Inferling surprisingly survives, his magic and soul sucking every last drop of despair out of the lake. But he found himself covered in a strange and smooth material, a bit like Nightmare's corruption, and since then he has carried a negative aura around him and has himself become the representative of despair instead of being its guardian.
As for Runeon, his soul became trapped in that of Inferling, finding himself being in his head and communicating with him through thought. Thinking that perhaps Or Lake could separate their souls, the two decided to throw themselves into it, but Runeon's soul sucked up the entire lake, and merged with the soul of his twin.
Having seen this, the habitants of NeutralityTale hunted Inferling, believing that he had killed Runeon and dried up the two lakes to destroy them, and those despite his explanations. So they left, he and his brother with whom he now shared the same body.
Inferling and Runeon don't know it yet, but they can swap who controls the body. As a result, when Runeon takes control, he regains his appearance, his powers, and radiates hope, having become hope incarnate. But it's more often Inferling who is there than Runeon.
#neutralitytale#inferling#undertale#undertale alternate universe#undertale au#sans au#sans#runeon#liriac#lore#story
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« Le procès de Nuremberg, quelque “justes” que puissent être quelques-unes des condamnations qu’ils ont portées, est une dérision historique : qui ne voit ce qu’aurait été le procès de Washington en cas de victoire allemande ? Le bombardement de Hiroshima n’est-il pas équivalent, au point de vue de la conscience universelle, aux pires horreurs des camps de la mort ?
La légalité est morte, parce que les hommes font des lois pour justifier leur force. Elle ne peut renaître que si une source du droit légitime est retrouvée. La légitimité a pour forme, dans le gouvernement qui la réalise, une décision de faire des lois exprimant la vérité des rapports humains à l’intérieur d’une cité. »
Pierre Boutang, La politique (1948)
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Traits : Crasseux, courageux, instable, amoureux de la nature, hypersensible.
Souhait à long terme : Grand explorateur (échec).
Jules Le Bris est né le 28 décembre 1873 sur l'île ontarienne d'Hylewood, au Canada. Benjamin d'une famille de cinq enfants, fils d'un éleveur de chevaux et d'une écrivaine anarchiste, élevé par une bonne mexicaine qui lui apprend l'espagnol dès l'enfance, il fait sa scolarité à la petite école publique de l'île. Bon élève, il révèle cependant un comportement brutal, changeant, bagarreur et colérique, et, à partir de ses dix ans, il multiplie les fugues.
En 1884, après six jours de fugue, il est retrouvé inconscient et intoxiqué dans une fumerie d'opium à Kingston. Dès lors, des médecins lui diagnostiquent des "états-limites". Il est hospitalisé cinq mois. Pendant sa convalescence, son père l'introduit aux romans d'aventure et fait naître chez lui la passion de l'exploration et lui redonne un intérêt pour les études malgré ses difficultés d'apprentissage et son manque de mémoire, causés par le traitement qui lui a été remis à sa sortie de l'hôpital : un médicament à base de hachisch, pour lequel il développera une forte accoutumance et qu'il consommera jusqu'à sa mort. Malgré cela, il persévère dans l'étude de la géographie et de la linguistique arabe, avec le rêve de se rendre un jour en Egypte.
À l'âge de dix-neuf ans, en 1893, il épouse Eugénie Bernard, une jeune femme de l'île issue d'une famille pauvre et pieuse, dont il est amoureux depuis qu'il a treize ans et qu'il ne tarde pas à mettre enceinte. Mais pourtant, la même année, il saisit l'opportunité de partir travailler à Deir el-Bahari, en Egypte, sur un chantier de fouilles aux côtés d'une équipe suisse, anglaise et allemande et où il apprend la langue de Goethe. C'est le premier d'une série de quatre voyaes en Egypte : entre 1893 et 1897, entre 1898 et 1900, entre 1910 et 1914, puis entre 1918 et 1921.
Ses envies d'aventure le conduisent également à faire une expédition d'un an entre 1905 et 1906 au Nunavut, dans les terres sauvages polaires au Nord du Canada, dont il revient avec une cicatrice au visage suite à un affrontement avec une ourse polaire.
Ses voyages l'éloignent de sa famille plusieurs années consécutives à chaque fois, et marquent un fossé grandissant entre son épouse et lui-même. Chaque fois qu'il revient, le même cycle s'installe : voyant que sa femme lui en veut de l'avoir abandonnée avec leurs enfants, il intensifie ses efforts et son implication dans leur relation, puis quand Eugénie se réchauffe et que les chose s'améliorent entre eux, son égyptomanie le reprend et il repart en laissant sa femme éplorée et enceinte, ou avec un nouvel enfant en bas-âge.
En 1914, la Première Guerre mondiale éclate. Il s'engage volontairement dans le 22e Bataillon franco-canadien aux côtés d'une poignée d'autres hommes de l'île. Il s'embarque pour l'Angleterre le 20 mai 1915 à bord du Saxonia à l’âge de 41 ans, alors qu’il est marié avec 4 enfants - ce qui, normalement, devrait le dispenser de servir. Il est envoyé dans les tranchées pour la première fois le 20 septembre au sein de la 5e Brigade de la 2e Division canadienne près d'Ypres en Flandre en Belgique, où il est grièvement blessé par des éclats d’obus et où il perd une de ses jambes.
Il revient de la guerre changé, particulièrement nerveux et irritable, plus dépendant encore au hachisch, et agité par de nombreux cauchemars. Après trois ans de convalescence, il repart finalement en Egypte pour son quatrième et dernier voyage, qui ne se passe pas du tout comme prévu puisqu'il est rattrapé par la guerre civile égyptienne d'indépendance. Elle le contraint à se terrer deux ans dans le désert jusqu'à ce qu'il puisse fuir l'Egypte. Ce dernier voyage lui passe l'envie de l'exploration.
Quand il rentre, il a la désagréable surprise de voir que sa maîtresse égyptienne Layan, accompagnée de leur fille bâtarde Layla, a fait tout le chemin jusqu'au Canada pour le trouver et le forcer à remplir une fausse promesse qu'il lui avait fait, et a rencontré sa femme à la place... Comprenant que son époux a abusé de la naïveté d'une femme sans instruction, Eugénie s'est liée d'amitié à sa maîtresse et lui a offert un emploi ainsi qu'une éducation pour sa fille, qu'elle propose d'élever en tant que pupile aux côtés de leurs quatre enfants. Au lieu de s'opposer, les deux femmes font donc désormais front contre lui... Cela porte un ultime coup à son mariage.
La liste des griefs d'Eugénie, qui supporte sans broncher la défection de son mari, est d'autant plus longue que Jules part systématiquement dans les moments où elle a le plus besoin de lui. Par exemple, au moment de son départ en 1918, leur fille aînée Louise est portée disparue à la suite de la désertion de son fiancé et de l'annulation brutale de ses noces. Pour essayer de sauver son mariage, Jules entreprend d'adopter - sans l'assentiment de sa femme - une petite orpheline de guerre. Par ailleurs, Eugénie ignore que Jules a également un fils aîné caché de sensiblement le même âge que Louise, élevée par une de ses anciennes maîtresses et reconnu par le mari de celle-ci... Malheureusement, le divorce est illégal en Ontario, et le couple désuni est coincé ensemble.
Dans le même temps, les voyages successifs de Jules ont mis un coup dur à la famille Le Bris sur le plan économique, d'autant plus que leur seul entrée d'argent, les élevages Le Bris, ont été vendus pour financer le dernier voyage de Jules. La famille est donc contrainte à de nombreuses restrictions budgétaires, notamment en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants, et Jules se montre de plus en plus anxieux et irritable à ce sujet. Si l'avenir de son fils aîné Lucien semble garanti malgré le manque de maturité de ce dernier, ce n'est pas le cas de son cadet Agathon, qui n'ose avouer à son père qu'il se destine à une carrière musicale...
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#lebrisdivers#Jules Le Bris
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Quelques citations:
«La médecine a pris crédit pour certaines avancées dans le domaine de la santé qu’elle ne mérite pas. Le choléra, le typhus, le tétanos, la diphtérie et la coqueluche, etc., étaient en régression avant que les vaccins spécifiques ne soient utilisés. En fait, cette régression résultait de l’amélioration des conditions d'hygiène, de l'évacuation des eaux d'égout, et de la distribution de la nourriture et de l’eau.»
Andrew Weil, Health and Healing.
«Les vaccins donnent les maladies et en créent de nouvelles. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie.»
Dr Paul-Émile CHÈVREFILS.
«Les vaccinations en bas âge ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant, ne protègent pas l’enfant durant sa vie ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire.»
Drs. H. BUTTRAM et J. HOFFMANN.
«La plupart des personnes qui sont mortes de la variole la contractèrent après avoir été vaccinées.»
Dr. J.W. HODGE, The Vaccination Superstition.
«Certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète et la sclérose en plaques.»
Dr. G. DETTMAN, Australian Nurses Journal
«Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même.»
Dr. William FROSEHAVER
«Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique, la sclérose en plaques, le lupus érythémateux, le Parkinson et le cancer.»
Pr. R. SIMPSON, American Cancer Society
«Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie.»
Dr. SALK (créateur du vaccin original de la polio dans les années 50).
«Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population.»
Medical Journal of Australia, 1978.
«Les personnes vaccinées contre la grippe ont approximativement 10 fois plus de chances de contracter le syndrome de Guillain-Barré que ceux qui n’ont pas été vaccinées.»
Center for Disease Control, 1977.
«Il existe un lien entre l’autisme et la vaccination. Les enfants sont blessés par vaccinations.»
Dr. Bernard RIMLAND, directeur et fondateur du Autism Research Institute of San Diego.
«Pendant 23 ans, j’ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. Les allergies, l’asthme et des perturbations comportementales étaient clairement plus fréquentes chez les jeunes patients vaccinés. De plus, ils souffraient plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres.»
Dr. Philip INCAO.
«Sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux États-Unis avec le DCT, 16 038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants ‑‑ ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions ou furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT.»
Dr. Allan HINMAN et Jeffrey COPELAN, Journal of the American Medical Association.
«Un enfant a huit fois plus de chances de mourir trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche, tétanos) qu’un enfant non vacciné.»
The American Journal of Epidemiology, 1992.
«Chaque fois qu’un enfant meurt de méningite dans les premières semaines de sa vie, on doit suspecter le BCG.»
Dr Jean ELMIGER, La médecine retrouvée.
«Les campagnes publicitaires en faveur des vaccins représentent un véritable lavage de cerveau : désinformation, trucage des statistiques, amalgame savant de l'effet protecteur du vaccin avec d'autres affections, annonce de possibilité de contagion totalement fantaisiste et enfin banalisation de l'acte vaccinal.»
Dr Alain SCOHY.
«La quasi-totalité des cas de poliomyélite recensés aux USA, de 1980 à 1994, a été causée par l'administration du vaccin oral atténué.»
Dépêche AFP, 1er février 1997.
« Il n'a jamais été prouvé scientifiquement que les vaccins étaient efficaces et sans danger.»
Dr Louis DE BROUWER, Vaccination, erreur médicale du siècle.
«Le système immunitaire est sévèrement endommagé suite aux vaccinations courantes.»
Le Concours médical, 20 janvier 1974.
«On risque sa vie en se soumettant à une intervention probablement inefficace afin d'éviter une maladie qui ne surviendra vraisemblablement jamais.»
Dr. Kris GAUBLOMME.
«Les 2/3 des 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson avaient reçu le vaccin DTP (DCT ?) dans les trois semaines précédant leur mort. Certains même étaient morts le lendemain.»
Dr. TORCH, Neurology, 1982.
«Les vaccinés, loin de constituer un barrage protecteur vis-à-vis des non-vaccinés, sont au contraire dangereux et peuvent contaminer le reste de la population, puisqu'il est prouvé qu'ils peuvent être porteurs et transmetteurs de virus poliomyélitiques par voie intestinale, et peut-être par d'autres voies.»
Dr Yves COUZIGOU.
«Depuis 1957, l'OMS ne recense dans les statistiques que les formes paralytiques de poliomyélite, alors qu'avant la vaccination, toutes les formes de polio étaient incluses, ce qui permet de faire apparaître une régression des cas qui est loin d'être vérifiée.»
Dr. SCHEIBNER, expert australien.
«Après l'échec retentissant du vaccin Salk (au Massachusetts, 75 % des cas paralytiques avaient reçu trois doses ou davantage du vaccin), une parade géniale fut trouvée pour sortir l'industrie du médicament du pétrin : on décida de nouvelles normes pour l'établissement du diagnostic de la polio.»
Pr. GREENBERG.
«Si le principe de la vaccination était concevable au début du 20e siècle du fait que le monde médical et scientifique ignorait pratiquement tout de la biologie moléculaire, des virus et rétrovirus endogènes et même exogènes et du principe de la recombinaison de ces derniers, il en va tout autrement depuis quelques décennies. Continuer à vacciner des populations entières -- des centaines de millions d'individus depuis 1978 -- constitue une erreur monumentale et un quasi-génocide.»
Dr Louis de Brouwer, Sida, le vertige.
«La vaccination est le modèle de l'incertitude, des interactions et relations imprévisibles. Elle se situe aux antipodes de l'esprit scientifique.»
Dr Jacques KALMAR.
«Dans plusieurs pays en voie de développement, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu'à quintupler depuis la vaccination.»
Pr Lépine, Médecine praticienne, n° 467.
«En réalité, la baisse de nombreuses maladies provient d’une meilleure hygiène et d’une meilleure nourriture qui ont permis de développer le système immunitaire.»
Peter Duesberg, professeur de biologie moléculaire et cellulaire à l'Université Berkeley.
«Un virus, même atténué, peut reprendre sa virulence; c'est notamment le cas du virus polio vaccinal, qui redevient pathogène après son passage dans l'intestin et contribue à contaminer l'entourage. Les cas de polio chez les contacts des vaccinés par le vaccin oral sont bien connus.»
Dr Garcia Silva, Le Maroc médical, n° 43.
«L'introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d'infection. Le mal qui est fait est incalculable.»
Pr R. Delong, virologue et immunologue de l'Université Toledo aux États-Unis.
«En 1945, la Hollande était le pays d'Europe le plus touché par la tuberculose. En 1974, sans jamais avoir eu recours au BCG, la maladie y était totalement éradiquée. A l'inverse, la tuberculose reprenait de la vigueur partout où le BCG est encore pratiqué.»
Bulletin statistique du ministère de la Santé publique et de la Sécurité sociale, n° 1, 1974.
«La présence d’un œdème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent peu de temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante. Les enfants de moins de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie.»
Dr. Jane ORIENT, médecin, directrice de l’Association des médecins et chirurgiens américains
«Une vaccination est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense contre l'organisme.»
Pr R. Bastin, Concours médical, 1er février 1986.
«Toute vaccination peut provoquer une encéphalite légère ou grave.»
Dr. Harris COULTER, Vaccination Social Violence and Criminality.
«Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. Il est responsable d'un grand nombre de morts et d'un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveau-nés.»
Dr. Kalokerinos, Sunwell Tops, 24 mai 1987.
«Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu’ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient.»
Pr. Georges DICK, British Medical Journal, juillet 1971.
«Les micro-organismes inoculés à travers toutes les barrières naturelles entraînent chez la majorité des individus des pathologies chroniques dont les symptômes ne sont pas faciles à rattacher à leur cause initiale.»
Dr Jacqueline Bousquet.
«Ne vous hâtez pas de faire tomber la fièvre de votre malade ; s’il souffre d’une affection virale, vous risquez de compromettre sa guérison.»
Pr André LWOFF Prix Nobel de médecine.
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Je suis tombée à la verticale sur le mitigeur thermostatique de la douche, le petit interrupteur gris qu'il y a dessus s'est enfoncé directement dans mon bras droit. J'ai sangloté comme Chihiro avec des boules de larmes qui roulaient partout sur moi et qui se mélangeaient à l'eau. J'ai cru que mon bras droit était mort, ma main ne se refermait plus sur rien. Je me suis habillée j'avais très mal j'étais rouge j'étais moche, j'ai mis de l'huile de calendula, je me suis trompée évidemment, il fallait mettre de l'huile d'arnica. Je n'ai pas pu tenir mon programme habituellement drôle après coup parce que ça n'allait pas avec mon chagrin et j'ai moyennement bien mangé. Engourdi tout le chemin jusqu'à ma main. C'était un gros chagrin d'enfant, j'avais sept ans huit ans neuf ans à nouveau, peut-être moins. Peut-être que j'avais quelques mois de vie. Un nourrisson assommé qu'il faut consoler bien vite. Je suis devenue ma propre maman et mon propre bébé. Et alors avec ce gros chagrin autorisé il y a tous les petits chagrins de cette semaine qui ont coulé aussi, c'était la grande ouverture, la fête de toutes les eaux réunies, de la plus petite à la plus grande. Et petit à petit mon bras a retrouvé ses sensations de branche reliée à l'arbre.
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Attention ça va yap en français.
J'y pense. Baptiste Polco un petit jeune, un peu seul sans vrai famille.
Baptiste Polco, 22 ans, manipulé par Jean Clanche à entrer dans la criminalité.
J'y pense, Jason Todd, le red hood, envoyé à Los Santos qui découvre la présence d'un Variant un peu nul du Joker en ville.
Jason qui découvre qu'il avait un associé maintenant mort.
Jason qui apprend que Baptiste avait 22 ans, seulement. Qu'il est mort assassiné.
Jason qui enquête sur sa mort pour lui rendre justice.
Jason qui découvre qu'il aurait pu avoir un début de stabilité. Jason qui comprend qu'il a été trahis par les gens les plus proche de lui.
Jason qui se reconnaît en lui et qui plus il approche de la vérité plus sa colère monte.
Jason face à face avec Jokerion/mysterion qui ressent cette colère énorme né de l'injustice de la mort de Baptiste. Une colère qui lui prend les tripes, lui serre le coeur, une colère mélangé à une tristesse énorme. Et jamais il ne saura que Bruce a ressenti la même chose après sa mort et que la seule personne qui a empêché Bruce de tuer ce jour là était Superman.
Et Jason n'est pas Bruce, il n'a pas de Superman pour l'arrêter. Il est seul avec Jokerion qui ne sera jamais arrêté pour la mort de Baptiste, car il n'est pas celui qui a tiré.
Jean Clanche qui est retrouvé par le LSPD plus tard, sans vie dans une ruelle. Jean Clanche qui a succombé de ses trois blessures par balle.
#tw death#rpz#gta rpz#ce post est pour LB si tu passes par là#jason todd#je l'ai dit mon hyperfixation est forte
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Hier j'ai perdu les clefs de mon appartement. J'étais tellement décontenancée de la trajectoire de ma vie que j'ai même pas pleuré. J'ai juste traîné dans la rue comme une grosse ombre avant de trouver une solution. J'avais zéro émotion. Ça ne m'était jamais arrivé comme éclater mon téléphone cet été. C'est fou. Cette année c'est beaucoup de premières fois mais nulles. Mon mec et mon père étaient culpabilisants à mort, et ils ont osé me dire "t'as regardé dans tes poches ?". Heureusement qu'ils m'ont demandé ça, j'avais regardé dans les poches des gens dans la rue mais pas les miennes puisque je suis teubé apparemment. Puis j'ai envoyé un message à ma mère ce matin pour lui dire que j'avais retrouvé mes clefs (oui je les ai retrouvées mdr) et elle était en mode "comment ça t'avais perdu tes clefs?. En fait, mon père était tellement déçu hier qu'il a même pas jugé ça important de le dire a ma mère. Puis ce matin, après les retrouvailles chéries avec mon trousseau, jsuis allée en cours et je suis passée devant des mecs qui tondaient à la fac (genre pk mettre des prises dans les amphis, tondre c'est tellement plus important) et en passant, ya un caillou qui s'est coincé dans les hélices de la tondeuse et il a été propulsé sur moi. Mais pas à n'importe quel endroit. Non. Pile sur mon implant contraceptif et j'ai eu tellement mal sur le coup que j'ai eu l'impression que mon implant s'était cassé. Déjà que je vais mal, 3 ans d'hormone en one shot, c'était pas l'idéal, donc j'ai appelé ma sage femme. Elle était en panique. J'ai dû m'auto palper le bras pour vérifier que l'implant était pas cassé. À la fin elle m'a dit "si vous avez des vomissements, saignements hémorragiques, malaise, appelez les pompiers". Bon. On verra hein. quelle journée de merde. Une de plus finalement
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Je suis mort aujourd'hui.
J'ai été retrouvé par une gentille et douce femme qui sauve les animaux dans la nature. J'étais si malade que j'ai pu à peine ouvrir les yeux. Elle m'a emmené à l'intérieur, m'a bercé dans ses bras chauds et m'a rendu chaud. J'ai ouvert les yeux, je l'ai regardée et je l'ai remerciée d'avoir rendu mes dernières minutes aussi agréables que possible. Mais j'étais trop malade pour me battre plus longtemps. J'ai mangé une souris qui a été empoisonnée, et ça m'a rendu très malade. J'ai fermé les yeux jaunes pour la dernière fois et je suis allé ailleurs.
S'il vous plaît, tout ce que je demande c'est de ne jamais utiliser de poison pour tuer. Le poison tue les hiboux et moi aussi. Tout ce que je voulais c'était une souris pour le dîner. Arrêtez d'utiliser du poison pour les rats ou les souris. Les pièges vivants sont les meilleurs à utiliser. Attrapez et relâchez. Il suffit d'un partage pour faire passer le message.
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Urgent : Cherubin Okende retrouvé mort ce matin à bord de sa jeep sur l'avenue poids lourd, à Kinshasa
Urgent : Cherubin Okende retrouvé mort ce matin à bord de sa jeep sur l’avenue poids lourd, à Kinshasa Par Gilbert Ngonga
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Avez-vous déjà pensé à ce que vos profils sur les réseaux sociaux, vos commentaires, vos publications, allaient devenir lorsque vous serez mort ? Contrairement à la plupart d'entre nous, qui ne connaît ses ancêtres que jusqu'à nos arrières grands-parents et n'en a vu que quelques photos ou entendu de vagues anecdotes, nos enfants et nos petits-enfants, voir nos arrières petits-enfants, auront probablement la possibilité de voir ce que nous avons publié, de lire ce que nous avons cru bon de laisser sur la toile. Ils auront la possibilité de nous connaître dans tous ce qu'il y a de bon et de mauvais en nous. Bien entendu, pour cela, il faudra que vos profils soient accessibles, soit en public soit parce que vous avez donné la possibilité à une personne de gérer votre profil après votre mort. Je parle de ceux qui ne se cache pas derrière des comptes secrets, bien entendu. Pour les autres, n'oubliez pas que tout peut être retrouvé, du moment que c'est sur la toile ! Pour ma part, je serais assez heureuse qu'un de mes descendants s'intéresse à mon passé, qu'il cherche à savoir qui était cette ancêtre un peu fofolle. Nous avons l'occasion de laisser une trace, même en ayant eu la vie la plus ordinaire qui soit. Pensez-y !
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TOUTE L'ESPÈCE HUMAINES COMPORTE DES SOUCHES DE RACE DÉPENDANT DE LA PIGMENTATION DE LA PEAU TOUT LE MONDE NOIR COMME BLANC ET LE RESTANT AUSSI ONT LA PAUME DE LA MAIN ROSE LE GLAND ROSE LA LANGUE ROSE ... COMME EXEMPLE ET ON QUALIFIE DE RACE HUMAINE CETTE SOUCHE DE PIGMENTATION.... EXCEPTÉ JUSTE LES ISRAÉLITES ALORS EUX C'EST L'ANTISÉMITISME AU LIEU DU RACISME... LES SEULS QUI SONT DANS LEUR DROIT DE REQUALIFIÉ LES AUTRES RACES.... ALORS QU'EN DAGUESTAN SUD DE LA RUSSIE DANS LE CAUCASE LES GENS CHERCHENT LES JUIFS POUR LEUR FAIRE LA PEAU ... ILS SE CHERCHENT UN MOBILE POUR REVENIR AU COMMENCEMENT DU MONDE 🧐 ! D'ABORD IL N'Y AVAIT HYAVE PAS DE DIEU AU DESSUS DE LEUR TÊTE C'EST SALOMON VI OU IV QUI AVAIT SUBI L'ASSAUT DE SAHLADIN APRÈS LA MORT INUTILE DE SA SŒUR... TOUS LE MONDE VIVAIT EN PAIX AVANT D'AFFRONTER LES PERSES.... GOLF PERSIQUE 🤫 ! ILS LES DERNIERS JUIFS SE SONT RETROUVÉS ASSOIFFÉS DANS LE DÉSERT ET PORTANT LA CROIX DE JÉRUSALEM... OU IBALIAN DÉFENDANT LE FORT DE JÉRUSALEM A OBTENU LE SAUF CONDUIT DE LA PART DE SAHLADIN ET REVENUS 3 ANS APRÈS AVEC SYBILLE LA SŒUR DE SALOMON POUR REMPORTER UNE BATAILLE DE PLUS.'. L'HISTOIRE DES CROISADES EST ENCORE D'ACTUALITÉ AUJOURD'HUI ALORS QUE CES JUIFS NE SONT PLUS A LA TÊTE DU MONDE _ÉTATS AMÉRICAIN BIEN QU'ILS LEUR ONT DÉROBÉ 2 BILLION DE $ SOIT 2.000 MILLIARDS DE $ DISLOQUÉ EN 3 BANKS ISRAÉLIENNE 😇
CETTE FOIS C'EST LA FIN DES HARRY CO 👑LES RATKA SONT CUITES 💔
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Hiver 1920, Hylewood, Canada (1/2)
Ma bien chère cousine,
Une courte lettre pour donner des nouvelles. Je n’en reviens pas à quel point vos enfants sont grands. Marc-Antoine est le portrait craché de son père, j’ai cru tantôt que c’était Constantin qui se tenait debout comme ça. Tout va bien à la maison, sauf peut-être une chose assez affreuse qui heureusement ne nous concerne pas directement : le décès du pauvre M. Simmon, le mari de Françoise ma belle-sœur. Il a été retrouvé chez lui, empoisonné. On pense qu’il s’agit d’un suicide… Cette affaire donne à parler à toutes les commères de l’île, qui accusent la pauvre Françoise tantôt d’avoir poussé son mari à la mort, tantôt de l’avoir tué elle-même. Je n’en crois rien du tout. Ils auraient fêté leurs trente cinq ans de mariage cette année, vous rendez-vous compte ?
Mes enfants aussi grandissent et je ne sais plus où donner de la tête. Je n’ai pas de photo à vous envoyer, c’est terrible, je ne pense jamais à ces choses là. Lulu a quinze ans, et lui qui a été toujours été si sage et si raisonné, il se met dans des affaires sans réfléchir, et c’est à moi d’aller présenter mes excuses pour lui. Je le sais, les gens de l’île mettent son comportement sur le compte du fait qu’il n’a pas de père pour le discipliner, mais je ne veux pas les laisser médire.dire.
Son dernier coup m’a grandement embarrassée. L’autre jour, il suivait un raton-laveur (qu’allait-il faire à suivre un raton-laveur, me demanderez-vous…) et celui-là l’a mené jusqu’au sanatorium de nos voisins, et il n’a rien trouvé de mieux à faire que de se cacher dans les fourrés pour les observer par la fenêtre. Pensez-vous… Les pensionnaires qui y séjournent ont un teint si pâle, ils ont besoin de repos, pas d’être assaillis par les curiosités mal placées d’un adolescent en mal de sensations ! Ce grand niaiseux a été surpris, et non content encore d’être réprimandé, il a doublé dans sa faute en accusant nos voisins de je ne sais quelle sorcellerie. Je lui ai dit que c’était péché d’accuser de mensonges pour distraire de sa propre faute, mais il ne veut rien entendre. J’avais si honte, je suis allée m’excuser pour lui.
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« Deir al-Balah, Gaza, 11 mars 2024, Chère Michelle, Ton nom est la seule chose que je connais de toi pour l’instant. Moi, je m’appelle Tala. Jamais je n’ai imaginé parler un jour à une Israélienne. Encore moins faire ta connaissance alors qu’une guerre est en cours contre mon peuple. Lorsqu’on m’a proposé de t’écrire une lettre, je me suis sentie mal sur le moment, effrayée par l’idée de coopérer inconsciemment avec l’ennemi et de trahir les miens. J’ai peur que cette conversation me mette en danger ainsi que ma famille. Mais j’ai quand même décidé de t’écrire. D’abord, pour te raconter ce que je vis depuis six mois maintenant. Et surtout pour honorer mon ami Yousif Dawas, tué le 14 octobre par une bombe israélienne. Il n’avait que 20 ans et rêvait de devenir thérapeute. C’était mon camarade d’université. Nous nous retrouvions régulièrement devant l’hôpital Al-Shifa pour aller ensemble à l’université.
Je suis née à Gaza City il y a vingt ans. Je n’ai jamais quitté l’enclave, qui est une vraie prison à ciel ouvert, tu sais. A l’université, j’étudie le droit. Pendant mon temps libre, j’écris. Les gens disent de moi que je suis un vrai rat de bibliothèque. Avant la guerre, je travaillais du matin jusqu’au soir. Puis, une fois rentréechez moi, j’adorais dévorer un énième livre de ma bibliothèque tout en buvant du thé vert, ma boisson préférée. Je pourrais te parler des heures de mon université. Elle est si belle : on y entend le chant des oiseaux, le bruissement des arbres, on y respire l’air frais et on y trouve des espaces agréables où se reposer. Maintenant, il faudrait que j’écrive ces mots au passé. Car il n’en reste qu’un tas de ruines. Quant à mon diplôme, que j’étais censée obtenir l’an prochain, je ne sais pas quand je pourrai le décrocher.
Désormais, je suis réfugiée à Deir al-Balah, après avoir fui le nord de Gaza, en passant par Khan Younès, où je suis restée quarante jours sans mes parents et mes petites sœurs, qui étaient restés dans le Nord pour garder notre maison. Ils ont fini par partir eux aussi, et on s’est retrouvés en décembre. Nous avons la chance d’avoir trouvé un abri, un toit, des murs. Même s’il me paraît toujours étrange d’appeler ça un abri, étant donné que nous ne sommes protégés ni des bombes ni d’une famine ou d’une épidémie.
Ce n’est pas courant de parler avec une Israélienne comme toi, Michelle. Personne n’est ami avec des Israéliens ici. D’ailleurs, je ne connais pas grand-chose de votre culture, de vos traditions. A Gaza, on est élevés pour vous haïr. Vous n’êtes rien d’autre que des voleurs de maisons, des auteurs de massacres innombrables qui visent à nous expulser de force ou nous exterminer.
Mais, dans ma famille, on pense qu’il est impossible de tout résoudre par la force. Je partage ce point de vue. Je crois qu’apprendre à connaître les personnes qui revendiquent leur droit à cette terre peut servir notre cause. Et toi, qu’en penses-tu ? Pourquoi as-tu accepté d’entamer cette conversation avec moi ?
Malgré notre adversité, je reste ouverte d’esprit et curieuse d’écouter et de comprendre ton opinion. Peut-être que nous ne pensons pas si différemment finalement, et que nous avons même des choses en commun. Où habites-tu ? Etudies-tu ? Connais-tu des Palestiniens ?
Ecrire cette lettre me demande un effort colossal. Ces derniers jours, j’ai été incapable de m’exprimer correctement. J’aimerais partager ce que je vis. Ça pourrait me soulager, me faire sortir un peu du chagrin. Je n’ai plus de projet, plus de vie depuis le 7 octobre. Je commence même à me désintéresser de mes activités favorites comme la broderie palestinienne. Mes amis sont morts ou ont fui. Tous sont partis sans dire au revoir. Beaucoup de Palestiniens meurent de malnutrition, des femmes, des nourrissons. Imagines-tu que des enfants font la queue pour remplir une gamelle de soupe ? Nous avons du mal à trouver des légumes, tout est cher ou inexistant. Je déteste voir les rues inondées d’ordures et d’eau sale, les écoles et universités bombardées ou fermées. Je suis fatiguée de sentir la fumée de notre four en argile qui s’incruste dans tous nos vêtements. Et de devoir me déplacer en âne ou en charrette. La ville où j’ai grandi a été ravagée. Mes souvenirs ont disparu. Ma bibliothèque aussi. J’ai vu une photo de ma rue à Gaza City, elle est méconnaissable. C’est devenue une ville fantôme. Michelle, que fais-tu pendant que mon peuple meurt sous les bombes ? Est-ce que ça te fait de la peine ?
Notre situation est indescriptible. Nous avons perdu toute forme de vie sensée. Nous installons des tentes sur les ruines de maisons détruites. Très peu de centres de santé peuvent aider les femmes enceintes. Le taux de fausses couches a augmenté, tout comme les accouchements précoces en raison des bombardements violents. Je hais de voir comment la vie est en train de quitter nos corps. Soutiens-tu cette agression ? Pourquoi rien ne marche dès qu’il s’agit du sort de la Palestine ? Quelle offense avons-nous commise, nous Gazaouis, pour vivre de telles horreurs ?
Michelle, je me demande si tu as déjà questionné la légitimité de ton Etat, ses lois ou ses actions. Personne ne se soucie de la discrimination que nous subissons depuis cent ans. Et le monde est aveugle face à l’apartheid que nous vivons. Comment l’Etat d’Israël peut-il se qualifier d’Etat démocratique ? Crois-tu que nous pourrons un jour vivre en paix ?
Je suis sûre que tu es, comme tous les êtres humains, dotée de sentiments. Tu ressens l’amour, la haine, la colère, la compassion. S’il te plaît, prends pitié de nous. Dis à ton peuple de cesser de nous priver de notre humanité. Notre destin, c’est nous qui devons le choisir.
Respectueusement, Tala »
« Zoran, centre d’Israël, 25 mars 2024, Chère Tala, Je te remercie pour ta lettre. Bien que je n’habite qu’à quelques kilomètres de Gaza, je n’ai jamais parlé à quelqu’un de là-bas. Premièrement, je souhaiterais te dire que je suis désolée de ce que tu vis et t’exprimer mes plus sincères condoléances pour la perte de ton ami Yousif Dawas. Que sa mémoire soit honorée.
Permets-moi tout d’abord de me présenter. J’ai 24 ans et, comme toi, je suis étudiante en droit. Je m’intéresse au droit pénal et au droit international. J’aime également faire du bénévolat. Avant la guerre, j’aidais les habitants de ma ville qui avaient besoin d’une assistance pour trouver un logement ou obtenir une aide financière de la part de l’Etat. Désormais, ma ville, Sdérot, comme toute la région limitrophe de Gaza, s’est vidée de ses habitants.
J’ai quitté ma maison depuis l’attaque du 7 octobre. Depuis, je suis hébergée par la famille de mon petit ami à Zoran, dans le centre d’Israël. C’est plus calme ici, contrairement à ce qui se passe dans le nord ou le sud du pays. Ma maison me manque beaucoup. Je crains que les missiles lancés quotidiennement de Gaza sur le sud d’Israël détruisent tout ce que j’ai. Mon université est fermée, mais nous pouvons suivre nos cours à distance, en visio.
Je suis née et j’ai grandi à Jérusalem. J’étais scolarisée à l’école “Hand in Hand” [“main dans la main”], où la moitié des élèves sont des Israéliens juifs et l’autre moitié des Palestiniens citoyens d’Israël ou résidents de Jérusalem-Est. Oui, je connais donc des Palestiniens. J’ai fréquenté cet établissement jusqu’à la fin des études secondaires. C’est le seul lycée mixte en Israël où enfants juifs et palestiniens étudient ensemble.
Mon éducation était donc très différente des autres enfants de Jérusalem. Je parlais quotidiennement à des Palestiniens, des Arabes. Les mêmes que la société nous apprend à haïr. Je me souviens que des enfants de mon quartier ne voulaient pas me fréquenter, m’affirmaient que j’étais devenue amie avec des Arabes qui, une fois adultes, viendraient me tuer. Lorsque j’avais 14 ans, des suprémacistes israéliens ont même mis le feu à mon école. Ces années ont fait évoluer ma vision de la société israélienne.
Le 7 octobre au matin, j’ai appris que des terroristes palestiniens s’étaient infiltrés en Israël. Avec mon petit ami, nous nous sommes précipités dans notre abri antimissiles. Nous y sommes restés enfermés pendant près de deux jours, sans électricité ni réseau téléphonique. Nous entendions des coups de feu et des roquettes à l’extérieur, sans pouvoir ni voir ni comprendre ce qui se passait. Le père et la sœur de mon petit ami sont finalement venus nous chercher et nous ont mis en sécurité, dans le centre d’Israël. Quand je suis sortie de chez moi, j’ai vu des corps sur le sol. J’étais horrifiée. As-tu entendu parler de ce qui s’est passé en Israël ce jour-là ? Qu’as-tu ressenti ?
Des Israéliens ont terriblement souffert ce jour-là. Nous n’en sommes toujours pas remis. Des familles ont été brutalement tuées, kidnappées. Et il y a encore des otages israéliens à Gaza dont on ne connaît pas l’état. Je connais personnellement l’un d’entre eux et je prie tous les jours pour qu’il revienne sain et sauf [130 personnes – dont 34 seraient mortes – sont encore détenues à Gaza, selon les autorités israéliennes]. Dans mon quartier, les premières victimes des massacres du 7 octobre sont un groupe de personnes âgées d’une maison de retraite. Près de chez moi [au kibboutz Be’eri], Vivian Silver, qui était pourtant une militante pacifiste de longue date, a été tuée. Peux-tu me dire ce que les habitants de Gaza pensent de ces victimes innocentes, prises dans une guerre qu’elles n’ont jamais voulue ? Je ne comprends pas que des personnes utilisent les actions et les décisions du gouvernement israélien pour justifier la violence à l’égard des civils. Ce mode d’action ne peut être une réponse à l’occupation. Si je comprends la nécessité de la résistance palestinienne, j’estime qu’elle ne doit pas viser des innocents.
Il est aussi vrai que de nombreuses personnes en Israël sont, depuis le 7 octobre, incapables de voir au-delà de leur propre douleur et de comprendre ce qui se passe à Gaza. Il leur est difficile d’éprouver de la compassion pour les habitants de Gaza, surtout après avoir vu des vidéos dans lesquelles des Palestiniens célébraient l’attaque du 7 octobre.
Moi, je ne crois pas que nous soyons ennemis. Je m’opposerai toujours à la violence et à la cruauté, quels qu’en soient les auteurs. Les innombrables atrocités commises par Israël contre les Palestiniens au fil des années, de même que la violence subie par les Israéliens, sont également condamnables. La violence ne fait qu’engendrer plus de violence. La guerre menée actuellement par l’armée israélienne nous le prouve. Serais-tu d’accord pour dire qu’il existe de meilleurs moyens pour obtenir justice ? Y a-t-il encore des personnes à Gaza qui croient en une solution pacifique ?
Tala, tu m’as demandé si j’avais déjà remis en question la légitimité de mon pays. Tu sais, mon peuple, le peuple juif, a une longue histoire de persécution à travers le monde. Que ce soit les ancêtres de mon petit ami en Pologne ou les parents de ma mère au Maroc, ils ont été persécutés parce qu’ils étaient juifs. Cette histoire ne justifie en rien les souffrances des Palestiniens ou la Nakba [“catastrophe” en arabe, désignant l’exode en 1948, à la création de l’Etat d’Israël, de 700 000 Palestiniens, contraints de fuir des massacres ou expulsés par les nouvelles autorités]. Mais il est important pour moi de te rappeler le désir profond et l’urgence qu’il y a eu pour nous, Juifs, d’obtenir un Etat en Terre sainte.
Toutefois, il m’est arrivé de remettre en question la politique et les lois de mon pays. Quand j’avais 14 ans, j’ai rencontré un groupe d’hommes druzes qui refusaient de servir dans les forces de défense israéliennes, alors qu’ils ont l’obligation de le faire. Ces druzes se sentaient Palestiniens et avaient le sentiment qu’Israël tentait de les assimiler pour les affaiblir et les séparer des autres Arabes israéliens. Ça m’a fait réfléchir. Personnellement, j’ai eu la chance d’être exemptée de service militaire pour raison médicale, mais mon petit ami, qui a refusé de servir, a passé six mois dans une prison militaire israélienne.
Nous sommes une minorité en Israël à questionner la guerre actuelle. Les gens ont peur de s’exprimer. Beaucoup ont été arrêtés pour avoir manifesté ces derniers mois. Parfois, j’ai l’impression que la meilleure chose à faire serait de partir, d’aller quelque part où des horreurs ne sont pas commises en mon nom. Mais partir, ce serait égoïste. Je ne peux pas abandonner mon peuple qui souffre. Je m’inquiète de ce qu’Israël deviendra si toutes les personnes qui se battent pour la paix partent. Parfois, j’ai l’impression que nous sommes si peu nombreux que personne ne remarquerait notre absence.
Et puis, j’aime cette terre. Ma famille a vécu en Palestine parmi des musulmans et d’autres juifs pendant de nombreuses générations avant la création de l’Etat d’Israël. J’espère que nous pourrons un jour être tous égaux et libres. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussée à étudier le droit international : ne plus être impuissante face à l’injustice.
Tu m’as dit que tu lisais beaucoup, j’aime aussi lire. J’aime la littérature russe classique, comme Dostoïevski ou Tolstoï. Mon livre préféré est “Anna Karénine”. Quel genre de livres aimes-tu ? Je suis curieuse de savoir ce qui t’a poussée à étudier le droit.
J’aimerais aussi en savoir plus sur l’histoire de ta famille. Comment était ta vie avant la guerre ? Où vivait ta famille avant 1948 ?
Je suis heureuse de pouvoir t’écrire. J’imagine à quel point cela doit être difficile pour toi. Je me réjouis d’avoir de tes nouvelles et te souhaite un bon ramadan.
Sincèrement, Michelle »
Lettres et Photos- source: Le Nouvel Obs
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Bon y s’est passé plein de trucs depuis mon dernier post, mais en gros, on a fait trois jours de chalet, temps variable donc super pour les photos, je me suis retrouvé pris dans des draches et sur des chemins inondés mais sans renoncer car une fois trempé, rebrousser chemin ne sert à rien. Là j’ai pris V et on est en road trip entre Fjords et sommets depuis hier et elle sera une barroudeuse. J’ai hâte qu’elle grandisse encore un peu.
J’ai des pensées par rapport à la mort et je réfléchis un peu sur mes angoisses. Je gros que mon anxiété vient du fait que j’ai beaucoup à perdre maintenant. Je ne peux m’empêcher de penser à chaque moment partager ici avec V et j’essaie qu’ils soient des moments qui resteront avec elle toute la vie, comme faire ce trip me ramène en mémoire les moments semblables que j’ai vecus avec l’un ou l’autre de mes parents. Le changement de perspective d’enfant à adulte est troublant.
Time Flies de Steven Wilson s’est mis à jouer sur le shuffle. Ma gorge se serre. Helvegen (skaldic version) de Wardruna vient à son tour et les larmes suivent. Je comprends certains mots de ma mère dzns ma chair désormais.
Sinon petites frustrations à cause de touristes cons en bobil dans des cols méga étroits, situation qui devient la cata quand un autre connard en véhicule similaire décide de venir à contre sens. Sérieusement si vous venez en Norvège ne venez pas en camping car ou en caravane. Si vous devez absolument infliger votre présence de trou de balle en véhicule inadapté aux autres, au moins apprenez les règles de courtoisie locales (si vous êtes un véhicule qui fait 40 sur une route à 80, laissez passer ceux qui vous suivent dès que possible).
Sinon là on est mid-trip et on fuit les zones orange niveau tourisme en allant vers l’est, direction le glacier au dessus de Sognefjell.
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- suggestion de faceclaim pour le pré-lien traum und existenz
tw - mention d'alcoolisme
kaito ça date, kaito ça prend racine dans des vieilles théories du complot fumeuses et des jets de jouets par-dessus la balustrade pour voir lequel survivra à l'apesanteur. kaito c'est l'autre côté de la pièce, c'est un micmac complémentaire, lui aime pas lire, elle elle adore lire, lui passe mille ans sur l'instru, elle crache des paroles comme un missile qui fend la mer en deux. kaito ça a été aussi celui qu'a joué au plus con, qui s'est retrouvé alcoolo à force d'accepter les verres lors des soirées, qui finissait pété à midi, qui s'est retrouvé à pas pouvoir assumer un concert. lulu l'a dégommé, lulu l'a dézingué, lulu l'a embrouillé comme jamais, dans l'inquiétude pour son pote mais aussi le flippe que le contrat pète entre la maison de disque et eux. la semaine d'après il avait son cul bien enfoncé dans une chaise en plastique chez les AA, et elle l'a accompagné lulu, elle l'a accompagné en lui serrant parfois la main. lulu c'est à la vie à la mort, lulu c'est les résidus d'un chaos doux qui tape des fous-rires à deux heures du matin.
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