#repos mérité
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OFFICIELLEMENT ARRIVÉE EN VACANCES
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« and then I’m gonna go away for a little bit »
… I’m crying
"You have given me these memories that I know I will remember for the rest of my life, these nights have been so special thank you thank you so much for being here and allowing us to do this. We have 15 shows left on this tour, Love On Tour, it is the end of Love On Tour. It has been an absolute privilege and honor to play for such a wonderful group of people. Now, we’re gonna finish these shows, and then I’m gonna go away for a little bit… BUT I want to tell you that I will miss and I have loved you so so much over these last couple years of this tour, thank you so much for making this absolutely the greatest experience of my life, thank you so so much."
-Harry expressing his love and gratitude and mentioning he'll be going away for a little bit after this tour.
Love On Tour 2023: London, Night 3. (16 June 2023)
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Dès ce matin, créez une atmosphère de bonne chance et de joie pour vous…et ceux que vous aimez ... Que ce jour de repos mérité... Ne soit que bonheur ! Merveilleux samedi chers amis
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Passez une bonne soirée comme un voyage dans un monde de tranquillité, où chaque pensée est un pas vers un repos bien mérité.
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Un repos mérité les yeux vers le ciel
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Regarde-moi cet endroit, t'y crois ? L'Hôtel du Centre, tout pimpant, tout blanc avec ses volets rouges, comme pour dire : « Hey, je suis là, au milieu de nulle part ! » Et puis ces petites montagnes, derrière, qui regardent de haut tout ce petit monde. Les voitures qui se pointent, à la va-comme-j'te-pousse, cherchant un coin pour poser leurs carcasses. Les arbres, discrets, qui se tiennent à carreau, histoire de pas déranger. Et puis ce petit trottoir, qui mène on ne sait où… Tout a l'air si tranquille, si posé, comme un dimanche après-midi où tout s'arrête. Mais dedans, qui sait ? Peut-être que ça bouillonne, que ça s'agite, que les verres trinquent et que les rires fusent. C'est un monde de contrastes, où la quiétude côtoie le tumulte, où l'apparence cache mille et une vies. Mais bon, de loin, on n'y voit que du feu. Tu sais, y'a des lieux comme ça, qui bravent le temps, qui résistent quand tout autour semble se déliter, s'effondrer. Cet hôtel, c'est un peu ça. Un vestige, un symbole. Quand tout ferme, tout change, tout est transformé, lui, il tient bon la barre. À l'origine, imagine, c'était en 1958, une simple pension de famille, la pension Mallet. Et puis l'appétit grandissant, la vision s'agrandit. En 1965, deux étages de plus viennent couronner l'édifice, pour faire face à une station de sports d’hiver en pleine expansion. 27 chambres pour accueillir les âmes en quête de repos et de glisse. Les Mallet, une famille de battants, l'ont tenu jusqu'en 1984, puis est venu le temps de la transmission, au fils, qui a veillé sur les lieux jusqu'à ce qu'il range ses clefs pour une retraite bien méritée en 2019. Aujourd'hui, de nouveaux visages sont aux commandes. L'Hôtel du Centre continue de vivre, de respirer, de témoigner de ce qu'il était autrefois et de ce qu'il sera demain. Un phare immuable, défiant l'obscurité des métamorphoses.
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Un peu de repos bien mérité. Une petite pause estivale pour mieux vous retrouver.
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2/2
Puis nous montons dans les hauteurs de la ville, dans le quartier de Bairro Alto avant de redescendre vers celui de Bica où se trouve le célèbre funiculaire.
Nous terminons la journée en profitant de notre terrasse, repos bien mérité.
06/08
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Le vieux sage 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 L'aile de ce machaon est légèrement abîmée, laissant imaginer quelques péripéties. Il prend un repos bien mérité au dessus de la prairie pleine de rosée. 🇬🇧 The wing of this swallowtail is slightly damaged, suggesting some adventures. He takes a well-deserved rest above the dewy meadow. https://ift.tt/mPCMA35
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Repos bien mérité pour notre cher Santa, jusqu'à l'année prochaine...❤️
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Hola todos,
Je viens aux nouvelles suite à ces quelques jours de silence. Au bout de 3 semaines de stagnation, nous avons enfin pu récupérer notre fidèle destrier : le DoudiCuatro ! Après de chaleureux adieux à Gregorio et Patricia nous avons donc pu nous remettre en route vers la Patagonie (le 20 février).
Quelle joie ce fut de pouvoir repartir avec un moteur vrombissant et une voiture remise à neuf. Nous étions subjugués à l'idée d'aller enfin découvrir les paysages dont nous rêvions tant.
Notre première étape devait être le parc Conguillo, malheureusement il n'y avait plus de billets disponibles pour les jours suivants notre départ, le parc ayant une capacité d'accueil limitée.
Gregorio nous a alors conseillé de rejoindre son ami Nolberto, un garde forestier responsable du parc Villarrica, tout aussi sublime que Conguillo et un peu moins connu.
Après un coup de téléphone avec ce dernier, Gregorio nous a confirmé qu'il nous invitait à visiter le parc et, qu'en prime, il disposait d'une cabaña tour en bois à l'orée d'une forêt qu'il nous prêtait généreusement le temps du séjour dans le coin. Nous étions ravis.
Nous nous sommes donc mis en route direction Panguipulli, une petite ville magnifique surplombant un lac et dominée par un énorme volcan encore en activité. C'est à cet endroit que Nolberto nous a gentiment accueilli.
Après quelques victuailles et de belles histoires sur son amour pour la forêt et sa rencontre avec Gregorio, Nolberto nous a amené jusqu'à sa cabaña pour un repos bien mérité !
Le lendemain, avec l'énergie chargée à bloc, nous nous sommes dirigés vers Villarrica. Nous avons été accueillis par les deux collègues de Nolberto qui nous ont présenté les différentes possibilités de visite. Nous avions le choix entre monter jusqu'à un mirador pour observer le volcan de plus près, ou nous rendre jusqu'à un énorme glacier recouvert des cendres du volcan. La météo n'étant pas clémente ce jour-là, nous avons opté pour le glacier, par peur que les nuages couvrent la vue du volcan. Quel bon choix nous avons fait !
Nous avons entamé une randonnée qui a duré 7h aller-retour pour nous rendre jusqu'au glacier.
Celle-ci démarrait dans une forêt incroyable avec des arbres totalement inconnus à nos yeux, qui se hissaient à plusieurs dizaines de mètres. Au milieu de la forêt se trouvait même un arbre millénaire de plus de 1500 ans !
Ceci-dit, ses compagnons boisés, tout aussi grands, n'avaient rien à lui envier.
Le chemin se poursuivait ensuite dans la haute montagne, d'où nous observions avec admiration la canopée de la forêt qui s'éloignait.
12 000 pas et 600m de dénivelé plus tard, nous sommes enfin arrivés au pied du glacier. Ce géant de glace nous a laissé sans voix, tant sa splendeur était incroyable. Nous sommes restés une bonne heure à son pied, méditant et observant ce sublime spectacle.
Nous avons même trouvé un message politique au pied du glacier. Inscrit sur la roche volcanique à l'aide de pierres rougeâtres.
Suite à notre visite du parc nous sommes allés boire quelques piña coladas en récompense dans un bar local, ce qui nous a poussé à une petite journée repos le lendemain.
Hier soir nous avons repris la route en direction du second parc que nous voulions voir : Huilo Huilo.
Nous allons y entrer dès aujourd'hui (le 24 février).
Je vous tiens au courant pour la suite des aventures.
Besitos,
Luna
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La ville endormie, un spectacle apaisant
Intimité familiale Fin
GIOVANNI ARSENE KUATE TAKAM 22007100
À travers les carreaux de ma fenêtre, les rideaux blancs délicatement rabattus sur le côté, un spectacle d'une sérénité à couper le souffle s'offre à moi. Il est 00h15 la ville semble s'être lovée dans un cocon de quiétude, prête à savourer quelques heures de repos bien mérité.
Dehors, les lumières tamisées des lampadaires projettent une lueur chaleureuse et rassurante sur les rues désertes. Leurs éclats dorés se reflètent sur les carrosseries des voitures sagement garées de part et d'autre de l'avenue, créant un ballet d'ombres et de lumières d'une beauté hypnotique.
Les grands arbres qui bordent la chaussée se dressent tels des sentinelles immobiles, leurs silhouettes se découpant avec grâce sur la toile de fond d'un ciel d'encre. Chaque branche, chaque feuille semble suspendue dans le temps, figée dans une attente respectueuse du sommeil de la ville.
Un calme presque surnaturel règne sur ces lieux habituellement animés, comme si le tumulte de la journée avait cédé la place à une trêve salvatrice. Plus un bruit, si ce n'est le doux murmure du vent caressant les feuillages, une mélodie apaisante berçant les rêves des habitants.
C'est un moment précieux, une parenthèse enchantée où le monde semble ralentir sa course effrénée. Un instant où l'on peut laisser son esprit vagabonder, se délester du poids des soucis quotidiens et simplement se laisser porter par la beauté de cette scène nocturne.
Derrière ces carreaux, je me sens privilégié d'avoir un tel spectacle sous les yeux, un rappel constant que même dans l'agitation de la vie urbaine, il existe encore des moments de grâce et de sérénité à savourer pleinement.
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Trip to Mushroom Land 16
After a well deserved rest in the charming village of Boletus Pulverulantli, we decided to pursue our voyage… in a fun way. As the name of the village suggest, the bolets growing here produce a surabondance of spores. So much in fac you can glide all the way down!
Voila, we've reached the end of my tale. Did you enjoyed it ? Tell me, and I'll will make more. For now, let's explore new territories!
/* Pencil doodle on A6 sketchbook - Porte-mine sur carnet A6 */ This is a part of the Travel log of Fungi Haven
Après un repos bien mérité au charmant village de Boletus Pulverulanti, nous avons décidé de poursuivre notre route de manière… inhabituelle. Comme le nom du village le suggère, les bolets qui poussent ici produisent une quantité de spores phénoménale. Tellement qu'il est possible de glisser dessus jusqu'en bas de la strate !
Voilà, nous arrivons à la fin de ce petit récit de voyage. Ca vous a plu ? Si oui, dites-le moi, et si le coeur m'en dit, je le continuerait. En attendant, en route vers de nouvelles aventures !
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" Daddy Issues "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀���𝗲 : Gayle Dekarios.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Enfant de Bhaal, Tav peine à aller de l'avant, les révélations du Seigneur Gortash sur son ancienne vie étant bien trop dures à supporter. Elle ne dort plus, ne mange plus, ne se focalise que sur ses dernières forces restantes afin de combattre les sombres pulsions qui cherchent quotidiennement à s'emparer d'elle, ainsi que renier cette partie monstrueuse que son père, le Dieu de l'assassinat, lui a offert. Elle n'est plus que l'ombre d'elle-même et c'est à peine si elle ose se faire assez confiance pour en parler à ses compagnons. En cette douce soirée, alors que l'idée de sombrer dans l'étreinte de Morphée ne cesse de lui donner des cauchemars, Tav se recueille donc auprès de ses amis à quatre pattes sans se douter que, du coin de l'oeil, Gayle s'assure de son bien-être. Préoccupé par le cas de sa bien-aimée, il ne tardera pas à la rejoindre et à devenir l'épaule sur laquelle elle pourra se reposer.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS.If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS.Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟗𝟏𝟐.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Gratouille dormait paisiblement à mes pieds, ou plutôt; je m'étais infiltrée dans son petit chez lui. Recroquevillé sur lui-même, il avait bougé quelques minutes plus tôt pour déposer sa tête sur mes cuisses, apparemment non dérangé par le fait que je l'aie rejoint au beau milieu de la nuit. Je m'étais sentie un peu mal et l'idée de chercher du réconfort auprès de mon ami à quatre pattes m'eut semblé évident sur le moment.
Hier, nous étions arrivés à la voie du Dracosire, à deux doigts de passer la porte de Baldur. Cependant, nous avions rencontrés bon nombres de périples au long de notre chemin. Et avec mes nombreuses nuits passées à cauchemarder ou à combattre mes envies sanguinaires, je me retrouvais presque incapable de suivre le rythme. Mes paupières étaient affreusement lourdes, je désirais profondément m'endormir et me laisser aller à un repos des plus mérités. Sachant cependant cela dangereux, je me restreignais du mieux que je le pouvais. Avant hier, ça avait été en combattant aux côtés de l'Empereur, puis avant mon combat contre Ketheric Thorm, je m'étais contentée d'une petite balade. Ce soir, j'avais juste envie d'être auprès de Gratouille.
Sentir son poil brillant me glisser entre les doigts, la chaleur de son sang pétiller sous mon toucher.. Notre proximité suffit à apaiser les battements rageur de mon cœur.
L'ours-hibou n'était pas très loin. Il dormait à l'intérieur d'une structure en bois pour poulets. Gratouille et lui avaient leur propre tente mais ils passaient toute la journée à jouer ici ⸺de ce que Halsin m'avait dit⸺ alors nous les avions laissé s'y installer et, depuis hier, ils dormaient là. L'ours-hibou était trop grand pour dormir dedans, à chaque mouvement qu'il faisait, réajustant ses pattes, levant un peu la tête, le bois grinçait et je ne cessais de parier que la structure allait enfin céder.
« On dirait que vous allez vous plaire ici.. » murmurai-je.
Proche d'ici, dormaient Gayle et Halsin. Un peu plus loin, il y avait Ombrecœur et Astarion. Sans oublier Dame Aylin et sa bien aimée Isobel. Beaucoup de mes compagnons s'étaient assoupis. Je pensais Astarion réveillé, sachant que, plus d'une fois, je l'avais vu me regarder quitter ma couche afin de fuir mes cauchemars nombre de fois. Sa condition devait en être la responsable. Malgré le fait qu'il soit temporairement guéri, passer deux cent ans à vivre la nuit et dormir la journée avait dû affecter son cycle.
Je pensais le camp endormi, ne voyant aucune lumière allumée. Seuls les rayons lunaires provenant du dessus de nos têtes éclairait le moment, il m'éblouissait et me permit de distinguer quelle partie de Gratouille je caressais. Je n'aurais pas voulu le blesser ou le mettre mal à l'aise par inadvertance. Il y avait aussi le fait que je n'entendais pas un bruit, outre les ronflements de Karlach harmonisés par ceux de Jaheira, Lae'zel avait abandonné son arme, Wyll avait cessé de boire, tout était parfaitement silencieux. Un peu comme si nous étions seuls au monde.
Cela me rappelait notre temps passé sur la Terre des Ombres. Constamment entourés par ce silence pesant et menaçant nous avions nombre de fois tenté de le combler à travers des festins mouvementés. À présent, ce silence était presque tout autant menaçant.
Nous étions proches de la cité. Mon sang frétillait d'impatience à cette pensée, pour je ne savais quelle raison ⸺ou peut-être que j'étais trop effrayée pour me l'admettre. L'idée d'enfin rejoindre la porte de Baldur et de sauver le monde me rendait perplexe. Je venais à peine de retrouver mes souvenirs, ou du moins une partie, et tant de chose nous tombaient sur les épaules... J'avais peur de ne pas être à la hauteur.
Mon attention dériva à l'entente de quelqu'un arrivant dans mon dos. Le portail du poulailler grinça et des bruits de pas plongés dans la boue survinrent. Immédiatement, je tournai la tête.
Mon regard croisa le sien, j'arquai un sourcil.
« Gayle ? » m'étonnai-je. « Je pensais que vous dormiez. »
Encore dans ses habits de nuit, il s'approcha de moi et s'accroupit de manière à caresser derrière l'oreille de Gratouille. Ses yeux trouvèrent rapidement les miens. Il me sourit presque instantanément, comme si la simple vue de mon visage suffisait à le combler. Je lui souris en retour, toutefois plus timidement.
« Je vous avais promis que je ne dormirai plus sur mes deux oreilles. » déclara Gayle. « Je vous ai entendue vous lever et ça m'a inquiété, je voulais m'assurer que vous alliez bien. »
Tout en parlant, il s'était assis.
« J'ai du mal à dormir. »
« Rien de surprenant après une telle journée. Notre rencontre avec cette métamorphe, Orin, m'a de même marqué. »
Gayle et moi continuâmes de caresser Gratouille, sans nous regarder ceci dit.
« Le sentiment de sécurité qui m'avait précédemment conforté n'est plus. » insista-t-il. « Je comprends votre inquiétude. »
Gayle n'avait jamais été quelqu'un de très perspicace. Il était certes un magicien puissant, capable d'abattre nos ennemis les plus sournois, mais lorsqu'il s'agissait de communiquer avec un autre être vivant, il était souvent maladroit ou se trompait. Voilà pourquoi le fait qu'il se corrige quelques secondes après que je me sois murée dans un silence de plomb ne me surprit point.
« Ou peut-être.. Peut-être que je me trompe. Peut-être que ce n'est pas le sujet de votre mal-être ? »
Je secouai la tête.
« Je pensais à mes cauchemars. »
Retirant ma main du poil soyeux de Gratouille, j'observai ma paume. Elle se rapprocha de mon visage. Je la sentais humide, sale, une vilaine odeur métallique s'en échappait. Depuis mon réveil au bord de ce fichus vaisseau, j'avais eu la constante impression d'être couverte de sang. Malgré des heures passées à me racler l'épiderme, à user savonnette après savonnette, elle ne s'en allait jamais. L'odeur florale se mélangeait avec elle et me donnait toujours la nausée, parfois même, je finissais par en vomir. Et alors, je perdais connaissance et recommençais à avoir ces mauvais rêves. Ou plutôt, ces souvenirs.
« Je ne suis pas surprise d'être l'enfant de Bhaal, depuis que nous nous sommes rencontrés j'ai ces pensées sanglantes qui fusent dans mon esprit. Depuis le départ je savais que quelque chose n'allait pas avec moi. »
Ma main se refermait, formant un poing fébrile.
« Mais je suis terrifiée. »
Gayle posa sa main dessus.
« Je comprends. »
Je tournai la tête dans sa direction, surprise par le ton étrangement attentif dans sa voix. Son regard croisa le mien et, tout d'un coup, une bourrasque chaude balaya l'intérieur de mon estomac. Les yeux de Gayle brillaient intensément. Il me contemplait de manière si tendre.. Je ne m'en sentais pas digne.
« Je ne suis pas un expert concernant ce que vous traversez, c'est visiblement un moment très dur. Combattre la volonté d'un Dieu, qui plus est son propre père, doit être extrêmement terrifiant. »
Pour accompagner ses propos, il compressa ma main. Sa chaleur se mêla à la mienne, une chaleur plus douce et bienveillante.
« Mais n'ayez crainte. »
Gayle sourit.
« Vous n'êtes pas seule. Vous ne le serrez jamais, pas tant que nos compagnons seront là, et certainement pas tant que je serai là. Je vous en fais la promesse. Vous vaincrez ce mal et ces pulsions, tout simplement parce que ça n'est pas vous. »
« Comment pouvez-vous en être aussi sûr ? Je ne sais même pas qui je suis.. »
« Si ça avait été aussi facile, vous auriez succombé depuis bien longtemps. Mais vous voilà, faisant le bien et combatant vos racines. »
Sa seconde main rejoignit les nôtres. Il les serrait fort contre la mienne, la protégeant, ou plutôt, masquant le sang que je persistais à imaginer et à sentir. Le sourire gravé sur ses lèvres m'empêchait de détourner le regard. Gayle avait quelque chose chez lui. Ça n'était pas seulement sa personnalité, ou sa voix ⸺malgré le fait qu'elle soit aussi douce que du miel, aussi charmante qu'une caresse aventureuse⸺, c'était plus que ça. C'était l'éclat dans ses yeux bruns. La manière dont il me contemplait était enivrante. La journée, le soleil les faisait briller, tant que parfois il m'était difficile de conserver notre contact visuel, lui jeter un coup d'œil semblait parfois juste suffire, j'en terminais embarrassée, la nuit, j'aurais pensé que cela se serait atténué, mais les rayons lunaires semblaient être complices de son numéro.
Je le regardais, les yeux dans les yeux, et l'impression qu'ils n'eurent jamais été aussi brillants qu'en cet instant me frappa. J'en sentis mon cœur s'emballer. Ma respiration s'accéléra. Ma main libre reposant sur ma cuisse s'agrippa au tissu de mon pyjama, et j'entrouvris mes lèvres. Cependant, je fus incapable de prononcer la moindre parole. Je ne pus que respirer à la hâte.
J'étais bouche bée.
« Vous êtes la femme la plus forte qu'il m'ait été donné de rencontrer, et d'aimer. Et j'ai aimé une déesse par le passé je tiens à préciser. »
Je pouffai.
« C'est difficile à oublier. »
« Tout ça pour dire que, » se reprit-il après s'être raclé la gorge. « Je n'ai aucun doute que vous viendrez à bout de ces désirs qui vous rongent. Un jour viendra où vous dormirez paisiblement, peut-être même à mes côtés, si nous en aurons l'opportunité. »
« Dans votre fameuse tour à Eauprofonde ? »
« Seulement si vous le désirez. »
« Évidement que oui.. »
Je plaçai ma main sur les siennes. Ce nœud de doigts empestait l'amour. Il était gluant, chaud et sûrement douloureux à observer vu de l'extérieur. J'étais si proche de lui, son eau de cologne m'empoisonnait les narines, l'odeur était si forte, comme si il s'en était badigeonné avant de me rejoindre. Cette pensée enfantine manqua de me faire pouffer. Je le reniflai davantage, sans oublier de lui faire les yeux doux tandis que mon cœur tambourinait à un rythme alarmant.
« Je ne raterai ça pour rien au monde. Vous me devez déjà un dîner là-bas, peut-être pourrons-nous faire d'une pierre deux coups ? »
« Pourquoi nous arrêter là ? » me coupa-t-il.
J'arquai un sourcil.
« Vous êtes ambitieux. »
« Je sais ce que je veux. » il reprit. « Je ne désire rien d'autre que de partager les années à venir à vos côtés. Votre sourire, votre joie de vivre, votre force et votre bonté... Je m'en irai chérir tous ces aspects qui font de vous la personne que j'aime. »
« Vous êtes un plus beau parleur qu'Astarion. » ris-je.
« Sûrement. » il rit à son tour.
Après un court instant, je me raclai la gorge.
« J'aimerais beaucoup cela. »
Les yeux de Gayle s'ouvrirent.
« Si nous arrivons à survivre à tout ce qui va se passer dans les jours à venir, si je ne perds pas la tête, si aucun de nous ne se transforme en monstre, je pense que oui, ça me plairait. »
J'entendis sa respiration s'arrêter.
« Il me faut régler cette histoire de destinée bien avant. » insistai-je. « Je ne veux plus essayer de vous faire du mal, je ne pourrais pas le supporter. »
« Oh, vous savez, ça n'était pas si terrible que ça. »
Le sourire aguicheur qu'il m'offrit était taquin, me faisant sourire à mon tour.
« Ça n'était pas la première fois que vous essayiez de me morde, d'autant plus. »
Mes yeux s'écarquillèrent.
« Gayle ! »
Je retirai mes mains de son emprise, accompagnée par une expression horrifiée, mais il s'empressa de me saisir le visage en coupe et de me forcer à continuer à le regarder. Gayle colla son front au mien et rit tout doucement.
« Je me suis peut-être emporté. »
« Peut-être ? » répétai-je.
« D'accord, je me suis emporté. Mais je disais la vérité ! »
Il me serra fort, ses paumes pressées contre mes joues et le front adorablement plissée en une mine consternée.
« Je ne dis pas non à un peu de mordant dans notre relation, tant que c'est vous. »
Gayle déposa un baiser sur mon front.
« Je vous accepte toute entière. »
Puis il le colla de nouveau contre le mien.
« Nous avons tous nos démons, le fait que les vôtres soient réels ne m'effraie pas le moins du monde. Bon. Je vous avoue qu'ils m'effraient un peu, mais je survivrai. »
Mes mains s'enroulèrent autour de ses poignets. Sous la caresse de ses pouces sur mes joues, je fermai mes yeux.
« Vous êtes trop bon pour moi. »
« Ah, non. » il contesta immédiatement. « Je ne suis qu'un simple humain, moi aussi j'ai fait des erreurs et j'ai été manipulé par une divinité. Nous sommes dans le même bateau. Que dis-je, nous partageons le même destin. »
La caresse de son souffle sur ma peau était incomparable aux douceurs que l'ont m'avait offertes par le passé. Je me cramponnai à lui. Ébranlée, j'en perdis mes mots. Gayle me contemplait sans une once de dégoût. À travers ses pupilles brunes, il me témoignait les sentiments incommensurable qu'il ressentait pour moi. La manière dont ses traits se plissaient autour de ses lèvres et entre ses sourcils était irrésistible. Il était si beau. Gayle empestait la joie de vivre et l'espoir. Cela me faisait grand effet, à ses côtés, j'en oubliais ma vie passée et le destin funeste qui m'attendait. Je me sentais mortelle et si futile face au monde, mais vitale à ses yeux. Je me sentais le centre de son monde, oui. J'étais enfermée dans une bulle d'amour à ses côtés, un peu similaire au soir où nous avions pour la première fois fait l'amour et où il m'avait fait ressentir pour la toute première fois de mon existence, des choses que je n'oublierais jamais.
Il m'était impossible de douter de la véracité de ses propos. Gayle ne me mentait pas. Peut-être qu'il enjolivait la réalité, en plus de ses espoirs et de ses opinions, car il n'était pas objectif, mais cela ne m'effrayait pas. Pas le moins du monde.
Si il était dans le déni, alors je l'imiterais avec plaisir. J'irais plonger la tête la première dans son monde d'illusions et je ferais tout pour que ses désirs prennent vie. Que cela soit en affrontant mon père et sa fidèle métamorphe, ou en tenant tête à Mystra elle-même. Tout cela pour qu'à la fin, je puisse l'aimer éternellement.
Pour rien au monde, je n'aurais voulu que notre histoire ne prenne fin.
« Je vous aime. »
Son murmur me caressa le cœur. Reconnaissante, je lui renvoyai l'ascenseur.
« Je vous aime aussi. »
Gayle embrassa alors mes lèvres. Ce fut bref, comme à chaque fois que je lui réclamais un baiser, alors, je partis à sa poursuite et me décidai à l'embrasser moi-même. Gayle huma contre ma bouche. Il me répondit immédiatement et je forçai mes bras autour de sa nuque à nous rapprocher davantage l'un contre l'autre. Son torse se pressa contre ma poitrine et ses mains lâchèrent mon visage pour se saisir de mes épaules. Nos lèvres se rencontrèrent, nos langues se frôlèrent. Sentir nos salives se mélanger, sa chaleur et son odeur se propager en moi me fit frémir.
Je me sentais invincible à ses côtés. Toutes mes sombres pensées se turent et laissèrent place à d'autres plus agréables, mes yeux s'étaient fermés et je m'étais, sans surprise, perdue dans notre échange. Désespérée, charmée, je l'embrassais à en perdre la raison.
Notre baiser ne fut point sensuel, ni langoureux. Il se composait de plusieurs bisous. Gayle avait penché la tête sur le côté et souriait contre mes lèvres. Je fis de même. Je respirais lorsque je le pouvais, irrésistiblement attirée par lui à chaque fois que j'osais reculer. Gayle m'accueillait toujours à bras ouverts.
Une fois séparés, quelque peu essoufflés, nous échangeâmes un rictus complice, le sien était plus taquin. Je regrettais un peu qu'il fasse aussi sombre, me demandant si il était rosi au niveau des joues, comme à chaque fois que je lui réclamais un baiser. Je ne voyais que le reflet des rayons lunaires dans ses yeux. Ils m'éblouissaient. Cependant, juste pour être sûre, je décroisai mes bras autour de sa nuque et attrapai son visage en coupe. Je le saisis avec grande délicatesse, effrayée à l'idée de le mettre mal à l'aise. Comme je le pensais, ses joues étaient chaudes. Cette constatation me mit du baume au cœur.
Je n'avais pas besoin de le toucher pour m'assurer qu'il était bouleversé, j'en étais consciente. Cependant, m'en rendre compte par mes propres moyens en posant mes mains sur lui était un luxe auquel je refusais de dire non. Pour rien au monde je ne serais passée à côté de l'opportunité de me rapprocher de lui.
« Allons, pourquoi cette petite mine ? »
Gayle expira un soupir tout en touchant mes poignets. Il les emprisonna entre ses doigts.
« Je ne fais pas la tête. » contestai-je. « Je suis pensive. »
« Cela vous plairait-il de me les partager ? J'ose espérer qu'elles me sont réservées. »
Il m'arracha un rire.
« Évidement qu'elles le sont. »
Nous étions si proches. Je ne voyais que sa tête devant moi, je me perdais dans ses jolis yeux et son sourire ravageur. Sa respiration s'échouait sur mes lèvres, elle était quelque peu erratique, ceci dû à notre précédent échange, son souffle était chaud mais léger à la fois. C'était agréable. Pas dans le sens où j'appréciais le respirer, mais plutôt par rapport à notre proximité et au fait que cet instant que nous partagions n'appartenait qu'à nous. Être aussi proche de lui me faisait du bien. J'en venais à me demander comment j'avais fait depuis tout ce temps sans lui dans ma vie... Elle ne prenait sens qu'en sa présence.
« Je suis heureuse de vous avoir rencontré, c'est tout. » murmurai-je. « Je crois que sans vous, il m'aurait presque été impossible de résister à mes pulsions. Vous me donnez la force d'avancer et de me dépasser. »
Je m'attendais à l'entendre me consoler, voire le sentir m'embrasser à nouveau le front. Cependant, il ne fit que rire.
Je fronçai donc les sourcils.
« Vous trouvez ça drôle ? »
« Ne le prenez pas mal. » me supplia-t-il. « C'est juste que je pense la même chose à votre égard. Avec Mystra, mon Orbe.. Je ne pense pas que j'aurais pu survivre si je ne vous avais pas rencontrée. »
« Gayle.. »
« Les gens ont beau dire que les contraires s'attirent, je ne me sens bien qu'à vos côtés. »
Il rapprocha la paume d'une de mes mains à ses lèvres et déposa un doux baiser dessus.
« Vous êtes devenue ma raison de vivre en si peu de temps. C'est moi qui ne vous mérite pas. »
Puis il embrassa la pulpe de mes doigts, un à un.
« Qu'importe vos racines, qu'importe vos peurs. Qu'importe vos soit-disant défauts. Vous êtes divine. La femme la plus exceptionnelle qu'il m'ait été donné de rencontré. Et croyez-moi, je pèse mes mots. »
Soumise à ses paroles, je fus incapable de lui répondre, j'étais pétrifiée, secouée par les palpitations de mon cœur.
« Ma bouche sera vos yeux, si il le faut. J'irais vanter votre immense beauté, votre gentillesse et votre cœur débordant d'amour. Sans parler de votre courage. » insista-t-il.
Gayle fit pression sur mes doigts.
« Je vous aime. »
J'embrassai sa joue.
« Merci. »
« Tout le plaisir est pour moi. » il sourit. « Vous devriez essayer d'aller dormir à présent, une grosse journée nous attend demain. »
Pour accompagner ses propos, il déposa la paume de sa main sur ma joue ⸺celle qui tenait mon poignet, non mes doigts.
« Je ne dis pas que vous avez un teint affreux, loin de moi l'idée de me montrer irrespectueux. Mais un peu de repos vous ferait du bien. »
« Je ne sais pas si c'est une bonne idée... »
Je détournai le regard en direction de Gratouille. Il était la raison de ma venue ici après tout, sans le poids de sa tête sur mes cuisses, j'aurais presque pu l'oublier. La proposition de Gayle était alléchante, j'étais morte de fatigue, je n'étais pas en position de le nier. Mais l'idée que mes pulsions risqueraient de se réveiller et que j'essaie de nouveau de l'assassiner me terrifiait. Cela fut suffisant pour chasser ma fatigue.
À présent angoissée, je fermai mes yeux.
« Je pense rester ici. »
« Allons.. »
« Juste un peu plus longtemps. » pressai-je. « Quelques minutes. »
J'entendis Gayle bouger. Lorsque je rouvris les yeux, je le vis caresser Gratouille, ses doigts fondus entre ses poils et l'expression indéchiffrable. Il ne me regardait plus à présent.
« Vous permettez que je reste à vos côtés, dans ce cas ? »
J'ouvris la bouche, toutefois il me devança.
« Je n'ai vraiment pas envie de vous abandonner par une si belle soirée. » déclara-t-il. « Passons-la ensemble, d'accord ? »
Sa demande me laissa hébétée.
« Je⸺ »
Mes bras s'enroulèrent autour de mon ventre. Je me pinçai brièvement les lèvres, le temps de prendre une immense inspiration depuis mes narines et de l'expirer, cela n'éclaira pas ma lanterne, ni ne fit taire mes craintes. Mon corps restait peureux.
« Si c'est ce que vous désirez.. J'aimerais ça. »
Ma tête tomba sur son épaule.
« J'aimerais beaucoup ça. »
Dans un geste réconfortant, Gayle apporta sa main libre sur l'une des miennes. Il la posa dessus sans s'arrêter de caresser Gratouille et ne me répondit point, j'en eus profité pour fermer mes paupières et humer l'odeur de terre humide qui nous entourait, en plus de son eau de cologne. Gayle n'ajouta rien. Un frisson parcourut mes bras et remonta jusqu'à mon échine.
Ma respiration se tut. Il n'y avait, à présent, plus que nos contacts physiques qui comptait à mes yeux. Ma tête et son épaule et nos mains.
Mes craintes ne disparurent point, mais, face à l'intensité du moment que nous partagions, elles ne surent faire le poids. Alors, mes pensées se firent muettes, seuls le bruit des battements de mon cœur et la respiration de Gayle me suffirent. Je n'ouvris pas les yeux, je ne me séparai pas de lui. Je me laissai aller, rassurée et mise en confiance par l'homme dont j'étais tombée amoureuse. Je n'avais besoin de rien de plus. J'étais même reconnaissante de me trouver dans un tel endroit, à un tel moment, je n'avais pas besoin d'être entourée d'une maison, dans mes plus beaux vêtements, pas tant qu'il était auprès de moi et qu'il continuer de me conter Ô combien il m'aimait. Sa présence m'était suffisante. Pas même les joyeux les plus précieux auraient su égaler la splendeur de son âme, ainsi que sa bonté. Ni même l'affection de mon propre père.
Je ne désirais rien d'autre que lui, j'étais comblée de me trouver à ses côtés.
L'espace d'une nuit, la possibilité de mon funeste destin quitta mon esprit. Elle me glissa entre les doigts. Je restais auprès de Gayle à discuter ou à l'embrasser, parfois à subir ses taquineries, tout cela, jusqu'au petit matin, avant que nous nous endormions quelques minutes avant l'heure du réveil. Ce moment se transforma en un souvenir inestimable. Jusqu'à mon dernier souffle, je le chérirai.
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Une petite journée de repos bien méritée
w/ @scentofhistory
Cela faisais maintenant plusieurs années que la jeune femme devais se débrouiller par ses propres moyens, n’ayant jamais connue son père, ce dernier s’étant soi-disant fait la malle pendant la grossesse, en tout cas, c’était ce que la mère de la jolie rousse avais toujours proclamée. Puis ça avait été à son tour de l’abandonner alors que Heiderose n’était âgée que de seize ans, lui laissant la charge de la maison où elle avait grandie, mais aussi de ses dettes, qui avais poussé la jeune femme à s’émancipée et à devenir adulte, bien avant son heure. Aujourd’hui, elle avait pu commencer des études qui lui permettrait de réaliser son rêve de devenir fleuriste, mais en plus de ses études, elle devrait également travailler dans un petit café proche de l’université afin de subvenir à ses besoins, puisqu’elle était seule, n’ayant plus ni parents, ni famille pour l’aider, elle était seule, quoi qu’il puisse arriver.
Mais aujourd’hui, elle n'avait ni cours, ni travail, elle avait sa journée de libre pour profiter un peu d’elle-même comme elle avait si peu l'occasion de le faire depuis que sa mère alcoolique avait décidé de la laisser à son propre sort. Profitant du beau soleil qui pointe le bout de son nez, Heiderose avait décidé d’aller se poser un peu dans le parc qui faisait face à son appartement, ne voulant pas être enfermée chez elle à ne rien faire par une si belle journée.
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J1 !
Les premières gaffes (non, ce n'est pas un lever de soleil violet, c'est qu'on peut paramétrer la couleur du hublot ... Vive la technologie, je me suis extasiée 20 min devant cette couleur incroyable !)
Les premiers monuments glanés au fil des pas et au fil de l'eau (petite balade en bateau le long des canaux)
Le premier repas sur place ! (Pad Thai aux crevettes, miam)
Et un repos bien mérité, on est claquées !!
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