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Chacun son Cinéma (2007)
L'unico incontro (Rencontre Unique) - Manoel de Oliveira
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13 : s'adonner à leur passe-temps favori
Lorenz observe son ancêtre, le Brave de la Terre Mettius Gloucester Paenitens dit les Mains Fertiles, exercer son métier : potier.
Nouveau jour, nouvelle paire d'ancêtre et de descendant avec Lorenz qui rencontre son ancêtre Paenitens, qui n'est pas pas exactement comme il l'imaginait.
Paenitens est un homme très calme, très silencieux et consciencieux qui aime par dessus tout travailler tranquillement seul dans son atelier sans qu'on vienne le déranger, tout en étant très fier de son travail qui est également sa passion (sa relation avec sa sorcellerie a une base... compliquée). Il n'y a pas grand-chose qu'il déteste plus que quelqu'un qui viendrait le voir en lui demandant "mais pourquoi tu n'utilises pas tes pouvoirs pour faire tes pots plus vite et plus ?" car, il considère que c'est bâclé le travail et que ces céramiques faites sans efforts n'ont aucune valeur. S'il vous refile une céramique fait comme ça, c'est qu'il veut vous voir dégager de son atelier, s'il ne vous a pas déjà fait dégager en déplaçant la terre sous vos pieds. Il peut être gentil et il aide son village sans souci en rendant les terres plus fertiles mais, il est juste pas très sociable et aime sa tranquillité, même si sa langue se délie assez facilement pour parler métier et technique. C'est ce qui lui a permis de se lier d'amitié avec Indech (il est l'un des deux seuls Braves à avoir rencontré un nabatéen avant la guerre dans ma fanon), ils pouvaient passer beaucoup de temps à travailler ensemble et ils ont fini par devenir amis avec le temps.
Alors, je vous laisse imaginer le contraste décapant avec Lorenz quand ils se rencontrent !
Si de visage (pour la moitié de visage qui reste à Paenitens), ils se ressemblent beaucoup tous les deux, Lorenz est aussi flamboyant, fanfaron et très fier de son rang que Paenitens discret, taiseux et modeste. Il est également très étonné de sa relative pauvreté : les légendes autour de Gloucester ont gardé le fait qu'il soit potier de base, il est même reconnu pour ça et être un excellent peintre, même si c'est assez peu évoqué pour surtout se concentrer sur sa sorcellerie qui a rendu les sols de Gloucester extrêmement fertiles, et Lorenz s'imaginait plus quelqu'un ayant un atelier avec plusieurs petites mains, et lui ne s'occuperait que de la peinture des pièces les plus prestigieuse. Alors se retrouver avec un homme habillé très simplement qui fait tout lui-même dans son coin et qu'il n'a pas d'employé à part une aide chez lui, et qui se définit lui-même comme étant d'abord un potier, un membre de son peuple puis un sorcier... voilà quoi, d'un côté, il est extrêmement fier d'avoir un ancêtre aussi talentueux mais de l'autre, il ne s'attendait clairement pas à ça.
Autre point qui l'étonne, c'est son handicap très lourd. Paenitens boite vraiment, même avec sa canne (qu'il a fait tenir à Lorenz pour éviter qu'elle ne tombe tout le temps), marche difficilement, et a beaucoup de mal à utiliser le côté droit de son corps, qu'il cache constamment sous ses très longs cheveux de sorciers (la coiffure de Lorenz après l'ellipse viendrait également des représentations de son ancêtre qu'il imite).
En fait, ce qui a rendu infirme Paenitens - Ultor à ce moment-là, littéralement "le vengeur" -, c'est qu'il n'a pas suivi les règles de la sorcellerie dont la règle fondamentale est que le sorcier doit toujours payé le prix de sa sorcellerie lui-même, règle qu'il n'a pas suivi lorsqu'un jour, ivre de colère et de vengeance contre "la créature de feu" et trouvant qu'il ne progressait pas assez vite, il a tenté d'utiliser une petite partie de l'énergie vitale d'un animal pour se renforcer lui-même. Dès qu'il a essayé, sa sorcellerie s'est complètement retourné contre lui et au lieu d'ajouter une fierté, elle s'est mise à dévorer son côté droit. Si Kelon (l'ancêtre de Claude, d'une cité voisine, même si c'est deux peuples différents) ne l'avait pas senti et arrivé aussi vite grâce à ses ailes, Paenitens serait mort à cause de sa transgression. En punition, tout son côté droit est à découvert avec quelques morceaux de muscle qui reste mais, c'est surtout un squelette de métal (qui vient d'une fierté pour le coup, ça a renforcé son corps) qui n'a plus beaucoup de force, d'où le fait qu'il est beaucoup de mal à se mouvoir et a besoin d'aide dans sa vie quotidienne (c'est vieux mais, il ressemble au dernier dessin dessin sous la coupe - attention, horreur corporel -). La sorcellerie, c'est dangereux, il faut respecter les règles sinon, elle ne vous ratera pas, ce qu'il a appris à ses dépends.
Il ne vivait que pour sa vengeance à ce moment-là, il voulait se venger de la "créature de feu" qui avait chassé son peuple de sa ville (même s'il oublie assez vite que si elle a fait ça, c'est parce que son peuple a lui a capturé et asservi tous les hommes de son peuple à elle en son absence - car ils ne l'avaient pas écouté mais ça, c'est une histoire pour plus tard - et qu'elle ne les a pas asservis, elle les a "juste" chassés étant donné qu'une fois vaincu après un coup pareil et vu qu'ils cherchent à s'installer, on met à mort les têtes pensantes et on réduit en esclavage tous les autres afin d'avoir de la main d'oeuvre docile, et au lieu de leur voler tout ce qu'ils avaient, elle les a laissés partir avec une grosse partie de leur bétail et de la nourriture pour éviter qu'ils meurent de faim et grand mécontentement de son propre peuple à elle, elle a pris un sacré risque et a surement dû imposer sa décision aux siens au lieu de la voter) et reprendre ses terres mais là, d'un, il se retrouve lourdement handicapé en pouvant à peine marcher correctement, de deux, ses pouvoirs vont nettement moins bien se développer qu'ils ne le devraient après une telle transgression, et pour finir, Kelon lui dit clairement qu'il ne pourra jamais vaincre sa "créature de feu", elle le fera juste fondre avant et elle est bien trop forte pour lui, tout en lui expliquant que dans sa cité, normalement, quand on s'installe quelque part, s'il y a déjà un autre peuple qui habite-là, on le réduit en esclavage une fois vaincu mais, pas l'esclavage antique classique où vous avez un espoir de vous faire libérer, non, là, y a quasi aucun espoir d'être affranchi un jour, on leur inculque bien qu'ils sont inférieurs et juste des serviteurs avec tout un tas de mesure humiliantes et coercitives et pour faire taire ceux qui se plaignent trop fort ou qui ont un caractère trop fort, il y a la cryptie à la fin de l'agoge (entrainement des enfants de citoyens) des meilleurs élèves, où ils doivent tuer des hilotes sans se faire prendre.
Kelon connait très bien cette "créature de feu" alors, il sait qu'elle est contre l'esclavage et encore plus qu'on traite les hilotes de cette manière et que dans la situation où ils étaient tous, ça devait la meilleure des solutions : les chasser en les laissant en vie avec de quoi survivre pendant un moment, et en empêchant les hommes de sa cité ne les poursuivre pour les asservir. On est chez des grecs pour ces deux-là, c'est très dur d'imaginer qu'on puisse avoir des relations d'égal à égal (c'est quand même eux qui ont inventé le concept d'hégémon qui domine tous les autres et est au sommet tout en profitant bien au passage) alors que deux peuples aussi différents puissent se mélanger, même si Kelon et "la créature" peuvent y penser en se disant "on peut peut-être cohabiter sans s'entretuer tout le temps, même si c'est très difficile" sans que l'un puisse asservir l'autre ou l'écraser, c'est quasi impossible pour leurs contemporains, les cités grecques se battaient entre elles pour des arbres coupés au mauvais endroit quand même.
Même eux, on leur dit que dans le futur, des peuples très différents à leur époque vont se retrouver dans le même pays et que leur continent va être divisé en trois territoires dirigés par de grandes familles de manière héréditaire, ce serait limite lunaire (moins pour elle mais quand même, elle trouverait ça profondément stupide de laisser autant de pouvoir à un seul roi sans un deuxième pour qu'ils s'entretuent tous les deux pour avoir la primauté sur l'autre, et sans les éphores pour les réguler et les calmer quand ils font n'importe quoi, et beaucoup plus pour Kelon qui vit dans une démocratie), surtout que les grecs sont très jaloux de leur indépendance. C'est même assez général cette manière de pensée que "on peut se supporter de loin mais, faire des alliances entre peuples très différents les uns des autres, on va pas pousser, on se connait tous assez peu et on est en concurrence pour le territoire, sauf peut-être des alliances militaires pour dégager un voisin un peu trop agressif et encore, c'est vraiment de circonstance et ça ne dure pas" alors, ça ne vient pas tout seul l'idée de cohabitation entre deux peuples, encore plus entre un qui est de culture grec / spartiate et un de culture bien plus celte et gauloise pour celui de Paenitens (c'est par exemple le cas pour Simplex, Pertinax et Laeta, respectivement ancêtre des Blaiddyd, Fraldarius et Dominic qui sont extrêmement proches, ils ont passé des années comme conservi, des compagnons d'esclavage, ont survécu à la servitude ensemble, sont devenus des sorciers ensembles et même mené une révolution qui abolira l'esclavage dans le peuple de Simplex ensemble mais, ils ne se diront jamais "amis" de leur vie jusqu'à la veille de leur mort car, ils savent qu'il y a toujours un risque que leurs peuples entrent en guerre les uns contre les autres et qu'ils ne veulent pas les trahir, même si ça les déchirerait de s'affronter les uns les autres). Ce qui maintient un semblant de paix entre les cités, c'est souvent qu'il y a des sorciers dans l'une des deux et pas dans l'autre, ce qui impose rapidement un rapport de force et qu'en général, les sorciers sont assez sages pour éviter d'utiliser leurs pouvoirs à la guerre histoire de ne pas faire trop de dégâts, même si c'est un équilibre fragile, et quand Némésis passe, puis les adrestiens passent en interdisant la sorcellerie en les pensant complices de Némésis et des agarthans (et tombant dans le piège de ces derniers au passage visant à brûler tout ce qui les a remplacé à la surface, que ce soit les créations de Sothis ou ses "enfants adoptifs"), ça rabat toutes les cartes avec des peuples qui profitent que le sorcier d'à côté meurt à force de ne pas pouvoir s'entrainer pour venir les terres du voisin plus petits et crée un chaos monumental. Enfin bref, revenons à l'histoire de Paenitens quand Kelon lui explique qu'il ne pourra sans doute jamais vaincre son ennemie et que lui-même se rend compte qu'il ne pourra surement pas faire le voyage.
En plus de tout ça, c'est sans compter qu'il va bientôt avoir une nouvelle arrivante dans leur coin : Daphnel, Brave des Vents surnommée par son peuple (d'origine duscurienne, là où Kelon arrive d'Almyra et est de culture grec pour un équivalent dans notre monde, et celui de Paenitens est descendu de Sreng en quête de meilleures terres et poussé par d'autre peuple, et il est d'inspiration gauloise... oui, ça va être compliqué pour s'entendre, surtout qu'aucun des peuples des trois ne parlent la même langue ou une langue proche pour ne pas arranger les choses) "la Bourrasque enragée" quand elle le retrouvera à cause de son tempérament de feu et plutôt sanguin, également bien remontée contre le peuple de Paenitens après que ce dernier ait souvent attaqué son peuple à elle pour capturer des gens et les réduire en esclavage, elle compris, ce qui a poussé son peuple à quitter leurs terres pour arriver sur les futurs terres de Daphnel - et en ayant plus beaucoup de nourriture à emporter vu qu'ils se faisaient piller tout le temps -, et elle adore cette "créature de feu" qui la libérer de sa cage d'esclave et élevée donc, elle ne le laissera pas trop s'approcher ou passer par ses terres. Comment dire qu'au début et pendant un bon moment, c'est compliqué.
Quand ils se rencontrent ces deux-là et qu'ils finissent par apprendre comme ils peuvent la langue de l'autre pour se comprendre un minimum (même si c'est surtout Paenitens qui doit se mettre au grec vu que c'est la langue maternelle de Kelon et que Daphnel le parle couramment aussi, même si c'est un dialecte différent du sien), elle ne lui fera aucun cadeau, encore plus en voyant bien qu'il a utilisé de la magie interdite, et lui mettra bien la tête au fond du plat pour lui rappeler que ouais, niveau esclavagisme et traitement des esclaves, ils étaient particulièrement horribles, même pour l'époque, et les traitaient aussi comme des animaux, ce qui a poussé son peuple à elle à se barrer à force d'être harcelé et pillé, et sa "créature de feu" a eu des problèmes quand elle les a laissé filer ainsi avec de la nourriture vu que normalement, les vivres, tu les gardes jalousement pour toi, et parce que les siens ont trouvé qu'elle s'était comportée en tyran pour avoir décidé pour tout le monde sans consulter personne. Sous le règne du peuple de Paenitens, Daphnel a quand même fini elle-même dans une cage sans nourriture pendant des jours car elle se débattait trop et qu'elle aurait surement fini tuer à cause de ses tentatives de fuite, tant pis si on gaspille la marchandise, on en récupérera toujours d'autres chez les voisins ! Ils ont surtout goutté à leur propre médecine ce jour-là (en légèrement moins pire vu qu'elle les a laissés partir avec une partie de leur réserve), et étrangement, quand on se retrouve de l'autre côté de la barrière, c'est nettement moins confortable. Pour Daphnel, même si elle est d'accord sur le fait que ce soit horrible de se faire chasser de sa maison ainsi - son propre peuple a subi la même chose quand même alors, elle sait à quel point c'est horrible -, au final, ils n'ont fait que subir ce qu'ils ont fait subir aux autres, et c'est pas elle qui va les plaindre pour s'être pris les conséquences de leurs actes en pleine figure, et ils ont évité le pire vu qu'ils auraient pu être tous asservis jusqu'au dernier pour devenir des hilotes.
Alors, après un long moment à réfléchir alors qu'il panse ses blessures et tout ça, même si c'est dur car c'est à quoi il a consacré sa vie pendant tout ce temps, il décide de laisser tomber sa vengeance et de se concentrer sur son peuple. Il se rend compte qu'il a oublié le plus important à cause d'elle et que cela lui a fait faire quelque chose d'atroce car, il ne pensait qu'à ça tout en négligeant son peuple alors qu'il avait besoin de lui, surtout que ses pouvoirs sont bien plus utiles pour aider les autres que pour faire couler encore plus de sang. Il en voudra toujours à cette "créature de feu" et même s'il ne la recroisera jamais de sa vie, ce serait extrêmement tendu s'il la recroise et il la haïra jusqu'à sa mort mais, vu son état et ce que sa soif de vengeance l'a déjà poussé à faire, il préfère se reconcentrer sur son peuple et prend le nom de Paenitens, "qui regrette, qui se repent", pour essayer de réparer toutes ses erreurs, notamment tout ce qui l'a mené à sa transgression.
Il reprend donc son métier de base et devient potier. Il ne s'arrêtera jamais de s'entrainer, autant parce que le jour où il s'arrête, ça le tuera car il a trop de magie en lui pour s'arrêter, mais aussi car il se rend bien compte que sa magie peut aider son peuple. Paenitens maitrise la terre, il fait donc tout ce qu'il peut pour rendre leurs terres les plus fertiles possibles pour qu'ils aient tous ce dont ils ont besoin, et n'ait pas besoin d'avoir recours à de la main d'oeuvre servile en attaquant les voisins. Il se met aussi à voter constamment pour éviter la guerre afin de ne pas recommencer le cycle de violence, surtout qu'avec autant de sorciers puissants, ils risqueraient de transformer leurs terres en enfer à ciel ouvert s'ils s'affrontaient, surtout que même s'il a à peu près le même ��ge que Daphnel, Kelon est bien plus âgé et pourrait sans trop de problème les vaincre s'il donnait tout ce qu'il avait, même s'il ne veut surtout pas en arriver là. Il a une relation très tendue avec sa propre magie, il est quand même devenu sorcier à la base pour se venger, et la moitié droite de son corps lui rappelle sans cesse ce qu'il a osé faire pour ça mais, il arrive petit à petit à mieux l'accepter quand sa magie devient une source d'aide pour les siens plus qu'un outil de mort et de vengeance.
Au moment de sa vie où il en est dans ce dessin où il rencontre Lorenz, plus de trois cents ans se sont écoulé depuis ses évènements et il s'est bien calmé. Il a fini par accepter sa magie et l'utilise toujours pour fertiliser les champs de son peuple (bénédiction toujours présente dans le présent) mais aussi un peu pour s'aider au quotidien avec son handicap. Les relations avec ses voisins sorciers vont un peu mieux, même s'il ne le montre pas trop étant donné qu'on ne sait jamais ce qui peut arriver entre trois cités aussi différentes et que l'ombre d'une possible guerre plane toujours. Il s'est même fait un ami d'un voyageur un peu étrange qui parcourait ce qu'il appelait "Fodlan" pour étudier les techniques artisanales des différents peuples qu'ils croisent, et qui était très intéressé par la sorcellerie, un certain Indech, un gentil artisan très timide et préférant la solitude de son atelier à la foule, comme Paenitens. Ils vont devenir très amis avec le temps, et jusqu'à la fin, Paenitens s'en fera beaucoup pour lui, surtout après que Némésis l'ait vaincu et forcé à boire du sang de la même couleur que celui d'Indech, ayant très peur que ce soit celui de son ami, avant de le retrouver bien plus tard mais malheureusement pour eux, ce sera sur le champ de bataille mais ça, c'est pour plus tard. Là, il peint tranquillement ses pots avec Lorenz qui est d'abord très étonné par sa personnalité et sa manière d'être, puis apprendra à respecter son ancêtre pour qui il est et son talent, même si ça ne correspond pas forcément à l'idée qu'il s'en faisait à la base.
Comme toujours, un point sur le dessin en lui-même :
Pour les motifs des pots de Paenitens, je me suis basé sur cet article et je m'en étais pas rendu compte à la base mais, c'est un article de Robert Périchon qui parle des céramiques du Crêt Chatelard. Alors, Robert Périchon, ça commence à dater mais, c'est solide en général pour tout ce qui est matériel pur, et vous avez une autre raison de passer dans la Loire : voir Crêt Chatelard et ses fouilles gauloises ! C'est incroyable tout ce que les dianistes ont sorti là-bas ! (et aller à la Diana de Montbrison, c'est très intéressant aussi !) Donc, ça tombait bien !
Pour la coupe de ses vêtements, je me suis inspirée des reconstitutions du Parc Samara comme très souvent. J'ai juste débarrasser Paenitens de tout bijou, motif un peu tape à l'oeil, ornement... pour le rendre plus austère, ce qui colle à sa pénitence, il pense qu'il n'a pas à porter des bijoux aussi voyant, et à sa personnalité plus discrète, tout en le mettant en opposition avec Lorenz qui aime tout ce qui est très vif et soigne beaucoup son apparence.
Je l'ai tourné du côté gauche afin qu'on puisse voir son expression (son côté droit est constamment caché par ses cheveux, il ne le montre que pour mettre en garde les gens), ainsi que ses fiertés : sa peau est assez meubles, un peu comme de l'argile, même si elle craquèle à plusieurs endroits à cause des retombés de sa transgression. Même si c'est surtout son côté droit qui est tombé en lambeau, son côté gauche aurait dû subir le même sort si Kelon n'était pas arrivé à temps.
Enfin, ça ne se voie pas beaucoup mais, sa main droite est entouré dans des bandages afin de cacher qu'il n'a plus qu'un squelette de métal (qu'on peut voir dépassé sur son cou et une partie de son nez) et quelques ligaments pour tenir tout ça. Il peut aussi entourer sa main d'une gangue de terre pour mieux cacher ça et pouvoir mieux utiliser sa main droite mais, il le fait rarement, autant pour de nouveau respecter sa punition, mais aussi parce que ça l'épuise.
#fe3h oc drawcember#fe3h oc#dessin de curieuse#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#c'est l'histoire de Brave dont je suis le moins sûre mais j'espère que l'équilibre est respecté...#si vraiment cette histoire là est trop mauvaise ou enlaidit trop les personnages je la changerai#si la plupart des Braves ne se connaissent pas - encore moins tous - ceux qui se connaissent n'ont pas forcément de bonnes relations#le trio de Faerghus s'entend très bien avec Loquax qui est plus à part mais est pacifique alors ça passe...#mais pour Leicester c'est une toute autre histoire et les passifs entre les peuples peuvent être très lourds#il y a de ça à Faerghus même si ça calme mais côté Leicester s'est bien plus vif#et t'as aussi les limitations de l'époque où on peut penser qu'on se supportera les uns les autres surtout en cas de pépin pour tous...#mais finir dans le même pays uni voir pire avec un roi unique... c'est limite le pire des scénarios vu qu'ils perdraient leur indépendance#ce qui est extrêmement important pour eux évidemment surtout vu les différences entre eux#(ils rencontre El dans le présent qui leur dit que c'est SON peuple à ELLE elle va juste se faire attaquer car juste...#...non ! On est indépendant nous ! On a rien à demander à une famille impérial qu'on ne connait même pas !)#Pyrkaïa a pris un gros risque en les laissant partir ainsi vu qu'eux aussi auraient bien pris cette nourriture...#et normalement on ne prend pas une décision seul chez elle- on vote toujours en groupe- seuls les tyrans décident seuls#mais entre ce qu'elle considère les urgences pour son propre peuple et la situation avec ce qu'elle deviendra des hilotes s'ils restent#c'était pas la mieux mais la moins pire des solutions pour tout le monde même si elle déteste ce qu'elle a dû faire#c'est clairement pas une bonne solution mais elle a fait ce qu'elle a pu tout en devant passer en force#et même si les spartiates sont un peuple assez agressif ils vont réussir à se calmer avec elle qui veille au grain et les circonstances#(histoire de ne pas finir comme le peuple d'avant aussi)#Paenitens a évidemment du mal à l'avaler mais il finit par comprendre même s'il la haït toujours#ce serait des relations très compliqué entre eux... même si ironiquement les deux connaissent des nabatéens et s'entendent bien avec eux#et qu'ils aimeraient bien pouvoir s'y rendre un jour... ce serait explosif#Pyrkaïa a même sans doute déjà entendu parler de Paenitens par son mari qui le tient d'Indech#Daphnel a un tempérament très vif mais elle est là pour les têtes dans le plat magistral et pour le coup Paenitens en avait besoin#et de son côté Kelon espère qu'un jour tout le monde s'entendra en pouvant garder ses spécificité#comme il le dit ils sont sorciers c'est les seuls qui savent ce que vivent les uns les autres pendant des siècles
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(via Coussin avec l'œuvre « "Fusion Féline-Hibou" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
#findyourthing#redbubble#félin chouette fusion nature mystère dualité élégance sagesse nuit rencontre impressionnant unique créature sauvage
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The Assembly sees a cast of thirty-five interviewers who are autistic, neurodivergent or learning disabled, question an A-list celebrity for one extraordinary TV interview.
In this half-hour special, it's multi-award-winning actor and director, Michael Sheen, who is to face the grilling of a lifetime from the unique collective. No subject is out of bounds, no question is off the table.
On subjects as diverse as ex-girlfriends and on-screen kisses, to the OBE he gave back or his favourite motorway, how will the Good Omens star fare as The Assembly bring their unique approach to the celebrity interview?
The Assembly cast is a diverse cast ranging in age from eighteen to seventy-seven, amongst the group are musicians, artists, writers and students. Each will take their own approach in their attempt to get to the truth of Michael Sheen like nobody before has- whether that’s finding out his favourite sandwich filling or how he felt when his daughter was born.
The format is an adaptation of French show Les Rencontres Du Papotin, which saw the likes of Emmanuel Macron and Camille Cotin (Call My Agent) face the neurodivergent journalists of the Papotin. Gone was the flattery of the usual celeb fare – in its place, a mix of mischievous prodding, leftfield quizzing and profound exchanges. The superstars left completely off guard: actors asked about a driving ban or the death of a parent, the President asked if it’s really the behaviour of a role model to marry one’s teacher.
The show comes from Michelle Singer and Stu Richards' Rockerdale Studios, creators of mischievous content which seeks to put disabled agency at its heart. Stu is also known for co-creating and writing the BBC Three comedy, Jerk, and Rockerdale are most known for Channel 4’s Mission: Accessible.
Rockerdale Studios has worked closely with the BBC’s Creative Diversity Team, to ensure every element of the series works for and with autistic and neurodivergent voices.
The Assembly is a half-hour special to celebrate Autism Acceptance Week. Expect profound revelation, glorious chaos, and a lot of laughs.
The Assembly airs Friday 5 April, 10:40pm on BBC One and iPlayer
Interview with Michael Sheen
What made you say yes to being a part of The Assembly?
I said yes to being a part of The Assembly because it was just such an extraordinary and interesting idea. Then reading about the original French series, it just sounded so extraordinary, different and potentially a very revealing way to approach the tried and tested interview process, but obviously it is a lot more than just being an interview. The interview part of it is just one aspect of the project and I think there is still a lot of confusion, ignorance and fear around people with any kind of difference. I think being able to be involved in a project like this could maybe break down some of those barriers.
How is this different from any other TV show you’ve been a part of?
It’s very much unfiltered and that’s really exciting and quite nerve wracking for that reason! So much on TV is sort of smoothed out and filtered and made safe and this, certainly in the making of it, felt very not that! All the better and more refreshing for it too. I know a lot of work is put into the research and preparation for a show like this, but in terms of the actual questions being asked and the experience that you have in all being together when you’re filming, it feels very unpredictable in a really good way and really lead by the people taking part, which is terrific.
How did you feel going into filming?
Well I didn’t really have anything to go on, so I was excited. Sometimes when I’m going to be interviewed, I know what the interview is going to be about, I have a vague idea of the questions that will come up, I know the sort of things that I need to get across about what I’m there to talk about. But with this, I really had no idea what I was going to be asked, so I had to be prepared for everything and anything, there was a kind of freedom in that I suppose. Because of the unfiltered nature of what was going to happen and not being able to anticipate what might be asked, it was a little nerve wracking yes, but I was mainly just very excited!
Did your experience differ from what you were expecting and if so how?
Well I didn’t know what to expect really, so it’s not that it wasn’t what I was expecting because you can’t expect anything! There's no way you can expect anything because you just don’t know what’s going to happen, and because it is so unfiltered and unpredictable in terms of what might happen, where things might go, how people might be feeling on the day. For all the difficult questions that got asked at times, it just felt very loving and joyful and that everyone was very happy and excited to be there even though people were nervous or had anxiety at different times. There was a genuine feeling of community and I felt very welcomed into that community and ready to play so to speak, and you have to be ready to play. I felt very safe and looked after and it was just really, very funny as well – there was lots of laughter and wonderful things that people asked, responded to and performed, I mean I wasn’t expecting all of that, that was just wonderful! So many moments that I’ll never forget.
How does this compare to any other interview you’ve experienced?
It’s so unfiltered! The closest thing I can say is The One Show, where you go on to talk about one thing and then they ask you about everything else that’s going on on the show, so you get a question about your favourite bus route, then they ask you about otters! There’s an extraordinary pinball effect of questions and that’s the closest I could describe, but The Assembly is that x100. It really is extraordinary and that’s very unlike any other interview I’ve done really, usually everything is meant to follow on logically and have a kind of smoothness and polish to it, and this is just really raw and unfiltered and uncensored and I love that, I thought that was wonderful.
What can viewers expect from the show?
I imagine it will be very funny and I think quite moving. I was quite moved at times by seeing how much people had to struggle to overcome certain things they were dealing with in order to ask questions at times. That was uplifting. I think it will be different, it will be thought provoking I hope, and challenging in certain ways; challenging certain kinds of myths and stereotypes I think and ultimately just really entertaining and fun and joyful. I can’t really remember what I said, so I don’t know what people will learn about me... but it’s not about me, it’s about that fantastic group of people, but I certainly got a huge amount out of it too and I hope an audience will as well.
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Je mise tout sur mon sourire, transgenre de Belfort
Loin de moi l'idée de rencontrer un mec qui tomberait amoureux de moi en raison de mes fesses ou de ma poitrine. Je suis une femme trans spéciale et unique qui mérite un homme sérieux et attentionné. Je vis présentement sur Belfort, mais je suis prête à bouger puisque c'est trop petit par ici. Je ne veux pas m'emporter, mais je serais prête à vivre à deux avec mon amoureux.
Discuter avec Jess
#trans#rencontre#transgender#celibataires#transisbeautiful#trans woman#france#amour#crossdresser#travestie#belfort
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Les ombres de l'identité - Une histoire de Batman
Gotham City est plongée dans son habituel voile d'obscurité, l'air nocturne est chargé d'une promesse de pluie. Au-dessus des rues de la ville, Batman est perché sur une gargouille, ses yeux scrutant l'horizon à la recherche d'un quelconque signe de danger. Le Bat-Signal l'avait convoqué, et le ton pressant du commissaire Gordon laissait présager quelque chose d'inhabituel.
Lorsque Batman arriva sur le toit du GCPD, Gordon l'accueillit avec une expression sinistre. « Nous avons un nouveau joueur en ville, Batman. Il se fait appeler 'Chimera'. Ils s'en prennent à des personnalités en vue de la ville, laissant derrière eux une traînée de chaos. »
Batman acquiesce, l'esprit déjà en ébullition. « Que savons-nous d'eux ?
« Pas grand-chose, admit Gordon. « Mais il y a quelque chose que vous devriez voir. Il tendit à Batman un dossier contenant des photos et des rapports. Les images montraient un personnage vêtu d'une combinaison sombre et élégante, le visage masqué par un masque. Les rapports détaillent une série d'attaques, chacune méticuleusement planifiée et exécutée.
Batman étudia le dossier, son instinct de détective se réveillant. « Je les trouverai, Gordon. Et je mettrai fin à tout cela. »
En approfondissant l'enquête, Batman découvre que Chimera n'est pas un criminel comme les autres. C'était un maître du déguisement, capable de se fondre dans n'importe quelle foule et d'endosser n'importe quelle identité. Leurs motivations ne sont pas claires, mais leurs actions suggèrent une vendetta personnelle contre l'élite de Gotham.
Une nuit, alors qu'il patrouillait dans la ville, Batman attira l'attention sur une agitation dans un quartier huppé. À son arrivée, il trouve Chimera face à un riche homme d'affaires, la voix calme mais pleine d'intensité.
« Vous pensez pouvoir vous cacher derrière votre richesse et votre pouvoir », dit Chimera, son masque reflétant les lumières de la rue. « Mais vos actes ont des conséquences.
Batman intervint, sa présence attirant l'attention. « Chimera, ça s'arrête maintenant. »
Chimera se tourna vers lui, ses yeux rencontrant les siens à travers le masque. « Batman. Je t'attendais. »
Les deux hommes se livrèrent un combat acharné, leurs mouvements étant un mélange de vitesse et de précision. Chimera était un adversaire redoutable, dont l'agilité et l'habileté égalaient celles de Batman. Batman ne pouvait s'empêcher de remarquer la fluidité des mouvements de Chimera, reflet de leur identité unique.
Dans un moment de vulnérabilité, le masque de Chimère tomba, révélant un visage à la fois familier et inconnu. Batman le reconnut comme étant Alex, un ancien allié disparu depuis des années. Alex s'était transformé pendant leur absence, embrassant sa véritable personnalité en tant que Chimère.
« Alex », dit Batman, la voix remplie d'un mélange de surprise et de compréhension. « Pourquoi fais-tu cela ?
Les yeux d'Alex s'adoucissent, sa détermination est inébranlable. « J'avais besoin de montrer à Gotham que l'identité n'est pas une arme à utiliser contre nous. Je voulais leur faire voir la vérité. »
Batman acquiesça, son respect pour Alex se renforçant. « Il y a de meilleures façons de se battre pour la justice. Laisse-moi t'aider. »
Avec le soutien de Batman, Alex a trouvé une nouvelle voie, utilisant ses compétences pour protéger la ville plutôt que de chercher à se venger. Ensemble, ils s'efforcent de créer une Gotham où chacun peut s'épanouir sans crainte.
Alors que la pluie commence à tomber, Batman et Chimera se tiennent côte à côte, leurs ombres se fondant dans la nuit. Au cœur de Gotham, une nouvelle alliance s'est forgée, fondée sur la compréhension, l'acceptation et l'objectif commun d'un avenir meilleur.
Par Infosphere
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In this half-hour special, it's multi-award-winning actor and director, Michael Sheen, who is to face the grilling of a lifetime from our unique collective: no subject is out of bounds, no question is off the table. Expect chaos, delight, revelation. Anything can happen.
Michael Sheen says: “I was thrilled to be asked to be a guest on The Assembly. It’s such a fresh and exciting idea and I can’t wait for what I’m sure is going to be a surprising and challenging experience. I really don’t know what to expect, which is both exhilarating and a little bit terrifying.”
The format is an adaptation of French show Les Rencontres Du Papotin (a.k.a The A Talks), which launched in 2022 on France 2, and quickly became their most watched unscripted show of the year, and has since been adapted in Spain, Denmark and Poland.
They saw the likes of Emmanuel Macron and Call My Agent’s Camille Cottin, face neurodivergent journalists. Gone was the flattery and junket PR of the usual celeb fare; in its place, a mix of mischievous prodding, leftfield quizzing and profound exchanges. The mantra: ‘no filter’.
The superstars left completely off guard: iconic actors asked about a driving ban or the death of a parent, the President asked if it’s really role model behaviour to marry one’s teacher.
The show comes from Michelle Singer and Stu Richards' Rockerdale Studios, creators of mischievous content which seeks to put disabled agency at its heart. Stu is also known for co-creating and writing the BBC Three comedy, Jerk, and Rockerdale are most known for Channel 4’s Mission: Accessible.
Together with the BBC, Rockerdale has worked with national and local autistic and neurodivergent organisations to ensure every element of the series works for and with autistic and neurodivergent voices.
Kalpna Patel-Knight, BBC’s Head of Entertainment Commissioning says: ”The BBC is delighted to introduce viewers to The Assembly. It’s a feel-good stand out entertainment show unlike anything viewers have seen before. Big thank you to Michael Sheen, for being game on to have a no holds barred interview with the superb interviewers who bring the show to life."
Executive Producers, Stu Richards and Michelle Singer say: "The Assembly has been the most remarkable project that most of us have ever worked on. And sure, it's brilliant representation of a part of society we rarely see given agency on our screens but, far more than that, it's also mischievous, funny, profound, and can turn from one to the other in a heartbeat.”
Stu added, “when we saw the French version of the show it blew my head off, and it's quite a large, cumbersome head so it really takes something impressive."
The Assembly (1 x 30’) is a Rockerdale Studios production for BBC One and iPlayer. Commissioned by Head of Entertainment Commissioning, Kalpna Patel-Knight for BBC One and iPlayer. Led by Clodagh O'Donoghue as Commissioning Editor.
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Hier est déjà du passé
Il y a eu ce gros chat qui, un jour de décembre 2023, m'a suivie d'un bout à l'autre de la rue jusque chez moi. Depuis, lorsque j'approche de son domicile, il miaule et vient à ma rencontre. Nous échangeons un bonjour et quelques caresses (à sens unique, cela dit). Un nouvel ami ?
Il y a eu des émotions d'ordre culturel, au cours de la même semaine, celle du 19 au 25 février 2024. Émotions cinématographiques d'abord, avec le film Sans jamais nous connaître d'Andrew Haigh, belle histoire d'amour et de fantômes sur fond de Pet Shop Boys ou de Frankie Goes To Hollywood. Émotions théâtrales ensuite, avec la pièce Il n'y a pas de Ajar, où planait un autre fantôme, celui d'Émile Ajar, double de Romain Gary, à travers la voix de son fils, Abraham, imaginé par Delphine Horvilleur pour nous questionner sur notre/nos identité(s) ; un spectacle hilarant, émouvant, talentueusement mis en scène et interprété par Johanna Nizard.
youtube
Il y a eu des pensées. Je sais que j'ai pensé à lui. Je crois que j'ai pensé à lui chaque jour sans en avoir conscience. Penser à lui, c'est un peu comme respirer, je le fais sans m'en rendre compte. Est-ce que si j'arrête de penser à lui, j'arrête de vivre ?
Il y a eu des oiseaux. Ces mouettes qui faisaient un boucan d'enfer (qui poussaient des cris d'orfraie ?) alors que je tentais de me concentrer sur ma lecture sur le quai de la gare d'Amiens. Et ces pies occupées à déheuter (verbe picard) la terre des jardins, captivantes à observer.
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Un jeudi 19 juillet, à 8h46, naissait une petite fille au fin fond du Québec, par césarienne (déjà très chiante, tout pour se faire remarquer), j’imagine bien les regrets de ta mère d’avoir voulu un troisième enfant hahahaha.
Une bougie de plus sur ton gâteau et l'occasion pour moi de te rappeler que l’amitié ne connaît ni distance ni limite. Trois années se sont écoulées depuis notre rencontre et ton anniversaire est l’occasion de renforcer ce lien et de célébrer la personne unique en ton genre que tu es, je n’irai pas jusqu’à dire que tu es carolissime..
Bon trêve de de flagornerie, j’ai l’impression qu’il fait de plus en plus chaud vers chez vous...le réchauffement climatique ? Ha non, pardon ! Ce sont les bougies toujours plus nombreuses qui sont fièrement plantées sur ton gâteau d’anniversaire !
Tu as 45 ans et encore presque toutes tes dents...et quelques unes en bonus dans un verre sur ta table de nuit... mais pas de panique Valérie a un bon dentiste qu’elle pourra te recommander hahahaha
45 ans c’est juste 25 ans avec 20 ans d’expérience en plus... et quelques cheveux blancs.
Pis 45 ans finalement c’est pas si vieux c’est juste vintage avec une petite touche de modernité.
En ce jour spécial, je suis impatiente de poursuivre ce voyage entamé ensemble. Tu n’ignores pas que je travaille dans l’immobilier aussi je te propose de reconduire pour trois années supplémentaires cette amitié, avec possibilité de résiliation par chacune des parties, mais l’affection infrangible est la plus forte et je suis donc persuadée qu’on signera plutôt un bail emphytéotique.
Aujourd’hui, tu es la queen ! Que cette journée soit de début d’une nouvelle année remplie de bonheur, de succès, de plein de voyage. Tu mérites tout le bien que la vie peut t’offrir.
Joyeux anniversaire mon amie, bonne fête sisternasse, et aujourd’hui je te fais un bisou car c’est le maximum que tu supportes hahahahaha.
🎂🎁🍻🇨🇦🇫🇷😘
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Quelque chose que j'ai toujours été fière d'avoir et de garder en moi c'est ma vision de l'amour. Au sens large du terme. Bien qu'il y ait eu une rupture, des temps d'errance, des angoisses existentielles, la relation de mes parents qui s'érode, j'ai toujours su faire la part des choses. Tous les schémas existent. L'amour se decline de manière infinie ou en tout cas autant qu'il y a d'être humain présent sur cette planète. Je n'ai jamais cessé d'être profondément convaincue que ce sentiment est rare, qu'il évolue et qu'il peut annihiler beaucoup de choses. J'ai toujours été honnête avec moi et ma manière d'aimer, je sais que je peux aimer énormément, et sur le temps. Je sais que je peux trouver quelqu'un exceptionnel autant de temps qu'il me montre qu'il l'est. Je sais qu'une personne peut me suffire et que je pourrai passer ma vie à la découvrir sans jamais me dire que j'en aurai fait le tour. Je sais que je peux vouloir des projets, des choses précises, intimes avec quelqu'un sans pour autant savoir si je saurais les calquer sur quelqu'un d'autre si je venais à perdre cette personne. Je sais que l'amour que je peux donner est unique et spécifique. Je sais que je n'aurai jamais de place pour avoir plusieurs amours comme ça en même temps, autrement dit, je sais que je ne pourrai jamais concevoir de relation ouverte et c'est pas grave. Je sais que je suis capable de ne voir qu'une personne et seulement elle, pas dans le sens obsédant du terme mais suffisant. Le couple, et surtout sa fin n'est plus quelque chose qui m'angoisse au point d'y penser chaque jour. Je sais que ce n'est pas grave de ne plus aimer et surtout être aimée. Mais j'ai la sensation foudroyante que je serai en capacité d'aimer une même personne toute une vie et pas uniquement parce que je suis habituée à l'aimer. Je sais aussi que la majorité des gens ne sont pas prêts à être aimé toute une vie. Car ça fait peur maintenant d'aimer bien une seule personne quand tu sais que tu pourrais aimer mal plusieurs autres personnes. C'est un aspect qualitatif que je me sais personnel et rare mais qui me rassure. Ce n'est pas le cas de tout le monde. C'est pas un défaut pour autant. Mais je ne pense pas un jour me lever, après des années de couple, et me dire que je regrette de n'avoir aimé qu'une personne pendant toutes ces années (si la relation et la personne en valent le coup évidemment). Je sais aussi que je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui avait cette vision des choses. Ça ne me fait plus peur. J'attire juste mon attention sur le fait que je me crois être capable de me dévouer émotionnellement et amoureusement à la même personne sur un temps indéfini. Je sais que je rencontrerai des gens qui partiront pour ça précisément, pour cette appréhension de l'amour vrai et durable. Cette peur de se dire que même si on a vécu des belles années avec quelqu'un, on aurait pu rencontrer et avoir tellement de vies entre temps. Je pense seulement que si on pense à toutes les vies qu'on s'empêche d'avoir pour chaque infime choix qu'on fait, alors c'est là que les regrets naîtront. Ils naîtront de l'indécision et de la frustration de se dire qu'au fond, le meilleur peut-être partout. C'est vrai. Le pire aussi. Est-ce vraiment la recherche constante du meilleur qui nous satisfait ou le maintien du bon ?
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Pensée du soir.
Je n'ai jamais vraiment aimer les gens, l'être humain en général je veux dire. Pas qu'il soit déplaisant à regarder, ça non, il y'a une grande beauté dans ces être là. Je dirai plutôt que cette beauté disparaît instantanément lorsqu'ils ouvrent la bouche.
La méchanceté qui se dégage de ses personnages m'en est devenu un insupportable. Les critiques, les opinions de chacun, et Vas-y que je te donne mon avis qui est sûrement le meilleur à qui veut l'entendre et qu'importe les conséquences je m'en fiche parce que moi, le grand Moi sait tout et mieux que tout le monde et dans tout les domaines.
Je me suis toujours demander pourquoi j'étais si bien seule et si je l'étais réellement. J'ai qu'une amie depuis toujours et ça c'est une chance. Rencontrer à 6 ans et 20 ans plus tard nous sommes toujours là et c'est tout. Sociabiliser ? Uniquement lorsque c'est nécessaire et ça me demande un effort énorme. Les gens déçoivent, trahissent, manipulent, mentent, blessent, heurtent et certain y prennent meme du plaisir. Je n'aime pas les gens. Est ce un constat définitif ? J'ai l'impression. Depuis le burn out ou les abus étaient sans limite tout à changer il y a eu l'avant et l'après.
Je n'étais deja pas très amicale avant, je suis une coquille vide maintenant. Plus personne ne rentre. Est ce la cause à effet ? De cette dépression si tordue et si douloureuse ? Aucune idée. Est ce que je déteste les gens en général ou c'est juste moi que je déteste le plus et que ma propre compagnie m'est également insupportable ?
Je déteste les gens et je me déteste aussi. Voilà la vérité.
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Plagier des idées.
(Je bloque les reblog de ce poste, néanmoins, on peut discuter en commentaires tant que c'est dans le respect.) Je vous préviens, les dramas sont interdits suite à ce poste. Je ne veux aucun buzz, aucun déchaînement, juste qu'on lise ce que j'ai à dire sur le sujet.
Ça fait 15 ans pratiquement que je fais du rpg et 22 que je graph. Ces mots que je pose ici, ça n'est jamais arrivé. Je tiens bien à le souligner, que vous vous rendiez bien compte. Je n'ai jamais posté ce genre de messages, affirmé ce que je vais affirmer. Je le précise par prévention pour toutes formes de Gaslighting potentiel. (Je vais clairement pas avoir la patience pour ça.) J'ai toujours laissé le bénéfice du doute (Bon en vrai j'estime que les gens n'ont en général aucun intérêt à s'inspirer de mon taf dans tous les cas, l'herbe est plus verte ailleurs) et, en toute franchise, je suis persuadée que moi-même, inconsciemment et avec ce fichu mécanisme d'adaptation, j'ai déjà sûrement involontairement reproduit des trucs. C'est un peu ma hantise personnelle car on a beau me dire que mon style et reconnaissable et unique, il n'en reste pas moins que je suis humaine, neuroA et qu'on se laisse tous-tes influencer par notre quotidien, ce qu'on voit et ce qui nous fait vibrer. Et parfois, on se trouve juste à avoir des goûts très similaires ou à choisir les mêmes types d'identité graphique. C'est comme ça, ça arrive. Ça fait même de belles rencontres, parfois.
Pourtant, il y a quelques mois, je me suis rendu compte qu'on m'avait plagié une idée. Certes, pas révolutionnaire, sûrement déjà utilisée dans d'autres domaines que les avatars 400x640, mais une idée chouette que j'étais hyper contente d'avoir réussi à mettre en place. Et contente de vous l'avoir montré. Je ne dirais pas quelle idée, je ne dirais pas quelle personne. (Et merci de ne pas me demander, de ne pas chercher, de ne pas faire je ne-sais-quoi sans mon consentement. Je ne tolère aucune forme de harcèlement.) Ce que je partage ici, c'est assez difficile comme ça. J'ai peur d'en parler alors même que je sais être légit. Mais on sait tous-tes que ce sujet - tabou partout dans le rpg et surtout dans le graphisme - déchaîne les passions. J'ai toujours voulu en rester très très loin de mon côté.
Et je le répète, je n'ai jamais affirmé une telle chose en plus d'une décennie de RPG. En deux, dans le graphisme. Les inspirations ici et là, ça arrive à tout le monde. J'en ai déjà parlé dans un poste sur l'art, d'ailleurs. Ici, c'est surtout dans la manière dont les choses se sont déroulés. Le timing, le combo, le tout. J'ai même eu beaucoup de mal à grapher durant quelques semaines après cette découverte. J'ai attendu très très longtemps avant d'écrire ce poste, j'ai sincèrement pris le temps de la réflexion pour ne rien écrire à chaud. Et parfois encore, mon manque de confiance me chuchote que je me suis fait des idées. Que c'est moi, et donc, complètement illogique. Mais ce soir, je lui colle une baffe, à ce moi belliqueux.
Honnêtement, que ça soit le cas ou pas, il n'y a qu'une conclusion à ça pour moi : Si vous voulez vraiment et volontairement reprendre une idée, que c'est complètement conscient, gros comme une verrue sur un pif, dites-le ? Si c'est inconscient, ça arrive ! Mais tout le processus ici fait que ça me paraît vraiment, vraiment improbable.
Citer une personne en mention, juste pour dire 'Voilà, je me suis volontairement inspiré-e d'untel-le', ça ne mange pas de pain et en vrai, ça fait même plaisir. C'est même pas honteux tant que la personne en face est d'accord avec ça. Si iel vous dit 'Écoute, je suis flâtté-e mais pas à l'aise avec ça', et bien vous aurez tenté et vous saurez que ça ne sera plus possible avec iel.
Ce poste va dormir, le temps que je me décide et que je sache si oui ou non, je vais le publier.
Si je vois que ça part en vrille, je supprimerais ce poste !
En attendant j'espère que vous passez un super été, et courage à celleux qui bossent sous cette chaleur. Hydratez-vous !
Edit : J'ai clairement attendu assez longtemps. Décidé de ne rien poster et puis, je ne sais pas, ce soir, je me dis que je suis légitime. Mais aussi que c'est normal d'être en rogne dans ce genre de situation et de taper un peu du poing. J'essaie juste de le faire de manière utile et constructive. J'espère que ce poste peut aider. Je me dis qu'il faut souligner certaines choses, mettre les points sur les i, parfois. Je déteste ça. Mais je n'arrive toujours pas à passer outre. Vraiment pas. Je ne prétend rien changer. Mais j'ai besoin de le dire "à voix haute'.
Bonne soirée,
Swan.
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Je souhaite que vous alliez bien à tous ! Je vous souhaite de doux et beaux moments, de petits et grands bonheurs, de rencontres d'âmes, de mots de réconfort dans les moments de détresse, que vous ayez des amis qui vous font sourire pour des bêtises, qui vous racontent des blagues bêtes, qu'ils ne manquent pas d'espoir et beaucoup dans leurs rêves, que chaque nouveau jour soit reçu comme un beau cadeau emballé dans des nœuds ruban bleu ou sur du papier soie rose aussi doux qu'un nuage, par une belle journée d'été. Je souhaite aussi que vous ayez beaucoup de patience et de sagesse pour faire face à ce que vous ne comprenez pas ou ne jugez pas injuste, et pourtant que votre façon de regarder les autres s'accompagne de douceur et de compassion, et que les autres les voient de la même façon. Je souhaite du fond de mon cœur que vous voyez qu'il y a de la beauté et une énorme portion d'amour dans chaque acte de bonté, aussi petit soit-il ! Et n'oubliez jamais que la poésie de la vie, c'est pouvoir faire et souhaiter aux autres ce que l'on désire, et faire pour soi-même ! De toute façon, mon souhait pour vous est que : le chemin que vous devez parcourir, dans ce voyage appelé vie, soit abondamment illuminé et guidé par ce qu'il y a de mieux dans vos cœurs, et ne manquez jamais de courage pour faire de chaque jour une opportunité unique d'être aussi heureux que possible !! Tout ça c'est parce que je les aime tellement !
Nubia Lima
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** suite de l'imagine sur Brando**
La nuit tombait sur Rome
enveloppant la ville dans une atmosphère de mystère et de sensualité. T/P le cœur battant la chamade, se trouvait à nouveau en présence de Brando. Ils étaient montés sur la terrasse d'un immeuble abandonné, dominant les rues animées en contrebas. Le vent chaud de lété caressait leur peau, ajoutant une tension électrique à l'air déjà chargé de désir.
Brando se rapprocha lentement, ses yeux sombres fixés sur elle. "Je savais que tu ne pourrais pas résister," murmura-t-il, sa voix grave résonnant comme une promesse interdite.
Immédiatement, ses pensées embrouillées par la proximité de son corps, par ce mélange enivrant de danger et d'attraction. Elle sentait chaque fibre de son être vibrer sous le regard intense de Brando.
"Peut-être que c'est toi qui ne pouvais pas résister," répliqua-t-elle finalement, défiant l'arrogance de Brando par un sourire provocateur
Sans avertissement, il l'attira brusquement contre lui, leurs lèvres se rencontrant dans un baiser féroce et passionné. La chaleur de son corps contre le sien, la force de ses mains sur sa taille, tout semblait irréel, comme si le monde entier avait cessé d'exister, ne laissant qu'eux deux, consumés par un désir irrésistible
Leurs baisers devinrent plus urgents, leurs mains explorant avidement chaque centimètre de leur peau. Brando, toujours maître de lui-même, poussa T/P contre le mur de la terrasse, sa respiration lourde dans son oreille. "Tu sais que tu joues avec le feu, n'est-ce pas?" murmura-t-il, ses lèvres effleurant son cou.
"Et toi, tu crois que je vais me brûler?" répondit-elle, sa voix tremblant d'excitation.
"Je sais que tu le veux," dit-il en glissant une main sous son chemisier, ses doigts caressant sa peau brûlante
T/P gémit doucement, ses mains agrippant les cheveux de Brando l'attirant encore ~''s près. "Peut-être que je veux plus que ça"
Souffla-t-elle.
Brando sourit contre sa peau, son regard s'embrasant de désir. "Je peux te donner tout ce que tu veux," dit-il avant de la soulever dans ses bras et de l'emmener à l'intérieur du bâtiment, dans une pièce à l'abandon,.
I|s tombèrent sur un vieux matelas, leurs corps enchevêtrés, la passion les consumant. Les vêtements volèrent, leurs respirations se mêlèrent, et bientôt, ils ne furent plus qu'une seule entité, mouvante et haletante, en quête d'un plaisir inégalé.
Brando, toujours dominant, prit le contrôle, ses mouvements précis et déterminés, tandis que T/P
s'abandonnait complètement, perdue dans la chaleur et l'extase de l'instant. Chaques gémissement, chaques soupire dans la pièce témoignant de la tension que faisait ressentir Rome et sa nouvelle arrivante.
Alors qu'ils reprenaient leur souffle allongés côte à côte sur le matelas délabré, Brando tourna la tête vers T/P un sourire satisfait aux lèvres, 'Je t'avais dit que Rome pouvait te dévorer. N
T/P, le regard encore brillant de passion, répondit avec un sourire tout aussi provocateur. "Peut-être que j'aime être dévorée."
Brando éclata de rire, la tirant contre lui. "Tu es vraiment une fille unique, T/P. Peut-être que Rome n'a jamais rencontré quelqu'un comme toi."
Et tandis que la nuit avançait enveloppant leur liaison interdite dans un voile de mystère et de désir, ils savaient tout les deux qu'ils avaient franchis une ligne. Une ligne
Qui rendait leur relation encore plus dangereuse et remplie de tension.
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“ Savoir qu'on regarde pour la dernière fois une chose qu'on a aimé rend cette chose unique, d'une tristesse et d'une beauté infinie”
- Laurence Tardieu
“The minute I heard my first love story, I started looking for you, not knowing how blind that was. Lovers don't finally meet somewhere. They're in each other all along.”
Dès l'instant où j'ai entendu ma première histoire d'amour, Je suis parti à ta recherche, sans comprendre à quel point j'étais aveugle. Les vrais amants ne finissent pas par se rencontrer quelque part. Chacun abritait l'autre dans son cœur depuis le début."
-Mawlana Jalal-al-Din Rumi, The Illuminated Rumi
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Welcome to my Tumblr, where ABDL art intertwines with glimpses into my life as a French individual. Sharing both my artistic creations and personal anecdotes, dive into a unique realm where artistic expression and life's moments converge. Explore, engage, and discover the richness of ABDL through my perspective.
Bienvenue sur mon Tumblr, où l'art ABDL rencontre les moments de ma vie en tant que Français. Partageant mes créations artistiques tout en dévoilant des anecdotes personnelles, plongez dans un univers unique où l'expression artistique et les tranches de vie se rencontrent. Explorez, partagez et découvrez la richesse de l'ABDL à travers mes yeux
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