#reggie la fleur
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I have revived an ancient splatoon oc. This is Reggie! He is a man o' war. Chill college dude/older brother type. His father is Jel La Fleur (either he looks like mom or is adopted... havent decided yet.) and his dad hates how he dresses so so much.
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More Babes!!! Their honest to god only here cause i wanted a plague doctor oc and then bought the squishable plague doctor and plague nurse and I fucking love these plushies more then life itself and realized plague doctor lady needed a wife. This is Fleur and Jackie respectively I love Fleur’s design more then life itself and probably will draw her with her actual outfit at some point in the future I drew these two back in november
#My oc#My art#digital art#angel oc#demon oc#I'm sorry i draw noses very unreliably#my art skills for drawing noses left to get milk and hasn't come back#Oc: Jackie#Oc: Jacqueline De La Croix#Oc: Fleur#Oc: Fleurine Chapelle#Reggie's Payday RPverse#Reggie's Hellions#Reggie's Angels#Technically? Payday 2 oc#reggie's art
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Dear professor [10]
/Univers alternatif non magique\
Sorry, I'm not fluent enought for writing this in english, hope some people will still enjoy it ♥ Nombre de mots : 3181
Remus attendait, sans réel espoir, et les journées étaient affreusement longues. Lundi, ça avait été. C’était sa journée la plus remplie, et il n’avait pas trop pensé à la lettre, puisqu’elle venait seulement d’être envoyée. Harry était venu, comme à son habitude, et apparemment, Sirius lui avait épargné les détails de leur dispute, si on pouvait appeler ça une dispute, car l’adolescent était toujours aussi souriant et bavard qu’à son habitude.
Mardi, il avait commencé à se demander si Sirius avait reçu sa lettre. S’il l’avait lu. Mais c’était encore supportable. Il avait été s’occuper des serres du château avec le professeur de botanique, et même si ça lui avait un peu trop fait penser au brun, ça lui avait également changé les idées.
Mercredi, il commençait à tourner en rond. Il n’avait aucune nouvelle, mais il songea que la poste avait peut-être un peu de retard. Ça ne serait pas très étonnant. Il avait failli craquer, tenter de l’appeler ou lui laisser un message, mais il s’était ravisé au dernier moment. Il devait le laisser venir vers lui de lui-même, s’il le voulait.
Jeudi, ça commençait à devenir réellement insoutenable. Parce que sa lettre avait dû arriver, c’était presque certain, et que Sirius ne lui donnait aucun signe de vie. Remus avait fondu en larmes devant le dernier bouquet qu’il lui avait envoyé, dont les fleurs commençaient à faner, et il se sentait atrocement idiot.
Et à présent, la semaine arrivait à sa fin, et il s’était levé sans aucune envie. Il avait regardé son portable machinalement, pour n’y voir absolument aucun message, sans très grande surprise.
La matinée s’était déroulée calmement, presque trop, et vers midi, son portable avait vibré dans sa poche. Remus avait hésité à regarder, mais ça n’était pas vraiment ce qu’il attendait.
«(Inconnu) C’est Regulus. J’ai acheté un portable. Donc… Je pensais que je pourrais prendre de tes nouvelles directement. Je voulais t’appeler, mais tu dois être occupé j’imagine. Comment ça va ? -11h49»
Remus avait presque honte d’avouer qu’il était déçu. Évidemment, ça lui faisait plaisir de pouvoir discuter avec Regulus plus simplement. Mais ça n’était pas de lui qu’il attendait un message, et la fausse joie qu’il avait ressentit donnait un peu un goût amer à son message.
Il se demanda une seconde comment le brun avait pu avoir son numéro, avant de se souvenir qu’il lui avait donné dans une lettre, quelques mois plus tôt, dans le cas où il aurait droit à un appel. Ça n’avait pas été le cas d’ailleurs.
Remus le renomma rapidement avant de lui répondre, abandonnant le livre qu’il avait sous les yeux une minute. Il cherchait quel genre de passage de la littérature du XVIème siècle il pourrait faire étudier à ses élèves de dernière année, et ça n’était pas vraiment pressant.
«Salut Reg’. Je vais bien, et toi ? Tu réussis à te servir de ton téléphone, ou tu vas avoir besoin de cours ? -11h52»
«(Reggie) Ça va, j’ai enfin récupéré mes comptes, et j’en ai profité pour aménager un peu mieux l’appartement. Tu devrais venir à l’occasion, j’aurai sûrement besoin d’aide avec quelques nouveaux trucs. Et… J’ai vu Sirius. Il est venu pour discuter. -11h53»
Remus savait que c’était mal, mais il ne put s’empêcher de ressentir une jalousie sourde à son égard. Parce que Sirius était allé le voir, comme ça, et qu’il ne prenait même pas la peine de lui envoyer un ridicule message.
Il la fit taire rapidement, parce que c’était totalement déplacé d’être jaloux de son ami parce que son frère voulait renouer le contact avec lui, et parce qu’en réalité, il était même plus qu’heureux pour lui.
«Je trouverai un moment pour passer te voir. Ça s’est bien passé ? -11h54»
«(Reggie) On a… Beaucoup parlé. Il m’a posé des questions, sur Peter. Et sur toi aussi. Je lui ai dit la vérité. -11h55»
«Et… Il est venu te voir quand ? -11h57»
«(Reggie) Mercredi. Vous n’avez toujours pas parlé ? -11h58»
«Non. Mais je suis content que vous ayez pu discuter tranquillement, ça a dû te faire du bien Reggie. -11h59»
«(Reggie) C’était agréable oui. Je pense que ça va prendre du temps avant qu’on ne redevienne vraiment proches, mais c’est un bon début. -12h01»
Remus ne savait pas exactement ce qu’il ressentait. Le fait que Sirius et Regulus se retrouvent lui faisait vraiment plaisir. Ils avaient été plus que proches par le passé. Mais le fait que Sirius continue de l’ignorer, alors que pour lui poser des question à propos de Peter maintenant, ça signifiait sans doute qu’il avait eu sa lettre, ça le faisait bouillonner.
«J’espère vraiment que ça se passera bien pour vous deux, il était temps que vous renouiez. Je dois y aller Reggie, mais je te préviens s’il y a du nouveau d’accord ? -12h04»
Il se dirigea vers la grande salle pour le déjeuner, décidant de ne pas retourner à ses appartements pour se retrouver à ressasser ses pensées, et ce fut sans doute une bonne idée. Il parvint à se détendre un peu, à penser à autre chose, et il attaqua l’après-midi avec un peu plus de bonne humeur.
Il n’avait toujours aucune nouvelle de Sirius lorsque les cours se terminèrent et qu’Harry débarqua dans son bureau. Remus commençait réellement à se dire que, peut-être, il n’en aurait plus aucune.
- Bonjour Remus, s’était exclamé Harry en se laissant tomber dans le fauteuil en face du sien, comme à son habitude. Vous avez l’air épuisé.
La constatation le fit grimacer, et il se contenta de soupirer légèrement.
- Je n’ai pas très bien dormi, c’est tout. La prochaine sortie sportive arrive lundi, comment tu te sens à ce propos ?
- Je suis super impatient ! Olivier est stressé, il dit qu’on doit à tout prix gagner le tournois cette fois-ci et qu’après ça, on sera en tête. Il nous torture à l’entraînement, lança-t-il avec une grimace plus amusée qu’autre chose. Mais c’est pas important. Vous avez votre rendez-vous avec Sirius demain, reprit-il tranquillement. C’est ça qui vous empêche de dormir ?
Remus sentit son estomac se tordre désagréablement, et il maudit légèrement ses anciens amis pour avoir eu un fils aussi curieux. Il n’y avait plus de rendez-vous qui tenait. Ils n’avaient même pas échangé un mot depuis près d’une semaine.
Mais il ne pouvait pas exactement le dire à Harry. Parce que ce dernier se montrerait bien trop curieux. Et d’un autre côté, ça ne lui plaisait absolument pas de lui mentir.
- Il n’y a plus… Pour le moment, le rendez-vous est annulé, répondit-il prudemment en essayant de trouver une excuse qui ne pousserait pas l’adolescent à poser plus de questions. J’imagine que c’est juste repoussé pour le moment.
Le froncement de sourcils du petit brun, et son air songeur ne lui plurent pas vraiment, mais il se contenta de hocher un peu la tête en attrapant un chocolat sur son bureau.
- Hm, c’est Sirius qui a annulé ?
- Qu’est-ce qui te fait penser ça ? demanda-t-il sans comprendre son cheminement de pensées.
- Vous auriez pas de problèmes pour dormir, si c’était vous qui l’aviez décidé, expliqua-t-il comme si c’était évident. Et puis, ça ressemble bien à mon parrain, d’annuler quelque chose au dernier moment.
Harry commençait déjà à sortir ses affaires pour se pencher sur ses devoirs, et Remus se mordit l’intérieur de la joue pour ne rien ajouter, se forçant à se concentrer sur ses copies. Il préférait encore le silence à une discussion sur Sirius.
Parce que ça ne lui ressemblait pas non, d’annuler quelque chose à la dernière minute. Pas avec lui. Et parce que ça n’avait pas vraiment été lui, que ça n’avait même pas été dit explicitement, et que ça ne datait clairement pas de la veille. Mais Remus se tut, et tenta de travailler.
Ça n’était pas aisé, pas alors que ses pensées étaient totalement dispersées, alors qu’Harry venait de lui rappeler que s’il n’avait pas tout gâché encore une fois, à la même heure le lendemain, il serait en train de conduire pour rejoindre Sirius dans ce bar où ils passaient toutes leurs soirées lorsqu’ils étaient plus jeunes. Et qu’à présent, la seule chose qu’il ferait, c’était y songé, et c’était pathétique.
Remus tenta d’ignorer la colère sourde qui se formait au creux de son ventre lorsqu’il songeait au fait que Sirius avait été voir Regulus, qu’ils avaient discuté, qu’il lui avait laissé une chance de s’expliquer à lui. Et il se détestait, d’être en colère pour quelques jours de silence, alors qu’il l’avait abandonné pendant quinze ans.
Harry finit par partir dîner, après quelques banalités échangées de plus, notamment sur la sortie qui arrivait et qui le rendait plus que fébrile.
Lui, il se sentait presque nauséeux, et il sauta le repas pour se réfugier dans ses appartements. Son regard se posa sur le bouquet de fleurs, posé sur la petite table du salon, et il se sentit soudainement las. Las d’attendre, sans savoir s’il allait recevoir un quelconque signe de sa part, et las de se rendre malade pour ça.
Les fleurs, complètement fanées à présent, terminèrent dans la poubelle, son cœur se serrant un peu à l’idée que ce stupide vase n’avait jamais été vide depuis les premières qu’il avait reçu. Il rangea le vase dans un placard, histoire de ne plus l’avoir sous les yeux, et il attrapa le recueil de poésie que Sirius lui avait envoyé pendant les vacances, se résignant à le glisser parmi les autres livres qui remplissaient les étagères.
Ça lui ferait sans doute du bien, de ne plus l’avoir sous les yeux. Remus discuta un peu avec Regulus, et ça lui fit sans doute un peu de bien, parce qu’après une bonne douche brûlante, il parvint à s’endormir sans trop de problème.
☼☼☼☼☼☼☼☼☼☼☼
Lorsqu’il ouvrit les yeux ce matin-là, après que son réveil ne l’ait tiré du sommeil, Sirius se rendit compte qu’il n’avait clairement pas assez dormi.
Il ne dormait pas assez depuis une semaine, et d’ailleurs, Lily ne s’était pas privée de lui faire remarquer ses cernes en se moquant gentiment. Lorsqu’elle lui avait demandé si c’était parce qu’il passait ses nuits à parler avec Remus, il avait grogné une réponse inintelligible et esquivé le sujet habillement.
Il ne savait pas quoi faire, avec Remus. Alors pour le moment, il l’ignorait du mieux possible, et évidemment, il n’en avait pas parlé à la rouquine. Pour lui dire quoi, de toute manière ? Qu’il avait trouvé Remus chez son frère en voulant essayer de lui parler, et qu’il avait piqué une des crises stupides dont il avait le secret ? Pour lui parler de la lettre que Remus lui avait envoyé, et de tout ce qu’elle impliquait ?
Il avait préféré se taire, et ça n’était peut-être pas une si bonne idée. Parce qu’évidemment, Lily n’était pas stupide. Et évidemment, elle avait bien remarqué qu’il n’était plus aussi enjoué que ces derniers mois.
Sirius se traîna hors du lit, fit un détour par la salle de bain attenante à sa chambre, et finit par descendre, pour trouver la femme de son meilleur ami devant une tasse de café, et une pile de pancakes encore chauds.
- Alors ? demanda-t-elle en s’attirant un regard interrogateur. Ton rendez-vous de ce soir idiot. Ne me dis pas que tu as oublié.
Il lui sembla qu’une boule de plomb venait de s’échouer dans son estomac, et il se força à sourire en se préparant un café. Il n’allait certainement pas partir ce soir pour aller errer en ville et revenir tard, seulement pour lui faire penser qu’il était allé à ce fichu rendez-vous. N’est-ce pas ?
C’était une solution qu’il envisageait de plus en plus, alors que l’idée de tout lui raconter l’angoissait plus que tout. Elle allait sans aucun doute lui faire la morale pendant de longues minutes, et il n’avait pas besoin de ça avant d’aller travailler.
- Non, bien sûr que non je n’ai pas oublié Lils, répondit-il sobrement en s’installant en face d’elle.
Il n’en rajouta pas plus, s’attirant un regard suspicieux, mais Lily ne posa pas plus de questions. Heureusement que James n’était pas là, pensa-t-il furtivement. Il aurait comprit directement, et il ne l’aurait pas lâché jusqu’à avoir le fin mot de cette histoire.
Et Sirius pensait être tiré d’affaire pour l’instant, alors que le portable de la rousse sonnait et qu’elle décrochait avec un “Eh mon grand” qui signifiait qu’Harry avait encore quelque chose à raconter.
Ils discutèrent un moment, sans doute de ses notes vu la montagne d’éloges que sa mère lui fit, puis elle lui tendit le téléphone en mimant qu’il voulait lui parler. Rien d’étrange jusque-là, c’était le même manège à chaque fois.
- Salut loupiot, s’exclama-t-il joyeusement en faisant grogner l’adolescent. Qu’est-ce que tu as à me raconter ? C’est à propos de la prochaine sortie, tu veux que je t’accompagne ? Tu sais que les délais sont un peu courts maintenant et…
- Non, le coupa-t-il sans attendre. C’est à propos de Remus. Pourquoi tu as annulé ?
Sirius resta un instant bouche-bée devant l’insolence du gamin, avant de se rappeler qu’il en était en partie responsable.
- Je n’ai pas, commença-t-il avant d’envoyer un regard à Lily. Comment est-ce que tu peux être au courant de ça ?
- Je suis au courant de tellement de choses que tu ne sais pas, répondit-il avec un ton sarcastique qui le fit presque grogner. Alors, pourquoi ? Je croyais que tu l’aimais bien.
Il n’aurait jamais dû s’impliquer autant dans l’éducation d’Harry, les retombées étaient catastrophiques. Enfin, en général, elles étaient amusantes, parce qu’il était très rarement la cible de ses interrogatoires. Il trouvait ça beaucoup plus agaçant à présent.
- C’est clairement quelque chose qui ne te regarde pas loupiot.
- Ouais, renifla-t-il à l’autre bout du fil. Ça me regardait vachement plus quand t’en parlais à longueur de journée pendant les vacances. Vous vous êtes disputés ?
- Mais pourquoi est-ce que vous avez tous l’air aussi préoccupés par ma vie privée ? explosa-t-il en haussant le ton et en s’attirant un regard surpris de la part de Lily. Ça ne regarde que moi, sérieusement, vous êtes vraiment chiants avec vos questions.
Sirius abandonna le portable sur la table, vidant son café d’une gorgée et disparaissant de la cuisine sans faire attention au fait que Lily voulait dire quelque chose. C’était clairement hypocrite de sa part, parce que c’était vrai, il les avait ennuyé toutes les vacances en parlant d’à quel point il était heureux de pouvoir reparler avec Remus, et d’à quel point il était impatient de le revoir enfin.
Et encore plus quand ce rendez-vous avait été conclu, Lily avait dû supporter de l’entendre rêvasser à longueur de journée. Et c’était normal à présent qu’ils lui posent des questions. Et c’était vraiment, vraiment, ridicule de sa part de s’énerver pour quelque chose dont ils n’étaient même pas au courant et qui ne les concernait absolument pas.
Sirius le savait, mais la colère était largement plus forte que la raison, et il attrapa sa veste pour partir à la boutique, même si l’heure d’ouverture n’était pas encore arrivée. La veste que Remus lui avait offert, avec la lettre qu’il lui avait envoyée à présent complètement froissée dans la poche.
Il l’avait lu, et relu, encore et encore, avant de prendre la décision d’aller voir son frère. Même si, concrètement, il ignorait encore s’il avait digéré ce qu’il avait lu. Il y avait eu quelques cris, quelques pleurs aussi, et beaucoup, beaucoup de discussions.
Regulus lui avait confirmé que oui, Remus était avec lui lorsque c’était arrivé, et que oui, Peter l’avait blessé avant qu’il ne fasse quoi que ce soit. Et même en sachant parfaitement ce qu’il s’était passé avant ça, même en sachant parfaitement que Peter aurait finit par faire bien pire, il était plus que soulagé d’apprendre que son frère ne l’avait pas tué sans raison. Et un peu plus amer à l’idée que Remus lui avait menti encore une fois, en prétextant s’être blessé tout bêtement.
Et avoir la confirmation que non, il ne s’était jamais rien passé entre son frère et lui, et que non, ça n’avait jamais été ne serait-ce que pensé par Regulus, ça lui fit également le plus grand bien.
Au final, cette visite avait été bénéfique, mais Sirius ne savait toujours pas quoi faire avec Remus. Il s’était demandé s’il le détestait, et la réponse était évidente. Il en était incapable. Même après qu’il soit parti, alors qu’il avait cru tout perdre à ce moment-là. Il lui en avait voulu, évidemment, mais il ne l’avait jamais détesté. Et il ne l’aurait sans doute pas fait non plus, même s’il se passait quelque chose entre son frère et lui. Bon sang, même si Remus lui avait avoué que c’était lui le meurtrier, il ne serait pas parvenu à le détester.
Mais Sirius ignorait s’il était capable de lui faire vraiment confiance de nouveau. Et l’avoir vu chez Regulus de cette façon, s’être rendu compte au final qu’il y avait tellement de choses qu’il ignorait, ça lui avait fait prendre conscience de tout ça. Du fait que finalement, il ne le connaissait pas aussi bien qu’il le pensait. Du fait qu’il avait raté quinze ans de sa vie, et que Remus n’était peut-être plus celui qu’il avait connu.
Et à présent, il était perdu, et il avait l’impression que tout le monde lui mettait la pression et attendait quelque chose de lui. Sauf Remus. Remus était resté silencieux depuis cette lettre, et Sirius ne savait pas ce qu’il avait espéré.
Il l’avait repoussé, il ne lui avait donné aucun signe de vie. Est-ce qu’il était en droit d’attendre quelque chose de plus ? Non. Clairement pas. Et pourtant, il était certain qu’au moindre nouveau message, il craquerait de nouveau. Parce que peu importe ce que Remus avait dit dans sa lettre, ça s’appliquait à lui aussi. Il était incapable de faire sans lui.
Et Sirius ne voulait pas avoir à prendre cette décision. C’était affreusement lâche de sa part, et il en avait conscience. Mais s’il se laissait juste porter, s’il laissait Remus revenir vers lui et qu’il cédait, ça lui donnait l’impression qu’il ne pourrait pas s’en vouloir si les choses tournaient mal.
Il ne pouvait pas vraiment faire ça, parce qu’il commençait à se dire qu’il était probable que Remus ne revienne pas vers lui, qu’il attende un signe de sa part également. Et il voulait des réponses également, il voulait être certain qu’il n’y avait plus de secrets, qu’ils pouvaient repartir sur des bases plus saines.
Et Sirius eu besoin de tout son courage pour sortir son portable et taper seulement quelques mots, après avoir prit un peu de temps pour s’occuper de la boutique avant l’ouverture.
«Il faut qu’on parle Remus. -7h46»
Il n’était même pas certain qu’il aurait une réponse, peut-être qu’il allait simplement ignorer son message. Ou peut-être qu’il allait lui dire qu’ils n’avaient rien à se dire. Mais c’était samedi, et il était encore tôt, alors Sirius décida de patienter un peu, avant de commencer à se faire des films. Heureusement qu’il travaillait aujourd’hui, ça l’aiderait à penser un peu à autre chose qu’à l’erreur qu’il venait peut-être de faire.
Vous pouvez aussi retrouver l'histoire ici : Fanfiction.net : ★ Wattpad : ★ AO3 : ★
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Chapitre 2|Ana Cooper [FR]
Chapitre II
Lorsque j'arrivai chez Pop's, je me dirigeais vers la table habituelle où JugJug et moi avions l'habitude d'occuper. Il était comme toujours entrain de taper sur son ordinateur, une assiette de frites et un hamburger à moitié manger étaient poser à côté de lui. Je m'assis et je pus constater que Tate Pop m'avait déjà servi milkshake framboise chantilly. Je lui glissai le bouillon de ma préface. Il se déconnectait les yeux de son écran et lis mon écrit, je vis qu'au fur et à mesure qu'il avançait dans sa lecture il se mit à froncer.
« - Comment peux-tu assurer que c'est un meurtre alors que l'on parle encore d'accident ?
- Je l'ai simplement sous-entendu.
- Tu l'as plus que sous-entendu.
- Écoute, je déteste les livres, les films et les séries d'ados, mais la plupart du temps lorsqu'un jeune disparaît il réapparaît mort quelque temps plus tard. Étant donné que Jason est roux tu peux multiplier par deux les chances qu'il soit mort, car les roux sont toujours pris pour cible, me demande pas pourquoi. Ensuite, il est le futur dirigeant de l'entreprise familiale et à une sœur jumelle qui s'appelle littéralement Cerise Fleur, fois deux. Pour finir, il faisait partie de pratiquement tous les clubs au lycée, était populaire et aimé, fois trois.
- Certes c'est tout à fait plausible si on était dans un film ou une série stupide que les ados regardent sur Netflix.
- Qui te dit que ce n'est pas le cas ?
- Sérieusement Ana ?!
- Ok ! J'exagère un peu. »
Quelques minutes passèrent alors que je buvais mon milkshake, Jug se remit à taper :
« - As-tu récemment parlé à ton père ?
-Non et je ne veux pas. J'ai été assez clair.
-Jug... Je sais que c'est compliqué mais tu dors au Drive-in ! Ton père a besoin de toi !
-Ne t'inquiète pas pour ça l'alcool et les serpents s'occupent très bien de lui. » Je connaissais Jughead depuis longtemps et malgré tous ses efforts pour montrer de l'indifférence à la situation de son père... De sa famille, ses yeux criaient à l'aide, et la tristesse marque son visage. La sonnerie de mon téléphone brisa le silence :
« - Allo ? Betty
-Anne, Archie et moi allons nous balader à la rivière il te demande si tu veux venir .
- Non Betty, j'ai bien compris la nature de cette balade, et puis trainer à l'endroit où Jason a disparu... Non merci ! Et je t'ai déjà dit de ne pas m'appeler Anne, je déteste.
-D'accord super tu pourras prévenir maman ? Merci...
-Je rêve où elle vient littéralement de me raccrocher au nez ?! »
Jug étouffa un rire. Je finis mon milkshake paya, et dit au revoir à Jugy après lui avoir promis d'écouter de près ma mère si jamais elle apprenait quelque chose.
L'été était presque fini et j'allais enfin pouvoir retrouver tous mes défouloirs tels que le sport, Kevin mon compagnon de galère, Chuck alias Frappé sur ma gueule, Reggie mon grand frère et n'oublions pas Midge ma meilleure amie.
Trois jours avant la rentrée... Voilà ce que je me répète depuis que je me suis réveillé. Je n'avais aucun projet pour aujourd'hui. Je regardai l'heure qu'indiquait mon réveil : 16h20. Je repensai au repas de midi avec Jug où je l'avais vu triste et me pleuré, son manque de sa famille réunit. À ce moment, là j'eus une idée, je mis un coupe vent par-dessus mon pull qui recouvrer ma chemise, fit un chignon en désordre, mit mes bottes en cuir et mes guêtres et partit pour Southside.
#riverdale serpents#riverdale cheryl#riverdale southside#riverdale#betty cooper#jughead jones#fp jones#jason blossom#murder#thecwshows#alice cooper#archie andrews#archie comics#kevin keller#veronica lodge
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Listado de residentes
Aquí encontraras un listado especifico (listado de cupos) de residentes / ciudadanos que se han registrado y conviven en nuestra gran ciudad de Nueva York, dividido en jerarquía económica en base de las clases sociales de cada uno ; de más importantes a menos y agrupaciones sociales que conviven en una misma ciudad.
❍ Revisa y consulta los cupos disponibles para saber cual puedes reservar / ocupar.
❍ Los que tienen los espacios en blanco son personajes de propia elección del consumidor ; los que están rellenado / registrados esta lista no pueden ser cambiados porque son personajes del rp. Acordaros de preguntar antes de reservar.
❍❍ Ciudadanos individuales y familias de clase alta
❍❍❍ Individuales
Cupo 1 ⎯⎯ Eleanor Henstridge
Cupo 2 ⎯⎯ Genevieve Crown
Cupo 3 ⎯⎯ X
Cupo 4 ⎯⎯ Devorah M. Fairchild
Cupo 5 ⎯⎯ Andrew Middleton
Cupo 6 ⎯⎯ Evangeline Wright Quinn
❍❍❍ Familias ; Miembros individuales de cada familia
Cupo 1 ⎯⎯ Caritine Atwell
Cupo 2 ⎯⎯ Robert Atwell
Cupo 3 ⎯⎯ Charlotte Tremanie
Cupo 4 ⎯⎯ Davina Tremanie
Cupo 5 ⎯⎯ Anabelle Tremanie
Cupo 6 ⎯⎯ Patrick Grafton
Cupo 7 ⎯⎯ Pierce Grafton
Cupo 8 ⎯⎯ Ailenna Lambert
Cupo 9 ⎯⎯ Andreas MacLeod
Cupo 10 ⎯⎯ Crystal MacLeod
Cupo 11 ⎯⎯ Christopher MacLeod
Cupo 12 ⎯⎯ Olympia Nofolk
Cupo 13 ⎯⎯ Jonathan Nofolk
Cupo 14 ⎯⎯ ¿? Norfolk ⎯⎯ 25 años
Cupo 15 ⎯⎯ ¿? Norfolk ⎯⎯ 20/21 años
Cupo 16 ⎯⎯ ¿? Norfolk ⎯⎯ 17 años
Cupo 17 ⎯⎯ ¿? Norfolk ⎯⎯ 15 años
Cupo 18 ⎯⎯ ¿? Norfolk ⎯⎯ 15 años
Cupo 19 ⎯⎯ ¿? Norfolk ⎯⎯ 12 años
Cupo 20 ⎯⎯ ¿? Norfolk ⎯⎯ 11 años
❍❍ Agrupaciones de ciudadanos
❍❍❍ Red Riding Ladies
Cupo 1 ⎯⎯ Owner 1 ⎯⎯ Primrose
Cupo 2 ⎯⎯ Owner 2 ⎯⎯ Fleur
Cupo 3 ⎯⎯ Owner 3 ⎯⎯ Magnolia (Ocupada)
Cupo 4 ⎯⎯ Miembro 1 ⎯⎯ April
Cupo 5 ⎯⎯ Miembro 2 ⎯⎯ Rose
Cupo 6 ⎯⎯ Miembro 3 ⎯⎯ Jazmín
Cupo 7 ⎯⎯ Miembro 4 ⎯⎯ Violette (Ocupada)
Cupo 8 ⎯⎯ Miembro 5 ⎯⎯ Poppy
Cupo 9 ⎯⎯ Miembro 6 ⎯⎯ Iris
Cupo 10 ⎯⎯ Miembro 7 ⎯⎯ Daisy
❍❍❍ The Dark Grimms
Cupo 1 ⎯⎯
Cupo 2 ⎯⎯
Cupo 3 ⎯⎯
Cupo 4 ⎯⎯
Cupo 5 ⎯⎯
Cupo 6 ⎯⎯
Cupo 7 ⎯⎯
Cupo 8 ⎯⎯
Cupo 9 ⎯⎯
Cupo 10 ⎯⎯
❍❍ The Crazy Wolves
Cupo 1 ⎯⎯ Owner ⎯⎯ Edward (Ted Wilde) Fitzherbert
Cupo 2 ⎯⎯ Miembro 1 ⎯⎯
Cupo 3 ⎯⎯ Miembro 2 ⎯⎯ Savage Brother 1
Cupo 4 ⎯⎯ Miembro 3 ⎯⎯ Savage Brother 2
Cupo 5 ⎯⎯ Miembro 4 ⎯⎯
Cupo 6 ⎯⎯ Miembro 5 ⎯⎯
Cupo 7 ⎯⎯ Miembro 6 ⎯⎯
Cupo 8 ⎯⎯ Miembro 7 ⎯⎯
Cupo 9 ⎯⎯ Miembro 8 ⎯⎯
Cupo 10 ⎯⎯ Miembro 9 ⎯⎯
❍❍ Ciudadanos individuales y familias de clase media / baja
❍❍❍ Individuales / Familiares
Cupo 1 ⎯⎯ Selina Wright
Cupo 2 ⎯⎯ Rachel Crown
Cupo 3 ⎯⎯ Anthony Forest
Cupo 4 ⎯⎯ Aura Davis
Cupo 5 ⎯⎯ (Doctora)
Cupo 6 ⎯⎯ (Psicóloga)
Cupo 7 ⎯⎯ (Integradora Social)
Cupo 8 ⎯⎯ Josèfine Green
Cupo 9 ⎯⎯ Wilhelmina Green
❍❍ Ciudadanos individuales y familias de clase baja
❍❍❍ Individuales
Cupo 1 ⎯⎯ Celeste Mitford
Cupo 2 ⎯⎯ Eugene (Flyn Rider) Fitzherbert (Ocupado)
Cupo 3 ⎯⎯ (Trabajador Obra)
Cupo 4 ⎯⎯ (Trabajador Obra)
Cupo 5 ⎯⎯ (Trabajador Obra)
Cupo 6 ⎯⎯ (Trabajador Obra)
Cupo 7 ⎯⎯ (Trabajador Obra)
Cupo 8 ⎯⎯ (Trabajador Obra)
Cupo 9 ⎯⎯ (Trabajador Obra)
Cupo 10 ⎯⎯ Melanie ( Melania Rider) Price
Cupo 11 ⎯⎯ “Goldilocks” (Ocupada)
❍❍❍ Familias ; Miembros individuales de cada familia
Cupo 1 ⎯⎯ Mason Petterson
Cupo 2 ⎯⎯ Noah Petterson
Cupo 3 ⎯⎯ Reggie Petterson (Ocupado)
Cupo 4 ⎯⎯ Isabelle Greene
Cupo 5 ⎯⎯ Jack Greene
Cupo 6 ⎯⎯ Brenda Tenney
Cupo 7 ⎯⎯ Fritz Tenney
Cupo 8 ⎯⎯ Patrick Tenney
Cupo 9 ⎯⎯ Gisele Smith
Cupo 10 ⎯⎯ Henry Smith
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JOYEUX ANNIVERSAIRE ALIX '' TIT '' PASCAL. GUITARISTE, CHEF D'ORCHESTRE, ARRANGEUR. LES AS DE PÉTION-VILLE - IBO COMBO - AYIZAN - HAITIAN BELLS. UNE LÉGENDE DE LA MUSIQUE HAÏTIENNE. BIOGRAPHIE. Pianiste, guitariste, percussionniste, choriste, Alix semble être la conscience culturelle de sa génération. Une analyse succincte de ses exploits dans le domaine de la musique nous pousse à croire qu'il est le pont qui relie le Jazz Des Jeunes aux jeunes musiciens qu'aujourd'hui exécutent ou interprètent des mélodies du genre "Racines" colorées par de synthétiseurs. Né en Haiti le 25 Février 1947, son premier instrument est le tambour, puis, il apprit le clavier, la guitare, instrument avec lequel il a séduit brunes et griffonnes. Troubadour, produit du mouvement 'yeye', Tit débute avec Les As De Petion Ville en 1963 et en 1964, on l'observe avec l'Orchestre Ibo Lele avec lequel il la mesure 1/5, un compas un peu compliqué. Son solo de guitare dans "La Vie Musicien", adaptation d'une mélodie étrangère par le chanteur, André Romain, arrangement de Serge Simpson, constitue l'un des premiers jalons posés par Tit dans le monde de la musique commerciale haïtienne. Avec ses amis du groupe Ibo Combo, il a gravé sur disque "Créole Musette et Fleur D'Amour", deux compositions de Herby Widmaier. Sur ce même album figure aussi une version Bossa Méringue de Choucoune, la célèbre mélodie de Mauleart Monthon et Adeline, une composition de François Guignard, deux exemples typiques de la vraie méringue haïtienne (TamTam ST 102). Après son accident en 1967, il abandonne le clavier et rentré à New York. Il choisit la guitare acoustique en 1968 pour délivrer ses messages et profite de travailler avec Charles Davis, Buster Williams, Andrew Cyril ect. Avec la chorale Haitian Bells, il fît ses premières expériences du Vaudou Jazz, aux cotés de Kiki Wrainwright, Joachim Levy et Raymond Dussèque. Ils ont tous voulu harmoniser, moderniser nos chants, tout en conservant leurs couleurs locales (ILP101). Son handicape ne l'empêche point de s'amuser. En 1971, assise sur sa chaise roulante, je l'ai vu danser "Alle Lave" avec une payse au night club, Canne A Sucre, autour du couple, un périmètre s'est formé et avec toute la foule, Tit et sa suite y dansaient. En 1975, Alix joignit le prestige musical au prestige socio-politique en interprétant avec Atis Endepandan des ballades de combat. Ils ont imprimé sur disque Kamarad, Ki sa poun fe et Dodinen, chansons qui peuvent être considérer comme étant le prélude au mouvement du genre "Racines". Excellent arrangeur, quand il cessa d'arranger les sélections de Tabou Combo, les structures harmoniques n'étaient plus les mêmes et Tabou a connu des heures sombres. Par ailleurs, le disque titré, Tabou Combo L'indestructible publie par Mini Records en 1976 (MRS1056), porte l' estampille de Tit. En 1978 , avec sa guitare acoustique, Alix Pascal nous offre, Déterminations, un album en solo dans lequel, il évoque la sombre fraîcheur de Manhattan et de Pétion-Ville endormies, les insondables merveilles de la mémoire du coeur et l'humour romantique des jets d'eau de la Cité de l'exposition (AMNS4-1 ). Casséus choisit le mais pour chanter la misère de son peuple, Tit, lui, fît option du nom d' Ayizan, son groupe musical en 1984, pour conscientiser ses frères de combat. Aux cotés de Fefe Etienne, Alix ambroise, Myriam augustin, Louis Célestin, Tit publie Ayizan - Dilijans (AZ2000). Ayisan, l'emblême de pureté, le palmiste qui symbolise la puissance et la liberté, l'emblème d'éternité et de conscientisation . Nap travay di Poun fome yon sosyiete Kote tout moun santi Yo se moun o Alix Pascal est comme Michel Desgrottes qui l'a vu grandir un musicien qui possède une profondeur de sentiments extraordinaires. Est ce pour cela que sa vision du monde musical est loin d'être limiter. Pendant ses heures de loisir, il écoute avec des oreilles critiques les oeuvres d'autres guitaristes. Il médite sur les travaux de West Montgomery, Charlie Christian, et Frantz Casséus. On comprend pourquoi que dans l'interprétation de Choucoune, toute la tendresse, la souplesse et la majesté de Frantz Casséus y sont dépistées. Probablement, si Tit n'avait pas crée Ayizan, nous n'aurions sans doute pas connu Sakad, Boukman Expérience, Ram, Djakout et Bouikan Guinen qui obtint le quatrième prix de chansons à Paris en 1993. A t-il donné un second souffle à la musique paysanne? Adrien B. Berthaud Alix Pascal: #guitarist, #composer, #arranger extraordinaire, popularly known as "Tit Pascal", born in the town of Petion-Ville, Haiti on February 25, 1947. Inherent in Alix's music is a strong rhythmic sense with the essence of Vodou drumming from his beloved homeland of Haiti. Alix has performed throughout the world and has worked with artists like Charles Davis, Cecil Payne, Reggie Workman, Andrew Cyrille, Buster Williams, George Coleman, Hilton Ruiz, Mario Rivera and others." http://www.cdbaby.com/m/cd/alixtitpascal IBO COMBO Port-au-Prince, Ouest, Haiti #alixpascal #titpascal #ibocombo #Ayiti #ayizan #haitianbells #Vodoujazz #HAITI☆LEGENDS #haitilegends www.facebook.com/groups/haitilegends #iamgabrisan @iamgabrisan
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