#recommandations nazes
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Le booktok et le bookinstagrm est puant : entre l’entre soit et le manque de suggestions et de diversités en tout genre. Cet endroit est aussi misérable que le repaire des influenceurs manga qui ne connaissent que 3 MANGAS et font des partenariats douteux.
#frenchbooktok#booktokfrance#instagram#bookinstagram#manga#mauvais influenceurs#recommandations nazes#toujours les mêmes trucs
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hello Imane j'espère que tu vas bien! Je vais bientôt à Bruxelles et j'aimerais savoir si tu connais des cafés et restos (halal ou végé) sympas et pas trop cher. Aussi, est-ce qu'il y a un quartier en particulier que je devrais visiter? C'est pas ma 1ère fois à Bxl mais y a pas mal de choses que j'ai pas pu voir pendant mon 1er voyage. Merci d'avance 7biba 💕
salut!! j’ai un million de recommendations à offrir en matière de restos et cafés lol mais je vais essayer de me limiter. les options halal seront marquées avec un * et pour le reste il y aura toujours des options végé/poisson/fruits de mer:
burgers:
buffalo burger*
baogo (je recommande le prawn katsu)
h&k’s*
green mango
les super filles du tram
restos:
le 167*
l’altruiste*
la parenthèse*
old boy
maharaja tandoori*
pasta divina
nona (pour leur pizza napolitaine)
bo zin*
makifornia*
cafés (note: ces cafés offrent aussi des repas)
kafei (je recommande les fluffy pancakes)
sel & miel*
café cappuccino* (super bonnes gaufres moins chères que dans les attrapes touristes)
crème
belga & co
velvet peck
via via (en fait le menu est naze mais il y a des jeux de société si tu t’ennuies lol)
pour les quartiers à visiter je te conseille de faire un parcours à pied de la grande place vers l’avenue louise en passant par le mont des arts, la place royale et la place poelart! ça va te permettre de voir pleins d’endroits emblématiques de la ville comme le parc royal, les musées principaux (musée des beaux-arts, musée magritte) et bénéficier d’un panoramique de la ville sur la place poelart. la rue neuve et l’avenue louise sont les deux rues commerçantes principales mais si tu cherches un truc plus “ethnique” c’est du côté de la rue de brabant et la chaussée de gand (c’est pas glamour mais tu peux y trouver de chouettes trucs). perso le docks est mon centre commercial préféré mais faut avoir la motivation d’aller jusque là lol. pareil pour le pavillon chinois et la tour japonaise, c’est en dehors du circuit touristique mais ça vaut le coup d’oeil! si tu viens cet été, tu pourras visiter le palais royal donc n’hésite pas à vérifier si ta date de visite coïncide avec la date d’ouverture. voilà c’est ce qui me vient à l’esprit maintenant mais si tu cherches des attractions/visites/quartiers en particulier n’hésite pas à revenir vers moi. j’espère que tu vas bien aimer ta seconde visite inshAllah!!
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THE BARBARIANS (1987) Les “Barbarian Brothers”: version sympathico-débile et plus cool que les frères McNamara, le combo formé par les jumeaux Peter et David Paul est un grand oublié du cinéma de genre: à ne pas négliger pour tout fan de nanar amusant, THE BARBARIANS est l’un des exemples les plus “abordables” pour se familiariser avec ces musculeuses figures à l’autodérision assumée: les gaillards n’ont pas à rougir face à leurs homologues de l’époque, leur CV allant d’apparitions dans K-2000 (1982-1986) avec “The Hoff” à une scène supprimée dans NATURAL BORN KILLERS (1994) avec un jeune Robert Downey Jr., sans oublier de figurer au casting de D.C. CAB (1983) signé Joel Schumacher. Les frères Paul ont également tenu l’affiche dans les comédies familiales nanardesques DOUBLE TROUBLE (1992) et TWIN SITTERS (1994): les Barbarian Brothers -que je vous recommande-, c’est naze, mais on kiffe, de par cette empathie envers ces acteurs de seconde zone bodybuildés et huilés, qui en font des tonnes pour nous régaler, à faire les idiots à chaque opportunité. THE BARBARIANS est un film de Ruggero Deodato, le réalisateur derrière son plus célèbre long-métrage, l’historique CANNIBAL HOLOCAUST (1980): rien à voir ici avec le cannibalisme, on est dans du pur univers “sword and sorcery” low-cost à la CONAN THE BARBARIAN (1982). Un changement radical classifiant l’oeuvre de Deodato dans la case “OVNI de carrière” incompréhensible. Petit budget pour THE BARBARIANS, avec son histoire de jumeaux orphelins -qui ne se nomment pas Peter et David contrairement à d’habitude, contexte fantasy oblige- séparés dans leur enfance, réduits à l’esclavage et promis à une grande destinée. Face aux héros Kroutchek et Gore (!) qui se retrouvent et s’allient une fois adultes, le grand méchant Kadar, vilain sorcier antagoniste ayant capturé leur reine. THE BARBARIANS fait la part belle aux répliques insensées, improbables: l’image des frères Paul imitant à l’unisson un cochon qui grouine fait d’abord halluciner, puis rire, tant cette aberrance d’utilisation du comique de répétition est assumée -et ressentie- pendant le visionnage. Ils sont couillons, les Paul... s’infiltrer dans la demeure de l’ennemi mais prendre le temps de se taper ses servantes pendant qu’il dort... N’importe quoi, mais c’est génial de stupidité. Détenteur d’une V.F. aux proportions de doublage imbécile conséquentes, THE BARBARIANS est une valeur sûre, avec ses effets spéciaux datés -le dragon “boss final” est raté au point d’exploser de rire lors de son apparition-, et surtout Richard Lynch -Kadar-, en roue libre totale dans son rôle de bad guy sauvage et cruel. Notons la présence comme toujours sympathique de Michael Berryman, l’acteur profitant de sa présence pour incarner un sbire fouetteur d’esclaves en lâchant des cris d’animaux. En parlant de son, l’entêtant thème principal du soundtrack composé par Pino Donaggio ne vous quittera plus après avoir vu THE BARBARIANS: 100% eighties, kitsch autant que réussie. Princesse à délivrer, ennemis en armure à éclater, sorcière manipulatrice à déjouer... les éléments stéréotypés du genre sont là, en mode discount, faisant de THE BARBARIANS un nanar incontournable, et idéal pour approcher les frères Paul, “potes d’écran” instantanés pour le spectateur, qui en redemandera une fois après y avoir goûté. Trouvable en dvd d’occase à moins d’un euro, n’hésitez pas à investir sur THE BARBARIANS, nanar “classique” stimulant les zygomatiques. Achète! CONANAR /20
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Nine Inch Nails - Not The Actual Events
L'un des cadeaux les plus surprenants que 2016 a foutu sous le sapin cette année, c'est un nouvel EP de Nine Inch Nails. Pas si surprenant, en fait : Trent Reznor avait prévu début 2016 que de la nouvelle musique de Nine Inch Nails sortirait dans l'année, et le groupe n'avait rien sorti depuis 2013, année de la sortie d'un Hesitation Marks vaguement relou. Et après une année 2016 que Reznor a vraisemblablement passé à se gratter les noix, le voilà qui débarque, quelques jours avant Noël, en forme de cadeau de Hanoucca pour ses millions d’aficionados. Mais du coup, il vaut quoi, cet EP?
Précisons d'abord que, même si j'assure qu'il n'y a absolument rien à jeter dans le Nine Inch Nails des années 90 et que quelques disques des années 2000 me font vraiment de l'effet, voilà pas mal d'années que Reznor me laisse complétement froid, que ce soit dans Nine Inch Nails (Un The Slip très naze, l'ennuyeux projet Ghosts...) ou avec Atticus Ross (sérieux, j'adore Gone Girl et The Social Network, je les ai même vus plusieurs fois, mais je suis incapable de me rappeler ne serait-ce que d'une seconde de leur B.O). J'avais donc fini par me persuader qu'il n'y avait plus rien à attendre de Reznor et ses gros bras. Or ce nouvel EP, même si il présente un intérêt relativement limité, me rassure énormément.
Dès le premier morceau ("Branches/Bones"), en effet, on retrouve un Nine Inch Nails qu'on avait plus ou moins perdu, avec son romantisme crade, ses percussions acérées, ses murs de bruits tout pétés. Et même si je suis resté un peu perplexe à la première écoute du format court, je commence vraiment à me faire à ces nouveaux morceaux : c'est bien produit, c'est viscéral sans (trop) partir dans l'auto-caricature, bref, on est parfois carrément emballés par la machine Nine Inch Nails, peut-être pas autant qu'on l'était par le passé, mais rien que pour "The Idea Of You" et son refrain qui brise des gueules, je suis très heureux que cet EP existe.
Bon, on va pas non plus s'emballer, il y a encore des tics un peu désagréables sur cet EP, à commencer par un "Dear World," complètement insuffisant, dans la droite lignée des compositions les plus gênantes du milieu des années 2000 (tu m'entends, "Me I'm Not"?). Et puis en général, même si l'EP est particulièrement rentre-dedans, on ressent encore carrément la patte du Trent Reznor faussement ambient, ce qui fait que "She's Gone Away" et "Burning Bright (Field On Fire)", malgré quelques bonnes idées, sonnent tout de même un peu creux.
Enfin, je l'ai déjà dit, je reste plutôt satisfait par ce nouvel EP, qui reste plus que recommandable pour l'amateur de Nine Inch Nails qui veut se mettre sous la dent des amuses-gueules pour 2017. Et oui, je dis amuses-gueule, car Nine Inch Nails ne vas pas s'arrêter en si bon chemin : deux "grosses sorties" sont promises par Trent Reznor cette année, et l'américain musculeux (oui, je fais une fixette sur ses muscles stéroïdés) a déjà annoncé une énorme réédition de The Fragile avec des inédits. Pour l'instant, clouons du bois.
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Expedition Canyons
On se fout une pression maximum pour découvrir les moults paysages de cette nature XXL qui entoure San Francisco. Tous les potes autour de nous enchainent les roadtrips sur le route 1 le long de la cote, la forêt des séquoias géants, les montagnes peuplées d’ours de Yosemite, un tour en bateau pour voir les baleines à Monterey, partir skier �� Tahoe, des weekends dégustation dans la Sonoma, ... Quand on est expatrié on vit l’instant comme s’il n’allait pas durer, donc c’est la course aux explorations.
Je partage l’un d��entre elles, façon guide pratique: LES CANYONS DU FAR WEST en 4-5 jours, entre l’Arizona et l’Utah.
Etape 1: un vol de SFO à Las Vegas, avec Virgin America. Si vous pouvez éviter Las Vegas, faites-le. Surtout si vous êtes avec des enfants. J’avais l’infime espoir de me dire que ce serait “rigolo” (oui ca m’arrive de dire ce mot loin de mon pays), et en fait c’est juste écoeurant: le son (musique ultra naze en haut-parleurs), les odeurs (d’huile de mauvaises frites + clopes) et le principe même du Strip est une experience qu’on peut s’éviter. Ca commence mal tu me diras, mais la suite est top.
Etape 2: louer un gros SUV bien confortable parce que la voiture est une seconde peau pour les prochains jours. Bon plan chez Enterprise à l’aéroport de Las Vegas.
Etape 3: Le Las-Vegas-sympa c’est le quartier des antiquaires, à une sortie d’autoroute du strip sur South Main Street. Les rues sont larges avec des murs recouverts de graffitis collector, de motels, des boutiques de mobilier vintage et des fripperies stylées. Petit-déjeuner classique chez Makers and Finders, urban coffee bar, avec une déco cool et une ambiance sympa.
Etape 4: on trace la route direction le Lac Powell, 4 heures en voiture depuis Las Vegas. Les vues sont magnifiques avec des canyons de part et d’autre, on traverse le Zion Park. A noter: il y a un décalage horaire d’1 heure qui se fait à mi-chemin en passant dans l’Utah. Stop lunch au Rocking V Cafe dans le village de Kanab, plutôt bon et ambiance saloon.
Etape 5: gros dodo, je recommande l’hotel Marriott Courtyard Lake Powell à Page village. La déco est un peu marron-fleurs-orange mais il est super confortable et bien placé pour tout visiter. Il y a une piscine ouverte à partir de mars, et un restaurant bien et bon dans l’hotel.
Etape 6: les visites autour de Page.
HORSE SHOE BEND - à 10 minutes de l’hotel, on se gare et on marche vers un immense canyon en forme de fer à cheval où coule une rivière. C’est magnifique et terrifiant pour ceux qui ont le vertige car il n’y a aucune barrière ou quoi que ce soit pour protéger d’une chute dans le vide - cela n’effleure pas les bêtes d’Instagram qui posent à l’orée du précipice en position de yoga... Ce qui est sympa c’est qu’on marche tout seul, sans guide, et c’est juste beau et spectaculaire.
ANTELOPE CANYON - à 15 minutes de l’hotel, cette fois c’est un guide qui nous emmène en 4x4, pour $40/pers. La visite dure 1 heure et c’est très encadré. On suit le guide au garde à vous dans un sillon ultra serré du canyon et il prend lui meme les photos avec nos Iphones pour capter le bon angle du puit de lumière en forme de coeur...cela rompt un peu le charme mais on repart avec un album de photos lunaires.
MONUMENT VALLEY - C’est LE décor de far west, on se croirait dans une scène avec John Wayne ou une bulle de Lucky Luke. Le parc est à 2 heures de route de Page, l’entrée coûte $20 et on se balade en voiture sur une route en terre rouge pleine de trous géants.
GOULDING’S VILLAGE - Cela vaut le cout de s’arrêter juste en face pour visiter le premier bureau de poste construit par le couple Goulding dans les années 20 et la reconstitution de leur appartement à l’étage. L’occasion de déjeuner dans un typique american dinner et de faire un tour dans la boutique de souvenirs (je me suis trouvée une paire de mocassins Minnetonka, l’idée de m’acheter une paire de pompes dans le d��sert m’a épatée).
LAKE POWELL - j’adore les lacs et celui là est magnifique, sillonnant entre les canyons couleur pastel. La prochaine fois je viendrai passer un weekend sur un boat house, ils sont super bien aménagés avec 4 chambres, une cuisine, une terrasse et un toboggan sur le toit,.. irrésistible.
Pour le timing: on a visité HorseShoe + Antelope + Lake Powell la première journée, et Monument Valley + Goulding la deuxième. Nous y étions hors saison en février, il fait un peu frais mais très beau et le bon plan c’est qu’il y a très peu de touristes (mais la piscine est fermée...).
Happy Wild Wild West dudes!
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