#rangeas
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goodapple75 · 2 years ago
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ă“ă‚“ă«ăĄăŻâœš T9Gさんぼ RANGEAS (PPL) ă‚€ăƒ™ăƒłăƒˆäŒšć ŽăźæŠœéžèČ©ćŁČăŒć€šă„ăźă§đŸ’ŠăȘかăȘă‹æŠœéžăźæ©ŸäŒšăŒă‚ă‚ŠăŸă›ă‚“ă§ă—ăŸăŒ 6ćčŽć‰ă«RANGEAS ă‚’çŸ„ăŁăŠă‹ă‚‰webăźæŠœéžă«ćżœć‹Ÿă—ç¶šă‘ăŠćˆă‚ăŠć…„æ‰‹ă§ăăŸă—ăŸ ăƒăƒ“ăƒ©ăƒłă‚źă‚ąă‚čăšäž€ç·’ă«éŁŸă‚ŠăŸă„ăšæ€ă„ăŸă™ă€‚ #rangeas #t9g https://www.instagram.com/p/CmvGFdsP20Y/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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deadbunnys · 2 years ago
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Outstanding! Rangeas Double x @xt9gx #rangeas #rangeasdouble #t9g #arttoy #resintoy #designertoy #designerarttoy #resinarttoy #urbantoy #urbanculture #toyart #toystagram #toysofinstagram #alltoysareart #instaart #collectible #limitededition #deadbunnystore #repost (at Dead Bunny Store) https://www.instagram.com/p/Cl6TdvJuHU3/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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hepbaestus · 3 months ago
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I'm trying to think of important events that would happen in both the Rose and Death Families past (and future) for my Familial Souls AU.
Like I've got births, a couple deaths, meetings and some important things like Fuga InpossĂ­vel and Pac gaining custody of Richas.
But is there anything else?
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natureandphotography1 · 1 year ago
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đŸ“· by natureandphotography1 (Flickr, Autumn Blog, Nerdy Blog)
Please do not remove credit :)
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kharmii · 2 years ago
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Art credit to: ć»ƒé“rangea@xNjq8084 Twitter.
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wriggler-naming-suggestions · 6 months ago
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"Oooo!!" ]:o
"If you're looking for wriggler names, I can give you some!!" ]:▷
"Rangea"
"Arigol"
"Poinsi"
"Vendre"
"Orgett"
"Fodill"
"Illyee"
"That's all I can come up with at the moment!!" ]:>
- @taintlesscarcass
< theze are k:nd of cute >
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marie-swriting · 1 year ago
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Vous Iriez Bien - TASM!Peter Parker
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Marvel Masterlist
Résumé : Tu passes un mauvais jour, heureusement ton petit ami sait quoi faire pour t'aider.
Warnings : neurodivergent!reader, crise de panique, pression scolaire, hurt/comfort, dites-moi si j'en ai loupé d'autres.
NDA : Ce one shot a Ă©tĂ© commandĂ© par ma talentueuse meilleure amie @kaeinherworld ça a Ă©tĂ© un honneur pour moi de voir qu'elle voulait que je lui Ă©crive un one shot donc, Kae, j'espĂšre que tu l'aimeras autant que j'ai aimĂ© ton one shot Stefan Salvatore que tu m'as Ă©crit il y a des annĂ©es (et contrairement Ă  toi, je ne le supprimerai pas !) ❀
Nombre de mots : 2.2k
Version anglaise
Prompt utilisé : "Person A is having a panic attack and they desperately try to hide it, but Person B sees right through them and knows the right thing to do to calm A down." (Personne A a une crise de panique et iel essaye désespérément de la cacher mais Personne B voit clair dans son jeu et sait la chose à faire pour calmer A) de cette prompt list faite par @creativepromptsforwriting
Chanson qui m'a inspiré : Love The Hell Out Of You par Lewis Capaldi
C’était trop. Si on t’avait demandĂ© de dĂ©finir cette journĂ©e, tu aurais rĂ©pondu que c’était trop. Trop de stress. Trop de bruit. Trop de personnes. Trop de tout. 
DĂšs ton rĂ©veil, tu avais ressenti que cette journĂ©e ne serait pas la meilleure et les heures suivantes l’avaient confirmĂ©. Ce jour-lĂ  Ă©tait particuliĂšrement Ă©prouvant Ă  la fac. La fin du semestre se rapprochait Ă  grand pas et la pile de devoirs Ă  rendre et de rĂ©visions Ă  faire s'agrandissait au mĂȘme rythme. Ta concentration et ta motivation avaient de plus en plus de mal Ă  rester Ă  tes cĂŽtĂ©s Tu n’avais qu’une hĂąte pouvoir profiter de tes vacances pour - enfin - souffler et t’isoler. 
En plus de la pression de la fac, tu n’avais pas pu voir Peter de toute la journĂ©e. MĂȘme si vous n’aviez pas les mĂȘmes cours, vous trouviez toujours une solution pour vous retrouver pour manger le midi ou au moins une dizaine de minutes durant l’aprĂšs-midi. Malheureusement, le vendredi Ă©tait ta journĂ©e de cours la plus chargĂ©e, il vous Ă©tait impossible de vous voir sur le campus, par consĂ©quent, tu Ă©tais encore plus Ă  cran. Certes, tu allais passer la nuit chez lui pour votre visionnage hebdomadaire de Star Trek, mais tu voulais ĂȘtre dans ses bras le plus vite possible.
Quand ton professeur finit son cours - non sans rajouter un éniÚme devoir, tu rangeas tes affaires. Malgré la boule toujours présente dans ton ventre, tu pouvais enfin respirer un peu plus facilement. Cependant, tu attendais de poser les yeux sur ton petit ami pour prendre une vraie inspiration.
En arrivant chez toi, tes parents ne prirent pas le temps de te saluer ou de te demander comment s’était passĂ© ta journĂ©e, ils se dĂ©pĂȘchĂšrent de faire un commentaire dĂ©sobligeant Ă  propos de tes notes sans mĂȘme savoir de quoi ils parlaient. Ton anxiĂ©tĂ© commençait Ă  se transformer de plus en plus en frustration et tu fis tous les efforts du monde pour ne rien rĂ©pliquer, tu tenais au peu de calme qu’il te restait encore. Sans leur lancer un regard, tu montas dans ta chambre et refermas la porte sans perdre une seconde avant de t’allonger sur ton lit. 
Tu avais encore une petite heure avant que Peter finisse son dernier cours. Tu en profitas pour te dĂ©connecter de cette atmosphĂšre anxiogĂšne. Tes Ă©couteurs Ă  rĂ©duction de bruit dans tes oreilles, tu pris le livre sur ta table de chevet, Le Seigneur Des Anneaux - tu n’aurais su dire combien de fois tu l’avais lu. Ce qui Ă©tait censĂ© t’apporter du rĂ©confort te frustra un peu plus. Ton esprit Ă©tait trop surmenĂ© pour rĂ©ussir Ă  se concentrer sur ta lecture et le fait d’avoir Ă©tĂ© au contact d’autant de stimulis au fil de la journĂ©e n’arrangeait rien. AgacĂ©e, tu refermas ton livre dix minutes plus tard et attendis Peter avec impatience. 
Le soulagement pouvait se lire sur ton visage quand tu entendis Peter frapper Ă  ta porte. Inconsciemment, tu jetas un coup d'Ɠil par la fenĂȘtre. Il n’était pas rare pour Peter de venir te voir avant ou aprĂšs sa patrouille et comme il devait se faire discret, il te rejoignait en passant par ta fenĂȘtre. 
AprĂšs avoir rangĂ© tes Ă©couteurs et ton livre dans ton sac, tu le pris en main et retrouvas Peter Ă  l’entrĂ©e. Il t’embrassa pour la premiĂšre fois depuis la nuit derniĂšre. Le baiser Ă©tait rapide tout en Ă©tant rempli d’amour. Il prit ton sac et le plaça sur son Ă©paule pendant que tu te saisissais de sa main. Suite Ă  ce contact, tes Ă©paules se relĂąchĂšrent lĂ©gĂšrement. 
Sur le chemin, Peter fit la discussion, te racontant sa journĂ©e. En temps normal, tu lui aurais rĂ©pondu avec passion et n’aurais pas arrĂȘtĂ© de lui raconter toutes les pensĂ©es qui traversaient ton esprit, mais la fatigue de la journĂ©e Ă©tait plus forte alors tu restas silencieuse. Peter Ă©tant un petit ami bienveillant et te connaissant depuis l’enfance, il remarqua ton mutisme instantanĂ©ment, mais ne commenta pas. En seulement un regard, il avait compris que ta journĂ©e avait Ă©tĂ© longue. Tout en continuant de parler, il prĂȘta attention Ă  tes gestes, se prĂ©parant Ă  rĂ©agir si tu avais besoin de quelque chose.
Le chemin jusqu’à chez Peter ne t’avait jamais semblĂ© aussi long. Tu t’étais retenue de soupirer de nombreuses fois dans le mĂ©tro. 
Une fois chez lui, vous vous rendĂźtes dans la cuisine oĂč vous saluĂątes rapidement Tante May qui devait partir au travail. Quand vous fĂ»tent seuls, Peter rĂ©cupĂ©ra deux verres ainsi qu’une bouteille de soda alors que tu sortis du pop corn pour votre soirĂ©e. 
Dans sa chambre, Peter te donna un de ses tee shirts que tu mis rapidement, voulant sentir son parfum sur toi. Son tee-shirt ressemblait plus à une robe mais cela ne te dérangeait pas. Peter enfila également une tenue plus confortable. 
Une fois allongĂ©s sur le lit de Peter, tu te mis sur ton cĂŽtĂ© gauche, la tĂȘte posĂ©e sur le torse de ton petit ami pendant que l’ordinateur Ă©tait sur ses jambes et le bol de pop corn entre vous deux. Lors des premiĂšres minutes de Star Trek Into Darkness, tu arrivas Ă  te concentrer puis tu repensas Ă  la fac malgrĂ© toi. 
La pensĂ©e avait Ă  peine effleurĂ© ton esprit mais ça avait Ă©tĂ© suffisant pour te distraire. Mentalement, tu faisais la liste de tout ce qu’il te restait Ă  faire. Plus tu rĂ©flĂ©chissais et plus tu prenais conscience que tu avais encore beaucoup de travail. En sentant tes mains commencer Ă  trembler, tu compris que la crise de panique n’était pas loin. Tu essayas de prendre de profondes inspirations discrĂštement, espĂ©rant ne pas attirer l’attention de Peter - ses sens dĂ©cuplĂ©s pouvaient te trahir Ă  n’importe quel moment. Quand ton cƓur se mit Ă  battre Ă  toute vitesse, tu sus que c’était peine perdue. Dissimulant ta respiration saccadĂ©e du mieux que tu pouvais, tu tentas de sortir du lit normalement, les larmes aux yeux. Tu n’eus pas le temps de bouger une jambe que Peter Ă©tait dĂ©jĂ  tournĂ© vers toi, les sens en alerte. Il posa l’ordinateur et le bol de pop corn sans mĂ©nagement sur le sol et t’invita Ă  t’asseoir comme il faut. Tu portas la main sur ta poitrine, la douleur devenant plus forte et au mĂȘme moment, tes larmes commencĂšrent Ă  couler sur tes joues. 
Peter te regardait sans te toucher, craignant d’aggraver la situation - il savait que tu n’étais pas fan du contact physique alors il faisait toujours attention Ă  respecter ton espace personnel, surtout dans ce genre de situation. Rapidement, il cacha son affolement, tu avais besoin de le voir calme. 
-Hey, ça va aller, t’assura Peter. Est-ce que je peux prendre ta main pour la poser sur mon cƓur ?
Tu hochas la tĂȘte avec difficultĂ© pour rĂ©pondre. DĂ©licatement, il prit la main qui Ă©tait sur ta cuisse dans la sienne. Son emprise sur ta main Ă©tait lĂ©gĂšre, te laissant ainsi la libertĂ© de la retirer si tu changeais d’avis. Il posa ta main sur son cƓur et il te fit un regard rassurant avant de rajouter : 
-TrĂšs bien. On va respirer ensemble lentement. Tout va bien. Ça va aller, Y/N, rĂ©pĂ©ta-t-il. Tu es en sĂ©curitĂ©. Prends une profonde inspiration par le nez et expire par la bouche, invita Peter en le faisant avec toi. Regarde nos mains sur ma poitrine. 
À sa phrase, tu fis ce qu’il dit. En continuant de regarder le point fixe, tu pouvais sentir le cƓur de Peter battre calmement Ă  travers ta main, t’aidant ainsi Ă  te sentir plus protĂ©gĂ©e. Tu respirais encore avec difficultĂ© mais au bout de la cinquiĂšme inspiration, ton cƓur ainsi que tes larmes commencĂšrent Ă  se calmer.
-Tout va bien. Tu vas bien, murmura Peter.
Quelques minutes plus tard et grĂące Ă  l’aide de Peter, tu arrivas enfin Ă  retrouver une respiration normale. Il arrĂȘta de parler, t’autorisant Ă  reprendre tes esprits Ă  ton rythme. Tu gardas les yeux sur vos mains pendant quelques secondes de plus, apprĂ©ciant le calme. Les yeux de Peter ne te quittĂšrent pas, faisant attention Ă  ce que la crise ne reprenne pas. 
Quand tu te ressaisis, tu arrĂȘtas de fixer vos mains pendant qu’un sentiment dïżœïżœïżœembarras t’envahit. Tu Ă©vitas le regard de Peter tout en essuyant tes joues mouillĂ©es avec ta main libre. Ce n’était pas la premiĂšre fois que Peter Ă©tait tĂ©moin d’une de tes crises de panique, mais tu n’aimais pas ĂȘtre autant vulnĂ©rable devant lui. Tu retiras ta main de son torse et commenças Ă  jouer avec tes doigts. Tu n’osais pas briser le silence en premier et Peter l’avait bien compris. 
-Tu veux qu’on en parle ? 
-Il y a pas grand chose à dire, déclaras-tu avec une voix légÚrement plus grave à cause de la fatigue. 
-Ça ne t’était pas arrivĂ© depuis un moment, remarqua Peter. 
-La fin du semestre aide pas vraiment Ă  ne pas ĂȘtre anxieuse. 
-Il y a autre chose.
En entendant son affirmation, tu ne pouvais t’empĂȘcher d’ĂȘtre lĂ©gĂšrement agacĂ©e. Il te connaissait par cƓur. MalgrĂ© tous tes efforts, tu ne pouvais rien lui cacher alors tu lĂąchas un soupir avant d’admettre Ă  contrecƓur : 
-Ce n’était juste pas vraiment mon jour. Ce n’est rien. Je vais bien, mentis-tu en te forçant Ă  le regarder pendant une seconde. 
-Tu sais que tu peux tout me dire. Tu sais aussi que ça ne me dĂ©range pas de t’écouter et de t’aider, te rappela-t-il tendrement. 
-Je sais.
-Je le pense, Y/N. Tu m’as toujours aidĂ©, surtout aprĂšs que je sois devenu Spiderman donc c’est normal que je te rende la pareille. 
-Je veux juste pas ĂȘtre un fardeau pour toi, avouas-tu avec difficultĂ©.
-Tu ne l’es pas et tu ne le seras jamais. Je ferai tout pour toi. Tu m’as tellement aidïżœïżœ et aimĂ© alors sache que je t’aimerai toujours autant. 
Ignorant quoi lui rĂ©pondre, tu te penchas vers lui et posas tes lĂšvres sur les siennes. Vous vous embrassĂątes avec lenteur, apprĂ©ciant la prĂ©sence de l’autre. Avec ce baiser, tu voulais partager tout ton amour et ta gratitude Ă  Peter. Il savait quoi dire pour te faire te sentir mieux et tu savais qu’il Ă©tait sincĂšre dans chacun de ses mots. Tu savais qu’il le pensait quand il disait qu’il ferait tout pour toi. Peter t'aurait amenĂ© le paradis si c’était ce dont tu avais eu besoin. Il aurait pris toute ta douleur s’il avait pu et il t’aurait souri en le faisant. Il aurait fait tout ce qui Ă©tait possible et impossible pour toi et tu en serais Ă  jamais reconnaissante. 
Peter te laissa prendre le contrĂŽle du baiser, te permettant de retirer tes lĂšvres quand tu le souhaitais. Quand tu le fis, tu regardas Peter avec tendresse alors qu’il te faisait un sourire avec la mĂȘme douceur.  
-On peut en parler plus tard, si tu préfÚres, te dit-il, sachant que tu avais besoin du temps. Tu as besoin de quelque chose ? 
-Je veux bien que tu me passes mes Ă©couteurs et qu’on reste allongĂ©s pendant un petit moment, rĂ©pondis-tu lentement.
Peter rĂ©cupĂ©ra ce que tu voulais dans ton sac et te tendit les Ă©couteurs. Tu les plaças dans tes oreilles, le silence te rĂ©confortant un peu plus alors que Peter se rĂ©installait dans le lit. Tu ne te collas pas complĂštement Ă  ton petit ami, ayant besoin d’un peu d’espace, mais tu te saisis de sa main droite et jouas avec ses doigts. Tu lĂąchas un grand soupir alors que Peter te regardait faire, toujours sur le qui-vive au cas oĂč. 
Vous restĂątes dans cette position jusqu’à ce que le soleil se soit couchĂ©. À un moment, tu fermas mĂȘme les yeux sans dormir. Quand tu te sentis enfin un peu mieux, tu retiras tes Ă©couteurs et ouvrir les yeux. Peter te fit un lĂ©ger sourire auquel tu rĂ©pondis avant de prendre la parole : 
-Tu veux un thĂ© ? J’ai tout pour ton thĂ© prĂ©fĂ©rĂ©.
-Qu’est-ce que j’ai fait pour te mĂ©riter ? demandas-tu rhĂ©toriquement, ton sourire grandissant et en le regardant les yeux remplis d’amour. 
-Tu as frappĂ© Josh Stewart quand on avait six ans car il avait jetĂ© mes affaires au sol, rĂ©pondit-il, te faisant lĂącher un rire, le souvenir de votre premiĂšre rencontre en tĂȘte. Alors, un thĂ© ?
-Je veux bien. 
-Je reviens tout de suite. 
AprĂšs t’avoir embrassĂ© sur le front, Peter quitta sa chambre. Quelques minutes plus tard, Peter revint avec une tasse dans les mains. Il te la donna pendant que tu t’asseyas sur son lit, le dos contre le mur. Tu pris une grande gorgĂ©e, apprĂ©ciant le goĂ»t du thĂ© noir avec du citron vert, de l’orange et de l’épice. Tu gardas la tasse entre tes mains alors que Peter rĂ©cupĂ©ra le livre dans ton sac. Il n’avait pas besoin de te demander pour savoir que tu en avais amenĂ© un avec toi, tu avais toujours un livre sur toi, peu importe la situation. Peter rigola lĂ©gĂšrement en voyant que tu relisais Le Seigneur Des Anneaux. Il te rejoignit sur le lit, s’installant Ă  tes cĂŽtĂ©s. Pendant qu’il ouvrit le roman, tu te blottis contre lui. Peter passa son bras droit autour de tes Ă©paules, te rapprochant de lui. Tu bus une nouvelle gorgĂ©e et Peter reprit la lecture lĂ  oĂč tu l’avais laissĂ©e. 
En Ă©coutant Peter lire, tu ne pus t’empĂȘcher de te sentir reconnaissante d’avoir Peter dans ta vie. Il savait parfaitement quoi faire et dire pour t’aider Ă  aller mieux. Tu n’aurais pu imaginer un meilleur petit ami. Tu savais qu’il y aurait d’autres moments oĂč tu n’irais pas bien comme ce jour-lĂ , tout comme Peter aurait ses mauvais jours, mais tant que vous Ă©tiez ensemble, vous iriez bien.
Marvel Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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sofya-fanfics · 1 year ago
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La balançoire sur le porche
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Fandom : Outlander
Relationship : Jamie x Claire
Voici ma participation pour le Flufftober 2023 pour le prompt : une balançoire sur le porche.
J’espùre que ça vous plaira.
RĂ©sumĂ© : Jamie planta le dernier clou et se leva. Il essuya son front avec sa manche et sourit avec satisfaction. Il avait enfin terminĂ© la surprise qu’il avait prĂ©parĂ© pour Claire et avec cette surprise, la construction de Fraser's Ridge Ă©tait finie.
Disclaimer : Outlander appartient Ă  Diana Gabaldon.
@flufftober
AO3 / FF.ET
Jamie planta le dernier clou et se leva. Il essuya son front avec sa manche et sourit avec satisfaction. Il avait enfin terminĂ© la surprise qu’il avait prĂ©parĂ© pour Claire et avec cette surprise, la construction de Fraser's Ridge Ă©tait finie.
Il rangea ses outils et entra dans la maison. Claire se trouvait devant la table de la cuisine, en train de ranger les diffĂ©rentes herbes qu’elle avait cueilli dans des bocaux en verre.
« Sassenach, viens avec moi. J’ai quelque chose Ă  te montrer. Mais avant, tu dois fermer les yeux.
-Quoi ? S’exclama Claire, Ă  la fois surprise et amusĂ©e par son comportement.
-Tu me fais confiance ? »
MĂȘme s’il connaissait la rĂ©ponse, il aimait l’entendre dire qu’elle lui faisait confiance. Elle Ă©tait prĂȘte Ă  lui confier sa vie, comme il Ă©tait prĂȘt Ă  lui confier la sienne. C’était ainsi depuis le dĂ©but de leur mariage.
« Bien sĂ»r que j’ai confiance en toi. »
Claire ferma aussitĂŽt les yeux et Jamie lui prit dĂ©licatement la main pour la mener jusqu’à l’extĂ©rieur.
« Qu’est-ce que tu as prĂ©parĂ©? Demanda Claire.
-Ne sois pas si impatiente, Sassenach. »
Jamie ne put s’empĂȘcher de sourire. Elle avait toujours Ă©tĂ© ainsi. Impatiente, curieuse, fougueuse. C’était des traits de sa personnalitĂ© qu’il aimait. Ils s’arrĂȘtĂšrent sur le porche oĂč la surprise de Claire l’attendait.
« Tu peux ouvrir les yeux. »
Claire s’exĂ©cuta et un immense sourire illumina son visage.
« Tu t’en es souvenu, dit-elle Ă©mue.
-Bien sĂ»r. Je me souviens de tout ce que tu m’as dit. »
Il y a plusieurs mois de cela, alors que Jamie expliquait comment allait se dĂ©rouler la construction de leur maison, Claire regardait d’un air songeur l’endroit oĂč devait se trouvait le porche.
« Quelque chose ne va pas ? Demanda Jamie.
-Non, c’est juste que
 Ce n’est rien.
-Dis-moi.
-J’ai toujours rĂȘvĂ© d’avoir une balançoire sur le porche.
-Une balançoire ? »
De tout ce Ă  quoi il avait pensĂ©, il n’aurait pas imaginĂ© que Claire puisse vouloir une balançoire sur le porche. Ce n’était pas quelque chose de commun en Écosse, mais peut-ĂȘtre que c’était frĂ©quent Ă  son Ă©poque ou en AmĂ©rique.
« Je sais que c’est idiot, mais quand j’habitais Ă  Boston, j’aurais aimĂ© avoir ce genre de balançoire. Mais notre maison ne le permettait pas. Ça n’a pas d’importance. MĂȘme sans balançoire, notre maison sera merveilleuse. »
Jamie passa ses bras autour d’elle et l’enlaça. Il regarda l’endroit oĂč devait se trouver le porche et imagina comment construire une balançoire et oĂč la placer. Il allait devoir un peu modifier ses plans, mais cela n’avait pas d’importance, tant que Claire Ă©tait heureuse. Il lui avait fallu du temps, mais avec cette balançoire, tout Ă©tait parfait.
« Est-ce que tu veux l’essayer ? Demanda-t-il. »
Claire acquiesça. Jamie lui dĂ©posa un baiser sur le dos de la main et tous deux s’assirent sur la balançoire. Ils oscillĂšrent lĂ©gĂšrement. Jamie passa son bras autour des Ă©paules de Claire, qui se blottit contre lui.
« C’est parfait, dit-elle. Tout est parfait. »
Jamie sourit. Ces vingt derniĂšres annĂ©es sans Claire avait Ă©tĂ© un enfer dont il croyait ne jamais sortir. Qu’elle rĂ©apparaisse dans sa vie avait Ă©tĂ© un vĂ©ritable miracle. Depuis le jour oĂč elle Ă©tait entrĂ©e dans son imprimerie et malgrĂ© les difficultĂ©s et les Ă©preuves qu’ils avaient dĂ» traverser, chaque instant passĂ© auprĂšs d’elle avait un goĂ»t de paradis. Cela avait fait tellement longtemps qu’il Ă©tait dans les tĂ©nĂšbres, qu’il croyait ne plus pouvoir ĂȘtre un jour heureux Ă  nouveau.
BĂątir Fraser's Ridge avait Ă©tĂ© une nouvelle aventure dans leur vie et il espĂ©rait qu’il passerait de nombreuses annĂ©es heureux auprĂšs de Claire . Et cette balançoire Ă©tait le dĂ©but de leur nouvelle aventure.
Fin
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cindersnowsstuff · 8 months ago
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My latest video is out now! This is my first time using SAROS for a song, and I really love how it turned out! Art was made by rangea!
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e17omm · 1 year ago
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Hehehe, its going to be a bit tricky, I'll have to research Kira just to make sure I get it as right as I can, and also figure out some timeline stuff, but I think I can do it!
Wait... Kira was one of the two who fought Bella.
Oh, rewriting 'A different ending to the war' to free up Kira was a great idea.
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eiffel21 · 1 year ago
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Bleu lagon
Au milieu de l’allĂ©e centrale, elle pestait Ă  voix basse, comme souvent dans cette situation. « Mais bon sang, ils ont bougĂ© les rayons depuis hier... ». Tout cela Ă©tait bien sĂ»r dĂ©libĂ©ré  Perdre les gens dans le dĂ©dale, les faire passer devant le maximum de gadgets Ă  deux sous Ă©tait une façon de refourguer leur camelote. Elle le savait et cela l’exaspĂ©rait encore plus.
Naviguant d’un rayon à un autre, traünant son caddy de grand-mùre comme un boulet, elle n’en pouvait plus de ces produits, gondoles, promos... et les clients qui semblaient prendre un malin plaisir à rester sur son passage. Tout cela lui donnait le tournis.
Elle refusait de faire partie du troupeau de moutons, qui se laisse berner par une « offre exceptionnelle, Ă  saisir, tout doit disparaĂźtre ! ». C’est elle qui avait envie de disparaĂźtre, avant que le monstre supermarchĂ© ne l’engloutisse pour de bon.
Le temps filait entre ses doigts
 Il lui semblait qu’elle errait depuis des heures, Ă  la recherche de ce pour quoi elle Ă©tait venue.
A l’angle des rayons « Liquides gouleyants » et « Fabuleux biscuits », elle eut un sursaut, qui la remit sur le droit chemin. Elle savait pourquoi elle Ă©tait lĂ  et ne se laisserait pas abuser, foi de GisĂšle !
Au dĂ©tour des congĂ©lateurs, elle aperçut le rayon « Sent-bon partout » qu’elle pensait disparu Ă  jamais. LĂ , sur la 2Ăšme Ă©tagĂšre, quelques petits pavĂ©s de plastique trĂŽnaient, avec leur languette blanche, prĂȘts Ă  servir : ils Ă©taient Ă  point. Elle s’empara d’un exemplaire, le dĂ©posa rapidement dans le caddy et repartit, soulagĂ©e, en direction des caisses. Elle allait enfin pouvoir quitter cet endroit maudit.
ArrivĂ©e Ă  la maison, elle lĂącha un joyeux « C’est moi ! Mon chĂ©ri, tu vas ĂȘtre content ! ». Elle saisit l’objet et, sans se dĂ©chausser, se rendit dans le salon. Robert, affairĂ© Ă  remplir sa troisiĂšme grille de tiercĂ©, lui jeta un regard distrait.
« Regarde, j’ai ramenĂ© ça, tu sais c’est ton prĂ©fĂ©ré : bleu lagon. Comme ça, dans les cabinets, ce sera les vacances tous les jours ! ».
Sans un mot, Robert attrapa le désodorisant et le rangea dans la petite armoire des toilettes, à cÎté des 13 autres.
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danceofthedruid · 1 year ago
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Des retrouvailles mouvementées
@leslarmesdesmorts
Cet instant, Eliza en avait rĂȘvĂ© pendant plus d’un siĂšcle et enfin elle se retrouvait devant son pĂšre, mais bien sĂ»r, comme elle s’y attendait, ce dernier Ă©tait loin de la reconnaĂźtre et encore moins croire qu’elle Ă©tait sa fille, aprĂšs tout, cela faisait longtemps que la jeune Salvatore aurais du mourir et non pas ĂȘtre transformĂ©e en vampire. Mais comme elle avait prĂ©vu cette Ă©ventualitĂ©, Eliza avait pris soin de prendre le seul portrait de famille qu’elle avait en sa possession, une photo prise peu de temps avant le supposĂ© dĂ©cĂšs de son pĂšre, ce qui avait permis Ă  la jolie brune de garder en mĂ©moire les traits de ses parents, qu’une jeune enfant de cinq ans, qu’elle avais Ă©tĂ© il y a fort longtemps, ne se serait pas souvenue sans cela. Malheureusement, la jeune vampire n’eĂ»t mĂȘme pas le temps de sortir cette carte puisque dĂ©jĂ , tu lui disais de rentrer dans sa famille, alors que la seule famille qu’il lui restait Ă  prĂ©sent Ă©tait en face d’elle avant de quitter le Mystic Grill en laissant une vingtaine de dollars sur la table, laissant Eliza complĂštement dĂ©contenancĂ©e, ne sachant plus quoi faire pour faire comprendre Ă  ce pĂšre qui Ă©tait le sien, qui elle Ă©tait bien qu’elle ne soit plus l’enfant de cinq ans qu’il avait laissĂ© derriĂšre lui.
DĂ©sormais seule Ă  table, la jeune Salvatore croisa les bras sur cette derniĂšre et enfouissait sa tĂȘte dedans, comme dĂ©sespĂ©rĂ© que son pĂšre ne lui ai pas laissĂ© le temps ni l'occasion de lui montrer la photo, seule preuve qui restait de qui elle Ă©tait, Ă  moins de rajouter Ă  cela, quelques recherches dans les archives de la ville pour ressortir le certificat de mariage de ses parents ainsi que son certificat de naissance, puisqu’il ne semblait pas s’en souvenir. Soufflant un bon coup, elle dĂ©cida de se rendre rapidement aux archives pour rĂ©cupĂ©rer une copie des documents pour les prĂ©senter Ă  son pĂšre la prochaine fois qu’elle le verrait, et cette fois, elle ne le laissera pas partir sans lui montrer toutes les preuves la concernant, prouvant qu’elle Ă©tait nĂ©e de son union cinq ans avant sa mort. Bien sĂ»r, ce genre de demande Ă©tait particuliĂšrement bizarre, mais Eliza n’en avais que faire, aprĂšs tout, si elle faisait ça, c’était justement pour prouver Ă  son pĂšre, qu’il est bien son pĂšre, mĂȘme si les papiers qui le prouvent, ont dĂ©sormais plus d’un siĂšcle et faisait partie des archives de la ville. Bien que sa demande soit particuliĂšre, la chargĂ©e des archives consent Ă  faire des photocopies des dits documents pour la jolie brune, qui avait prĂ©textĂ© reconstituer son arbre gĂ©nĂ©alogique. Il faut plusieurs minutes pour faire la photocopie de tous les documents demandĂ©s par Eliza, l’ñge de ses derniers ne facilitant pas particuliĂšrement la tĂąche. 
Quand elle eĂ»t enfin les papiers en mains, la jeune Salvatore remercia la chargĂ©e des archives, rangea les papiers dans son sac Ă  mains et retrouva les rues de Mystic Falls, Ă  la recherche d’oĂč son pĂšre pouvait bien vivre, elle s’était d’ailleurs dirigĂ©e vers ce qui Ă©tait dĂ©sormais les ruines de l’ancien manoir des Salvatore, oĂč elle Ă©tait nĂ©e, sans ĂȘtre sĂ»re qu’il soit toujours intact, mais une fois devant la bĂątisse quasiment dĂ©truite, la jolie brune ne pĂ»t s’empĂȘcher d’avoir un sentiment de nostalgie pour cette demeure qui l'avait vue naĂźtre et qui dĂ©sormais, n'Ă©tait plus, repensant aux quelques souvenirs de cette pĂ©riode qu’il lui restait, puis se dirigeait vers le petit cimetiĂšre de la demeure, oĂč Ă©tait enterrĂ© sa mĂšre et le reste de la famille Salvatore. Quand elle trouva enfin la tombe de sa dĂ©funte mĂšre, Eliza s’agenouilla et sortit la seule photo qu’il lui restait de ses parents et d’elle ensemble, son seul souvenir.
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azover · 1 year ago
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One of the most songs of all time
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kharmii · 1 year ago
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Art credit: ć»ƒé“rangea!27 5階M01@xNjq8084 Twitter.
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clemjolichose · 2 years ago
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you won't have to hide away - partie 3
Fandom : Nassau : la nuit des canons
Pairing : Anne Bonny x Mary Read, Jack Rackham x Stede Bonnet, Charles Vane x Lucy Greenwood
Nombre de mots : 716 mots
Avertissement : Violence, mort
Résumé : Qui est ce mystérieux personnage venant au secours de la fugitive ? Quelles sont ses motivations ? Serait-il un allié ?
Note d’auteurice : Vous pouvez aussi lire ce texte sur Wattpad ou AO3 ! Cette fanfiction, basĂ©e sur une comĂ©die musicale indĂ©pendante, a plus d'un an et je suis fiĂšr-e de vous la partager enfin !
Partie : 3/11 - Le DĂ©mon de Nassau
Partie 1 | Partie 2
Chanson : Run Boy Run de Woodkid
Le tintement du mĂ©tal semblait effroyable dans le silence de la forĂȘt. Mary se leva dĂšs qu'elle put, avec la volontĂ© d'aider quiconque l'avait sauvĂ©e. Elle se battit ainsi contre le corps de chasse de Calico, au cĂŽtĂ© d'une personne qu'elle n'avait encore pu voir. Mais le combat ne fut pas long puisque pour une obscure raison, Woodes Rogers fit battre les hommes en retraite. Stede Bonnet se tenait Ă  ses cĂŽtĂ©s et venait de lui murmurer Ă  l'oreille - c'Ă©tait sĂ»rement ce qui l'avait dissuadĂ© de mener bataille. Tant mieux. Mary s'Ă©tira, sa chute ayant Ă©tĂ© douloureuse, et se tourna vers le mystĂ©rieux inconnu- la mystĂ©rieuse inconnue, Ă  vrai dire. "Anne Bonny, lança Bonnet. OĂč est ton maĂźtre ? Il doit ĂȘtre perdu sans son soutien moral... -Oh, t'as pas un thĂ© Ă  siroter le petit doigt levĂ© en lĂ©chant les bottes de la Navy ? rĂ©pliqua la susnommĂ©e du tac au tac. T'es sur mes terres, et tu le sais trĂšs bien, alors dĂ©gage tes sales pattes d'ici avant que je ne dĂ©clenche un incident diplomatique." Le roi leva les mains en signe d'apaisement et rĂ©cula doucement. Comme Rogers ne faisait pas de mĂȘme, il le tira. "Je prĂ©fĂšre ça." Anne Bonny rangea sa lame. Un dernier regard, et elle fit volte-face pour rejoindre son propre royaume. Mary Read la suivit en boitant, Ă  cause de sa blessure, et tenta d'attirer son attention. "Eh ! Merci, pour- pour m'avoir dĂ©fendue face Ă  eux. -Je dĂ©fends surtout mon territoire. La Navy n'a aucun droit sur Nassau, rĂ©pliqua Anne avec Ă©nervement." Puis elle regarda Mary de la tĂȘte aux pieds. "Sympa le dĂ©guisement. T'as l'air d'avoir les Ă©paules d'une pirate, dommage que t'en ai pas le nom. -C'est quoi le problĂšme avec mon nom ?! -Mary Read ? C'est pas un nom de pirate ! -Et Anne Bonny alors ?!" Mary Ă©tait vexĂ©e, et Anne ne faisait que rire. La premiĂšre se relaxa tout de mĂȘme, apaisĂ©e de sentir sa bienfaitrice aussi dĂ©tendue et amicale auprĂšs d'elle. Elle avait vraiment cru qu'elle allait tuer ce Stede Bonnet d'un regard...
Anne Bonny invita Mary dans la forteresse de Nassau, qui Ă©tait Ă  peu prĂšs le seul bĂątiment se tenant sur les terres de Nassau, mais elle Ă©tait bien remplie : des pirates en tout genre et de tous genres l'habitaient, bien que le port semblait bien vide. Nassau Ă©tait pauvre et en difficultĂ©, Ă  cĂŽtĂ© de la resplendissante Calico, ou du troisiĂšme royaume de l'Ăźle, plus menaçant : La Vanerie. Les deux jeunes femmes traversĂšrent la place du marchĂ©, au sein de la forteresse, et se rendirent dans une taverne appelĂ©e Le Goulot des SirĂšnes. Encore une taverne, pensa Mary. À l'intĂ©rieure, elles saluĂšrent la propriĂ©taire qu'Anne prĂ©senta briĂšvement : "Lucy Greenwood, la maman de tout le monde ici." Ladite Lucy sourit en saluant Mary. Elle avait un regard perçant, comme si elle pouvait percer tous les secrets d'une personne par sa simple vision. Et elle semblait dĂ©jĂ  en voir long. Mary Ă©tait un peu mal Ă  l'aise de cette contemplation insistante, mais ne dit rien. De toute maniĂšre, Anne Ă©tait en train d'expliquer sa bien mauvaise situation et en deux temps trois mouvements, Mary se retrouva Ă  l'abri des regards, dans une chambre, sans pantalon, Lucy soignant sa jambe. Les crocs ne s'Ă©taient pas enfoncĂ©s trop profondĂ©ment et la blessure avait cessĂ© de saigner pendant sa marche jusqu'Ă  la forteresse, mais la propriĂ©taire de la taverne semblait tout de mĂȘme inquiĂšte. "Anne m'a dit que c'est un chien de chasse de Bonnet qui t'a fait ça..." Elle se faisait Ă©trangement plus douce que lorsqu'elle Ă©tait derriĂšre son bar. Mary pouvait voir pourquoi on disait d'elle qu'elle Ă©tait la maman de tout le monde. Elle hocha la tĂȘte. "Que s'est-il passĂ© ? -J'Ă©tais prisonniĂšre de la Navy et- -Oh mon Dieu, Lucy la coupa-t-elle. C'est eux qui ont dĂ» partir Ă  ta recherche avec l'aide des chiens de chasse de Bonnet. -C'est ça, oui. Il y avait ce corsaire, Woodes Rogers." Lucy soupira. "Une chose est sĂ»re, il ne te lĂąchera pas de sitĂŽt. Mais ne t'en fais pas, Nassau te protĂ©gera." Elle sourit doucement en terminant de bander la jambe de Mary. "Et voilĂ , Ă©vite de marcher pendant deux-trois jours et tu seras sur pied en un rien de temps ! -Merci madame Greenwood- -Oh appelle-moi Lucy, la coupa-t-elle encore." Les deux femmes sursautĂšrent en entendant des cris au rez-de-chaussĂ©e. "Reste lĂ ." Lucy sortit prĂ©cipitamment de la chambre.
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christophe76460 · 14 hours ago
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À l'automne 1533, Calvin adopte les nouvelles idĂ©es de la RĂ©forme protestante. Il rapporte cette conversion Ă  deux reprises, de façon diffĂ©rente. Dans son premier rĂ©cit, qui figure dans ses Commentaires sur le livre des Psaumes, il dĂ©crit sa conversion comme un changement soudain, provoquĂ© par Dieu :
« Dieu par une conversion subite dompta et rangea Ă  docilitĂ© mon cƓur, qui, eu Ă©gard Ă  l'Ăąge, Ă©tait par trop endurci en telles choses. Ayant donc reçu quelque goĂ»t et connaissance de la vraie piĂ©tĂ©, je fus immĂ©diatement enflammĂ© d'un si grand dĂ©sir de profiter, qu'encore que je ne quittais pas entiĂšrement les autres Ă©tudes, je m'y employai toutefois plus lĂąchement. »
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