#randonnée à cheval
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Randonnée équestre à la découverte de la Cappadoce en Turquie
Découvrez la Cappadoce en participant à une randonnée à cheval d’une semaine. Les cheminées de fées et les premières maisons troglodytes des premiers chrétiens, nature, paysages spectaculaires, dépaysement, traditions, histoire sont au rendez-vous pendant ce voyage magnifique en Turquie. Partez à l’aventure en Cappadoce, au cœur de l’histoire anatolienne.
Le pays des beaux chevaux “Katpatuka” offre une diversité et un choix de randonnée à cheval uniques ! A l’écart du tourisme de masse, en dehors des sentiers battus, la randonnée à cheval est une façon incroyablement agréable et insolite pour découvrir la Cappadoce.
Vous visiterez des villes souterraines, des églises troglodytes, des vallées de cheminées de fées, vivrez des moments d’exceptions uniques. Vous passerez par des paysages divers de la région à couper le souffle, vous ressentirez la sérénité et la liberté. Vous passerez par des villages typiques et authentiques loin du monde. La randonnée à cheval en Cappadoce réveillera tous vos sens.
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Partir en randonnée à cheval à l'étranger : conseils et astuces pour une expérience inoubliable
Envie de découvrir le monde à cheval ? Cet article vous guide pour partir en randonnée à cheval à l'étranger, avec des conseils pratiques, des options économiques comme le woofing, et des astuces pour organiser votre voyage équestre dans des destinations
On a beaucoup de chance d’habiter en France. Les possibilités de randonnée sontimmenses et les paysages variés. Mais parfois, il y a cet appel de l’étranger, un peu commecet appel du grand large, qui nous pousse à chercher dans un autre pays une randonnée àcheval ! Plusieurs raisons à ça : l’envie de découvrir de nouveaux paysages (forêts exotiques, déserts, grandesétendues à perte de vue) le…
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Writevember Jour 7 : Centaures (1032 mots)
Oui je suis en retard, mais ma voiture a eu un problème donc j'ai d'autres priorités pour l'instant. Je vais essayer de me rattraper :(
La première fois qu’elles se sont rencontrées, c’était un beau matin de printemps, où la rosée perlait sur les brins d’herbe, où la fraîcheur rendait timide les premiers boutons de pâquerettes, et où le soleil jouait à cache-cacher derrière des nuages aux allures de moutons blancs.
Carole était sortie faire le tour de sa pâture, longeant la palissade de bois pour observer les chemin alentours et respirer l’arôme des quelques jacinthes qui étaient sorties de terre en bordure du sentier.
Elle avait gardé un pull à manche longue pour cette sortie, mais elle espérait que la chaleur monterait suffisamment dans l’après-midi pour lui permettre de s’allonger dehors en petite tenue afin d’apprécier la tiédeur des rayons du soleil caressant sa peau nue.
Tout occupée à s’imaginer profiter de cet instant de répit et d’un bon virgin mojito - pas encore tout à fait de saison, il est vrai, mais elle se sentait d’humeur indulgente - elle n’avait pas immédiatement remarqué le remue-ménage à l’autre bout de la pâture.
“Clac ! Clac !”
Et puis le bruit des sabots claquant sur la pierre lui était finalement parvenu.
Curieuse, elle s’était dirigée vers l’endroit d’où venait ce bruit inhabituel - son refuge personnel étant assez excentré, et en bordure de forêt, ce n’était pas le chemin de balade le plus privilégié par les autres équidés. Seuls quelques centaures amateurs de randonnée aimaient venir se cabosser les fers sur ces sentiers rocailleux et mal entretenus.
Et en rejoignant justement l’endroit où le chemin commençait à s’enfoncer dans l’orée des bois, elle s’était rendue compte qu’en effet, ce n’était pas un équidé qui battait le pavé.
Mais un cervidé.
Le bruit venait d’un ou une jeune centaure-cerf androgyne, au visage ovale et aux grands yeux de biches, qui s’amusait à sauter au-dessus de la clôture en bois - un peu plus basse à cet endroit-là.
Une fois qu’iel s’était rendu compte qu’iel était observé, l’inconnu s’était aussitôt tourné vers elle et l’avait saluée avec un grand sourire.
“Bonjour ! Je m’appelle Liam. C’est très joli, par ici !”
“Bonjour, moi c’est Carole… Qu’est-ce que tu fais ?” avait-elle demandé, cherchant à comprendre à quoi rimait son petit jeu de saut.
“Oh, je cherche à savoir jusqu'à quelle hauteur je peux sauter sans élan. Ici c’est assez bas, donc c’est bien plus facile de ne pas se prendre les pattes dans la palissade ; regarde !”
Et iel avait immédiatement fait un bond impressionnant, dépassant le haut de la clôture en bois de plus d’un mètre, avant d'atterrir gracieusement de l’autre côté. Carole n’avait pu retenir un sifflement admiratif ; lorsqu’elle essayait de s’entraîner au saut, elle, il lui fallait plusieurs mètres pour s’élancer, et ses sabots auraient très probablement effleurés le bois à cette hauteur.
Liam avait paru surpris.
“Ce n’est rien de très impressionnant ; les autres cerfs de ma harde peuvent faire bien mieux !”
“Eh bien moi je trouve ça impressionnant, parce que je ne serais clairement pas capable de le faire. Tu es très fort… Très forte ?” avait hésité Carole.
“Oh, tu peux dire les deux, je m’en fiche,” Liam avait répondu en haussant les épaules. “Tu vis ici, du coup ?”
“D’accord. Et oui, j’ai ma famille qui passe de temps en temps, mais sinon je vis seule. C’est calme, et je trouve ça agréable. Je ne suis pas fan de l’odeur et du bruit qu’il y a en ville…”
“C’est marrant, je pensais que ça dérangeait moins les poneys tout cela… Mais tu as le même discours que certaines biches !” avait gloussé Liam.
“Je ne suis pas un poney, je suis un cheval de petite taille,” avait rétorqué Carole. “Il y a une différence.”
“Vraiment ?”
“...Mais comme je suis magnanime, je ne t’en tiendrais pas rigueur.”
Liam avait penché la tête, de toute évidence confuse.
“Et toi, ta… harde habite par ici ?” avait enchaîné Carole - peu encline à s’expliquer sur la différence entre chevaux et poney. Sa taille était un point sensible pour elle.
“En ce moment, oui. Je pense qu’on va rester jusqu’à la fin de l’été, le coin a l’air idéal. En automne les cerfs ont tendance à se séparer du groupe et couvrir de plus grandes distances en forêt, mais les jeunes et les biches font un peu ce qu’ils veulent, et je n’ai pas encore décidé ce que je voulais faire. Et en hiver, on repart vers le sud, où il fait moins froid.”
“Ce n’est pas embêtant, de devoir déménager à chaque hiver et revenir à chaque printemps ?”
“On s’y fait. J’ai toujours vécu comme ça, donc je ne sais pas trop comment ça peut se comparer au fait de rester quelque part toute l’année,” avait avoué Liam. “J’ai l’habitude de rencontrer plein de gens, et de ne pas les revoir ensuite.”
Le centaure-cerf lui avait paru triste en disant cela - pour autant qu’elle était habituée à cette vie, il semblait à Carole que Liam n’était pas particulièrement heureuse. D’ailleurs, que faisait-elle ainsi, seule près des champs et pâtures, loin de sa harde qui devait se trouver au cœur de la forêt ?
La mère de Carole lui avait toujours dit de tendre la main à son prochain s’il avait besoin d’aide, et elle avait le sentiment que ce dont Liam avait besoin à cet instant précis était une amie. Et c’était un besoin qu’elle serait heureuse de remplir - pour autant que le calme de la campagne lui plaise, il lui arrivait aussi de ressentir l’isolation due à sa situation géographique.
“Hmm… Ça à l’air un peu solitaire, comme existence. En tout cas, moi je serais encore là l’année prochaine, donc si jamais tu reviens par ici, tu pourras venir me voir,” avait déclaré Carole.
“Vraiment ? Dans ce cas, je ferais mieux de rester aussi longtemps que possible !”
“Tu ferais mieux, oui. En attendant, que dirais-tu de venir te balader avec moi ? Je connais un endroit avec des buissons, et même un tronc d’arbre tombé. Plutôt que de continuer à sauter au-dessus de cette bête clôture,” avait proposé Carole.
“Ooooooh ! Je te suis !” avait répondu Liam sans hésiter, sautillant sur place deux ou trois fois avant d'atterrir à nouveau à côté de Carole - le résultat d’un bond tout aussi impressionnant que le premier.
Et Carole et Liam étaient ainsi devenues inséparables.
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Randonnée à cheval
Suite à ce déjeuner, avec ces même amis, nous allions faire une balade à cheval pour digérer et pour admirer les beaux paysages des forêts. Les oiseaux qui chantaient dans la forêt était très agréable à entendre. Après 2h de balades nous rentrions chez nous pour nous préparé au rallie qui nous attendait.
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7 lieux insolites à visiter en France cet été
Le Covid 19 a eu beaucoup d’impact sur notre quotidien… Et bientôt nos vacances d’été? En effet, de nombreux pays, notamment l’Espagne présagent de fermer leurs frontières jusqu’à septembre… Laissant de nombreux vacanciers sans réelles destinations. Pas de panique! Nous vous avons concocté une sélection de sept lieux insolites à visiter en France cet été.a Situé dans à Rustrel dans le Luberon et surnommé “le Colorado Provençal”, ces roches aux couleurs naturellement ocres ont en effet un air des paysages de l’Arizona aux Etats-Unis. Créé il y a environs 100 millions d’années, de nombreux sentiers aménagés sont désormais accessibles au public. Les prix oscillent entre 2,50 euros en tarif plein et 1,50 euros pour les groupes. Le palais idéal du Facteur Cheval Le petit village de Hauterives, situé dans la Drôme pourrait presque paraître banal. En apparence seulement. Si l’on s’aventure à proximité de la place de la Mairie, vous tomberez alors nez à nez avec ce fabuleux monument fait entièrement de pierres, ayant de fausses allures de temple abandonné. Dès 1879, le facteur Ferdinand Cheval commence ce chantier titanesque qui durera 33 ans. En temps normal, ce palais féerique ouvre ses portes tous les jours (dimanches et jours fériés inclus) de 9h30 à 19h en période d’été. Les cascades de Tuf Non vous ne rêvez pas, vous êtes bien en France, plus précisément au coeur du Jura. Alimenté par la source de la Cuisance ces multiples cascades offrent un paysage à couper le souffle. Le nom “tuf” désigne la roche calcaire d’origine sédimentaire dont elles sont composées. De plus, elles sont facilement accessibles en toutes saisons par des chemins de randonnée. La Demeure du Chaos Bien moins idyllique que les paysages et monuments précédents. La Demeure du Chaos, n’en reste pas moins un des lieux les plus insolites à visiter en France. Située à Saint-Romain-Au-Mont-d’Or, dans la métropole de Lyon, cet endroit aux allures post-apocalyptique a d’abord été un simple relai de poste. Mais en 1999, son actuel propriétaire, Thierry Ehrmann décide de la transformer de fond en comble. Ouvert tous les week-ends et jour fériés, l’entrée est gratuite. À lire également : Canyoning en famille : conseils Le jardin de Giverny Moins insolite mais simplement féerique, le jardin de Giverny reste un véritable coin de paradis à visiter au moins une fois dans sa vie. Il appartenait à l’artiste Claude Monet qui a réalisé dans ce même endroit une grande partie de ses chefs d'oeuvres dont les Nymphéas ainsi que le Jardin de l’artiste à Giverny. N’hésitez pas à faire un petit détour par le Musée des Impressionistes. En temps normal, le musée ouvre tous les jours et les tarifs varient entre 7,50 euros pour un adulte, 5 euros pour un enfant de 12 à 17 ans et les étudiants et 3,50 euros pour ceux de 7 à 11 ans. La Maison Picassiette Entièrement recouverte de mosaïques et de faïence, cette maison ne passe pas inaperçue dans la ville de Chartres dans l’Eure-et-Loire ce qui en fait l’un des lieux les plus insolites de France. Elle fut construite par Raymond Isidore, un employé communal de la ville qui consacra sa vie entière à sa construction. Aujourd’hui, cette véritable oeuvre d’art, dont les fresques représentent des vues du Mont Saint Michel, est classé Monument Historique. En temps normal, cette mosaïque géante ouvre tous les jours sauf les mardis pour 6 euros en tarif plein. Les rochers sculptés de l’Abbé Fouré Si vous vous promenez le long des côtes de l’Ille-Et-Vilaine, vous apercevrez peut être avec étonnement ces figures sculptés dans la roche. Ces 300 visages auraient été réalisés de fin 1894 à 1907 par l’abbé Adolphe Julien Foueré. L’Association “Les Amis de l’Oeuvre de l’Abbé Fouré” propose régulièrement des visites d’environs 1h30 à 5 euros plein tarif et gratuit pour les moins de 12 ans. Le patrimoine français regorge de lieux plus insolites les uns que les autres. Ainsi, il vous sera impossible de vous ennuyer cet été. Alors, quel lieu rêveriez-vous de visiter? Read the full article
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30e édition des Journées des Chemins
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
Du 2 au 17 mars, la 30e édition de l’évènement Les Journées des Chemins sera lancée par le CODEVER : Collectif des loisirs verts qui œuvre depuis 1994 à la sauvegarde des chemins ruraux indispensables à la pratique des sports de nature (randonnée pédestre, nordique, VTT, à cheval, à deux ou quatre roues motorisées...) et à la bonne entente entre les différents usagers.
Journées des Chemins 2024 - Soyons Acteur.rice.s de la Nature, l’Ufolep réitère son soutien !
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12 septembre:
Réveil après une nuit passée dans la voiture sur un parking près du port. Il pleuviote et donc on fait surtout des visites de villages pêcheurs: Å, Reine, Nusfjord. Tous ont leurs maisons en rouge sur pilotis le long d'un fjord et au pied de la montagne. On reconnaît d'ailleurs la couverture du lonely planet et du routard. Vers la fin d'après-midi la pluie s'arrête et le ciel gris dégage les sommets; on en profite donc pour faire une mini rando vers Yttersand. On prend alors conscience de la beauté de la région, malgré les nuages qui nous oblige à utiliser notre imagination pour combler les "trous".
Enfin, nous dormons dans la voiture à cause de la pluie. La météo n'aillant pas finis de gâcher la journée, on apprend que des irruptions solaires rendent idéales l'observation d'aurores boréales, A CONDITION d'avoir un ciel clair !
On ne perd pas espoir et c'est avec grande surprise que vers 21h00 (début de la nuit) le ciel s'éclaircit brièvement et localement en vert et on aperçoit notre toute 1ère aurore !!! Petite, mais c'est suffisant pour nous rendre heureux comme un enfant de 4 ans qui obtient enfin sa barbe à papa. Photos, dodo, puis vers 03:00, c'est le plat principal qui est servi après cette 1ère entrée: du vert qui traverse tout le ciel. L'enfant de 4 ans a un diabète.
Bilan: 5km, 300m d+
13 septembre:
Les étoiles toujours dans les yeux, on commence la journée par une randonnée aux sommets Ryten et Middagstinden. A partir de maintenant j'utiliserai le terme "lofotesque" pour décrire un point de vue panoramique sur des montagnes abruptes qui chutent dans la mer et/ou fjord en formant quelques plages de sable fin, des eaux turquoises, des cabanes de pêcheurs se fondant dans le décors, des nuages "régisseur lumière", des lacs miroirs pour ces sommets orgueilleux, des anges, saint Pierre, Zeus, bref, parmis les plus paysages que j'ai eu la chance de voir.
On redescend puis 2e randonnée où on bivouac près du refuge Munkebu. Sur le chemin on subit une tempête de grêle qui nous rappelle que les Lofoten ça se mérite. On se couchera à 19h30 sous une grêle qui vient et qui repart empêchant toute activité hors tente.
Bilan: 15km, 1400m d+
14 septembre :
Belle météo (enfin). On monte au sommet Munken nordtopp: Lofotesque. On renoncera au sommet Hermannsdalstinden qui apparemment n'est que rarement dégagé. On redescend donc et on fait une ballade sur la côte depuis Eggum. Au pied d'une belle falaise, on s'attendait à mieux; mais c'est relaxant de ne pas faire du dénivelé positif.
On finis la journée en grimpant le Festvågtind et y pose la tente au sommet: Lofotesque. On finit le Clément devant le coucher de soleil sur les montagnes du continent séparées par la mer.
La nuit le ciel est complètement dégagée et on assiste à un festival d'aurores boréales.
Bilan: 12km, 1000m d+
15 septembre :
Au réveil le spectacle se situe à 180° de la veille: lever de soleil sur encore (mais on ne s'en lasse pas) d'autres montagne. On visite la ville de Henningsvær à cheval sur 3 petites îles et juste au pied du sommet d'où nous descendons. Vue qu'il fait beau et que le soleil ça se respecte ici, on fait une randonnée en montant au Blatinden. C'est encore une fois lofotesque avec des panoramas qui se ressemblent certes, mais si on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve, on n'admire jamais deux fois les mêmes montagnes non plus.
On finit la journée sur une double plage reliant une presqu'île. Avec le soleil c'est "plouf", puis avec le froid c'est "dodo".
Bilan: 2km, 600m d+
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Haute-Savoie : un touriste néerlandais meurt lors d'une randonnée dans le massif au Haut-Giffre.
See on Scoop.it - JamesO
Sport : un randonneur de 28 ans est mort le lundi 24/07/23 dans le massif du Haut-Giffre, sur la commune de Sixt-Fer-à-Cheval, en Haute-Savoie. Ce touriste néerlandais était avec sa compagne quand ils ont été heurtés par des pierres après un éboulis dû aux fortes pluies.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse publié par France Bleu Pays de Savoie le mardi 25/07/23.
🏃♀️ Du 1er au dernier jour de l’année 🏄♀️
🏃 Du lundi au dimanche 🏄
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Le sport, le bien-être et les voyages.
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VIVRE AU RIVE NORD
Les banlieues montréalaises situées au nord sont collectivement appelées la Rive-Nord. Par opposition à l’île de Montréal et à l’île Jésus, la Rive-Nord se trouve dans le sud-ouest du Québec, aux limites nord de la rivière des Prairies et de la rivière des Mille Îles.
L’Équipe Filteau estime que faire de la Rive-Nord votre nouvelle résidence est une excellente idée. Poursuivez votre lecture pour en savoir plus sur cette magnifique région, située juste au nord du Québec.
La Rive-Nord du Québec est divisée en deux régions touristiques : Duplessis et Manicouagan.
Duplessis: La région de Duplessis est réputée pour l’étendue de sa nature sauvage et de ses activités de plein air. La région abrite la forêt boréale, des plages et des îles, ce qui permet de pratiquer une multitude d’activités de plein air telles que le kitesurf, la randonnée et l’exploration des ressources naturelles et de la biodiversité abondante de la région.
C’est un endroit apprécié pour la pêche et la chasse et bien connu pour ses pistes de snowkite et de motoneige pendant l’hiver. Duplessis offre un large spectre démographique, comprenant d’anciens villages de pêcheurs, des villes modernes et dynamiques, des établissements autochtones ainsi que quelques zones anglophones.
Manicouagan: Le fjord pittoresque du Saguenay est encadré de falaises sur la rive de la région de Manicouagan, qui surplombe le grand fleuve Saint-Laurent. La région est connue pour sa faune abondante. 175 espèces d’oiseaux fréquentent les marais salés, les passes à saumon et les baleines nagent dans les rivières. Manicouagan compte également de nombreux lacs profonds, une immense forêt boréale et des rivières en ébullition pour les aventuriers de plein air.
Ce cadre magnifique a donné naissance à un empire hydroélectrique régi par le barrage Daniel-Johnson, le plus grand barrage à voûtes multiples du monde. Ce site s’étend sur une grande partie de la nature sauvage et est idéal pour la randonnée, le camping, la plongée sous-marine, le kayak de mer, la chasse, la pêche et la motoneige.
Rive-Nord : Activités et loisirs de plein air
Sports et activités d’hiver : La région est une destination reconnue pour les amateurs de kitesurf et de snowkite. En hiver, c’est un paradis pour les motoneigistes car elle comprend un réseau de pistes de plus de 2 000 km, dont la « route blanche » le long de la côte et dans l’arrière-pays.
Les autres activités hivernales comprennent le ski alpin, le snowboard, le ski de fond, les raquettes, l’escalade de glace, la pêche sur glace et le traîneau à chiens. Les autres saisons offrent également un large éventail de promenades et d’excursions en voiture, en autocar, à vélo ou en bateau, comme la route des baleines ou la route panoramique de Chicoutai, pour découvrir les beautés et la variété des paysages régionaux.
Sentiers de randonnée : Plusieurs circuits de randonnée pédestre font partie de la Manicouagan, dont celui de la Pointe Saint-Gilles à Baie-Comeau, qui comporte des sculptures et des panneaux explicatifs placés le long de son parcours. Il est également possible de se déplacer à vélo ou à cheval. Les Monts Groulx constituent une destination de choix pour la randonnée pédestre et la nature sauvage.
Cuisine et gastronomie locale : Les fruits de mer, tels que les coquilles Saint-Jacques et le poisson, le gibier, les baies sauvages transformées à la main en sirops et en confitures, ne sont que quelques-unes des spécialités culinaires de la côte nord. De nombreux restaurants proposent une variété de ces produits et on en trouve dans toutes les villes.
Bien entendu, la région compte de nombreux marchés aux poissons qui vendent des fruits de mer frais. La visite d’une plantation d’érables est une autre activité gastronomique intrigante.
Observation des baleines : Le long des côtes de la Rive-Nord, les mammifères marins sont fréquemment aperçus. De la mi-mai à la fin octobre, les baleines sont visibles dans les flots locaux.
Le site d’observation des baleines le plus impressionnant au monde est accessible à partir de Tadoussac, qui est situé au point de rencontre du fleuve Saint-Laurent et du spectaculaire fjord du Saguenay.
Conclusion
Les habitants de la Rive-Nord ont déclaré que le fait de s’installer dans la région avait considérablement amélioré leur propre qualité de vie ainsi que celle de leurs enfants.
Les taxes scolaires et les impôts locaux sont souvent moins élevés, ce qui est très avantageux. En outre, il est possible d’acheter une maison dotée d’équipements pratiques.
Contactez l’Équipe Filteau dès aujourd’hui pour en savoir plus sur l’immobilier sur la Rive-Nord.
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5 Raisons de choisir Porto-Vecchio nuits insolites
Porto-Vecchio nuits insolites, Vous cherchez une escapade originale et dépaysante en Corse ? Pourquoi ne pas opter pour une nuit insolite à bord d'un voilier privatisé dans le Golfe de Porto Vecchio ? Cette région de la côte sud-est de l'île offre un cadre exceptionnel pour vivre une expérience inoubliable en mer. Dans cet article, nous vous présentons les raisons qui nous ont poussés à choisir le Golfe de Porto Vecchio pour notre activité de nuit insolite sur un voilier. 1. Les avantages de l'emplacement. 2. Les commodités à proximité. 3. Les activités à proximité. 4. La sécurité. 5. Conclusion. Que vous soyez passionné de nature ou simplement à la recherche d'une expérience unique. Vous devriez être conquis par les charmes de cette région maritime de la Corse
1. Les avantages de l'emplacement.
Le Golfe de Porto Vecchio est un endroit bien abrité pour les bateaux. Les eaux y sont relativement calmes et protégées des vents dominants. Ce qui en fait un lieu sûr pour vos nuits insolites. De plus, le golfe dispose d’un port aménagé, offrant la possibilité d'accostage, ainsi qu'un service d'assistance aux plaisanciers. Le golfe est également bien protégé des courants marins, si bien que l’utilisation du Canoë Kayak est plus facile et plus agréable. . Les eaux peu profondes dans certaines zones de la baie offrent également un cadre idéal pour la baignade et la plongée en apnée. (Bebedettu, Cala Rossa, etc..) En somme, le Golfe de Porto Vecchio est un endroit idéal pour profiter de la mer en toute sécurité, une destination privilégiée pour se détendre et profiter de la beauté de la nature.
2. Les commodités à proximité
Le Golfe de Porto Vecchio dispose d'un certain nombre de commodités à proximité pour nos voyageurs. (5 minutes du point d’embarquement) Tout d'abord, Porto Vecchio offre des installations telles que des parkings, des douches et des laveries, à la capitainerie du port. En outre, la région, en été, est desservie par les transports en commun, avec des lignes de bus régulières reliant Porto Vecchio aux villes voisines telles que Bonifacio, ainsi qu'aux plages. En ce qui concerne les commodités alimentaires, il y a plusieurs épiceries et supermarchés à proximité du port, offrant ainsi un accès facile aux produits alimentaires.
3. Les activités à proximité.
Lors de votre séjour dans notre logement insolite unique, vous pourrez profiter de nombreuses activités à proximité et rendre votre expérience encore plus inoubliable. Tout d'abord, pour les amateurs de gastronomie : Vous trouverez des restaurants locaux proposant une cuisine savoureuse et authentique, avec des produits frais et locaux. Vous pourrez déguster des spécialités régionales tout en profitant d'une vue imprenable sur le port de Porto Vecchio. Si vous êtes plutôt du genre à prendre un verre entre amis : Vous pourrez vous rendre dans un bar à proximité pour déguster un cocktail ou une bière artisanale tout en échangeant avec les habitants locaux et les autres voyageurs. Pour les amoureux de la mer, de nombreuses activités nautiques : Location de bateaux, Promenade en mer, Plongée, Jet ski etc. à quelques encablures de point d’embarquement. Enfin, pour ceux qui préfèrent la montagne : Vous pourrez partir en randonnée ou en balade à cheval pour découvrir les paysages époustouflants de la région.
4. La sécurité
Le fait de mouiller sur votre voilier privatisé, peut être une excellente façon de vivre une expérience unique et authentique de dormir en mer. Nous avons pris toutes les précautions nécessaires pour assurer votre sécurité. Le voilier est équipé de toutes les mesures de sécurité, comme des gilets de sauvetage, des extincteurs d'incendie, des fusées éclairantes, etc. Pour encore plus de sécurité, nous restons également sur notre voilier à proximité durant toute la durée de votre séjour à bord. Commentaire voyageur : "C'est une excellente nouvelle de savoir que vous êtes sur votre propre voilier pour renforcer la sécurité lors de notre nuit insolite en mer. Le fait d'avoir votre propre voilier signifie que vous êtes responsable de votre propre sécurité et que vous connaissez bien les conditions de mouillage. Cela peut nous aider à mieux gérer les situations d'urgence et à prendre des décisions rapides en cas de besoin."
5. Conclusion.
Trouver un mouillage pour une activité comme "Dormir en mer sur un voilier privatisé" est très difficile car il faut respecter un certain nombre de critères. La sécurité et le confort du bateau doivent être garantis, et le lieu doit offrir des panoramas spectaculaires. C'est pour cette raison que nous avons choisi le golf de Porto-Vecchio. Le cadre est magnifique entouré de montagnes protectrices.. De plus, le golfe offre un accès facile à des sites attractifs et à des activités variées. En conclusion, passer une nuit insolite sur un voilier privatisé est une expérience unique et mémorable que vous ne voudrez pas manquer. Cette expérience offre une combinaison de beauté naturelle, d’aventure et d'immersion dans la vie à bord. En somme, que vous soyez à la recherche d'une escapade romantique, d'une expérience en famille ou d'une aventure en solo. Passer une nuit insolite sur un voilier privatisé est une expérience inoubliable qui vous laissera des souvenirs à vie. Réservez dès maintenant pour vivre une expérience unique et mémorable en mer.
Vous désirez plus d'information ? N'hésitez pas à nous contactez !
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Randonnée équestre : nos conseils pour une balade à cheval réussie
Randonnée équestre : nos conseils pour une balade à cheval réussie
Pour les passionnés de nature et d’équitation, l’équitation est une autre façon de découvrir nos régions, mais aussi d’autres pays sur d’autres continents. Et ce malgré un niveau débutant.Presque tous les pays du monde peuvent être explorés à cheval. Des steppes de Mongolie, à la pampa argentine, du Sahara à la savane africaine, sans oublier l’Europe, et bien sûr, la France. Pour monter à cheval,…
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Geoffrey Bire au Kirghizistan
#geoffrey bire#les others#kirghizistan#kyrgystan#horseback riding#horseriding#randonnée#randonnée à cheval#moutains#mountain#montagne#nature#outdoors#outdoor#plein air#horse#horses
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La dame noire
M’étant levé plus tardivement que prévu, j’avais hésité à prendre mon sac à dos et partir sur des chemins de randonnée. Seulement, le temps était si clément, le soleil si brillant et le climat si chaud que je ne pus résister et sortis en direction de ce que j’aime le plus : la forêt. Après l’achat d’un délicieux pan bagnat dans une boulangerie, j’empruntai des petits chemins afin de traverser la ville puis, après une pause déjeuner, je vis le paysage boisé au loin appeler mon plaisir à continuer de marcher. C’est drôle, mais j’avais beau faire et refaire cette même randonnée, chaque fois, je découvrais quelque chose de différent. C’était un champ de tournesol remplacé par un champ de blé. C’était un cheval blanc seul dans une pâture, accompagné l’année suivante par un second cheval à la robe marron. C’était parfois un nouveau chemin façonné par quelques VTT intrépides. C’était souvent, des feuilles orange sur le sol ou vertes dans les arbres en fonction de la saison.
Je marchai sans forcer le pas, j’avais sorti les lunettes de soleil tellement ce dernier illuminait le ciel jusqu’aux premiers arbres qui apportèrent en même temps l’ombre et la fraicheur. Dès lors, je profitai en empiffrant mes poumons de cet air riche en chlorophylle et de senteurs de bois ainsi que de fleurs sauvages. J’appréciai le sol dur bien que mes chaussures fussent de bonnes qualités. Cependant, il est toujours plus agréable d’éviter des chemins boueux ou détruits par des camions venus récupérer les troncs coupés quelques jours auparavant. C’est mon plus grand regret que cette forêt soit une forêt d’exploitation. Qui sait ? Peut-être qu’un jour les bucherons découvriront enfin sa vraie richesse, la féerie que seuls les enfants ou les amoureux de la nature peuvent voir.
Bref, ma ballade était bien entamée lorsque j’aperçus une silhouette noire entre les arbres. Sa forme désignait clairement une femme aux cheveux noirs enlacée d’un long manteau de la même couleur. Elle ne bougeait pas, gardant les mains dans les poches. Elle semblait avoir la tête baissée. Rien en elle ne sembla dangereux, pourtant, je ressentis un frisson envahir mes épaules à l’idée de la croiser. Alors, sans tarder, j’accélérai le pas afin de m’éloigner le plus vite de cette personne à l’apparence étrange. Je savais où je comptais passer et continuais de marcher afin d’atteindre un carrefour. Ne vous trompez pas, dans une forêt, un carrefour est un simple emplacement avec un poteau de bois peint en blanc et sur lequel on peut lire les directions à prendre. S’il n’y a pas de panneau, ce n’est qu’un vulgaire croisement. J’avançai donc, m’enfonçant vers le cœur de la forêt, et décidai de bifurquer en arrivant au fameux carrefour lorsque je vis encore cette silhouette entre deux arbres. Je fus saisi d’effroi car elle était à côté du chemin choisi. Elle semblait savoir que j’avais décidé de passer par là. Alors, laissant mon inquiétude s’exprimer, je changeai de direction pour une route moins agréable mais subitement devenue plus rassurante.
Toutefois, après réflexion, je devinai une illusion derrière cette personne. Si elle voulait faire le mal, elle l’aurait déjà fait. Dès lors, après quelques pas, je me retournai et constatant qu’elle était toujours dressée entre deux arbres, je pris l’initiative d’aller à sa rencontre. De toute façon, il ne pouvait s’agir que d’un fantôme et dans ce cas, je ne craignais rien de la part d’un spectre. J’avançai donc vers cette chose qui curieusement, gardait la même stature. Pourtant, elle s’éloignait de moi conservant une distante identique à celle du moment où je la vis pour la première fois. Je marchai fixant la silhouette. De temps en temps, je l’appelai dans le but de la faire réagir. J’étais à la fois intrigué et effrayé de connaitre cette personne qui cachait son visage sous ses cheveux. J’imaginai qu’elle était belle, un visage d’ange. Mais cette idée partit immédiatement, laissant place dans ma tête à l’image d’un visage déformé, mutilé par une énorme cicatrice partant d’une oreille à l’autre. Ses yeux doux, son regard de biche laissa place à une vision terrible de deux orbites noires et vides. Néanmoins, je persistai à vouloir savoir ce que c’était parce que j’en étais certain, la silhouette ne pouvait pas être humaine !
Focalisé sur cette dame noire, je quittai le chemin, m’engouffrant entre les arbres et les fougères. Je n’aperçus pas que petit à petit, le climat se détériorait. Il devint plus froid, le soleil qui était déjà en parti caché par les branches, avait laissé place à un brouillard de plus en plus dense. Je réagis uniquement quand mes bras nus frissonnèrent frappés par un vent devenu soudainement glacial. Pourtant, je continuai à aller vers ce fantôme qui ne changeait jamais d’apparence, continuant à glisser sur un tapis de feuilles et d’aiguilles de pin puis sur de la neige.
Partout autour de nous, la neige s’étalait à perte de vue. Elle se confondait avec le ciel d’un blanc éblouissant. Seule cette femme restait noire entre des arbres de plus en plus translucides. Je marchai, toujours décidé à la rejoindre ou au moins à l’approcher et comprendre ce à quoi ressemblait un spectre. Mais jamais je ne réussis mon but. Elle est étrange cette sensation de savoir qu’on n’y arrivera pas mais qu’on essaye quand même. Je pense que dès le début, je savais qu’il était impossible de l’atteindre. Bien qu’elle fasse peur, j’avais une attirance si forte que je devais tenter l’expérience. Alors, je continuai de marcher vers elle sans jamais l’atteindre. Puis, fatigué, lassé, j’arrêtai pour me reposer un peu. C’est à ce moment que je pris vraiment peur.
Il n’y avait plus de forêt, plus de paysage. Il n’y avait plus rien, que du blanc et moi et elle. Je ne savais pas où trouver de chemin, je ne retrouvai rien de ce que je connaissais. J’étais dans une page blanche à marcher perpétuellement tel un hamster dans sa cage tandis qu’elle continuait de reculer en gardant la même posture. Elle n’a jamais levé la tête, elle n’a jamais sorti les mains des poches de son manteau. Elle n’a jamais bougé une jambe ni levé un pied. Et elle a toujours gardé la même distance entre nous. Comprenant mon erreur et sentant l’angoisse monter, je tournai les talons et essayai de quitter ce monde stérile de couleur. Il n’y avait rien dans ce monde. Mes bras n’avaient plus froid, bien que leurs poils frissonnassent. Je ne ressentis plus de vent ni de brise même légère. De temps en temps, je tournai la tête pour voir si la silhouette me suivait et chaque fois, elle n’était plus derrière mais devant moi. En effet, elle attendait toujours à bonne distance comme si elle guidait mes choix. Le stress, la peur, l’angoisse m’envahit de plus en plus. Je marchai plus vite, je sentis mes jambes trembler prêts à défaillir ; il y avait aussi cette peur que ce blanc disparaisse à son tour. Car après, il y aurait quoi ? Et ça, je ne voulais pas le savoir !
Alors, je marchai encore et encore, m’enfonçant ou m’approchant dans ce blanc qui me rendait fou. Cette ombre et moi étions devenus des points noirs sur une feuille. Je sentis l’envie de courir, pour où, vers quoi ? Je sentis les larmes jaillir de ne pouvoir quitter cette prison de terreur. Je ne savais plus quoi faire, persuadé de tourner en rond lorsque j’entendis un chant, celui d’un oiseau qui vola au-dessus de ma tête. Dieu que c’est bon, dans ces moments d’horreur d’entendre quelque chose de connu et d’apaisant ! A ce moment, je profitai de ce petit sifflement pour me diriger et retrouver la neige puis quelques traces de pas et le chemin entre les arbres que j’avais fait pour suivre cette chimère. En regardant derrière moi, je pus voir une dernière fois son aspect qui m’horrifiait en même temps que de m’intriguer. Soudain, comme par magie, la neige disparut, la nature reprit ses droits, le soleil réapparut entre les arbres, je profitai d’entendre des bruits furtifs d’animaux pour me remettre de mes émotions et décidai de rentrer. Pendant le trajet du retour, je me demandai quelle fut la raison de cette dame noire à vouloir à toute fin m’attirer dans ce monde blanc dénué de repères. Etait-ce un spectre, une chimère, un simple succube, un vampire ou une sorte de mort-vivant ? Jamais, je ne le saurais ! Enfin je crois car hier, en allant au travail, je remarquai sa présence dans le parc que je longe habituellement. Elle restait dressée au milieu de quelques arbres, les mains dans les poches, la tête baissée et son visage caché par une longue chevelure noire. J’avais l’impression qu’elle m’attendait.
Alex@r60 – avril 2020
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7 lieux insolites à visiter en France cet été
Le Covid 19 a eu beaucoup d’impact sur notre quotidien… Et bientôt nos vacances d’été? En effet, de nombreux pays, notamment l’Espagne présagent de fermer leurs frontières jusqu’à septembre… Laissant de nombreux vacanciers sans réelles destinations. Pas de panique! Nous vous avons concocté une sélection de sept lieux insolites à visiter en France cet été.a Situé dans à Rustrel dans le Luberon et surnommé “le Colorado Provençal”, ces roches aux couleurs naturellement ocres ont en effet un air des paysages de l’Arizona aux Etats-Unis. Créé il y a environs 100 millions d’années, de nombreux sentiers aménagés sont désormais accessibles au public. Les prix oscillent entre 2,50 euros en tarif plein et 1,50 euros pour les groupes. Le palais idéal du Facteur Cheval Le petit village de Hauterives, situé dans la Drôme pourrait presque paraître banal. En apparence seulement. Si l’on s’aventure à proximité de la place de la Mairie, vous tomberez alors nez à nez avec ce fabuleux monument fait entièrement de pierres, ayant de fausses allures de temple abandonné. Dès 1879, le facteur Ferdinand Cheval commence ce chantier titanesque qui durera 33 ans. En temps normal, ce palais féerique ouvre ses portes tous les jours (dimanches et jours fériés inclus) de 9h30 à 19h en période d’été. Les cascades de Tuf Non vous ne rêvez pas, vous êtes bien en France, plus précisément au coeur du Jura. Alimenté par la source de la Cuisance ces multiples cascades offrent un paysage à couper le souffle. Le nom “tuf” désigne la roche calcaire d’origine sédimentaire dont elles sont composées. De plus, elles sont facilement accessibles en toutes saisons par des chemins de randonnée. La Demeure du Chaos Bien moins idyllique que les paysages et monuments précédents. La Demeure du Chaos, n’en reste pas moins un des lieux les plus insolites à visiter en France. Située à Saint-Romain-Au-Mont-d’Or, dans la métropole de Lyon, cet endroit aux allures post-apocalyptique a d’abord été un simple relai de poste. Mais en 1999, son actuel propriétaire, Thierry Ehrmann décide de la transformer de fond en comble. Ouvert tous les week-ends et jour fériés, l’entrée est gratuite. À lire également : Canyoning en famille : conseils Le jardin de Giverny Moins insolite mais simplement féerique, le jardin de Giverny reste un véritable coin de paradis à visiter au moins une fois dans sa vie. Il appartenait à l’artiste Claude Monet qui a réalisé dans ce même endroit une grande partie de ses chefs d'oeuvres dont les Nymphéas ainsi que le Jardin de l’artiste à Giverny. N’hésitez pas à faire un petit détour par le Musée des Impressionistes. En temps normal, le musée ouvre tous les jours et les tarifs varient entre 7,50 euros pour un adulte, 5 euros pour un enfant de 12 à 17 ans et les étudiants et 3,50 euros pour ceux de 7 à 11 ans. La Maison Picassiette Entièrement recouverte de mosaïques et de faïence, cette maison ne passe pas inaperçue dans la ville de Chartres dans l’Eure-et-Loire ce qui en fait l’un des lieux les plus insolites de France. Elle fut construite par Raymond Isidore, un employé communal de la ville qui consacra sa vie entière à sa construction. Aujourd’hui, cette véritable oeuvre d’art, dont les fresques représentent des vues du Mont Saint Michel, est classé Monument Historique. En temps normal, cette mosaïque géante ouvre tous les jours sauf les mardis pour 6 euros en tarif plein. Les rochers sculptés de l’Abbé Fouré Si vous vous promenez le long des côtes de l’Ille-Et-Vilaine, vous apercevrez peut être avec étonnement ces figures sculptés dans la roche. Ces 300 visages auraient été réalisés de fin 1894 à 1907 par l’abbé Adolphe Julien Foueré. L’Association “Les Amis de l’Oeuvre de l’Abbé Fouré” propose régulièrement des visites d’environs 1h30 à 5 euros plein tarif et gratuit pour les moins de 12 ans. Le patrimoine français regorge de lieux plus insolites les uns que les autres. Ainsi, il vous sera impossible de vous ennuyer cet été. Alors, quel lieu rêveriez-vous de visiter? Read the full article
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Anonymous asked: J'adore votre blog. Je sais que vous résidez à Paris et je sais que vous passez du temps à votre vignoble. Que faites-vous à la campagne? Préférez-vous vivre à Paris ou à la campagne?
J'adore vivre à Paris mais j'aime aussi la campagne française.
Malheureusement, je suis schizophrène! Entre la ville et la campagne, il y a tout un monde et les modes de vie sont différents.
Vivre et travailler dans un pays étranger sont autant d'occasions de s'immerger totalement dans une autre langue et une autre culture. Je me suis fait des amis, et j'ai appris de nouvelles choses sur le Paris, sa culture et ses traditions. Je n'ai jamais vu tant de magasins d'habillement chics ou restaurants gastronomiques à paris et je suis noyée sous tant de galeries d'art et d'expositions.
Victor Hugo a dit "Respirer Paris, cela conserve l'âme." C'est un sentiment romantique mais ce n'est pas la réalité bien sûr. Mes amis français disent que le vrai parisien n'aime pas Paris, mais il ne peut vivre ailleurs. Ce sentiment est vrai pour moi.
Pour moi, Paris est un salon de transit aéroportuaire car je voyage dans d'autres villes européennes et internationales pour des raisons professionnelles. J'ai tout ce que je veux ici à Paris.
A Paris, je ne suis pas seul. J'ai un oncle et une tante et d'autres cousins de la famille qui vivent ici. Nous sommes très proches. J'ai aussi des amis proches de mon ancien école pensionnat suisse. Pour l'étranger, il n'est pas facile de rencontrer des Français mais pour moi il est facile car ma famille a le bras long. Je suis intégré dans une communauté très uni.
Ralph Wlado Emerson a dit, "Il y a, entre Londres et Paris, cette différence que paris est fait pour l'étranger et Londres pour l'Anglais. L'Angleterre a bâti Londres pour son propre usage, la France a bâti paris pour le monde entier." Je pense que le contraire est vrai aujourd'hui. Paris conserve son caractère français. il y a très peu de villes comme celle-là dans le monde.
Bien sûr, Paris a beaucoup de problèmes d'une grande capitale du monde. Paris est confrontée à une importante problématique d'exclusion extrême du logement, problèmes d'immigration et d'intégration, et inégalité économique. Ma principale critique de Paris est que les seuls espaces libres sont les cimetières dont la superficie dépasse presque, dans paris même, la superficie des jardins. Honneur à la ville qui prévoit plus d'oxygène pour ses morts que pour ses vivants!
J'ai besoin d'une sortie de secours vers la campagne.
Donc presque chaque week-end je fuis en Normandie ou en Bretagne ou je fuis plus au sud vers le vignoble du château.
J'aime piloter des planeurs. J'ai appris à piloter des planeurs après avoir quitté l'armée mais est un sport sympa mais cher. Avec mes amis français j'aime faire de la randonnée.
Je voudrais respecter la vie privée de mes cousins et leurs familles française quand je mentionne sur le vignoble. Je peux révéler que mes cousins et moi avons un vignoble de château au cœur de la campagne française. C'est une autre vie. C'est en contraste total avec ma vie à Paris.
Mon cousin anglais et moi avons travaillé ensemble par le passé ( il fait surtout des réparations de Land Rovers avec mon père) avons une passion comune pour les motos (rapides) depuis des années. Il fait de la moto depuis l'âge de 13 ans, il a couru en enduro, dans les rallyes africains (par example le Rallye Dakar). J’adore faites l'expérience des sensations de la vitesse sur ces motos sur les routes solitaires de la campagne.
Mes cousins et leurs enfants adorent monter à cheval et ainsi je monte aussi. J'aime beaucoup l'équitation.
Nous vivons modestement, à la campagne, c'est simple mais édifiant d'être entouré d'un paysage tranquile. Cette région a un bon climat pour la culture des raisins et la fabrication du vin. Notre vignoble du chateâu est situé dans un quartier calme de la campagne avec de beaux voisins. Il y a des gens qui pensent qu'on mène une vie saine et idyllique à la campagne. C'est vrai mais c'est aussi un travail difficile avec du sang, de la sueur et des larmes. Il n'y a pas de glamour! Je crois que il se peut que vous retiriez plus de satisfaction personnelle à vous salir les mains et à faire le travail vous-même.
Mes deux cousins (anglaise et norvege) rêvaient de d'avoir un vignoble et de faire leur propre vin. Mais mon cousin anglaise a souhaité à membres de sa famille française (sa femme est français) emménagent dans leur appartement à Paris mais ces derniers ayant pris l'habitude de vivre à la campagne, il se révéla difficile pour mon cousin de les faire revenir à Paris.
Je peux comprendre pourquoi ils préfèrent vivre au vignoble du château. Il est difficile d'imaginer une représentation encore plus idyllique de la campagne française.
J'ai du mal à quitter la ville car je dois me séparer de mes amis; et j'ai du mal à quitter la campagne car je dois alors être séparé de moi. C'est le poète romain Martial qui a dit "Celui qui habite partout, n'habite nulle part.". C"est le danger de aller à l'étranger plutôt que de rester en Angleterre.
Mais il y a un ancien proverbe norvégien: On doit honorer le chêne sous lequel on habite. Autrement dit il est important pour nous d'avoir des racines fortes. Mes racines familiales sont bien au Royaume-Uni et de la Norvège. Mais ce ne sont pas des racines peu profondes. Je suis de plus en racines ici aussi en France.
Merci pour la question.
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