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Happy 51st Birthday to Vanellope von Schweetz (Sarah Silverman)
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RALPH BREAKS THE INTERNET (2018) Six ans après s’être fait une place chez lui-même, le sympathique anti-héros issu du jeu vidéo (imaginaire) de WRECK-IT RALPH (2012) revient pour démolir rien de moins qu’Internet: aux commandes de ce second opus 100% DISNEY, on retrouve à nouveau Rich Moore à la réalisation de ce film d’animation en CGI très... “placement produit”. Mais comment ne pas aborder Internet (lui bien réel) sans parler de l’avalanche de marques, de likes et autres codes propre à cet immense lieu dématérialisé? RALPH BREAKS THE INTERNET est une sorte de THE EMOJI MOVIE (2017) réussi, et un régal pour les yeux; un dynamique voyage coloré “all-stars”, où l’on croise Sonic ou encore Bourriquet lors d’une course chez eBay (!); une formule pot-pourri amusante, souvent poussive... Nous n’avons PAS BESOIN de voir des recyclages de scènes de STAR WARS (1977-20??), ni de voir Vanellope, seconde partie du duo composé avec Ralph, céder aux conseils des Princesses Disney pour chanter comme elles: une question d’humour et de goût qui pourront aller jusqu’à l’écoeurement, à cause d’un lavage de cerveau qui marchera sur les plus jeunes spectatrices de RALPH BREAKS THE INTERNET. Hormis cette marée de publicités -Allociné, sérieux?- incessante, on apprécie la quête de ces héros de jeux vidéo partant hacker le web pour sauver Vanellope d’une mise au placard de sa borne d’arcade: la créativité loufoque de Rich Moore nous amène avec humour et talent dans un darkweb drôle mais sensé, tandis que Gal Gadot -oui, oui, WONDER WOMAN (2017) en personne!-, superbement modélisée, reconnaissable malgré sa transition de chara-design, y incarne l’héroïne badass d’un NEED FOR SPEED post-apo où le chaos règne. Aussi vaste que l’Internet, l’univers de RALPH BREAKS THE INTERNET régale, parvenant à dépasser son visuel enfantin: l’échelle de l’action, la profondeur de champ, les effets de lumière, un gouffre technologique le sépare de son aîné. Pourtant, sous ce bel emballage soigné et brillant, impossible de ne pas sentir le malaise quant à la leçon de morale insidieuse -MANGE, VIS ET CHIE DISNEY, c’est BIEN- et l’appât discret d’un business plus jamais qu’affamé. Heureusement, l’empathie envers ce gros bêta de Ralph et de l’énergique Vanellope -chapeau bas pour le doublage inimitable de Sarah Silverman, d’ailleurs- semblent indestructibles face à ce concept rusé de producteurs aux poches pleines: n’aurait-il pas été plus judicieux de faire de l’intrigue une histoire classique de “remplacement” de jeu vidéo, où l’ancien est menacé par le moderne, plutôt que de dériver dans des sphères où le TRANSFORMERS - AGE OF EXTINCTION (2014) aurait autant de valeur qu’un discret tract publicitaire? Comment doit-on regarder ce caméo de Mini-Groot, avec ou sans penser à la trahison subie par James Gunn et de son éviction qu’effectua DISNEY par la suite? Ah, Colère!!! RALPH BREAKS THE INTERNET est donc un film à réserver à qui a aimé WRECK-IT RALPH bien sûr, et aux Disney-maniaques de par le globe: les yeux un peu plus objectifs et vétérans verront dans le long-métrage généreux -presque deux heures- un patchwork de licences, où deux personnages atypiques y vivent de sympathiques aventures. La franchise se suffisait déjà à elle-même pour survivre dans le temps, et RIEN n’obligeait DISNEY à s’auto-envahir dans ce background. Au-delà de ça, il y a ZOOTOPIA (2016) l’autre création majeure de Moore, plus ciselée et adulte qu’il n’y paraît: il ne dépend que de vous de faire votre choix. Nous, on préfère les bêtes! Rappellons que RALPH BREAKS THE INTERNET dispose d’une scène post-générique ultime, Rich Moore trollant ain si toute personne l’ayant visionnée: un fun fact positif mais insuffisant, pour cette oeuvre sabordée par une mutinerie consciente au final tout juste moyenne. Quel étrange glitch. TUE-LES, RALPH /20
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Check out the NEW TRAILER for RALPH BREAKS THE INTERNET - Hits Theaters November 21, 2018!
Check out the NEW TRAILER for RALPH BREAKS THE INTERNET – Hits Theaters November 21, 2018!
Check out a brand-new trailer for “Ralph Breaks the Internet,” introducing new characters, including the fierce and fun crew of racers from online racing game Slaughter Race. Ali Wong lends her voice to Felony, Timothy Simons voices Butcher Boy, Glozell Green brings Little Debbie to life and Hamish Blake provides the voice of Pyro. Also new to the roster of characters is Double Dan, the…
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Dear My Friends & All moviegoers
Thanksgiving & Christmas Holiday Season is coming. I'm constantly afraid that Family(Relatives) Reunion & the Mass Movement of People lead to the closures of theaters & postponement of many movie release with COVID-19 winter pandemic.
it is a crying shame that COVID-19 pandemic is still far from over. On the Other Hand, I continue a habit of watching Hollywood movies in Amazon Prime Video as Stay Home Challenge and watching Hollywood movies in The nearest theater from My Home during Holiday Season in COVID-19 Pandemic. I think Watching Hollywood movies as Stay Home Challenge is best way for someone to enjoy during Holiday Season in COVID-19 Pandemic.
Although I know this is a hard time for Worldwide, I would really appreciate it if they could actively put out to all the stops to watching Hollywood movies in Streaming & watching Hollywood movies in The nearest theater from Their Home for the bright future in Hollywood movies.
I am sorry for the inconvenience, but please tell this to their family, relatives, and friends.
Best Wishes
Aokiji Tatsuya
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RALPH BREAKS THE INTERNET - Rated PG - 1 hr. 52 mins
RALPH BREAKS THE INTERNET – Rated PG – 1 hr. 52 mins
RALPH BREAKS THE INTERNET – Rated PG – 1 hr. 52 mins
Director by: Rich Moore & Phil Johnston
Cast: John C. Reilly, Sarah Silverman, Jack McBrayer, Jane Lynch, Alan Tudyk, Taraji P. Henson, Ed O’Neill, Gal Gadot, Alfred Molina, Bill Hader
He’s Gonna Wreck-It, Again!
It’s taken 6 years for them to return, but Wreck-It Ralph (John C. Reilly) and Vanellope von Schweetz (Sarah Silverman) are back…
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